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Afrique

En Côte d’Ivoire, l’armée présente ses excuses à la nation pour les mutineries

LeMonde / Afrique - ven, 05/01/2018 - 14:02
Les forces militaires doivent « cesser d’être un problème » a affirmé le chef d’état-major lors de la présentation des vœux au président Ouattara.
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CAF Awards : l'Egypte, une razzia qui fait jaser

Afrik.com - ven, 05/01/2018 - 13:26
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Un Français s’évade de Madagascar en barque et rentre à Paris

LeMonde / Afrique - ven, 05/01/2018 - 12:17
Condamné en 2017 à trois ans de prison par la justice malgache, Houcine Arfa, ancien conseiller « sécurité » du président Hery, affirme être victime d’un complot.
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Au Congo, une violence sans nombres

LeMonde / Afrique - ven, 05/01/2018 - 12:00
RÉSONANCES. La guerre qui ravage l’Est du pays a-t-elle fait des centaines de milliers, ou des millions de morts ? Cette incertitude révèle, pour Michel Naepels, la mauvaise qualité des données statistiques sur le continent Africain.
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Égypte : un accident de montgolfière fait une victime

France24 / Afrique - ven, 05/01/2018 - 10:58
Un touriste sud-africain a péri vendredi dans la chute d'une montgolfière près de Louxor en Égypte. Douze personnes ont également été blessées. C'est le deuxième accident du genre dans cette ville en près de cinq ans.
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Patrick, Camerounais anglophone réfugié au Nigeria : « Plus que jamais, je suis ambazonien ! »

LeMonde / Afrique - ven, 05/01/2018 - 10:24
Environ 30 000 Camerounais auraient passé la frontière pour fuir la répression qui a suivi la proclamation symbolique de l’indépendance de la « République d’Ambazonie ».
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L’Egyptien Mohamed Salah sacré Ballon d’or africain 2017

LeMonde / Afrique - ven, 05/01/2018 - 10:18
L’attaquant de Liverpool a été finaliste de la dernière CAN et s’est qualifié pour la Coupe du monde avec les Pharaons, élus meilleure sélection du continent.
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Un touriste tué et plusieurs blessés dans la chute d’une montgolfière en Egypte

LeMonde / Afrique - ven, 05/01/2018 - 10:05
Une vingtaine de personnes se trouvait à bord. C’est le deuxième accident de ce genre près de Louxor en cinq ans.
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Affaire Steinhoff : le groupe sud-africain révèle que les irrégularités remontent au moins à 2015

Jeune Afrique / Finance - jeu, 04/01/2018 - 18:40
Nouveau rebondissement dans l'affaire Steinhoff : les irrégularités comptables remontent au moins à 2015, a révélé ce mardi le groupe sud-africain. La date de publication de ces comptes réexaminés reste néanmoins "incertaine". L'agence Moody's a dégradé sa note, craignant un défaut de 1,47 milliards de dettes à rembourser en 2018.
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Affaire Steinhoff : le groupe sud-africain révèle que les irrégularités remontent au moins à 2015

Jeune Afrique / Economie - jeu, 04/01/2018 - 18:40
Nouveau rebondissement dans l'affaire Steinhoff : les irrégularités comptables remontent au moins à 2015, a révélé ce mardi le groupe sud-africain. La date de publication de ces comptes réexaminés reste néanmoins "incertaine". L'agence Moody's a dégradé sa note, craignant un défaut de 1,47 milliards de dettes à rembourser en 2018.
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Restitution des biens culturels mal acquis : à qui appartient l’art ?

