ALGER- Le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, s’est entretenu vendredi à Rome avec le président du parlement européen, Antonio Tajani, et le président du sénat italien, Pietro Grasso, des moyens de développer les relations au plan parlementaire et de questions d’intérêt commun.
Dans un communiqué du Conseil de la Nation, M. Bensalah a eu, en marge des travaux du 4ème sommet des présidents de parlements de l’Assemblée parlementaire du l’Union pour la Méditerranée, des entretiens avec le président du parlement européen sur « les relations bilatérales entre les deux parlements et les moyens de les hisser à un meilleur niveau ».
Les deux parties ont échangé également des points de vue autour des questions régionales et internationales d’intérêt commun », précise le communiqué.
A cet effet, les deux parties ont souligné l' »importance de poursuivre la coordination au niveau des fora parlementaires et d’intensifier l’échange de délégations et d’expériences », poursuit le communiqué.
D’autre part, l’entretien entre MM. Bensalah et Grasso a porté sur la « possibilité de hisser le niveau de la coopération et de la coordination entre les parlements des deux pays et sur plusieurs autres questions d’intérêt commun ainsi que les défis qui se posent à la région méditerranéenne ».
M. Pietro Grasso a saisi cette occasion pour féliciter l’Algérie du « succès » réalisé lors des dernières élections législatives qui, selon lui, « ouvrent de larges perspectives devant l’ancrage de la démocratie et la consécration des libertés en Algérie ».
La base aérienne 106 "Capitaine Michel Croci" de Bordeaux-Mérignac accueillera le 1er meeting de l’air, le week-end des 13 et 14 mai, avec entre autres la 1ère sortie publique de l’équipe de démonstration tactique Mirage 2000D "Couteau Delta".
Voir ici la page Facebook de cette patrouille.
Cette base aérienne fête cette année ses 80 ans d’existence à Bordeaux Mérignac.
Voir ici la page Facebook de la base.
Tous les détails ici. Le plateau, c'est là.
Billetterie:
l'entrée au meeting est payante. On peut acheter des billets d'entrée de deux manières :
• Des billets sont disponibles en prévente en ligne (cliquer ici)
• Sur place, sur la base aérienne 106.
Tarifs:
• Gratuite pour les enfants de -12 ans
• 5 € pour les jeunes de 12 à 17 ans
• 15 € pour les adultes
Les autorités américaines et britanniques ont mis en garde vendredi contre une vague de cyberattaques simultanées qui a touché des dizaines de pays dans le monde, à l’aide d’un logiciel de rançon, et conseillé de ne pas payer les pirates informatiques.
Ceux-ci ont apparemment exploité une faille dans les systèmes Windows, divulguée dans des documents piratés de l’agence de sécurité américaine NSA.
« Aujourd’hui nous avons assisté à une série de cyberattaques contre des milliers d’organisations et d’individus dans des dizaines de pays », a indiqué dans un communiqué l’agence britannique de cybersécurité (NCSC) qui recommande de mettre à jour ses logiciels de sécurité et ses anti-virus.
« Nous avons reçu de multiples rapports d’infection par un logiciel de rançon », a écrit le ministère américain de la Sécurité intérieure dans un communiqué. « Particuliers et organisations sont encouragés à ne pas payer la rançon car cela ne garantit pas que l’accès aux données sera restauré ».
Cette vague d’attaques informatiques de « portée mondiale » suscite l’inquiétude des experts en sécurité. Le logiciel verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer une somme d’argent sous forme de bitcoins pour en recouvrer l’usage: on l’appelle le « rançongiciel ».
« Nous avons relevé plus de 75.000 attaques dans 99 pays », a noté vers 20H00 GMT Jakub Kroustek, de la firme de sécurité informatique Avast, sur un blog.
Forcepoint Security Labs, autre entreprise de sécurité informatique, évoque de son côté « une campagne majeure de diffusion d’emails infectés », avec quelque 5 millions d’emails envoyés chaque heure répandant le logiciel malveillant appelé WCry, WannaCry, WanaCrypt0r, WannaCrypt ou Wana Decrypt0r.
Hôpitaux britanniques désorganisés
Des organisations en Espagne, en Australie, en Belgique, en France, en Allemagne, en Italie et au Mexique ont également été touchées selon des analystes. Aux Etats-Unis, le géant de livraison de colis FedEx a reconnu avoir lui aussi été infecté.
Le ministère russe de l’Intérieur a également annoncé avoir été touché par un virus informatique vendredi, même s’il n’a pas été précisé s’il s’agit bien de la même attaque.
Ces attaques informatiques ont notamment touché le service public de santé britannique (NHS), bloquant les ordinateurs de nombreux hôpitaux du pays.
