Le 29 avril dernier, le Pentagone avait évoqué la mort « probable » d’Abdul Hasib, le chef de la branche afghano-pakistanaise de l’État islamique (appelée Khorasan ou EI-K), lors d’une opération conduite ayant coûté la vie à deux militaires des forces spéciales américaines. Il aura fallu un peu plus d’une semaine pour en avoir la confirmation. En […]
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The Syrian Army and the National Defense Forces (NDF) have advanced against Western-backed militants in the area east of the al-Seen Military Airbase. Pro-government fighters have captured al-Sabab Biyar and the Zaza Checkpoint.
Thus, the army and the NDF cut off one of the important roads that could be used by militants to link up their territory in the Syrian desert with the Qalamoun pocket.
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Du rôle des États-Unis pendant la seconde guerre mondiale on retient souvent le débarquement allié de Normandie, qui permet de consacrer le pays comme « libérateur de l'Europe ». On oublie ainsi qu'entre 1939 et 1941 Washington préférait la neutralité et l'isolationnisme au « combat pour la liberté ».
La Conférence de Yalta de 1945, par Agan Harahap, 2011. Cet artiste revisite l'histoire en intégrant des personnages de la culture populaire dans les images qui ont construit notre mémoire collective.Au fil des victoires idéologiques de la droite, deux idées reçues se sont enracinées. La première postule l'existence d'une complicité historique entre « les deux totalitarismes du XXe siècle », fasciste et communiste (lire « Tous les totalitarismes se valent »). D'elle découle le sentiment (erroné) que l'armée américaine, pas soviétique, le débarquement en Normandie, pas les batailles du front de l'Est, auraient joué un rôle décisif dans l'écrasement du IIIe Reich. Hollywood a amplifié cette illusion : Sergueï Eisenstein eût-il vécu à l'époque de Steven Spielberg, avec un public comparable, les images et les perceptions auraient sans doute été transformées.
Captain America Captain America, personnage de comics créé en 1940 par Jack Kirby et Joe Simon pour exalter le patriotisme de la jeunesse américaine.L'autre idée reçue décrète qu'un lien d'airain existerait entre les « démocraties occidentales » et le combat universel pour la liberté. C'est en raison de ce mythe historique que chaque crime de masse commis sur la planète suscite l'interrogation rituelle des grands médias et des puissants esprits : « Mais que fait l'Occident ? » En vérité, il fait ce qu'il a toujours fait : il défend ses intérêts au moment précis où ceux-ci sont directement mis en cause.
C'est en 1973, pas du temps de Mathusalem, que les Etats-Unis appuyèrent le coup d'Etat militaire d'Augusto Pinochet au Chili contre un gouvernement d'unité populaire ; en 1977 que le président James Carter déclara son « amitié personnelle » pour le chah d'Iran qui, selon lui, bénéficiait « de l'admiration et de l'amour de son peuple » ; en 2010 que le directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn fit du régime du dictateur tunisien Ben Ali un « bon exemple à suivre » pour les pays de la région ; en 2013 que le secrétaire d'Etat américain John Kerry estima qu'en dépit de leur massacre d'un millier de manifestants islamistes les généraux égyptiens avaient « indiqué » qu'ils entendaient « rétablir la démocratie » dans leur pays.
Manifestation, le 10 septembre 2013, à Santiago du Chili en mémoire des victimes de la dictature, à l'occasion du 40e anniversaire du coup d'Etat du général Pinochet.Et les choses ne se sont pas présentées différemment quand se joua la liberté du monde. Car, même entre 1939 et 1941, lorsque le pacte germano-soviétique donna un semblant de consistance à la thèse conservatrice des deux totalitarismes jumeaux et complices, que firent les Etats-Unis, futurs parrains du « monde libre » ? Beaucoup moins connue que l'autre, cette histoire-là aussi est édifiante…
Un héros national américain reçoit une décoration des mains d'un nazi.En mai 1939, Adolf Hitler s'est emparé de toute la Tchécoslovaquie. Pourtant, le Congrès des Etats-Unis refuse alors d'amender la « loi de neutralité » américaine interdisant toute vente d'armes à un pays menacé par l'Allemagne. Selon les mots d'un sénateur démocrate influent, « la situation en Europe ne paraît pas justifier une action urgente »…
Le 3 septembre 1939, l'urgence s'est-elle enfin précisée à Washington, dès lors que la France et le Royaume-Uni viennent enfin de mettre un terme à leur politique d'apaisement envers Berlin ? Eh bien toujours pas. S'adressant à ses compatriotes, le président Franklin D. Roosevelt leur annonce qu'il « souhaite et prévoit que les Etats-Unis se tiendront à l'écart de cette guerre ».
Le 5 février 2003, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, le secrétaire d'Etat américain Colin Powell défend la nécessité d'une intervention militaire en Irak. Il présente alors des preuves falsifiées visant à démontrer que Bagdad possède des « armes de destruction massive ».Quelques jours plus tard, Charles Lindbergh prend à son tour la parole dans un grand discours radiodiffusé. Héros national, premier homme à avoir franchi l'Atlantique en avion, sans escale et en solitaire, Lindbergh a reçu, l'année précédente à Berlin, une décoration allemande des mains du chef nazi Hermann Göring. Sa plaidoirie isolationniste (« L'Amérique d'abord ») suscite un engouement immédiat aux Etats-Unis. Des millions de télégrammes, lettres, cartes déferlent sur les élus américains tentés de voler au secours du peuple anglais.
