Ecrit par Fella Hamici
La spécialiste en droit constitutionnel, Fatiha Benabbou, qui s’est exprimée hier au Forum d’El Moudjahid, a estimé que si Abdelaziz Bouteflika décidait de rester au pouvoir après la fin de sa mandature, le 28 avril, «l’Algérie risquerait de plonger dans une crise institutionnelle». En effet, une crise institutionnelle pourrait s’ajouter à celle politique que connaît l’Algérie depuis le 22 février dernier.
Benabbou a expliqué donc, que «le mandat de Bouteflika s’achève officiellement le 28 avril, mais le report de l’élection présidentielle annoncé par lui-même le 11 mars, implique la prolongation de son propre mandat. Ce qui est aux yeux de la loi illégal», a-t-elle relevé. «Le 28 avril, nous allons nous retrouver devant une crise institutionnelle très grave», a-t-elle affirmé. Benabbou a estimé que par ces décisions, le pouvoir a voulu fabriquer une crise constitutionnelle, afin de lui permettre de reporter les présidentielles du 18 avril. «Après le 28 avril, il y aura un cadeau empoisonné pour les Algériens. Il y aura un séisme dans l’organisme constitutionnel», a averti Benabbou.
La constitutionnaliste a insisté : «nous n’avons pas une loi constitutionnelle qui peut garantir cette prolongation du mandat. La continuité du principe de l’exécutif n’existe pas dans notre constitution», a-t-elle assuré. La conférencière a, par la suite, indiqué qu’il existe bel et bien des solutions légitimes à cette crise politique, qui permettront selon elle, d’éviter une crise institutionnelle. Pour éviter la rupture avec la légalité, Benabbou a proposé notamment, d’actionner la loi 102 de la constitutionnelle. «Dans son 3e volet, la loi 102 de la constitution stipule que dans le cas d’une démission volontaire du président de la République ou de décès, le conseil constitutionnel se réunit pour envoyer sa constatation au président de l’Assemblée de la nation, qui prendra de facto l’intérim», a-t-elle relevé. Avant de préciser : «le président du Sénat aura des prérogatives très limitées dans le temps. Il ne peut pas rester plus de trois mois comme intérim. Il a pour mission de poursuivre le processus électoral au bout de 90 jours, ce qui permettra à l’Algérie le retour à la légalité», a-t-elle souligné. «Le peuple doit, selon elle, s’exprimer dans la démocratie la plus civilisée, par le biais d’un processus démocratique. C’est à l’urne de trancher».
Répondant à ceux qui appellent à un changement radical du système, la constitutionnaliste a indiqué que «les choses doivent se faire de manière graduelle pour ne pas se retrouver devant un vide institutionnel, avec une constitution vidée de sa substance». Agir vite !
L’économiste Salim Lalmas a, de sa part, souligné l’urgence d’organiser des présidentielles dans les temps légaux, vue la fragilité de l’économie du pays. «Nous devons passer à la légitimité rapidement. Les propositions du pouvoir sont rejetées par le peuple. Nous devons agir très vite», a-t-il martelé. Il a proposé d’actionner la loi 102. Lalmas a suggéré que «Bouteflika désigne une personnalité pouvant faire le consensus, dans le cadre du tiers présidentiel dans le sénat. Cette dernière sera élue président du sénat, après la démission de Bensalah. Et c’est cette même personnalité qui devra gérer la transition et organiser des élections présidentielles dans un délais de 90 jours comme le stipule la constitution». Une proposition qui pourrait gagner la confiance du peuple, selon Lalmas. «Il s’agit là d’une solution constitutionnelle et légale», a-t-il relevé.
L’économiste a relevé notamment, l’urgence de sauver les institutions de l’Etat et les richesses du peuple de la dilapidation. «Le peuple a dit non à cette situation et à cette gestion du pays. Le président de la République n’est plus opérationnel, donc nous n’avons pas d’interlocuteur côté pouvoir. Le mouvement populaire est bien structuré et les sorties des vendredis sont des réponses au pouvoir, contrairement à ce qu’avancent certaines parties», a-t-il conclu.
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Ecrit par R. N.
Le président du Front de l’Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdeslam, a réaffirmé hier à Bordj Bou Arreridj, que son parti «ne soutient pas le retour au point zéro et la suppression de toutes les institutions de l’Etat», considérant que l’assemblée constituante est un danger. «Le Front de l’Algérie nouvelle ne s’accorde pas avec les prêcheurs du retour au point zéro, de la suppression de toutes les institutions de l’Etat et de la rupture avec la proclamation de la révolution du 1er novembre et les réalisations faites par l’Algérie, et rejette toute rupture avec les composantes de l’identité nationale», a précisé le responsable politique, lors d’une rencontre avec les militants et cadres de son parti au siège du FAN.
