Des étudiants se sont rapprochés de Liberté pour exprimer leur mécontentement : “Nous étions une centaine de candidats à l’examen du baccalauréat organisé par l’UFC relevant de l’université du 8-Mai-1945 à Guelma. Nous avions suivi régulièrement des cours dispensés par des professeurs et nous avions subi cet examen les 25, 26 et 27 mai 2012 dans cette université de formation continue. Ceux qui ont été admis ont été destinataires d’un relevé de notes en septembre dès notre inscription au DEUA (diplôme des études universitaires appliquées), dont le cursus avait duré trois ans. En juin 2015, 45 d’entre nous avaient passé le DEUA droit des affaires et une quarantaine le DEUA management. Les lauréats avaient reçu en octobre les attestations provisoires de succès et les relevés de notes des trois années d’études.” Nos interlocuteurs s’étonnent du silence affiché par les responsables de l’UFC lors de leurs multiples réclamations relatives à la délivrance des diplômes sanctionnant leurs succès au baccalauréat et au DEUA. Une étudiante visiblement excédée par cette léthargie récurrente nous confie : “Nos requêtes auprès de l’administration de l’UFC de Guelma sont restées lettre morte et c’est la direction générale de cette institution domiciliée à Dély Ibrahim qui serait incriminée. De toute évidence, toutes nos démarches sont restées vaines et nous nous demandons les raisons de cette gabegie. Nous saisissons cette opportunité pour interpeller les pouvoirs publics pour être rétablis dans nos droits, car il est inadmissible d’attendre tant d’années pour recevoir nos diplômes auxquels nous avons consacré toute notre énergie.”
HAMID BAALI
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Inscrit dans notre patrimoine traditionnel, il avait fini par être oublié. Aujourd’hui, malgré le regard dépréciatif qu’elle peut susciter, cette pratique enthousiasme quelques jeunes Algériens.
Une journée et une exposition ont été organisées à la maison de la culture Aïcha-Haddad de Bordj Bou-Arréridj sur le thème du tatouage. Des conférences et des ateliers ont été animés par des spécialistes et artistes. Le tatouage est un mode d’expression du corps, connu dans les civilisations les plus anciennes. Il porte la trace d’une culture qui s’imprègne sur le corps et rend la peau médiatrice entre l’intérieur et l’extérieur de la personne tatouée. En Algérie pourtant, l’art du tatouage est mal vu par la société. D’un point de vue religieux, pas précisément dans le Coran, mais clairement dans de nombreux dits prêtés au Prophète (QSSSL), il est déconseillé, voire illicite de modifier son corps, cela pouvant être considéré comme une altération de la création divine. Au-delà, il s’agit aussi du respect des “bonnes mœurs”. Ailleurs ou en d’autres temps déjà, on a accolé aux tatoués une longue liste de stéréotypes négatifs : vie décousue, consommation de drogue ou encore délinquance. Un comble lorsqu’on sait que l’Algérie possède une véritable culture du tatouage traditionnel qui a traversé les siècles. “Elles sont âgées et affublées de tatouages sur le visage. Toutes sont nées dans les années 30, dans l’Algérie coloniale. À quoi ressemblent leurs tatouages ? Des lignes et des points. Sur les mains, les mollets, les bras, le front, le menton, parfois les joues. Quand on s’aventure à leur demander ce que cela signifie, ces vieilles femmes répondent : ‘’J’étais petite, je ne me souviens plus’’”, dira Hacène Zekhnine, un artiste plasticien et initiateur de cette journée. Pour le professeur Zahia Benabdellah du CNAPH, le tatouage est un art abstrait esthétiquement structuré, bien qu’il soit formé de points et de traits apparemment élémentaires, mais qui en réalité s’inscrivent dans un “discours plastique” sous la forme d’une combinaison d’éléments géométriques simples, organisés en espaces visuels fermés ou ouverts, jamais figuratifs. L’espace visuel fermé est constitué par l’assemblage de lignes qui déterminent des figures géométriques élémentaires : carré, rectangle, losange, et plus rarement le cercle. Chacune de ces figures géométriques porte un nom. Par exemple, le carré dans le tapis s’appelle eddar (maison), le triangle équilatéral el-foul (fève), le losange el-aïn (l’œil), le point qui est un cercle dont la surface est pleine, el-hebba (grain). L’espace visuel ouvert est constitué de lignes qui prennent toutes les directions (horizontale, verticale, diagonale…) et s’associent selon d’innombrables positions, sans former des surfaces géométriques par leurs intersections. Quelques-uns parmi eux le sont encore effectivement, d’autres ont perdu leurs