Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a livré, hier vendredi, une nouvelle approche concernant les relations entre l’Algérie et la France, écartant tout éventuel rapprochement, d’au moins à court terme.
Les réactions suite aux propos proférés par le président français à l’égard de l’Algérie, notamment son existence dans l’histoire, continuent d’alimenter l’actualité. En effet, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune est longuement revenu sur ce point dans un entretien accordé au journal allemand Spiegel paru vendredi 5 novembre.
D’emblée, Tebboune réitère que les propos de Macron sur l’existence de la Nation algérienne avant le passage des Français sont « très graves ». « On ne touche pas à l’histoire d’un peuple, on n’humilie pas les Algériens », a-t-il déclaré.
Pourtant, estime encore le président algérien, « Macron est loin de la haine coloniale », faisant sans doute référence aux déclarations du président français en 2017 qualifiant le colonialisme de crime contre l’humanité.
D’ailleurs, Tebboune explique que Macron « l’a dit pour des raisons électoralistes ». Il lui reproche également de reprendre « un discours qu’Éric Zemmour tient depuis longtemps », à savoir que « c’est la France qui a fait de l’Algérie une nation ».
Ainsi, Tebboune regrette que Macron « s’est placé du côté de ceux qui justifient la colonisation ». Il réitère encore une fois que « la seule chose que nous voulons, c’est que la France reconnaisse les crimes qu’elle a perpétrés ».
Quel avenir pour les relations entre l’Algérie et la France ?Pour ce qui est de l’avenir des relations entre l’Algérie et la France, Tebboune estime que les propos Macron devront laisser des traces durables dans les relations entre les deux pays et hypothéquer une reprise des contacts à court terme.
À ce propos, il affirme : « Je ne vais pas être le premier à faire le pas, sinon je perds tous les Algériens ». Pour lui, « c’est un problème national, ce n’est pas un problème du président de la République ».
Plus loin encore, le chef de l’État ajoute, toujours dans le même sillage, « qu’aucun Algérien n’accepterait que je reprenne contact avec ceux qui ont formulé ces insultes ». « Macron a blessé la dignité des Algériens », ajoute encore Tebboune.
À une question de savoir s’il existait une possibilité que la crise bilatérale prenne « fin bientôt », Tebboune répond : « Non ». Il évoque ensuite l’histoire de la nation algérienne en indiquant que « nous n’étions pas un peuple de sous-hommes, nous n’étions pas des tribus nomades avant que les Français viennent ».
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Outre la crise sanitaire qui a ébranlé le monde entier, l’Algérie connait une crise économique critique due principalement à la dévaluation de la monnaie nationale. Face aux principales devises, le dinar algérien perd toute sa valeur et devient insignifiant.
Aujourd’hui, samedi 6 novembre 2021, un seul euro est cédé au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre pas moins de 158.9041 dinars algériens à l’achat et contre 158.9352 dinars algériens à la vente.
Les cotations commerciales officielles montrent par ailleurs qu’un seul dollar américain équivaut à 137.5436 dinars algériens à l’achat et à 137.5586 dinars algériens à la vente. Le dollar canadien est cédé cependant contre 110.9849 dinars algériens à l’achat et contre 111.0060 à la vente.
Enfin, la prestigieuse livre sterling ne perd jamais sa valeur et demeure indétrônable. Un seul Pound s’échange au niveau de la banque d’Algérie contre 187.9268 dinars algériens à l’achat et contre 187.9473 à la vente.
Le marché noirSuite à l’intensification des dessertes commerciales aériennes et maritimes, les cambistes du Square Port-Saïd, dans la capitale Alger échangent les billets verts au prix cher. En effet, un seul euro est cédé au niveau du marché noir contre 216 dinars à l’achat et 213 dinars algériens à la vente.
Concernant la monnaie canadienne, elle est cédée par les cambistes contre 141 dinars algériens à la vente et 138 dinars algériens à l’achat. Ainsi, le dollar américain est proposé contre pas moins de 188 dinars algériens à la vente et contre pas moins de 185 dinars algériens à l’achat
Pour conclure, citons le taux de change de la monnaie britannique qui demeure la plus chère. Au marché noir, un seul pound équivaut à 243 dinars algériens à la vente et à 241 dinars algériens à l’achat.
