L'audience plénière de la Cour Constitutionnelle s'ouvre ce jeudi 1er octobre 2020. Parmi la quinzaine de dossiers inscrits au rôle, il y a un recours contre le ministère du travail et de la fonction publique pour violation du principe d'égalité, et six autres contre des commissariats pour violation de la détention.
M. M.
Le Groupe Bolloré a été imposé par les Chefs d'Etat du Niger et du Bénin comme partenaire stratégique dans le projet de construction et de réhabilitation du chemin de fer Cotonou-Niamey. Une décision qui porte préjudices au Groupe PETROLIN pourtant déclaré adjudicataire et concessionaire dudit projet. Eu égard à l'évolution que connait actuellement ce dossier devant les tribunaux, il apparait selon des spécialistes en géostratégie et analyse économique, que le choix arbitraire du Groupe Bolloré dans cette affaire, apparait comme une option suicidaire pour l'économie béninoise et qu'il sied de rétablir monsieur Sameul Dossou dans ses droits induscutables.
Le comportement incompréhensif des autorités du Bénin dans la gestion du Dossier chemin de fer, est suicidaire pour l'économie nationale. En premier le Port de Cotonou. Il est de notorité publique que cette infrastructure est la locomotic de la marche de notre pays vers le développement.
Dans un contexte de mondialisation, où les entreprises et les Etats sont en compétition, la question se pose alors de savoir du point de vue géostratétique économique à qui profiterait une baisse du trafic au port de Cotonou dans un contexte où il y a le projet boucle ferroviaire Côte d'Ivoire Burkina Faso Niger Bénin Togo ?
Les pays terminaux du projet de la boucle ferroviaire Abidjan-Ouaga-Dori-Niamey-Cotonou sont la Côte d'Ivoire et le Bénin. Ce projet induit alors une compétition économique entre le Bénin et la Côte d'Ivoire malgré la bonne qualité de leur coopération.
De ce fait, il semble que tout soit mis en oeuvre pour empêcher l'Etat du Bénin dans la réalisation du Chemin de fer Cotonou-Niamey. Malheuresuement les autorités du Bénin ne se rendent pas compte de la manoeuvre. Une nation n'a pas d'amis mais des intérêts.
Bolloré un cheval de troie
Le Groupe Bolloré qui a la concession de la ligne ferroviaire Abidjan -Ouaga à travers sa société Sitarail connait bien le projet boucle ferroviaire Abidjan-Ouaga-Niamey-Cotonou et son importance économique pour la sous-région. Mais il est curieux de constater ce groupe n'a pas participé à l'appel d'offres bi-étatique -Benin Niger- dans le cadre de la mise en concession du Chemin de fer Cotonou-Niamey. Et pourtant, il dispose de plusieurs filiales à Cotonou.
Au terme de cet appel d'offre, c'est le Groupe PETROLIN qui a été déclaré adjudicataire et concessionnaire du projet. La lettre de confort et de notifification d'adjudication ont été notifiées à monsieur Samuel DOSSOU en attendant la signature de la convention de mise en concession du chemin de fer qui n'a jamais eu lieu depuis 2010.. Et contre toute attente, réunis à Cotonou le 7 novembre 2013, les Chefs d'etat du Bénin et Niger réunis à Cotnou le 7 novembre 2013, ont imposé le Groupe Bolloré comme parteniare stratégique de ce projet avec un actionnaire réparti comme suit : Groupe Bolloré 40%, Etat du Bénin 10%, Etat du Niger 10% , privés Nigeriens 20% et privés béninois 20% Dans le memorandum rendu public à Cotonou, le nom du Groupe PETROLIN de Samuel Dossou pourtant concessionaire du projet ne figurait nul part.
Voir documents à travers ce lien ci-après
http://www.24haubenin.info/spip.php?article4173
Selon les informations fournies par les ministres du gouvernement ces derniers jours, c'est que le Groupe Bolloré a été imposé par les Chefs d'Etat des pays du Conseil de l'Entente - Côte d'Ivoire, Burkina Faso, Niger , Bénin et le Togo- dans le cadre du projet Boucle ferroviaire. Un "diktat "que l'Etat souverrain du Bénin peut refuser à l'instar du Burkina Faso. Ce qui n'a pas été le cas. Une nation n'a pas d'amis mais des intérêts surtout quand ses privés nationaux sont impliqués dans un projet
Ce qu'on ne sait pas
Dans le projet boucle ferrioviaire, il a été retenu que chaque Etat organise la mise en concession de son chemin de fer. Le Bénin et le Niger d'une part, la Côte d'ivoire et le Burkina Faso d'autre part ayant leur ligne ferroviaire, il ne reste que la ligne Ougadougou -Niamey a construire.
Ainsi, le Groupe Timys a eu la construction de la ligne Ouaga-Dori et le Groupe Bolloré la ligne Dori-Niamey. Sur la ligne Niamey-Cotonou, c'est le groupe PETROLIN qui en est adjudicataire et concessionnaire.
Contrairement à ce qui est annoncé par les ministres du gouvernement, le projet de réhabilitation du Chemin de fer Cotonou-Parakou est une affaire interne au Bénin. Mieux l'appel d'offre dont le Groupe PETROLIN est adjudicatire porte sur la mise en concession de l'Ocbn qui a en charge la gestion de la ligne ferroviaire Cotonou-Niamey.
