La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication a rendu publique les liste des journaux et écrits périodiques qui ont une existence légale au Bénin. C'est à travers la décision N°21-013/HAAC en date du 16 mars 2021.
81 quotidiens, 08 hebdomadaires et 04 Bihebdomadaires « ont une existence légale à la date du 02 mars 2021 et peuvent, jusqu'à nouvel ordre, faire l'objet de revues de presse ou de titres sur les antennes des radiodiffusions sonores et des télévisions nationales installées au Bénin », a indiqué la Haac. Selon la décision N°21-013/HAAC en date du 16 mars 2021 portant publication des journaux et écrits périodiques ayant une existence légale en République du Bénin, les quotidiens et écrits périodiques cités sont astreints à faire le dépôt légal, à mettre leur enseigne devant le siège et à informer de tout changement de siège, de directeur de publication et d'imprimerie.
Votre journal 24 HEURES AU BENIN est parmi les quotidiens reconnus par l'institution en charge de la régulation des médias.
M. M.
Décision N°21-013/HAAC du 16 Mars 2021 portant publication des journaux et écrits périodiques ayant une existence légale en République du Bénin
I- QUOTIDIENS (72)
1. INFO MATIN
2. LE PROGRÈS
3. LA PRESSE DU JOUR
4. LE PAYS EMERGENT
5. LE GRAND JURY
6. L'AUTRE QUOTIDIEN
7. LES 4 VERITES
8. LA TRIBUNE DE LA CAPITALE
9. LE SOLEIL BÉNIN INFO
10. LE TÉLÉGRAMME
11. LE BÉNINOIS LIBÉRÉ
12. L'AFFICHE DU JOUR
13. L'ACTUALITE
14. PALMARES
15. LE GRAND MATIN
16. L'AUDACE INFO
17. LA PRIORITE
18. LA NOUVELLE GÉNÉRATION
19. DEMOCRA TE INFO
20. COMMUNAL INFO
21. 24 HEURES AU BENIN
22. L'ECHIQUIER
23. MONDE INFOS 7
24. LA BOUSSOLE
25. INFO-PLUS
26. PALABRE AU QUOTIDIEN
27. MATIN LIBRE
28. DAABAARU
29. VIF D'AFRIQUE
30. LE MEILLEUR
31. LE ROUTIER
32. L'ECONOMISTE DU BÉNIN
33. DECRYPTAGE INFOS
34. LA PRIMEUR
35. LUMIERE INFO
36. ACTU EXPRESS
37. L'INFORMATEUR
38. L'INDEPENDANT
39. LE MATIN
40. LE GONGONNEUR
41. LE NATIONAL
42. EVENEMENT DU JOUR
43. LE CONTEMPORAIN
44. LA DIASPORA DE SABBAT
45. L'INVESTIGATEUR DU JOUR
46. LE DEVOIR
47. DYNAMISME INFO
48. LA CLOCHE
49. LES NOUVELLES DU JOUR
50. L'AUTRE VISION
51. POINT MEDIA
52. NOTRE TEMPS
53. LA RELEVE INFO
54. LE CHALLENGE
55. LE LEADER DU JOUR
56. LE CLAIRON
57. LA NOUVELLE GAZETTE
58. LE MATINAL
59.LE NOUVEL OBSERVATEUR
60. DJAKPATA
61. LE POTENTIEL
62. L'AFRIQUE EN MARCHE
63. LE RENOVATEUR
64. EMERGENCE INFO
65. SANG-NEUF
66. NORD SUD QUOTIDIEN
67. LE CONFRERE DE LA MATINEE
68. LIBERATION
69. NASSIARA
70. L'EVENEMENT PRECIS
71. NOUVELLES MUTATIONS
72. L'OPINION AUJOURD'HUI
73. FRATERNITE
74. LA DEPECHE
75. BENIN INTELLIGENT
76. L'EMERGENT
77. GASKIYANIINFO
78. LE CHASSEUR INFOS
79. L'ULTIME INFO
80. PARTNERS NEWS
81.LE RURAL
II- HEBDOMADAIRES (08)
1-LA GAZETTE DU GOLFE
2- EDUC'INFO
3- EDUC' ACTION
4- LE CANARD DU NORD
5- LE MUNICIPAL
6- LA CROIX
7- LE JUSTICIER
8- LE COOPERANT
III-BI HEBDOMADAIRES (04)
1- DEFI INFO
2-LE MUTATEUR
3- LES SCOOPS DU JOUR
4- LE JOURNAL DE NOTRE EPOQUE
Pour n'avoir pas respecté les coutumes de Tchatingou, localité de Tanguiéta, des fidèles et un pasteur d'une église ont été molestés par les populations mardi 16 mars 2021.
