Les candidats à l'examen du Brevet d'études du premier cycle (BEPC) composent dès le lundi 13 juillet prochain. Au total, 149 398 candidats répartis dans 233 centres vont plancher pour la phase écrite de la session de juillet 2020.
Le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Mahougnon Cakpo, va procéder au lancement des épreuves au Ceg1 de Pobè, dans le département du Plateau.
Selon les statistiques, le nombre de candidats au BEPC a connu une régression de 56 339 candidats par rapport à l'année dernière. Il en est de même du nombre de centres de composition qui est passé de 288 à 233.
Le département de l'Atlantique a présenté le plus grand nombre avec 32 740 candidats. La Donga, dernière au classement a compte 3828 candidats.
Comme le CEP, toutes les dispositions ont été prises pour que l'examen se déroule dans le strict respect des règles barrières de la Covid-19.
F. A. A.
Par un communiqué en date du jeudi 09 juillet 2020, le Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique Sacca Lafia rappelle les règles d'hygiène et de prévention dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19.
Après l'évaluation de la situation épidémiologique liée à la pandémie du coronavirus, le gouvernement béninois en conseil des ministres ce 8 juillet a réaffirmé la nécessité pour l'ensemble de la population de respecter les mesures en vigueur pour lutte contre le coronavirus.
Il s'agit entre autres du port obligatoire de masques en tous lieux ; le lavage systématique des mains à l'eau et au savon ; l'observance de la distance de sécurité sanitaire d'un (01) mètre au minimum entre personnes ; la fermeture des discothèques ; l'interdiction d'accès aux plages ; l'interdiction des rassemblements de plus de cinquante (50) personnes et l'interdiction pour les taxis-motos (zémidjan) de transporter plus d'une personne à la fois.
A cela s'ajoutent l'obligation du port de masques et du respect de la distance de sécurité sanitaire entre passagers à bord des transports en commun ; l'obligation pour les employeurs, sur les lieux de travail, de faire respecter le port systématique de masques, d'installer le dispositif de lavage des mains et de faire respecter la distance d'un (01) mètre minimum entre personnes.
Les autres mesures de restriction concernent la suspension des événements et manifestations à caractères sportif, politique et festif ; la limitation du nombre de passagers à bord des taxis et embarcations à trois (03) au maximum pour les véhicules de cinq (05) places et à 05 au maximum pour ceux de neuf (09) places et la prescription aux usagers des espaces marchands (boutiques, magasins, supermarchés, marchés ordinaires et autres) d'observer la distance d'au moins un (01) mètre entre personnes et de respecter le port de masque.
Aussi, les personnes souffrant d'affections chroniques doivent-elles éviter de sortir de chez elles sauf en cas de nécessité absolue.
Les cérémonies d'inhumation sont autorisées mais elles ne doivent pas rassembler plus de cinquante (50) personnes, lesquelles sont tenues de respecter la distance d'un (01) mètre minimum entre elles.
Le Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique en appelle à la responsabilité de chaque citoyen pour l'observance stricte de toutes les mesures et avertit que les contrevenants répondront de leurs actes.
Les forces de défense et de sécurité sont instruites pour multiplier leurs patrouilles afin de veiller scrupuleusement au respect desdites mesures sur l'ensemble du territoire national.
A.A.A
Le directeur de la Sogema n'est pas recherché par la Brigade Economique et Financière (BEF). Il s'agit d'une fausse information sortie d'un journal qui circule sur les réseaux sociaux selon Armand Gansè.
« (...) jusqu'à ce jour, la BEF n'a saisi mon autorité pour un quelconque dossier et je ne suis mêlé ni de près, ni de loin à aucun plan de vol ou de détournement », a notifié Armand Gansè dans un message publié sur sa page Facebook ce jeudi 9 juillet 2020.
L'information est sortie d'un « journal non enregistré et relayée par des faux profils faisant état de ce que le Directeur Général de la Sogema M. Armand Gansè serait impliqué dans un scandale financier et recherché par la Brigade Économique et Financière (BEF) ».