Le président du FAN a invité les militants de son parti à «se préparer pour la prochaine phase qui sera marquée par des élections, dont celles présidentielles, et l’amendement de la Constitution, ainsi qu’à être présents avec force sur le terrain et accompagner le mouvement populaire». Il a ajouté que son parti ne soutient pas ceux qui prônent «la deuxième République» qui, -selon lui- «ne saisissent pas le sens et l’objectif de ce slogan». Il a estimé qu’une deuxième République vise à rompre avec la proclamation de la révolution du 1er novembre et la République algérienne démocratique et populaire. M. Benabdeslem a aussi fustigé ceux qui appellent à «une constituante, à l’exemple du front des Forces sociales et le parti des Travailleurs».
Pour ce responsable politique : «la solution la plus appropriée pour sortir de la crise constitutionnelle réside dans la démission du président avant le 28 avril prochain, et l’application de l’article 102 de la Constitution qui permet au président du Conseil de la Nation d’assumer, pour une période déterminée, la charge du chef de l’Etat».
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Depuis le 22 février dernier, les Algériens ont laissé peu à peu libre cours à leur créativité, une créativité qui s’aiguise chaque vendredi un peu plus.
Les manifestants font délivrer leurs revendications à travers des pancartes exprimées en plusieurs langues et inspirées de chansons cultes, de littérature, de sitcoms télé, de séries et de films ou même des anciens discours des dirigeants d’Etats. Des bouts de cartons tenus à la main ou collés sur un bâton en bois la plupart de temps recyclé d’un frottoir à ménage. Achevés sans dépenses ou avec le peu de dépenses possible, ses mots et ses dessins noir sur blanc, font reculer le pouvoir et dans l’état opposant font réjouir les internautes.
Après chaque marche, les réseaux sociaux sont inondés de ce taux de créativités, les «Œuvres d’art» se propagent en une araignée de partages. Ces bouts de cartons, et ces quelques feuilles blanches sont devenus les caractéristiques de chaque marche devenue dès son lendemain historique.
Ce vendredi, 22 Mars, ni les Algériens ni les pancartes n’ont reculé devant la pluie ruisselante, citant l’un des manifestants « Le peuple Algériens est waterproof. »
Quelques pancartes de la dernière marche ont été sélectionné pour vous.
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M.A.Y
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Cent quinze (115) personnes ont été tuées dans l’attaque d’un village peul du centre du Mali samedi par des chasseurs traditionnels « dogons » , selon un nouveau bilan des autorités locales.
« Le nouveau bilan est de 115 morts », a affirmé Cheick Harouna Sankaré, le maire de la localité proche de Ouenkoro, expliquant que les corps de personnes portées disparues avaient été retrouvés.
« Le bilan provisoire est de 115 morts », a également affirmé le préfet de Bankass, Boubacar Kané.
Auparavant, des sources sur place ont fait part de la mort d’une cinquantaine de personnes. Le motif du massacre serait un règlement de compte, indique-ton.
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«La conférence nationale organisée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ne traduit pas la volonté du peuple qui exige le départ du système actuel».
La secrétaire générale du parti des travailleurs, Louisa Hanoune, charge le système et assure : «la conférence nationale organisée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ne traduit pas la volonté du peuple qui exige le départ du système actuel». Animant une conférence de presse au siège de son parti, Hanoune n’a pas lésiné sur les mots pour dénoncer les stratagèmes du système actuel, et particulièrement l’organisation d’une conférence nationale regroupant société civile et partis politiques. «Cette conférence, a-t-elle expliqué, sera organisée par les walis faisant partie de ce système. Elle regroupera des personnalités militantes dans les partis de l’alliance, à l’instar du RND et du FLN, pour un seul mot d’ordre : «protéger le système actuel». Pour elle, «ce système ne quittera pas sa place avant de vider les caisses de l’Etat, et de dilapider ce qui reste des réserves de changes». Et ajoute : «ils restent sourds face aux revendications du peuple, qui manifeste depuis plus d’un mois à travers tout le territoire national, ce qui veut dire qu’ils veulent rester». Faisant part de la souffrance de certains pays africains, ressentie suite aux guerres civiles qui ont éclaté pendant les périodes de transition, Louisa Hanoune a estimé de très dangereuse cette étape pour notre pays. Et ajoute: «toutes ces guerres sont commanditées par des pays étrangers, voulant la destruction de ces derniers». En outre, la chef du PT a mis en avant la préparation d’un projet portant la création de nombre de commissions estudiantines populaires» activant à l’intérieur des établissements universitaires ainsi que dans les écoles supérieures. Elles auront pour objectifs d’orienter et d’aider ces jeunes tout au long de leurs parcours révolutionnaires, mais