Selon Frissons Radio, les jeunes de la localité ont débarqué dans l'église alors que les fidèles étaient en plein culte. Et pour cause, les fidèles n'ont pas respecté les coutumes de la localité.
En période d'initiation des jeunes adolescents de Tchatingou qui doivent passer à l'âge adulte, la coutume interdit de jouer le tam-tam et la musique. La cérémonie en cours prend fin le 31 mars. Au culte du mardi, l'église a dérogé à la règle.
La population de la localité a tabassé les fidèles et responsables de l'église et détruit plusieurs instruments. La police est intervenue et a permis un retour au calme. Une enquête est ouverte pour identifier les auteurs des actes de vandalisme.
A.A.A
Décision N°21-013/HAAC du 16 Mars 2021 portant publication des journaux et écrits périodiques ayant une existence légale en République du Bénin
I- QUOTIDIENS (72)
1. INFO MATIN
2. LE PROGRÈS
3. LA PRESSE DU JOUR
4. LE PAYS EMERGENT
5. LE GRAND JURY
6. L'AUTRE QUOTIDIEN
7. LES 4 VERITES
8. LA TRIBUNE DE LA CAPITALE
9. LE SOLEIL BÉNIN INFO
10. LE TÉLÉGRAMME
11. LE BÉNINOIS LIBÉRÉ
12. L'AFFICHE DU JOUR
13. L'ACTUALITE
14. PALMARES
15. LE GRAND MATIN
16. L'AUDACE INFO
17. LA PRIORITE
18. LA NOUVELLE GÉNÉRATION
19. DEMOCRA TE INFO
20. COMMUNAL INFO
21. 24 HEURES AU BENIN
22. L'ECHIQUIER
23. MONDE INFOS 7
24. LA BOUSSOLE
25. INFO-PLUS
26. PALABRE AU QUOTIDIEN
27. MATIN LIBRE
28. DAABAARU
29. VIF D'AFRIQUE
30. LE MEILLEUR
31. LE ROUTIER
32. L'ECONOMISTE DU BÉNIN
33. DECRYPTAGE INFOS
34. LA PRIMEUR
35. LUMIERE INFO
36. ACTU EXPRESS
37. L'INFORMATEUR
38. L'INDEPENDANT
39. LE MATIN
40. LE GONGONNEUR
41. LE NATIONAL
42. EVENEMENT DU JOUR
43. LE CONTEMPORAIN
44. LA DIASPORA DE SABBAT
45. L'INVESTIGATEUR DU JOUR
46. LE DEVOIR
47. DYNAMISME INFO
48. LA CLOCHE
49. LES NOUVELLES DU JOUR
50. L'AUTRE VISION
51. POINT MEDIA
52. NOTRE TEMPS
53. LA RELEVE INFO
54. LE CHALLENGE
55. LE LEADER DU JOUR
56. LE CLAIRON
57. LA NOUVELLE GAZETTE
58. LE MATINAL
59.LE NOUVEL OBSERVATEUR
60. DJAKPATA
61. LE POTENTIEL
62. L'AFRIQUE EN MARCHE
63. LE RENOVATEUR
64. EMERGENCE INFO
65. SANG-NEUF
66. NORD SUD QUOTIDIEN
67. LE CONFRERE DE LA MATINEE
68. LIBERATION
69. NASSIARA
70. L'EVENEMENT PRECIS
71. NOUVELLES MUTATIONS
72. L'OPINION AUJOURD'HUI
73. FRATERNITE
74. LA DEPECHE
75. BENIN INTELLIGENT
76. L'EMERGENT
77. GASKIYANIINFO
78. LE CHASSEUR INFOS
79. L'ULTIME INFO
80. PARTNERS NEWS
81.LE RURAL
II- HEBDOMADAIRES (08)
1-LA GAZETTE DU GOLFE
2- EDUC'INFO
3- EDUC' ACTION
4- LE CANARD DU NORD
5- LE MUNICIPAL
6- LA CROIX
7- LE JUSTICIER
8- LE COOPERANT
III-BI HEBDOMADAIRES (04)
1- DEFI INFO
2-LE MUTATEUR
3- LES SCOOPS DU JOUR
4- LE JOURNAL DE NOTRE EPOQUE
Interpellation de quatre présumés malfrats ce mardi 16 mars 2021 à Nikki, commune du nord-est du Bénin, située dans le département du Borgou.
