Selon nos informations, la National Biosafety Management Authority a approuvé à compter du 1er mai l'introduction d'une variété de coton OGM commercialisée par Monsanto, dont l'Indien Gyanendra Shukla dirige les activités africaines.
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La libéralisation du secteur de l'électricité provoque un afflux de promoteurs privés sur le continent. Mais parfois sans compétences ni fonds. En attendant, les Africains manquent toujours de courant...
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Après la Côte d'Ivoire et le Gabon, Africa Finance Corporation (AFC) vise le Bénin mais aussi l'énergie solaire au Niger, au Mali, au Tchad. Interview d'Oliver Andrews, le directeur des investissements de l'institution financière basée à Lagos.
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Après la Côte d'Ivoire et le Gabon, Africa Finance Corporation (AFC) vise le Bénin mais aussi l'énergie solaire au Niger, au Mali, au Tchad. Interview d'Oliver Andrews, le directeur des investissements de l'institution financière basée à Lagos.
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Dans un communiqué de presse, la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) a fait savoir qu’à 11h00, un convoi de la Force de la MINUSMA a été pris en embuscade à 30 kilomètres à l’ouest de Sevaré, sur l’axe Tenenkou-Sevaré.
« Selon les informations préliminaires, cinq Caques bleus ont été tués. Un autre a été grièvement blessé et son évacuation médicale est en cours », a précisé la MINUSMA.
La Mission de l’ONU a présenté ses condoléances aux familles des victimes, ainsi qu’à leur gouvernement et à leur peuple, et a souhaité un prompt rétablissement au soldat de la paix blessé.
A cette occasion, le Représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour le Mali et chef de la MINUSMA, Mahamat Saleh Annadif a déclaré : « Je condamne avec la plus grande vigueur ce crime abject qui s’ajoute aux autres actes terroristes qui ont ciblé nos soldats de la paix et qui constituent des crimes contre l’humanité au regard du droit international ».M. Annadif a appelé à tous les efforts possibles pour identifier les responsables de ces crimes et a souligné que la MINUSMA est « plus engagée que jamais » à poursuive sa mission d’appui au Mali et à son peuple.
Source: Agence de presse XinhuaL’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en République démocratique du Congo (RDC) et menacé d’un procès dans son pays, a quitté l’Afrique du Sud, où il était hospitalisé, pour Londres, a indiqué dimanche l’un de ses avocats.
« Moïse Katumbi est parti de Johannesburg vendredi et a atterri à Londres hier samedi », a déclaré à l’AFP Me Georges Kapiamba du collectif des avocats de M. Katumbi.
Selon une source proche de l’opposant, il pourrait se rendre dans les prochains jours à Paris, Bruxelles et en Allemagne.
« Il est sorti de l’hôpital. Il va bien mais à cause des désordres au Congo, il préfère pour l’instant se reposer », a déclaré l’un de ses collaborateurs à Johannesburg.
« Il va rentrer au Congo mais on ne sait pas encore quand. Il est candidat à la présidence », a-t-il encore dit, affirmant que les médecins lui avaient préconisé le repos.
Interrogé pour savoir pourquoi Moïse Katumbi était parti à Londres, ce collaborateur a précisé qu’il y avait son médecin traitant.
Ces informations ont été confirmées par une autre source proche de Moïse Katumbi en Afrique du Sud.
L’opposant au régime du président Joseph Kabila a pris un avion de ligne régulière vendredi soir au départ de Johannesburg. Son épouse, Carine Katumbi, qui l’avait accompagné la semaine dernière en Afrique du Sud, est elle rentrée à Lubumbashi, dans le sud-est de la RDC.
Moïse Katumbi, richissime homme d’affaires de 51 ans, était arrivé le 20 mai à Johannesburg à bord d’un avion médicalisé en provenance de Lubumbashi.
Il était venu officiellement pour se faire soigner. Ses collaborateurs en Afrique du Sud ont affirmé qu’il avait inhalé des gaz lacrymogène lors d’affrontements entre la police et ses partisans à Lubumbashi.
Mais il a quitté la RDC au lendemain de l’annonce d’un procès engagé contre lui par l’Etat congolais, suscitant des interrogations sur les motifs de son départ.
Lors de son séjour à Johannesburg, Moïse Katumbi a été transféré d’hôpital pour des raisons de sécurité, selon ses collaborateurs.
« Des inconnus sont passés à la réception pour demander où il se trouvait. La sécurité de l’hôpital a estimé qu’il s’agissait d’un mouvement suspect » et il a été déplacé, a déclaré l’un de ses proches.