sens. Certains, peu nombreux, persistent encore : formé de cinq points sur le dos de la main, il protégerait contre le mauvais œil ; sensla (chaîne), formée d’une série de losanges se touchant par un angle, protégerait contre l’adultère… La localisation du tatouage est très variable selon qu’il s’agit d’un homme ou d’une femme. Chez l’homme, sa place peut être le nez, la main ou le bras droit. Dans ce dernier cas, il est censé donner à l’homme la force dans des situations périlleuses et le protéger des dangers. Chez la femme, plusieurs parties du corps peuvent être tatouées : le front, le menton, les joues, la poitrine, le cou, les bras, les pieds, et parfois le pubis. Les femmes arabes et amazighes, plus rarement les hommes, se rendaient chez des tatoueuses. Pour marquer leur appartenance tribale ou afin d’éloigner le mauvais sort et les maladies à grand renfort de symboles, agencements de points, de lignes et de formes géométriques. Le tatouage se fait au cours d’une cérémonie familiale pour marquer certains moments privilégiés de la vie d’une femme, puberté, mariage, naissance du premier enfant… Il est réalisé par une femme, plus rarement un homme, qui ne sont pas obligatoirement des professionnels et qui sont sollicités pour leur compétence et leur connaissance de la signification des signes. Pour l’imam Mohamed Tayeb Ben Zeouaoui, cette pratique est interdite par la religion. “Il faut l’interdire”, dira-t-il.
Chabane BOUARISSA
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La commémoration de la Journée mondiale du diabète, instituée par la Fédération internationale du diabète sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé, a été marquée, hier 14 novembre à Tlemcen, par la tenue d’une journée scientifique autour de la prévention et des moyens à mettre en œuvre pour tenter de supplanter cette maladie qui affecte 45 000 malades à travers la wilaya, dont 2000 seulement bénéficient de soins gratuits. C’est au siège de la bibliothèque du centre hospitalo-universitaire que furent regroupés diabétiques, praticiens de la santé et médecins spécialisés à l’occasion de ce séminaire soutenu par la Cnas et organisé par l’association Brahimi-Mahmoud, du nom du premier fondateur de la fondation caritative des diabétiques. Il a été particulièrement question, lors de la présentation des communications, du phénomène de l’amputation des pieds qui touche un nombre de plus en plus important de diabétiques. C’est généralement suite à une insuffisance artérielle (92% des cas) ou un traumatisme (7%) qu’intervient une amputation du membre inférieur.
Les statistiques indiquent qu’après une intervention en dessous du genou, 60% des patients parviennent à se mobiliser de manière autonome et ce chiffre chute à 20% en cas d’amputation au-dessus du genou. Les communications des intervenants portent par ailleurs sur le régime alimentaire et le respect par le malade des prescriptions médicales en matière de prise des médicaments. L’association Brahimi, qui ne reçoit qu’une subvention de 100 000 DA par an de la wilaya, peine à poursuivre ses activités sociales au profit des nécessiteux. Son président indique que l’acquisition d’une seule boîte d’insuline avec 5 stylos pour les injections coûte 12 000 DA. À cela s’ajoute le fait que des centaines de malades n’ont pas encore accès à la carte Chifa de la Cnas, les obligeant à débourser régulièrement des sommes d’argent pour acquérir leurs médicaments.
B. A.
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L’objectif étant de relancer les projets d’investissement en souffrance ou récupérer les terrains. Une centaine de dossiers seront traités.
La wilaya d’Oran s’en va-t-en guerre contre les investisseurs défaillants qui n’ont pas, pour une raison ou une autre, entamé leur projet.
Dans un communiqué de presse rendu public lundi, on apprend que dans le cadre des mesures locales prises pour relancer le dossier des investissements et pour mettre en œuvre le programme présidentiel visant notamment à encourager les investissements privés, le wali d’Oran a procédé à l’installation d’une commission locale chargée du suivi et de l’évaluation des projets d’investissements dans la wilaya.
Cette commission est composée des représentants des domaines, de la direction de l’industrie et des mines, pour le côté investissements productifs, et ceux de la direction de l’urbanisme, de l’architecture et de la construction pour tout ce qui concerne les promotions immobilières.
Une commission doit investiguer sur le terrain dans des sorties d’inspection des différents projets qu’elle aura à traiter.
