Dans son premier discours au Bundestag en tant que chancelier, Friedrich Merz s'est engagé à « mettre à disposition toutes les ressources financières nécessaires » pour faire de l'armée allemande l'armée la plus puissante d'Europe.
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C'est dans une ambiance chaleureuse et chargée d'émotion que l'artiste Cino Green, de son vrai nom Mohamed Saliou Sanou, a procédé à la dédicace de son tout premier album, intitulé « We all need love », dans l'après-midi du lundi 12 mai 2025 à Bobo-Dioulasso. Ce nouvel album de dix titres, chanté en français, dioula et anglais, est un voyage musical qui célèbre l'amour et magnifie la beauté de la femme dans toute sa diversité.
Cette cérémonie de dédicace a rassemblé un public varié, composé de professionnels des médias, de mélomanes, d'acteurs culturels, d'amis et de membres de la famille de l'artiste, tous venus découvrir la nouvelle voix montante de la scène musicale locale. Cette cérémonie a permis ainsi de retracer brièvement le parcours de l'artiste et l'origine du projet. À travers cet album, l'artiste Cino Green offre une fusion audacieuse de genres musicaux, avec des textes profonds et des mélodies captivantes. Une œuvre sincère qui, selon les premiers retours, marque déjà les esprits.
« Cino Green est un artiste émergent de la scène musicale burkinabè qui se distingue par sa fusion unique de genres musicaux, en passant par des mélodies sensuelles. We all need love est plus qu'un simple album : c'est un voyage musical qui célèbre la beauté de l'amour et nous rappelle que, quels que soient nos chemins, nous partageons tous ce désir universel d'amour », a laissé entendre le présentateur, Armel Soulama.
Des journalistes présents à la dédicace de l'album de l'artiste Cino GreenNatif de la ville de Bobo-Dioulasso, Cino Green, dès son bas âge, écrivait ses premiers textes, puis développe son style sous l'influence de plusieurs artistes. Après avoir fait ses preuves au sein du collectif 226, il a rapidement captivé l'attention du public grâce à ses performances live où il allie authenticité et créativité. En 2016, il sort un premier EP intitulé « Bobo boss », qui combine des sonorités modernes et des paroles introspectives, le propulsant en tête des playlists sur les plateformes de streaming.
Aujourd'hui, « We all need love » se veut un projet personnel qui aborde des thèmes universels tels que l'amour, l'espoir et la quête de soi. Cette nouvelle œuvre artistique, composée de dix titres, est un mélange atypique d'afro, d'amapiano, de RnB, avec des titres phares comme « Lait caillé » et « Woman ». Grâce à une production soignée ainsi que des collaborations artistiques enrichissantes, cet album témoigne du désir de l'artiste d'atteindre les cœurs.
L'artiste Cino Green exprime sa gratitude à toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de ce projet« Dans un monde où l'amour peut parfois sembler rare, cet album se lève comme un phare d'espoir et d'humanité. Cet opus est une véritable ode à l'amour sous toutes ses formes : amour romantique, amour fraternel et même amour de soi. Chaque morceau raconte une histoire, tisse un lien émotionnel et invite à la réflexion. Les rythmes sont variés, allant de balades douces qui caressent l'âme à des morceaux plus rythmés qui nous incitent à danser et à célébrer les joies de la vie », a expliqué Armel Soulama dans la présentation de l'album.
Il a également souligné que l'artiste se prépare à aller à la conquête de ses fans pour promouvoir son album et partager son univers musical. « Suivez cet artiste prometteur qui, avec sa voix et son approche authentique, est résolument prêt à marquer la scène musicale de demain. Ne manquez pas l'occasion de découvrir We all need love et laissez-vous emporter par l'émotion et la passion qui se dégagent de sa musique », a-t-il invité.