Dans ces conditions aucun blocage ne peut entraver la réhabilitation de ce projet dans la mesure où le Groupe PETROLIN qui présente assez de garantie a déja bouclé le financement du projet.
La grave erreur
Le projet boucle ferroviaire met en compétition le Bénin et la Côte d'Ivoire. En imposant le Groupe Bolloré sur soi-disant la volonté des autres d'Etat chefs, l'Etat du Bénin a commis la plus grave erreur. Un piège dans lequel il est tombé sans s'en rendre compte.
Pourquoi les mêmes Chefs d'Etat n'ont pas imposé le Groupe Bolloré sur la ligne Ouagadougou-Dori dont la construction est incombe désormais au Groupe Timys ? L'Etat du Bénin ne pouvait-il pas s'en tenir au groupe PETROLIN afin d'éviter les problèmes de droit qui se pose ntactuellement ?
A qui profite la paralysie sur la ligne ferroviaire Cotonou-Niamey ? En imposant arbitrairement le Groupe Bolloré dans la gestion du Chemin fer Cotonou-Niamey, les stratèges en économie connaisant la crédibilité et lan rigueur qui caractérisent le Groupe PETROLIN savent que monsieur Sameul Dossou éternel serviteur de Dieu ne peut que traduire l'Etat du Bénin devant les Tribunaux pour faire valoir ses droits. Pendant ce temps, les travaux sur l'autre aile de la boucle ferriviare seront achevés.
Ainsi le frêt du Niger pourrait transiter par la Côte d'Ivoire via le Burkina-Faso. En conséquence, on assiterait à une baisse du trafic port de Cotonou et par conséquent à une asphysie de notre économie nationale.
Le Bénin s'empresse, Le Niger ralentit
Ces derneirs mois, d'autres faits passés sous silence sont venus confirmer le piège dans lequel les autorités du Bénin se sont engouffrés inconsciemment apparemment avec l'appui de l'Etat du Niger.
Depuis quelques mois, le Groupe Bolloré fait du forcing pour signer une convention ferroviaire avec le Benin et le Niger. Bien qu'un protocole d'entente soit signé entre le Bénin et le Groupe Bolloré, il est curieux de constater que la signature de cette convention tripartite n'a pu aboutir. Présents à Paris du 21 au 26 juillet, les délégations du Niger et Bénin n'ont pu harmoiniser leur point de vue.
L'Etat du Niger a soulevé une exception relative au statut de l'Ocbn . En effet, c'est un traité qui régime cette organisation. En conséquence, il faut que le Parlement des deux Etats renoncent à ce traité avant qu'une autre société ne soit créee. Toute chose qui remet en cause le mémorandum du 7 novembre 2013 et qui conforte heureusement le Groupe PETROLIN dans sa position car cette socité est adjudicaire de la mise en concession de l'Ocbn
Prendre ses responsabilités
La construction du chemein de fer Cotonou-Niamey prend alors d'autres tournures. L'Etat du Bénin voyant le danger venir a contrairement à ses habitudes décidé de faire "balle à terre". Des ministres sont montés au créneau pour appeler au dialogue. Il a même été demandé au Groupe PETROLIN de retirer sa plainte devant les tribunaux. Dans le même temps, aucune action n'est entreprise pour rassurer le PDG du Groupe PETROLIN. On a tenté maladroitement de faire croire aux populations que si notre compatriote Samuel Dossou ne retire pas sa plainte, le projet sera bloqué et en conséquence, le port de Cotonou sera délaissé par les importateurs du Niger. C'est bien là un alibi car si le Bénin avait respecté ses engagements, la situation n'allait pas s'empirer.
Pour quelles raisons a-t-on délibrémment bloqué les vivres PAM destinés au Niger au moment où cet Etat voisin était confronté à la famine ? Pourquoi refuse -t-on de reconnaitre aujourd'hui que c'est en représailles à ce blocage des autorités du Bénin que le gouvernement du Niger n'a pas signé la convention ferroviaire au Groupe PETROLIN. Par la suite un putsch militaire est intervenu à Niamey et.....
L'Etat du Bénin est face à ses responsabilités. Il lui revient de rétablir la vérité dans cette affaire en réhabilitant le Groupe PETROLIN dans ses droits. et ce sera justice.
Judicael ZOHOUN
www.24haubenin.info ; L'information en temps réel
A partir du lundi 05 octobre prochain, les nouveaux bacheliers peuvent confirmer ou changer les filières précédemment choisies. L'annonce est faite à travers un communiqué du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Selon le communiqué signé du secrétaire général du ministère, l'opération de confirmation ou de changement de filière qui démarre le lundi 05 octobre prochain, va durer 07 jours et prendra fin le 12 octobre. En raison de la pandémie de la Covid-19, le changement ou la confirmation de filière se fera via une plateforme. Les nouveaux bacheliers sont invités à se rendre sur ladite plateforme dès son lancement pour procéder au changement ou à la confirmation des filières choisies.
Les détenteurs d'un BAC étranger sont appelés à choisir leurs filières à la direction générale de l'enseignement supérieur, précise le communiqué.
Par ailleurs, la collecte de choix des filières pour les détenteurs d'un BAC étranger ou d'un diplôme technique équivalent, se fera du lundi 5 au vendredi 9 octobre 2020.
