L’Ecole Nationale des Sous-Officiers d’Active annonce la tenue d'un concert donné par la Musique des Transmissions (Rennes) à l’espace Hélianthe, sur la commune de La Crèche (79260), le 23 mai à 20h30.
Ce concert sera donné à la veille de la cérémonie de remise de galons à la 314e promotion, cérémonie à laquelle participera cette même formation.
L’intégralité des bénéfices de cette soirée sera reversée à TERRE FRATERNITE, au profit des blessés de l’armée de Terre et de leurs familles. Le prix de l’entrée est fixé à 8 € (gratuit pour les moins de 10 ans).
Contacts et renseignements : 05 49 25 02 23 – 06 81 36 88 97. Réservations possibles jusqu’au 17 mai à l’adresse ensoa.charge-prestations.fct@intradef.gouv.fr
Le programme de ce concert permettra au public de vivre un moment inoubliable, grâce à une musique variée, surprenante et de grande qualité : répertoire alternant classique, jazz, musiques de films et sonorités celtiques.
Brazíliában bejelentették, hogy véget ért az egészségügyi szükségállapot, amelyet a zikavírus elterjedése miatt hirdettek ki 18 hónapja.
A szúnyogcsípéssel terjedő vírus olyan betegséget okoz, amely súlyosan károsíthatja az anyaméhben fejlődő magzatot, és kóros kisfejűséget okozhat. A terhes nőket emiatt eltanácsolták a fertőzött vidékek felkeresésétől. A zikaláz a nyugati félteke tucatnyi országában felbukkant.
Brazília a kór elterjedésére szúnyogirtó kampánnyal válaszolt, amely a megbetegedések rohamos csökkenéséhez vezetett. Az egészségügyi minisztérium csütörtöki adatai szerint a januártól április közepéig terjedő időszakban 95 százalékkal kevesebb eset jelentkezett, mint az előző év azonos időszakában, ami lehetővé tette a szükségállapot feloldását. Ez az azonban nem jelenti azt, hogy nem figyelik a további eseteket – közölte a minisztérium illetékese.
Après une mission de contrôle de dix jours au Mali qui s'est révélée satisfaisante, le FMI a décidé d'étendre son programme d'aide au pays sur une année supplémentaire.
Cet article Mali : le FMI prolonge d’un an son programme de facilité de crédit est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Le temps où il fallait se montrer résolument optimiste sur l’avenir de l’Afghanistan est désormais révolu. Il y a à peine plus d’un an, le général John Campbell, alors chef de la mission Resolute Support, lancée par l’Otan, y croyait encore, alors que les forces afghanes venaient d’être mises en difficulté à Kunduz, dans le […]
Cet article Renforts ou pas, la situation en Afghanistan continuera à se dégrader pour le renseignement américain est apparu en premier sur Zone Militaire.
67 szilágyságit tüntettek ki az I. Wesselényi-gálán. A szilágysági magyar emberek az elmúlt években bebizonyították, hogy erős közösséget alkotnak, pontosan tudják, melyek a céljaik – hangsúlyozta Kelemen Hunor az RMDSZ ügyvezető elnöke tegnap Zilahon az I. Wesselényi-gálán. Az RMDSZ holnap tartja kongresszusát Zilahon, melyen a következő 2 év célkitűzéseit határozza meg a szövetség.
REUTERS/Gonzalo Fuentes
Mis à jour le 12 mai
Au Louvre, dimanche soir, c’est au son de l’hymne européen que le Président élu, Emmanuel Macron, a marché vers la tribune d’où il a prononcé son discours de victoire. Le symbole n’a échappé à personne, et surtout pas aux europhobes du Front national qui n’ont pas manqué d’éructer parce que la Marseillaise n’a été jouée qu’à l’issue de cette cérémonie. Il confirme à quel point l’Europe a occupé une place centrale dans la campagne du leader d’En Marche, une première dans l’histoire de la Vème République où les thèmes de politique intérieure occulte habituellement totalement la politique européenne. « Emmanuel Macron a mené une campagne pro-européenne courageuse, il défend l’ouverture sur le monde et est résolument pour l’économie sociale de marché », n’a d’ailleurs pas manqué de se féliciter, lundi, Angela Merkel, la chancelière allemande, à l’unisson de tous les dirigeants européens. Réduire cette élection à un vote anti-Front national, ce qu’il fut aussi, serait une erreur : c’était aussi un plébiscite en faveur d’une France européenne.
Emmanuel Macron tranchait, dès le départ, sur ses adversaires : il était le seul des onze candidats du premier tour à être résolument pro-européen et à n’avoir jamais voté (ou appelé à voter) contre un traité européen, à la différence notamment de François Fillon (contre Maastricht) ou de Benoit Hamon (contre le Traité constitutionnel européen). Dans tous ses meetings, ses partisans étaient encouragés à brandir des drapeaux européens et Macron faisait acclamer l’Europe, du jamais vu depuis la campagne des Européennes de 2009 menée par Daniel Cohn-Bendit, alors tête de liste de Europe Ecologie-Les Verts, qui avait amené au plus haut les écologistes en faisant de l’engagement fédéraliste le thème central de sa campagne.
