Le président de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), Serge Ekué a échangé ce vendredi 29 septembre 2023, avec les professionnels des médias autour d'un déjeuner à l'hôtel Sarakawa, à Lomé. La rencontre s'est axée sur le bilan à mi-parcours de la mise en œuvre du Plan Djoliba et les activités entrant dans le cadre de la commémoration des 50 années de la BOAD.
La BOAD commémore le 14 novembre prochain, son cinquantenaire. La célébration est placée sous le signe de réflexions et d'échanges à l'aune d'un thème central intitulé : « 2023-2073 : financer le développement autrement, la BOAD du prochain cinquantenaire ». Lors d'une rencontre avec les professionnels des médias du Togo et du Bénin ce vendredi, le président de la BOAD a présenté le bilan a mi- parcours des actions principales menées dans le cadre du Plan Djoliba 2021-2025. Les activités phares prévues dans le cadre du 50 e anniversaire de l'institution commune de financement du développement des Etats de l'UEMOA ont été aussi exposées aux journalistes. Nous y reviendrons.
Akpédjé Ayosso depuis Lomé
La Journée internationale de la drogue célébrée en différé au Bénin. Les manifestations officielles ont regroupé ce jeudi 28 septembre 2023 à Djougou, les autorités politico-administratives, les élus communaux, sages et têtes couronnées, ainsi que les jeunes.
« Les gens avant tout : Mettons fin à la stigmatisation et à la discrimination, renforçons la prévention », c'est le thème retenu pour l'édition 2023 de la Journée internationale de la drogue. Il invite selon le Secrétaire permanent de la commission interministérielle de lutte contre l'abus des stupéfiants et des substances psychotropes (CILAS), la communauté internationale à désormais porter plus son attention sur les droits humains des consommateurs de drogue dont l'effectif s'accroît tous les jours, et les conséquences économico-sociales incalculables. Evoquant les actions menées par le gouvernement pour contrer l'expansion du fléau, Simon SANI a cité la mise en place d'une législation sur le contrôle des drogues et des précurseurs, et la création des instruments spécialisés tant dans la prévention que dans la répression.
Pour le secrétaire général adjoint du ministère de l'intérieur et de la sécurité publique, représentant le ministre, les consommateurs de drogue ne devraient pas être discriminés. « C'est des gens à considérer, et en qui il faut reconnaître l'humanisme », a souligné Adamou Aba BAGNAN. Il a invité les citoyens à mener le combat contre la discrimination et la stigmatisation afin que ceux-ci se sentent en confiance pour recevoir des soins appropriés.
F. A. A.
A Agbotagon, une localité de l'arrondissement de Damè, dans la commune de Toffo, une jeune femme s'est jetée dans un puits ce vendredi 29 septembre 2023.
Une femme s'est suicidée ce vendredi 29 septembre 2023 à Agbotagon, dans la commune de Toffo. La victime, la trentaine environ selon nos sources, est une veuve, mère de 05 enfants.
Au petit matin de ce vendredi 29 septembre 2023, elle aurait remis une somme de 10.000 francs CFA à ses enfants leur disant de bien se porter. Quelques heures après cette scène, c'est son corps sans vie qui a été découvert dans le puits situé derrière la maison où elle habite.
Les raisons ayant conduit cette veuve à se suicider restent pour l'heure inconnue.
F. A. A.
Après son arrestation mardi 26 septembre dernier, Boris Tougan, directeur de publication du journal l'Enquêteur sera présenté à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme ce vendredi 29 septembre 2023.
Le directeur de publication du journal l'Enquêteur devant les juges de la CRIET ce vendredi 29 septembre 2023. Il a été interpellé mardi 26 septembre dernier pour « harcèlement par le biais de communication électronique, injures publiques, diffamation ». D'autres chefs d'accusation pèseraient sur le journaliste.
Selon Bip radio, le mis en cause serait visé par plusieurs plaintes émanant des chefs d'entreprises, et autres fonctionnaires.
La ministre de l'Economie et des Finances du Maroc, Nadia Fettah, s'est entretenue, mercredi dernier, à Washington avec le Président du Groupe de la Banque mondiale (GBM), Ajay Banga, et la Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, en prélude à la tenue des assemblées annuelles de ces deux institutions internationales du 9 au 15 octobre à Marrakech.
« Marrakech est prête », a déclaré mercredi dernier, la ministre de l'Economie et des Finances du Maroc lors d'un entretien avec le Président du Groupe de la Banque mondiale (GBM), Ajay Banga, et la Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva. Nadia Fettah s'était rendue à Washington, aux sièges respectifs des deux institutions, où elle a rassuré que tout est mis en place pour la bonne tenue des Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale à Marrakech.
La ministre a annoncé aussi qu'elle a eu des discussions avec Makhtar Diop, Directeur général de la Société financière internationale (SFI), qui tiendra sa réunion annuelle à Marrakech (12-14 octobre) parallèlement à ce conclave d'envergure.
Ces entretiens ont permis de « leur présenter le programme d'urgence lancé sur Hautes instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour le relogement des sinistrés et la prise en charge des catégories les plus affectées par le séisme d'Al Haouz, ainsi que le programme ambitieux destiné à la reconstruction de cette région d'un budget prévisionnel global estimé à 120 milliards de dirhams sur une période de cinq ans », a souligné Nadia Fettah.
La ministre a déclaré que les institutions financières internationales sont « très heureuses » de tenir leurs réunions à Marrakech. « La ville est prête à accueillir dans les meilleures conditions ce grand évènement international », a-t-elle assuré.
La ministre de l'Economie et des Finances a confié que ses entretiens avec les dirigeants du FMI et de la Banque mondiale ont permis de faire le point sur les grandes thématiques, qui seront débattues à Marrakech.
« C'est un moment fondamental pour le continent africain, où les défis sont multiples, notamment le changement climatique, la sécurité alimentaire, la santé et les tensions géopolitiques », a souligné Fettah.
L'argentier national du Royaume souhaite que les Assemblées annuelles à Marrakech contribuent à apporter « de véritables solutions à la hauteur des défis de l'heure ».