LeMonde / Afrique - jeu, 04/01/2018 - 17:18
Erick Cakpo, enseignant à l’université de Lorraine, analyse comment les objets d’art cristallisent les enjeux politiques et identitaires.
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Start-up de la semaine : déboutée de l'Algérie, la cryptomonnaie de KodePay met le cap sur le Kenya

Jeune Afrique / Finance - jeu, 04/01/2018 - 16:07
Une application pour faciliter les paiements en ligne, une banque virtuelle, une cryptomonnaie... Tout était prêt ou presque pour lancer KodePay en Algérie. Mais l'État se raidissant devant les monnaies virtuelles, c'est à Nairobi que la start-up démarrera finalement ses activités.
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Afrique du Sud : accident de train meurtrier dans le centre du pays

LeMonde / Afrique - jeu, 04/01/2018 - 15:09
Au moins dix-huit personnes ont été tuées dans le déraillement d’un train qui a percuté un camion.
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Le revenu universel testé dans un village kényan

LeMonde / Afrique - jeu, 04/01/2018 - 14:52
C’est une première mondiale, l’ONG américaine GiveDirectly versera durant douze ans l’équivalent de 20 euros par mois aux cent habitants d’un village de l’ouest du pays.
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L'Afrique Réelle N°97 - Janvier 2018

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - mer, 03/01/2018 - 22:32
Sommaire :  Dossier : Afrique, les points chauds de 2018- L’Afrique du Nord entre jihadisme et crises structurelles- Le Sahel face à l’ethnisation du jihadisme- De la Corne au Limpopo
Actualité :La traite des esclaves en Libye : une vieille pratique
Histoire :Heia Safari : Du Kilimanjaro aux combats de Berlin, l’épopée du général von Lettow-Vorbeck

Editorial de Bernard Lugan :
2018 : La vraie décolonisation de l’Afrique commence

Dans les pays du nord où priment l’économique et l’idéologie, l’analyse de la situation africaine est désespérément simple, pour ne pas dire simpliste : si le continent est sinistré, c’est par manque de développement. Voilà pourquoi, durant plus d’un demi-siècle, des sommes considérables y furent déversées. En vain.
L’échec des politiques de développement étant évident, le marasme africain fut ensuite attribué à l’absence de démocratie. Le continent se vit alors imposer la suppression du parti unique qui maintenait un semblant de cohésion des mosaïques ethniques locales. La conséquence d’une telle politique hors sol se lit aujourd’hui à travers l’émiettement politico-ethnique, l’ethno-mathématique et l’anarchie.

Toujours imbus de leurs principes démocratiques et porteurs de l’arrogant néo-colonialisme des « droits de l’homme » archétypiquement incarné par la CPI, les idéologues des pays du nord, ne voient pas qu’une révolution a commencé au sud du Sahara. Et qu’elle se fait précisément au nom de la contestation de leurs dogmes. Nous sommes en effet en présence de la première véritable tentative de décolonisation en profondeur du continent à travers le rejet global de l’universalisme des Lumières et du contrat social. Contrairement à ce que veulent nous faire croire la plupart des intellectuels africains installés en Europe ou aux Amériques et qui sont tout à la fois des déserteurs du développement et de modernes « Oncles Tom » n’ayant que les mots de démocratie et de développement à la bouche, leur continent d’origine n’accepte en effet plus la doxa occidentale.

Mais une fois la greffe politico-morale européo-américaine rejetée, les Afriques n’entreront pas pour autant dans le cycle des félicités. Les futures élites africaines devront en effet trouver des solutions urgentes au suicide démographique continental tout en définissant de nouveaux rapports politiques entre les diverses composantes ethniques de leurs pays respectifs.

A cet égard, la situation du Sahel résume les problèmes du continent. Ici, à partir de la révolution néolithique, les sédentaires sudistes ont vécu dans la terreur des raids lancés contre leurs villages par les nomades nordistes, qu’il s’agisse, d’ouest en est, des Maures, des Touareg, des Toubou ou encore des Zaghawa. La colonisation libéra les premiers, puis elle inversa le rapport des forces en leur faveur.

