La Cour constitutionnelle tient, ce mercredi 16 novembre 2022, une audience spéciale pour rendre sa décision suite au recours formulé par le parti NFN contre le rejet de sa déclaration de candidature pour les législatives 2023.
Le Parti Nouvelle Force Nationale (NFN) a saisi par courrier en date du 11 novembre 2022, la Cour constitutionnelle après le rejet par la CENA (Commission électorale nationale autonome) de sa déclaration de candidature pour les législatives 2023. Et ce, à l'issue de l'étude au fond des dossiers de candidature.
Conformément aux dispositions des articles 81 alinéa 2 nouveau et 117 de la Constitution, la Cour constitutionnelle, présidée par Razaki Amouda Issifou, va tenir une audience spéciale, mercredi 16 novembre, pour rendre sa décision.
Akpédjé Ayosso
On vous l'avait bien dit, mon Neveu Patou dirige un pays de pagailleurs avec des pagailleurs partout ! Sinon que globalement, des funérailles législatives peu onéreuses sont en train d'être organisées pour mon Neveu Nazaire SADO, avec des plumes uniformes, dénonçant son parfait incivisme fiscal ; en tout respect des dernières volontés parlementaires, de celui qui voulait une loi contre les obsèques ruineuses, et était promoteur d'uniformes, certainement kaki, pour tous les fonctionnaires de l'Administration, comme solution contre la vie chère ...
Quant à son camarade également non- aligné du 8 janvier prochain, mon Neveu Hippolyte HAZOUMIN de Sèmè, accusé d'avoir violé sa secrétaire, il vient brillamment de démontrer devant le juge, que la consommation excessive de la came- pardon- de la canne à sucre, est mauvaise pour le raisonnement, en déclarant pour sa défense, qu'il culbutait la femme du pasteur avec l'accord du plein gré de celle -ci, depuis six mois ...
Mais vous mes Neveux et Nièces qui ricanez que l'honorable HAZOUMIN aurait dû, à défaut de lire, se faire expliquer la loi régissant les relations entre employeurs et subordonnées, vous êtes tous des pagailleurs !
Votre Oncle AGBAYA
Le ministre d'État en charge de l'économie et des finances, Romuald WADAGNI, et l'ambassadeur de France près le Bénin, Marc VIZY ont procédé à la signature lundi 14 novembre 2022, d'un accord de financement. D'un montant total de près de 2,6 milliards de FCFA (4,02 millions d'euros), l'accord vise à financer le Projet d'appui à la modernisation du système d'informatisation de la direction générale des impôts (PAMSI).
La France à travers l'Agence française de développement (AFD) soutient le Bénin pour la réalisation du Projet d'appui à la modernisation du système d'informatisation de la direction générale des impôts. Un accord de financement a été signé lundi 14 novembre 2022. D'un montant estimé à près de 2,6 milliards de francs CFA, il vise à promouvoir le recours aux nouvelles technologies afin d'accroître le recouvrement et lutter contre la corruption ; assurer le succès des réformes fiscales et de gestion axée sur les résultats et la dématérialisation de la chaîne des recettes ; et favoriser la transparence et lutter contre l'évasion fiscale, les pratiques abusives et les flux financiers illicites.
A travers le PAMSI, le gouvernement béninois entend accroitre le taux de contribution fiscale nationale de 3 à 4 points de pourcentage du PIB en 5 ans afin de se rapprocher du seuil réglementaire UEMOA de 20 %.
C'est un projet qui a pour objectif, de soutenir la dynamique résiliente de l'économie béninoise face aux chocs exogènes. Et ce, à travers la poursuite des réformes des administrations fiscales, les efforts de dématérialisation des procédures, des déclarations et des paiements et l'interconnexion des différents services des impôts et de la douane.
La cérémonie de signature de cet accord de financement a été marquée par la présence du directeur général des impôts, Nicolas YENOUSSI, du directeur général de l'AFD, Rémy RIOUX, et du directeur général de l'AFD au Bénin, Jérôme BERTRAND HARDY.
F. A. A.
La Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (Criet) a examiné ce lundi 14 novembre 2022, l'affaire de corruption dans laquelle est impliqué l'ex directeur du Fonds National de Développement Agricole (FNDA) et neuf de ses co-accusés.
Audience de courte durée dans l'après-midi de ce lundi 14 novembre 2022 à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (Criet). A la barre, Valère Houssou, l'ex directeur du Fonds National de Développement Agricole (FNDA) et neuf de ses co-accusés ont plaidé non coupables dans l'affaire de rétro commissions sur les financements du FNDA.
Selon les réquisitions du ministère public, les faits de corruption reprochés aux mis en cause sont de nature criminelle. Par conséquent, le dossier doit être en instruction. Le Tribunal a accédé à la requête du ministère public. Le dossier a été renvoyé en instruction.