Selon Frissons Radio, les présumés malfrats ont été arrêtés suite à une plainte pour braquage sur la route nationale inter-États 6 à hauteur du village de Goté. La perquisition de leur domicile par les agents de la police a permis de retrouver une moto.
A.A.A
Selon Statista, 70% des internautes dans le monde entier ont davantage utilisé leurs smartphones depuis le début de la pandémie mondiale de COVID-19. L'augmentation considérable du temps passé sur un écran pose non seulement des questions de santé, telles que l'apparition de douleurs cervicales ou oculaires, mais également des problèmes de sécurité et de respect de la vie privée.
« Nous utilisons aujourd'hui nos smartphones pour toutes les activités auparavant effectuées sur nos ordinateurs : chat vidéo, achats en ligne, transferts d'argent, envoi de photos, signature de documents, ainsi que de nombreuses autres activités », nous explique Daniel Markuson, expert en confidentialité numérique chez NordVPN. « Toutefois, nombreux sont les utilisateurs de téléphones mobiles à ne pas toujours être au courant des risques que représentent certaines de ces activités, puisque nos smartphones ne disposent pas d'une protection efficace contre la cybercriminalité ».
L'expert rappelle 7 choses fondamentales que votre smartphone sait sur vous. Mais inutile de paniquer - pour l'instant ! Vous trouverez ci-dessous des mesures de précaution simples que vous pouvez mettre en œuvre pour protéger votre appareil et les informations qu'il contient.
Que sait exactement votre smartphone sur vous ?
● Votre emplacement à un endroit donné. Diverses applications, telles que les assistants de navigation, nécessitent l'accès aux services de localisation de votre smartphone, ce qui permet de connaître votre emplacement à tout moment.
● Vos mots de passe. La plupart des applications d'un smartphone nécessitent de s'inscrire, sans parler des différents services et boutiques en ligne auxquels nous nous connectons souvent à partir de notre téléphone.
● Vos informations de facturation, votre adresse et vos coordonnées lorsque vous faites des achats sur votre smartphone.
● Ce que vous dites. Les assistants virtuels, tels que Siri d'Apple, Alexa d'Amazon et Google Assistant, peuvent enregistrer vos conversations privées et même stocker ces données.
● Vos mouvements. Votre smartphone est équipé d'un accéléromètre et d'un gyroscope, qui mesurent vos mouvements physiques, votre orientation et votre rotation angulaire pour donner aux applications de santé et de sport une vision très précise de vos mouvements, tels que position assise, la station debout, la marche, les flexions, etc.
● Votre profil biométrique unique. Votre smartphone reconnaît votre visage et vos empreintes digitales pour l'identification et le contrôle d'accès.
● Toutes les informations importantes confiées à Google. Le géant de la technologie utilise vos recherches et votre historique de navigation sur les sites web qui lui appartiennent (comme par exemple YouTube) pour connaître vos données démographiques et vos centres d'intérêt à des fins publicitaires.
● Les métadonnées de vos photos. Une photo que vous envoyez à quelqu'un ou que vous téléchargez en ligne depuis votre téléphone permet de connaître le modèle précis de votre smartphone, ainsi que le lieu et l'heure exacts où le cliché a été pris.
Comment protéger votre smartphone ?
Bien que vous puissiez vous sentir exposé du fait que votre smartphone sait presque tout de vous, vous pouvez prendre quelques mesures simples afin de sécuriser vos données en cas de piratage ou de perte de votre appareil.
Premièrement, il est possible de faire beaucoup de choses manuellement. Les applications demandent toujours la permission d'accéder à vos listes de contacts, à votre appareil photo, à votre microphone ou à votre localisation, même si certaines d'entre elles n'ont pas besoin de ces informations pour tourner. N'approuvez pas systématiquement toutes ces demandes, et vous aurez plus de chances d'empêcher les trackers de mettre la main sur vos données privées.