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La saison hivernale est à nos portes. Le froid commence à se répandre dans les quatre coins du pays et les pluies s’abattent abondamment. Voici le climat qui domine les wilayas algériennes ces derniers jours.
Durant ce week-end, la pluie n’a pas cessé de s’abattre sur les différentes régions de l’Est, l’Ouest et du Nord du pays. Ainsi, les températures ont considérablement baissé annonçant ainsi l’arrivée de l’hiver tant attendu par les Algériens, après des mois de chaleurs et de sécheresse.
En effet, la journée d’hier, vendredi 5 nombre, a été marqué par de fortes chutes de pluies orageuses qui ont affecté pas moins de 32 wilayas. La pluie semble se poursuivre encore jusqu’au lendemain dimanche.
Prévisions de ce samedi 6 novembreDans une alerte météo, l’Office nationale de météorologie a mis en garde contre la poursuite de fortes pluies orageuses dont la quantité dépassera les 40 ml. Plusieurs wilayas de l’Est, l’Ouest et de l’intérieur sont concernées, telles que : Souk Ahras, Mila, Oum El Bouaghi, Tébessa, Guelma, Batna, Annaba, Constantine, Skikda, Jijel, Khenchla, El Tarf.
À cela s’ajoute : Alger, Blida, Tizi-Ouzou, Bouira, Sidi Bel Abess, Tipaza, Relizane, Tissemsilt, Tiaret, Chlef, Mostaganem, Ain Témouchent, Tlemcen, Ain Defla, Médéa, Saida, Boumèrdes, Oran, Mascara.
D’après Météo Algérie, les précipitations se poursuivront jusqu’à la matinée du dimanche 7 novembre. Ainsi, la même source prévoit des vents violents dont la vitesse attendue atteindra 50km/h, sur la plupart des wilayas susmentionnées.
Par ailleurs, le Sahara Algérien sera marqué par un temps nuageux avec des chutes de pluie modéré au niveau des oasis. Enfin, les températures oscilleront entre 15 et 18 degrés sur les zones côtières, 9 et 19 degrés pour les régions intérieurs et 18 jusqu’à 38 degrés dans le Sud.
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La pomme de terre fait encore sa diva et défraye la chronique. Entre le père de famille qui peine à joindre les deux bouts, et l’internaute lambda qui en fait un sujet de raillerie, la hausse des prix de cette denrée indispensable au foyer algérien demeure un indicateur sérieux de la détérioration du pouvoir d’achat.
Outre les efforts du gouvernement qui tente de mettre un terme à la spéculation, les producteurs de pomme de terre de leur côté avancent d’autres raisons à la flambée. Se confiant au journal arabophone Echourouk, des agriculteurs de la wilaya de Mila pointent du doigt les services publics, mais aussi la sécheresse qui frappe le pays depuis quelques années.
Les explications des cultivateursLes agriculteurs indiquent que la raison du recul des surfaces cultivées de plus de 50 %, est dû au manque des lieux de stockage. Ces producteurs de pomme de terre expliquent que « la crise de la pomme de terre« a commencé depuis deux ans, mais personne n’était à l’écoute à ce moment-là.
Quelques-uns de ces producteurs confient qu’ils disposaient de plus de 20 000 tonnes de pommes de terre, mais ils ne trouvaient pas ou la stocker.
Selon eux, les autorités compétentes ont ignoré leurs demandes, ce qui les a poussé à opter pour les vielles méthodes, chose qui a causé beaucoup de dégâts à la marchandise. Beaucoup ont décidé de changer de vocation, vu que les chambres froides coutent cher, plus de 80 millions par mois, font-t-ils savoir.
Outre les problèmes de stockages, les producteurs se plaignent aussi du manque d’eau. Selon eux, la production de la patate nécessite beaucoup de matériel pour y faire parvenir l’eau dans les zones asséchées, ce qui coute énormément d’argent. Tout cela pousse le producteur à vendre cher estiment-ils.
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Durant trois semaines, les partis politiques et candidats aux prochaines élections locales devront mener leurs campagnes électorales, qui s’annoncent cette fois-ci dans contexte socio-économique inédit.