Valère Houssou, l'ex directeur du Fonds National de Développement Agricole (FNDA) et neuf de ses co-accusés ont été placés en détention provisoire le 12 octobre 2022 pour des faits de « corruption dans la passation des marchés publics et abus de fonction »
M. M.
L'accident de circulation impliquant un bus de la compagnie ATT ce lundi 14 novembre 2022 à Parakou a fait trois blessés selon un communiqué.
Trois (03) blessés ont été enregistrés dans un accident de circulation au niveau du rond-point de l'aérodrome de Parakou. Il s'agit d'un bus de la compagnie ATT. Le conducteur a perdu le contrôle et défoncé un immeuble abritant des sociétés.
« Nous rappelons qu'en dehors du conducteur, il n'y avait aucun passager à bord du bus », informe le communiqué de la compagnie. La même source informe que les trois blessés sont tous pris en charge par la compagnie au CHD Borgou.
Akpédjé Ayosso
Dans une déclaration conjointe destinée aux Missions diplomatiques accréditées, au Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme (HCDH) et aux ONGs basées à Genève, quinze (15) Organisations Non Gouvernementales (ONG) ont présenté la situation sur les Droits de l'Homme en Algérie. C'est à l'issue d'une table-ronde tenue ce lundi 14 novembre 2022 à Genève.
Lors de l'Examen Périodique Universel (EPU) de l'Algérie sur la situation en matière des droits de l'Homme le 11 novembre 2022 devant le Conseil des Droits de l'Homme à Genève, la délégation algérienne conduite par le Ministre de la Justice, Abderrachid TABI a formulé un argumentaire mensonger concernant les engagements de coopération entre l'Algérie et les mécanismes de l'ONU. C'est ce qui a été relevé par 15 ONGs, des expertes en migration, des universitaires et des défenseurs des Droits de l'Homme, issus des Provinces du Sud, de Suisse, d'Italie et d'Espagne lors d'une table-ronde tenue lundi 14 novembre 2022 à Genève.
Les manquements sont portés à l'attention de la communauté internationale sur la situation des Droits de l'Homme en Algérie à travers une déclaration conjointe destinée aux Missions diplomatiques accréditées à Genève, au Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme (HCDH) et aux ONGs basées à Genève.
Les affirmations selon lesquelles l'Algérie coopère de « bonne foi » avec les mécanismes de l'ONU et s'est déclarée être prête à recevoir les titulaires de mandat pour les années 2023 et 2024 sont fausses parce que le Comité contre la Torture (CAT) avait décidé de suspendre son dialogue avec l'Algérie en raison de son refus de collaboration.
« De plus, il convient de souligner que plusieurs Rapporteurs Spéciaux n'ont pas pu effectuer de visite en Algérie, en raison des annulations de dernière minute, à savoir, le Groupe de Travail sur les Disparitions Forcées ou Involontaires (GTDFI), qui, depuis 20 ans, tente de se rendre en Algérie ou le Rapporteur Spécial sur la liberté de rassemblements pacifiques, dont la visite a été annulée sous prétexte des restrictions sanitaires liées à la Covid 19. Concernant la lutte anti-terroriste, le Ministre algérien de la Justice a affirmé qu'il n'existait pas de contradiction entre la législation nationale et internationale en la matière et que la définition du terrorisme relevait du pouvoir discrétionnaire de l'Etat.
Pour ce qui est des poursuites judiciaires envers les activistes, journalistes, influenceurs et défenseurs des Droits de l'Homme, le Ministre algérien a affirmé que les poursuites judiciaires sont, très rares et conformes au code pénal, et que la justice, étant indépendante, prend les décisions adéquates » , a indiqué la déclaration conjointe.
M. M.
LA DECLARATION CONJOINTE
Condamné à cinq (05) ans d'emprisonnement le 23 novembre 2017 à l'issue d'un procès pour une affaire de placement des fonds de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale dans une banque contre des retrocommissions, le syndicaliste Laurent Mètognon va recouvrer sa liberté le 23 novembre 2022.
Laurent Mètognon, Secrétaire Général de la FéSYNTRA-FINANCES, ancien Président du Conseil d'Administration de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) et ses co-accusés seront libérés le 23 novembre prochain après 5 années passées en prison. Ils avaient été condamnés dans une affaire de placement des fonds de la CNSS dans une banque contre des retrocommissions.
La Confédération Syndicale des Travailleurs du Bénin (CSTB) a annoncé une cérémonie pour accueillir le syndicaliste.
La cérémonie est prévue pour jeudi 24 novembre 2022 à 12 heures à la Bourse du travail à Cotonou.
M. M.
Une quarantaine de journalistes prennent part du 14 au 18 novembre 2022 à Ouagadougou (Burkina-Faso) à un atelier régional d'information et de sensibilisation sur le cadre d'actions prioritaires (CAP 2025) de la Commission de l'UEMOA.