Le directeur de la Sogema y voit un acharnement inutile contre un jeune acteur politique. « Ma ligne de conduite reste la bonne gestion du bien public dans la transparence et la crainte de la hiérarchie », a indiqué Armand Gansè.
« Les auteurs de ces actes qui portent atteinte à ma personne ainsi que leurs commanditaires devront s'apprêter à répondre les jours à venir, de leurs actes devant les instances juridiques. Le Bénin reste un État de droit et aucune politique ne se fait de cette manière sur fond de dénigrement et actes de voyoucratie », a-t-il conclu.
A.A.A
Dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus au Bénin, la Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance Mèdessè Véronique Tognifode Mewanou a procédé ce mercredi 08 juillet 2020, à la distribution de plus de huit mille masques réutilisables à plusieurs couches de la société.
Les masques ont été remis de façon symbolique aux représentants des couches bénéficiaires. Il s'agit des femmes des principaux marchés de Cotonou ( Dantokpa, Ganhi, Missebo et Gbogbanou), Ouando (Porto-Novo), Abomey-Calavi, de la section des Femmes de l'association Handisport, de l'Association des Femmes Sourdes du Bénin, des Associations des Femmes Handicapées de Porto-Novo et de Parakou, de l'ONG Femmes Handicapées et Dignité.
« Le Gouvernement continuera toujours par jouer sa partition. Mais chaque citoyen doit prendre conscience de l'ampleur que prend la propagation du Coronavirus et se protéger », a déclaré la ministre Tognifode Mewanou lors de la cérémonie. Elle a invité chaque citoyen au respect des gestes barrières contre la propagation du virus.
Les masques ont été confectionnés selon les normes standards et offerts par Mme Grâce Wallace, Styliste-couturière de renom. La ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance a salué la donatrice pour son geste de solidarité.
A.A.A
A travers une publication sur sa page Facebook, le président de l'Assemblée nationale, Louis Vlavonou a présenté ses condoléances au peuple ivoirien.
Au nom du parlement béninois et en son nom propre, il a exprimé sa compassion à la République de Côte d'Ivoire éprouvée par la mort tragique de son premier ministre, Amadou Gon Coulibaly qui a pourtant pris part aux travaux du Conseil des ministres ce mercredi 08 juillet 2020.
« Je profite pour dire ma compassion à sa famille, au Gouvernement et à tout le peuple frère et ami de Côte d'Ivoire », a écrit le président de l'assemblée nationale.
F. A. A.
A compter du 31 juillet 2020, « les comptes épargnes ne seront plus autorisés à recevoir des virements de salaires », c'est la substance d'un communiqué de la direction générale de la BOA adressé à sa clientèle.
A travers ce communiqué, la Banque a invité les clients concernés à solliciter dans leur agence, la transformation des comptes épargne qui reçoivent leur salaire, en comptes chèques afin de maintenir leur numéro de compte actuel avant la date du 31 juillet.
Passé ce délai, la banque prendra les mesures ci-après :
pour un salaire inférieur ou égal à 20.000 FCFA, 0 franc sera prélevé sur le compte épargne transformé en compte chèque ;
pour un salaire compris entre 20.001 et 100.000 FCFA, les frais de tenue de compte s'élève à 1000 FCFA pour le compte épargne transformé en compte chèque ;
pour un salaire supérieur à 100.000 FCFA, les frais de tenue de compte pour le compte épargne transformé en compte chèque s'élèvent à 2000 FCFA.
F. A. A.
Le cabinet de conseil MicroSave Consulting (MSC) a mené six études qui ont analysé les besoins et les contraintes de l'activité encore embryonnaire mais néanmoins stratégique des FinTechs au Bénin, en Côte d'Ivoire, au Mali, en RDC, au Sénégal et au Togo, pour accélérer l'inclusion financière.
Le constat est de plus en plus établi que les FinTechs apparaissent comme une solution idéale pour l'inclusion financière des populations africaines se trouvant hors du système bancaire formel. Les technologies émergentes créent des opportunités d'emplois et offrent la possibilité de réduire les coûts de distribution de produits et services adaptés. Les prévisions de la Banque mondiale sur l'Afrique francophone sont encourageantes : d'ici 2021, 62,5 % des économies africaines à croissance rapide se trouveront en Afrique francophone, où la population jeune est importante.
