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24 Heures au Bénin

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Grogne et remous à l'Ambassade du Bénin au Danemark

Thu, 06/18/2020 - 21:42

L'ambassade du Bénin à Copenhague fait depuis quelques semaines l'objet de vives critiques. En dehors des travaux de réfection de plusieurs dizaines de millions- engagés à quelques semaines de sa fermeture officielle prévue pour le 31 juillet - l'ambassadeur Eusèbe Agbangla est accusé de mauvais traitements de plusieurs agents dont certains réclament vainement leurs indemnités de licenciement.

Grégoire Hoyeton

Ça grogne à l'ambassade du Bénin au Danemark. Alors qu'elle s'apprête à fermer ses portes le 31 juillet comme l'a souhaité le gouvernement, l'ambassade du Bénin à Copenhague semble bien avoir d'autres problèmes. Tel un navire secoué par des vagues en haute mer, la maison dirigée par Eusèbe Agbangla a perdu la sérénité et la quiétude connues pour la plupart des chancelleries à travers le monde. Les accusations viennent de l'intérieur comme de l'extérieur et incriminent les choix faits par l'ambassadeur. Il s'agit en premier des travaux de réfection de l'ambassade. En effet, il y a quelques semaines, l'ambassadeur a entamé des travaux de réfection de l'ambassade. Ceux-ci concernent les travaux de maçonnerie, de revêtement de mur et de finition. Plusieurs sources racontent que près de 300 millions F CFA ont été engloutis dans ces travaux. Faux, rétorque l'ambassadeur qui affirme n'avoir reçu « qu'un transfert de crédits de 198 millions » à la date du 17 juin 2020. Il précise aussi que ces travaux inscrits au Programme d'Investissement Public(PIP) sur la ligne « rénovation de l'ambassade du Bénin à Danemark » ont commencé avant la décision de fermeture de l'ambassade. Les travaux concernent prioritairement la reconstruction d'un mur qui fait office de clôture de l'ambassade.
« L'ambassade est complètement dégradé et la commune nous interpelle et ça pose un problème par rapport à l'image de notre pays. La commune nous interpelle tout le temps parce qu'il y a un pan d'un mur qui donne dans une rue très fréquentée et ce mur est entrain de tomber. Ce n'est pas du tout bon et j'ai rendu compte à mon ministre qui a instruit le dossier en Conseil des ministres et ensemble avec le gouvernement, on a décidé de reconstruire », explique l'ambassadeur. Ces explications laissent néanmoins quelques points d'ombre qui font croire à certains que lesdits travaux ont été engagés pour d'autres objectifs. Car, selon des confidences de certains agents de la même ambassade l'état de dégradation du mur n'était pas aussi inquiétant pour nécessiter une reconstruction. Si c'était le cas, pourquoi c'est à quelques mois de la fermeture de cette ambassade qu'on découvre subitement l'état de dégradation d'un mur. Les brouilles entre l'ambassadeur et le premier entrepreneur remplacé par un autre deux semaines après n'ont fait qu'augmenter les soupçons. Pourquoi le gouvernement engage autant d'argent- près de 200 millions selon les dires de l'ambassadeur- pour réfectionner une bâtisse qu'il sera obligé dans quelques mois de louer ou de vendre ? Car, selon l'ambassadeur, « l'ambassade est une propriété du gouvernement qui peut décider de le louer ou de le vendre ». Il reconnaît avoir changé d'entrepreneur car le premier avait abandonné les travaux suite à un litige sur l'offre financier.