Ce grand rendez-vous va rassembler environ 14 000 participants de 190 pays membres du FMI et de la Banque mondiale. Il s'agit entre autres des dirigeants du secteur public (banques centrales, ministères des finances et du développement, parlementaires) et du secteur privé, ainsi que des représentants d'organisations de la société civile et des experts issus des milieux universitaires.
C'est la première fois en 50 ans que ces Assemblées se tiennent en Afrique.
Succédant à Madagascar comme pays invité, le Bénin sera représenté au plus haut niveau et valorisé à plusieurs reprises lors de l'événement, notamment à l'occasion d'un panel dédié aux #investissements dans le pays.
Avec un taux de croissance estimé à 6,3% en 2022, l'économie du Bénin bénéficie du dynamisme de son secteur tertiaire mais aussi de grands projets de construction et d'infrastructures.
De sa position stratégique sur la côte ouest-africaine, en passant par les défis et la résilience du pays post-Covid, de nombreux enjeux de l'économie du Bénin seront abordés lors du Choiseul Africa Business Forum.
Des représentants béninois du monde public et privé seront réunis les 16 et 17 novembre pour rencontrer des pairs venus de tout le continent.
Pour s'inscrire ➡ https://lnkd.in/e4EJr-6n
#BusinessForum #Bénin #Afrique #CABF2023
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Benin will be the country of honour at the fourth Choiseul Africa Business Forum !
Succeeding Madagascar as the guest country, Benin will be represented at the highest level and promoted on several occasions during the event, including a panel dedicated to #investments in the country.
With an estimated growth rate of 6.3% in 2022, Benin's economy is benefiting from the dynamism of its tertiary sector as well as major construction and infrastructure projects.
From its strategic position on the West African coast to the challenges and resilience of the post-Covid country, many of Benin's economic issues will be discussed at the Choiseul Africa Business Forum !
Representatives from Benin's public and private sectors will have the opportunity to meet peers from across the continent on 16 and 17 November.
To sign up ➡ https://lnkd.in/efDY2w9j
#BusinessForum #Benin #Africa #CABF2023
L'installation des usines de transformation de produits agricoles se poursuit à la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ). Cette zone franche industrielle en pleine expansion abrite en son sein, deux usines de transformation de soja. Il s'agit de ‘'Benin Organics'' et de ‘'Benin Agribusiness''.
Déjà deux usines de transformation de soja à la Zone industrielle de Glo-Djigbé. La première, ‘'Benin Organics'' a été lancée depuis le 20 mars 2023. Elle procède à la transformation du soja bio, avec une capacité de production journalière estimée à 200 tonnes. La quantité de soja transformée depuis son lancement est de 14.500 tonnes.
‘'Benin Agribusiness'' quant à elle, a été lancée le 06 août 2023 pour la transformation du soja conventionnelle. Elle a une capacité de production journalière de 500 tonnes. La quantité de soja conventionnel transformée depuis son lancement, est de 13.000 tonnes.
Ces deux usines déjà opérationnelles au sein de la zone industrielle produisent l'huile de soja et le tourteau de soja.
‘'Benin Organics'' et de ‘'Benin Agribusiness'' opèrent en étroite collaboration avec les agriculteurs locaux, contribuant de manière significative, à la croissance de l'industrie agroalimentaire régionale.
Leurs installations illustrent l'engagement des autorités béninoises envers le développement de l'industrie agroalimentaire, ouvrant ainsi la voie à une production de soja biologique de haute qualité dans la région, et répondant aux aspirations des béninois.
Outre les usines de soja, la GDIZ abrite en son sein, des unités de transformation de cajou, des usines de textile et autres industries de transformation de produits agricoles.
F. A. A.
L'artiste comédien cinéaste Ibrahim Padonou alias IB est gravement malade.
Hospitalisé dans un centre de dialyse, l'artiste comédien Ibrahim Padonou alias IB a besoin d'aide. Il souffre d'un diabète et d'une insuffisance rénale selon les informations.
« Notre frère Ibrahim Padonou est gravement malade. C'est un problème d'argent. Nous vous demandons de nous aider pour qu'il ne meurt pas à cause de cette maladie. Les autorités, les ministres, si vous aimez les artistes béninois, aidez-nous », a déclaré le comédien Eléphant Mouillé dans un élément vidéo publié sur les réseaux sociaux.
L'artiste comédien cinéaste Ibrahim Padonou est également un réalisateur.
A.A.A
La 10e édition de la Coupe d'Afrique des Nations de Maracana est à la phase des quarts de finale qui se jouent ce vendredi 29 septembre 2023.
Le Bénin est bien représenté pour ces quarts de finale dans les deux catégories. Le programme des rencontres des quarts de finale :
Séniors
14h : Bénin vs USA
14h : Togo vs Canada
15h15 : Mali vs Côte-d'Ivoire
15h15 : Burkina Faso vs Cameroun
Supers Séniors
13h : Burkina Faso vs Cameroun
13h : Côte-d'Ivoire vs Togo
13h45 : Mali vs Canada
13h45 : Guinée vs Bénin
Juste après les quarts, les pays qui auront validé leurs tickets joueront les demi finales également prévues aujourd'hui.
J.S
Le ministère du Tourisme de Culture et des Arts a organisé ce jeudi 28 septembre 2023, une rencontre d'échanges avec les acteurs du secteur du tourisme et investisseurs du Borgou à la maison des Jeunes de Nikki. C'est dans le cadre de la célébration de l'édition 2023 de la Journée Mondiale du Tourisme (JMT) qui coïncide avec les manifestations officielles de la Gaani.