Cependant le combat est loin d'être gagné pour un secteur qui en est à ses balbutiements. C'est dans le cadre du programme de la Fondation Mastercard pour le renforcement des capacités en Afrique francophone, que le cabinet d'étude MicroSave Consulting (MSC) a mené une étude sur le rôle que peuvent jouer les start-ups FinTechs pour accélérer l'inclusion financière dans six pays (Bénin, Côte d'Ivoire, Mali, RD Congo, Sénégal, Togo).
Dans le cadre de ces études, les FinTechs désignent les entreprises en phase de démarrage (« start-ups ») axées ou fondées sur la technologie, qui utilisent ou fournissent des technologies modernes et innovantes dans le domaine financier. Pour les FinTechs, la technologie est un outil clé qui leur permet de proposer aux consommateurs, des services bancaires ou financiers ayant un meilleur rapport coût/efficacité.
Les FinTechs ont besoin d'être soutenues
La Côte d'Ivoire avec 37 FinTechs, et le Sénégal avec 24, restent en tête de la région en termes de croissance et d'investissement dans le secteur. Ces dernières se concentrent principalement sur la facilitation de la distribution des offres de services financiers. En Côte d'Ivoire 28 FinTechs sur 37 sont spécialisées dans le paiement numérique alors qu'elles sont 17 sur 24 au Sénégal.
Avec les faibles taux de bancarisation (15 % en Côte d'ivoire et 34 % au Togo) et l'adhésion des populations aux comptes mobiles, les FinTechs sont un atout pour les gouvernements afin d'améliorer les capacités financières et les compétences digitales en vue d‘exploiter l'économie numérique. Les FinTechs peuvent contribuer à une meilleure conception des comptes bancaires et des produits de paiement, les rendre accessibles, avec une meilleure expérience utilisateur et une sensibilisation améliorée. Elles peuvent rendre les services plus efficaces et réduire les barrières à l'entrée sur le marché. Pourtant, ces avantages comportent des risques, en termes de protection des fonds des clients, protection des données et vie privée et fracture numérique. S'ils ne sont pas gérés de manière adéquate, ces risques pourraient compromettre l'inclusion financière.
Stimulée par les FinTechs, l'inclusion financière reste le principal domaine d'intervention des investisseurs en capital-risque spécialisés dans la technologie et le numérique au sein du continent, attirant 54,5 % du montant total des financements. Des FinTechs dirigées ou cofondées par des femmes ont vu le jour, mais dans plusieurs pays les femmes n'ont pas encore réussi à se faire une place dans le secteur.
Les gouvernements sont conscients de la nécessité d'exploiter le numérique et certains prennent des initiatives pour stimuler l'entrepreneuriat. Toutefois, le constat est que les pays francophones couverts par cette étude sur les FinTechs se trouvent au début de cette évolution et auront besoin du soutien des banques centrales, des gouvernements, des investisseurs, des donateurs, des entreprises, des mentors et des entrepreneurs pour faire progresser le secteur de façon collective.
Le marché est mûr pour l'innovation, mais il faudra un effort collectif pour remédier aux lacunes actuelles, qui comprennent les contraintes réglementaires, la faiblesse des systèmes juridiques, le manque de connaissances financières et numériques et l'absence d'antécédents de crédit, pour exploiter le marché potentiel.
Des difficultés
L'étude a montré que l'espace FinTechs est embryonnaire, se situant pour l'essentiel en phase de démarrage. Beaucoup d'entre elles ont du mal à atteindre la maturité en raison du manque de compétences managériales de leurs fondateurs et de leur incapacité à trouver un soutien approprié. Compte tenu de la nature informelle de ces entreprises sur plusieurs marchés, les opérateurs historiques sont peu enclins à nouer des partenariats en raison des risques encourus. Il existe peu ou pas de possibilités de financement à un stade précoce. Les possibilités de financement sont limitées pour les FinTechs, sauf dans le cadre de concours d'innovation et de subventions accordées par des bailleurs de fonds. Ces concours débouchent sur de très bonnes solutions proposées par de jeunes entrepreneurs, mais elles sont souvent incapables d'atteindre le marché faute de financement durable.