Avec les indépendances, l’espace sahélo saharien fut ensuite cloisonné par des frontières artificielles. Pris au piège de l’Etat-nation, sudistes et nordistes furent alors forcés de vivre ensemble. Le traumatisme fut d’autant plus fort qu’après la fin du parti unique, la démocratie électorale ethno-mathématique donna le pouvoir aux plus nombreux, c’est-à-dire aux sudistes qui n’ont pas boudé leur revanche historique. Voilà qui explique d'abord les évènements actuels de cette région, et non le manque de développement ou le « déficit démocratique ».
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Le ministre zambien des Affaires étrangères démissionne

Algérie 360 - mer, 03/01/2018 - 12:05

Le ministre zambien des Affaires étrangères, Harry Kalaba, a annoncé mardi sa démission du gouvernement, invoquant l’échec de la lutte contre la corruption. Dans un article posté sur sa page Facebook, M. Kalaba a déclaré qu’il ne pouvait pas continuer son travail au gouvernement. « Je viens de présenter ma lettre de démission en tant que ministre des Affaires étrangères au président Edgar Lungu – un poste que je chéris et occupe pendant plus de quatre ans », a-t-il ajouté, précisant qu’il resterait toutefois député du parti au pouvoir. Cependant, le porte-parole de la présidence zambienne, Amos Chanda a déclaré aux médias locaux que la présidence n’avait pas encore reçu la lettre de démission.

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Manifestations en Iran : Les « ennemis » ne font fi d’aucun moyen pour nuire au peuple iranien