L'album « We all need love » comporte dix titres, chantés en français, dioula et anglaisC'est avec le sourire aux lèvres que l'artiste a exprimé sa joie de présenter son nouveau « bébé » au public. Il a saisi l'occasion pour exprimer sa gratitude envers toutes les personnes ayant contribué à la réalisation de son œuvre. Il a affirmé que cet album est une célébration sonore de la femme dans toute sa diversité. « Ce projet rend hommage à la femme avec authenticité et fierté », a déclaré l'artiste Cino Green.
Cette cérémonie a permis au public d'écouter un bout des titres qui composent cet album. Il s'agit des titres « Lait caillé », « Sexy body », « Love you », « My baby », « Elle aime trop ça », « Woman », « Shake it », « Oui », « Tassaba » et « Tout laisse » en feat Yaya Phal. Le staff de l'artiste dit avoir mis en place plusieurs stratégies pour la promotion de cet album. En plus des passages programmés dans les médias, il est prévu également une conférence de presse dans la ville de Ouagadougou pour présenter l'album.
L'album est disponible sur clé USB au prix unitaire de 5 000 FCFA et sur toutes les plateformes de téléchargement. Pour le staff, dans ce contexte de crise que traverse le Burkina, cette œuvre musicale invite « chacun à se rassembler autour de ce besoin fondamental qu'est l'amour ».
Romuald Dofini
Lefaso.net
Dans l'univers des disciplines sportives au Burkina, le floorball est en train de faire son bonhomme de chemin. C'est une discipline où deux équipes de cinq joueurs et un gardien s'affrontent avec pour objectif de mettre la balle dans le but adverse à l'aide d'une crosse. Le tout nouveau président de la Fédération burkinabè de floorball, Adama Kouenda, nous entretient de la nouvelle structure. Il parle de leurs difficultés et des ambitions qu'ils nourrissent.
Lefaso.net : Vous êtes à la tête d'une nouvelle structure sportive, la Fédération burkinabè de floorball (FBFL), créée en septembre 2023. En l'espace d'une année, vous aviez tenu deux AGE, pour vous conformer aux textes du ministère en charge des sports. La dernière AGE a eu lieu en novembre 2024, au cours de laquelle votre présidence a été confirmée, pour cette fois un mandat plein de quatre ans 2024-2028. À la date d'aujourd'hui, quel état des lieux pouvez-vous faire de la vie de votre fédération ?
Adama Kouenda : Je remercie votre organe de venir s'enquérir des nouvelles de notre jeune fédération. En effet, depuis sa mise en place, la fédération a pour mission la promotion de la nouvelle discipline, le floorball, au plan national et aussi au plan international. Actuellement, on peut dire comme état des lieux que la fédération dispose de deux ligues, d'un district et d'une quinzaine de clubs, avec l'organisation d'un championnat national chaque année. Nous avons tenu notre tout premier championnat en septembre 2024. Malgré les difficultés en tant que jeune fédération, le bureau exécutif fait preuve de résilience pour relever les défis.
Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans le fonctionnement de la fédération ?
Les difficultés ne manquent pas, entre autres, il y a d'abord la méconnaissance de la discipline par la majorité des Burkinabè. Cela rend difficile les approches vers d'éventuels partenaires pour solliciter des soutiens. Par ailleurs, il y a la jeunesse de notre structure qui n'a pas encore pris toutes ses marques dans la gestion sportive.
Pour cette saison 2024-2025, qu'est-ce qui est au programme de vos activités ?
Pour la saison 2024-2025, nous avons deux activités majeures qui sont le championnat national et une participation éventuelle à la coupe d'Afrique de floorball prévue pour se tenir à Abidjan en aout 2025. En plus de cela, il y a quelques activités de vulgarisation de la discipline, comme un festival découverte de floorball au sein des établissements scolaires et des ateliers de formation des acteurs.
Est-ce que, pour le moment, vous bénéficiez d'une subvention du ministère en charge des sports ?