Les autorités congolaises avaient accepté qu’il quitte le pays pour se faire soigner, à condition notamment de « ne pas s’exprimer bruyamment sur le dossier entre les mains de la justice », selon le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende.
Dimanche, Me Kapiamba a dénoncé « le transfert » à Kinshasa de quatre autres collaborateurs de M. Katumbi détenus jusque-là à Lubumbashi, dont deux officiers de police « qui s’occupaient de la sécurité de Moïse Katumbi alors en fonctions de gouverneur » du Katanga, a ajouté l’avocat.
Le 24 avril quatre proches de M. Katumbi, dont un Américain, avaient été arrêtés à Lubumbashi et transférés à Kinshasa. Ils totalisent « 34 jours de détention illégale » à l’agence nationale des renseignements (ANR), a déclaré Me Kapiamba, indiquant que le gouvernement voulait « accélérer l’enquête vers le procès de Katumbi ».
La justice congolaise a annoncé le 20 mai l’ouverture prochaine d’un procès contre Moïse Katumbi pour « atteinte à la sûreté de l’État ».
Ex-allié de poids du président Kabila, Moïse Katumbi est passé dans l’opposition en septembre en même temps qu’il démissionnait de ses fonctions de gouverneur du Katanga, province du sud-est de la RDC démantelée depuis, et qu’il accusait le chef de l’Etat de chercher à violer la Constitution pour se maintenir au pouvoir.
L’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en République démocratique du Congo (RDC) et menacé d’un procès dans son pays, a quitté l’Afrique du Sud, où il était hospitalisé, pour Londres où il va se reposer, a indiqué dimanche l’un de ses avocats.
« Moïse Kaumbi est parti de Johannesbourg vendredi et a atterri à Londres hier samedi », a déclaré à l’AFP Me Georges Kapiamba du collectif des avocats de M. Katumbi.
« Il est sorti de l’hôpital. Il va bien mais à cause des désordres au Congo, il préfère pour l’instant se reposer », a déclaré l’un de ses collaborateurs à Johannesburg.
« Il va rentrer au Congo mais on ne sait pas encore quand. Il est candidat à la présidence », a-t-il encore dit, affirmant que les médecins avaient préconisé le repos à l’opposant.
Interrogé pour savoir pourquoi Moïse Katumbi était parti à Londres, ce collaborateur a précisé qu’il y avait son médecin traitant.
Ces informations ont été confirmées par une autre source proche de Moïse Katumbi en Afrique du Sud.
L’opposant au régime du président Joseph Kabila a pris un avion de ligne régulière vendredi soir au départ de Johannesburg. Son épouse, Carine Katumbi, qui l’avait accompagné la semaine dernière en Afrique du Sud, est elle rentrée à Lubumbashi, dans le sud-est de la RDC.
Moïse Katumbi, richissime homme d’affaires de 51 ans, était arrivé le 20 mai à Johannesburg à bord d’un avion médicalisé en provenance de Lubumbashi.
Il était venu officiellement pour se faire soigner. Ses collaborateurs en Afrique du Sud ont affirmé qu’il avait inhalé des gaz lacrymogène lors d’affrontements entre la police et ses partisans à Lubumbashi.
Mais il a quitté la RDC au lendemain de l’annonce d’un procès engagé contre lui par l’Etat congolais, suscitant des interrogations sur les motifs de son départ.
Lors de son séjour à Johannesburg, Moïse Katumbi a été transféré d’hôpital pour des raisons de sécurité, selon ses collaborateurs.
« Des inconnus sont passés à la réception pour demander où il se trouvait. La sécurité de l’hôpital a estimé qu’il s’agissait d’un mouvement suspect » et il a été déplacé, a déclaré l’un de ses proches.
Les autorités congolaises avaient accepté qu’il quitte le pays pour se faire soigner, à condition notamment de « ne pas s’exprimer bruyamment sur le dossier entre les mains de la justice », selon le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende.
Ex-allié de poids du président Kabila, Moïse Katumbi est passé dans l’opposition en septembre en même temps qu’il démissionnait de ses fonctions de gouverneur du Katanga (province du sud-est de la RDC démantelée depuis lors) et qu’il accusait le chef de l’Etat de chercher à violer la Constitution pour se maintenir au pouvoir.
La justice congolaise a annoncé le 20 mai l’ouverture prochaine d’un procès contre Moïse Katumbi pour « atteinte à la sûreté de l’État ».