Informer et sensibiliser les journalistes sur les chantiers de l'UEMOA pour une plus grande visibilité auprès des populations ; c'est l'objectif de l'atelier régional ouvert ce lundi 14 novembre à Ouagadougou.
Selon la directrice de la communication de l'UEMOA, Aminata Mbodj, cet atelier permet aux journalistes des huit Etats membres de mieux cerner la feuille de route de la Commission de l'UEMOA dénommée « CAP 2025 (Cadre d'actions prioritaires 2021-2025) ».
Pour Augustin Ahio Niango, secrétaire général de la Présidence de la Commission de l'UEMOA, il s'agit surtout d'échanger avec les professionnels des médias sur les récentes réalisations de l'Union qui depuis sa création (1994) « œuvre à faire de l'intégration régionale une réalité au quotidien vécue par les populations ». « Notre souhait est que par votre plume, votre voix et vos images, les populations soient davantage sensibilisées sur les questions portées par l'Union à l'horizon 2025 », a déclaré Augustin Ahio Niango.
Procédant à l'ouverture de l'atelier, il s'est réjoui de l'intérêt que les journalistes accordent aux différents chantiers de l'UEMOA.
Léonard Dossou, Coordonnateur de la Plateforme Médias UEMOA n'a pas manqué de remercier la Commission de l'UEMOA et la direction de communication de l'organisation ouest-africaine pour la tenue de cet atelier d'information et de sensibilisation sur le CAP 2025.
03 axes et 23 actions phares
Le « CAP 2025 » de la Commission de l'UEMOA, indique le directeur de la stratégie et de l'évaluation Souleymane Diarra, est une vision adossée à des objectifs stratégiques déclinés en trois (03) axes d'intervention, 23 actions phares et plus de cent vingt-huit (128) activités-clés dans plusieurs domaines (transports, agriculture, énergie, mines et hydrocarbures, convergence des politiques économiques, environnement, développement humain). L'approfondissement des bases de l'intégration économique, l'amélioration de l'efficacité des interventions sectorielles et la consolidation de la gouvernance institutionnelle sont les trois axes de la feuille de route de la Commission de l'UEMOA.
Les vingt-trois (23) actions phares de l'institution sont en cohérence avec les dispositions clés du Traité modifié de l'Union (relatives aux missions et actions de l'UEMOA) et prennent en compte les défis actuels auxquels font face la Commission et les Etats membres.
Le coût du CAP 2025 est de 112 milliards de FCFA selon Souleymane Diarra. Sa mise en œuvre est assurée à travers un dispositif de suivi et d'évaluation, coordonné par le Collège des Commissaires en fonction depuis le 10 mai 2021.
Durant les cinq (05) jours de l'atelier, les experts aborderont avec les professionnels des médias plusieurs questions. Elles sont liées à la paix et la sécurité, au système d'information agricole, à la question du genre, au nouveau cadre réglementaire sur les Partenariats Public-Privé.
Il est également prévu des communications sur la production, valorisation et vulgarisation des statistiques régionales, la mise en ligne de la plateforme de la Base de Données de la Surveillance Multilatérale (BDSM), les règles communautaires de concurrence dans l'UEMOA, le Système d'information agricole régional (Siar) etc.
Akpédjé A. Ayosso (depuis Ouagadougou)
Ca y est ! C'est fait, Antoine Odjo devient Prophète Malachie. On l'appellera ainsi désormais en vertu de son nom de baptême. Journaliste de profession, il est le fondateur du groupe de presse Mutations Afrique. C'est, à vrai dire, le couronnement du processus de la cérémonie de son ordination qui s'est déroulée à Ilara au Nigeria dimanche 13 novembre 2022. C'est dans le cadre global des activités marquant la célébration de l'édition 2022 de la convention annuelle démarrées depuis le 6 Novembre passé au sein de l'église Témidire New glory Okiki Ayo Seraphim and cherubim church Nigeria and overseas.
Annoncé depuis bien des semaines sur la toile comme un jeu, l'événement a eu lieu selon l'agenda élaboré pour la cause. Le lauréat a subi tous les rituels et à cet égard on retient celui du baptême qui a eu lieu à l'aube le dimanche. S'enchaîne dans les heures suivantes le reste. Sur ce chapitre, il y a celui dont le temps fort retient exceptionnellement l'attention. C'est l'étape de l'onction. Instant solennel de renaissance spirituelle et ses effets liberateurs, ce rituel est appuyé des cris de Gloire à Dieu : Alléluia ! scandés en chœur par la foule de fidèles. Mais avant, la prière intense avec exaltation des enseignements. En d'autres termes, notons qu'à l'aide de la Bible pointée au-dessus de la tête du lauréat entouré par une foule compacte ( le responsable au premier chef, son staff et leurs fieuls), des passages bibliques récités publiquement orchestrant un coup de projecteur sur les tenants et aboutissants de la mission.