La FBFL est une nouvelle née, elle n'est pas encore prise en compte au même titre que les autres fédérations. Pour l'instant, elle ne bénéficie pas encore de tout le soutien dont elle a besoin, soutiens étatiques et des sponsors, du fait qu'elle n'est pas encore bien connue. Non, pour l'instant, nous ne bénéficions pas de la subvention du ministère en charge des sports. Pour mener les activités, les membres du bureau mettent la main dans la poche, et nous approchons des bonnes volontés pour des soutiens.
Vous êtes une nouvelle fédération, vous êtes en quête d'audience, comment comptez-vous vous y prendre pour la vulgarisation de la discipline ?
Effectivement, ce n'est qu'en participant aux activités d'audience internationale que nous pouvons nous faire mieux connaître et montrer l'importance de la discipline. C'est pour cela que la participation à la CAN en Côte d'Ivoire cette année serait un grand atout et revêt une grande importance capitale pour nous.
Le tout premier championnat national en floorball joué en septembre 2024L'Association Burkindi de floorball (ABF) refuse d'intégrer la fédération. Des démarches ont-elles été entreprises par la fédération pour amener l'ABF au sein de la grande famille floorball ? À quel niveau se trouve le problème aujourd'hui ?
Les choses n'ont pas évolué avec l'Association Burkindi de floorball. Celle-ci refuse toujours de rejoindre la fédération malgré nos approches. La fédération ne ferme pas la porte à l'ABF, mais il revient à elle de mettre de l'eau dans son vin pour pouvoir intégrer la fédération afin que nous travaillions ensemble. Les portes de la fédération restent toujours ouvertes.
Pour votre mandat quadriennal 2024-2028, quels seront les grands axes de votre programme ?
Pour notre mandat, nous comptons jouer sur quatre axes importants que sont, primo, les acteurs : former le maximum de joueurs, d'entraîneurs, d'arbitres et de dirigeants. Secundo, les compétitions : c'est-à-dire multiplier le nombre de compétitions jouées dans l'année. Tertio, les structures : c'est-à-dire augmenter le nombre de ligues, de districts et de clubs. Et enfin le matériel, car c'est l'un de nos soucis majeurs, parce qu'on n'en trouve pas sur place. Donc, nous allons voir dans quelles mesures pouvoir en acquérir suffisamment. Nous sommes certes une jeune fédération, mais nous nourrissons de grandes ambitions : être parmi les meilleurs en Afrique.
ITW réalisée par Barthélemy Kaboré
(Collaborateur)
Commandant de la frégate multimissions [FREMM] « Provence » quand celle-ci était engagée dans l’opération navale EUNAVFOR Aspides, en mer Rouge, le capitaine de vaisseau Pascal Forissier a récemment évoqué les attaques lancées par les rebelles houthis depuis le Yémen contre le trafic maritime, dans un entretien accordé à Marine & Océans. Ainsi, selon lui, le fait...
Cet article Un chasseur-bombardier furtif F-35 américain a failli être touché par des missiles sol-air au-dessus du Yémen est apparu en premier sur Zone Militaire.
Des eurodéputés de tous bords politiques ont salué le jugement de la CJUE dans le cadre du SMSgate impliquant la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, le considérant comme une victoire face au manque de transparence parfois reproché à l’exécutif européen.
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Bandar Abbas explosion of suspected rocket fuel shipped from China.
The new Tariff policy of the United States has been dealt with very differently in various countries, but the most successful approaches tend to be the ones that treat the tariff issues as tax issues, instead of national security issues. It will often be easier to challenge a tariff with a counter-tariff, and try to come to a meeting of minds where both parties benefit in a situation where one side has less power than the other. Working to eliminate as many tariffs as possible will leave some key sectors more vulnerable, but will also aid in having the best products win out in competition worldwide. Working for a country’s own self interests is a rationale response to a difficult economic environment, and those countries that apply added taxes on their own citizens will lose out as tariffs compound trade issues and force countries to compete or lose jobs.