Guerre épistolaire

Outre ce dossier de réfection de l'ambassade avec ses soupçons et ses polémiques, Eusèbe Agbangla doit faire à une autre patate chaude. Il s'agit du paiement des indemnités de licenciement ou non aux agents recrutés locaux. En effet, en dehors des agents envoyés par l'Etat sous la bannière « personnel diplomatique », l'ambassade recrute sur place du personnel d'appui. L'ambassade du Bénin au Danemark en possède quelques uns. Il s'agit d'un chauffeur de service de nationalité béninoise, d'une secrétaire-standardiste de nationalité danoise et d'une huissière de nationalité ivoirienne. Dans un courrier adressé au Secrétaire général du Ministère des Affaires Etrangères, et de la Coopération, l'ambassadeur expliquait que de l'avis de l'avocat-conseil, « l'ambassade ne serait pas contrainte de verser des indemnités de licenciement mais plutôt une indemnité de congés non payés, dont le calcul répond à un mode qu'on pourrait obtenir auprès d'organismes spécialisés danois comme « Arbejdsmarkedets feriefond-Aff ou Danload ». Ceci parce que ce licenciement n'est pas dû à une raison économique mais une raison de force majeure dans la mesure où elle résulte de la volonté du gouvernement de revoir sa carte diplomatique dans le monde, décision à laquelle l'ambassade ne saurait se soustraire. Dans différents courriers, il a expliqué cette situation aux intéressés eux-mêmes en les rassurant du paiement de paiement de leurs salaires jusqu'à résiliation totale du contrat et des durées de préavis de trois mois pour la secrétaire-standardiste et l'huissière et un mois pour le chauffeur de service. Cette décision a été contestée par la secrétaire standardiste et l'huissière. Cette dernière se fend d'un courrier envoyé à l'ambassadeur dans lequel elle s'oppose, sur l'avis de son avocat personnel, à la décision de l'ambassade de ne pas payer ses indemnités de licenciement sous prétexte que ce n'est pas un licenciement économique. S'en est suivie une guerre épistolaire ou l'un accuse l'autre. L'ambassadeur qui accuse l'huissière d'absentéisme, de désinvolture et de négligence professionnelle tandis que cette dernière accuse son patron de manque de solidarité et de compassion. Cette ambiance délétère à l'ambassade est envenimée par un dernier courrier de l'ambassadeur qui rend le paiement des salaires du mois de juin aux agents locaux consécutifs à la présentation à l'ambassade les preuves du paiement des cotisations sociales et fiscales et du versement de la Pension Complémentaire du Marché du Travail(ATP) qui est de 40 euros et qui doit être versée pendant l'employé. Une autre polémique, un autre bras de fer s'installe entre l'ambassadeur Eusèbe Agbangla et ses agents locaux. Accusé aussi de traitements dégradants envers certains de ses agents, l'ambassadeur du Bénin au Danemark est visiblement entrain de vivre une fin de mission diplomatique très pénible. Et son image autant que celle du Bénin en reçoivent un gros discrédit.

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Le consul du Bénin au Burkina, Evariste Atindéhou n'est plus

Thu, 06/18/2020 - 21:35

Evariste Erick Atindéhou, consul de la République du Bénin au Burkina Faso n'est plus. Il est décédé dans l'après-midi du mardi 16 juin au Centre national hospitalier et universitaire de Cotonou.

Nommé par décret nº2017-581 du 13 décembre 2017 en remplacement de Gisèle Delphine Zinsou au consulat général du Bénin au Burkina-Faso, le défunt était depuis mi-mars bloqué au Bénin en raison de la fermeture des frontières, l'une des mesures de la lutte contre la propagation du Covid-19.

Animé de la volonté de contribuer à l'amélioration des conditions de vie de ses compatriotes résidant au Burkina, Evariste Erick Atindéhou a mené plusieurs initiatives. Ses actions ont permis l'érection de l'Association des femmes béninoises du Faso (AFBF).

A.A.A

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Une mission de supervision dans les lieux de culte ce week-end

Thu, 06/18/2020 - 19:25

Le ministre d'Etat secrétaire général de la présidence de la République, Pascal Irénée Koukpaki au cours de la rencontre avec les responsables de culte ce jeudi 18 juin 2020, a annoncé une mission de contrôle des règles barrières à la pandémie du Coronavirus le weekend prochain dans les églises et lieux de culte.

« Nous allons déployer dans le weekend beaucoup de nos éléments qui reviendront le lundi nous dire images à l'appui, comment le weekend s'est passé dans les différentes communautés religieuses, et après cela, le gouvernement avisera », a annoncé le ministre d'Etat secrétaire général de la présidence. Ainsi, au terme de ladite mission et au regard de l'évolution de la maladie dans le pays, le gouvernement serait amené les jours à venir, à prendre d'autres mesures afin de lutter contre la propagation de la Covid-19.
Depuis la réouverture des églises et lieux de culte le 02 juin dernier, le nombre de cas confirmés ainsi que les décès liés à la Covid-19 a connu une hausse exponentielle. De 259 cas confirmés, 150 guéris et trois décès, le Bénin en l'espace de deux semaines a enregistré une augmentation considérable du nombre de cas confirmés et des décès. Selon les derniers chiffres du gouvernement, le pays compte désormais 597 cas confirmés, 348 sous traitement, 238 guéris, et 11 décès.
Les responsables de confessions religieuses ont été invités au cours de la rencontre, à s'engager davantage dans le respect des règles barrières afin d'éviter la propagation de la maladie.

F. A. A.

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Le Bénin enregistre deux nouveaux décès

Thu, 06/18/2020 - 16:52

02 nouveaux décès et 25 nouveaux cas en 24 heures au Bénin. Selon le point fait par les autorités sanitaires à la date du mercredi 17 juin 2020, le Bénin enregistre un total de 597 cas confirmés à l'infection au Covid-19, avec 348 personnes sous traitement et 238 guéries.
Avec deux nouveaux décès, le Bénin passe à un total de 11 sujets décédés du coronavirus.
A.A.A

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Un atelier pour valider le rapport au 31 décembre 2019

Thu, 06/18/2020 - 16:52

Un atelier d'examen pour valider le rapport d'exécution du Programme d'investissement publics (PIP) au 31 décembre 2019 s'est déroulé ce jeudi 29 juin, au Bénin Royal Hôtel à Cotonou. Les travaux de cette réunion qui a pour but de présenter le projet de rapport d'exécution du Programme d'investissement publics (PIP) au 31 décembre 2019 ont été lancés par la secrétaire générale adjointe du Ministère du Plan, madame Crescentia TOSSOU.