Pour les opérateurs historiques, les FinTechs ne sont pas encore susceptibles de jouer un rôle déterminant dans leurs stratégies commerciales ou de les aider à faire progresser la centralité du client.
Les FinTechs font face à différents défis dû à l'environnement de l'écosystème. Parmi eux : un accès aux crédits difficiles, un climat frileux aux affaires, le manque d'identité numérique et une réglementation peu favorable. Les études ont fourni beaucoup de recommandations pour les aider à surmonter les barrières. Si celles-ci peuvent sensiblement différer d'un pays à un autre, il y a des constantes : incitations fiscales, un accès équitable pour l'USSD (fonctionnalité pour les services mobiles de type sous forme de codes), le renforcement de la collaboration et des partenariats entre acteurs existants et FinTechs, et la nécessité de trouver des solutions alternatives à leur financement.
Rapports par pays :
● Bénin
● Côte d'Ivoire
● Mali
● RDC
● Sénégal
● Togo
À propos de MSC
MicroSave Consulting (MSC) est un cabinet de conseil spécialisé qui, depuis 20 ans, a accompagné le monde vers une véritable inclusion financière, sociale et économique. Avec 11 bureaux dans le monde entier, environ 190 employés de différentes nationalités et des compétences variées, nous sommes fiers de travailler dans plus de 50 pays en voie de développement. Nous travaillons en partenariat avec les acteurs des écosystèmes de services financiers afin d'améliorer durablement les performances et de dégager une valeur durable. Nos clients sont des gouvernements, des donateurs, des entreprises du secteur privé et des entreprises locales.
À propos de la Fondation Mastercard
La Fondation Mastercard recherche un monde où chacun a la possibilité d'apprendre et de prospérer. Le travail de la Fondation est guidé par sa mission qui consiste à faire progresser l'apprentissage et à promouvoir l'inclusion financière des personnes vivant dans la pauvreté. Elle est l'une des plus grandes fondations au monde et travaille presque exclusivement en Afrique. Elle a été créée en 2006 par Mastercard International et fonctionne de manière indépendante sous la gouvernance de son propre conseil d'administration. La Fondation est basée à Toronto, au Canada.
Humiliée à la suite d'une punition de ses parents, Omowoumi Achake, étudiante dans une université privée de Cotonou s'est suicidée le mercredi 08 juillet 2020 à Porto-Novo
Selon plusieurs sources, l'étudiante aurait été filmée en train de prendre de la "chicha" lors d'une sortie avec ses amis. La vidéo est parvenue à ses parents qui lui ont rasé la tête en guise de punition. Au moment où on lui rasait la tête, un des cousins de la fille a pris des séquences de vidéo qu'il a diffusée sur les réseaux sociaux.
L'étudiante n'a pu supporter les humiliations venant de part et d'autres, et a préféré se donner la mort en prenant du mosquito. La victime a été déjà inhumée selon les mêmes sources.
A.A.A
Le premier ministre Amadou Gon Coulibaly est décédé ce mercredi 8 juillet, à Abidjan. Le Président de la République Patrice Talon a présenté ce jeudi 09 juillet 2020 ses condoléances à sa famille et au peuple ivoirien à travers un message publié sur sa page facebook.
« C'est avec consternation que j'ai appris le décès du Premier Ministre de la Côte d'Ivoire, Monsieur Amadou Gon Coulibaly », a notifié le Chef de l'Etat.
Dans son message, Patrice Talon souligne que le premier ministre Amadou Gon Coulibaly était un homme de grande qualité, au grand cœur, un serviteur chevronné de l'Etat, un exemple de loyauté et de compétence. « Il était aussi un homme fidèle en amitié », a-t-il affirmé.
Pour le chef de l'Etat, la Côte d'Ivoire a perdu un digne et valeureux fils et le Président Ouattara, un compagnon fidèle et dévoué.