A Nikki, pôle touristique de taille au Bénin, l'édition 2023 de la Journée Mondiale du Tourisme a été célébrée à travers une rencontre d'échanges avec les investisseurs du Borgou. Elle a été l'occasion pour les acteurs de s'imprégner des opportunités d'investissement dans le secteur du tourisme. En organisant cette rencontre, informe le ministre Jean-Michel Abimbola, nous voulons souligner combien nos actions doivent converger vers un seul but, celui de rendre tout le Bénin accessible. Le gouvernement de Patrice Talon mène une transformation qualitative de l'ensemble de l'écosystème infrastructurel, juridique et structurel. La vision est de faire du Bénin une destination de référence en Afrique de l'Ouest, dans le respect de la préservation du patrimoine culturel et naturel ; de doubler d'ici à 2030, la contribution du tourisme au Produit Intérieur Brut national et d'atteindre la barre des 2 millions de touristes par an d'ici 2030, à travers la mise en œuvre de plusieurs projets phares. « Depuis 2016, c'est plus de 1250 milliards de FCFA qui sont injectés directement dans le développement des infrastructures touristiques d'envergure et à forte valeur ajoutée », a notifié le ministre du Tourisme de la Culture et des Arts.
D'importants projets au Nord
Dans le nord du Bénin, les projets du gouvernement béninois concernent entre autres le Parc de la Pendjari et la Route des Tata dans l'aire du Koutammakou inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO il y a quelques jours ainsi que la reconstruction du palais du roi de Nikki et l'Arène de la Gaani dont les travaux sont déjà en cours.
Pour le projet de construction de l'Arène de la Gaani, il est prévu un théâtre de verdure d'une capacité de 1500 places. « Nikki permettra désormais d'accueillir les différentes délégations venues de tous les horizons pour faire allégeance au roi : les fils et filles de la diaspora, les touristes et les curieux seront désormais plus heureux de participer à la Gaani », a ajouté le ministre Jean-Michel Abimbola.
Les acteurs à cette rencontre d'échanges ont eu droit à des présentations du Directeur général de l'Agence nationale des patrimoines touristiques (ANPT), Varissou Souayibou et de la Directrice du développement du tourisme (DDT) sur les projets de construction du Palais Baru Tem et l'arène de la Gaani. Les réformes entreprises par le gouvernement dans le cadre de la réglementation de l'exercice de l'activité touristique et hôtelière au Bénin ont été également exposées aux participants. Ces derniers ont pris l'engagement de saisir les nombreuses opportunités d'investissement dans le secteur afin d'accompagner les actions du gouvernement visant à faire du tourisme un véritable levier de développement économique du Bénin.
Ont également pris part à cette rencontre, la ministre du Numérique et de la Digitalisation Aurelie Adam Soule Zoumarou, des autorités communales, préfectorales et des responsables des agences gouvernementales chargées du développement des patrimoines et de la promotion du tourisme.
Akpédjé Ayosso
Comme les Guépards, les Amazones n'iront pas à la prochaine CAN, qui aura lieu au Maroc en 2024. Pour justifier l'élimination de son équipe après deux défaites face aux Congolaises, le sélectionneur Symphorien Tehou accuse les supporters présents au stade Général Mathieu Kérékou mardi 26 septembre dernier.
Après avoir perdu à l'aller 2-1, les Amazones auraient pu arracher la qualification au stade Général Mathieu Kérékou mardi dernier. Elles étaient bien parties avec l'ouverture matinale de Yolande Gnanmi à la 5e. Un but qui qualifiait virtuellement les dames béninoises. Mais les Amazones vont se faire renverser après une demi-heure de jeu. Merveille Kanjinga, auteur d'un doublé express (32e et 34e) a mis fin aux rêves des Béninoises.
Une énorme déception pour le sélectionneur Symphorien Tehou, qui a réagi à cette élimination de ses dames. En conférence de presse d'après-match, le coach béninois a estimé que le résultat aurait pu être différent si ses consignes étaient parvenues à sa troupe durant le match. Juste pour signifier que les bruits au stade GMK de Cotonou ont joué en défaveur de son équipe.
« Quand on a marqué le premier but, les filles ont voulu conserver cet avantage. Malgré que moi je criais pour les remettre en place, elles n'entendaient pas. Il y avait les tam-tams et tout (…) Elles n'entendaient pas. Donc, ça a fait qu'on n'a pas pu les cadrer en ce temps-là », a osé déclaré Symphorien Tehou. Une excuse qui ne saurait convaincre aucun amoureux du cuir rond.
J.S
Les Guépards auront la chance de se ressaisir après l'élimination à Maputo pour la CAN Côte d'Ivoire 2023. Lors de la prochaine trève internationale, le Bénin jouera deux matchs amicaux.
Les Guépards affronteront en premier lieu le Botswana avant Madagascar. Les deux rencontres se joueront à Casablanca au Maroc respectivement les 13 et 17 octobre 2023.
Gernot Rohr réunira déjà sa troupe à Casablanca dès le 8 octobre.
J.S
L'Institut Polytechnique de Ningbo en Chine et le Ministère béninois des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle ont procédé à la signature de deux accords de partenariat. C'est lors du Forum International sur la transformation et le développement de l'enseignement technique et professionnel dans le contexte d'un développement de haute qualité qui s'est tenu du 22 au 27 septembre 2023 en Chine.
Experts et chercheurs des secteurs de l'enseignement technique et de la formation professionnelle ont échangé sur les expériences réussies du développement de la formation professionnelle en Chine. C'est dans le cadre du Forum International sur la transformation et le développement de l'enseignement technique et professionnel dans le contexte d'un développement de haute qualité organisé du 22 au 27 septembre 2023 par l'Institut Polytechnique de Ningbo en Chine.
Le ministère béninois des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle a participé à ce rendez-vous destiné aux pays en voie de développement. Occasion pour le ministère et l'Institut Polytechnique de Ningbo de signer deux accords de coopération.
La collaboration porte sur le projet "Atelier Luban" qui va aboutir à la construction de quatre Centres d'essais et d'applications au sein du Lycée Technique d'Amitié Sino-Beninoise d'Akassato pour le développement des compétences techniques dans quatre spécialités. Il s'agit de la télécommunication et intelligence artificielle, de fabrication et maintenance industrielle, de l'électromécanique et de l'électronique.