Elle a deux mois au plus tard pour rendre son verdict et présenter son bilan au premier responsable de la wilaya. Ainsi, tout investisseur ou promoteur immobilier qui n’a pas commencé l’exécution de son projet d’investissement sera passible des sanctions prévues par la réglementation en vigueur qui peuvent aller jusqu’à l’annulation pure et simple de l’assiette foncière. L’objectif étant de relancer les projets d’investissement en souffrance ou récupérer les terrains.
La commission aura à traiter une centaine de dossiers, dont certains pèchent par l’absence d’actes de propriété ou de permis de construire, quand les terrains ne sont pas détournés de leur vocation initiale. Ce n’est pas la première fois qu’une telle pression est mise sur ces investisseurs défaillants, puisqu’en 2015 déjà, Abdelghani Zaâlane, ancien wali d’Oran, avait menacé de reprendre les assiettes foncières non exploitées.
Saïd OUSSAD
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L’accès des municipalités de la wilaya de Tizi Ouzou à l’aide du Fonds communal commun des collectivités (FCCL) est désormais conditionné par leur participation au concours “La ville verte” du président de la République. L’annonce a été faite, hier, par le wali de Tizi Ouzou, Abdelhakim Chater, à l’occasion de la cérémonie organisée en l’honneur des cinq communes de la wilaya qui ont participé à la première édition de ce concours national.
Par la même occasion, le wali a annoncé que, désormais, 10 à 15% des enveloppes allouées aux communes au titre des PCD seront destinées au financement des projets environnementaux, de création d’espaces verts et de loisirs dans les communes
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À l’occasion du Forum de Paris sur la paix, 12 chefs d’État et de gouvernement ont répondu à l’appel de Reporters sans frontières (RSF) pour le lancement d’un processus politique sur l’information et la démocratie.
Il s’agit du Burkina Faso, du Canada, du Costa Rica, du Danemark, de la France, de la Lettonie, du Liban, de la Lituanie, de la Norvège, du Sénégal, de la Suisse et de la Tunisie. La déclaration a pour objectif de renforcer et de garantir la liberté, l’indépendance, le pluralisme et la fiabilité de l’information. RSF indique avoir ciblé particulièrement les démocraties ouvertes lesquelles, selon l’organisation, subiraient de plein fouet les bouleversements provoqués par la propagation des rumeurs, la désinformation et l’affaiblissement du journalisme, tandis que les régimes despotiques en tireraient profit.
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La voiture de sport BSC de type Laurin & Klement fête cette année ses 110 ans et rejoindra à temps l’exposition du musée Skoda à Mladá Boleslav pour cet anniversaire.
Durant ces dernières années, une équipe d’experts s’est basé sur des dessins originaux et d’autres sources historiques pour restaurer ce seul et rare exemplaire de la Laurin & Klement BSC de 1908 sur douze unités produites.
Suite à une refonte complète du châssis, du moteur, de la transmission et d’autres composants ainsi que l’installation d’un nouveau système électrique, le véhicule recevait une carrosserie fabriquée exactement selon les sources historiques.
Le bi-cylindre de 1 399 cm3 démarre de manière fiable après quelques tours de manivelle, annonce le constructeur, ajoutant que les les composants mécaniques importants de la voiture unique sont des pièces d’origine ; le moteur porte le numéro de série authentique (5635) avec lequel la voiture de sport a quitté l’usine de Mladá Boleslav en 1908.
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Après le rejet par le juge d’instruction de la demande de sa remise en liberté provisoire, la défense du comédien Kamel Bouakkaz a sollicité hier la direction de la prison d’El-Harrach pour autoriser le détenu à recevoir les membres de sa famille en parloir rapproché. Cette demande, à caractère plutôt social que judiciaire, explique son avocat, Me Debih, a pour objectif de permettre au détenu d’accueillir “librement” dans une salle, et non pas derrière le parloir traditionnel de la prison, notamment ses trois filles scolarisées, l’une au primaire et deux au moyen. L’accès à cette demande est tributaire du comportement du détenu. Sauf surprise, affirme l’avocat, M. Bouakkaz ne devrait pas être privé de ce petit “privilège”
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Comme l’année précédente, Sonelgaz a décidé de mener une campagne de sensibilisation aux dangers du monoxyde du carbone. Et visiblement, elle a trouvé le moyen le moins onéreux pour le faire. En effet, c’est dans les mosquées qu’elle mènera ce travail de sensibilisation. La campagne débutera vendredi prochain depuis la wilaya de Sétif. Un choix qui s’explique par le fait que la capitale des Hauts-Plateaux détient le sinistre record de 33 décès et de 154 autres victimes secourues, soit plus de la moitié des morts au niveau national.