aussi de fixer leurs revendications. A cet effet, elle a appelé à la généralisation de ces commissions populaires dans d’autres secteurs, à l’instar de la Santé et de l’éducation. «Désormais, tout le monde est impliqué dans les affaires politiques du pays, même les corps sécuritaires», a-t-elle soutenu. S’exprimant sur la position des deux partis de la coalition et leur soutien au mouvement populaire, Hanoune a affirmé que la prise de cette position émane d’un intérêt personnel. «Leur position de suivre le mouvement populaire émane du même principe que l’annonce de leur soutien au président pour briguer un cinquième mandat, c’est-à-dire servir leurs propre intérêts», a-t-elle souligné. Dans un autre sillage, l’oratrice a affirmé que tous les appels lancés sur les réseaux sociaux, qui mettent en garde le peuple contre les risques du départ du système en cette période, ne sont qu’un stratagème de ce système pour pousser les citoyens à abandonner leurs revendications. «Une grande partie du peuple est consciente de ce plan. Maintenant, il faut qu’elle maintienne ses revendications, obligeant le départ du système». Enfin, l’oratrice a appelé à «l’adoption d’un programme parlementaire avec une seule chambre, sous condition : une élection transparente de ses membres». Quant au président de la République, elle dira qu’«il sera élu par ce parlement, avec une limitation de ses prérogatives».
Radia Choubane
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par Yazid Alilat
Vendredi 22 mars avait scellé un mois de manifestations contre le pouvoir et de protestation ininterrompues contre la volonté du président Bouteflika d’aller au delà de la date butoir de son mandat, qui s’achève le 28 avril prochain.Le vendredi 22 mars, le 5e depuis le 22 février dernier qui a délivré les Algériens de la peur de sortir manifester dignement pour leur liberté et la démocratie, le peuple a réitéré son appel au pouvoir pour partir et laisser les Algériens instaurer une période de transition qui organisera par la suite des élections propres et transparentes. La société civile est également sortie, dès les premiers moments de la protestation contre le 5e mandat, appeler le chef de l’Etat à renoncer à une candidature de tous les périls. Les manifestations imposantes des 1er et 8 mars, qui ont fait sortir pratiquement tous les Algériens dans la rue, alors que la tension s’est également exercée sur le président, hospitalisé à Genève pour des contrôles médicaux, ont pesé sur sa décision de renoncer au 5e mandat et de proposer une période de transition pour préparer une conférence nationale inclusive devant se terminer par la révision de la Constitution et l’organisation d’une élection présidentielle. Il rentre le 10 mars de Genève et annonce ses décisions le lendemain 11 mars, avec la nomination de Noureddine Bedoui au poste de Premier ministre, chargé de former un gouvernement de transition de «larges compétences» avec Ramtane Lamamra, vice-Premier ministre et nouveau ministre des Affaires étrangères. Le diplomate Lakhdar Brahimi est là également, mais quelques jours plus tard, il repart en France, avant de déclarer qu’il y a «un blocage». Ce qui a outré les Algériens n’est pas tant l’annonce de l’abandon du 5e mandat par le président Bouteflika, c’est le fait qu’il ait insisté dans son message à la nation qu’il n’a «jamais été question d’un 5e mandat», tout en prolongeant le mandat actuel, puisqu’il n’a pas annoncé qu’il partira le 28 avril prochain. Les manifestations comme les déclarations de responsables politiques de l’opposition se multiplient alors, autant pour dénoncer la volonté de «survie du système» que celle du président Bouteflika de prolonger son 4e mandat. Le samedi 16 mars denier, Louisa Hanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, a appelé le président Bouteflika à partir à la fin de son mandat, c’est-à-dire le 28 avril prochain. Mais, surtout, pour entendre les Algériens, qui ont rejeté le plan « B » qu’il a proposé le 11 mars. « Et tant qu’il est encore temps, avant qu’il ne soit trop tard, que la présidence annonce le retrait de Bouteflika à la fin de son 4e mandat, la démission du gouvernement actuel, la dissolution du Parlement et désigner un gouvernement technique provisoire, composé de femmes et d’hommes intègres, compétents et patriotes, chargé des affaires courantes», explique Louisa Hanoune. Pour le Dr Saïd Sadi, l’ex-président du RCD, Bouteflika ne partira pas « sans un rapport de forces qui le contraint à l’abdication ». Pour lui, ce qui se passe ces jours-ci en Algérie relève du «miracle», car «ce que je retiens personnellement, ce n’est pas le fait qu’il y ait une réaction de la population, c’est la manière avec laquelle elle s’est exprimée. D’une part, c’est dans l’ensemble du pays. D’autre part, elle embrasse l’ensemble des catégories. Ce ne sont pas des manifestations, je crois qu’on assiste à une nation qui est en train de renaître », a-t-il déclaré à TSA le 16 mars dernier. Mais, en dépit des manifestations chaque vendredi, des marches quotidiennes de protestation de différentes