Selon le gouvernement du Bénin, une délégation chinoise est attendue au Bénin courant novembre 2023 pour l'aménagement du site du Lycée Technique d'Amitié Sino-Béninoise d'Akassato dans le but d'abriter les futurs centres d'application.
La construction d'une plateforme pour le développement des compétences dans les métiers du textile, notamment le Métier de la Mode et du Vêtement (MMV) est également prévue. Les formateurs et les apprenants de la Chine et du Bénin pourront partager leurs expériences et renforcer leurs compétences dans le cadre de cette plateforme.
M. M.
Des individus armés ont attaqué les positions des forces armées nigériennes dans l'ouest du pays, près de la frontière avec le Mali. C'est ce qu'a rapporté la chaîne de télévision Al Jazeera citant des sources.
Selon la chaîne, les faits se sont produits près de la ville de Kandadji, dans la région de Tillabéri. Aucune information n'a été donnée sur les conséquences de l'attaque.
Fin juillet, un groupe d'officiers militaires de la Garde présidentielle nigérienne s'est mutiné et a annoncé la destitution du président Mohamed Bazoum. Le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, dirigé par le commandant de la Garde présidentielle Abdourahamane Tchiani, a été créé pour gouverner le pays. Les dirigeants de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) ont imposé de lourdes sanctions aux rebelles et ont exigé qu'ils libèrent M. Bazoum, menaçant de recourir à la force.
Après le coup d'État militaire, des combattants de l'organisation terroriste Al-Qaïda*, qui contrôle de vastes territoires au Burkina Faso et au Mali, ont commencé à se rapprocher de la frontière avec le Niger, où opère également son rival, le groupe terroriste État islamique**. Cela est dû au fait qu'après l'insurrection, le nombre d'opérations d'identification des combattants, menées par l'armée nigérienne en collaboration avec les troupes américaines et françaises, a sensiblement diminué.
TASS
La restauration de l'ordre constitutionnel au Niger préoccupe le Groupe alternatif pour le renouveau africain (GARA). L'organisation panafricaine a examiné la situation politique dans le pays, ainsi que les graves répercussions pour la sous-région, et adopté une déclaration au terme d'une session mercredi 27 septembre 2023. Adrien Poussou, membre du conseil exécutif, a exposé la position du GARA dans la crise que connait le Niger lors d'un point de presse ce jeudi 28 septembre 2023 à Cotonou. Il a encouragé les initiatives de la CEDEAO et félicité le Bénin pour ses efforts dans la recherche de solution pour la restauration de l'ordre constitutionnel au Niger.
« Si les putschistes de Niamey réussissent leur coup, s'ils destituent le président Mohamed Bazoum, s'ils le tuent, s'ils le jettent en exil ou en prison, c'en serait fini de la démocratie en Afrique. Ce serait la mort de la chose instituée, la réactualisation des putschs, la porte ouverte aux médiocraties », c'est ce qu'a laissé entendre Adrien Poussou, membre du conseil exécutif du Groupe alternatif pour le renouveau africain lors d'un point de presse ce jeudi 28 septembre 2023, déplorant la situation politique au Niger après le coup d'Etat contre le président Mohamed Bazoum. Pour lui, « c'est au Niger et maintenant que se joue l'avenir de la démocratie en Afrique ». Il a félicité le président Mohamed Bazoum pour le refus opposé aux putschistes pour la signature d'une démission qui, d'après le GARA, « scellerait la mort des institutions du Niger et donnerait « carte blanche aux militaires félons », évitant ainsi le basculement du pays vers des lendemains incertains. « La CEDEAO est en droit, la CEDEAO est en devoir, d'agir le plus vite et par tous les moyens pour le libérer des mains de ses ravisseurs et le rétablir dans ses droits », a-t-il lancé, préoccupé par la détérioration de la situation sécuritaire dans le pays.
Des attaques terroristes qui remettent en cause les capacités des putschistes
Depuis le coup d'Etat au Niger, une dizaine d'attaques de groupes armés terroristes a été enregistrée. Le nombre de victimes est estimé à plus de 70 dont environ 40 soldats nigériens. Cette situation selon le GARA, menace gravement la stabilité de la région et compromet dangereusement les actions menées contre les terroristes. Il révèle par ailleurs, « l'impuissance du général Abdourahamane Tiani devant les défis sécuritaires et son incapacité à protéger ses compatriotes », a souligné Adrien Poussou. Le putsch selon lui, a eu lieu « dans un contexte particulièrement encourageant en matière de lutte contre les djihadistes, à l'initiative du président Mohamed Bazoum, qui a fait preuve d'un réel volontarisme dans ce domaine depuis son élection ». Une politique qui avait commencé à produire des résultats positifs avec le budget de la défense qui a doublé entre 2021 et 2023 pour atteindre 668 millions d'euros, soit 13,5 % du budget national, a rappelé Adrien Poussou.
Des appels à la restauration des institutions légitimes du Niger
Le conseil exécutif du GARA a par ailleurs invité le chef de la junte, le général Abdourahamane Tiani, qu'il tient pour responsable de la situation, à entendre les appels à la raison et à favoriser la restauration des institutions légitimes du Niger. Il a exhorté pour ce faire, toutes les parties prenantes du dossier nigérien à contribuer activement à la mise en œuvre de la Feuille de route adoptée par la CEDEAO lors du sommet extraordinaire du 30 juillet 2023. L'organisation a encouragé les autres membres de la communauté internationale à intensifier les pressions sur les membres de la junte en vue d'une issue rapide de la crise.
Le conseil exécutif dit regretter le départ de la France au Niger, compte tenu de son « apport inestimable » dans la lutte contre les groupes armés terroristes dans le Sahel. Il a dénoncé ensuite « les néopanafricains du numérique, ces anti-impérialistes autoproclamés au discours virulent et clivant qui tentent, avec un certain succès, d'offrir comme seule alternative à la jeunesse montante, le mirage des « nouveaux partenaires », qui n'est rien d'autre que de l'affairisme mâtiné d'autoritarisme et de militarisme ».