Cet atelier de validation est initié pour faire une évaluation externe du projet d'exécution du PIP au 31 décembre 2019, avec tous les acteurs concernés notamment les Directeurs de la programmation et de la prospectives (DPP) des ministères, les représentants de la direction de la comptabilité de la présidence de la république, de la DGB, de la PAGIPG, et des cadres du cadres de la DGPSIP.
« La présente séance vise à examiner le contenu du projet de rapport, à le finaliser et à le valider afin d'éviter d'éventuelles contestations des chiffres lors de l'approbation du dudit rapport en conseil des ministres », a précisé le Directeur Général de la Programmation et du suivi des investissements publics (DGPSIP), monsieur Alastaire Alinsato.
Présent à la séance, le coordonnateur du Projet d'appui à la gestion des investissements publics et à la gouvernance (PAGIPG), Monsieur Alphone Akpamoli a rappelé que le PAGIPG est mis en place par le gouvernement et la banque mondial pour accompagner le Bénin et pour lui permettre d'atteindre les objectifs prévus dans le Programme d'action du gouvernement. « Nous avons très peu de ressources, mais si on gère mieux nous pouvons réaliser beaucoup de choses », a-t-il souligné.
Le rapport d'exécution du Programme d'Investissement Public (PIP) représente un précieux outil d'aide à la décision. Il permet entre autre, de remédier aux insuffisances et de pallier aux difficultés identifiées dans la mise en œuvre des PIP.
Madame Crescentia TOSSOU qui a lancé les travaux a d'abord prévenu que le ministre du Plan accorde une grande importance au PIP et à sa mise en œuvre. « Notre présence ici ce matin témoigne de l'importance que nous donnons tous aux projets et programmes en exécution dans nos départements ministériels et leurs rôles dans le développement économique et social de notre pays ». Elle a indiqué qu'« En examinant et en validant le rapport annuel d'exécution du PIP gestion 2019, nous devons donner au document l'opportunité d'être examinée et approuvée en conseil des ministres. Le gouvernement pourra donner les orientations nécessaires pour des performances grandes ». Il a invité les uns et les autres à focaliser leur attention sur les niveaux d'exécution physique et financière des projets et programmes inscrits au PIP 2019 pour comprendre davantage les facteurs les contre-performances puis de suggérer des solutions aux difficultés récurrentes.

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Un agent comptable de l'UAC convoqué à la BEF

Thu, 06/18/2020 - 16:51

Affaire de détournement des frais de laboratoires et d'appui aux activités de recherche des doctorants allocataires du MESRS (Promotions 2012-2017) devant la Brigade économique et financière (BEF). Afin d'élucider cette affaire, un agent comptable de l'Université d'Abomey-Calavi est convoqué ce vendredi 19 juin 2020 à la BEF.

En mai 2020, 178 doctorants ont adressé une lettre au recteur de l'Université d'Abomey-Calavi, Maxime da Cruz pour exprimer leur mécontentement face à la gestion de leurs frais qui doivent servir à payer des équipements et consommables directement aux laboratoires.
« Le détournement des fonds mis à disposition des écoles doctorales pour le paiement des frais de laboratoire aux doctorants allocataires des promotions 2012 à 2017 est entré dans sa phase active malgré, la constance des rappels sur la finalité desdits fonds pour nous depuis 2015 », avait notifié le collectif des doctorants dans leur correspondance.
Le collectif exigeant le paiement des frais de laboratoires a fait ampliation de la lettre au président de la République, aux ministres des finances et de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
A.A.A.

Categories: Afrique

Drépanocytose, hypertension et le diabète à l'origine de l'augmentation des décès

Thu, 06/18/2020 - 16:50

Lors d'une réunion de suivi entre le gouvernement et les responsables de culte ce jeudi 18 juin 2020, le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin a expliqué les raisons de l'augmentation du nombre de décès liés à la pandémie du Coronavirus ces derniers jours au Bénin.