Après quoi, place à la prêche des devanciers suivie de l'animation de la chorale de la paroisse à travers cantiques et danses de louanges et d'adoration. Ainsi investi de sa nouvelle mission par le prophète fondateur Oke Témidire New glory, ce dernier lui enjoint de s'adresser aux fidèles et hôtes de marque venus de divers coins du monde entier témoigner de leur fidélité à cette église et au-delà Dieu et à sa parole. En effet, apres s'être saisi du crachoir, Prophète Malachie s'exprimant en langues yoruba et française, en ces termes " Je vous remercie. Je viens de prendre l'onction et désormais, je suis Révérend prophète. Ma principale mission, bien vrai , c'est l'évangélisation, mais mon cheval de bataille serait contre l'ingratitude. En plus, je compte promouvoir la dîme qui est un devoir spirituel très important dans la vie du chretien. En outre, j'ai le devoir de prôner la paix, l'unité, l'harmonie, la pardon de manière à sortir les âmes égarées de l'obscurité et les porter à la lumière de Dieu. Que le Seigneur nous aide !"
En réalité, Antoine ODJO s'est découvert la mission de servir le peuple de Dieu depuis 4 ans. Mais il a passé trois bonnes années à s'interroger sur la véracité de ce qui lui arrive quitte à se décider. Dans le même temps, il était acteur de certaines pratiques divinatoires. Passée l'étape de l'interrogation, il a fini par s'en convaincre. Aujourd'hui Prophète Malachie qu'il est devenu se doit de travailler la conscience des Hommes à la recherche de la vérité et du chemin de la vérité en s'appuyant bien évidemment sur l'évangélisation.
*CC/Ishola DJIGUIN*
Le budget général de l'Etat, gestion 2023 en cours d'examen à l'Assemblée nationale, 8è législature, prévoit de nouvelles mesures fiscales pour 2023 en plus de celles reconduites au titre de la gestion 2022.
En 2023, plusieurs articles du Code général des impôts en vigueur au Bénin seront modifiés conformément à la loi de finances, gestion 2023. Les principales modifications sont liées à l'application de nouvelles mesures incitatives à la création d'entreprise nouvelle et d'incitation à la promotion de l'industrie culturelle et créative.
Les mesures fiscales d'incitation à la création d'entreprise nouvelle est l' « exonération de la formalité d'enregistrement et de droits de timbre sur les conventions de micro-crédit de valeur inférieure à 2.000.000 FCFA et sur les contrats de prestation des missions d'enseignement dans les universités publiques du Bénin et le droit de timbre sur les contrats de marchés publics ».
Il est prévu l'institution de mesures fiscales incitatives pour la promotion de l'industrie culturelle et créatives et des Mesures incitatives à la formalisation des emplois domestiques.
La loi de finances 2023 prévoit une modification du taux de prélèvement de la taxe sur les ferrailles et les sous-produits ferreux à l'exportation (TPE) ; l'institution des mesures non fiscales dans le code des douanes pour prendre en compte les dispositions des instruments internationaux et communautaires en matière d'évaluation en douane ; l'amélioration du tarif d'imposition des produits forestiers et miniers à la contribution au développement local.
Entre autres mesures prévues, il y a la suppression de la mesure d'enregistrement gratis et sans pénalité de certains actes antérieurs à la loi de finances rectificative pour la gestion 2016 et à la loi de finances rectificative pour la gestion 2020.
Les mesures fiscales exceptionnelles reconduites
La loi de finances prévoit une Réduction du taux de la Taxe de Statistique au taux de 1% sur l'importation ou la vente en République du Bénin des machines et matériels agricoles, des machines et matériels destinés à l'élevage, à l'aquaculture et à la pêche, ainsi que leurs parties, accessoires et pièces détachées en régime d'exonération.
Des exonérations des droits et taxes de douane et de la TVA sur les équipements et matériaux neufs importés en République du Bénin, ainsi que les matériaux locaux, destinés à la construction des stations-service, des stations trottoir, des cuves à pétrole et à gasoil ou destinés aux petites et moyennes entreprises ne bénéficiant pas d'un régime dérogatoire, destinés à l'installation d'unités artisanales et industrielles ; sur les autobus, autocars et minibus de toutes catégories, importés fabriqués ou vendus à l'état neuf et destinés au transport en commun en République du Bénin ; sur les récipients pour gaz comprimés ou liquéfiés, en fonte, fer ou acier et les accessoires (bruleurs, supports marmites pour les bouteilles de 3 et 6 kg, tuyaux, raccords, détendeurs, réchauds à gaz sans four et robinet-détendeurs) pour gaz domestique, importés, fabriqués ou vendus en République du Bénin sont prévues.