Les retardataires sont invités à faire diligence pour remplir les formalités requises afin d'être pris en compte dans le processus de sélection et de classement.
F. A. A.
Le gouvernement a décidé d'accorder des primes d'éloignement aux enseignants aspirants qui seront affectés dans certains départements du Bénin.
« Ceux-là qui seront affectés dans les départements Donga, Borgou et Collines bénéficieront 5% de leurs salaires et ceux-là qui seront affectés dans les départements de l'Alibori et de l'Atacora bénéficieront quant à eux de 10% de leurs salaires », a expliqué Kakpo Mahougnon, ministre de l'enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle, le mercredi 30 septembre 2020 lors d'une conférence de presse.
M. M.
Le ministre de la communication, porte parole du gouvernement, a réagi face aux commentaires de l'ex-président Boni Yayi sur les propos du président Patrice Talon dans le magazine Jeune Afrique.
Selon Alain Orounla, les propos du Chef de l'Etat Talon, sont loin d'être ‹‹ une menace ou des invectives ». « Il s'agissait tout simplement d'une invitation renouvelée du président de la République, qui avait déjà eu l'occasion lors du discours du 1er août d'inviter ses prédécesseurs à la modération, à la sagesse, en toute humilité à l'aider à construire ce pays », a expliqué Alain Orounla, lors de la présentation du point du conseil des ministres du mercredi 30 septembre 2020.
M. M.
Acte 4 : Le corps de Sylvanus Olympio gît toujours à Agoué
Tué à Lomé au Togo, comment Sylvanus Olympio est-il enterré à Agoué au Bénin ? Comment a-t-on pu transporter son corps jusquà ce lieu traversant la frontière ? Ce sont des questions que beaucoup sont en droit de se poser.
Mais la réponse est toute simple selon les traditionalistes : l'homme retourne toujours à la source, à la maison familiale.
Juste après son assassinat, un petit cercle de la famille s'est réuni. Un membre de la famille Dagloria a insisté pour prendre la décision du transport du corps à Agoué, nous renseigne Emile Germa, un neveu de Sylvanus résidant dans la maison familiale à Agoué.
Ainsi Dagloria a pris sur lui la lourde mission et responsabilité de ramener le corps sans vie de son frère Sylvanus à sa famille.
A la frontière, les gens n'ont rien remarqué car Dagloria avait usé des pouvoirs mystiques pour hypnotiser policiers et douaniers. Il a donc traversé la frontière sans aucun problème et ramené Sylvanus à son père à Agoué.
Après les cérémonies selon le culte catholique, il est enterré au cimetière de la paroisse, où il se repose pour toujours, ajoute Emile Germa.
Mais après l'enterrement, il y a eu plusieurs émissaires du Président togolais qui sont venus et ont tenté de déterrer le corps pour le ramener au Togo, mais en vain.
Même actuellement, le Président Faure Gnansingbé est en négociation avec la famille pour que les restes soient déterrés et transportés au Togo. Car pour la partie togolaise, Sylvanus Olympio est le Père de lindépendance du Togo et son corps ne saurait se retrouver hors du territoire togolais.
Mais toutes ces négociations sont vaines car la famille, même Gilchrist Olympio, le fils du défunt n'a pas l'intention de transférer le corps de son père, a conclu Emile Germa.
Le corps de Sylvanus Olympio, premier Président du Togo indépendant, gît toujours à Agoué-Adjigo dans la commune de Grand-Popo en République du Bénin.
Romain COKOU
La maison familiale Olympio à Agoué et la tombe de Sylvanius
Selon le point du conseil des ministres, le gouvernement a décidé d'appliquer aux évacuations, le mécanisme de ticket modérateur de 20%. Un mécanisme qui prend en compte la prise en charge à hauteur de 80% par l'Etat des frais de tout bénéficiaire d'évacuation sanitaire dans les formations sanitaires nationales ou étrangères.
M. M.
Le ministre de la santé a présenté en conseil des ministres ce mercredi 30 septembre 2020, le point de la gestion des évacuations sanitaires. Il en ressort que ‹‹ quinze milliards cent quatre trente huit millions quatre cent soixante mille quatre cent quarante-cinq (15.138.460.445 FCFA) dont neuf milliards cent quatre vingt-treize millions deux cent soixante-quatorze mille neuf cent cinquante-huit FCFA de frais de transport ›› sont engagés dans les évacuations sanitaires pour l'année 2015.
De 2018 à 2020, le point des montants engagés passe à ‹‹ cinq milliards quatre-vingt-quatre millions (5.084.000.000) FCFA, frais de transport compris ››.
A l'analyse des chiffres, une économie d'environ 10 milliards de FCFA se dégage du point des montants engagés pour les évacuations sanitaires sur la période de 2018-2020.
Selon le point du conseil des ministres, les réformes effectuées et l'implication de la Cellule des Voyages Officiels ont permis d'atteindre ce résultat.
M. M.
En Conseil des ministres ce mercredi 30 septembre 2020, le gouvernement a autorisé la prise d'avenants aux marchés de travaux d'aménagement et de bitumage des tronçons de route Porto-Novo-Akpro-Missérété/Pobè-Adja-Ouèrè-Ounhi et la bretelle RNIE1 Akonaboè-Danto et Missérété-Pobè/Obèlè-Frontière du Nigéria.