Selon le ministre de la santé, les décès et les cas graves enregistrés sont des sujets ayant des antécédents de drépanocytose, d'hypertension artérielle, de diabète et des personnes âgées.
« Lorsque la Covid-19 survient chez des sujets qui ont déjà des antécédents comme la drépanocytose, l'hypertension artérielle, le diabète, le pronostic de la maladie est sombre », a-t-il expliqué. Dr Houkpatin a souligné que les 06 derniers cas de décès enregistrés sont en rapport avec des sujets ayant ces antécédents.
Selon Benjamin Hounkpatin, « la gravité de la maladie est telle que lorsque on arrive à ce stade, le nombre de décès ne fait qu'augmenter, malgré toutes les dispositions qui ont été prises par le gouvernement ». Il a indiqué que les cas enregistrés sont localisés au niveau de « l'ancien cordon sanitaire », notamment les départements du Littoral (avec la moitié), l'Ouémé, et l'Atlantique. Ces trois départements regroupent plus de 75% des cas actuellement dans le pays, a informé le ministre de la santé.
Selon les chiffres officiels, le Bénin compte à la date du 16 juin 2020, 572 cas confirmés, 326 sous traitement, 237 guéris et 09 décès.

F. A. A.

Categories: Afrique

L'ambassadeur du Japon en fin de mission reçu par Djogbénou

Thu, 06/18/2020 - 16:49

Audience ce jeudi 18 Juin 2020 à la Cour constitutionnelle. Le président de la haute juridiction Joseph Djogbénou a reçu l'ambassadeur du Japon au Bénin Kiyofumi Konishi. En fin de mission au Bénin, le diplomate nippon a tenu faire ses adieux au Professeur Joseph Djogbénou.

Au cours de l'audience, le diplomate japonais a fait un tour d'horizon de la coopération bilatérale. Face à la presse, l'ambassadeur a fait part de la bonne santé financière du Bénin à travers la note du Standard & Poor's obtenue grâce à l'amélioration de la gestion macroéconomique du pays notamment la réduction progressive du déficit budgétaire.
Le diplomate nippon durant son séjour au Bénin a œuvré à la densification des relations entre les deux pays dans les domaines de l'éducation, de la diplomatie, de la culture, du tourisme, de la sécurité alimentaire, de la santé avec la construction de l'hôpital d'Allada. Kiyofumi Konishi s'est réjoui de l'excellence des relations qui existent entre les deux pays.
L'ambassadeur du Japon a passé trois années et 8 mois au Bénin. Il quitte Cotonou dès juillet pour le ministère des Affaires étrangères du Japon à Tokyo.

A.A.A

Categories: Afrique

Un comptable condamné à 07 ans de prison

Thu, 06/18/2020 - 16:18

Inculpés pour détournement de deniers publics au Centre national hospitalier et universitaire (CNHU-HKM) de Cotonou, Maurice Gbèssèhoun et Thomas Tchiakpè respectivement ex-agent comptable par intérim et ex-caissier central ont été fixés sur leurs sorts ce mercredi 17 juin 2020 au terme de la 3ème audience de la session criminelle de l'année 2019-2020 ouverte lundi dernier à la CRIET.

Au terme du procès ce mercredi 17 juin 2020, l'ex-agent comptable par intérim a été retenu dans les liens de la détention pour détournement de deniers publics s'élevant à 8,8 millions de francs CFA. Il a été condamné à 07 ans de prison et une amende de 05 millions de francs CFA à verser dans les caisses du Trésor public. L'ex-caissier central a été purement et simplement acquitté.
A la barre ce mercredi, Maurice Gbèssèhoun a reconnu les faits mis à sa charge. « Il a reconnu avoir pris des mains de Thomas Tchiakpè contre toute règle d'orthodoxie financière, la somme de 8,8 millions FCFA que ce dernier avait de disponible en liquidité dans la caisse centrale du CNHU HKM. Il a pris les fonds après un contrôle journalier de caisse qu'il a monté pour atteindre son objectif. Il a délivré contre cette somme un chèque de Continental Bank émis en son nom personnel et encaissable le 30 octobre 2008. Mais ce chèque n'a jamais été encaissé jusqu'à hier. La forfaiture sera découverte lors d'un contrôle inopiné effectué au niveau de la caisse centrale du CNHU HKM dans la période. Maurice Gbèssèhoun confie à la Cour avoir pris les 8,8 millions FCFA pour faire face à ses nombreuses charges financières en ce moment dont une tontine de 10 millions FCFA qu'il a déjà ramassée pour entreprendre la construction de sa maison et pour laquelle il devra libérer sa part à échéance due », rapporte La Nation.
Le mis en cause dans ses dépositions déclare avoir cuisiné cette opération de mèche avec les deux premiers responsables d'alors du CNHU HKM, qui n'avaient trouvé aucune objection à cette proposition. Mais grande a été sa surprise, poursuit-il, de constater que 24 h après qu'il a pris les 8,8 millions FCFA, ces derniers ont mis sur pied une commission de vérification de la caisse centrale alors qu'ils se seraient entendus que ce contrôle de routine se fasse en décembre 2008, le temps qu'il aurait déjà remis les fonds à leur place. L'accusé dénonce les deux premiers responsables d'alors du CNHU HKM qui l'ont piégé et trahi dans ce deal. Il dit avoir compris après coup qu'il a payé le prix de la rugosité avec laquelle il conduisait les réformes de redressement du CNHU HKM. Lesquelles réformes, à en croire l'accusé, seraient une instruction du président de la République d'alors. Ce qui le rendait du coup tout puissant dans le centre de sorte qu'il avait signature unique sur les chèques pendant 11 mois sur les 14 qu'il y a passés. Mais c'était sans savoir que sa présence gênait des intérêts, notamment ceux des deux responsables proches de lui.
Conformément à l'article 3 de l'ordonnance n°79-23 du 10 mai 1979 réprimant sur le plan pénal, entre autres, l'infraction de détournement de deniers publics commise par les agents de l'Etat, applicable au moment des faits en 2008, la Cour délibérant, condamne Maurice Gbèssèhoun à 07 ans de prison et une amende de 05 millions de francs CFA. Mieux, le mis en cause âgé de 57 ans au moment du procès, est interdit de tout emploi public pour tout le reste de sa vie. Placé sous mandat de dépôt le 7 novembre 2008, et mis en liberté provisoire le 22 décembre 2015, il est désormais libre de tout mouvement.
Le juge Islamiath Moustapha, président de la Cour, était assistée de David Anani et Bienvenu Sohou, tous accesseurs. Le ministère public était représenté par Gilbert Ulrich Togbonon, procureur près la CRIET. Me Nancy Gandaho occupait le poste de greffier.