La loi prévoit un abattement des droits et taxes de douanes et exonération de la TVA sur les voitures de tourisme et autres véhicules automobiles conçus pour le transport des personnes autres que ceux de la position tarifaire 8702, y compris les voitures de type « break » double cabine, importées, fabriquées ou vendues à l'état neuf en République du Bénin ; l'Exonération des droits et taxes de douane et de la Taxe sur la Valeur Ajoutée sur les véhicules neufs à quatre roues importés, fabriqués ou vendus à l'état neuf en République du Bénin et destinés à la mise en place d'une flotte de taxi dans les grandes villes du Bénin.
Marc MENSAH
Le ministre d'Etat en charge de l'Economie et des Finances, Romuald Wadagni a présenté, lundi 14 novembre 2022, aux députés de la 8è législature, le projet de loi de finances, gestion 2023 au Bénin.
Le budget général de l'Etat pour la gestion 2023 est équilibré en emplois et en ressources pour un montant total de 3033,3 milliards FCFA. Cela correspond à un accroissement de 19,4% par rapport à la loi de finances 2022 et une hausse de 2,3% par rapport à la loi de finances rectificative de 2022.
Le projet de loi de finances, gestion 2023 intervient dans un contexte de forte hausse des prix des matières premières ; de reprise des tensions d'approvisionnement dues à la guerre russe en Ukraine et aux effets post- Covid 19. A cela, s'ajoute la situation sécuritaire dans la sous-région. Un ensemble de facteurs qui a amené à revoir les prévisions macroéconomiques pour 2022.
Initialement prévu à 7%, le taux de croissance s'afficherait à 6,0%. Le déficit budgétaire ressortirait à 5,9% contre 4,5% dans le scénario initial.
Le gouvernement ambitionne de renforcer les acquis du PAG 2021 – 2026 et de relever les chaines de valeur pour une croissance inclusive et durable.
Pour la gestion 2023, la prévision de dépenses d'investissements s'élève à 959,750 milliards FCFA, en hausse de 5,4% par rapport à la loi de finances rectificative 2022, et de 18,1% par rapport à la loi des finances initiale de 2022, selon la présentation du projet de loi faite aux députés de la 8è législature, lundi 14 novembre 2022, par le ministre d'Etat en charge de l'Economie et des Finances, Romuald Wadagni.
Poursuite de plusieurs chantiers à impact social
Le gouvernement a décidé de poursuivre voire accélérer en 2023, plusieurs chantiers à fort impact social sur la période 2021-2026. Il s'agit, entre autres, du Programme National intégré des cantines scolaires (PNASI) dont le taux de couverture actuel est de 75% avec 1 million d'enfants impactés ; de l'atteinte des cibles des ODD relatives à l'eau pour tous à l'horizon 2023 ; de l'accélération de la mise en œuvre du projet ARCH ; l'extension de la mesure de gratuité des frais de contribution des filles du secondaire dans 20 communes pilotes ; la prise en charge par l'Etat des cotisations sociales des travailleurs domestiques ; la mise en place d'une nouvelle politique de subventionnement des frais de raccordement des ménages au réseau électrique.
Il est noté une tendance haussière des dépenses sociales à travers le budget général de l'Etat 2023. Un renforcement des dépenses à sensibilité sociale en cohérence avec la vision annoncée par le Président de la République pour le quinquennat 2021-2026.
Marc MENSAH
Les Ecureuils juniors rallient le Caire, la capitale égyptienne, ce lundi 14 novembre 2022, dans le cadre des préparatifs de la CAN U20 2023.
La Sélection béninoise junior quitte Cotonou à bord d'un vol régulier de la compagnie Ethiopian Airlines, ce lundi 14 novembre 2022, pour rallier la capitale égyptienne le Caire.
Les Ecureuils juniors joueront deux matchs avec la sélection égyptienne les 17 et 20 novembre 2022.
Le match s'inscrit dans le cadre des préparatifs de la CAN U20 Egypte 2023.
M. M.
« Le Maroc : quel statut vis-à-vis de la France et de l'Europe ? », c'est le titre du dernier rapport de l'Institut d'études de géopolitique appliquée sur le Royaume. A travers ce rapport publié en novembre 2022, l'institut aborde plusieurs problématiques, notamment, les défis sécuritaires et migratoires du Maroc : l'approche globale et multidimensionnelle du Royaume.
Les défis sécuritaires et migratoires du Maroc, et l'approche globale et multidimensionnelle du Royaume sont au cœur du nouveau rapport de l'Institut d'études de géopolitique appliquée.
Manon Chemel et Alexandre Negrus, auteurs de ce rapport présentent le Maroc comme « l'un des pays pionniers dans la lutte antiterroriste ». Par son approche multidimensionnelle, le Royaume selon ces auteurs a su depuis 2003, innover en matière de contreterrorisme, prévention de la radicalisation et d'entrave à la menace sécuritaire en provenance de groupes comme al-Qaïda ou encore l'État islamique qui, par leurs actions, opèrent une véritable déstabilisation à la fois régionale et internationale ; entraînant l'apparition d'une menace projetée et la multiplication de pléthore de nébuleuses affiliées à ces deux groupes.