Désactivez toujours le Wi-Fi et le Bluetooth de votre appareil lorsque vous ne les utilisez pas, afin d'empêcher le téléphone de rechercher des connexions potentielles. « Un grand nombre d'utilisateurs de smartphones qui se connectent à un Wi-Fi public ne sont pas forcément au courant que leurs données sensibles peuvent être interceptées et subtilisées », indique Daniel Markuson. « Un bon moyen de se protéger des risques que présentent les réseaux publics est d'utiliser un VPN, qui chiffre votre trafic en ligne et le dissimule à quiconque tenterait de l'intercepter ».
De plus, activez chaque fois que vous le pouvez l'authentification à deux facteurs pour vos comptes en ligne et vos applications sur votre smartphone. Téléchargez un gestionnaire de mots de passe pour générer des mots de passe uniques pour vos différentes inscriptions et conservez-les dans un coffre-fort chiffré.
Quant aux données contenues dans les photos prises par votre smartphone, il est possible de désactiver la géolocalisation dans les paramètres de confidentialité. Et le meilleur moyen de protéger vos clichés personnels des pirates et des stalkers est de les stocker dans un cloud crypté, tel que NordLocker. En cas de perte ou de piratage de votre téléphone, aucune personne extérieure ne pourra accéder à vos photos, et vous pourrez facilement les récupérer.
À PROPOS DE NORDVPN
NordVPN est le fournisseur de services VPN le plus évolué à l'échelle mondiale. Nos services sont utilisés par plus de 14 millions d'internautes à travers le monde. NordVPN fournit un double chiffrage VPN, un blocage des virus malwares ainsi qu'Onion Over VPN. Notre solution est particulièrement accessible, offre le meilleur rapport qualité/prix du marché, compte plus de 5 000 serveurs dans 60 pays à travers le monde et est compatible P2P. L'une des principales caractéristiques de NordVPN est la politique de non-conservation du registre d'activités en ligne. Pour plus d'informations : https://nordvpn.com/fr/
Les avocats de Réckya Madougou ont donné de la voix, mercredi 17 mars 2021. Ils alertent sur des conditions de détention de leur cliente dans une prison pourtant aux normes internationales. Des allégations que récusent les autorités.
À la prison civile de Missérété, les heures de visite aux détenus ont été réduites C'est ce que tentent de faire croire les avocats de la candidate du parti d'opposition "Les Démocrates" disqualifiée pour la présidentielle 2021. Pour Me Sadikou Alao, Réckya Madougou sa cliente a vu le nombre de jours de ses visites réduit de 5 à 3 jours. Me Victorien Olatoundji Fade affirme que des caméras ont été installées dans la salle où ils discutent avec leur cliente.
Selon l'administration pénitentiaire, la prison civile de Missérété est bâtie selon les normes internationales. Mieux aucun matériel de surveillance n'est installé dans les cellules.
A quel jeu s'adonnent alors les avocats conseils ? Ils auraient pu répondre aux accusations de financement de terrorisme qui pèsent sur la candidate en détention. Pour mémoire, des personnalités telles que Antoine Dayori, Modeste Toboula, et des détenus de la CPI ont séjourné à la prison civile de Missérété. Cette maison d'arrêt est la plus moderne au Bénin.
M. M.
Le Tribunal de première instance de première classe de Cotonou a condamné ce mardi 16 mars 2021, deux hommes à une peine de 12 mois de prison ferme. Les mis en cause ont été surpris en pleine nuit entrain de siphonner le gasoil contenu dans le groupe électrogène du tribunal.
Selon Frissons radio, ces deux hommes ont réussi à remplir 04 bidons de 25 litres. Il s'agit des garagistes de circonstance installés dans l'enceinte du tribunal, et qui offrent des services de lavage de véhicules à certains magistrats et avocats moyennant quelques pièces d'argent. Une activité qui leur a permis de commettre leur forfait.
F. A. A.
Un homme a trouvé la mort lors d'un rapport sexuel dans une chambre de passe à Akassato, dans la commune d'Abomey-Calavi.
Une partie de jambes en l'air vire au drame dans une auberge à Akassato. L'homme est décédé en plein ébat sexuel. Selon plusieurs sources, les agents des lieux ont alerté le commissariat d'Akassato. Pour les nécessités de l'enquête, la partenaire du défunt a été placée en garde à vue.