F. A. A.

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Plus de 75 % des cas proviennent du Littoral, de l'Ouémé et de l'Atlantique

Thu, 06/18/2020 - 14:18

Les centaines de sujets atteints du Covid-19 sont pour la plupart détectés dans les départements du Littoral, de l'Ouémé et de l'Atlantique. C'est ce qu'a déclaré le ministre de la santé Benjamin Hounkpatin ce jeudi 18 juin 2020 lors de la rencontre tenue avec les autorités religieuses au sujet du suivi de la mise en œuvre des mesures officielles liées au Covid-19 dans les lieux de culte au Bénin.

Selon le ministre Benjamin Hounkpatin, les cas positifs de coronavirus enregistrés au Bénin sont localisés essentiellement au niveau de l'ancien cordon sanitaire. Il s'agit des départements du Littoral (pratiquement la moitié des cas) ; de l'Ouémé et de l'Atlantique. « Ces trois départements regroupent plus de 75 % des cas que nous avons présentement dans le pays », a notifié le ministre de la santé.
A en croire Benjamin Hounkpatin, « les cas graves et les décès que nous enregistrons sont en rapport avec la présence de maladies préexistantes ou de cas de sujets âgés ».
« C'est-à-dire que lorsque la Covid-19 survient chez des sujets qui ont déjà des antécédents comme la drépanocytose, l'hypertension artérielle et surtout actuellement le diabète, le pronostic de la maladie est sombre », explique-t-il.
Le ministre souligne que les six derniers cas de décès enregistrés sont des sujets qui ont des antécédents de diabète et d'hypertension artérielle.
A la date du 16 juin 2020, le Bénin a un total de 572 cas confirmés à l'infection au Covid-19, avec 326 personnes sous traitement, 237 guéries et 09 décès.
Les ministres Pascal Irénée Koupaki, ministre d'État, Secrétaire général de la Présidence et Sacca Lafia de l'intérieur et de la sécurité publique ont également pris part à cette rencontre avec les autorités religieuses.

A.A.A

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Le gouvernement échangent avec les chefs religieux sur le Covid-19

Thu, 06/18/2020 - 12:52

Le gouvernement a tenu dans la matinée de ce jeudi 18 juin 2020, une réunion de suivi de la mise en œuvre des mesures officielles liées à la Covid-19 dans les lieux de culte au Bénin. Au cours de cette rencontre, le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin a expliqué les raisons de l'augmentation du nombre de cas confirmés et des décès dans le pays.