En effet, la campagne électorale a démarré hier, jeudi 4 novembre et prendra fin trois jours avant le scrutin. Une mission difficile pour les candidats qui devront faire face à un désintérêt total de la part des citoyens.
Dans l’espoir d’éveiller la curiosité des Algériens et susciter leurs intérêts, les partis politiques songent à plaider pour des réformes tout à fait légitimes. Il s’agit notamment de la nécessité d’élargir les prérogatives des élus locaux afin de pouvoir mieux gérer le quotidien du citoyen.
Un appel déjà lancé par le plus vieux parti de l’opposition (FFS) et qui refait surface cette fois-ci, lors d’un meeting politique tenu ce vendredi 5 novembre dans la grande salle de la maison de la culture Ali Zaâmoum à Bouira.
Il s’agit en effet, de la campagne électorale du secrétaire général du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid. Ce dernier s’est focalisé durant cette réunion sur la nécessité d’accorder plus de prérogatives au profit des élus au niveau des Assemblées populaires communales, et ce, dans l’objectif de pouvoir répondre aux préoccupations des citoyens.
« L’APC constitue le noyau principal pour tout développement », a déclaré Abdelaziz Belaid. Le politicien n’a manqué à énumérer les avantages que peut avoir une telle réforme. Selon lui, « l’élargissement des missions et du rôle des élus de wilaya permettra d’exercer un contrôle sur l’exécutif ».
Abdelaziz Belaid dénonce les répercussions de la corruptionPar ailleurs, le secrétaire général du Front El Moustakbal a tenu à évoquer les retombés politiques désastreux causés par la corruption durant la dernière décennie. « Nous devons tourner la page pour bâtir notre Algérie sur de bonnes bases pour lui permettre de reprendre la place qui lui sied en tant que force régionale et internationale »a-t-il martelé.
Avant de clôturer son Meeting, Abdelaziz Belaid a rappelé l’importance majeure que revêt le prochain scrutin tout en appelant les citoyens à « exprimer leur choix » qui déterminera sans doute « la gestion de leurs préoccupations et du développement de leurs communes.
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Il n’y a aucune raison qui fait que l’Algérie puisse échapper au sort des pays européens qui connaissent ces derniers jours une importante flambée des cas de contamination à la covid-19. Avec un taux de vaccination incontestablement faible, les Algériens ont quand même de bonnes raisons de s’inquiéter.
Les contaminations se maintiennent cependant autours des 100 cas quotidiens selon les bilans du département du Abderrahmane Benbouzid, le ministre de la Santé et de la réforme hospitalière. Ce dernier ne cache toutefois pas son inquiétude. Hier, lors d’une déclaration à la presse, il dit espérer que la quatrième vague ne frappera pas l’Algérie, mais si c’est le cas, il vaut mieux qu’elle nous tous trouve vaccinés. Ce qui est hélas loin d’être le cas.
D’autres spécialistes, à l’instar du Dr Lyes Akhamouk, assurent que la quatrième vague a déjà commencé, et que son pic surviendra d’ici à 4 ou 6 semaines. Il s’agit selon d’une quatrième vague qui risque d’être légère, prédit ce spécialiste. Il explique « qu’il est possible d’amoindrir sa dangerosité et d’atténuer sa force avec une réaction rapide en respectant les mesures de prévention et en continuant la vaccination ».
La quatrième vague, au-delà des chiffres officielsLoin des déclarations des membres du comité national chargé de la surveillance de l’évolution de la pandémie du coronavirus, les médecins généralistes, ceux travaillant dans les hôpitaux publics ou ceux qui tiennent des cabinets privés, sont les mieux placés pour sentir l’arrivée d’une nouvelle vague.
Abdellah Aggoune médecin généraliste qui exerce à Bougara, dans la wilaya de Blida, depuis une trentaine d’année, est aux premières lignes de la lutte contre la pandémie. Ce médecin qui a fait face au terrorisme lors de la décennie noire, est aujourd’hui mobilisé auprès des citoyens pour faire face à la covid-19.
Aujourd’hui, sur son mur Facebook, le médecin, mais aussi écrivain et réalisateur, indique qu’il « pense que nous vivrons longtemps avec le covid avec des formes moins graves que ce que nous avons vécu ». Le Dr Aggoune indique qu’il reçoit ces derniers jours deux patients atteints de covid-19 par jours, « au minimum ».