Selon le Conseil des ministres, au cours de l'exécution de ces chantiers, l'actualisation du projet faite par la mission de contrôle, a abouti à la nécessité de réaliser des travaux confortatifs et supplémentaires pour son amélioration. Il s'agit notamment de l'élévation des murs de soutènement devant le marché Ouando afin de contenir les différentes couches réalisées sur la chaussée ; de la fourniture et la pause de grillages devant ledit marché afin d'assurer la sécurité des passagers ; de la plantation d'arbres le long du tronçon et l'aménagement des carrefours en espaces verts ; de la mise en place de l'éclairage public solaire en lieu et place des lampadaires conventionnels ; de la construction d'exutoires, de caniveaux ou fosses bétonnées et la protection des talus en béton dans les sections de fortes pentes longitudinales ; de la construction d'un dalot multi-cadres au PK 21+350 de la route Adja-Ouèrè-Ouinhi.
A ces différents travaux s'ajoutent le rehaussement de la route à certains endroits afin d'éviter qu'elle soit submergée par l'eau ; la libération totale de l'emprise des travaux ; et l'optimisation de la structure de chaussée de la section Akpro-Missérété/Pobè/Obèlè.
F. A. A.
Le gouvernement a tenu ce mercredi 30 septembre 2020, la session ordinaire du Conseil des ministres. Plusieurs décrets ont été adoptés au cours des travaux.
Il s'agit entre autres, du décret portant nomination des commissaires aux comptes près d'entreprises publique ; du décret portant nomination des membres du Conseil d'administration de l'Agence SEME-CITY, et du décret portant modification du décret portant création, attributions, organisation et fonctionnement de l'Agence béninoise de l'environnement (ABE).
F. A. A.
L'ex-ministre de la microfinance et de l'emploi des jeunes et des femmes et actuelle conseillère spéciale du Président togolais, Reckya Madougou, était ce mercredi 30 septembre 2020 l'invitée de l'émission le Club de l'Economiste. Elle s'est prononcée sur des questions relatives à la monnaie Eco, la mise en œuvre des objectifs de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) et la fermeture des frontières nigérianes.
Reckya Madougou soutient que la monnaie Eco va restaurer la souveraineté à la fois politique et économique de nos pays. Certes, la monnaie Eco ne sera pas la seule condition pour le développement, mais elle va favoriser l'intégration de notre sous-région « en ce sens où une monnaie unique non seulement elle facilite les échanges mais surtout cela permet aux agents économiques d'êtres indépendants vis-à-vis de l'extérieur ». L'amazone de l'inclusion financière prône une parité flexible de l'Eco.
En ce qui concerne la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), elle souligne que la mise en œuvre des objectifs va permettre l'intensification de la production locale et les échanges entre les pays africains. « Le commerce intra- continent ne représente que 16 %. (…). Quand vous prenez d'autres continents, ils commercent jusqu'à 75 % entre eux-mêmes », a-t-elle déploré.
Sur la question de la réouverture des frontières bénino-nigérianes, la Conseillère Spéciale du Président Faure Gnassingbé se réjouit des discussions en cours pour résoudre ce contentieux. Elle félicite les deux parties et les encourage à poursuivre les discussions.
A.A.A
Invitée ce mercredi 30 septembre 2020 sur l'émission ‘'Le Club de l'Economiste'', l'ex ministre de la Justice du Bénin Reckya Madougou a présenté aux journalistes les différents aspects développés dans son nouveau ouvrage ‘'Soigner les certitudes''.
‘'Soigner les certitudes'' est le nouveau livre entretien, de l'ex Garde des Sceaux Reckya Madougou réalisé avec la collaboration de l'écrivain Stephens Akplogan et préfacé par le président sénégalais Macky Sall. L'ouvrage paru aux éditions Jean-Jacques Wuillaume en France a pour sous-titre une « dialectique d'inclusion et du minimum humain en Afrique ».
Au-delà d'une simple biographie, le livre entretien porte sur des sujets d'intérêt général pour l'Afrique. « Il faut soigner les certitudes parce que malheureusement, il y a trop de préjugés sur l'Afrique, notre façon de penser le développement, on pense tellement à notre place qu'il faut à un moment curer les mentalités », a déclaré Reckya Madougou.
Pour elle, « il faut que nous projetions une image belle et forte de nous ». Si nous sommes tout le temps dans les plaintes et complaintes, « on ne nous verra que comme des misérables ».
L'une des certitudes qu'il faut soigner, c'est d'accepter que l'Afrique a besoin de l'aide pour se développer. « Cette aide qui a une connotation d'assistanat nous n'en voulons pas. En revanche, si nous nous retrouvons dans un partenariat gagnant-gagnant ou la dignité du continent est respectée, on s'en sortira. Il faut donc décomplexer nos relations avec le reste du monde. La supposée pauvreté dont les gens parlent n'enlèvent rien de notre fierté et de ce que nous savons faire », souligne-t-elle.
Tout au long des pages de son ouvrage, l'experte internationale en finance inclusive a insisté sur la spiritualité de l'effort. La spiritualité de l'effort explique-t-elle, c'est ça qui distinguera une personne de son collègue. « Plus quelqu'un mettra du courage à travailler, plus il découvrira de la lumière et rencontrera du bonheur en chemin. Moins vous fournirez de l'effort, moins vous aurez du succès », a notifié l'ex-ministre béninois de la micro finance et de l'emploi des jeunes et des femmes.