« A ce stade, nous n’avons pas d’élément permettant de penser qu’il y a eu accès à des données de patients », a voulu rassurer la direction du service public de santé britannique.
L’attaque a toutefois sérieusement désorganisé des dizaines d’hôpitaux, contraints d’annuler certains actes médicaux et de renvoyer des ambulances vers d’autres établissements.
Des images ont été partagées sur les réseaux sociaux avec des écrans d’ordinateurs du NHS demandant le paiement de 300 dollars en bitcoins avec la mention: « Oups, vos dossiers ont été cryptés ».
Pas besoin d’email
Microsoft a publié un patch de sécurité il y a quelques mois pour réparer cette faille, mais de nombreux systèmes n’ont pas encore été mis à jour.
Selon la société Kaspersky, le logiciel malveillant a été publié en avril par le groupe de pirates « Shadow Brokers », qui affirme avoir découvert la faille informatique par la NSA.
« Ce logiciel de rançon peut se répandre sans que qui que ce soit ouvre un email ou clique sur un lien. Contrairement à des virus normaux, ce virus se répand directement d’ordinateur à ordinateur sur des serveurs locaux, plutôt que par email », a précisé Lance Cottrell, directeur scientifique du groupe technologique américain Ntrepid.
Un chercheur en cybersécurité a indiqué à l’AFP avoir trouvé une parade pour ralentir la propagation du virus. Tweetant à partir de @Malwaretechblog, il a expliqué que « généralement un logiciel malveillant est relié à un nom de domaine qui n’est pas enregistré. En simplement enregistrant ce nom de domaine, on arrive à stopper sa propagation », a-t-il expliqué à l’AFP.
Le chercheur a néanmoins insisté sur l’importance d’une mise à jour immédiate des systèmes informatiques car selon lui « la crise n’est pas terminée, ils peuvent encore changer de code et essayer à nouveau », a-t-il prévenu.
« Si la NSA avait discuté en privé de cette faille utilisée pour attaquer des hôpitaux quand ils l’ont +découverte+, plutôt que quand elle leur a été volée, ça aurait pu être évité », a regretté sur Twitter Edward Snowden, l’ancien consultant de l’agence de sécurité américaine qui avait dévoilé l’ampleur de la surveillance de la NSA en 2013.
. L’une des missions des Forces armées aux Antilles (FAA) est de lutter contre le trafic de drogues, particulièrement important dans leur zone de responsabilité. C’est ainsi que, régulièrement, l’on apprend que les frégates de surveillance « Germinal » et « Ventôse » ont permis la saisie de grosses quantités de produits stupéfiants, notamment de cocaïne. Les opérations menées […]
Cet article Les Forces armées aux Antilles ont permis la saisie d’une tonne de drogue en huit jours est apparu en premier sur Zone Militaire.
Ce groupe de motards nationalistes et nostalgiques de l'Empire soviétique créé pendant la Perestroïka a fait étape en Hongrie sur la route de Berlin
Comprendre l'Europe centrale pour 6€/mois Je m'abonne Je me connecte
En 2016, et pour la première fois depuis la chute de l’Union soviétique et la fin de la Guerre Froide, la Bundeswehr et l’US Army organisèrent, à Grafenwoehr [Allemagne], le Strong Europe Tank Challenge, une compétition ouverte à des pelotons de chars de combat. Cette joute doit permettre le partage des expériences, des tactiques et […]
Cet article Le peloton de chars Leclerc échoue au pied du podium du Strong Europe Tank Challenge est apparu en premier sur Zone Militaire.
May 12, 2017 (KHARTOUM) - The Blue Nile Liberation Council (BNLC), a regional body for the SPLM-North in the Blue Nile state, has confirmed its loyalty to the leadership of the group says a statement extended to Sudan Tribune on Friday.
"The BCLC affirms its loyalty to the leadership of the SPLM, consisting of its Chairman, Vice-Chairman and Secretary-General, who are a source of inspiration, and pride in their long years of revolutionary struggle," said a statement cosigned by 34 members of the regional body.
The called to hold government agents and mouthpieces to account and punish them for spreading false lies through the media outlets usurping the name of the Council or any of the movement's institutions.
Last April, was circulated a false statement attributed to the Blue Nile Liberation Council claiming the dissolution of the leadership council and the freezing of negotiations with the government. It also called to hold a meeting for the council in Yabous area within 60 days.
The move follows a rift led by the Nuba Mountains Liberation Council which on 25 March decided to sack the SPLM-N Secretary General who is also the chief negotiator and suspended the negotiations with the government.
The decision of the Nuba Mountains body followed the resignation of the SPLM-N deputy chairman Abel Aziz al-Hilu who accused Arman of disregarding his demand to include the self-determination in the agenda of peace negotiations.
(ST)