When the Tariff War is taken as a Hot Conflict, the issues will most likely spiral into a self fulfilling security issue. Passive support given to acts that damage international trade will illicit a strong response, as some countries look to find cause to take trade issues beyond simply negotiating contracts. While newer events like China’s apparently intelligence support for Houthi targeting of US ships comes after the tariff complications, there is often a history of security issues that do not seem to be tied to tariff issues, but were always a persistent threat.
The recent explosion of rocket fuel materials at the port of Bandar Abbas in Iran looked to be shipped from China, materials used to make ballistic missile systems that have plagued many other nations in the region. Similar to the explosion at the port of Beirut a few years ago, the links between Iran’s regime to these events may be linked to similar materials from China in the past, but it is impossible to verify. With former Chinese PLA soldiers now known to be fighting with Russian forces in Ukraine and the Kursk region, tariffs may evolve to become only the first step in challenging security issues from China and other rogue nations.
With the recent election in Canada, there are many questions on how the rhetoric of the winning party has been applied in relations countering the United States. While the latest election was based on the belief by many in Canada that the US President wished to physically invade the country, past actions between the same Governing party in Canada and US adversaries show that there were many pre-tariff concerns for both Canadians and Americans.
Activities in the recent past between Canada’s Government and China’s PLA resulted in joint military training exercises to enable China’s PLA troops to fight more effectively in arctic conditions, skills likely used during the winter months on the front in Ukraine. Contact with NATO forces, strategies, and equipment is not something most of Canada’s NATO allies likely expected, and intelligence on equipment donated to Ukraine may have been used in the conflict. Canada’s contribution of Leopard 2A6 tanks makes up part of the NATO contribution of Leopard 2 combat systems, the most modern tank in Ukraine’s arsenal. Knowledge of the strengths and weaknesses of the Leopard 2 makes all NATO armies vulnerable in combat because of several combat exercises conducted between Canada and China over the last ten years, just a few hours from the US border.
With the same Government in power in Canada for the last ten years, ties with China’s Government only increased systemically in Canada. Language challenging tariffs often have a similar theme, and it must be questioned on why this might be the case. During the election itself, an opposition candidate was threatened several times by those affiliated with China’s regime, condoned by the Prime Minister’s campaign team. Two RCMP whistle blowers also came out during the campaign, naming many Cabinet Ministers of the previous Prime Minister and current Prime Minister with links to China’s regime. With rhetoric against the United States being the backbone of the election campaign, it must be made clear if Canada stands with its traditional allies, or if they wish to tie themselves to China’s falling regime. While it would be easier to just pay tariffs and taxes until an agreement can be made, influence in support of well established security issues against NATO allies has no future path to success. Look to the next few months on how relations over the northern border of the United States will develop. The best predictor of future results are past actions however, and these issues need to be addressed promptly.
Le Fonds des nations unies pour la population (UNFPA) a procédé au lancement officiel du centre Impact Hub jeunes. La cérémonie a eu lieu le mardi 13 mai 2025, à Ouagadougou, sous la présidence du ministre en charge de la jeunesse, Roland Somda, et en présence du représentant résident, Alain Akpadji. Des chèques ont été remis à certains jeunes pour les accompagner dans la concrétisation de leurs projets.
Impact Hub jeunes est un centre qui offre aux jeunes âgés de 15 à 35 ans un espace pour apprendre, pour créer et pour s'exprimer afin de se réaliser.
Impact Hub jeunes a pour objectifs d'éduquer et de former à travers des programmes concrets, ancrés dans la réalité des jeunes, de favoriser la collaboration et le dialogue interculturel, de promouvoir l'inclusion et l'égalité des genres et de réduire la fracture numérique, en dotant les jeunes de compétences modernes.