Selon elle, il faut s'opposer aux préjugés qui prévalent contre le continent africain. « Quand par exemple, l'aide au développement nous impose des stratégies de développement, vous comprenez très bien que ces stratégies ne peuvent pas être les meilleures pour nos pays parce que personne ne peut mieux connaître nos pays que nous-mêmes », soutient l'ex Garde des sceaux.
Promouvoir la citoyenneté économique
Reckya Madougou aborde dans son ouvrage les éléments essentiels de son éducation qui ont eu un impact direct sur son parcours, mais aussi le concept de la citoyenneté économique. « A côté de la citoyenneté civique, il faut promouvoir un citoyen de type nouveau, c'est-à-dire un agent économiquement rentable », indique la Conseillère Spéciale du Président de la République togolaise.
Pour développer le continent, il faut mettre en place les mécanismes à savoir : la formation, l'éducation, le renforcement des capacités pour l'entrepreneuriat.
Ce qui va favoriser l'entrepreneuriat selon elle, c'est l'inclusion financière qui n'est que « la mise à disposition des ressources financières, des capacitations en matière de gestion entrepreneuriale au niveau des jeunes et des femmes qui souhaitent entreprendre ».
L'auteure met également l'accent sur l'autonomisation des femmes, la transformation structurelle de l'agriculture, l'intelligence politique et la justice sociale. Les recettes de cet ouvrage (1000 exemplaires déjà vendus) sont destinées aux orphelinats que Reckya Madougou accompagne depuis plusieurs années.
A.A.A
Une certaine de nominations a été prononcée en conseil des ministres de ce mercredi 30 septembre 2020. Des procureurs, des présidents de tribunaux, des juges et leurs substituts sont nommés au niveau du ministère de la justice.
Au ministère du travail, de nouveaux directeurs sont nommés dans les directions de la fonction publique de plusieurs départements. Une nomination a été prononcée au ministère de l'industrie et du commerce.
M. M.
En conseil des ministres ce mercredi 30 Septembre 2020, plusieurs nominations ont été faites.
Au ministère du Travail et de la Fonction publique
Sur proposition du Ministre
Directeur départemental du Travail et de la Fonction publique des départements comme ci-après :
Alibori
Monsieur Faustin Tiburce COLLY
Atacora
Monsieur Jacques SEKE
Atlantique
Madame Lamatou ALASSANE OUASSANGARI
Borgou
Monsieur Ramanou AROUNA
Collines
Monsieur Dokopé Séraphin YOKOSSI
Couffo
Monsieur Jules Parfait Akpédjé ADOSSOU
Donga
Monsieur James AMOUSSOU
Littoral
Monsieur Delphin GBOGBANOU
Mono
Monsieur Fred WHANNOU
Ouémé
Madame Siga Edwige AKOTENOU
Plateau
Monsieur Robert Bertrand TAHOUNGA
Zou
Monsieur Edgard DAHOUI
Au ministère de l'Industrie et du Commerce
Directeur général de l'Agence nationale de Métrologie
Monsieur Gabin Joseph K. DEGBEY
Le Conseil des Ministres s'est réuni ce mercredi 30 Septembre 2020. Au terme des nominations ont été faites dans les cours et Tribunaux
MESURES INDIVIDUELLES
Nominations :
au ministère de la Justice et de la Législation ;
au ministère du Travail et de la Fonction publique ;
au ministère de l'Industrie et du Commerce.
III- Mesures individuelles.
Les nominations ci-après ont été prononcées.
Au ministère de la Justice et de la Législation
Après avis du Conseil supérieur de la Magistrature
A la Chancellerie
Conseiller technique
Monsieur Abdou Moumouni S. GOMINA
Inspecteur général adjoint
Monsieur Adingni Christophe ATINMAKAN
Inspecteurs
Messieurs
Comlan Corneille Malick COSSOU
Bignon ADJOBIMEY
Zacharie Mahoutin DAH-SEKPO
Directrice des Affaires civiles et des Sceaux
Madame Tonami Sandrine Muriel MONGBO
A la Direction des Affaires Civiles et des Sceaux
Magistrat
Monsieur Sènanlidé Marcus Engelbert GLELE
A la Direction des Affaires Pénales et des Grâces
Magistrats
Mesdames et messieurs
Wadagbé Rose Nadège AMOUSSOU épouse TOSSOU
Sandra Lydwine Armante SONON épouse AGBADJAGAN
Marcel Dossa Sèlomè NAGNONHOU
Fleury Rodrigue AMOUA
A la Direction de la Législation et de la Codification
Magistrats
Messieurs
Ignace ADIGBLI
Lambert DADY
A la Direction des Services et Professions judiciaires
Magistrat
Madame Gbessossou Sessi Ericka Marie-Aimée SINGBE
Dans les juridictions
A la Cour suprême
Sur proposition du Président de la Cour suprême
Conseillers
Messieurs
Vignon André SAGBO
Goudjo Georges TOUMATOU
Edouard Ignace GANGNY
Pascal DOHOUNGBO
Avocats généraux
Sur proposition du Ministre
Messieurs
Hubert Arsène DADJO
Mardochée M. V. KILANYOSSI, cumulativement avec ses fonctions au Conseil supérieur de la Magistrature
A la Cour d'appel de Cotonou
Président
Monsieur Sèyivi Justin GBENAMETO
Conseillers
Messieurs