corporations professionnelles, dont les avocats, les magistrats qui se sont rebellés contre une justice aux «ordres», les syndicats et les inspecteurs de l’éducation, les médecins, pharmaciens, les syndicalistes dont ceux de l’UGTA qui ont demandé à leur SG de démissionner, les défections au niveau du FCE, les travailleurs des grandes zones industrielles, les étudiants puis les écoliers, le président Bouteflika est resté droit dans ses bottes. A l’occasion de la fête de la Victoire, le 19 mars, il donne un nouveau message, mais n’annonce point son retrait de la scène politique. Ce qui contribue à renforcer les rangs des manifestants, et, ailleurs dans le monde, un profond respect des Algériens est en train de se répandre. Dans l’intervalle, le nouveau Premier ministre a enregistré plusieurs échecs dans la formation de son gouvernement de «larges compétences», plusieurs organisations syndicales sollicitées ont refusé de se joindre aux consultations, entamées le dimanche 17 mars. Les attaques de partis et personnalités politiques contre le pouvoir et pour le départ du président Bouteflika ne faiblissent pas. C’est dans ce contexte politique absolument irréel pour les partis de la majorité que l’on enregistre les premières fissures dans le bloc des soutiens de la 5e mandature, avec des défections massives de militants et de cadres, dont des mouhafedhs, tant au sein du FLN qu’au sein du RND où le porte-parole du parti, Seddik Chihab, a lâché une bombe mercredi 20 mars en déclarant à une TV locale que le soutien à un 5e mandat a été « une erreur », et que « nous n’avons pas été perspicaces » en soutenant cette candidature. Seddik Chihab, qui ne s’est pourtant pas fait taper sur les doigts par son SG Ahmed Ouyahia, est allé plus loin en affirmant que le pouvoir en Algérie est exercé «par des forces anticonstitutionnelles».
Qui a voulu internationaliser la crise algérienne ?
Même climat de sédition au sein du FLN, où Ahmed Boumehdi, un des opposants au chef de la coordination actuelle, a estimé le 21 mars que « je ne crois pas Mouad Bouchareb quand il dit qu’il soutient le mouvement populaire, car c’est lui qui a été à l’origine du slogan ’FLN dégage » ». Bouchareb avait le 25 février dernier à Oran déclaré aux autres candidats à l’élection présidentielle, dont ceux de l’opposition, d’arrêter de « rêver », avant de comparer le président Bouteflika à « un messager de Dieu ». « C’est lui qui a retourné le peuple contre notre parti », ajoute Boumehdi. Le SG du RND, Ahmed Ouyahia, n’est pas en reste des ralliements de dernière minute au peuple, après avoir menacé de réprimer les manifestants, lorsqu’il a déclaré le 18 mars dernier qu’il faut « répondre » dans les meilleurs délais « aux revendications pacifiques » du peuple. Mais, sourd aux revendications populaires, le président Bouteflika va commettre une autre erreur, en internationalisant, en quelque sorte, la crise algérienne. Il a envoyé son ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra dans trois capitales européennes (Rome, Moscou et Berlin) défendre une feuille de route d’issue de la crise actuelle que les Algériens ont refusée et rejetée, celle d’une période de transition suivie par une conférence nationale inclusive, la réforme de la Constitution et une élection présidentielle, à l’issue de laquelle il est prêt à partir. Mais, l’initiative algérienne, vue par ailleurs comme une sorte d’avertissement à ces capitales que les manifestations actuelles peuvent déboucher sur autre chose, comme l’émergence des islamistes, n’a pas eu l’effet escompté. A telle enseigne que le chef de la diplomatie française, Jean Yves Le Drian, a manifesté son émerveillement devant le caractère pacifique des manifestations dans le pays. « La France sera aux côtés de l’Algérie, mais c’est l’Algérie qui décide de son avenir et ce n’est pas la France », a-t-il dit vendredi 22 mars sur BFMTV, avant d’ajouter : « La France ne s’ingérera pas dans la politique intérieure de l’Algérie : c’est un pays souverain ». Dmitri Pescov, porte-parole de la Fédération de Russie, a déclaré de son côté, après la visite à Moscou de Lamamra, que « la situation politique en Algérie doit être réglée sans ingérence extérieure ». «Personne n’a demandé d’aide à la Russie. Alger et Moscou souhaitent le maintien de bonnes relations dans leur coopération», a-t-il dit, avant de souligner que « nous sommes convaincus que les Algériens doivent décider eux-mêmes de leur sort, sans ingérence de pays tiers et sur la base de leur propre législation et Constitution». Enfin, l’ex-premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou, a vivement critiqué, quant à lui, la démarche du pouvoir en envoyant un émissaire à Moscou, Rome et Berlin. « Le pouvoir nous a toujours accusé d’être la main de l’étranger, mais la plus grande main de l’étranger c’est le système, et sa démarche actuelle ne fait que le confirmer », a-t-il affirmé jeudi 21 mars lors d’une conférence-débat à l’université de Tizi Ouzou. «Ce système a l’habitude de céder sur tout à l’extérieur pour garder la main basse sur l’intérieur», a-t-il ajouté.