Dans son message, le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin, a souligné que les mesures mises en œuvres par le gouvernement et qui avaient fait objet d'échanges avec les responsables de culte, ont permis de faire face à l'augmentation du nombre de cas confirmés que du nombre de cas graves. Dans ses explications, il a précisé que « la gravité de la maladie est telle que lorsque on arrive à ce stade, le nombre de décès ne fait qu'augmenter malgré toutes les dispositions qui ont été prises par le gouvernement ». Les cas enregistrés sont localisés au niveau de « l'ancien cordon sanitaire », notamment les départements du Littoral (avec la moitié), de l'Ouémé, de l'Atlantique, a informé le ministre de la santé précisant que ces trois départements regroupent plus de 75% des cas actuellement dans le pays.
Selon Benjamin Hounkpatin, les cas grave et les décès enregistrés sont « en rapport avec la présence de maladies préexistantes ou de cas de sujets âgés ». « Lorsque la Covid-19 survient chez des sujets qui ont déjà des antécédents comme la drépanocytose, l'hypertension artérielle, le diabète, le pronostic de la maladie est sombre », a-t-il expliqué soulignant que les 06 derniers cas de décès enregistrés sont en rapport avec des sujets ayant des antécédents de diabète, et d'hypertension artérielle.
Le gouvernement était représenté au cours de la réunion de suivi par le ministre d'Etat secrétaire général du gouvernement, Pascal Irénée Koukpaki, et les ministres Benjamin Hounkpatin de la santé et Sacca Lafia de l'intérieur et de la sécurité publique.

F. A. A.

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La BAIC devient la BIIC

Thu, 06/18/2020 - 12:41

La Banque Africaine pour l'Industrie et le Commerce (BAIC) change de dénomination sociale. Elle devient la Banque Internationale pour l'Industrie et le Commerce (BIIC).

Ce changement intervient dans la cadre de la fusion par voie d'absorption simple de la Banque Africaine pour l'Industrie et le Commerce et la Banque Internationale du Bénin (BIBE). La dissolution de la BIBE entraîne le retrait de son agrément bancaire.

Le capital social de la BAIC, actuellement de quatorze milliards (14.000.000.000) de FCFA sera augmenté de dix milliards (10.000.000.000) de FCFA par la création d'un million (1.000.000) d'actions nouvelles, d'une valeur nominale chacune de dix mille (10.000) FCFA, pour être porté à vingt-quatre milliards (24.000.000.000) FCFA, divisé en deux millions quatre cent mille (2.400.000) actions de valeur nominale chacune de dix mille (10.000) FCFA.

Akpédjé AYOSSO

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Le bilan des décès s'alourdit

Thu, 06/18/2020 - 10:15

Le Bénin aurait enregistré d'autres cas de décès liés à la pandémie du Coronavirus. Trois personnes seraient encore mortes de cette pandémie au cours des dernières 24h.

De 09, le nombre de décès à la Covid-19 au Bénin est passé à 12 au cours des dernières 24h.
Un décès lié au Covid-19 aurait été signalé dans l'après-midi de ce mercredi 17 Juin au centre de traitement d'Allada. Avant cette victime, un mort serait enregistré dans la nuit de Mardi 16 Juin et un autre dans la matinée de ce mercredi.
Ces informations ne sont pas encore confirmées ni infirmées de sources officielles.
A la date du 16 juin, les chiffres du gouvernement indiquent 572 cas confirmés de Covid-19 dont 326 sous traitement, 237 guéris et 09 décès.

F. A. A.

Categories: Afrique

Le gouvernement approuve la Programmation budgétaire et économique pluriannuelle

Thu, 06/18/2020 - 10:14

Le gouvernement béninois a approuvé ce mercredi en conseil des ministres le Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) 2021-2023.

Avec la crise liée au Covid-19, la croissance économique devrait se chiffrer à 3,2% autour de 3,5% en 2020 avant de renouer avec la tendance haussière dès 2021.
Selon le Conseil des ministres, le DPBEP est assorti de ceux de la programmation pluriannuelle des dépenses. Institué par la loi organique nº 2013-14 du 27 septembre 2013 relative aux lois de finances, le document sert de support aux débats d'orientation budgétaire qui doivent se tenir au plus tard, le 30 juin de chaque année.
Ledit document présente la trajectoire d'une économie en croissance depuis 2016, expose les efforts d'assainissement des finances publiques et de consolidation budgétaire au cours des trois dernières années.
L'accent est également mis sur les progrès notés dans la situation financière des établissements publics, des collectivités locales et des organismes de sécurité sociale.
Par ailleurs, renseigne le conseil des ministres, « il décline une stratégie économique soutenue par un renforcement des institutions et une amélioration continue de la gouvernance, en vue de meilleures conditions de vie des populations ».
La priorité est accordée aux volets tels que : la protection sociale et la solidarité nationale, l'accès des populations à l'eau potable et à l'énergie électrique, la construction d'un cadre de vie sain, moderne et durable, le renforcement de la qualité du système sanitaire ainsi que l'amélioration de l'accès des populations aux soins de santé.
S'agissant des finances publiques, « la politique restera axée sur la sécurisation des recettes et sur le renforcement de la qualité des dépenses publiques.
« Il ressort de ce document que si la croissance économique a été soutenue au cours des trois dernières années, avec respectivement des taux de 5,7% en 2017, 6,7 en 2018 et environ 6,9% en 2019, la crise économique liée à la Covid-19 la fixerait autour de 3,5% en 2020 avant qu'elle ne renoue avec la tendance haussière dès 2021 », notifie le compte rendu du Conseil des ministres.