Pour l'UNFPA et les autres agences du système des nations unies, cette initiative n'est pas simplement un projet de plus. Elle est un appui au gouvernement pour renforcer les capacités des jeunes et leur participation active à la construction du pays. « Car nous croyons profondément que chaque jeune porte en lui une richesse unique et qu'il est de notre responsabilité collective de l'aider à l'exprimer pleinement pour le bien de toute la nation », a indiqué le représentant résidant de l'UNFPA au Burkina, Alain Akpadji.
Le ministre en charge de la Jeunesse Roland Somda en vert et le représentant résident pays de L'UNFPA Burkina, Alain Akpadji lors de la coupure du rubanIl a rassuré de la disponibilité de l'UNFPA à accompagner le gouvernement dans sa vision pour l'épanouissement des jeunes.
La construction de ce centre s'inscrit dans la vision du gouvernement, qui est de construire des centres d'épanouissement pour les jeunes. C'est une première étape avec celui de Ouagadougou. Dans les mois à venir, d'autres centres verront le jour dans les autres régions du pays. À travers ces centres, le gouvernement veut rapprocher les jeunes des informations réelles et justes, selon le ministre en charge de la jeunesse, Roland Somda. Cela, pour limiter l'exode rural et l'immigration.
« Le Burkina Faso est une terre de jeunesse. Plus de 77,9 % de notre population a moins de 35 ans. Ce chiffre n'est pas qu'une donnée statistique. Il est le reflet d'un potentiel exceptionnel, d'une richesse humaine inestimable et d'une promesse d'avenir. Une promesse que nous avons le devoir de transformer en réalité tangible, durable et inclusive.
Mais cette jeunesse, aussi vibrante et porteuse soit-elle, est confrontée à de multiples défis : le chômage, la précarité, le manque d'opportunités, les risques de radicalisation. Face à ces enjeux, nous n'avons pas le droit de rester spectateurs. Nous devons agir. Agir avec lucidité, avec audace, et surtout avec une vision claire », a rappelé le ministre.
Une photo de famille avec certains jeunesIl a invité les jeunes à s'approprier le centre, à développer leur génie et leurs potentialités. Ce hub est le vôtre. Faites-en un laboratoire de rêves, d'idées et d'initiatives concrètes. Qu'il soit un tremplin pour vos ambitions, un refuge pour vos projets, un foyer pour vos espoirs. Soyez les bâtisseurs du Burkina de demain, un Burkina fier, debout et tourné vers l'avenir. L'histoire ne se subit pas, elle s'écrit. Et elle vous attend. Écrivez-la avec courage, avec créativité, et avec foi en vos capacités. Car le développement de notre pays repose entre vos mains, entre vos talents, entre vos convictions », a conclu Roland Somda.
La représentante des jeunes Oriane Compaoré a traduit toute sa reconnaissance à l'endroit de l'UNFPA et de tous les acteurs qui ont contribué à la réalisation de ce projet.
« Votre investissement et vos actions permettent à davantage de jeunes d'accéder aux outils dont ils ont besoin pour s'adapter à des changements de plus en plus rapides et jouer un rôle constructif dans la société. Les jeunes peuvent faire progresser la croissance économique. Et il faut noter que l'impact positif de l'action en faveur des adolescentes et des jeunes femmes dépasse la participation au monde du travail et la productivité », a-t-elle souligné. Pour elle, ce hub est une aubaine pour les jeunes. Car c'est un cadre d'apprentissage et de perfectionnement en termes de compétence, mais aussi un cadre de réseautage.
Ce hub a été mis en œuvre par l'UNFPA avec l'appui de ses partenaires, notamment le Grand-Duché de Luxembourg, le Royaume des Pays-Bas et la coopération coréenne, à travers KOICA.
Rama Diallo
Lefaso.net
Le secrétariat général de la Commission, département central de l'institution, vfait l'objet d'une réorganisation majeure cette semaine afin de s'ouvrir davantage à l'extérieur, alors que l'UE est confrontée à des pressions commerciales, technologiques et militaires provenant de pays tiers.