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Le forfait de Lionel Messi (31 ans) pour le match amical entre l’Argentine et le Maroc priverait la Fédération argentine d’une belle somme de 500 000 euros comme l’indique Maxifoot. Le site Jeune Afrique expliquait au début du mois que pour convaincre l’Albiceleste de disputer cette rencontre, la Fédération marocaine s’était entendue avec les Argentins pour débourser 1 million d’euros, en plus de la prise en charge du voyage et de l’hébergement. Mais ce montant était valable seulement si la superstar du FC Barcelone était présente.
Comme Messi avait pris du recul avec sa sélection depuis la Coupe du monde 2018, le deal prévoyait que la facture serait revue à 500 000 euros en cas d’absence de la Pulga. De retour contre le Venezuela (1-3), vendredi, le Barcelonais a finalement dû renoncer à ce prochain match en raison de douleurs au pubis.
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Selon The Sun et Maxifoot.fr, le club londonien souhaite vendre l’international ivoirien afin de faire entrer de l’argent frais dans les caisses. Un chèque de 15 millions d’euros pourrait convenir aux dirigeants des Spurs.
Mauricio Pochettino souhaite utiliser l’argent de ce transfert pour recruter le latéral de Crystal Palace, Aaron Wan-Bissaka, dont le nom est également associé à Manchester United, Arsenal et Manchester City en Angleterre. Les Eagles réclament 45 millions d’euros pour le laisser partir.
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Victime du passage de Santiago Solari, l’international espagnol profite à nouveau de temps de jeu grâce à Zinédine Zidane. Titulaire contre le Celta Vigo (2-0) pour la première fois en championnat depuis le 10 octobre (défaite 5-1 face au FC Barcelone), le milieu de 26 ans a aussi été buteur pour son come-back au Santiago Bernabeu. Cette situation pourrait même jouer dans l’avenir du joueur.
D’après Calciomercato et Le 10 Sport.com, Isco voudrait respecter son contrat avec le Real Madrid qui expire en 2022. Il serait même décidé à rester afin de redevenir un acteur majeur du club dans les années à venir. Pisté dernièrement par Naples et Carlo Ancelotti, le milieu offensif serait convaincu par la relation qu’il entretient avec son entraîneur, Zinédine Zidane. De plus, les dirigeants madrilènes considéreraient comme offensante la possibilité de se séparer du joueur pour 70M€. La tâche s’annonce donc compliquée pour Naples.
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L’EN des U23 a réalisé un bon résultat à Malabo face à la Guinée Equatoriale. En effet, les hommes de Ludovic Batelli sont allés ramener le match nul (0-0) de la Guinée Equatoriale en match aller du deuxième tour aller des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations CAN 2019, qualificative au tournoi de football des Jeux Olympiques Tokyo 2020. Les Verts qui ont bien contrôlé le match ont inscrit un but au début de la deuxième mi-temps, malheureusement refusé par l’arbitre de la rencontre. Désormais, les coéquipiers de Farid El-Mellali vont devoir confirmer ce bon résultat ce mardi au stade du 5 juillet pour espérer passer au dernier tour de qualification.