A l'entame, Adrien Poussou a félicité le gouvernement du Bénin pour son « adhésion pleine et entière » aux résolutions de la CEDEAO, et ses efforts pour leur stricte application ; et ce, malgré les nombreux défis d'ordre intérieur qu'elles impliquent. Il a également exprimé sa reconnaissance au président Patrice Talon pour l'intérêt particulier qu'il porte à la situation au Niger, et son implication personnelle dans la recherche de solution.
F. A. A.
Le Chef du gouvernement du Maroc Aziz Akhannouch a ouvert officiellement, ce jeudi à Marrakech, la 2ème conférence africaine pour les réductions des risques en santé. La rencontre est placée sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI a rassemblé des participants de 84 délégations dont 300 experts internationaux.
La 2ème conférence africaine sur la réduction des risques en santé est officiellement ouverte, ce jeudi 28 septembre, à Marrakech, sous le thème « Eau, environnement et sécurité alimentaire ». Dans son message aux participants, chef de gouvernement du Maroc a fait le diagnostic des défis à relever.
« L'eau, l'environnement et la sécurité alimentaire sont des défis majeurs et de la plus haute importance pour notre pays, mais aussi pour notre continent et pour le monde entier. », a déclaré le Chef de gouvernement du Maroc, dans son discours d'ouverture officielle de la rencontre.
Pour Aziz Akhannouch, « les avancées majeures dans le domaine de la santé, et qui ont été accomplies sous les Hautes Orientations Royales notamment durant la période COVID 19, ont eu un impact extrêmement positif sur l'ensemble du système sanitaire au Maroc ». Et c'est pourquoi, « Il est crucial de recourir à des stratégies homogènes, urgentes et efficaces pour l'environnement », recommande le chef de l'Exécutif.
Par rapport à l'orientation du Souverain pour le continent, M. Akhannouch rappelle que « La Vision Royale va dans le sens d'une Afrique unie, homogène et prospère ».
Le Chef du gouvernement a déploré que le manque d'eau menace plus d'un milliard de personnes en Afrique et plus du tiers de la population planétaire ». « Nous devons évoluer vers un monde où l'eau serait accessible à tout le monde », a-t-il souligné. «
Le numéro 1 du gouvernement reconnait que la situation de l'eau au Maroc est alarmante et il en est conscient. « Nous vivons un stress hydrique sans précédent au Maroc. Cependant, et malgré cet état de fait aggravé par l'inflation et la guerre en Ukraine, nous ne tarissons d'aucun effort pour que les citoyens marocains n'en subissent pas les conséquences », souligne-t-il.
M. Akhannouch explique que la souveraineté alimentaire se doit d'être durable et dépend intimement de la situation hydrique de notre pays ».
Par rapport au mesures prises, le Chef du gouvernement précise : « Nous continuons à élaborer des plans qui puissent atténuer la pression sur les ressources hydriques et pour optimiser l'accès à l'eau ».
Il rappelle les actions entreprises dans le pays dont entre autres l'approvisionnement des périmètres irrigués en eau et la diminution de la pression des ressources hydriques. « Ce qui va permettre d'améliorer la souveraineté alimentaire de notre pays », a-t-il indiqué.
Ces efforts permettront, d'après lui, de « soutenir cette souveraineté alimentaire de notre pays et assurer l'approvisionnement du marché national en matières alimentaires de base de façon régulière outre la duplication du PIB en plus de l'amélioration des conditions de vie des agriculteurs ».
« Pour veiller à la santé des citoyens et la sécurité des produits alimentaires, il importe de rappeler que notre pays veille à travers des établissements notamment l'Onssa, à contrôler les produits alimentaires locaux ou importés selon des procédures strictes », a rappelé le Chef du gouvernement.
« Pour faire face aux défis dans la région, il faut conjuguer les efforts et le travail en commun pour consolider la sécurité sanitaire voire environnementale en Afrique », préconise-t-il.
« Le Maroc a, conformément à la vision éclairée du Souverain, lancé une initiative ambitieuse visant à faire de l'Afrique un continent intégré avec une vision unifiée et commune voire solidaire face aux crises. Ce qui est conforme aux efforts de l'OMS et aux recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l'eau », a conclu le Chef du gouvernement marocain.
ARISE Gabon revient ci-dessous sur les grandes étapes qui ont guidé son partenariat avec la République gabonaise. Sollicité par l'État gabonais en 2010, ARISE Gabon est fier d'apporter depuis treize ans toute sa capacité d'investissement internationale, son expérience et savoir-faire reconnu internationalement pour créer des filières industrielles d'excellence et des infrastructures de standard international.
Nous défendons un modèle de partenariat public-privé. Tous les actifs d'ARISE Gabon sont co- détenus par l'État gabonais, bien que celui-ci n'a pas apporté de capital, à l'exception de GSEZ.
1-Les propriétaires d'ARISE Gabon : Arise Gabon est une société indirectement détenue et financée par, respectivement :
– Africa Finance Corporation, institution financière multilatérale, créée par des États souverains africains dont le Gabon.
– Afreximbank, une banque africaine de développement.
– FEDA, un fonds à impact panafricain détenu par Afrexim Bank.
– OLAM est précédemment sortie du capital d'Arise et n'a plus de lien de capital avec ARISE Gabon, ni GSEZ.
2-La création de GSEZ, une référence mondiale : co-détenue par la Caisse des Dépôts et Consignations du Gabon représentant l'État gabonais à hauteur de 38,5 % et ARISE IIP, un développeur d'infrastructures panafricain opérant dans 11 pays et qui détient 61,5% des parts de GSEZ.
GSEZ est devenue une référence mondiale de développement industriel et économique en Afrique et l'outil le plus efficace de la diversification économique souhaitée par le Gabon.
Parmi les 237 zones économiques spéciales (ZES) en Afrique, la plupart ne parviennent pas à attirer des investissements directs étrangers (IDE), à créer de la richesse ou à créer des emplois de manière significative. GSEZ a non seulement permis au Gabon de passer du statut d'un exportateur dépendant du pétrole et des grumes à celui du premier producteur de feuilles de placages en Afrique et second au monde.