A.A.A
Ouverts le lundi 15 mars dernier, les travaux de l'Académie politique de la Fondation Konrad Adenauer (KAS 2021) se sont achevés dans l'après midi de ce mercredi 17 mars 2021. Cette rencontre de trois jours a été l'occasion pour les jeunes venus de tous les partis politiques officiellement reconnus au Bénin, d'échanger sur les différentes crises sanitaire, politique, économique et sociale dans la sous région ouest africaine.
Selon Sylvain Zinsou, organisateur de l'Académie, ce fut « un exercice de dialogue politique ». Cela montre selon lui que, « quand il y a une situation, on peut discuter, on peut dialoguer sans que cela ne pose problème ». « L'essentiel est que chacun puisse exprimer librement son opinion, argumente, et que lorsque l'autre prend la parole et s'explique, que l'autre l'écoute, et qu'on se comprenne », a-t-il souligné. Sylvain Zinsou s'est réjoui que toutes ces valeurs aient été ancrées chez les jeunes participants qui savent désormais que sans le dialogue, on ne peut rien résoudre.
Au regard du contexte actuel de la crise sanitaire de Coronavirus, les capacités des jeunes ont été également renforcées, et ils comprennent mieux la crise du Covid-19, et ses différents impacts sur l'économie, la vie humaine, et la sécurité de tous, a-t-il poursuivi.
Joie et satisfaction des participants
Selon Badjito Damien de l'Union démocratique pour un Bénin nouveau (UDBN), cette formation a permis aux jeunes acteurs politiques actifs sur le terrain, de gagner beaucoup de choses. L'Académie politique de la Fondation KAS a été l'occasion pour lui, d'en savoir plus sur tout ce que la maladie du Coronavirus a engendré sur la vie humaine, la vie économique et sur la vie sociale. Convaincu de ce qu'il a désormais les outils nécessaires pour amorcer l'intégration sous régionale, Badjito Damien a promis partager les résultats des travaux avec les autres jeunes de son parti.
Même sentiment de satisfaction chez Sabine Odo du parti Union Progressiste (UP). Elle a émis le vœu que de telles initiatives s'organisent de façon trimestrielle afin de mieux aguerrir la jeune génération.
Pour Abdoul T. Amidou du Parti du renouveau démocratique (PRD), les communications présentées au cours de l'Académie politique ont été parfaites. Il dit avoir eu d'éléments nouveaux en ce qui concerne cette crise qui sévit de part le monde. « Lorsqu'on n'est pas au parfum de l'information, on donne à tort ou à raison des jugements qui ne sont pas forcément ce qu'ils devraient être », a fait savoir le militant Tchoco Tchoco. Il compte partager les informations reçues à la KAS 2021 avec les jeunes de sa base afin de mieux les conscientiser.
Stanislas Houngbédji de l'Union sociale libérale (USL) a salué l'initiative de la Fondation Konrad Adenauer qui a permis aux jeunes de différents horizons politiques, d'échanger et de s'accorder sur la nécessité d'avoir un creuset de dialogue politique. « On peut ne pas s'entendre sur les méthodes pour gérer le pays, mais on doit s'entendre sur la nécessité de dialoguer », a-t-il souligné.
Pour Eulodie Hodonou, boursière de la Fondation Konrad Adenauer, l'Académie politique a permis de connaître les mesures prises dans la sous région, et dans l'espace CEDEAO pour faire face à la crise sanitaire du Covid-19, et ses impacts sur l'économie du monde, et dans la sous région. Des informations qu'elle juge très importantes et nécessaires pour le jeune leader afin qu'il sache « évaluer les choses ».
« Intégration ouest africaine face à la gestion des crises », c'est le thème autour duquel les différentes communications ont été développées. Chaque participant à la KAS 2021 est reparti avec une attestation de fin de formation.
Quelques images de la cérémonie
F. A. A.
La Commission de la CEDEAO a tenu ce mercredi 17 mars 2021, une séance d'échange en vidéoconférence avec les professionnels des médias, les associations de journalistes et les organisations de la société civile impliqués dans les élections au Bénin. La séance a permis de relever le rôle des médias durant la période électorale et les actions menées par les ONG pour des élections pacifiques.