Algérie 360 - mer, 03/01/2018 - 12:03
Alors que les manifestations se poursuivent en Iran et que le nombre de victimes augmente, l’ayatollah Ali Khamenei a accusé les « ennemis » de son pays d’user de tous les moyens, dont l' »argent et les armes », pour nuire au peuple iranien. Les « ennemis » cherchent à profiter de toute occasion pour nuire au peuple iranien, ayant notamment recours à « l’argent et aux armes », a annoncé le guide suprême de la Révolution iranienne, l’ayatollah Ali Khamenei, cité par l’agence iranienne Mehr. « Les ennemis se sont unis en utilisant leurs moyens, l’argent, des armes, pour créer des problèmes au pouvoir étatique », rapporte l’agence. Plusieurs villes iraniennes ont connu, au cours de ces derniers jours, des mouvements de protestation. Certains meetings ont dégénéré, selon les médias locaux. Commentant dimanche la situation dans le pays, le Président Hassan Rohani avait souligné que manifester était un droit constitutionnel du peuple, mais a mis en garde contre les violences. Lundi, il a en outre indiqué que les manifestations étaient aussi bien provoquées de l’extérieur que par des problèmes internes. Selon les médias locaux, 20 personnes ont trouvé la mort depuis le début des manifestations. Déclaration de Hassan Rohani Lors de la réunion du cabinet qui s’est tenue ce dimanche après-midi, le président iranien a brossé un tableau clair et net des conspirations tramées à l’encontre de l’Iran islamique.  » La nation iranienne comprend très bien la situation délicate dans laquelle se trouvent le pays, la région et le monde. Elle décidera en fonction de ses intérêts nationaux « , a-t-il précisé. L’Iran a été ces trois derniers jours le théâtre de multiples manifestations. Hassan Rohani a souligné que le peuple iranien est un « peuple libre » et que conformément à la Constitution et aux droits de citoyenneté,  » la nation est bien libre de faire entendre ses revendications et ses doléances. Mais elles doivent être exprimées de façon à ce qu’elles débouchent sur une amélioration de la situation du pays et de la vie des gens « . « Le règlement de certaines des questions n’est pas facile et nécessite beaucoup de temps. Le gouvernement et le peuple doivent les résoudre, main dans la main », a-t-il indiqué. Et d’ajouter : « Certains problèmes économiques puisent dans les années passées et certains autres sont récents. Il incombe au gouvernement et au peuple de s’unir et de s’entraider. Mais le peuple ne se plaint pas seulement de la situation économique: il réclame la transparence sur les affaires de corruption. Il exige que la lumière soit faite sur certaines questions, que la lutte contre la corruption prenne une tournure plus sérieuse. Le peuple se réserve le droit de critiquer toutes les affaires du pays et nous estimons que le gouvernement et le pays appartiennent au peuple. «  Le président Rohani a ensuite évoqué la satisfaction des ennemis de la Révolution islamique pour dire :  » Cet homme aux États-Unis qui veut compatir avec le peuple iranien, aurait-il oublié qu’il nous a récemment traités de peuple terroriste ? Celui qui, de la tête au pied, montre de l’hostilité envers le peuple iranien, n’a pas le droit de nous exprimer de la compassion. Les pays arabes de la région qui n’ont jamais établi de bonnes relations avec notre pays, se réjouissent aujourd’hui des agissements qui l’ont secoué. Réfléchissons à un point : dans l’intérêt de quelle partie va-t-elle cette manière de protester, du peuple ou des autres !? «  Pour le président iranien, les plus précieux capitaux dans la région sont la sécurité nationale, la paix, la cohésion nationale, l’unité et la fraternité en Iran.  » Dans notre pays cohabitent toutes les ethnies et toutes les confessions. C’est durant les dernières élections que la nation a montré son attachement et sa sensibilité envers les intérêts nationaux et l’avenir du pays « , a-t-il martelé. Les provocateurs arrêtés Après que le Conseil de sécurité iranien a dénoncé l’influence de l’étranger sur les manifestations dans le pays, évoquant une « guerre par procuration » contre le peuple iranien, les forces de sécurité iraniennes ont arrêté des personnes pour avoir incité à manifester dans le pays. Quelques personnes qui avaient incité à manifester en Iran depuis le 28 décembre, ont été arrêtées ce mardi par les forces de sécurité iraniennes, a rapporté l’agence locale ILNA citant le ministère iranien des Renseignements et de la Sécurité nationale. Selon la déclaration du ministère, ces derniers jours des rassemblements pacifiques organisés afin d’exprimer des revendications publiques se sont transformés en manifestations violentes « en raison de la présence d’éléments suspects et agressifs » qui ont porté atteinte à la propriété publique et qui ont entrainé la mort de plusieurs personnes. Comme l’a indiqué le ministère, les forces de sécurité sont à la recherche d’autres provocateurs. Plusieurs villes iraniennes ont connu, au cours de ces derniers jours, des mouvements de protestation. Certains meetings ont dégénéré, selon les médias locaux. Commentant dimanche la situation dans le pays, le Président Hassan Rohani avait souligné que manifester était un droit constitutionnel du peuple, mais a mis en garde contre les violences. Lundi, il a en outre indiqué que les manifestations étaient aussi bien provoquées de l’extérieur que par des problèmes internes. Le Conseil de sécurité iranien a dénoncé l’influence des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Arabie saoudite sur les manifestations de ces derniers jours dans le pays. Selon le secrétaire de cet organe consultatif, il s’agit d’une « guerre par procuration » contre le peuple iranien. Le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Shamkhani, a affirmé que les actions de protestation réalisées en Iran ces derniers jours, se déroulaient dans le cadre de la « guerre par procuration » menée par certains pays contre Téhéran, rapporte l’agence Tasnim. Selon Ali Shamkhani, les hashtags et les messages à propos de la situation en Iran proviennent des États-Unis, du Royaume-Uni et d’Arabie saoudite. « Selon notre analyse, environ 27% de nouveaux hashtags dirigés contre l’Iran sont développés par le gouvernement saoudien », a déclaré Ali Shamkhani, ajoutant que cette ingérence de l’étranger vise à ralentir le développement de l’Iran. Selon lui, les protestations « se termineront dans quelques jours ». Plusieurs villes iraniennes ont connu, au cours de ces derniers jours, des mouvements de protestation. Certains meetings ont dégénéré, selon les médias locaux. Ahmad Saber

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Année calamiteuse pour la pays étoilé depuis l’arrivée de trump : Les Etats-Unis se sont repliés sur eux-mêmes

Algérie 360 - mer, 03/01/2018 - 12:01

Les Etats-Unis étaient plus que jamais repliés sur eux-mêmes en 2017 suite aux décisions brutales du président Donald Trump concernant plusieurs questions internationales qui ont renforcé le spectre d’une Amérique honorant de moins en moins ses engagements internationaux.