En 2022, GSEZ a permis en 2022 de transformer 1153 599 m3 de bois et d'exporter 622 026 m3 de bois transformé, qui représentent 60% des exportations du Gabon en 2022.
Entre 2017 et 2023 les taxes payées à l'État s'élèvent à environ :
.54 milliards de FCFA (retenue à la source, TVA, CSS, patente, taxes forestières, imports sur les sociétés).
.70 milliards de FCFA (taxes employés/employeur).
En 2023, GSEZ a pu faire rayonner le Gabon à l'international, notamment en ouvrant la première marque de mobilier 100% Made in Gabon, Akiba, avec une première boutique aux États Unis d'Amérique, à Miami.
.Un engagement au service du développement des compétences et de l'emploi local : conformément à l'engagement pris auprès des pouvoirs publics gabonais, ARISE Gabon s'est engagé de longue date à promouvoir le maximum d'emplois locaux dans ses activités. Parmi les employés d'ARISE Gabon, environ 87% sont des citoyens gabonais. En 2020, la GSEZ représentait 16% des emplois privés formels et était le premier employeur privé du pays.
.Une démarche d'amélioration continue pour promouvoir un environnement de travail confortable et respectueux des employés de GSEZ : Forte de 430 employés administratifs, GSEZ est l'organe d'aménagement, de gestion et de développement de la ZIS de Nkok. GSEZ assiste et collabore étroitement avec l'Autorité Administrative ZIS de Nkok (AAN), autorité régalienne chargée de veiller au respect et à l'application des lois gabonaises au sein de la ZIS. Dans ce cadre, les employés évoluant sur la zone demeurent sous l'entière responsabilité des entreprises présentes dans la zone qui les emploient, et ce, de façon totalement indépendante.
Engagé dans une démarche d'amélioration continue pour promouvoir un environnement d'affaires durable et responsable pour les employés, la GSEZ a multiplié les initiatives ces dernières années :
1-Réalisation d'audits des conditions de travail en continu pour tous les investisseurs présents dans la zone.
2-Présence d'inspecteurs du travail gabonais de façon permanente au sein du guichet unique de GSEZ dès 2020.
3-Mise en conformité avec les standards internationaux de l'International Finance Corporation (IFC).
4-Mise en place d'un code de conduite ESG pour tous les opérateurs industriels évoluant à GSEZ (environnementaux, sociaux et de gouvernance) en 2021.
5-Déploiement de la cellule “SAFER” en 2021, une cellule consultative pour accompagner les industriels de la zone dans l'amélioration des conditions de qualité, d'hygiène, de sécurité et d'environnement (QHSE) et la mise en place des principes environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leurs modèles commerciaux.
.Une contribution unique aux recettes fiscales de l'Etat gabonais : Au cours des cinq dernières années, la GSEZ a généré plus de 150 milliards FCFA de recettes fiscales au profit de la République gabonaise.
Construction du port international d'Owendo (NOIP) : inauguré en 2017, le nouveau port international d'Owendo est le fruit d'un partenariat public privé entre l'État, gabonais, et ARISE P&L conçu pour étendre considérablement la capacité d'importation et d'exportation du Gabon.
Les actionnaires du NOIP sont :
ARISE P&L (79.61%) Détenu majoritairement par AP Moller Capital (APMC), un fonds d'infrastructure basé en Norvège principalement axé sur l'Afrique avec un 1 milliard d'USD d'actifs sous gestion.
La Caisse des Dépôts et Consignations du Gabon (CDC) (10.39%)
STOA Infra & Energy (10%), un véhicule d'investissement en infrastructure de 600 millions d'EUR soutenu par la Caisse des Dépôts et Consignations française et l'Agence Française de Développement (AFD).
Pendant près de 20 ans, les négociations menées pour la création d'un nouveau terminal ont été stériles et aucun opérateur n'a exprimé sa volonté d'investir dans ce sens a des termes qui convenaient alors au Gabon.
À la différence de la majorité des concessions portuaires à travers le continent, le NOIP n'a pas été construit par le gouvernement gabonais mais intégralement construit par ARISE soit un CAPEX total de 276 milliards de FCA.
4-Réhabilitation du port minéralier d'Owendo (OMP) : un partenariat public-privé entre l'État gabonais et ARISE P&L.
Les actionnaires de l'OMP sont :
– ARISE P&L (79,61%) détenu majoritairement par -AP Moller Capital (APMC), un fonds d'infrastructure norvégien principalement axé sur l'Afrique avec un 1 milliard d'USD d'actifs sous gestion.
– Meridiam (25%) un fonds d'infrastructure durable basé en France avec plus de 18 milliards d'USD d'actifs sous gestion.
– La Caisse des Dépôts et Consignations du Gabon (CDC) (10,39%).
L'OMP a été acquis pour 22 milliards de FCFA et Arise a procédé à d'importants travaux de transformation, avec un CAPEX total de 250 milliards de FCFA pendant 3 ans qui ont permis de faire fonctionner désormais 42 locomotives et 1400 wagons. L'OMP a permis de faire passer la capacité de traitement de 1,7 millions de tonnes en 2017 a 6,25 millions de tonnes en 2022.
5-Aéroport international de Libreville : co-détenu par la Caisse des Dépôts et Consignations du Gabon & l'État gabonais (38,5%) et ARISE IS (61,5%) depuis 2018, l'aéroport international de Libreville est une interface clé du trafic aérien en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale avec 15 compagnies aériennes desservant 24 destinations. À la différence de la précédente concession (s'étalant sur une durée de 30 ans) où le concessionnaire a géré une infrastructure construite par l'État gabonais, GSEZ a obtenu l'attribution de la concession du nouvel aéroport de Libreville en s'engageant à construire sur fonds propres un nouvel outil aéroportuaire. À date, les études environnementales et sociales sont finalisées, le plan de réinstallation des populations impactées par le projet est finalisé à 97%, le projet de voie d'accès et de jonction au nouvel aéroport est finalisé à 60%, les travaux de réinstallations des équipements et infrastructures de l'ASECNA (Agence de la sécurité de la navigation en Afrique et à Madagascar) ont avancé à 50% et les travaux de terrassement puis de fondations sont en cours.
