Rendhagyó, de nem túl hatékony módszerrel hosszabbították meg a forgalmikat Szerbiában. Ahelyett, hogy az új érvényességi időt a műanyag kártyára írták volna, adtak a regi forgalmi mellé egy igazolást. Ezen az igazoláson az szerepel, hogy a forgalmit meghosszabbították, és az igazolás alkalmas arra, hogy belföldön és külföldön is bizonyítsa ezt a tényt. Ott a szöveg nem ragozom.
Csakhogy ez nem igaz. Egészen ostoba helyzetbe kerültem emiatt a családommal. A beregsurányi határákelőn leszerelték a rendszámomat és elvették az érvényes forgalmit is. Végül a nyolchónapos gyerekemmel az éjszaka közepén ott találtam magam az ukrán határon az árokparton az áprilisi éjszakában.
Nem nagyon tudtam, hogy mit csináljak, csak azt tudtam, hogy ugyanezzel az igazolással jöttem be Magyarországra Röszkénél, és ott ugyanolyan rendőrök engedtek be, mint akik elvették a forgalmimat Beregsuránynál.
Kiderült, hogy a problémájuk a regisztrált, biztosított, érvényes müszakival rendelkező autómmal az volt, hogy a forgalmi érvényességét külön dokumentumban hosszabbították meg. Ez pedig a Bécsi egyezménnyel ellentétes. Most a szerb nagykövetségre várunk, mert magyar rendörök szerint csak trailerrel vihetem el a kocsit a pusztából.
Elég nagy a káosz a fejekben, mert még a szerb nagykövetségnél is elhangzott, hogy ez az igazolás csak belföldre jó. Ezzel a magyar hatóság is érvelt, ami ugyancsak totális abszurdum, hiszen a papíron ANGOLUL írja, hogy a KÜLFÖLDI HATÓSÁGOK SZÁMÁRA készült. Eleve milyen hülyeség ez? Meghosszabbítani a forgalmit BELFÖLDRE. Vicc. Semmi értelme. A lényeg, hogy mind, akik ilyen papírt kaptatok, ne menjetek vele külföldre, mert leszedik a rendszámotokat és hosszú napokat vesz el az életetekből mások hanyagsága.
Megdöbbentő alkotást lepleztek le Belgrádban. Nem kisebb alak kapott szobrot a szerb fővárosban mint Jurij Alekszejevics Gagarin. A szobor talapzatán azt írja: az ember, aki meghódította a világűrt. Minden kommentár felesleges.
Donald Trump sera en visite en Pologne en amont du sommet du G20 les 7 et 8 juillet à Hambourg en Allemagne. Si la classe politique se satisfait de ce coup diplomatique (qui inquiète à Bruxelles), les Polonais se montrent, eux, beaucoup plus réservés dans leur soutien au président américain.
En novembre dernier, à la veille de l'élection présidentielle aux États-Unis, le magazine catholique de gauche « Więź » constatait que « Donald Trump et la version actuelle du parti Droit et justice (PiS) en Pologne ont beaucoup en commun sur le plan idéologique. Ils sont absolument opposés au droit à l'avortement, font preuve de mépris à l'égard des femmes et tiennent un discours raciste et islamophobe . . .
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Les réticences de certains pays d’Europe Centrale vis-à-vis de l’Initiative des Trois Mers portée par le gouvernement polonais peuvent s’expliquer en partie par l’histoire de la notion de Międzymorze.
Cette expansion territoriale survient durant le règne du prince lituanien Jogaila, plus connu sous le nom de Wladislas Jagellon, qui fut roi de Pologne de 1386 à 1434. Un an auparavant, l’Union de Krewo scellait l’alliance du royaume de Pologne et du grand-duché de Lituanie. Ce nouvel état polono-lituanien s’étend « od morza do morza », c'est-à-dire « de la mer [Baltique] à la mer [Noire . . .