Il précise cependant qu’il s’agit « le plus souvent de formes mineures, avec beaucoup de cas suspect ressemblant à des grippes saisonnières ou des allergies probables (pouvant être des cas de covid) ».
Pour conclure, le médecin très proche de ses patients, à qui le journal Français Le Monde avait consacré plusieurs articles, indique que « tout le monde devrait se faire vacciner avec le vaccin chinois, car il a sauvé énormément de personnes contaminées, dont la mienne ». « VACCINEZ-VOUS ! N’attendez pas un 4ᵉ vague svp », conclut-il.
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Le prix de la pomme de terre occupe la une des journaux nationaux et alimente les débats télévisés. Après une hausse exagérée ayant dépassé les 140 DA, les ménagers pauvres et très modestes, mais aussi la classe moyenne s’est retrouvé dans l’embarras.
Si les Algériens pouvaient boycotter la viande blanche, comment peuvent-ils se passer de la pomme de terre, qui est à la base de l’alimentation ? Comment s’en sortent les familles ayant plus de deux enfants ? Une situation socio-économique qui frappe de plein fouet le département de Rezig.
Dans ce contexte tendu, le premier responsable du secteur a procédé mardi dernier, 2 novembre, au déstockage de grandes quantités de pomme de terre, afin de stabiliser et réguler son prix sur le marché. Suite à cette action, les prix ont plus ou moins diminué.
Une diminution de 40 DASelon le ministère de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, le prix de la pomme de terre a baissé 72h après l’approvisionnement des marchés. Cette opération a été effectuée en effet aux niveaux des différents marchés de gros sur le plan national.
Via un communiqué de presse publié sur sa page Facebook, le ministère a indiqué en outre que le prix de la pomme de terre fraiche, cultivé dans les wilayas d’El Oued, Mascara et Mostaganem s’est stabilisé entre 60 et 90 DA, et ce, dans l’est, l’ouest et l’intérieur du pays.
Rappelons par ailleurs que le recours à l’importation a été évoqué à mainte reprise. À ce propos, Kamel Rezig a tenu à préciser qu’il s’agit d’une solution exceptionnelle, qui pourra être mise en ouvre pour une durée déterminée.
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Né à Oran, à quelques encablures du Maroc, Cheb Khaled n’a jamais raté une occasion de dire qu’à l’époque, on n’y croyait pas trop aux frontières. Comme tous les voisins, Algériens et Marocains allaient et venaient, et tissaient des liens qui sont devenus aujourd’hui une source d’ennuis pour le roi du rai.
Dans un contexte marqué par une escalade dangereuse entre l’Algérie et le Maroc, Cheb Khaled a atterri hier au Maroc dans le cadre de sa nouvelle tournée. L’artiste, proche de certains responsables marocains, est passé saluer Mohamed Ben Aissa, ex-ministre marocain des Affaires étrangères et actuel maire de la commune de Assila.
Dans le bureau de ce responsable, se trouvait l’actuel ministre marocain de la Justice, Abdelatif Wahbi. Les trois hommes ont été pris en photo par le journaliste marocain Hatim El Batioui, qui, en partageant les images, a lancé une polémique qui a divisé les Algériens.
Des pages sur les réseaux sociaux et des médias en ligne se sont emparés des photos ou apparait Cheb Khaed en compagnie du ministre marocain. Sur un fond de tensions entre les deux régimes, la controverse est lancée. Entre ceux qui n’y voient aucun mal à poser avec un responsable marocain, et ceux qui trouvent déplacé qu’un Algérien chante dans un pays qui normalise avec Israël, le feu de la guerre des commentaires a été bien nourri.
Entre l’Algérie et le Maroc, Khaled se déchireCertains ont reproché au roi du rai son emblématique sourire alors qu’à côté de lui se tenait un représentant d’un régime accusé par Alger d’être derrière l’assassinat de 3 ressortissants algériens. D’autres sont allés plus loin, en affirmant qu’il « vaudrait mieux qu’on lui retire sa nationalité algérienne vu qu’il a accepté de chanter avec les amis d’Israël ».