A.A.A

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Des malversations au marché à bétail de Tourou

Thu, 06/18/2020 - 10:13

Le marché à bétail de Tourou situé dans le 1er arrondissement de la ville de Parakou pendant plusieurs années, a été mal géré. D'importantes irrégularités auraient été relevées à la suite d'une enquête. De complicité avec le secrétaire général de l'AECBT, organe dirigeant du marché, les usagers pendant longtemps ont été surfacturés.

Selon les informations rapportées par Leparakois, au lieu de 500.000 francs CFA par mois, le secrétaire général de l'AECBT, organe dirigeant du marché de bétail en complicité avec des anciens élus municipaux, prélève 1 million de francs CFA chez les usagers.
Le montant des malversations selon la même source, est estimé à environ 06 millions de francs CFA. « La mairie nous exige une somme de 500 000, les responsables en question nous prennent 1 million par mois », aurait confié un membre de l'AECBT, qui a requis l'anonymat. Ce dernier regrette également n'avoir pas eu le contrat laissé au secrétariat malgré ses multiples démarches. « Nous nous sommes rendus compte que la mairie nous prenait 500 000 alors que le SG et son adjoint collectaient un million », a-t-il dénoncé.
Dans ses déclarations, il a informé qu'il y aurait aussi une somme de 5 millions de francs CFA d'impayés à la mairie alors que les membres de l'AECBT avaient déjà encaissé les sous.
Cette affaire éclate quelques jours après la prise de fonction du nouveau maire. Aboubakar Yaya, au cours de la cérémonie de passation de charges avec son prédécesseur, avait annoncé un audit pour vérifier la gestion de la municipalité sur la période de 2008 à 2020.

F. A. A.

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L'inculpé condamné de 20 ans de prison

Thu, 06/18/2020 - 10:13

Le tribunal de première instance de première classe de Cotonou a vidé le second dossier inscrit au rôle de la session criminelle ouverte lundi dernier. Au terme du procès, le sieur Alphonse Hounsounou a été condamné à 20 ans de prison ferme pour assassinat de dame Tognonsi à Zoungoudo, dans la commune de Tori-Bossito.

Selon le rappel des faits, le 30 août 2007, dame Tognonsi portée disparue, a été retrouvée le lendemain morte dans un bain de sang, et sans caleçon. Suspecté d'être à l'origine de ce crime crapuleux, Alphonse Hounsounou a été interpellé.
A la barre ce mardi, le prevenu a nié les faits.
Il s'agirait d'un complot d'accusation à son encontre, a-t-il déclaré alors qu'il aurait reconnu sa culpabilité lors de l'enquête préliminaire.
Ses déclarations ont été rejetées par le ministère public qui a demandé à la Cour de le maintenir dans les liens de la détention et de le condamner à la prison à perpétuité.
La Cour, délibérant en matière criminelle, l'a condamné à 20 ans de prison ferme.
En détention depuis l'année 2007, il retourne en prison pour purger le reste de sa peine.

F. A. A.

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Plusieurs allées du marché Dantokpa inondées

Thu, 06/18/2020 - 10:13

Difficile de parcourir les allées de Dantokpa, le plus grand marché de Cotonou en cette saison pluvieuse. Les pluies diluviennes qui se sont abattues sur la capitale économique mercredi dernier ont plongé les marchands dans le désarroi.

Des allées inondées d'eau, tel est le constat amer en cette saison pluvieuse au marché Dantokpa. Les étalages sont également dans l'eau de pluie. Avec cette situation, les usagers du marché n'arrivent pas à mener convenablement leurs activités. La saison pluvieuse risque aussi d'affecter les chiffres d'affaires des vendeurs du marché Dantokpa.
L'une des causes de cette catastrophe est liée aux problèmes assinissement des lieux et la mauvaise gestion des déchets.

Categories: Afrique

Yankoty au cabinet de Vlavonou

Thu, 06/18/2020 - 10:12

Le nouveau maire de la ville de Porto-Novo Charlemagne Yankoty accompagné de ses adjoints et de son chargé de mission s'est rendu au cabinet du président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou ce mercredi 17 juin 2020. Objectif, rendre une visite de courtoisie au président du parlement béninois et prendre des conseils dans le cadre de ses nouvelles fonctions.