Renforcer les capacités des médias et des ONG au Bénin pour promouvoir la démocratie participative en fournissant l'atmosphère propice nécessaire à la tenue d'élections démocratiques et pacifiques au Bénin. Tel est l'objectif principal de la séance qui a réuni les membres du personnel de la CEDEAO, les médias et les ONG.
Selon le représentant résident de la CEDEAO au Bénin Amb. Blaise Diplo, la démocratie exige la participation active des citoyens et de nombreux autres acteurs essentiels pour renforcer la gouvernance participative. Il a félicité le Bénin qui dispose d'un paysage médiatique parmi les plus pluralistes de la région.
Le représentant du président de l'Observatoire de la déontologie et de l'éthique dans les médias (ODEM) a axé son intervention sur ‘'le maintien des valeurs positives des médias et de l'éthique dans la programmation durant les périodes électorales au Benin''. Il ressort de sa présentation qu'un média n'est pas un pyromane, un justicier, ni un diffuseur de fausses nouvelles. A l'en croire, le journaliste est appelé à jouer en permanence « son rôle en suivant l'éthique, c'est-à-dire, cette force intérieure positive pour que le moment d'élection se passe dans la paix ».
La HAAC, l'ODEM, les associations de journalistes et autres structures de la société civile jouent également leur rôle pour des élections pacifiques.
Dans le cadre de la présidentielle du 11 avril, la HAAC a pris une décision pour réglementer la campagne électorale. L'ODEM notifie-t-il, malgré l'insuffisance de moyens s'emploie à surveiller les médias en les invitant à se conformer aux règles d'éthique et de déontologie.
Selon l'article 53 du Cadre de prévention des conflits de la CEDEAO (CPCC), « les organisations de la société civile mènent des activités visant à promouvoir des processus électoraux crédibles et transparents, y compris des ateliers de sensibilisation pour les partis politiques, les organes de gestion électorale, les services de sécurité, et autres.
Intervenant sur le panel ‘'Promouvoir des processus électoraux pacifiques par l'engagement civique au Bénin'', la coordonnatrice du réseau Wanep Maryse Glèlè a fait part des activités que mène son organisation pour des élections pacifiques. Il s'agit entre autres de la vérification des informations, de la sensibilisation et de l'observation du scrutin.
La Plateforme électorale des Organisations de la Société Civile du Bénin met en place un dispositif technique et analytique ‘'Salle de situation électorale (SSE)'' qui permet de faire le monitoring sur les élections. Wanep Bénin, souligne-t-elle implique de plus en plus de jeunes dans ses activités.
Pour le représentant de Social Watch Bénin Boni Madougou, les structures de la société civile doivent travailler de façon permanente avec les radios communautaires afin de sensibiliser les jeunes sur l'engagement civique. « Il faut aussi que les lois au Bénin favorisent l'intégration des citoyens », ajoute M. Madougou.
Des participants des pays membres de la CEDEAO ont également partagé leurs expériences. Mme Abigail Larbi, Media Foundation for West Africa (MFWA) et M. Simon Congo, RTB, Burkina Faso ont mis l'accent sur la mobilisation citoyenne pour une participation politique significative et le rôle des organisations non gouvernementales.
Les défis des médias et ONG en période électorale ont été également relevés à cette séance de l'organisation intergouvernementale ouest-africaine.
Le représentant résident de la CEDEAO au Bénin Amb. Blaise Diplo espère que les médias et les acteurs de la société civile joueront leur partition pour une élection pacifique au Bénin. La séance a connu la présence de M. Eyesan Okorodudu, Chef de la Division Démocratie et Bonne Gouvernance, Commission de la CEDEAO.
A.A.A
Lors de son audience avec le Chef de l'Etat, mardi 16 mars 2021, le colonel Pascal Tawès a présenté ses excuses pour ses prises de position critique sur la gouvernance Talon.
« Les propos qui ont été tenus appartiennent à hier », a avoué le colonel à la retraite et pourfendeur du pouvoir de la Rupture. « J'avais un problème avec l'Etat béninois. Je suis retraité depuis 2013 mais la manière dont je suis allé aux Etats-Unis n'était pas la meilleure. On n'affecte pas un diplomate militaire avec un visa d'un an renouvelable. C'est comme une évacuation intentionnelle. Donc je n'étais pas à l'aise. Cela a fait que des propos ont dû être tenus d'une manière ou d'une autre. Le ton est monté », a-t-il précisé. A en croire, l'attaché militaire du Bénin aux Etats-Unis, le président Patrice Talon est disposé pour le contact. Selon lui, ‹‹ quand on est au dehors, on est intoxiqué. On reçoit des informations qui ne sont pas vérifiées.››. ‹‹ Depuis que je suis arrivé, je me rends compte que c'est le terrain qui commande. Les choses bougent dans le sens de la bienfaisance, et, je crois que, aujourd'hui est mieux qu'hier (...) ››, a avoué M. Tawès.