« Le terrorisme étant à la fois un phénomène mouvant et protéiforme, les services de renseignement marocains et les différents acteurs de la lutte antiterroriste ont dû réadapter à la fois leur arsenal sécuritaire, judiciaire et préventif. En cela, le Maroc a su répondre à cette menace évolutive et apporter son concours à l'échelle internationale dans la neutralisation, l'éradication de cellules terroristes et dans l'échange d'informations sur des auteurs d'attentats », ont-ils expliqué.
Ainsi, le Royaume du Maroc apparaît dès lors comme un acteur incontournable dans l'architecture de sécurité européenne.
Au sujet de l'évolution de la menace exogène et les risques pour la sécurité intérieure marocaine, Manon Chemel, Alexandre Negrus estiment que « depuis les attentats du 16 mai 2003, le Maroc a adopté une approche globale, intégrée et multidimensionnelle, dont les mots d'ordre sont la vigilance et l'anticipation. […] Deux principes qui sont aujourd'hui fondamentaux face à la menace du Sahel ».
Engagé auprès de ses partenaires de la coalition internationale contre le terrorisme après les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, le Maroc est devenu selon ces auteurs, une cible pour la « mouvance djihadiste ». En témoignent les attentats du 16 mai 2003 à Casablanca. Ces attaques pour eux, marquent en effet la fin de « l'exception marocaine » où les terroristes ne frappaient pas le Royaume. « Ces attentats ont été perçus comme une onde de choc au sein de la société marocaine et des services de sécurité marocains qui étaient parvenus jusqu'alors à contenir efficacement la menace. Depuis 2003, la lutte antiterroriste marocaine a été totalement repensée. Suite à ces attaques, le Maroc a réalisé que pour lutter contre le terrorisme et l'extrémisme religieux, il était nécessaire d'élaborer une stratégie de lutte antiterroriste et de prévention de la radicalisation multidimensionnelle et inclusive », ont-ils souligné.
Les auteurs du rapport soulignent que cela a donné naissance à une nouvelle pensée stratégique accompagnée de mesures globales appropriées au nouveau contexte sécuritaire, et aux évolutions de la menace terroriste.
Ces attaques selon eux, ont en outre reconfiguré l'arsenal sécuritaire marocain en donnant naissance à une nouvelle approche sécuritaire qui continue de montrer son efficacité à travers le nombre de cellules terroristes démantelées sur l'ensemble du territoire marocain. « Cette approche marocaine en fait un acteur stratégique et lui confère une légitimité qui se traduit notamment par la tenue à Marrakech, le 11 mai 2022, de la réunion de la coalition internationale contre Daech, qui a permis de mettre en exergue l'importance d'une approche multilatérale dans la lutte contre le terrorisme », ont soutenu Manon Chemel et Alexandre Negrus.
Ces auteurs dans leurs analyses n'ont pas occulté l'arsenal juridique adopté pour encadrer la lutte antiterroriste dans le royaume chérifien. « Il y a eu une modernisation de cet arsenal juridique avec la loi 03.03 de 2003 relative à la lutte contre le terrorisme et son financement. Des amendements ont été apportés avec la loi 86.14 sur le phénomène des combattants terroristes étrangers car il n'y avait pas que des Marocains qui étaient concernés », ont-ils indiqué.
Depuis, le Royaume est confronté à de nouveaux défis, notamment en raison du nouvel acteur que constitue l'État islamique et des différents théâtres d'opération où les groupes terroristes prolifèrent à l'instar du groupe al-Qaïda et ses affidés ainsi que des groupes affiliés à l'État islamique – notamment en provenance de la zone irako-syrienne et du Sahel.
Les questions relatives à la menace terroriste en provenance de la bande sahélo-saharienne et de la zone irako-syrienne, et la coopération policière et judiciaire entre le Maroc, l'Europe et les États africains ont été évoquées dans le rapport de l'Institut des études de géopolitique appliquée.
F. A. A.
Un incendie s'est déclaré au petit matin ce lundi 14 novembre 2022 au Plasma Bar de Godomey, commune d'Abomey-Calavi. Pas de blessés, ni de perte en vie humaine, mais d'importants dégâts matériels ont été enregistrés.
Le Bar Plasma de Godomey en feu ce lundi 14 novembre 2022. Les flammes s'étaient déclarées vers 5h du matin selon les informations. Clients et agents ont dû prendre leurs jambes au cou. Un court-circuit selon nos sources, serait à l'origine de cet incendie.
Le groupe électrogène du bar, des postes téléviseurs et plusieurs autres objets ont été endommagés. Le bâtiment ainsi que la toiture du bar n'ont pas été épargnés par l'incendie qui a duré quelques minutes.
