You are here

Feed aggregator

Így csökkentené a rezsinket Brüsszel

Eurológus - Wed, 22/04/2015 - 13:12
Uniós eljárás indul a Gazprom ellen, amiért többek között Magyarországon is visszaél az erőfölényével.

La zone euro alourdie par la Grèce

Coulisses de Bruxelles - Wed, 22/04/2015 - 12:30

Une nouvelle inconnue s’est ajoutée à une équation grecque déjà passablement complexe : les deux partis les plus opposés à l’aide à la Grèce (le parti du Centre et les « Vrais Finlandais ») ont remporté les élections de dimanche en Finlande. Il va devenir difficile pour le gouvernement d’Alexis Tsipras d’invoquer en permanence se toute fraiche légitimité démocratique pour continuer à refuser d’établir la liste des réformes précises que ses créanciers lui réclament en échange d’un nouveau prêt de 7,2 milliards d’euros, le camp des « durs » au sein de l’Eurogroupe (les 19 ministres des Finances de la zone euro) se renforçant. Car, depuis deux mois, la Grèce « joue la montre », selon un diplomate européen, « espérant qu’on ne pourra pas faire autrement que de l’aider de peur de voir la zone euro se déliter : ont-ils raison ? Ou sommes-nous prêts à prendre le risque d’un Grexit ? C’est impossible à dire ». Quoi qu’il en soit, chaque jour qui passe rapproche dangereusement le pays d’un défaut de paiement, d’autant que l’incertitude politique grève dangereusement les espoirs de reprise économique.

Pourtant, la Grèce a pu mesurer son isolement au cours des dernières semaines : non seulement elle n’a trouvé aucun allié au sein de la zone euro, mais elle a indisposé par ses provocations (les réparations de guerre demandées à Berlin, les clins d’œil à Moscou et Pékin) et ses erreurs de manœuvre ses partenaires les mieux disposés à son égard. La zone euro « n’a jamais été aussi unie », a ainsi expliqué hier à Libération Pierre Moscovici, le commissaire chargé des affaires économiques et monétaires. Pis : elle n’a trouvé aucun allié extérieur : ni Moscou ni Pékin ne se sont montrés disposés à suppléer les Européens. Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des Finances, n’a pas hésité à se moquer de Syriza, le parti de gauche radicale qui dirige la Grèce avec la droite radicale souverainiste d’ANEL, jeudi, à Washington : « si vous trouvez quelqu’un à Moscou ou à Pékin qui est prêt à vous prêter de l’argent, nous sommes d’accord ».

Les États-Unis, qui souhaitent pour des raisons stratégiques que la Grèce reste dans l’Union européenne et dans l’euro, se sont eux-mêmes lassés des tergiversations grecques : « aidez-vous vous-mêmes, faites des réformes difficiles : collectez l’impôt, réduisez votre bureaucratie, rendez de la flexibilité au marché du travail », a lancé le président américain Barack Obama, vendredi, lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre italien Matteo Renzi. « Nous soutiendrons un degré de flexibilité sur la façon dont vous avancerez », a-t-il poursuivi, « mais vous devez montrer à vos créanciers et à ceux qui soutiennent votre système financier que vous essayez de vous aider vous-mêmes, et cela requiert le genre de décisions difficiles que Matteo commence à prendre ».

« Si le verre est à moitié vide, on pourra considérer qu’il est à moitié plein », espère un haut fonctionnaire européen : « tout le monde veut les aider. Mais pour l’instant, le verre est totalement vide et ça, c’est inacceptable ». Ce que confirme Pierre Moscovici : « les négociations avec la Grèce avancent très lentement. Ca n’a commencé à bouger que samedi, lors de la réunion du Club de Bruxelles –Commission, Banque centrale européenne, FMI- samedi à Paris ». « Ca coince sur tout : le gouvernement grec ne propose aucune réforme articulée et n’a aucune vue d’ensemble de ce qu’il faut faire », poursuit l’ancien ministre des finances français : « les Européens leur ont pourtant donné du temps et ont fait preuve de flexibilité. Le climat actuel est très très préoccupant ».