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South Africa’s transition to a low-carbon economy requires substantial infrastructure investments—modernizing electricity grids, deploying renewables, and enabling new sectors such as green hydrogen. However, infrastructure alone cannot achieve a just transition. Drawing on data from the Just Energy Transition Investment Plan (JET IP) and stakeholder consultations, the brief highlights a persistent imbalance: while it is expected that infrastructure absorbs a large share of grant funding due to its capital intensity, this has come at the expense of adequate support for social dimensions such as skills development, worker protection, and economic diversification in coal-dependent regions like Mpumalanga. Only 11.21% of tracked grants have been allocated to skills development, and less than 5% of Mpumalanga’s funding needs are met—the U.S. withdrawal from the International Partners Group in 2025 further strains the financing landscape. To mitigate socio-economic disruption and promote inclusive growth, the op-ed recommends scaling TVET programs, strengthening social protection systems, and increasing local participation in renewable energy value chains. Achieving a just transition will require recalibrating financial strategies to ensure that people and communities remain at the core of South Africa’s energy future alongside essential infrastructure.
South Africa’s transition to a low-carbon economy requires substantial infrastructure investments—modernizing electricity grids, deploying renewables, and enabling new sectors such as green hydrogen. However, infrastructure alone cannot achieve a just transition. Drawing on data from the Just Energy Transition Investment Plan (JET IP) and stakeholder consultations, the brief highlights a persistent imbalance: while it is expected that infrastructure absorbs a large share of grant funding due to its capital intensity, this has come at the expense of adequate support for social dimensions such as skills development, worker protection, and economic diversification in coal-dependent regions like Mpumalanga. Only 11.21% of tracked grants have been allocated to skills development, and less than 5% of Mpumalanga’s funding needs are met—the U.S. withdrawal from the International Partners Group in 2025 further strains the financing landscape. To mitigate socio-economic disruption and promote inclusive growth, the op-ed recommends scaling TVET programs, strengthening social protection systems, and increasing local participation in renewable energy value chains. Achieving a just transition will require recalibrating financial strategies to ensure that people and communities remain at the core of South Africa’s energy future alongside essential infrastructure.
South Africa’s transition to a low-carbon economy requires substantial infrastructure investments—modernizing electricity grids, deploying renewables, and enabling new sectors such as green hydrogen. However, infrastructure alone cannot achieve a just transition. Drawing on data from the Just Energy Transition Investment Plan (JET IP) and stakeholder consultations, the brief highlights a persistent imbalance: while it is expected that infrastructure absorbs a large share of grant funding due to its capital intensity, this has come at the expense of adequate support for social dimensions such as skills development, worker protection, and economic diversification in coal-dependent regions like Mpumalanga. Only 11.21% of tracked grants have been allocated to skills development, and less than 5% of Mpumalanga’s funding needs are met—the U.S. withdrawal from the International Partners Group in 2025 further strains the financing landscape. To mitigate socio-economic disruption and promote inclusive growth, the op-ed recommends scaling TVET programs, strengthening social protection systems, and increasing local participation in renewable energy value chains. Achieving a just transition will require recalibrating financial strategies to ensure that people and communities remain at the core of South Africa’s energy future alongside essential infrastructure.
121 stagiaires issus du Centre national d'entraînement commando (CNEC) ont terminé leur formation à la qualification aux techniques commando.
Ces soldats ont passé six semaines d'épreuves intenses, mêlant discipline, endurance, rusticité et rigueur, pour se hisser au rang de formateurs commando.
La cérémonie marquant la fin du stage a été présidée par le chef d'état-major de l'armée de terre, le colonel Hamed Hermann Rouamba, le 13 mai 2025 au camp Thomas Sankara à Pô, dans la province du Nahouri, région du Centre-Sud.