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La Pologne organise le sommet des "Trois Mers" cette semaine à Varsovie, une nouvelle alliance régionale rassemblant douze pays d'Europe centrale et orientale, en présence du président américain Donald Trump. Un joli coup diplomatique pour le Président Andrzej Duda, qui dit œuvrer ainsi "à l'unité et à la cohésion de l'Europe".
« L'initiative des Trois Mers est un nouveau concept pour promouvoir l'unité et la cohésion de l'Europe, c'est une idée de coopération entre douze pays situés entre l'Adriatique, la mer Baltique et la mer Noire, les trois mers d'Europe centrale », présente le site internet de la présidence polonaise . . .
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"Il faut finir par le dire, alors je le dis : le Premier ministre de la Hongrie est un fasciste". Telle est la scabreuse déclaration de Lajos Bokros, ancien ministre des Finances aujourd'hui à la tête du petit parti de droite libérale MoMa (Hongrie moderne).
Dans une lettre ouverte publiée sur sa page facebook, M. Bokros affirme que "le gouvernement a fait de l'incitation à la haine la politique officielle de l'Etat". « Le temps est venu pour tous les honnêtes citoyens de dire ce qu'il se passe ici, afin que personne à l'avenir ne puisse dire qu'il ne savait pas . . .
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Mardi 27 juin dernier, le Parlement tchèque a fait passer en force des amendements controversés à la Loi sur le séjour des étrangers, passant outre le veto du Sénat. Si la signature du président Miloš Zeman ne devrait être qu’une formalité, les sénateurs opposés annoncent déjà que la Cour constitutionnelle devra se pencher sur les amendements.
En fin de session, le Parlement tchèque tente de faire aboutir certains projets de loi, dont certains amendements à la Loi sur le séjour des étrangers. Alors que les élections approchent, il semble que l’occasion serve aux partis au pouvoir à courtiser les électeurs. Ainsi, les sociaux-démocrates, au pouvoir dans une coalition de centre-gauche, tentent de mettre de l’avant leur position ferme envers l’immigration . . .
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La visite et l’intervention télévisée de Péter Szijjártó en Biélorussie dimanche dernier témoigne de la volonté de la Hongrie de continuer sa politique de coopération avec les régimes autoritaires issus de l’ancien bloc soviétique.
Profitant de sa participation au congrès de l’Initiative Centre Européenne (CEI) qui se tenait à Minsk le 22 juin, le ministre hongrois des Affaires Etrangères Péter Szijjártó a donné le dimanche 25 à la télévision d’état biélorusse une interview qui a été remarquée par plusieurs médias hongrois, du très conservateur Héti Válasz au site d’information 444.hu, nettement ancré à gauche, mais aussi par le média gouvernemental russe Sputnik . . .
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« L’histoire doit être respectée et les faits historiques indiquent que le rôle de Miklós Horthy en tant que dirigeant a inclus des périodes positives et d’autres extrêmement négatives », a déclaré M. Szijjártó, selon un communiqué de l’agence de presse hongroise MTI.
Si Péter Szijjártó n’a pas remis en cause les propos de son Premier ministre, en estimant à son tour que Horthy a eu le grand mérite de remettre la Hongrie sur pieds après la Première Guerre mondiale, il a toutefois tenu à rappeler son rôle dans la déportation des Juifs de Hongrie.
« Il appartient à la catégorie du péché historique que, malgré son serment, Horthy n’a pas protégé les Juifs hongrois, qui faisaient partie de la nation hongroise. Il appartient également à la catégorie du péché historique que les lois discriminant les Juifs ont été introduites pendant son mandat et que des centaines de milliers de Juifs ont été victimes de l’Holocauste », a déclaré M. Szijjártó.
Le Premier ministre avait estimé le 21 juin lors de la cérémonie d’ouverture de la résidence récemment rénovée de Klebelsberg que c’était grâce à quelques hommes d’état exceptionnels, dont Miklós Horthy, que «l’histoire ne nous a pas enterrés sous le poids énorme de la La guerre mondiale perdue, les 133 jours de la Terreur rouge et le Diktat de Trianon ».
Horthy a été « un homme d’État exceptionnel », selon Viktor Orbán