Amer, Winston Churchill observera plus tard que, jusqu'en avril 1940, les responsables américains étaient « tellement sûrs que les Alliés l'emporteraient qu'ils ne jugeaient pas qu'une aide serait nécessaire. Là, ils sont tellement certains que nous allons perdre qu'ils ne la jugent pas possible ». Une fraction de la droite américaine réserve son énergie au combat contre le New Deal. Une autre, inspirée par les mots de Lindbergh, « préfère cent fois être alliée avec l'Angleterre ou même avec l'Allemagne, malgré tous ses défauts, qu'avec la cruauté, l'athéisme et la barbarie de l'Union soviétique ». Le futur président Harry Truman a fait son choix lui aussi : « Si nous voyons que l'Allemagne gagne, nous devons aider la Russie ; mais si c'est la Russie qui gagne, nous devons aider l'Allemagne, afin qu'ils s'entre-tuent au maximum. »
En définitive, c'est l'Allemagne qui, par solidarité avec son allié nippon, décidera, le 11 décembre 1941, de déclarer la guerre aux Etats-Unis, dont la flotte vient d'être détruite, le 7, à Pearl Harbor. A l'époque, l'armée nazie se bat depuis près de six mois aux portes de Moscou…
Le nouveau président sera-t-il un véritable réformiste comme il l’affirme ou bien va-t-il s’inscrire dans le sillage de ses prédécesseurs? C’est autour de cet enjeu que La Tribune a interrogé Erwan Le Noan, Associé d’un cabinet de conseil, membre du conseil scientifique de la Fondation pour l’innovation politique, et auteur de « La France des […]
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Les tournées effectuées par des Ministres dans les communes et départements du Bénin, accompagnés de députés et autres personnalités autochtones pour vulgariser le PAG et être à l'écoute des préoccupations des populations ainsi que les sorties médiatiques des membres du gouvernement à savoir le Ministre de la Décentralisation Barnabé Dassigli, le Ministre de l'Economie et des Finances Romuald Wadagni, le Ministre du cadre de vie, José Didier Tonato, le Ministre du Commerce Lazare Maurice Sèhoueto, le Ministre de la Santé, Alassane Seidou et d'autres responsables, autorités de l'Etat ou personnalités, Gaston Zossou, l'ancien Bâtonnier Jacques Migan… qui se prononcent sur les faits marquants de l'actualité nationale et qui viennent expliquer les décisions et actions du gouvernement, toutes ces sorties donc, donnent l'impression que le Président de la République a changé de stratégie à travers une réorientation de la communication au sommet de l'Etat. Une communication qui rend désormais plus visibles les actions du gouvernement. Il s'agit de faire en sorte que les populations soient plus imprégnées des décisions et actions du gouvernement pour éviter que l'intoxication sur les réseaux sociaux, les contre-vérités, la désinformation ou la manipulation de l'opinion publique aient droit de cité, dans le dessein de saboter les efforts du pouvoir en place. Il le fallait. La nouvelle option faite par le Président de la République à travers sa communication permettra donc non seulement aux populations de comprendre, d'avoir une idée claire de tout ce que fait le gouvernement en leur faveur et dans la perspective d'améliorer les conditions sociales et économiques du pays, mais cette nouvelle option permet également au Président Talon et ses collaborateurs d'être plus proches des Béninois, d'écouter leurs préoccupations pour envisager des actions immédiates et futures qui assurent leur bien être.
En réalité le Président Talon était bien entouré des compétences nécessaires en matière de communication pour rendre visible l'action du gouvernement, pour faire connaître ce qui a été fait pendant 01 an de son mandat en faveur des populations même si tout n'est pas parfait et qu'il reste beaucoup de défis à relever au sujet de l'emploi des jeunes, le panier de la ménagère, les problèmes liés à la mévente, la pauvreté et la misère. Les ressources humaines étaient donc disponibles, entourent le Président Talon et pouvaient lui permettre de montrer cette volonté politique du gouvernement et ses réalisations sociales pendant 01 an, même si les attentes ne sont pas entièrement comblées. Malheureusement, l'humilité du Président qui le pousse à ne pas vouloir faire du bruit autour de ses efforts, ses succès ou les réussites de son gouvernement, a été une occasion pour ses détracteurs d'utiliser l'arme de l'intoxication, de la désinformation ou de la manipulation de l'opinion publique pour tenter de déstabiliser son pouvoir et pour compromettre la réussite de son mandat.
Enfin Patrice Talon et son gouvernement l'ont compris. Mieux vaut tard que jamais. Certainement que tous les précédents liés au rejet du projet de loi portant révision de la Constitution, rejet qu'il a qualifié de politique et l'acharnement permanant de ses détracteurs contre son pouvoir, doivent le convaincre davantage qu'il a raison de faire ce nouveau choix, de changer de stratégie, de réorienter sa communication.
Les populations seront certainement satisfaites dans les jours à venir de voir le Chef de l'Etat et son Gouvernement être à leur écoute et se dévouer à leurs causes pour leur bien-être. Les ressources sont là et il ne reste qu'au Président Talon, malgré son humilité, de laisser ses collaborateurs travailler et communiquer beaucoup plus qu'avant afin que les objectifs du gouvernement soient atteints pour le bonheur du peuple béninois.
Euloge R. GANDAHO/LE GRAND MATIN
This map provides a general look at the military situation in Iraq on May 8, 2017.
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Le président Patrice Talon sera au Kenya du mardi 09 au jeudi 11 mai 2017 pour une visite de travail. Il s'entretiendra avec son homologue, Uhuru Kenyatta sur des sujets d'intérêt commun et mobilisera des partenaires multilatéraux et bilatéraux autour de la mise en œuvre du Programme d'actions du gouvernement « Bénin révélé ».
Au cours de son voyage, le N°1 Béninois participera également à Nairobi à la table ronde de la 17ème Assemblée générale de l'Agence pour l'Assurance du Commerce en Afrique (Aca) dont les assises sont placées sous son parrainage.
Boniface Cakpo