Florentin GBODOU, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Désiré Padel DATO
Koffi Virgile Léandre KPOMALEGNI
Antoine Kocou HOUEZE
Angelos TOGBE, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Issoudine IBRAHIM
Substituts généraux
1er Substitut général
Monsieur Michel ADJAKA
2ème Substitut général
Monsieur Léon Pape Parfait Médéton YEHOUENOU
3èmer Substitut général
Monsieur Blaise Gilbert Isaac KISSEZOUNON
4ème Substitut général
Monsieur Ayinla Muhamed Akim ABDOULATIF
A la Cour d'appel de Parakou
Président
Monsieur Agboton Alexis METAHOU
Conseillers
Messieurs
Kouessi Bienvenu ANAGONOU
Eric-Marcel AHEHEHINNOU
Au Parquet
Procureur général
Monsieur Claude Dieu-Donné MONTCHO
1er Substitut général
Monsieur Ousman ALEDJI
2ème Substitut général
Monsieur Armand GOUNON
A la Cour d'appel d'Abomey
Conseillers
Madame et messieurs
Eudoxie Akouavi Marie-Christiane AKAKPO
Mahougnon Jules Clotaire Wilfrid ZOUNHO
Cosme AHOYO
Au Parquet général
Procureur général
Madame Nakpokou Marie-Josée Nougbognon PATHINVO
1er Substitut général
Monsieur Apollinaire Serge TCHINA
2ème Substitut général
Monsieur Koutchoro Ambroise ADJIBOYE
Au Tribunal de Commerce de Cotonou
Juges au Tribunal
Messieurs
Assèh Maximilien KPEHOUNOU
Codjo Jonas KONON
Au Tribunal de première instance de 1ère classe de Cotonou
1er cabinet d'instruction
Monsieur Jijoho Convers Paul FAGNIDE
2ème cabinet d'instruction
Monsieur Nadjimou GADO
3ème cabinet d'instruction, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Madame Islamiath Alakè Konirêgni MOUSTAPHA
4ème cabinet d'instruction
Monsieur Serge HOUNNOUVI
5ème cabinet d'instruction
Monsieur Rodrigue Serge HOUNMANAKAN
Juges au Tribunal
Messieurs
Mitonhou Ferdinand DEGBELO
Guy Noukpo HONGA
Roland Kossi AGOSSOU
Babatoundé Parfait ADOUN
Alain Raoul Noutaï AGBOTON
Sègbédji Constatin Nicodème VIGAN
Au Parquet
2ème Substitut
Madame Gratias Gwladys GNACADJA HOUESSOU
3ème Substitut
Monsieur Francis Enagnon BODJRENOU
4ème Substitut
Monsieur Lié Norbert DADJO
5ème Substitut, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Monsieur Amand Donald Regan HOUNGUE
Au Tribunal de première instance de 1ère classe de Porto-Novo
Président, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Monsieur Adamou MOUSSA {{}}
Juge du 1er cabinet d'instruction
Monsieur Aïdo Nasser Michel LINSOUSSI
2ème cabinet d'instruction
Monsieur Assogba Mathieu KAKPO
3ème cabinet d'instruction
Monsieur Aboudou Razack BELLO
Juges au Tribunal
Messieurs
Ayédjô Fidèle IKO AFE
Sèwèna Rodrigue Martial GBAGUIDI
Richard AKODOSSI
Yénoukoumè Névaly SETTIN
Marius HOUNDJI
Au Parquet
Procureur de la République, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Monsieur Anihouvi Célestin KPONNON
2ème Substitut
Monsieur Yémali Yélinest AHOUEYA
3ème Substitut, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Madame Edwige Fifamè AKLOU épouse TANGNI
Au Tribunal de première instance de 1ère classe de Parakou
Président
Monsieur Nourou Dine Malick BAKARY
2ème cabinet d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Herbert SOLEVO
Juge du 3ème cabinet d'instruction
Madame Bignon Séko Félicité SEKO N'GOYE
Juges au Tribunal
Messieurs
Adandé Olatundé Henri Joël OUESSOU
Mèdétonhou Octave Jocelyn GBAGUIDI
Mohamed Saliou OBONNOU
Akotchayé Marius Boccace OGOU
Cadnel Prince-Héraclès DADJO
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Amadou Bachirou ASSOUMA
1er Substitut
Monsieur Abilé Gédéon ADJIBOYE
2ème Substitut
Madame Dicouanidié Gisèla-Muriel KOUAGOU
3ème Substitut
Monsieur Jaurès Neil Sèna ZINFLOU
Au Tribunal de première instance de 2ème classe d'Abomey-Calavi
Président
Monsieur Raynier Florent GNANSOMON
1er cabinet d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Gabriel Taurin Akiola Alabi AFFOGNON
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Monsieur Hotègni Sèmèvo Médard GANDONOU
Juge du 3ème cabinet d'instruction
Madame Bénédicte Stella Dolorès TAKOLODJOU
Juges au Tribunal
Messieurs
Hervé Théodore Comlan HOUDEGBE
Yadèlin Justin SEGLE
Morel Enagnon DENAMI
Armick Mêtounsè Charmant Rovinis OUIDODJICHE
Au parquet
1er Substitut
Monsieur Sourou Noël HOUNGBO
2ème Substitut
Monsieur Sètchégbé Alexandre Desville GBEDJI
3ème substitut
Madame Souhaïlatou TOURE IDRISSOU
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Ouidah
Président, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Madame Kobayé Edibayo Joanna Carmelle DASSOUNDO
1er cabinet d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Goumbadé Appolinaire G. HOUNKANNOU
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Madame Christèle Nelly Ibilohounkè ASSOGBA
Juges au Tribunal
Madame Léhéhia Christelle Jésuyon LAGBENOU
Monsieur Bidossessi Boris Labre HOUNDIGANDE