À travers la formation de cette 2e promotion d'instructeurs, de moniteurs et d'aides-moniteurs du CNEC, l'armée de terre poursuit sa montée en puissance dans le contexte d'une guerre asymétrique exigeante.
Ces nouveaux cadres, désormais aptes à transmettre le savoir-faire commando, renforceront l'encadrement dans les unités et contribueront à la création de nouvelles capacités opérationnelles au sein du CNEC. Ils incarnent l'esprit du combattant commando : courage, sacrifice, initiative et résilience.
Lefaso.net
Source : page Facebook de l'Armée de terre
Depuis août 2024, Orange Burkina Faso a lancé la première édition du Challenge Barka, une compétition visant à remercier ses revendeurs à travers le pays et à les encourager à se surpasser pour satisfaire au mieux leur clientèle. Après plusieurs phases, durant lesquelles de nombreux revendeurs ont remporté des téléphones portables, des motos et des récompenses en numéraire, la phase finale s'est tenue le 8 mai 2025 à Ouagadougou. C'est Aboubacar Ouédraogo, revendeur agréé de Bobo-Dioulasso, qui a remporté la villa d'une valeur de 18 millions de FCFA.
Avec un réseau de plus de 60 000 points de vente, Orange Burkina Faso facilite l'accès à ses services mobiles pour la population. Le programme Challenge Barka a été mis en place pour reconnaître et récompenser l'importance de ces revendeurs. Au total, 35 804 revendeurs ont participé au challenge, qui a été ponctué par trois phases intermédiaires qui ont conduit à la distribution de 3 motos scooter Mio, de 291 smartphones et de 2,2 millions de FCFA en cash.
Aboubacar Ouédraogo (en vert), posant fièrement devant la villa qu'il a remportée grâce au challenge BarkaLa finale, qui a eu lieu lors d'un dîner gala agrémenté de performances artistiques, a vu la participation de nombreux revendeurs dont les cinq finalistes issus des régions du Centre, des Hauts-Bassins et du Centre-est. Benjamin Kondombo, directeur adjoint des ventes et de la distribution de Orange Burkina Faso, a souligné que cette soirée était dédiée à célébrer l'excellence des revendeurs. « Nous sommes ici pour les honorer et leur exprimer notre gratitude pour leur engagement, leur esprit d'équipe et leur résilience. Ce challenge a été conçu pour leur permettre de s'exprimer et d'innover, tout en nous engageant à offrir une expérience client inégalée », a-t-il déclaré.
Benjamin Kondombo, directeur adjoint des ventes et de la distribution de Orange Burkina FasoÀ l'issue de la compétition, Aboubacar Ouédraogo a remporté le grand prix tant convoité, la villa de 18 millions de FCFA. Marieta Badolo et Tobrazoume Bouhari, respectivement 3ᵉ et 2ᵉ, ont reçu des chèques de 2 et 5 millions de FCFA. Le grand gagnant a reçu les clés de sa villa le lendemain de la cérémonie de récompense. Située dans la cité CGE de Kouba, cette maison de type F3 a ravi Aboubacar, revendeur Orange depuis 10 ans. Il a exprimé sa joie en incitant tous les revendeurs à la persévérance.
Aboubacar Ouédraogo qui a aussi reçu un trophée des mains de la directrice générale de Orange Burkina, a exprimé sa reconnaissance au réseau mobile« Je remercie Orange Burkina Faso pour ce prix. Je me suis inscrit dès le début et j'ai remporté divers lots, dont des téléphones portables. Ce gain est un encouragement à continuer d'améliorer les services offerts à la clientèle. J'invite Orange Burkina Faso à poursuivre ce type d'initiatives pour permettre à d'autres revendeurs de bénéficier de récompenses », a-t-il déclaré.
Tobrazoume Bouhari, classé deuxième, repart avec un chèque de 5 millions de FCFA.Moré Sawadogo, représentant des distributeurs, a également exprimé sa gratitude envers Orange Burkina Faso pour cette attention portée aux revendeurs. Il a encouragé ces derniers à développer très souvent ce type d'initiative.