Dans ce contexte inédit au Gabon, toutes les équipes d'ARISE Gabon continueront de s'investir dans leurs actions au service du développement et de la diversification économique du Gabon.
Direction d'ARISE Gabon
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Ce n'est plus un secret, dans notre monde trépidant d'aujourd'hui, le stress est devenu un compagnon indésirable dans le quotidien. Qu'il résulte des pressions professionnelles, des responsabilités familiales ou des défis personnels, des conséquences dévastatrices sur le bien-être physique et mental seront toujours au rendez-vous. D'ailleurs, même dans le milieu du divertissement, ce problème peut rester omniprésent.
Toutefois, que faire face à tous ces dangers ? Y a-t-il des méthodes d'auto-assistance en ligne accessibles pour accompagner les personnes qui y sont constamment exposées ? Éléments de réponse.
Les jeux d'argent virtuels et le stress
Le monde des casinos en ligne a connu une croissance spectaculaire au cours des dernières années, offrant aux amateurs de jeux d'argent virtuels une large panoplie d'avantages. En effet, cet univers propose une disponibilité sans précédente à toute heure, peu importe le jour. Comme celles que l'on le voit sur le site lucky7bonus, la majorité des plateformes permettent aux parieurs d'explorer et de s'amuser sur une multitude de parties selon leurs préférences.
Néanmoins, ce qui semblait être une source de divertissement innocente peut rapidement devenir un générateur de stress préoccupant. En effet, aussi attrayants qu'ils soient, les e-casinos constituent pour plusieurs joueurs une atmosphère relativement anxiogène où de nombreux risques et dangers planent.
Des risques financiers élevés
Avec un casino en ligne, il est plus facile de dépenser plus que prévu. En effet, les interfaces, les ambiances sonores et quasiment tout ce qui touche les plateformes de jeux d'argent ont été conçus pour captiver et plonger les parieurs en totale immersion. En cas d'insuccès, certains utilisateurs sont susceptibles d'enchainer les parties et d'accumuler les pertes. En plus d'accroitre les éventuels comportements d'addiction, ces aspects augmentent les risques financiers qui peuvent conduire à des faillites et des dettes importantes.
Même en cas de gains, ces dangers ne sont pas éliminés. Justement, dans ces circonstances, les joueurs peuvent être motivés et poussés à augmenter les enjeux et réaliser des mises plus élevées dans l'espoir d'amasser encore plus d'argent. Toutefois, les probabilités de pertes seront aussi importantes. La prise de conscience même de ces risques est déjà un précurseur qui peut conduire les utilisateurs vers un état de stress.
Une pression sociale
Dans un monde où tout est documenté, les réseaux sociaux, les serveurs et les plateformes numériques constituent une galerie au sein de laquelle sont exposés différents résultats et performances. Les jeux d'argent virtuels n'échappent pas à cette règle. Cette diffusion permanente poussera alors les parieurs à comparer leurs réalisations à celles des autres personnes de leurs communautés ou à ce qu'ils voient sur la toile. Au lieu de se divertir comme il se doit, ils stresseront et se demanderont s'ils pourraient atteindre le niveau des autres utilisateurs.
Une incertitude par rapport à la sécurité des données et de l'équité des jeux
Se divertir avec des jeux de casinos en ligne revient à confier son argent à des inconnus. Malgré l'existence des systèmes de contrôle des informations importantes, des données bancaires et personnelles, les doutes par rapport à leur sécurité résident et continuent de préoccuper les utilisateurs. Précisément, le développement des technologies sollicitées va indéniablement de pair avec l'évolution des compétences des hackers. Rien que le fait de penser aux conséquences que pourrait engendrer un éventuel piratage constitue déjà une source de stress inévitable.
Malgré les diverses certifications, la méfiance par rapport à l'équité des jeux proposés par les plateformes de casinos en ligne est toujours présente. Cette remise en question résulte notamment des nombreux témoignages qui émergent constamment d'internet. Quand d'autres révèlent que les publicités diffusées sont mensongères, certains condamnent les bonus comme des cadeaux empoisonnés, tout cela sans mentionner les déclarations des joueurs qui se disent être victimes d'arnaques et de parties truquées.
Les différentes méthodes d'auto-assistance en ligne
Bien que les états de stress et d'anxiété font dorénavant partie intégrante des parties dans les casinos virtuels, il ne s'agit pas d'une finalité en soi. Pour y remédier, il existe différentes méthodes d'auto-assistance accessibles en ligne.
La prise de conscience
La première étape vers l'auto-assistance est sans aucun doute la réalisation des signes que l'utilisateur se trouve en état de stress. Ce dernier devra alors être attentif aux indicateurs tels que l'augmentation des fréquences de jeux, la préoccupation constante à l'égard de la partie ou des difficultés financières en vue des éventuelles pertes avant même de commencer. Cette autoévaluation est primordiale afin de comprendre son propre comportement et de reconnaître à quel moment une intervention est nécessaire. Ce n'est qu'après cette prise de conscience que le joueur pourra explorer les différentes options dont il dispose pour maintenir un équilibre sain tout en profitant des plateformes de casinos en ligne.
Le changement de plateforme
Beaucoup l'ignorent encore, mais un casino en ligne de confiance présente des certifications reconnues comme gage de transparence, de sécurité et surtout de jeu responsable. D'ailleurs, les autorités françaises disposent également d'une liste d'établissements règlementés. En cas de problème ou d'inconvenance, le parieur pourra alors demander leur assistance et amortir les éventuelles pertes tout en réduisant le niveau de stress et ses dangers. Si la plateforme actuelle ne remplit pas ces critères, il vaut mieux s'orienter vers d'autres choix.