Au Parquet
1er Substitut
Monsieur Gbèdagba Victor DAGBOMEY
2ème Substitut
Monsieur Tédé Pacôme FALANA
Au Tribunal de première instance de 2ème classe d'Allada
Juge d'instruction du 1er cabinet et juge des mineurs
Monsieur Eric Edjrossè FIDEMATIN
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Monsieur Salim Oussène Sanka DANKORO
Juges au Tribunal
Madame Murielle Ismène FAIHUN
Monsieur Eude Jésoutonden HOUNGBEDJI
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Kokou Agbézoungué Bernadin HOUNYOVI
Substitut
Madame Sènamè Flora Hermione GNIMAGNON
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Pobè
Juge d'instruction et juge des mineurs
Madame Mignonhin Constantine SODINYESSI
Juges au Tribunal
Monsieur Kote Pascal Hermann Yannick MENSAH
Madame Akuwa Gisèle SOGLOHOUN
Monsieur Codjo Tata Thierry HOUNKPE
Au Parquet
Substitut du Procureur
Monsieur Kokou Bienvenue ATCHEFFON
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Natitingou
Président
Monsieur Hervé Vihognon GNANSOUNOU
1er cabinet d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Winnock Gildas Martial Dénis Kpêdetin GOUNDETE
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Monsieur Pacôme DOUKLOUI
Juges au Tribunal
Mesdames et monsieur
Christine Ayaba AKOHOUHOUE
Audrey Florencia TCHOGNINOU
Michel Gbenakou AGBODJOGBE
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Samuel NOUTOHOU
1er Substitut
Monsieur Sovidé GAHOU
2ème Substitut
Monsieur Sènan Lionel KADJA KOWENON
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Djougou
Juges d'instruction du 1er cabinet et juge des mineurs
Monsieur Idossou Ivignon Rodrigue SEDONOUGBO
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Monsieur Houénagnon Bamikolé MONTCHO
Juges au Tribunal
Messieurs
Sètondji Pierre CODJIA
Enagnon Elie SOUMAHO
Au Parquet
Substitut du procureur
Madame Odette M'BOMA N'KUWE
Au Tribunal de première instance de 2ème classe d'Abomey
Président
Monsieur Alphonse GBOSSOU
1er cabinet d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Firmin AMOUSSOU
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Madame Amour Héléna Ebun Oluwa MAHMA
Juge du 3ème cabinet d'instruction
Madame Ahogbemin Inès Aubierge MAGNIDE
Juges au Tribunal
Messieurs
Lionel Martial Mahugnon DJIVOH
Zinsou Chivane AFAVI
Mamoudou Adjassa ABIOLA
Tadjou N'Dine BOBA N'GBON
Au Parquet
1er Substitut
Monsieur Sossa Alain David AMOUSSOU
2ème Substitut
Monsieur Rodrigue Songe Ayobami Adéoyé AFFOGNON
3ème Substitut
Madame Elsa Candide Mondukpè KOKOSSOU
4ème Substitut
Monsieur Rogatien Amos Zinsou WOWIGNANNON
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Lokossa
Président
Monsieur Codjo Raymond GODEMIN
Juge du 1er cabinet d'instruction et juge des mineurs, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Monsieur Bienvenu SOHOU
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Monsieur Coffi Paul BIWINTON
Juges au Tribunal
Mesdames et monsieur
Claudia Désirée Mahugnon GOUHOUEDE
Ablawa Nadège NASSARA
Sèdjro Urielle Michelle DJIBODE
Sabi GNAGO
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Lucien DJIMENOU
1er Substitut
Madame Akouélé Irisse FATONGNON
2ème Substitut
Monsieur Nicoli Giovani Judicaël ASSOGBA
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Kandi
Président
Monsieur Gbèmèho Robert TITO
Juge du 1er cabinet d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Zéphyrin AGASSOUNON
Juge du 2ème cabinet d'instruction
Monsieur Djohodo Gbènanto Mikonou GNANSOUNOU
Juges au Tribunal
Messieurs
Sèmiou ASSIRI
Moboladji Mouazim CHITOU
Auxence Mariet Donald TINGBO
Au Parquet
1er Substitut
Monsieur Willis Jules DOHOU
2ème Substitut
Madame Cica Houéfa Irène Martine CODO
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Malanville
Président
Monsieur Ahinadjè Gbètoho Arlen DOSSA-AVOCE
Juge d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Laurent Samuel Justin BABO
Juge au Tribunal
Monsieur Florent DEGBEY
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Adéola Paul Richard da MATHA
Substitut
Madame Marie Mathilde Vinassé MEKPOH
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Savalou
Président
Monsieur Mitonji Tonasou ADOKO
Juge d'Instruction et Juge des Mineurs
Monsieur Adjihounnoukoun Flého Marc GBEGNIDE
Juges au Tribunal
Madame Tatiana Rachel DJESSOUHO
Monsieur Onézime Anselme Lisboa CODJA
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Jesukon Antoine ABEVI
Substitut
Monsieur Sourou Séraphin ADOUNSI
Au Tribunal de première instance de 2ème classe d'Aplahoué
Juge d'Instruction et Juge des Mineurs
Monsieur Hodogbé Paulin AHOUANDOGBO
Juges au Tribunal
Madame Efua Jennifer Sandra JOHNSON
Monsieur Aldo Charbel GNANCADJA