Khaled Hadj Brahim, qui est né et qui a grandi dans une Algérie ouverte sur le monde, et qui est aussi l’époux d’une femme Marocaine, ne sait plus aujourd’hui à quel saint se vouer. Sa situation résume le déchirement qui s’opère entre des milliers de familles depuis plusieurs mois maintenant, notamment après l’officialisation par le Maroc de la normalisation de ses relations avec Israël. La goutte de trop qui noyé les liens fragiles que Rabat entretenait avec Alger.
Il est à rappeler que le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, lors de son annonce de la rupture des relations diplomatiques entre l’Algérie et le Maroc, a souligné que cette décision ne touchera pas les deux peuples. Cependant, cette décision censée être purement politique, ne pouvait hélas que prendre une dimension sociale, surtout après le lâche assassinat des trois Algériens au Sahara Occidental, un crime que le Maroc a évité jusque-là de commenter.
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La réouverture des frontières algérienne maritimes a permis non seulement de satisfaire la forte demande de la diaspora algérienne en France et en Espagne, mais aussi de faire sortir certaines compagnies maritimes de leurs inactivités commerciales et financières.
C’est le cas par exemple d’Algérie Ferries qui a repris ses traversées, après deux ans d’interruption, avec l’Hexagone et l’Espagne. Cette dernière a également bénéficié d’une autorisation pour desservir les ports algériens.
Il s’agit notamment de la compagnie espagnole de transport maritime, Baléaria qui vient d’annoncer la reprise des dessertes commerciales avec l’Algérie. En effet, il sera question d’une liaison entre les ports de Valencia et Mostaganem, et ce, à partir du 20 novembre de l’année en cours.
Des billets à moins de 250 eurosAprès avoir reçu le feu vert des autorités algériennes, la compagnie Baléaria a indiqué ce vendredi 4 novembre, que la première traversée connectera le sud de l’Espagne à l’Ouest Algérien. Le départ sera effectué le samedi 20 novembre de valence à 18 h 30, à bord d’un navire dont la capacité s’élève à 399 passagers et 430 véhicules.
À cela s’ajoute un protocole sanitaire strict, imposé par les autorités algériennes et espagnoles, à savoir une désinfestation régulière du navire ainsi qu’une obligation de porter le masque et d’appliquer une distanciation sociale. Ainsi, les passagers seront tenus à respecter les conditions d’entrée fixées par les deux pays,
Quant aux prix des billets, la compagnie étrangère Baléaria a tenu à préciser qu’un billet aller-retour (siège + un seul véhicule) coutera moins de 250 euros. Le prix varie cependant selon les différents services proposés la compagnie espagnole.
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Selon certains spécialistes, la quatrième vague de la covid-19 est déjà là. L’Algérie, qui vient tout juste de tourner la page de la troisième vague, va renouer avec la pandémie, c’est « inévitable » même, assure le Dr Akhamouk. Ceci dit, pour le moment, le pic est encore loin. « Il surviendra d’ici à 4 ou 6 semaines », ajoute le même intervenant.
Aujourd’hui, le 05 novembre 2021, l’Algérie a enregistré une baisse dans les cas de contamination à la covid-19. En effet, selon le bilan officiel, 117 nouvelles infections ont été enregistrées ces dernières 24 heures, ainsi que 3 nouveaux décès. Le bilan fait également état de 83 nouvelles guérisons.
Selon ces derniers chiffres communiqués aujourd’hui par le département de Benbouzid, le total des cas de contamination à a covid-19 en Algérie a atteint les 206.995 cas . L’Algérie a également déploré, depuis le début de la pandémie, pas moins de 5941 décès à cause de complications liées au virus.
Quatrième vague : elle est déjà là ?Selon le Dr Akhamouk, on ne peut pas échapper à la troisième vague vu que cette dernière est déjà à nos portes et que son pic est prévu d’ici à 4 ou 6 semaines.
Au lieu d’écouter les rumeurs véhiculées par les réseaux sociaux, le Dr Akhamouk incite les Algériens à profiter de ces quelques jours qui restent avant la flambée pour aller se faire vacciner.
Pour ce spécialiste, il n’y a aucun doute que le vaccin reste la seule solution qui va nous permettre de tourner la page de la pandémie.
L’article Covid-19 : le bilan détaillé de ce 5 novembre est apparu en premier sur .