De fait, selon nos informations, ce n’est pas seulement sur la réforme des retraites, la flexibilisation du marché du travail ou l’augmentation de la TVA, c’est-à-dire les mesures d’austérité budgétaires, que les négociations bloquent : tout se passe comme si Syriza ne s’attendait pas à accéder au pouvoir et n’avait pas préparé une feuille de route précise d’une réforme d’un État qu’il juge lui-même dysfonctionnel. Ainsi, la lutte contre l’évasion et la fraude fiscale n’est pour l’instant qu’une proclamation et n’a pas été accompagnée de mesures concrètes n’a été prise, comme, par exemple, le rattachement du SDOE (l’élite des agents du fisc) au secrétaire général chargé des recettes publiques (un poste indépendant). Or, la capacité de l’État grec de lever enfin l’impôt est sans doute l’un des plus gros abcès de fixation des créanciers de la Grèce qui veulent éviter que le pays ne replonge dans ses vieux travers (la fraude fiscale est estimée entre 20 et 40 milliards d’euros par an selon les sources). « Non seulement il ne se passe rien entre la Grèce et la zone euro, mais il ne se passe rien à l’intérieur du pays », affirme un diplomate européen : « on ne sait vraiment pas ce qu’ils veulent ». Or, sans réformes précises, pas d’aide, mais aussi pas de négociation sur un allègement de la dette ou du surplus primaire budgétaire (avant charge de la dette).

Le problème est que le temps presse : selon le FMI, il faudra non seulement boucler rapidement le plan d’aide actuel, mais mettre sur les rails d’ici fin juin un troisième plan qui pourrait être compris entre 30 et 50 milliards afin de mettre le pays à l’abri des marchés jusqu’en 2030. Ce qui s’annonce difficile, car, là aussi, il faudra qu’Athènes s’engage sur des réformes structurelles précises. Si la Grèce continue à trainer des pieds, le nouveau gouvernement finlandais ne manquera pas de s’opposer à un troisième plan d’aide. Le Grexit est-il devenu inéluctable ? « Tous les scénarios sont sur la table », soupire le diplomate européen déjà cité.

N.B.: article paru dans Libération du 21 avril 2015

Categories: Union européenne

Itt az igazi probléma, nem a szerb-magyar határon

Eurológus - Wed, 22/04/2015 - 12:14
Nyolcszáz ember halála kellett ahhoz, hogy a Földközi-tengeren átkelő bevándorlókkal a legmagasabb szinten foglalkozzon az EU.

Formation : signature d’un accord pour les navigants et sédentaires

MeretMarine.com - Wed, 22/04/2015 - 09:44

Armateurs de France se félicite de la signature, le 17 avril 2015, d’un accord de branche sur la formation professionnelle des personnels navigants et sédentaires. Faisant suite au vote de la loi n° 2014-288 du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, le nouvel accord met en place le compte personnel de formation (CPF) pour les marins et les personnels à terre, en remplacement du droit individuel à la formation (DIF). Il est accompagnée d’une liste de formations maritimes ciblées par la branche et éligibles pour le salarié au titre du CPF.

Categories: Défense

Az én Leninem

GasparusMagnus Blog - Wed, 22/04/2015 - 08:30

Nagyon-nagyon szubjektív Lenin poszt a szülinapra.

Read more...

Categories: Oroszország és FÁK

Cybersécurité : "Une faille reste toujours possible"

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Wed, 22/04/2015 - 06:06
Titulaire de la chaire de cybersécurité de Saint-Cyr, Daniel Ventre revient sur l'attaque informatique subie par TV5Monde. Interview.
Categories: Défense

The EU-Africa Partnership

EEAS / Africa News - Wed, 22/04/2015 - 00:00
Categories: Africa, European Union

The EU-Africa Partnership

EEAS News - Wed, 22/04/2015 - 00:00
Categories: European Union

Urgent Appeal

German Foreign Policy (DE/FR/EN) - Wed, 22/04/2015 - 00:00
(Own report) - The Jewish Community of Thessaloniki and the "Train of Commemoration" are demanding, in a joint letter addressed to the Board of Management of the Deutsche Bahn AG (DB AG), that the receipts extorted from Greece during the anti-Semitic deportations of the "Reichsbahn" be reimbursed. In 1943, the State-owned railway company had collected through its complicity in the mass murder of more than 58,000 Jewish Greeks, more than 2 million reichsmark in ticket fares. This money found its way into the coffers of the German Ministry of Finances and has never been reimbursed. The Jewish Community of Thessaloniki and the "Train of Commemoration" have calculated the debt - including the 72 years of accumulated interests - to be more than 89 million Euros. The debtors are the DB AG and the Federal Republic of Germany. The joint open letter of the Greek-German cooperation partners accuses Berlin of withholding money obtained through crimes against humanity. The "Train of Commemoration" calls for launching an international appeal to add emphasis to their joint initiative.