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Camille Aristide FADE
Substitut
Monsieur Sènan Gérard AFFEDJOU
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Dassa-Zoumè
Président
Monsieur Sowhannou Gutemberth Adelain Armel AZODOGBEHOU
Juge d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Mahumin Martophe GUENON
Juge au Tribunal
Monsieur Mawouéna Fidèl TOHOUENOU
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Jacob FIDEGNON
Substitut
Monsieur Marcel OUNTIN
Au Tribunal de première instance de 2ème classe de Comè
Président, cumulativement avec ses fonctions à la CRIET
Monsieur Fortunato KADJEGBIN
Juge d'instruction et juge des mineurs
Monsieur Mohamed Yessoufou ASSANI
Juge au Tribunal
Madame Balkissou OSSENI
Au Parquet
Procureur de la République
Monsieur Vidjannagni Rodrigue AGO
Substitut
Monsieur Jésutoyin Paul BABATOUNDE
A travers un arrêté ministériel, le ministre Benjamin Hounkpatin a suspendu une dizaine d'agents au ministère de la santé. Il est reproché à ces agents, une absence prolongée et injustifiée à leurs postes de travail.
Cette décision du ministre de la santé fait suite à une investigation. Selon Banouto, les agents sanctionnés auraient été absents pendant des mois voire des années sans la sollicitation auprès de la hiérarchie d'une mise à disposition ou un acte administratif adéquat, mais continuent de percevoir leur salaire. Plusieurs autres agents désertent leur poste sans aucune forme de procès mais continuent de recevoir leur salaire, selon la même source. Une situation inacceptable pour le ministre de la santé qui considère que ces agents sont en rupture de travail avec l'Etat béninois et par conséquent, ils doivent être suspendus.
Des instructions sont données aux responsables au niveau périphérique et au niveau central à l'effet de porter à la connaissance des autorités compétentes la situation de tout agent en rupture tacite de contrat avec l'Etat, afin de mettre fin à cette pratique préjudiciable aux caisses de l'Etat.
F. A. A.
La rentrée scolaire 2020-2021 a démarré lundi 28 septembre 2020 au Bénin avec le programme de cantine scolaires. Un projet du gouvernement qui a pour but d'assurer un repas chaud aux apprenants afin de les maintenir à l'école.
A Toffo dans le département de l'Atlantique, précisément à l'EPP Togoudo située dans l'arrondissement de Djanglanmey, c'est déjà la croix et la bannière. Les apprenants doivent parcourir des kilomètres afin d'approvisionner la cantine de leur école en eau. Pire, l'eau ainsi recueillie n'est pas potable. C'est de l'eau de marigot, et pour s'en approvisionner, ces âmes innocentes doivent parcourir des kilomètres. Une situation préjudiciable pour les apprenants.
F. A. A.
Le ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l'étranger, M. Nasser Bourita, a effectué mardi 29 septembre 2020 une visite à Bamako sur très instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Au cours de sa visite, il a eu des échanges avec plusieurs personnalités.
Le ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l'étranger, M. Nasser Bourita, a été reçu en audience par le président de transition de la République du Mali, Son Excellence Monsieur Bah N'Daw. Il a également échangé avec le Vice-président de transition, le Colonel Assimi Goïta, ainsi qu'avec le Premier ministre de transition, M. Moctar Ouane.
M. Nasser Bourita a aussi eu des entretiens avec des dignitaires maliens, notamment M. Bouyé Haïdara et l'imam Mahmoud Dicko.
Pour le dignitaire malien l'Imam Mahmoud Dicko, « le soutien du Royaume du Maroc au Mali traduit une longue histoire qui unit les deux peuples ».
« Ce n'est pas une coopération qui date d'aujourd'hui, c'est depuis l'indépendance du Mali que le Royaume accorde le même soutien et le même accompagnement à l'endroit du peuple malien », a-t-il déclaré.
La visite du chef de la diplomatie marocaine « traduit en réalité toute la sympathie et l'amitié à l'endroit du peuple malien, et surtout ce que le Commandeur des croyants Sa Majesté le Roi Mohammed VI représente pour le Mali ».
« Nous devons réaffirmer et consolider encore davantage ces liens qui unissent nos deux peuples », a indiqué l'Imam Mahmoud Dicko.
A toutes les occasions où le Mali traverse des situations difficiles rappelle-t-il, le Maroc est le premier pays qui vient au secours du Mali.
L'ensemble des interlocuteurs maliens, « et à leur tête le président de transition de la République du Mali, Son Excellence Monsieur Bah N'daw, ont tenu à exprimer leurs sincères remerciements à Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour la sollicitude permanente dont il a toujours entouré la République du Mali et son peuple ».
A.A.A