Moré Sawadogo, représentant des distributeurs, a témoigné sa gratitude à Orange Burkina Faso pour la reconnaissance du travail abattu par les revendeursBenjamin Kondombo a invité les partenaires et revendeurs à continuer à œuvrer pour l'expansion des points de vente et l'amélioration de la qualité des services. « Continuons à créer des points de vente multi-services de qualité et à transformer ces espaces en véritables lieux de vie communautaires pour une expérience client enrichie. Ne laissons aucun espace inexploré. Chez Orange Burkina Faso, nous croyons en votre potentiel », a-t-il exhorté.
Marieta Badolo, classée troisième, s'en sort avec un chèque de 2 millions de FCFALa deuxième édition du Challenge Barka sera lancée en juillet et mettra l'accent sur le service marchand.
Armelle Ouédraogo/Yaméogo
Lefaso.net
L'agence LONAB Ouaga 1, située dans le quartier Wemtenga, a remis une motocyclette de la marque Yamaha, type scooter Aerox, le 13 mai 2025. L'heureux gagnant a tenté sa chance à la Tombola Minute Plus / Jeu Lona Moto, lancée par la Loterie nationale burkinabè.
Barthélémy Kiendrebéogo, employé de commerce, a acheté le ticket à 300 FCFA il y a quelques semaines. Il a reçu les clés de son engin flambant neuf des mains des responsables de la LONAB, dont le directeur régional du Centre et la cheffe d'agence Ouaga 1. Cette remise s'inscrit dans le cadre des récompenses du jeu Lona Moto, une initiative promotionnelle lancée par la LONAB pour récompenser la fidélité de ses clients à travers la Tombola Minute Plus. À l'achat d'un ticket, les parieurs ont la chance d'être tirés au sort pour repartir avec des lots, de l'argent ou une moto d'une valeur de 1,5 million de FCFA.
Barthélémy Kiendrebéogo qui vient de prendre possession de sa moto« Je suis très heureux de recevoir cette motocyclette. C'est un jour de joie, car j'ai gratté un ticket à 300 FCFA et je gagne une moto. Cet engin va beaucoup m'aider dans mes activités », s'est exprimé Barthélémy Kiendrebéogo, qui a joué il y a quelques semaines.
Le directeur régional du Centre de la LONAB, Jean Yamba Zida, s'est réjoui que la chance ait souri à quelqu'un pour le ticket offrant le plus gros cadeau. Il a souhaité bon usage au gagnant et l'a exhorté à toujours porter le casque avant de prendre la route.
« Faites-en bon usage », a déclaré le directeur régional du Centre de la LONAB, Jean Yamba ZidaPour la cheffe d'agence Ouaga 1, Nicole Remene, la remise de ce lot témoigne de la confiance que les clients placent en la LONAB. « Le jeu Lona Moto est le nouveau jeu de la LONAB qui permet de gagner une moto lorsque vous grattez un ticket où il y a trois motos affichées. Il y a environ deux mois que ce jeu a été lancé. Ce jeu va encore durer longtemps, tant qu'il y aura de l'engouement », a-t-elle expliqué. Elle a invité ceux qui hésitent encore à jouer au jeu Lona Moto à tenter leur chance, car l'on gagne. « Cette moto remise aujourd'hui en est la preuve », a ajouté Nicole Remene.
La cheffe de l'agence Ouaga 1 située à Wemtenga, Nicole RemeneLes tickets du jeu Lona Moto sont disponibles dans les agences de vente privées et dans les clubs PMUB. L'objectif du produit est de permettre aux joueurs de gagner des lots en nature, car tout le monde a besoin d'une moto pour se déplacer. Cette remise est la deuxième du genre. La première a eu lieu le 16 avril dernier à Koulibila, dans la commune de Nagréongo.
Farida Thiombiano
Lefaso.net