F. A. A.
Le délai de 72 heures accordé aux partis politiques pour mettre leurs dossiers de candidature à jour à la Commission électorale nationale autonome (CENA) est très court. Le député Abdoulaye GOUNOU du parti Bloc Républicain (BR) a déploré cette situation, dimanche 13 novembre 2022, au cours de l'émission ‘'90 mn pour convaincre'' de la radio nationale. 'e député plaide pour une rallonge d'une semaine.
Conformément aux dispositions de l'article 41 de la loi N°2019-43 portant code électoral, les partis politiques à une élection au Bénin disposent d'un délai de 72 heures pour corriger les insuffisances relevées par la CENA à leurs dossiers de candidature. Ce délai selon le député Abdoulaye GOUNOU du BR est très court.
Certains candidats fait-il savoir, doivent parcourir des centaines de kilomètres avant de retirer certaines pièces. D'où la nécessité selon lui, de rallonger les 72 heures à une semaine. « 72 heures, c'est trop juste. Lors du prochain toilettage de la loi, je vais plaider pour qu'on donne une semaine franche pour ces diligences-là », a confié le député sur l'Ortb.
Pour le parlementaire, au moment où on vote une loi, on ne voit que l'aspect théorique. C'est dans la mise en application que les difficultés surgissent. « Toute loi s'améliore dès sa mise en œuvre », a-t-il expliqué.
« Par le passé, quand les partis politiques déposent leurs dossiers à la CENA et qu'il y a doublon, on est recalé. Beaucoup de partis en avaient été victimes », a-t-il rappelé. Le député a évoqué le cas du PRD et de MOELE-BENIN aux législatives de 2019. Au lieu d'annuler la candidature de certains partis pour ces erreurs, les députés avaient procédé à la correction de la loi.
Au sujet des 72 heures accordées aux partis politiques pour corriger leurs dossiers à la CENA, le député rassure de son engagement à œuvrer pour sa correction au parlement.
F. A. A.
Un accident de circulation survenu ce lundi 14 novembre 2022 au carrefour Aérodrome dans le 1er arrondissement de la ville de Parakou a fait un mort, au moins deux blessés et d'importants dégâts matériels.
Un bus de la compagnie ATT a foncé dans un immeuble qui abrite plusieurs sociétés ce lundi 14 novembre 2022.
Le bus sans passager à bord a quitté le siège de la compagnie pour le carrefour Aérodrome à 500 mètres dans le 1er arrondissement de Parakou.
Le conducteur roulait à vive à allure, selon les témoins. Il n'a pas vu venir un tricycle et a perdu le contrôle du véhicule au niveau du giratoire. Le bus qui a fini sa course dans l'immeuble. L'accident a fait un mort et plusieurs blessés graves évacués à l'hôpital. La victime est le mécanicien
qui conduisait le bus. Il était allé changer l'un des pneus du véhicule, selon les informations. D'importants dégâts matériels ont été également enregistrés.
Une équipe de sapeurs-pompiers et de policiers s'est déployée sur les lieux de l'accident pour porter secours aux victimes et retirer le bus qui s'est encastré dans l'immeuble.
M. M.
Leur participation aux législatives 2023 est encore incertaine malgré le dépôt de leur dossier de candidature à la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA). Il s'agit de trois (03) candidats du parti d'opposition Les Démocrates (LD).
Ça n'avance pas pour Justin Adjovi, Jean-Marie Allagbé et Patrick Djivo concernant l'obtention du quitus fiscal. A quelques heures de la date limite fixée à mardi 15 novembre 2022 par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) pour compléter les dossiers de candidature aux législatives du 8 janvier, les trois candidats du parti d'opposition Les Démocrates (LD) n'ont toujours pas obtenu leurs quitus fiscaux.
Pour Basile Ahossi, vice-président du parti LD, la situation est telle parce qu'« il y a toujours un petit document, un argument qui vient déranger les partis de l'opposition ».
« Le quitus fiscal pose problème parce que le Code électoral prévoit qu'on se mette en règle et que l'administration nous rappelle les choses que nous n'avions pas pu observer et en une seule fois. Alors ce sont sur ces remarques que nous traînons en ce moment », a expliqué le vice-président du parti, lundi 14 novembre 2022 sur RFI.
A en croire Basile Ahossi, le parti a entamé des négociations avec la Direction Générale des Impôts (DGI) pour l'obtention des quitus fiscaux à trois de ses candidats. Selon le point fait par l'administration des impôts, Patrick Djivo doit 800.000.000 FCFA d'impôts ; Justin Adjovi 600.000.000 FCFA et Jean-Marie Allagbé 86.000.000 FCFA. Des sommes que contestent les intéressés. Les discussions ouvertes depuis jeudi dernier entre le parti et la DGI par rapport au montant des arriérés d'impôts des trois candidats Démocrates prendront fin ce lundi 14 novembre. Mais le vice-président espère que la situation sera décantée. « Nous espérons vivement que d'ici à mardi on trouvera la formule pour les surmonter », a souhaité Basile Ahossi.