Dans le bilan de la saison hivernale 2017/2018, les différents services ont enregistré 347 blessés et 65 décès.
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Le crossover Skoda qui viendra se positionner sous le nouveau Karoq avec un lancement en 2019 devrait porter la dénomination Kosmiq, nom patenté dernièrement par la marque tchèque.
L’offensive de Skoda sur le marché des crossovers/SUV se poursuivra en 2019 avec l’arrivée attendue d’un crossver qui viendra sous situer sous le Karoq et compléter ainsi la triplette du Groupe Volkswagen aux côtés des Seat Arona et Volkswagen T-Cross.
Disposant pendant longtemps d’un seul SUV, en l’occurrence le Yeti, Skoda a lancé une véritable offensive dans ce segment ces dernières années avec le Kodiaq , le Karoq ainsi que les Kodiaq GT et Kamiq destinés au marché chinois et l’arrivée de ce crossover ne ferait que renforcer sa position.
Attendu pour 2019, il devrait suivre les dénominations des modèles haut-perchés de la marque avec un « K » au début et un Q » en terminaison et l’enregistrement du nom « Kosmiq » pourrait bien lui être dédié. Le « Kosmiq » s’inspirera du concept Vision X, l’étude de style présentée au dernier Salon de Genève le préfigurant et qui permet d’attendre un coup de crayon jeune et moderne, loin de l’habituel conservatisme de Skoda.
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E.S Auto Service, distributeur de la marque BAIC, dévoile sur son site les quatre modèles assemblés au sein de son usine d’assemblage à Batna en partenariat avec le constructeur chinois.
Annoncée lors du salon de l’automobile « Autowest » de 2016, l’usine d’assemblage des véhicules BAIC Algérie, fruit d’un partenariat entre la société algérienne (75%) et le groupe chinois BAIC (25%) et située dans la localité de Lambridi dans la commune d’Oued Chaâba, a présenté ses premiers modèles lors du dernier Salon de la production nationale des Aurès. L’usine BAIC en Algérie débutera son activité avec des opérations d’assemblage et de montage pour une capacité annuelle de 6.000 voitures avant de passer à 20.000 unités puis 30.000 lors de sa troisième année d’activité.
Concernant les modèles, le site BAIC Algérie annonce la citadine D20, les SUV X25 BJ40L et un pick-up double cabine et que nous retrouverons sûrement lors du prochain Autowest d’Oran.
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La collection Renault regroupe plus de 740 véhicules témoignant de 120 ans d’histoire de la firme née en 1898 et c’est à une partie que nous avons y droit du côté de Flins.
La collection de véhicule se complète d’un fonds documentaire et événementiel riche de plusieurs milliers de mètres linéaires d’archives, de plus de 3200 miniatures et jouets, de 1900 affiches, d’objets divers ou encore de quelques 270 maquettes au 1/5ème.
Collection vivante, elle est préservée, entretenue et exploitée par le service Renault Classic, qui la met régulièrement en valeur lors d’expositions, de salons, de courses historiques, de reportages – presse ou télévisuels – et d’événements sportifs.
Une visite des lieux qui nous fera découvrir une belle brochette de voitures allant de la Renault Type A aux monoplaces en passant par la Type G (1902), la Reinastella (1929), la Dauphine (1956), la Floride (1961), mais aussi celles qu’on ne présente plus comme la Renault 4, Renault 16 et la Renault 5.
Une visite que nous partageons avec vous en quelques dizaines de photos.
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La Trust Bank Algeria annonce que les Skoda Fabia et Rapid sont désormais disponibles avec l’offre « Rahati Syarati », crédit véhicule Made In Bladi selon les Préceptes de la Chari’a et ce en partenariat avec certains agents du réseau Sovac.
Avec RAHATI SYARATI, Trust Bank Algeria finance les clients pour acquérir des véhicule made in Bladi selon les Préceptes de la Chari’a et ce jusqu’à 80% de la valeur du véhicule tout en offrant une remise de 65% sur l’assurance tout risques.
Pour rappel, la Skoda Fabia est affichée à 1.999.000 DA tandis que la Skoda Rapid l’est à 2.390.000 DA, les deux tarifs étant des prix de lancements, puisque Skoda Algérie annonce une hausse de 100.000 DA sur chaque modèle à partir du 1er janvier 2019.