A titre personnel, notifie le président béninois je perds un grand ami car Amadou Gon Coulibaly était un ami dont le soutien et la sollicitude ne m'ont jamais fait défaut.
Il présente à sa famille, au peuple ivoirien et à son aîné le Président Alassane Ouattara, au nom du Gouvernement, au nom du peuple béninois et en son propre nom, ses sincères condoléances.
« À tous les Ivoiriens, en ces moments douloureux, je transmets le soutien fraternel du peuple béninois », a conclu Patrice Talon.
A.A.A
Triste évènement ce mercredi 08 juillet 2020 au quartier Zongo à Parakou. Une candidate à l'examen du Brevet d'études du premier cycle (BEPC) est décédée des suites d'un accident de circulation.
Selon les informations, la jeune fille âgée de la vingtaine a été percutée par un taxi-moto communément appelé "Zémidjan" sur le tronçon en chantier non loin de la boulangerie. Sous le choc, elle a rendu l'âme sur place.
Ce drame a plongé candidats et parents d'élèves dans la consternation totale.
F. A. A.
Le tribunal de première instance de première classe de Cotonou a condamné ce mercredi 08 juillet 2020 à la session criminelle une femme de 28 ans à 10 ans de réclusion criminelle dont 06 fermes. Elle est jugée pour avoir jeté son bébé sur la plage de Fidjrossè, à Cotonou.
Selon Frissons Radio, les faits remontent à 2014, l'accusée alors âgée de 22 ans a rejoint son petit ami à Fidjrossè deux mois après avoir donné naissance à un bébé. Elle sort une nuit aux environs de 22 heures, et revient quelques instants après sans le nouveau né.
L'inculpée a dit à l'oncle de son petit ami qu'elle avait déposé l'enfant chez sa grand-mère. Peu convaincante dans ses réponses, elle a été conduite au poste de police. Suite à l'interrogatoire, le corps sans vie du bébé a été retrouvé sur la plage de Fidjrossè.
Elle avoue les faits et fut déposée en prison. Inculpée d'infanticide, l'accusée a été condamnée à 10 ans de prison ferme dont 06 fermes.
Ayant déjà passé six ans en prison, elle recouvre sa liberté.
A.A.A
L'Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (ORTB) est en deuil.
Le président de l'Amicale des retraités de l'ORTB, Faustin Somakpo n'est plus. Il a rendu l'âme ce mercredi 08 juillet 2020 de suites d'une courte maladie.
Le défunt est le fondateur et ancien président de l'Amicale des retraités de l'ORTB. Il a rejoint la demeure éternelle à l'âge de 88 ans.
F. A. A.
Mécontente de la punition que ses parents lui ont infligée, une étudiante s'est donnée la mort ce 08 juillet 2020 à Porto-Novo.
O. A., étudiante dans une université privée de la ville capitale aurait fumé la "chicha" lors d'une sortie avec ses amis dans un bar. Les vidéos montrant la jeune fille entrain de fumer parvenues aux parents ont déclenché la colère de ces derniers.
Et pour punir l'enfant qui s'est mal comporté, les géniteurs ont décidé de lui raser la tête. Une punition qui n'a pas été du goût de O. A. qui s'est suicidée.
F. A. A.
Les sapeurs-pompiers ont effectué plusieurs interventions au cours de la semaine écoulée pour divers sinistres. 152 sorties ont été effectuées et 04 décès enregistrés.
Selon les explications données par le commandant du groupement Amoussou rapportées par Frissons radio, ces interventions ont été effectuées dans les villes de Cotonou, Lokossa, et Djougou. Sur 152 interventions, 04 décès ont été enregistrés.
Le plus marquant des événements tragiques de la semaine écoulée selon le commandant, est celui lié à l'accident du mercredi 1er juillet 2020 où un motocycliste a percuté un véhicule en stationnement faisant une victime.
F. A. A.
En Conseil des ministres ce mercredi 08 juillet 2020, le ministre de l'agriculture de l'élevage et de la pêche, a fait le point de la campagne cotonnière 2019-2020. Selon Gaston C. Dossouhoui,
Selon le point de la campagne cotonnière 2019-2020, le Bénin a atteint une production minimale de 714 714 tonnes. Ce qui lui confère encore la place de premier producteur en Afrique devant le Mali et le Burkina Faso.