Marc MENSAH
La sécurisation des données à caractère personnel préoccupe l'Agence Nationale d'Identification des Personnes (ANIP) qui a lancé, vendredi 11 novembre 2022, une application de lutte contre la fraude en la matière.
‘'Halte fraude'', le nouveau mécanisme de lutte contre la fraude en matière d'indentification des personnes a été présenté aux forces de l'ordre, vendredi 11 novembre 2022. C'est une application mobile de diffusion des cas d'alerte à la fraude sur l'identité et l'état civil et de traitement des cas.
L'implémentation de l'application a été faite sur les tablettes, les téléphones portables et les ordinateurs des forces de l'ordre présents à la formation.
Selon Herbert Assogba, représentant du Gestionnaire Mandataire de l'Agence Nationale d'Identification des Personnes (ANIP), ‘'Halte fraude'' est « un instrument de lutte contre la fraude qui sera co-géré par les acteurs de l'administration qui interviennent dans la délivrance des actes administratifs ou judiciaires. Il met en réseau tous les Ministères pour garantir la crédibilité et la fiabilité des documents d'identification délivrés au Bénin ».
Le Projet Wuri est prêt à soutenir l'ANIP dans le développement des différents outils de lutte efficace contre les diverses transgressions de la loi et des règlements sur l'identification, a martelé Jean Aholou du Coordonnateur du Projet d'identification unique pour l'intégration régionale et l'inclusion en Afrique de l'Ouest (Wuri) au Bénin.
M. M.
La répression de l'opération port obligatoire de casque de protection pour les motocyclistes et leurs passagers démarre ce mardi 15 novembre 2022 sur toute l'étendue du territoire national. Le porte-parole de la police républicaine, Eric Orou Yérima a fait l'annonce en fin de semaine dans un entretien sur la radio nationale.
Pour compter de ce mardi 15 novembre 2022, tout motocycliste et son passager qui ne porteront pas le casque de protection se verront retirer leur engin contre le paiement de la contravention au trésor public. Le porte-parole de la police républicaine, Eric Orou Yérima a fait l'annonce en fin de semaine sur la radio nationale. Dans ses explications, l'officier de police fait observer que les périodes de fin d'année se caractérisent par une résurgence des cas d'accident de la circulation qui, in fine portent les statistiques au-delà des taux habituels.
Selon Eric Orou Yérima, ces accidents pour la plupart des cas résultent de l'imprudence des usagers de la route. « Leurs conséquences sont d'autant plus dramatiques que ceux-ci oublient ou refusent de façon délibérée de se conformer aux normes de sécurité routière notamment le port obligatoire de casque aussi bien par le conducteur que son passager, le respect de la limitation de vitesse en agglomération, le respect de la piste cyclable », a-t-il déploré.
Tout contrevenant à la nouvelle norme de circulation au Bénin se verra retirer sa moto contre le paiement d'une somme de 6.000 FCFA dans les caisses du trésor public, a averti le porte-parole de la police républicaine. Le motocycliste pourra retirer sa moto s'il revient au commissariat le même jour après le paiement, a informé le porte-parole. A défaut de s'exécuter, il devra payer les frais de fourrière qui s'élèvent à 1500 F CFA/ jour.
Les motocyclistes et passagers qui porteront mal leurs casques, ou des casques de chantier, seront punis au même titre que ceux ne l'ont pas porté, a averti le porte-parole.
F. A. A.
Le chef d'État-major général de l'armée nigérienne, général Salifou Modi était au Bénin du 10 au 12 novembre 2022. En compagnie du chef des opérations, le colonel Issa Gabriel Roger, les deux responsables de l'armée nigérienne ont échangé avec le chef d'Etat-major général de l'armée béninoise général Fructueux Gbaguidi sur la menace sécuritaire au large du fleuve Niger, des eaux qui séparent le Bénin et le Niger.
Au terme d'une visite de 48 heures du chef d'État-major général de l'armée nigérienne, général Salifou Modi au Bénin, l'armée nigérienne et béninoise vont collaborer sur trois axes : la formation des personnels au combats en zones boisées, partage d'information et intensification des opérations conjointes dans la zone du fleuve Niger longeant le Bénin et le Niger.
La zone du fleuve Niger que les deux pays ont en commun est en proie à des incursions de groupes armés. Les deux armées vont donc collaborer face à la menace sécuritaire.
Lors de son séjour les 10, 11 et 12 novembre 2022 au Bénin, le chef d'État-major général de l'armée nigérienne, général Salifou Modi a échangé avec le chef d'Etat-major général de l'armée béninoise général Fructueux Gbaguidi. C'est en compagnie du chef des opérations de l'armée nigérienne, le colonel Issa Gabriel Roger.
M. M.