Cet affichage pro-européen, que les pisses-froids jugeaient dangereux, n’a pas empêché Macron, bien au contraire, d’arriver en tête du premier tour. Pendant la campagne d’entre deux tours, loin de mettre son drapeau aux douze étoiles jaunes dans la poche, il l’a au contraire brandi encore plus haut, pour mieux se distinguer de son adversaire europhobe, Marine Le Pen. Avec le succès que l’on a vu. « Qui pouvait imaginer que l’argument européen permettrait de gagner ? », s’est exclamée, dimanche soir, presque étonnée, Aurore Bergé, une élue LR engagée au côté de Macron.
Cette fois, les électeurs avaient le choix entre deux modèles très clairs, à la différence du référendum de 2005 sur le traité constitutionnel européen où le vote négatif était présenté comme sans conséquence. D’un côté une France isolée, fermée, frileuse, identitaire, de l’autre une France européenne, ouverte sur le monde, accueillante, tolérante. Bien sûr, se jouait aussi l’avenir de la démocratie et de la République, mais l’entreprise de dédiabolisation que le FN a menée depuis dix ans a incroyablement minimisé ce danger, d’autant que la gauche mélenchoniste a réussi l’exploit de renvoyer dos à dos fascisme et libéralisme dans un incroyable contresens historique (car si le libéralisme admet le pluralisme, ce n’est pas le cas du fascisme, faut-il le rappeler). D’ailleurs, une petite moitié de la gauche radicale s’est abstenue ou a voté Le Pen, tout comme une partie de l’électorat de droite, ce qui montre bien que la peur du FN n’est pas la seule clef du scrutin.
Les citoyens ont tranché sans ambiguïté : ils ne veulent pas dans leur immense majorité d’un Frexit, confirmant ainsi les sondages qui montrent que plus de 70 % des Français sont attachés à l’euro et à l’Union. Le score de Le Pen n’atteint d’ailleurs pas les 34 %, confirmant la justesse de ces enquêtes d’opinion. Si Jean-Luc Mélenchon, qui a l’europhobie en partage avec le FN (même si elle plus discrète), avait été qualifié pour le second tour face à Macron, le résultat aurait sans doute été le même, n’en déplaise à ses lieutenants.
Les extrêmes ont d’ailleurs pris conscience du plafond de verre infranchissable que constituait leur europhobie. Ainsi, Mélenchon, dans la dernière ligne droite de sa campagne, a modifié son discours jurant qu’on l’avait mal compris, qu’il n’était nullement en faveur d’un Frexit. Marine Le Pen a fait de même, se livrant, lors du week-end du 1er mai, à un incroyable virage sur l’aile : en fait, l’euro n’était plus incompatible avec son programme économique et donc la sortie n’était plus prioritaire, elle serait négociée, l’euro resterait en vigueur pour les grandes entreprises, le franc serait accroché à l’euro, etc.
Ces danses de Saint Guy autour de l’Europe n’ont servi à rien : Mélenchon a perdu dès le premier tour, Marine Le Pen au second. Et le triomphe du plus européen des candidats, celui en qui tous les commentateurs voyaient une bulle prête à éclater le confirme. Les Français ont massivement (c’est l’un des présidents les mieux élus de la Ve République) rejeté le Frexit qui, ils l’ont bien compris, était un saut dans le vide.
D’ailleurs, le député Gilbert Collard, patron du Rassemblement bleu marine, le reconnait dans le Parisien du 11 mai: «pour nous, la question de l’euro, c’est terminé, le peuple a fait son référendum dimanche dernier, Marine doit entendre ce message». Florian Philippot, le numéro 2 du parti et promoteur de la ligne souverainiste, lui a aussitôt rétorqué, sur RMC, qu’il quitterait le parti «si le Front demain garde l’euro». Une ligne dure qui ressemble fort à une impasse. Car la question européenne est tranchée en France et bien tranchée.
Jusqu'ici patron d'Orange au Niger, ce polytechnicien est, depuis avril, directeur des activités de l'opérateur de téléphonie en Guinée. Il a précédemment travaillé auprès de l'entreprise sénégalaise Sonatel.
Cet article Guinée : Brelotte Ba nouveau directeur d’Orange est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Ce Français quitte le poste de directeur Afrique et Moyen-Orient qu'il occupait chez l'assureur français. Il y est désormais chargé des affaires publiques et de la responsabilité d'entreprise au niveau mondial.
Cet article Entreprise : Jad Ariss passe au niveau mondial chez Axa est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Ce Français quitte le poste de directeur Afrique et Moyen-Orient qu'il occupait chez l'assureur français. Il y est désormais chargé des affaires publiques et de la responsabilité d'entreprise au niveau mondial.
Cet article Entreprise : Jad Ariss passe au niveau mondial chez Axa est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.