Le Point / France

Le président François Hollande réunit ce mercredi un conseil de sécurité. Un des deux djihadistes était sous bracelet électronique et assigné à résidence.

L'ex-président a mis la pression sur François Hollande, déplorant son "action incomplète", tandis que la présidente du FN attaque gauche et droite confondues.

Selon un sondage réalisé après l'attaque du 14 juillet, 20 % des personnes interrogées font confiance au chef de l'État et 22 %, au Premier ministre.

Deux individus ont retenu un prêtre, deux sœurs et des fidèles dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, en Seine-Maritime. Les assaillants ont été abattus.

Face à la série d'attentats qui frappe la France, le premier secrétaire du PS milite pour une garde nationale et civique. Explications.

Tout citoyen qui a organisé une manifestation publique sait qu'il est impossible d'assurer une sécurité absolue. Laissez croire le contraire est pure démagogie.

Si la fronde s'est apaisée dans la rue durant la période estivale, les syndicats opposés à la loi travail promettent de revenir en force à la rentrée.

Le président et le Premier ministre ont âprement défendu Bernard Cazeneuve, accusé de vouloir étouffer la vérité concernant le dispositif de sécurité.

Le ministre de l'Intérieur a déposé une plainte contre la policière municipale qui l'accuse d'avoir fait pression pour taire des failles de sécurité.

Après le scandale de la publication des messages internes de ses responsables politiques, les démocrates ont dû faire amende honorable.

Ces élus, parmi lesquels des fondeurs du PS, dénoncent un non-respect du débat parlementaire. La droite a déjà entamé une procédure auprès des Sages.

La responsable de la vidéosurveillance accuse le ministère de l'Intérieur de pressions à propos du dispositif de sécurité du 14 juillet.

Selon Europe 1, l'interlocuteur de Sandra Bertin pour son rapport sur le dispositif du 14 Juillet n'est pas lié au cabinet du ministre de l'Intérieur.

Sur Facebook et Twitter, Sandra Bertin se révèle être une policière très engagée, n'hésitant pas à tacler le gouvernement et à soutenir Christian Estrosi.

Le 14 juillet, un attentat terroriste a provoqué la mort de 84 personnes sur la promenade des Anglais. Depuis, les critiques fusent contre le gouvernement.

Ce matin, il a défendu son ministre de l'Intérieur en s'en prenant aux méthodes d'une partie de la droite, basées sur "la calomnie et l'outrance".

Depuis l'attaque terroriste du 14 juillet dernier qui a fait 84 morts, les critiques fusent. Le Premier ministre a défendu Bernard Cazeneuve.

Selon des sources de l'Agence France-Presse, un accord entre la gauche et la droite sur une mise en place au-delà des 3 mois pourrait être trouvé.

Valls a révélé des mesures qui doivent être approuvées ce mardi : perquisitions administratives, exploitation des données des ordinateurs et des téléphones saisis...

"La guerre est là, bien présente sur notre sol, dans les mosquées, dans les rues, alimentée par les mêmes qui détestent la France", s'alarme la députée.