Face à la réticence des citoyens et le recul de la pandémie, la campagne de vaccination connait une stagnation depuis le début du mois d’octobre. Les citoyens n’ont plus peur du virus et le retour à la vie normal reprend progressivement.
Face à cette situation, l’Algérie se trouve avec des quantités considérables de vaccin non consommées. À cet effet, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid a annoncé le gel d’une grande opération d’importation de vaccin anti-covid, et ce, en raison de la disponibilité de plus de 13 millions de doses, non consommées.
En marge de la journée d’étude consacrée à l’évaluation de la situation épidémiologique, tenu hier, jeudi 4 novembre, le premier responsable du secteur sanitaire a fait savoir que l’Algérie va interrompre l’importation des vaccins, vu les quantités suffisantes dont elle dispose et qui n’ont malheureusement pas été utilisées en raison de la résistance incompréhensible des citoyens.
13 millions de doses de vaccins doivent être consommées avant la date de péremptionDans ce contexte, Professeur Benbouzid a réitéré encore une fois son appel aux citoyens pour se diriger vers les centres de vaccination afin de se protéger d’une éventuelle quatrième vague qui est apparue dans certains pays.
De son côté, la directrice de pharmacie et des équipements médicaux au ministère de la Santé, Wahiba Hadjoudj a mis l’accent sur la nécessité de consommer les 13 millions de doses de vaccins avant l’expiration de la date de péremption.
Il convient de citer par ailleurs qu’un état des lieux a été établit par les différents cadres du ministère de la Santé, concernant la situation épidémiologique ainsi que la disponibilité des lits, médicaments et des quantités d’oxygène.
L’article Covid-19 : gel d’une grande opération d’importation de vaccin est apparu en premier sur .
Le FFS n’a pas manqué de réagir à l’affaire des trois civils algériens assassinés au Sahara Occidental. Le parti politique, qui se proclame de l’opposition démocratique en Algérie, et qui participe aux prochaines élections locales, a fermement condamné l’agression dans un communiqué rendu public aujourd’hui, le 5 novembre 2021.
En effet, pour le FFS, cette « lâche agression » constitue un « passage malveillant vers de plus haut niveau de provocation » et « cache dans ses plis une allure militaire ». Le FFS a notamment affiché ses inquiétudes quant à l’avenir de la région.
Le FFS épingle le Maroc et IsraëlSelon le FFS, la responsabilité de cette grave escalade incombe à la « partie ou bien aux parties qui se cachent derrière l’agression ». Le communiqué souligne aussi que « bombarder des civils non armés, dans cette circonstance particulière, ne peut avoir comme explication que l’existence d’une intention préméditée de pousser les choses au pourrissement et la région du Maghreb vers un avenir inconnu ».
La normalisation des relations entre le royaume marocain et Israël a été au cœur du communiqué du FFS qui a, une fois encore, mis en garde contre le fait de « dérouler le tapis rouge aux pieds des porteurs des projets de chaos et de destruction dans la région du Maghreb ».
Cela constitue d’ailleurs, selon le même communiqué, « une trahison envers les combattants de la cause maghrébine que la lutte contre le colonialisme avait réuni ». Le FFS explique ensuite que « cette même pensée coloniale tente aujourd’hui de ressusciter sous des formes nouvelles et sous d’autres noms ».
La fin du « rêve maghrébin » ?« Ce changement accéléré dans le traitement des questions purement maghrébines n’a aucune justification logique ni immorale, et il pourrait transformer le rêve maghrébin en un cauchemar effrayant qui va avoir des répercussions désastreuses sur l’ensemble des peuples de la région », s’inquiète le FFS.
La région, selon le FFS, « a un besoin urgent du calme et de confiance ». Selon le communiqué signé par son secrétaire général, le FFS affirme aussi qu’il faut essayer « d’étendre les ponts de coopération et de consensus afin de parvenir à la démocratisation des régimes du Maghreb« . Seul cela, conclut le FFS, « permettra de construire un grand Maghreb ».
L’article Algérie – Maroc : « le rêve maghrébin vire au cauchemar », selon le FFS est apparu en premier sur .
Moins de trois semaines nous séparent des élections locales anticipées. Les campagnes électorales ont débuté hier, 4 novembre. Les candidats aux APC et APW commence une course contre la montre, dans l’espoir de gagner l’empathie de l’opinion publique, dans un contexte socio-économique inédit.