NGO-Monitor: Statement on Amnesty International-UK's Rejection of a Resolution to Campaign against Antisemitism

Daled Amos - Tue, 21/04/2015 - 23:01


Press Release April 21, 2015  Contact: Yakira Heller
NGO Monitor
058-668-9603
yakira.heller@ngo-monitor.org Statement on Amnesty International-UK's Rejection of a Resolution to Campaign against Antisemitism
Jerusalem - Amnesty International-UK's (AIUK) decision to reject a campaign against antisemitism in the UK highlights the hypocrisy and moral bankruptcy of what was once a leader in human rights advocacy.

On April 19, AIUK held its 2015 Annual General Meeting, and adopted 16 of 17 motions. The only proposed resolution that was rejected called on AIUK to "Campaign against anti-Semitism in the UK," as well as "Lobby the UK Government to tackle the rise in anti-Semitic attacks in Britain" and "monitor anti-semitism closely." According to the motion, "neither AIUK nor the [Amnesty] International Secretariat have undertaken research or campaigning work specifically on anti-Semitism in the UK."

The AIUK vote also took place in the context of repeated antisemitic incidents within the organization itself -- in particular the activities of staff member Kristyan Benedict, who currently is listed as "crisis response manager." Benedict has a history of obsessive anti-Israel attacks and antisemitic outbursts. One example involved a threat of physical violence against a pro-Israel attendee of an event that Benedict chaired. A second example (November 2011), Benedict tweeted an attack on three British MPs whom he characterized as war-mongers, all of whom are Jewish. This prompted an inquiry into Amnesty by the UK All-Party Parliamentary Group against Anti-Semitism, seeking clarification on the organizations policies towards preventing antisemitism. He has investigated by AUIK for some of his rhetoric; however, serious steps have not been taken.
Amnesty-UK's refusal to condemn antisemitism also comes at a time when levels of antisemitism in Europe are at levels unparalleled since the end of World War II. Nevertheless, an Amnesty-UK official offered a misleading technical justification, claiming that "our membership decided not to pass this resolution calling for a campaign with a single focus." In fact, AIUK has initiated "single focus" campaigns frequently in the past, for instance, approving "overwhelmingly" a 2010 resolution on Sinti and Roma Communities, and stating: "Within the last year widespread discrimination and violence against Sinti and Roma communities has intensified in a number of European countries, which Amnesty International has published within respective country reports." AUIK's silence on antisemitism stands in sharp contrast.


Antisemitism in Europe. Picture is from March 2014 -- before Gaza war.
Credit: Arutz Sheva. Photo not from original press release

In this context, we note that NGO Monitor research has repeatedly shown that Amnesty International and AIUK disproportionately single out Israel for condemnations, and focus attacks on Israel while ignoring severe and systematic human rights violations in the region. Many Amnesty officials and "researchers" have a history of intense anti-Israel activisms, promoting the narrative of Palestinian victimhood and Israeli guilt, to the exclusion of universal human rights. AUIK's decision to turn its back on antisemitism is consistent with this immoral record.-----------------------------------------Anti-Israel and Antisemitic tweets by AIUK staff member, Kristyan BenedictTweet (November 19, 2012): "Louise Ellman, Robert Halfon & Luciana Berger walk into a bar...each orders a round of B52s (inspired by @KarlreMarks Bar quips) #Gaza.Tweet (November 5, 2014): Israeli regimes response to our Gaza report: Amnesty is "a propaganda tool for Hamas & other terror groups" (#JSIL?) http://t.co/gqwN9O2JrK
NGO Monitor, an independent research institution, was founded in 2002 in the wake of the World Conference against Racism in Durban, South Africa. At this conference, 1,500 NGOs formulated the "Durban Strategy" which aims to isolate Israel through measures such as boycott, divestment and sanctions (BDS) campaigns, lawfare, delegitimization and demonization.  NGO Monitor (www.ngo-monitor.org), is the leading source of expertise on the activities and funding of political advocacy NGOs involved in the Arab-Israeli conflict. NGO Monitor provides detailed and fully sourced information and analysis, promotes accountability, and supports discussion on the reports and activities of NGOs (non-governmental organizations) claiming to advance human rights and humanitarian agendas.
  # # #mail@ngo-monitor.orgwww.ngo-monitor.org

-----
If you found this post interesting or informative, please it below. Thanks!

Technorati Tag: and and .
Categories: Middle East

Pages