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C’est un Djamel Belmadi visiblement déçu du résultat obtenu par son équipe qui s’est présenté hier soir en conférence de presse pour décortiquer la prestation de ses joueurs. Evidemment, le coach national espérait une victoire d’autant plus que les Verts ont largement dominé les débats, mais se sont finalement fait rejoindre au score dans les ultimes minutes de la partie. Il dira d’emblée : « Evidemment, on n’est pas satisfait par rapport au résultat. On a bien contrôlé le match, mais au final on s’est fait rejoindre au score. On aurait dû tuer le match bien avant. Par expérience, on sait que lorsqu’on ne tue pas un match, on n’est pas à l’abri d’une égalisation comme celle de ce soir. »
«On aurait dû plier le match avant»
Et Belmadi d’enchainer : « Malheureusement, on encaisse ce but d’une manière assez surprenante. On était à 10 après la sortie de Loucif et c’est justement à partir de sa zone que les Gambiens ont entamé l’action de ce but. C’était un peu confus, mais le ballon est rentré dans les filets au final. Avant cela, Doukha avait sorti une belle frappe. Je le répète, on aurait dû plier le match et marquer plus qu’un but.»
« Ce match va servir de leçon aux joueurs »
Le coach national a estimé que la physionomie de ce match va servir de leçon à ses joueurs afin qu’ils apprennent à mieux négocier le match à l’avenir et éviter de commettre des erreurs : « On a bien joué dans l’ensemble, mais le seul bémol est qu’on n’a pas su mettre le 2e, voire le 3e but. On a eu ce relâchement en fin de match et on prend ce but égalisateur. Les joueurs vont devoir apprendre de ce match. Ils doivent savoir qu’une rencontre dure 90’, voire plus. »
« Je suis content d’avoir vu ces jeunes »
Malgré la déception du résultat, Djamel Belmadi s’est dit toutefois satisfait du rendement des jeunes joueurs qu’il a incorporés durant cette partie : « On a fait une revue d’effectif afin de voir un maximum de joueurs. Je suis content de tous ces jeunes joueurs qui ont évolué ce soir. Je suis satisfait dans l’ensemble des Boudaoui, Bennacer, Loucif, qui ont bien assuré. Abdellaoui aussi a fourni une très belle prestation. Il y a aussi des joueurs qui étaient moins bien, mais dont je vais taire les noms.»
« Halliche a été un leader sur le terrain »
Le sélectionneur national n’a pas tari d’éloges sur Rafik Halliche, assurant que celui-ci a fait un très bon match et s’est comporté en vrai leader sur le terrain : « Halliche a fait une belle prestation. Il a été mis à contribution dans le jeu direct. Il a été très compétitif et s’est comporté en vrai leader sur le terrain. Il a bien fait sortir les ballons et a bien tenu son rôle. On est satisfaits.»
« Ounas a bien joué et aurait mérité de marquer »
Incontestablement, le jeune ailier de Naples, Adam Ounas, fut l’un des meilleurs joueurs algériens lors de ce match. Il aurait sans doute mérité de marquer au moins un but au vu des occasions qu’il s’est procurées : « Adam Ounas a été très bon. Il a eu quelques belles occasions et je pense qu’il aurait pu marquer. S’il avait réussi à mettre au fond l’une de ces occasions, on aurait alors tué le match.»
«Pour être à la CAN, il faut fournir de belles prestations»
Le coach national a refusé de tirer un bilan approfondi de cette prestation des Verts, assurant qu’il allait bien analyser le match et réfléchir profondément pour établir sa liste pour la phase finale de la CAN : « Il faut faire de belles prestations abouties pour être à la CAN. On va revoir le match et mûrement réfléchir, à tête reposée, avant de penser à cette CAN.» Et Belmadi de conclure : « Prévoir ce que je vais faire à l’avenir, ce n’est pas moi, ça ! On peut jouer dans plusieurs systèmes. On verra. On a encore le temps de travailler.»
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Le Cameroun, éternel poids lourd en Afrique, a facilement battu les Comores (3-0) grâce à des buts d’Eric-Maxim Choupo-Moting, Bassogog et Njie. Le Cameroun termine à la deuxième place du groupe B derrière le Maroc comme l’indique Goal.
Un peu plus tôt dans la journée, le Burundi avait créé la sensation en compostant également son ticket pour la compétition, et ce pour la première fois de son histoire.
Après avoir ouvert le score par Cédric Amissi, le Burundi a été rejoint par le Gabon qui a égalisé sur un but contre son camp d’Omar Ngandu mais le petit poucet a conservé ce point précieux jusqu’au coup de sifflet final. Un résultat qui empêche le Gabon de se qualifier pour la CAN, que Pierre-Emerick Aubameyang ne disputera donc pas.
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Le défenseur central de l’EN, Rafik Halliche, s’est dit satisfait de la prestation des jeunes joueurs alignés lors de ce match face à la Gambie : «Les jeunes joueurs alignés ce soir face à la Gambie ont donné satisfaction. Ils ont fourni une bonne prestation durant la majeure partie de la rencontre. Malheureusement, nous avons failli à la toute dernière minute du match en concédant ce but égalisateur. Comme tout le monde a pu le constater, nous aurions pu l’emporter avec une avance de trois ou quatre buts. C’est dommage, même si nous avons réalisé au final notre principal objectif qui est de se qualifier pour la prochaine CAN.»
«Content de ma prestation personnelle»
Auteur d’une grosse prestation, le joueur de Moreirense s’est dit content de son rendement personnel face aux Gambiens : «Je suis satisfait de ma prestation personnelle. Je crois avoir donné le meilleur de moi-même. Après, il reste encore beaucoup à faire pour espérer être présent à la prochaine CAN.»
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La composition du vaccin contre la grippe qui sera administré l’hiver prochain dans l’hémisphère Nord a été finalisée, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Ce vaccin, qui est composé de quatre types de virus différents, en comprendra deux qui ne figuraient pas dans le vaccin administré cet hiver et deux qui y figuraient déjà.
Les virus grippaux responsables des épidémies saisonnières sont de deux types : A (divisés en sous-groupes, principalement H1N1 et H3N2) et B.
Les recommandations de l’OMS, sur la base desquelles les vaccins seront ensuite fabriqués, portent sur des vaccins quadrivalents (protégeant contre quatre types de virus, deux A et deux B).
Selon ces recommandations, le vaccin pour l’hiver 2019-20 dans l’hémisphère Nord sera composé d’un virus de type A(H1N1) prélevé en 2018 à Brisbane (Australie), d’un de type A(H3N2) prélevé en 2017 dans le Kansas (Etats-Unis), d’un de type B prélevé en 2017 au Colorado (Etats-Unis) et d’un de type B prélevé en 2013 à Phuket (Thaïlande).
Ce sont les deux derniers qui figuraient déjà dans le vaccin administré cette année. La composition du vaccin est arrêtée au terme d’un processus complexe.
Deux fois par an, en février pour l’hémisphère Nord et en septembre pour l’hémisphère Sud, l’OMS parie sur les virus qui circuleront l’hiver suivant, pour déterminer cette composition avec plusieurs mois d’avance.
En effet, les virus de la grippe évoluent constamment. Ceux qui circulent une année donnée ne sont pas forcément ceux qui circuleront la suivante, d’où la nécessité de modifier le vaccin tous les ans.
Le délai de plusieurs mois entre les recommandations et le début de la prochaine saison grippale est dû aux processus de fabrication par les labos pharmaceutiques: dans le cas du vaccin contre la grippe, la culture des virus se fait en effet dans des oeufs de poule.
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La JS Kabylie s’est inclinée aujourd’hui en amical face à la formation de Red Star (1-0). Les Kabyles, et en dépit de cette défaite, ont laissé une bonne impression sur le terrain. Il est à noter que ce match s’est déroulé dans une ambiance festive et devant 4 500 supporteurs de la JSK.
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Trois (3) personnes ont perdu la vie intoxiquées par des fuites de monoxyde de carbone émanant d’un chauffe-bain dans la wilaya de Sétif, au cours des dernières 24 heures, indique samedi un bilan établi par les services de la Protection civile.
Durant la même période , les unités de la Protection civile sont intervenues pour prodiguer des soins de première urgence à 10 autres personnes incommodées par le gaz toxique émanant d’appareils de chauffage et chauffe-bain, soit 4 personnes dans la wilaya de Blida, 3 à Relizane et 3 autres à Tiaret,
Par ailleurs, et suite aux fortes chutes de pluies et de neige qui se sont abattues sur les différentes régions du pays, les unités de la Protection civile sont intervenues pour repêcher les corps sans vie de 2 fillettes, emportées par les eaux de oueds en crue dans les wilayas de Sétif et de Skikda.
L’accès aux routes nationales demeure par ailleurs difficile dans plusieurs wilayas du pays, en raison des dernières intempéries, telles que la RN 86 reliant la commune de Seriana et Oued Elma (Batna), suite au cumul de neige. Il en est de même pour les chemins wilaya (CW) 172, toujours difficile à la circulation.
Concernant la wilaya de Bouira, la même source signale notamment, la RN 15 coupée à la circulation, au lieu-dit Tirourda, suite aux cumuls de neige et à la wilaya de Tizi-Ouzou, la RN 15 reliant Ain El Hammam et la wilaya de Bouira, coupée à la circulation au niveau du Colline Tirourda, ainsi que le CW 253 qui reste également difficile à la circulation.
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Les prix des fruits et légumes, particulièrement ceux cultivés sous serre, connaissent une hausse depuis ces derniers jours, a-t-on constaté à travers les étals des marchés.
Cette flambée s’expliquerait par les produits hors saison dont les prix bondissent sur les marchés de gros, selon plusieurs vendeurs approchés par l’APS.
Occupé à ranger son nouvel arrivage de fruits dans un marché d’Alger-centre, Mouloud indique que les prix des oranges Thomson vont jusqu’a 160 DA/kg alors que celles de petit calibre sont cédées à 70 DA/kg.
Il appelle même les clients à en acheter davantage avant que, selon lui, les prix n’augmentent encore avec la fin de la saison de cette catégorie d’agrumes.
Pendant qu’il note à la craie blanche les prix de ses fruits, Hamid explique que concernant les fraises, le temps pluvieux maintient les prix à un niveau élevé du fait qu’elles soient difficilement accessibles au milieu des champs pour la récolte.
Interrogé par un client sur le prix élevé des pommes locales à raison de 200 DA/kg en dépit de leur qualité moyenne, Hamid argue que c’est du fait qu’elles ne soient pas de saison.
« Les pommes sont récoltées au début de l’automne. Celles que vous voyez proviennent des stocks frigorifiques et nous nous alignons sur les prix de gros du marché de l’Eucalyptus (Alger-Est) », souligne-t-il.
Une même tendance haussière est constatée au marché de Kouba (Alger): « les prix ont franchement augmenté pour les légumes hors saison », admet Samir, un vendeur.
« Tout ce qui provient des serres est cher car cela nécessite plus de moyens pour l’agriculteur, tandis que l’offre n’est pas très grande », juge un autre.
Parmi les légumes dont le prix reste élevé, selon ce commerçant, figurent le poivron doux ainsi que les haricots verts dont le prix peut atteindre 500 DA/kg.
Pour le jeune Abderrahmane, qui vend ses légumes au marché de Belouizdad, les prix des produits issus des cultures sous serre restent onéreux pour nombre des clients qui passent.
Selon lui, au marché de gros, le poivron doux se monnaie aux alentours de 160 DA/kg, les aubergines et les concombres à 100 DA/kg au marché de l’Eucalyptus, tandis que les haricots verts sont à 350 DA/kg.
« Parmi les prix qui restes raisonnables, l’on peut citer les fèves et les carottes dont le prix de gros oscille entre 40 et 50 DA/kg. Les artichauts aussi sont à un bon prix », estime-t-il.
Quant aux tomates, leur prix fluctue régulièrement sur les marchés, fait-il savoir, indiquant que leur prix de gros est actuellement compris entre 70 et 80 DA/kg.
Pour lui, « même si certains clients se gardent d’en acheter, ce prix reste +raisonnable+ par rapport à certaines périodes de l’année où son prix a même doublé ».
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La Coopérative des céréales et légumes secs (CCLS) d’Oran prévoit une hausse de la récolte de différentes variétés de céréales durant la saison agricole 2018-2019 avec une prévision de 200.000 quintaux, a-t-on appris de cette instance.
En dépit de la faible pluviométrie enregistrée cette année, la CCLS table sur la collecte de 200.000 quintaux cette saison, contre 183.000 qx la saison écoulée, a indiqué son vice-directeur chargé des semences et du soutien à la production.
La hausse prévue s’explique par l’irrigation d’appoint adoptée par les agriculteurs, a fait savoir Ayoub Tayebi, soulignant que la Direction générale de l’Office national interprofessionnel des céréales insiste sur la nécessité de l’accompagnement des agriculteurs dans cette opération et le rapprochement de la CCLS pour acquérir ces équipements d’irrigation.
En préparation de la saison moisson-battage, tous les moyens nécessaires pour sa réussite ont été mobilisés. Les entrepôts sont aménagés et nettoyés, et les équipements ont fait l’objet de maintenance, en plus de la fourniture du matériel de moisson et la mise en service d’équipes pour faciliter aux agriculteurs l’opération d’acquisition, selon le même responsable.
Dans ce cadre, la CCLS appelle les agriculteurs à se rapprocher d’elle pour déposer les demandes d’obtention des moissonneuses-batteuses avant le lancement de l’opération moisson-battage et les programmer en vue du bon déroulement de l’opération, affirmant qu’elle est prête à accueillir la récolte à la mi mai prochain.
Dans le domaine du stockage, la CCLS compte augmenter ses capacités à Oran à 550.000 qx pour renforcer les capacités de stockage disponibles, actuellement estimées à 220.000 qx répartis sur les docks silos de hai Es-salem, de la localité de Sidi Belkheir (Oued Tlélet) et d’Es Sénia.
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