« Ce matin, nous sommes venus voir le président de l'Assemblée nationale parce que d'abord nous avons la chance que l'institution parlementaire se trouve sur notre territoire et à ce titre, c'est un devoir pour nous de rendre une visite de courtoisie à la deuxième personnalité de l'État pour lui présenter la nouvelle équipe dirigeante de la ville de Porto-Novo », a confié le nouveau maire aux médias.
Cette visite selon lui, s'inscrit dans la dynamique de « présenter le maire et les différents adjoints au maire à l'autorité parlementaire ». « C'est également une occasion pour nous de dire à l'autorité toute notre satisfaction de l'avoir à nos côtés en tant que fils de Porto-Novo parce qu'il est, comme vous le savez bien, de la lignée des Migan et à ce titre, il nous sera d'un grand soutien pour la réussite de notre mission », a ajouté Charlemagne Yankoty.
Outre la visite de courtoisie, il est question selon le nouvel édile de la ville de la ville capitale, de prendre des conseils auprès de la 2ème personnalité de l'Etat. « Il est important que nous venions à l'école de la 2ème personnalité de l'Etat qu'il représente et que nous l'écoutions avant de rentrer pleinement dans nos nouvelles fonctions », a-t-il déclaré. Il est convaincu de l'attention et de l'engagement du président de l'Assemblée nationale à « faire le nécessaire » avec eux pour qu'au haut niveau, « Porto-Novo retienne davantage l'attention et retrouve ses lettres de noblesse en tant que capitale ».
Le maire de Porto-Novo invite les fils et filles de la cité des Ayinonvi à travailler « la main dans la main ».
« À Porto-Novo, il n'y a pas de vaincu ni de vainqueur, c'est la ville qui a gagné. Que chacun de nous soit rassuré que, quelque soient nos bords politiques, l'heure est au développement de Porto-Novo car les élections sont terminées », a exhorté le nouveau maire.
M. Yankoty dit compter sur le soutien de toutes les forces vives de la cité pour qu'ensemble, une nouvelle dynamique soit impulsée à la ville.
Le maire n'a pas manqué de rassurer de la disponibilité et de l'ouverture de son équipe.

F. A. A.

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Jacques Tokpassi Azalou remplace Karimi Abdoul Adéoti

Wed, 06/17/2020 - 20:18

Le magistrat Jacques Tokpassi Fiacre Azalou est le nouveau procureur de la République près le tribunal de première instance de deuxième classe de Kandi. Sa nomination a été prononcée ce mercredi 17 juin 2020 en Conseil des ministres. Il succède ainsi à Karimi Abdoul Adéoti poursuivi par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).

Précédemment procureur au tribunal de Kandi, Karimi Abdoul Adéoti est accusé d'avoir remis en liberté un suspect terroriste, le sieur Sadam Oumarou arrêté le 02 mai 2020 par les éléments des eaux, forêts et chasse de Kandi en faction au parc de la Penjari.
Gradé à vue et écouté par le commissaire par intérim de Kandi, le présumé terroriste a par la suite été présenté au procureur de la République. Après son audition par le parquet de Kandi, il a été relâché pour insuffisances de charges. Une libération jugée suspecte par la justice béninoise et pour laquelle l'ex procureur de Kandi, son premier substitut, et le commissaire par intérim du commissariat de la ville, sont accusés d'être en « intelligence avec une organisation de terrorisme, abus de fonction et de corruption ».
Le nouveau procureur a été nommé après avis du conseil supérieur de la magistrature.

F. A. A.

Categories: Afrique

Une convention pour la construction du Centre culturel de rencontre

Wed, 06/17/2020 - 19:08

Dans le but de valoriser le potentiel exceptionnel de Ouidah, le gouvernement béninois a initié le projet de construction du Centre culturel de rencontre international. Le Conseil des ministres de ce mercredi 17 juin 2020 a autorisé la signature d'une convention de partenariat entre l'Etat, l'Association Centre culturel de rencontre international (ACCR) et la mairie de Ouidah.

Selon le Conseil des ministres, « cette initiative s'inscrit dans la dynamique engagée par le gouvernement pour valoriser le potentiel exceptionnel de la ville aux plans patrimonial, artistique, intellectuel et culturel ».
Le projet a « pour mission essentielle de faciliter la recherche historique, la restitution et le partage des résultats avec le public, de proposer un travail pédagogique et éducatif autour des arts ». Il s'agit aussi de constituer un centre de création et de diffusion de produits culturels qui favorise la prise en compte des enjeux contemporains de la diversité, de l'accès aux nouvelles technologies ainsi que la formation des jeunes.
« A cet effet, il organisera, entre autres, des expositions, des manifestations culturelles et artistiques. Il assurera le soutien à la recherche ainsi que du travail sur les écritures contemporaines, la promotion touristique et la transmission du savoir-faire », précise le compte rendu du conseil des ministres.
Le projet vise essentiellement la sauvegarde de la mémoire historique, la promotion de l'art et de la culture.
C'est dans ce cadre que le gouvernement a autorisé la signature d'une convention de partenariat entre l'Etat, l'Association Centre culturel de rencontre international et la mairie de Ouidah.
A.A.A

Categories: Afrique

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