Cliquer ICI pour les documents pour toute demande de financement
Pour toute simulation c’est par ICI
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Kia Motors annonce pour le salon « Los Angeles Auto Show » la présentation de la nouvelle SOUL et qui devrait prendre base sur la plate-forme du…Hyundai Kona.
L’un des tous premiers crossovers compacts urbains, puisqu’il est apparu en 2008, avant le Nissan Juke qui a fait ses débuts en 2010, le Kia Soul donne rendez-vous au prochain salon de Los Angeles, qui ouvrira ses portes à la fin de ce mois, pour dévoiler s nouvelle mouture.
Kia Motors accompagne son annonce avec un premier teaser un hayon à la ligne verticale si caractéristique de ce modèle au succès avéré sur ses terres et en Amérique du Nord. Une partie arrière qui accueillera également les feux verticaux descendant le long de la carrosserie. On notera également cet insert latéral partant des feux et portant la dénomination « Soul ».
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Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a affirmé, jeudi à Alger, que la proposition relative à la réduction de la durée de délivrance de la licence d’achat des véhicules des moudjahidine et ayants droit de 5 à 3 ans et leur importation directe par le biais de la Banque d’Algérie, « exige une adaptation juridique et des dispositions relevant des lois de finances ».
Cette licence figure parmi « les avantages » accordés aux moudjahidine et ayants droit. Elle est profitable aussi aux invalides de la guerre de libération nationale dont le taux d’invalidité atteint ou dépasse 60%. Ceux dont le taux d’invalidité est inférieur à 60 % bénéficient d’un rabais qui équivaut à leur taux d’invalidité, a-t-il précisé, ajoutant que les enfants de chouhada « bénéficient des mêmes avantages tous les 5 ans et d’une exonération des taxes douanières à l’achat d’un véhicule touristique et utilitaire ».
Rappelant, dans ce cadre, que cet avantage concernait en réalité les véhicules aménagés aux personnes invalides ou handicapées », le ministre a affirmé que son département s’employait à la mise en place d’un cadre juridique adéquat afin de consacrer le contrôle de cette procédure, la réalité sur le terrain ne reflète pas les véritables objectifs de l’établissement de cet avantage.
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Margrethe Vestager, commissaire européenne à la Concurrence, semble devenir la nouvelle terreur des grandes compagnies d’internet comme Google, Amazon et Facebook. Le ton très menaçant de son intervention lors du Web Summit qui s’est tenu la semaine dernière à Lisbonne annonce une escalade dans la guerre économique des géants de la Silicon Valley avec l’Union européenne. L’ex-ministre danoise de 50 ans s’est directement adressée aux entreprises du secteur de la technologie pour leur affirmer que «le temps est fini» pour elles pour continuer à échapper aux règles de la concurrence du monde numérique applicables au monde hors-ligne. Il convient de rappeler que la commissaire européenne à la Concurrence n’est pas à son premier coup de gueule contre les compagnies d’internet. En juillet dernier, elle a infligé à Google une amende record de 4,34 milliards d’euros, pour avoir enfreint les lois sur les monopoles en obligeant les fabricants de téléphones à installer des applications Google sur leurs terminaux. La réaction de Google ne s’est pas fait attendre. Le propriétaire du moteur de recherche le plus populaire dans le monde va désormais faire payer aux fabricants de smartphones des frais de licence pour pouvoir installer son magasin d’applications Google Play sur leurs terminaux. C’est ce qu’on appelle «répondre aux règles du fisc par celles du marketing des données digitales». Prenant la parole au Web Summit, Vestager a exposé sa vision sur le «statut économique» des données. Pour elle, les données ont toujours été présentées comme le «nouveau pétrole», mais les compagnies qui les génèrent ou les transportent ne savent toujours pas comment gérer leurs ressources digitales lorsqu’elles deviennent abondantes, et donc génératrices de beaucoup de revenus. «Lorsque les entreprises forment un cartel de données, il peut être très difficile pour quiconque de leur faire concurrence. Et sans concurrence, les consommateurs ne sont pas bien servis. L’impact sur les entreprises et la démocratie pourrait alors être désastreux», a-t-elle clamé. La réputation de Vestager a traversé l’Atlantique. Plusieurs médias US ont rapporté les propos du Président Donald Trump s’adressant au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, au dernier G7 : «Votre Tax Lady… elle déteste vraiment les USA.» La réaction de la Ccommissaire aux critiques de Trump est sans appel : «Les règles de la concurrence sont les meilleures alliées de l’innovation.»
F. F.
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