Les sites web d'auto-assistance
Pour face aux dangers omnipotents dans les casinos en ligne, de nombreux sites web proposent des informations approfondies sur la gestion du stress. Ils se chargent de fournir des conseils pratiques aux parieurs. Cela peut concerner entre autres l'établissement du budget, la reconnaissance des signes de dépendance, ainsi que des liens vers des lignes d'assistance.
Par ailleurs, les forums de soutien peuvent constituer une approche intéressante. En effet, ils offrent un espace où les joueurs peuvent partager leurs expériences, leurs défis et leurs réussites. Ces communautés virtuelles permettent aux individus de se connecter avec d'autres qui font face à des situations similaires, créant ainsi une solide base de soutien mutuel. Néanmoins, l'accompagnement par des professionnels reste toujours préconisé.
Après un très bel été, la compagnie aérienne annonce son programme de vols sur l'hiver 2023-2024, avec notamment la poursuite des vols au départ de Bordeaux et Nantes.
La compagnie aérienne Corsair a réalisé une très belle saison été 2023, marquée par une demande très dynamique, malgré le contexte inflationniste actuel. La compagnie a ainsi constaté une forte progression de ses ventes, avec une hausse de 20% par rapport à l'été 2022 et de 42% par rapport à l'été 2019. Pour cette même période, l'offre de la compagnie en termes de capacités a augmenté de 6% par rapport à 2022. Cette hausse de capacité est davantage marquée sur l'Afrique, les Antilles et l'Île Maurice.
Cette très belle saison s'inscrit dans un exercice 2022-2023 marqué par un record historique des ventes. L'exercice va ainsi clôturer avec un chiffre d'affaires de plus de 640 millions d'euros, record historique pour la compagnie, en progression de 48% par rapport à l'année pré-Covid.
C'est dans ce contexte que Corsair dévoile son programme pour l'hiver 2023-2024, saison qui s'annonce déjà très bien avec des tendances de vente en forte progression par rapport aux mêmes périodes en 2019.
Corsair dévoile son programme de vols pour l'hiver 2023-2024 avec le retour des vols au départ de Bordeaux et Nantes
La compagnie aérienne annonce le retour des liaisons en vols directs au départ de Bordeaux et Nantes vers les Antilles. Du 5 décembre 2023 au 23 avril 2024, les Bordelais pourront s'envoler tous les mardis vers Pointe-à-Pitre en Guadeloupe. Tous les mardis également, direction Fort-de-France en Martinique pour les Nantais, du 12 décembre 2023 au 30 avril 2024.
Corsair renforce également son programme à destination des Antilles et de l'océan Indien : au départ de Paris, la compagnie aérienne desservira Pointe-à-Pitre jusqu'à 13 vols par semaine et jusqu'à 12 vols par semaine pour Fort-de-France. Dans l'océan Indien, jusqu'à 12 vols par semaine seront prévus au départ de Paris pour La Réunion, 3 vols pour Mayotte et 2 vols pour Antananarivo. La compagnie augmente également la fréquence de ses vols vers et au départ de l'île Maurice, avec 6 vols depuis Paris (jusqu'à 4 vols directs).
Au départ de Lyon et Marseille, Corsair dessert La Réunion, ainsi que Mayotte et l'île Maurice via La Réunion, avec 2 vols par semaine
Corsair poursuit également la consolidation de son pilier africain, avec :
– jusqu'à 8 vols par semaine à destination d'Abidjan, dont la compagnie célèbre les 10 ans de la desserte cette année ;
– 4 vols (les lundi, mercredi, vendredi et dimanche) à destination de Bamako et Cotonou (vols directs les lundi et vendredi vers Bamako, et les mercredi et dimanche vers Cotonou).
Et toujours l'offre Train + Air pour faciliter le voyage au départ de plusieurs villes de France
Grâce au partenariat de Corsair avec la SNCF, les clients peuvent partir depuis et vers 19 villes françaises pour se rendre dans l'une des destinations du réseau Corsair. Cette offre Train + Air comprend trois services TGV + avion + navette. Elle permet d'effectuer un unique achat pour l'ensemble de son voyage comprenant un acheminement en TGV, un service de navette jusqu'à l'aéroport et un vol Corsair. Il devient alors plus simple et plus pratique de voyager : un seul interlocuteur, une seule réservation, un seul billet et une seule tarification.
Une flotte modernisée plus respectueuse de l'environnement
Pour réaliser ce programme, Corsair possède une flotte de 5 A330neo et de 4 A330-300. Avec l'arrivée de 4 A330neo supplémentaire d'ici 2024, la compagnie aérienne disposera de l'une des flottes les plus jeunes du marché avec une moyenne d'âge de 2 ans et une performance environnementale considérablement améliorée. Les A330neo permettent en effet de réduire de plus de 25% la consommation de carburant et d'émissions de CO2 par siège.
Avec les A330neo, les clients peuvent apprécier le confort d'une cabine ultra-moderne et la moins bruyante de sa catégorie, avec une connexion WIFI pendant tout le vol. Les offres de divertissement et de connectivité sont également pensées pour offrir aux voyageurs une expérience privilégiée, complétée par l'offre de restauration à bord, élaborée par les chefs Samuel Tétard, Jimmy Bibrac et Mohamed Cheikh.
La récente montée en gamme de son produit traduit l'ambition qui anime Corsair depuis 40 ans : offrir aux voyageurs une expérience à bord privilégiée et toujours en bonne compagnie. Corsair a d'ailleurs été récompensée cette année par le prix de la meilleure compagnie aérienne française décerné par les Travel d'Or.
A propos de Corsair
Compagnie aérienne française régulière long courrier, Corsair emploie 890 collaborateurs. Elle fait voyager 1,5 million de passagers par an. Corsair opère des vols vers les Caraïbes (Guadeloupe, Martinique), l'océan Indien (La Réunion, l'île Maurice, Mayotte, Madagascar), l'Afrique (Côte d'Ivoire, Mali, Bénin) et le Canada (Montréal).
Corsair opère depuis Paris/Orly, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes.