Le gouvernement avait lancé le 23 septembre dernier un appel aux opérateurs privé pour investir dans le secteur du transport aérien et maritime. Jugé très stratégique et important, ce projet paraissait en effet dans le plan d’action du gouvernement.
« L’investissement est désormais ouvert, notamment pour certains secteurs, jusque-là interdits, dont le secteur du transport maritime et le transport aérien. Ces derniers sont actuellement autorisés officiellement », avait déclaré le premier ministre Aïmene Benabderrahmane.
À cet effet, de nombreux dossiers d’investissement ont été déposés au niveau du ministère des Transports qui vient de donner le feu vert pour 16 projets. C’est ce qui a été annoncé ce mardi 2 novembre 2021, par le premier responsable du secteur aérien.
Aissa Bekkai a en effet déclaré lors de son intervention sur la chaine de télévision privée Echorouk que sur les 28 dossiers étudiés par son département, seulement 16 ont été retenus.
Il s’agit de 9 accords de principe accordés en faveurs de projets dans le domaine de l’aviation civile et 7 autres dans le domaine du transport maritime des personnes et des marchandises. Ainsi, les différents investisseurs algériens, étrangers ou mixtes peuvent passer à l’action dès l’obtention de l’accord de principe.
« Les prix pratiqués par Air Algérie sont exagérés »Par ailleurs, le ministre n’a pas manqué de s’exprimer sur Air Algérie dont la situation financière se dégrade de plus en plus. Ainsi, la compagnie aérienne nationale ne cesse de s’attirer les foudres des Algériens.
Que cela soit pour les vols internationaux ou intérieurs, les prix demeurent excessivement chers et « ne conviennent pas au pouvoir d’achat du citoyen », estime le ministre du Transport.
L’article Transports aérien et maritime : feu vert pour 16 projets privés est apparu en premier sur .
Petrofac a fait un don de 220 concentrateurs d’oxygène importés d’une valeur de 225 000 $ US environ. 180 unités ont été mises à la disposition du ministère de la santé à Alger et 40 autres unités ont été réservées à la direction de la Santé de la wilaya d’Illizi.
Ce don s’inscrit dans le cadre de la seconde campagne de solidarité menée par Petrofac, dans la lutte contre la pandémie Covid-19 en Algérie. À travers ce nouveau don, Petrofac réitère son soutien indéfectible aux Algériens.
En effet, Petrofac reste toujours soucieuse d’apporter sa contribution au bien-être des populations qui résident et travaillent dans les zones où elle opère.
Rappelons qu’en 2020, Petrofac a fait un don d’une valeur de 100 000 $ US aux fonds du ministère algérien de la santé. Elle a également fait un don de matériel médical composé, notamment de défibrillateurs, à l’hôpital voisin d’In Amenas. En outre, l’entreprise a fait récemment plusieurs dons au village de Tin Fouy, situé à proximité de son projet à Ain Tsila, et ce en collaboration avec la commune de Bordj Omar Driss.
A ce propos, Manish Bhojwani, Directeur Général de Petrofac en Algérie, a déclaré : « Nous voulons aider à contribuer dans la lutte contre les effets de la pandémie, cela aura un impact positif pour nombre de personnes à rester en bonne santé. Ce fut un privilège de travailler avec le ministère de la Santé à Alger et la direction de la Santé de la wilaya d’Illizi à la réussite de cette opération. »
Présente en Algérie depuis l’ouverture de son bureau en 1999, après conclusion du premier contrat majeur à travers le projet à Ohanet, Petrofac a continué depuis cette date à accroître fortement sa présence en Algérie.
Petrofac continuera à soutenir et à assoir des liens de solidarité avec la population algérienne, comme elle veillera à renforcer la formation qualitative de son personnel, constitué actuellement de plus de 85 % de travailleurs algériens.
L’article Petrofac Algérie fait don de 220 concentrateurs d’oxygène est apparu en premier sur .
Depuis sa création en 2009, le bitcoin est assez controversé. Et c’est également le cas de toutes les autres cryptomonnaies qui ont vu le jour par la suite. Largement critiqué pour sa volatilité, son utilisation dans des transactions potentiellement malhonnêtes et la consommation exorbitante d’électricité nécessaire à son extraction, le BTC est considéré par certains utilisateurs comme une valeur refuge en cas de difficultés économiques. On observe notamment ce phénomène dans les pays en développement, dont la monnaie fiduciaire est faible et plutôt instable.
Puisque de plus en plus de personnes se tournent vers les monnaies virtuelles, aussi bien comme investissement qu’en tant que valeur refuge, plusieurs gouvernements ont alors mis en place diverses restrictions sur leur utilisation. C’est entre autres le cas de l’Algérie.
Bitcoin en Algérie : que dit la loi ?Le statut juridique du bitcoin et des autres altcoins (monnaies virtuelles alternatives au BTC) varie considérablement d’un pays à l’autre. Dans certains, le cadre juridique est particulièrement strict ; dans d’autres, il s’avère encore flou ou évolue constamment.
Si la majorité des pays ne rendent pas l’utilisation des cryptomonnaies illégale en soi, son statut de moyen de paiement ou de marchandise diffère, avec des implications réglementaires variables.
Certains États imposent des limites à l’usage : les banques interdisent alors à leurs clients d’effectuer des transactions en monnaies virtuelles. D’autres interdisent purement et simplement l’utilisation du bitcoin et de toute autre cryptomonnaie. Pour s’assurer du respect de cette restriction par leurs citoyens, ils ont alors mis en place de lourdes sanctions à l’encontre de toute personne effectuant des transactions en devises virtuelles.
L’Algérie fait partie de ces pays ayant un rapport particulièrement tendu avec le BTC et les altcoins. En effet, elle interdit actuellement l’utilisation des monnaies virtuelles, par le biais de sa loi financière de 2018 (Loi n° 17-11 du 8 Rabie Ethani 1439 correspondant au 27 décembre 2017 portant loi de finances pour 2018). Celle-ci rend illégal l’achat, la vente, l’utilisation ou la détention de cryptomonnaies. Toute violation est sanctionnée conformément aux lois et règlements en vigueur.
Les raisons de cette interdictionCette interdiction découle de plusieurs raisons majeures. La première est qu’une cryptomonnaie est indépendante de tout gouvernement ou institution. Elle n’a aucun statut légal et n’est pas encadrée par une Banque Centrale, ce qui retire toute possibilité de contrôle par le pays. Le risque de blanchiment est notamment un point d’inquiétude pour l’Algérie.
La seconde raison est la protection des citoyens. En effet, si les Algériens voient une valeur refuge dans le bitcoin, ils se soumettent à ses importants aléas. Depuis sa création, sa valeur a en effet subi de grosses fluctuations, avec des hausses impressionnantes, mais aussi d’énormes diminutions.
Troisièmement, l’utilisation de bitcoins et autres devises virtuelles crée un marché monétaire parallèle qui nuit au marché officiel. Cette tendance est néfaste pour l’ensemble du système financier algérien, déjà pénalisé par le contexte économique actuel.
Est-il possible d’utiliser des bitcoins en Algérie ?Ainsi, les banques ne supportent pas les devises virtuelles en Algérie. De même, le domaine du e-commerce algérien ne peut pas exploiter ces monnaies. D’ailleurs, cette restriction légale a une conséquence plus large : il n’y a pas de réelle économie numérique/électronique en Algérie, à l’exception de quelques sites de vente.
De ce fait, vous ne pouvez pas faire des transactions en bitcoins directement. En revanche, il est possible d’utiliser une carte de débit ordinaire qui les convertit en monnaie fiduciaire. Il suffit ensuite de retirer les fonds à un guichet automatique. Pensez à cette alternative lorsque vous obtenez des BTC sur un site comme https://bitcasino.io/fr. En effectuant la conversion à chaque transaction, vous pourrez alors jouer à vos jeux de casino préférés, tout en respectant la législation en vigueur.
L’article Quelle est la place des monnaies virtuelles en Algérie ? est apparu en premier sur .
Le secteur d’hydrocarbure en Algérie est la première source de revenus de l’État. Riche en ressources pétrolières et gazières, l’Algérie alimente plusieurs pays en gaz naturels notamment l’Espagne à travers le gazoduc sous-marin Medgaz.
Après avoir refusé de renouveler le contrat du gazoduc Maghreb-Europe (GME) suite aux tensions diplomatiques avec le Maroc, Ce dernier sera privé du Gaz algérien ainsi que des bénéfices financiers dus aux droits de passages.
Ainsi, le partenaire espagnol a été largement rassuré par les autorités algériennes quant aux quantités de gaz fournies. Ce qui prouve la puissance et la richesse du pays en matière de gaz naturel. Une énergie qui est utilisée en Algérie dans la production de l’électricité dont le prix est logiquement accessible.
Le PDG de Sonelgaz fait une comparaison avec l’EuropeLors de son intervention sur les ondes de la radio nationale, le Président directeur général de Sonelgaz, Chahar Boulakhras, a évoqué ce sujet. Selon ce dernier, le prix de l’électricité en Algérie est un des moins chers en comparaison avec les pays européens.
L’hôte de la chaine 1 ne s’arrête pas ici. Il précise en outre que ce prix est quatre fois moins chers que celui appliqué actuellement en Europe. Une réalité qui semble tout à fait logique puisque c’est l’Algérie qui alimente l’Europe en Gaz et non pas le contraire.
Enfin, le PDG de Sonelgaz a cité quelques chiffres concernant le volume des créances de Sonelgaz envers les clients. Il est passé selon la même source de 60 à 200 milliards de dinars, après la décision de ne plus couper l’électricité pour non-paiement des factures.
L’article Prix d’électricité : quand le PDG de Sonelgaz compare l’Algérie à l’Europe est apparu en premier sur .
Les accidents de la route se multiplient en Algérie. Il s’agit de l’une des principales causes de mortalité. Entre aout et octobre 2021, l’Algérie a enregistré plus de 226 décès dû aux accidents de la route.
Le phénomène est loin de reculer notamment dans le sud algérien ou un renversement de bus de transport public a été signalé ce mardi 2 novembre. Il s’agit en effet, d’un accident tragique dont le nombre de victimes s’élève à quatre décès, tandis que douze personnes ont été grièvement blessées.
La triste nouvelle a été diffusée sur la page Facebook de la radio régionale d’Adrar. Cette dernière précise que le renversement de bus s’est produit durant la matinée de ce mardi, au niveau de la route nationale n°6 près du passage de Tsabit, à environ 45 km du chef lieu de la wilaya d’Adrar.
Quelle solution pour endiguer ce phénomène ?Évoqués lors d’une émission diffusée aujourd’hui sur Echorouk Tv, les accidents de la route semblent être au cœur des préoccupations du Ministre du Transport.
Ce dernier a indiqué dans ce contexte que, le retrait de permis est une procédure inefficace. Il n’a pas manqué cependant de proposer d’autres solutions qui portent essentiellement sur un éventuel durcissement des peines.
Autrement dit, l’amende actuelle, qui équivaut à un retrait de permis de conduire, sera au moins doublée, précise l’intervenant.
L’invitée de la chaine de télévision arabophone a indiqué en outre que des études sont menées actuellement par les services de sécurité (police et gendarmerie) afin de déterminer à quel niveau le retrait de permis empêche les accidents de la route.
L’article Tragique accident au sud de l’Algérie : lourd bilan à déplorer est apparu en premier sur .
Les prix des denrées alimentaires explosent. Les Algériens sont habitués à voir les viandes se vendre à des prix exagérés, mais c’était impensable de voir cette cherté toucher également des légumes dont la pomme de terre.
Sur les réseaux sociaux numériques, les citoyens ne font que dénoncer la dégradation du pouvoir d’achat. La situation économique est plus que jamais au cœur des préoccupations des Algériens. Dans ce contexte, le ministère du Commerce se trouve dans l’embarras. Kamel Rezig ne sait plus sur quel pied danser.
Aujourd’hui, mardi 2 novembre, son département a procédé au déstockage d’une quantité considérable de pomme de terre, afin de réguler son prix qui a dernièrement atteint des proportions démesurées.
En effet, le ministère du Commerce et de la promotion des exportations a annoncé la nouvelle par le biais d’un communiqué public. D’après cette source, c’est l’Office nationale interprofessionnel des légumes et des viandes (ONILEV) qui se chargera de cette opération qui a déjà commencé dans 13 wilayas.
Il s’agit notamment de la capitale Alger, Boumerdès, Ain Defla, Blida, Bouira, Chlef, El Tarf, Mascara, Skikda, Tipaza, Tlemcen.
Pomme de Terre à 50 DACe déstockage, qui visera les marchés des entreprises publiques, a pour objectif, selon le communiqué l’approvisionnement et la régulation du prix de la pomme de terre. Cette dernière sera désormais commercialisée à 50 DA, précise le département de Rezig.
Enfin, le communiqué du ministère n’a pas manqué à préciser que le stockage de la pomme de terre s’inscrit dans le cadre du système de régulation des produits agricoles, et ce, afin de garantir l’approvisionnement du marché de la période allant du 15 octobre jusqu’à la fin du mois de novembre.
L’article Flambée des prix de pomme de terre : le ministère contre-attaque est apparu en premier sur .
Le grand tournoi continental arrive ! Et Belmadi doit rassembler les meilleurs joueurs de son équipe. En effet, janvier prochain sera la date du lancement de la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun.
Cette compétition africaine connaîtra la participation des plus grandes équipes du continent, dont l’équipe algérienne. Sur ce, le sélectionneur national Djamel Belmadi doit bien choisir son onze, afin de répondre aux souhaits de tous les Algériens et remporter pour la deuxième fois consécutive le trophée de la Coupe d’Afrique.
En fait, la Confédération africaine de football a récemment annoncé que les équipes participantes à ce tournoi peuvent ajouter cinq joueurs. C’est-à-dire que l’entraineur peut accompagner avec lui 28 joueurs au lieu de 23.
C’est une excellente nouvelle pour Belmadi et ses hommes. Ce dernier va être rassuré avec cinq autres joueurs, et les Fennecs vont être soulagés avec la présence de cinq coéquipiers supplémentaires.
Adam Ounas reprend les entrainementsEn effet, une autre bonne nouvelle vient de s’annoncer, Adam Ounas est guéri de sa blessure et rejoint aujourd’hui les entrainements avec ses coéquipiers du club italien SSC Naples.
Le milieu offensif des Verts a subi, il y a quelque temps, une blessure à la cuisse droite. Cette blessure l’a obligé à déclarer forfait lors de la double confrontation face au Niger.
Adam a été soigné et reposé. Par la suite, le médecin du club de Naples lui a accordé l’autorisation d’effectuer des exercices à l’intérieur de la salle, avant que l’international algérien ne s’entraîne sur le terrain, mais en individuel.
En reprenant les entraînements collectifs, Adam Ounas est désormais prêt à disputer à nouveau les confrontations officielles, dont celles avec l’équipe nationale. Sachant que SSC Naples affrontera le club polonais Legia Varsovie jeudi soir, dans le cadre du quatrième tour de la phase de groupes de la compétition de la Ligue européenne.
Il est également utile de préciser que l’entraîneur du club italien Luciano Spalletti, n’a toujours pas annoncé si Adam Ounas participera ou non à la rencontre de ce jeudi.
L’article Italie : Adam Ounas prêt à renouer avec les Verts est apparu en premier sur .
Pendant longtemps, les algériens qui rêvaient d’aller au Canada se montraient réticents de commencer la première étape, de crainte de rencontrer des obstacles ou de tomber sur des explications floues et donc rater une procédure. Il ne faut plus avoir cette peur et cette réticence, l’immigration est plus encouragée et facile que jamais, et ce, pour le Québec.
Québec est prête à accueillir des travailleurs des quatre coins du monde, cela concerne les algériens souhaitant immigrer et évoluer professionnellement à l’étranger. Les mots d’ordre? Arrima et PRTQ! C’est justement la plateforme Arrima plateforme qui permet d’arrimer l’immigration aux besoins du marché du travail à travers le programme régulier de travailleurs qualifiés (PRTQ).
Changer de pays n’a jamais été aussi facile, d’autant plus que les pays hôtes sont eux aussi à la recherche de personnes qualifiées pour résoudre le problème de pénurie d’effectif dans plusieurs secteurs, raison pour laquelle ces programmes sont mis en place.
Les étapes à suivreLe programme Arrima concerne uniquement le Québec, suite aux démarches que nous allons expliquer, le candidat aura une résidence permanente. Il est basé sur des points (qui seront cumulés en fonction de l’âgé, l’expérience, le diplôme…etc) celui qui aura cumulé le plus de points aura plus de chance de décrocher cette résidence permanente.
Première étape :
Il faut remplir le formulaire de « demande d’intérêt » sur ce site. Il faut s’inscrire en appuyant sur « Pour utiliser les services en ligne Arrima », vous mettrez ensuite des informations relatives à votre cursus, expérience de travail, niveau de langue …etc.
A noter qu’il faut être précis puisque il faudra joindre cette demande de documents prouvant ce que vous allez mentionner.
Deuxième étape :
Vous passerez également un test de français (quelque soit votre spécialité), les tests acceptés sont : TCF, TEF, TCFFQ,TEFQ, TEF Canada, DELF A1, DELF A2, DELF B1, DELF B2, DALF C, DALF C2.
Le test d’anglais n’est pas obligatoire, cependant il vous permettra d’avoir des points supplémentaires. Vous serez par la suite inscrit dans la base des données « banque de demande d’intérêt ».
Troisième étape :
Le ministère de l’immigration québécois va procéder à une sélection. cette dernière sera faite en fonction des besoins du marché du travail et les compétences des candidats. Ces sélections se font presque deux fois chaque mois, chaque sélection peut se limiter à un seul domaine, par exemple celui de la santé.
Quatrième étape :
Le ministère de l’immigration fera parvenir des invitations aux candidats sélectionnés afin de remplir le formulaire de demande d’immigration.
Cinquième étape :
Les demandes seront évaluées et étudiées compte tenu des points cumulés.
L’article Québec va accueillir 70.000 immigrants : 5 étapes à suivre est apparu en premier sur .
Aujourd’hui, l’Algérie a recensé moins de 100 cas de contamination à la covid-19. Malgré ce taux minime, le gouvernement ne semble pas vouloir prendre de risques, et se retrouver une fois encore impuissant, comme c’était le cas lors de la précédente flambée du virus.
Après les multiples sorties médiatiques du ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, cette fois ci c’est au tour du ministre de l’Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed, de faire son forcing.
Le ministre, lors d’une réunion de coordination avec les représentants de Linde gaz, calgaz, Saidal Gaz, Awras Gaz, Rayanox…, a ordonné de faire le plein le plein d’oxygène.
Benbahmed veut faire le plein d’oxygèneEn effet, Benbahmed, lors de la même rencontre, a rappelé qu’un ensemble de mesures ont été prises par le Ministère de l’Industrie Pharmaceutique afin d’augmenter la capacité de production et de stockage d’oxygène. Cette capacité est d’ailleurs estimée à 4,2 millions de litres.
Le Ministre n’a pas manqué d’ordonner à tous les producteurs de constituer un stock stratégique d’oxygène correspondant aux capacités maximales de stockage des différentes unités de production.
Benbahemed, qui redoute une quatrième vague ravageuse, a également affiché sa volonté de se préparer à n’importe quelle situation épidémique urgente.
Par ailleurs, Benbahmed a fait savoir aux producteurs qu’ils devaient se plier à un système de distribution des bouteilles d’oxygène et coopérer avec les services dont la tache est de garantir les vente conformément à la régementation en vigueur, et ce, afin de lutter contre toute forme de spéculation.
L’article Covid-19 : le département de Benbahmed se prépare à la 4e vague est apparu en premier sur .
Le public sportif, notamment les amoureux du ballon rond, sont satisfait de la performance des Fennecs, mais aussi des résultats obtenus, particulièrement depuis l’arrivée de Belmadi à la tête du staff technique en 2018.
En effet, le « ministre du Bonheur » a fait des Verts de grands joueurs, mais aussi de l’équipe nationale une équipe forte et invaincue lors des 31 dernières confrontations. Un résultat jamais obtenu dans l’histoire du football algérien.
Parmi les joueurs qui ont eu la chance d’être entrainés par le grand Djamel Belmadi, il y a Baghdad Bounedjah, l’attaquant du club qatari Al Sadd SC.
Ce dernier est le premier joueur d’Al Sadd à dépasser la barre des 100 buts dans le Championnat qatari, selon le site arabophone Staddoha. En fait, Bounedjah a marqué 125 buts en 107 matchs disputés sous le maillot qatari.
Un but toutes les 71 minutesSelon la même source, les statistiques indiquent que le natif d’Oran a joué 8 892 minutes en championnat avec Al Sadd et qu’il a marqué un but toutes les 71 minutes.
Pour rappel, Al Sadd affrontera Al Duhail pour le compte du neuvième tour du Championnat du Qatar lors d’une rencontre qui s’annonce enflammée.
Sachant que l’attaquant est le joueur Sedawi qui a inscrit le plus de buts à Al Duhail et est également le joueur le plus élevé à marquer dans les confrontations des deux équipes, où il a réussi à faire vibrer les filets d’Al Duhail dix fois en Championnat du Qatar.
L’article Championnat du Qatar : Baghdad Bounedjah explose les compteurs est apparu en premier sur .
Alors que certains pensaient que la pandémie du covid-19 était désormais dernière nous, les spécialistes ont tous mis en garde contre une quatrième vague. Les chiffres quant à eux, repassent sous la barre des 100 cas.
Aujourd’hui, le 02 novembre 2021, l’Algérie a de nouveau enregistré une nouvelle baisse des cas de contamination. Après avoir recensé 114 infections hier, le bilan de ce mardi annonce 83 nouveaux cas de contamination.
Le nombre de décès causés par le virus est de 3 nouveaux cas, selon les mêmes chiffres. Le ministère de la Santé a également fait état de 65 nouvelles guérisons et de 15 nouvelles admissions aux soins intensifs.
Ces derniers chiffres font grimper le bilan total des contaminations au coronavirus à plus de 206.649 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le même bilan fait savoir que plus de 5928 patients contaminés sont décédés des suites de complications liées au virus.
Une troisième dose : le lancementle Dr Djamel Fourar a annoncé aujourd’hui le lancement de la vaccination avec la dose de rappel dans tous les centres de vaccination à travers le pays.
Cette annonce intervient alors que les mises en garde des spécialistes se multiplient contre le risque d’une 4e vague dont on ignore la nature.
Selon le Dr Fourar, l’avènement de la 4e vague du coronavirus n’est pas à écarter. C’est pour cette raison que le spécialiste appelle au respect strict des mesures de prévention ainsi à la vaccination de masse.
L’article Covid-19 : le bilan détaillé de ce 2 novembre est apparu en premier sur .
Certains de nos ressortissants algériens se retrouvent souvent dans des problèmes avec la justice, notamment en Espagne. Les journaux relayent de plus en plus d’informations liées à la délinquance ou autres, signée de nationalité algérienne.
En effet, cette semaine verra le procès de quatre personnes dont deux Algériens, impliquées dans le meurtre du conseiller municipal à la mairie de Llanes, Javier Ardines, assassiné le 16 août 2018. Selon plusieurs journaux espagnols, les quatre personnes impliquées encourent chacune 25 ans de prison.
Le défunt Javier Ardines était un homme politique, il avait 52 ans, mari et père de deux enfants. Beaucoup pensaient que son meurtre avait une relation avec ses engagements politiques, jusqu’à ce que l’enquête conduise la police à ces quatre accusés.
Le prix d’une vengeance personnelleLes éléments de l’enquête après six mois d’investigation complexe, expliquent que c’était prémédité. Une histoire de règlement de comptes et de jalousie qu’un certain Pedro N.A, ami d’Ardines et cousin germain de sa femme, a méticuleusement organisé car il soupçonnait sa femme de tromperie avec Ardines.
Il fait appel donc à trois autres personnes pour exécuter son plan machiavélique, un certain Jesus M. et les deux Algériens ( Djilali B. et Maamer K.). Les deux ont reçu 25 000 euros chacun pour mettre fin à la vie de la victime.
Ce plan a été exécuté le 16 août 2018, la victime tombe dans un guet-apens mis en place par les quatre criminels. Javier Ardines descend de sa voiture sans imaginer le piège qui l’attendait, il a été tué à coup de batte de Baseball ensuite étranglé, son corps a été retrouvé sur la route le lendemain.
Les trois criminels ont été arrêtés dont l’Algérien Djilali B. alors que son compatriote Maamer K. a été arrêté en Suisse pour des vols, il a été transféré par la suite en Espagne, leur procès s’étendra sur tout le mois de novembre.
L’article Espagne : 2 Algériens accusés d’avoir assassiné un homme politique est apparu en premier sur .
L’Algérie a décidé officiellement de mettre fin à l’approvisionnement de l’Espagne en gaz via le gazoduc Maghreb-Europe qui passe par le Maroc. Si la fin de la fourniture en gaz du pays voisin est ainsi tranchée, c’est l’approvisionnement de l’Espagne qui risque de poser problème.
Dans une analyse livrée à l’agence officielle, l’ancien ministre de l’Énergie Abdelmadjid Attar affirme que d’un point de vue technique, l’Algérie sera en mesure d’assurer la totalité de ses livraisons gazières vers l’Espagne via le gazoduc Medgaz et les méthaniers.
Selon lui, « le Medgaz peut prendre en charge toutes les livraisons grâce au renforcement prévu des capacités à 10,5 milliards m³ par an, mais en compensant le différentiel par des livraisons en GNL ».
À ce propos, il explique que « le Gazoduc Maghreb-Europe avait une capacité d’environ 13 milliards de mètres cubes par an. Cependant depuis quelques années, il était exploité avec un volume annuel qui ne dépassait pas les 4 à 6 milliards m³/an, tandis que Medgaz acheminait 8,5 milliards m³ par an ».
Les autorités algériennes et espagnoles sont-elles en concertation ?« C’est ce que les autorités algériennes ont déclaré pour rassurer les marchés espagnol et portugais et il n’y a aucune raison d’en douter », estime l’intervenant. En effet, les autorités algériennes n’arrêtent pas de rassurer que la fermeture du GME n’aura aucun impact sur l’approvisionnement de l’Espagne.
Du côté espagnol, tout porte à croire que l’on ne se doute aucunement des intentions de l’Algérie. Ce mardi, « la ministre espagnole de l’Environnement et de l’Énergie Teresa Ribera affirme que les autorités algériennes se sont engagées à fournir plus de gaz à l’Espagne si le pays en avait besoin ».
Certes, l’Algérie s’est engagée à respecter ses engagements commerciaux en matière d’approvisionnement en gaz, mais à quel prix ? Il convient de noter ici que des travaux d’élargissement sont en cours sur le Medgaz afin de répondre convenablement à la nouvelle donne.
Ce qui pourra poser problèmeEt pour combler les besoins de l’Espagne en gaz durant cet hiver, l’Algérie compte augmenter les livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL) par méthanier. Cependant, des spécialistes avancent déjà que la question de l’acheminement devra poser problème après la fermeture du GME.
En effet, si la question du volume ne pose aucun problème, « celle du transport l’est davantage, car ces bateaux sont rares et les tarifs d’expédition élevés », indique-t-on. Ainsi, les deux pays doivent trouver des solutions à même de faire face à toutes ces contraintes.
D’ailleurs, l’ancien ministre Attar explique dans son analyse que Sonatrach et ses clients sont « certainement » en train de travailler sur des solutions pour faire face aux défis relatifs à l’augmentation de la demande en hiver.
Selon lui, cette demande pourrait dépasser les capacités journalières du Medgaz, et à la disponibilité des méthaniers nécessaires pour le GNL et celle de capacités de regazéification sur les côtes espagnoles.
L’article Fermeture du GME : le Medgaz répondra-t-il aux besoins de l’Espagne ? est apparu en premier sur .
Après plus de dix ans de conflit, la Libye peine encore à se redresser. Alors qu’elle s’approche de ses premières élections présidentielles programmées pour le 24 décembre prochain, ses principaux acteurs politiques ont apparemment des partenaires assez différents.
Alors que Najla Mangoush, première femme de l’histoire de la Libye à occuper le poste de chef de la diplomatie, se trouve à Alger, pour célébrer le 67ᵉ anniversaire du déclenchement de la révolution algérienne, le maréchal Khalifa Belqasim Haftar Alferjani, semble quant à lui avoir les yeux rivés vers Israël.
En effet, et selon la chaine qatarie Al Jazeera, qui cite une source israélienne, un avion appartenant à l’entourage au maréchal Haftar a atterri à l’aéroport David Ben Gourion à Tel-Aviv. Il s’agit d’un jet privé transportant un personnage non identifié proche de l’homme fort de l’est libyen, Khalifa Haftar.
L’avion a décollé depuis Dubaï, indique le journaliste israélien Itay Blumental, qui précise que le jet privé, après son atterrissage à Tel-Aviv, se rendra en Égypte. La même source indique que « le général Haftar bénéficie du soutien de la Russie, de l’Égypte, des Émirats arabes unis, de la Jordanie, de la France et… il a été affirmé qu’Israël le soutenait également ».
Alger « soutient le gouvernement de l’unité nationale »À contre-courant des aspirations du gouvernement libyen de l’unité nationale, Haftar se tourne donc vers un allié controversé au sein de l’Afrique.
Pendant ce temps, Najla Mangouch, la ministre libyenne des affaires étrangères, en visite à Alger dans le cadre de la cérémonie du 67ᵉ anniversaire du déclenchement de la révolution algérienne, a souligné le rôle joué par l’Algérie dans le conflit libyen et son soutien au gouvernement de l’unité nationale.
Najla Mangouch a notamment déclaré, à l’issue de la réception présidée par le chef de l’État au palais du peuple, que « le président Tebboune a affiché, comme toujours, son soutien total au gouvernement de l’unité nationale et au peuple libyen ».
L’Algérie, ajoute la chef de la diplomatie libyenne, soutient « toutes les étapes d’évolution qui ont eu lieu dernièrement et soutient aussi la Libye et tout ce qui est bon pour la Libye ».
L’article Conflit libyen : Mangoush se tourne vers Alger, Haftar vers Tel Aviv est apparu en premier sur .
Les hommes de Djamel Belmadi suscitent toujours de la joie chez les amoureux du football. Le public sportif est toujours satisfait, notamment ces derniers temps, des résultats obtenus par les Fennecs.
En effet, et depuis l’arrivée du coach Belmadi en 2018, les Verts ont montré un niveau professionnel. Ces derniers ne cessent de décrocher des records et d’obtenir des titres, notamment le capitaine de l’équipe, la star Riyad Mahrez.
Le chouchou de Manchester City, mais aussi de ses coéquipiers, est nommé par la Fédération Internationale de l’Histoire du football et des statistiques (IFFHS) afin de concourir pour le prix du meilleur joueur du monde pour l’année 2021.
Sachant que la Fédération Internationale de l’Histoire du football et des statistiques est, comme son nom l’indique, une organisation d’études historiques et statistiques sur le football.
Les noms de lauréats de cette année, dans diverses catégories, seront annoncés lors d’une grande cérémonie, à la fin de ce mois en cours.
Quatre joueurs arabes figurent sur la listeSur la liste des candidats figurent 4 autres joueurs arabes avec Riyad Mahrez, à savoir l’Égyptien Mohamed Salah (Liverpool), le Marocain Achraf Hakimi (Paris Saint-Germain), le Qatarien Akram Afif (Al Sadd SC) et l’Émirati Ali Mabkhout (Al-Jazira).
Par ailleurs, ladite liste porte les noms de 32 joueurs, à savoir, Gianluigi Donnarumma, Leonardo Bonucci, Jorginho, Kevin De Bruyne, N’Golo Kanté, Kylian Mbappé, Robert Lewandowski, Raheem Sterling, Cristiano Ronaldo, Erling Haaland, Lionel Messi, Rodrigo De Paul, Neymar, Casemiro, Marquinhos, Gabriel Barbosa, Luis Díaz, Son Heung Min, Ali Mabkhout, Achraf Hakimi, Sadio Mane, Kalidou Koulibaly, Riyadh Mahrez, Mohamed Salah, Alphonso Davies, Winston Mc Kennie, Giovanni Reyna, Raul Jimenez et Hector Herrera.
L’article World Player Award 2021 : Riyad Mahrez nominé est apparu en premier sur .
La jeune équipe algérienne connu dans le domaine du E-commerce sous le nom de Prix Algerie, lance un nouveau service qui permet aux algériens vivants à l’étranger d’effectuer leurs achats directement via leurs cartes bancaires sur la plateforme PrixAlgerie.com, la livraison se fait directement à leurs familles et proches qui vivent en Algérie.
Ce service supplémentaire permet d’alléger les dépenses des familles algériennes qui comptent sur leurs proches à l’étranger afin d’effectuer des achats divers, ou offrir des cadeaux à distance (Anniversaires, mariages, fêtes des mères,…)
PrixAlgérie.com donne la possibilité à nos expatriés des quatre coins du monde de choisir parmi plus de 1 500 produits disponibles sur le site, de payer directement via leurs carte VISA. L’option demander un produit est ajouté afin d’élargir l’éventail du catalogue. Dès validation, l’équipe procèdera à l’achat du produit et la livraison jusqu’aux domiciles de leurs familles en Algérie en toute sécurité.
Prix Algerie est une marketplace, lancée en 2020 , elle permet aux marques officielles d’avoir une boutique et vendre leurs produits en ligne, possédant plusieurs catégories tels que l’électroménager, beauté, informatique, produits de bébé, sport et même les pièces de rechange des robots d’électroménager, cocottes, bras mixeurs…etc. PrixAlgérie.com connu pour leurs prix imbattables sur le marché mais aussi pour la rapidité de livraison qui ne dépasse pas 48h (sauf extrême sud).
Ces derniers mois, PrixAlgerie.com est devenu le représentant de plusieurs nouvelles marques en Algérie, afin de les aider à communiquer sur leurs produits et les faire connaitre sur le marché algérien, les plus grandes youtubeuses Algériennes ont testé et présenté leurs satisfactions sur la qualité des produits, le prix et la rapidité de livraison.Cette Startup Algérienne vise à entrer par la grande porte dans plusieurs pays comme la Tunisie et le Maroc en 2022, attirant ainsi des investisseurs étrangers pour s’attaquer l’Afrique.
L’article La Startup PrixAlgérie lance un nouveau service dédié à la Diaspora est apparu en premier sur .
La réouverture partielle des frontières aériennes en Algérie était certes une bonne nouvelle pour les voyageurs et la diaspora algérienne, mais elle a également été marquée par la cherté des billets qui a découragé beaucoup de personnes.
Le prix des billets chez la compagnie aérienne nationale Air Algérie a engendré une grande indignation d’autant plus qu’elle s’est répandu sur d’autres compagnies.
Tout a commencé avec un billet aller simple de Dubaï qui coûte près de 1000 euros (997 euros) et un billet aller simple de Londres fixé à partir de 525 livres sterling. Cette hausse s’est confirmé avec un billet aller simple pour la ligne Montréal – Alger en classe économique qui est fixé à partir de 1222 dollars, un rabat-joie de la reprise des vols avec le Canada.
L’indignation à ce sujet n’a pas été limitée aux clients d’Air Algérie. Cela a même touché la classe politique. C’est justement le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) Abderrezak Makri qui a dénoncé les prix exorbitants des billets. Ces chiffres « énormes » selon Makri donnent l’impression que « l’on travaille pour le compte des compagnies aériennes françaises ». Déplorant cette cherté, il a également fait une comparaison entre les prix des billets en Algérie et chez des pays voisins, une différence inquiétante.
Air Algérie : entre crise financière et cherté des billetsInvité sur le plateau d’Echourouk TV, le ministre des Transports, Aïssa Bekkai, a fait état de la cherté des billets d’Air Algérie qui ne correspondent pas au pouvoir d’achat des citoyens algériens. Expliquant que ces prix sont clairement à revoir, notamment les prix des billets des vols intérieurs.
Il a également tenu à rappeler la crise financière par laquelle passe Air Algérie suite à la crise sanitaire, affirmant que des plans à moyen et long terme sont proposés pour relever la compagnie et la sortir de cette situation.
Dans le même contexte, le ministre des Transports a indiqué qu’une entreprise de maintenance et réparation aéronautique sera bientôt établie, compte tenu des 96 compagnies commerciales en Algérie dans le domaine des transports.
L’article Air Algérie : vers la révision des prix des billets est apparu en premier sur .
Après les assurances des spécialistes et responsables du secteur sanitaire, notamment auprès du Comité scientifique, l’Algérie passe officiellement à la troisième dose du vaccin contre le coronavirus.
Ce mardi, c’est le porte-parole du Comité scientifique chargé du suivi de l’épidémie, le Dr Djamel Fourar, qui annonce le lancement de la vaccination à la dose de rappel dans tous les centres de vaccination à travers le pays.
À ce propos, il souligne que la prise de la troisième dose du vaccin contre le Covid-19 devra intervenir après la vaccination complète, à savoir après la deuxième dose du vaccin.
Concernant la situation épidémiologique, l’intervenant affirme que l’avènement de la 4e vague du coronavirus n’est pas à écarter. À cet effet, il a appelé à la nécessité du respect strict des mesures de prévention ainsi que la vaccination.
Pour rappel, le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a affirmé vers la fin du mois écoulé que toute personne désirant recevoir une 3e dose et ayant reçu sa 2e dose après une période dépassant les six mois « peut se rapprocher des centres de vaccination ».
L’avis du Comité scientifiqueSi cette mesure intervient dans un contexte épidémiologique assez rassurant, ce qui a engendré un recul important de la campagne de vaccination, l’ensemble des spécialistes multiplient les appels à une vaccination de masse afin d’éviter tout risque quant à la 4e vague.
À ce propos, le Dr Riad Mahiaoui, chef de service réanimation au CNMS et membre du Comité scientifique, affirme que « si on fait la 3e dose ce n’est pas uniquement pour écouler les stocks ».
Intervenant hier sur les ondes de la Radio nationale, il explique « qu’on ne peut pas écouler tous les vaccins avec la troisième dose ». Selon lui, « le plus important et notre objectif principal, c’est d’aller se faire vacciner ».
L’article 3e dose des vaccins Covid-19 : l’Algérie passe à l’action est apparu en premier sur .
Le 1er Novembre 1954 est un événement historique qui a marqué l’histoire de l’Algérie. Chaque année, les Algériens fêtent et célèbrent le 1er Novembre, date du déclenchement de la Guerre de Libération nationale.
Plusieurs responsables et célébrités ont adressé leur mot aux Algériens à cet effet. Parmi ces derniers, figure le nom du sélectionneur national Djamel Belmadi.
» Le ministre du Bonheur » n’a pas manqué à dire son mot à l’occasion de la commémoration du 1er Novembre et du 67ème anniversaire du déclenchement de la Glorieuse Révolution de 1954.
Le coach a tenu à rendre un vibrant hommage à nos glorieux martyrs et aux sacrifices du peuple algérien, a-t-on appris aujourd’hui, du site officiel de la Fédération algérienne de football.
» En cette date hautement historique et bien ancrée dans nos cœurs et nos mémoires, je m’incline à la mémoire de nos valeureux Chouhadas, qui, sans leur combat et leurs sacrifices, notre Algérie n’aurait jamais retrouvé son indépendance et sa dignité « , lit-on dans le site de ladite Fédération.
» Je salue aussi, en cette occasion renouvelée, le militantisme, la bravoure et la résistance des enfants de l’Algérie, femmes et hommes, qui nous permettent aujourd’hui de puiser notre fierté et nos forces pour défendre les couleurs et les intérêts de notre nation « , rapporte la même source.
Belmadi rend hommage aux prédécesseurs de l’équipe du Front de libération nationalePar ailleurs, Belmadi a également rendu hommage aux prédécesseurs de la Glorieuse équipe du Front de libération nationale. » Évidemment, j’ai une pensée émue et particulière à nos vaillants prédécesseurs de la Glorieuse équipe du Front de libération nationale. Que ceux qui nous ont déjà quittés, Allah yarhamhoum et que Le Tout-Puissant les accueille dans Son Vaste Paradis, parmi les meilleurs de ce bas monde « .
Il a poursuivi à ce propos : » que ceux qui sont toujours parmi nous, en l’occurrence M.M. Mohamed MAOUCHE, Rachid MEKHLOUFI, Hamid ZOUBA, Abdelkrim KERROUM, Dahmane DEFNOUN et Mohamed SOUKHANE, prions Dieu de leur prêter longue vie et de préserver leur bonne santé pour nous faire rappeler à chaque instant ce devoir de mémoire envers leurs sacrifices et l’égard que nous leur devons pour leurs aspirations afin que vive une Algérie libre, indépendante et grande parmi les nations « .
L’article 1er Novembre : Belmadi lance un petit message aux Algériens est apparu en premier sur .
Le prix de la pomme de terre est devenu ces dernières années un indicateur incontournable du pouvoir d’achat du citoyen algérien. Si cela est en soi une preuve de la détérioration de la situation économique, la hausse des prix de cette denrée, indispensable aux algériens, n’a rien arrangé aux choses.
Après la sardine, les viandes, rouges puis blanches, la hausse des prix a gagné les fruits en tous genres, puis les légumes, au point ou la pomme de terre a atteint les 140 dinars le kilo sur les étales de certains marchés. Suite à cette détérioration sans précédent, et malgré la timide hausse des salaires, le gouvernement, dos au mur, a été contraint à ouvrir un peu les vannes.
C’est le président Tebboune qui a annoncé, à l’issue du dernier conseil des ministres, que le gouvernement pourrait « recourir à l’importation, à titre urgent et exceptionnel, pour préserver le pouvoir d’achat du citoyen ». Il n’en fallait pas plus apparemment pour le ministère du Commerce pour lancer une vaste opération d’importation de pomme de terre.
Pomme de terre : Rézig veut inonder le marchéSuite à l’annonce du chef de l’État concernant la relance « urgente et exceptionnelle » de l’importation des produits de première nécessité, et ce, afin de « résoudre les préoccupations des citoyens concernant les secteurs du commerce et de l’agriculture et lutter contre la hausse des prix », le ministère du Commerce n’a pas tardé à réagir.
Selon nos sources, le département de Kamel Rézig, le ministre du Commerce, a décidé d’importer des milliers de tonnes de pomme de terre, cela dans le cadre de la lutte contre la spéculation et la hausse des prix des produits de première nécessité.
Il est à rappeler que le ministre de l’Agriculture quant à lui, a affirmé devant le Sénat, que l’Algérie, qui est désormais considérée par la FAO comme ayant réalisé sa sécurité alimentaire, pourrait se tourner vers l’exportation de la pomme de terre.
L’article Pomme de terre : le retour à l’importation au secours de Rézig est apparu en premier sur .