En une année seulement, M.Trump a multiplié, au non du slogan l’«Amérique d’abord», le retrait des accords internationaux et des organisations onusiennes, tournant le dos au multilatéralisme et aux décennies d’engagements des anciennes administrations américaines. Dès sa prise de fonction en janvier 2017, Donald Trump donne le ton de sa politique commerciale à l’international, en retirant les Etats-Unis de l’accord TransPacifique signé en 2015 avec 11 pays de l’Asie-Pacifique.
M.Trump a proposé à la place de ce traité des accords bilatéraux qu’il dit vouloir négocier avec les pays de cette région dans la foulée de ses promesses de préserver les emplois et les entreprises industrielles américains. Mais son retrait spectaculaire de l’accord de Paris sur le climat en juin dernier, a été sans doute l’une des décisions hâtives du président, prise sans en évaluer les conséquences, s’accordent à dire les analystes. La première puissance occidentale est devenue ainsi le seul pays qui ne fait pas partie de ce pacte visant à réduire le réchauffement climatique dans la planète. Le désengagement de l’accord sur le climat a été suivi par deux autres retraits de l’Unesco et du pacte mondial sur les réfugiés ainsi que par l’annonce de la renégociation de l’accord de libre échange nord-américain (Alena) et les tentatives de faire échouer l’accord sur le nucléaire iranien. «L’Amérique d’abord» de Donald Trump est en train de se transformer en «Amérique seule», ironisent certains analystes à Washington pour résumer cette situation. L’isolement des Etats-Unis s’est accentué en décembre après la décision de Donald Trump de considérer El Qods occupée comme capitale d’Israël. Dans une rupture spectaculaire avec la politique américaine au Moyen-Orient, le président américain a décidé unilatéralement de déplacer l’ambassade américaine à la ville sainte au mépris des réactions de toute la communauté internationale. L’ONU qui a vivement critiqué le revirement américain sur le processus de paix au Moyen-Orient, a déclaré la décision «nulle et non avenue» lors d’un vote écrasant de l’Assemblée générale de l’ONU qui a symbolisé cet isolement. Les Etats-Unis sont désormais disqualifiés du rôle de sponsor de paix de l’aveu même de hauts responsables de la Maison Blanche. Le leadership américain a perdu de son influence, en partie en raison du rôle réduit du département d’Etat dans la gestion des grands dossiers internationaux. Le secrétaire d’Etat, Rex Tillesron, dont le départ du département d’Etat a été évoqué plusieurs fois cette année, ne dispose pas de mêmes leviers d’influence diplomatique que ses prédécesseurs. Son désaccord avec le président Trump sur plusieurs questions internationales, dont celle d’El-Qods occupée, a réduit sa marge de manoeuvre diplomatique. Cette situation a été exacerbée par les démissions des diplomates d’expérience et le limogeage de nombreux responsables qui constituaient la cheville ouvrière du département d’Etat, alors que plusieurs nominations aux postes diplomatiques en Afrique et au Moyen-Orient accusent un retard important. Dans le sillage de critiques du département d’Etat, le camp démocrate a dénoncé «les dégâts causés» à la diplomatie américaine, critiquant sévèrement l’attitude de la Maison-Blanche à l’égard de ce département stratégique. La première année de Donald Trump à la Maison-Blanche a été ponctuée de polémiques. Le président qui voulait renverser les normes politiques à Washington s’est mis à dos la presse, l’establishment et même les Républicains. Tweeter est devenu à cet effet son seul moyen de communication.
Une semaine après son investiture, Trump signe un décret migratoire interdisant l’entrée temporaire aux Etats-Unis aux ressortissants de six pays à majorité musulmane. Son action a suscité la consternation de la classe politique américaine et des ONG. Une version atténuée du décret a été validée en décembre par la Cour suprême après une année de bataille juridique. Le président récidiviste a ensuite suscité une avalanche de critiques l’été dernier lorsqu’il a déclaré que la responsabilité des heurts violents de Charlottesville qui ont opposé la droite suprémaciste aux manifestants devait être «recherchée des deux côtés». Trump s’est ensuite rétracté en dénonçant le racisme et l’organisation suprémaciste KKK (Ku Klux Klan) mais n’a pas réussi pour autant à atténuer la polémique engendrée par son premier discours sur les événements. L’intégrité du président américain a été, une fois encore, mise à rude épreuve après le renvoi, sans préavis, du chef du FBI, James Comey, en pleine enquête sur l’affaire du présumé piratage russe.

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