Le ministre très heureux des acteurs de la filière (producteurs, transporteurs, égréneurs etc. ) ayant travaillé à ce résultat, leur a adressé ses félicitations.
Depuis l'arrivée au pouvoir du chef de l'État Patrice Talon, les réformes engagées dans le secteur agricole ont permis de hisser le Bénin au rang de premier producteur. Des résultats jamais obtenus dans l'histoire du pays.
F. A. A.
GENERAL BUSINESS COSMETIC est une société béninoise spécialisée dans l'importation des produits de cosmétiques biologique de luxe basée à Cotonou sur l'avenue Steinmetz. Dans le cadre du lancement de sa grande campagne de communication, elle lance un recrutement d'agents commerciaux.
L'agent commercial se veut être une personne dynamique maîtrisant les techniques de vente a pour mission de commercialiser en gros les produits de la société moyennant un pourcentage qu'il percevra sur ses ventes ; et ce sur la base d'un contrat à durée déterminee de trois (03) mois renouvelable selon sa capacité de vente.
Pour toute personne ayant le profil et convaincue de mener efficacement cette mission, prière déposer votre dossier ( CV, LETTRE DE MOTIVATION, PHOTOCOPIE CARTE D'IDENTITÉ, ATTESTATION DE RÉSIDENCE ) par mail à : gbcfrance@gmail.com ou à l'adresse, AVENUE STEINMETZ à côté de LA BOUTIQUE HAIER, Boutique 612 au plus tard le lundi 13 Juin 2020. Tel : 97922929
En cas d'apparition d'un symptôme du Covid-19, l'individu doit rapidement se faire dépister. C'est une recommandation du Conseil des ministres de ce mercredi 08 juillet 2020.
Le gouvernement béninois recommande expressément à tous de se faire consulter ou orienter par les agents de santé dès l'apparition du moindre symptôme faisant penser à la Covid-19. En cas de contamination au Covid-19, le sujet pourra être rapidement prise en charge. Le dépistage à temps permet aussi d'avoir plus de chances de guérison.
Pour le dépistage quatre centres sont prévus dans la ville de Cotonou. Ils sont répartis comme suit : le Centre de Santé de Agbato à Akpakpa pour les habitants du 1er au 4ème arrondissements ; Homel-Lagune à Tokpa-Hoho, zone du Lycée Technique F. M. Coulibaly pour les 5ème et 6ème Arrondissements ; Ciné le Bénin à Maro-Militaire pour les populations du 7ème au 10ème Arrondissements.
Les populations du 11ème au 13ème Arrondissements pourront se faire dépister au Centre de Santé de Cadjèhoun à côté de l'Eglise catholique Bon Pasteur.
En Conseil des ministres, le gouvernement a instruit le ministre de l'intérieur Sacca Lafia à l'effet de veiller au respect strict des mesures de restriction toujours en vigueur.
Au nombre des mesures, il y a le port obligatoire de masques en tous lieux, le lavage des mains et l'observance de la distance de sécurité sanitaire d'un (01) mètre au minimum entre personnes.
Le Bénin compte environ 1300 cas de confirmés du coronavirus et 21 décès.
AAA
Les membres du gouvernement réunis en session ordinaire du Conseil des ministres ont adopté trois décrets ce mercredi 08 juillet 2020.
Il s'agit du décret portant attributions, organisation et fonctionnement du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ; du décret portant renouvellement de l'agrément de la Centrale d'Achat des Médicaments essentiels et Consommables médicaux (CAME) ; et celui portant nomination des membres de Conseil d'administration de l'Agence nationale de Qualité des produits de santé et d'eau, ainsi que de l'Agence des Infrastructures sanitaires, des Equipements et de la Maintenance.
F.A.A.
Dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus, le gouvernement béninois a pris des mesures de restriction. En conseil des ministres ce mercredi 8 juillet 2020, le gouvernement rappelle à l'attention des populations les règles d'hygiène et de prévention toujours en vigueur.