« Je souhaite que les uns les autres recherchent le contact avec le président (Patrice Talon, ndlr) et échangent avec lui pour qu'ensemble nous puissions avancer dans la même direction », a ajouté le colonel à la retraite.
Pour finir, il a indiqué que le Chef de l'Etat a accepté ses excuses.
M. M.
Le duo du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) a donné l'ossature du gouvernement qu'il formera à l'issue de la présidentielle 2021 en cas de victoire.
Le nombre de portefeuilles ministériels que comportera le gouvernement du parti FCBE est dévoilé à quelques semaines de présidentielle. Le duo Soumanou Djemba - Paul Hounkpè formera un gouvernement qui ne comptera pas plus de 20 membres en cas de victoire. L'objectif, selon Alassane Djemba, candidat au poste de Président de la République des FCBE, est de réduire le train de vie de l'Etat et d'éviter d'asphyxier le peuple.
Les challengers de Patrice Talon à la présidentielle du 11 avril ont donné l'information lors d'une tournée à Kétou, dans le département du Plateau. Ils ont également annoncé l'organisation d'un dialogue national une fois qu'ils sortiraient vainqueurs de l'élection présidentielle.
Le duo Djemba-Hounkpè fait partie des candidats retenus pour participer à la présidentielle 2021. Le nombre de portefeuilles ministériels que propose le duo est inférieur à l'effectif de l'exécutif (22 ministres) dirigé par le Chef de l'Etat et candidat à sa propre succession Patrice Talon. Mais il va falloir gagner d'abord l'élection pour relever ce défi.
M. M.
Dr Brice Sohou, environnementaliste spécialisé en risques et catastrophes, est libre de ses mouvements à l'issue de son procès, mardi 16 mars 2021, au Tribunal de première instance de première classe de Cotonou.
Interpellé le 3 mars 2021 par la Brigade criminelle, présenté le 4 mars au Procureur puis déposé à la prison civile de Cotonou, Dr Brice Sohou est sorti de prison mardi dernier.
Il lui était reproché de n'avoir pu apporter les preuves de ses publications selon lesquelles les masques bleus contiendraient des substances nocives à la santé et qu'il détiendrait un produit qui guérit de la Covid-19. Dr Brice Sohou a été remis en liberté à l'issue d'un procès au tribunal de Cotonou. Il vient de passer ainsi deux semaines en détention.
Dr Brice Sohou, environnementaliste spécialisé en risques et catastrophes, est poursuivi pour « publicité mensongère » et « exercice illégal en pharmacie » dans le cadre du dossier relatif aux masques bleus Covid-19.
M. M.
L'édition 2021 de la Journée internationale de la femme (JIF) a coïncidé avec la fête annuelle des femmes de Bohicon. Une double célébration que les femmes des marchés de la ville carrefour (Ganhi et Sehi) ont célébré avec le maire Rufino d'Almeida et les acteurs politiques de la ville.
Au cours de la messe d'action de grâce célébrée à cette occasion, et au cœur du marché, le père célébrant a invité les femmes à la fraternité. « C'est une fête de l'unité, c'est une fête du pardon, de la réconciliation, c'est une fête de la paix et de la communion fraternelle », a-t-il déclaré.
Le maire de Bohicon, Rufino d'Almeida, s'est dit très heureux que ce soit une double fête la première fois qu'il préside l'évènement. Fier de la présence de toutes les forces politiques de la ville, l'autorité communale s'est réjouie de la communion fraternelle entre les fils et filles de Bohicon. « Ce fut vraiment une véritable communion, c'est ce que j'ai souhaité », a-t-il laissé entendre. « Une communion fraternelle où nous taisons nos différences, où nous gommons provisoirement nos différends politiques pour célébrer nos mamans, celles qui font la valeur, la dignité de notre belle ville carrefour, Bohicon », a poursuivi Rufino d'Almeida.