Au cours de la séance hebdomadaire, le ministre de la Santé Sacca Lafia a fait le point de la situation épidémiologique liée à la pandémie du Covid-19 au Bénin. Il s'en dégage qu' « en dépit de la progression des chiffres, une partie de la population banalise le mal en n'observant pas les mesures de prévention prescrites, compromettant ainsi les efforts de la majorité ».
Face à ce constat, le Conseil rappelle les mesures de restriction toujours en vigueur pour éviter la propagation de la pandémie. Il s'agit entre autres du port obligatoire de masques en tous lieux ; le lavage systématique des mains à l'eau et au savon ; l'observance de la distance de sécurité sanitaire d'un (01) mètre au minimum entre personnes ; la fermeture des discothèques ; l'interdiction d'accès aux plages ; l'interdiction des rassemblements de plus de cinquante (50) personnes et l'interdiction pour les taxis-motos (zémidjan) de transporter plus d'une personne à la fois.
A cela s'ajoutent l'obligation du port de masques et du respect de la distance de sécurité sanitaire entre passagers à bord des transports en commun ; l'obligation pour les employeurs, sur les lieux de travail, de faire respecter le port systématique de masques, d'installer le dispositif de lavage des mains et de faire respecter la distance d'un (01) mètre minimum entre personnes.
Les autres mesures de restriction sont la suspension des événements et manifestations à caractères sportif, politique et festif ; la limitation du nombre de passagers à bord des taxis et embarcations à trois (03) au maximum pour les véhicules de cinq (05) places et à 05 au maximum pour ceux de neuf (09) places et la prescription aux usagers des espaces marchands (boutiques, magasins, supermarchés, marchés ordinaires et autres) d'observer la distance d'au moins un (01) mètre entre personnes et de respecter le port de masque.
Aussi, les personnes souffrant d'affections chroniques doivent-elles éviter de sortir de chez elles sauf en cas de nécessité absolue.
Les cérémonies d'inhumation sont autorisées mais elles ne doivent pas rassembler plus de cinquante (50) personnes, lesquelles sont tenues de respecter la distance d'un (01) mètre minimum entre elles.
Le Conseil recommande également à tous de se faire consulter ou orienter par les agents de santé dès l'apparition du moindre symptôme faisant penser à la Covid-19 ; afin de favoriser leur prise en charge rapide et, ainsi, d'augmenter leurs chances de guérison.
Le Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique a été instruit à l'effet de veiller au respect strict des mesures de restriction en vigueur.
F.A.A
Le gouvernement a ordonné en conseil des ministres ce mercredi le lancement des travaux complémentaires d'aménagement et de bitumage des routes Missessinto-Zinvié-Sèdjèdénou-Zè et RNIE 1-Cococodji-Hèvié-Ouèdo-Calavi Kpota conclu avec l'entreprise EBOMAF SA.
L'exécution des travaux sur ces deux axes, longs respectivement de 32 et 21 kilomètres a fait apparaître la nécessité de réaliser des aménagements confortatifs pour renforcer la qualité et la durabilité des ouvrages, et tenir compte de la forte concentration démographique dans la zone du projet. Ce qui justifie « la construction d'un supplément en mètres linéaires de collecteurs en béton armé destinés à drainer les eaux pluviales vers les exutoires assez éloignés de la route, aux fins d'éviter les inondations dans les agglomérations traversées ».
Ces nouveaux travaux à réaliser concernent également l'éclairage public et les feux tricolores à installer, le dédoublement du pont de 240 mètres linéaires, la construction d'un pont de 15 mètres linéaires, indispensable pour favoriser la traversée du bas-fond de la localité de Togba. Ils intègrent, en outre, le déplacement des réseaux de la SBEE, de la SONEB et de Bénin Télécom SA, situés sur l'emprise des ouvrages à réaliser, précise le Conseil des ministres.
Le Conseil a marqué son accord pour la réalisation de ces travaux complémentaires, ainsi que la signature d'un contrat avec le Bureau chargé du contrôle et de la surveillance desdits travaux.
F.A.A.