Très heureuses, les femmes au cours de la célébration, ont habillé le maire Rufino d'Almeida qui, à les entendre, ‘'n'aura jamais froid, et va toujours bien se porter''.
Après l'instant de joie au marché, le maire et ses conseillers se sont rendus auprès des femmes musulmanes de Bohicon. On pouvait noter à ses côtés, la présence du député Nazaire Sado.
F. A. A.
L'annonce de la candidature de l'ancienne ministre Reckya Madougou pour la présidentielle du 11 avril 2021 a suscité beaucoup d'espoir dans le rang de l'opposition. Mais le rejet de son dossier faute de parrainages et surtout son incarcération dans l'affaire association de malfaiteurs et terrorisme a brisé l'élan de l'icône de Touche pas ma constitution.
Reckya Madougou, c'est la personnalité qui aura marqué la scène politique nationale au premier trimestre 2021. L'ancienne ministre de Boni Yayi a percé le rideau de la scène politique cette année avec l'annonce de sa candidature pour la présidentielle du 11 avril. Une candidature qui a commencé par mobiliser des foules à travers le pays. Mais très tôt, la déception a gagné le rang de ses militants et sympathisants. Le dossier de candidature de l'amazone de Parakou a été rejeté par la Commission électorale nationale autonome (CENA) pour n'avoir pas recueilli les 16 parrainages d'élus (députés et ou maires) institués par le nouveau code électoral.
L'ex activiste de l'Ong Elan, qui avait combattu la révision opportuniste de la constitution sous le régime Kérékou ne s'avoue pas vaincue. Elle continue de maintenir la pression à travers des meetings et la mobilisation de foule pour que ce parti de l'opposition prenne part au scrutin. Malheureusement, son ardeur sera émoussé le 03 mars 2021 à Porto-Novo après un meeting de l'opposition. La candidate disqualifiée du parti Les Démocrates est interpellée et placée sous mandat de dépôt pour une affaire d'association de malfaiteurs et de terrorisme.
Le procureur spécial de la Cour de répression des infractions économique et du terrorisme (CRIET) Mario Métonou a déclaré que Reckya Madougou et ses complices projetaient de ‹‹ perturber le déroulement du prochain scrutin en perpétrant des actes de terreur de grande ampleur.››.
Le dossier est pendant devant la justice. S'ils sont reconnus coupables des faits qui leur sont reprochés, la sentence pourrait leur coûter chère compte tenu des chefs d'inculpation.
En attendant la suite de l'enquête et l'issue du procès, les Démocrates et leur leader sont forclos pour participer à une quelconque campagne électorale.
Privé de son guide, le parti Les Démocrates ressemble aujourd'hui à un bateau ivre au milieu d'un océan en pleine tornade.
De son lieu de détention à Missérété, Reckya Madougou serait en train de méditer sur son rêve brisé pour le fauteuil de la Marina.
Dossou MIALO
Le travail des enfants est interdit sur la plateforme, les installations portuaires et sur les chantiers du Port de Cotonou sous peine d'amende et d'interdiction d'accès. C'est ce qui ressort de la note circulaire en date du 08 mars 2021 signé du directeur général Joris Albert Thys.
En raison des risques liés aux activités sur la plateforme portuaire, l'accès à la plateforme et aux installations portuaires ainsi qu'à tout chantier au Port de Cotonou est strictement interdit aux mineurs.
La décision est conforme à la législation de travail en vigueur et aux dispositions de l'arrêté interministériel Nº132/MEPTRA/MSP/DC/SGM/DT/SST du 07 novembre 2000 fixant la nature des travaux et les catégories d'entreprises interdites aux femmes, aux femmes enceintes et aux jeunes gens et l'âge limite auquel s'applique l'interdiction.
« Tout mineur qui sera appréhendé sur la plateforme, les installations et autres chantiers du Port de Cotonou sera reconduit hors de l'enceinte portuaire », informe le directeur général du Port de Cotonou.
Aussi, son commettant sera-t-il sanctionné d'une amende de 50.000 FCFA et d'une interdiction d'accès au Port de Cotonou pour une période de trois mois. « En cas de récidive, l'interdiction d'accès sera portée à un an, en sus de l'amende », ajoute M. Thys.
A.A.A.