À cet effet, le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a adressé des instructions urgentes aux membres du Gouvernement et aux Walis, portant sur la nécessité d’accorder des congés d’office aux candidats des élections locales prévues pour le 27 novembre.
Un congé d’office d’une durée de 21 joursSelon le journal arabophone El bilad, le premier responsable du gouvernement a donné cette instruction, dans l’objectif de permettre aux différents participants au prochain scrutin de mener leurs campagnes électorales.
« Les membres du Gouvernement ainsi que les Walis sont instruits de transmettre les instructions nécessaires aux différents responsables concernés, afin de permettre aux candidats de bénéficier d’un congé d’office, et ce, durant une période 21 jours, conformément aux dispositions de l’article 73 de la loi organique relative au régime électoral ».
Pour rappel, la campagne électorale a début hier, jeudi 4 novembre et s’étalera sur trois semaines. Autrement dit, vingt-trois (23) jours avant la date du scrutin et s’achève trois (3) jours avant, conformément à l’article 73 de la loi portant régime électoral.
Par ailleurs, Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait affirmé qu’en « parachèvement du processus d’édification des institutions de l’Etat sur des bases solides, (…) l’Algérie sera le 27 novembre, au rendez-vous avec les élections des Assemblées populaires communales (APC) et de wilayas (APW), pour affirmer notre volonté forte et ferme de protéger le choix souverain des citoyens et citoyennes ».
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Le président du Mouvement Al Binaa, Abdelkader Bengrina, a profité hier du lancement de la campagne électorale pour critiquer le régime marocain. Commentant le lâche assassinat de trois civils algériens au Sahara Occidental, Bengrina, a appelé le peuple algérien à aider le Maroc à s’affranchir de son régime monarchique.
La campagne électorale a été lancée hier jeudi. Bengrina, devant les militants et les cadre de son parti, dans la wilaya de Mostaganem, a déclaré que « tous les Algériens et algériennes doivent soutenir les institutions de l’État afin de renforcer les liens de la fraternité et d’amour entre nous et le peuple marocain ».
Bengrina va encore plus loin. Il a appelé ces mêmes algériens et algériennes à « tendre la main au miséreux et opprimé peuple marocain qui a besoin d’un régime populaire et démocratique et non un Makhzen monarchique ».
Bengrina incite les Algériens à aider les Marocains à instaurer « un régime démocratique qui découle de leur propre volonté… et qui ne se ne puise pas sa force de l’entité sioniste ». Le régime marocain actuel, estime Bengrina, banalise « les obscénités et la drogue ».
Algérie – Maroc : Lamamra saisit l’ONU« Le crime ne passera pas impuni », a déclaré dans la présidence de la république dans un communiqué u elle a accusé le Maroc d’être derrière l’assassinat de trois ressortissants algériens au Sahara occidental.
Suite à cette promesse, le chef de la diplomatie, Ramtane Lamara a saisit l’ONU concernant cette affaire. Le ministre des Affaires étrangères et de la communauté natuonale à l’étranger a adressé un message au secrétaire général de l’ONU, ou il a souligné « la gravité extrême » de l’attaque « terroriste ». Selon le message de Lamamara « aucune circonstance ne saurait justifier » une telle dérive.
Outre le secrétaire général de l’ONU, Ramtae Lamamra a également saisit le président de la Commission de l’Union africaine (UA), le secrétaire général de la Ligue des États arabes, et enfin, le secrétaire général de l’Organisation de la coopération islamique (OCI).
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Avec une série de 31 matchs sans défaite et une dizaine de joueurs talentueux, l’équipe nationale du football est au centre des attentions. Les entraineurs des différents pays notamment africains et maghrébins suivent de très près l’évolution des fennecs.
C’est le cas apparemment de Vahid Halilhodzic, ex-coach des verts et actuel sélectionneur de l’équipe marocain du football. Ce dernier a fait une déclaration pour le moins étonnante, et ce, en comparant les hommes de Belmadi, champions d’Afrique aux Lions de l’Atlas.
Selon Vahid Halilhodzic, l’équipe du Maroc est forte par son jeu collectif, contrairement aux fennecs qui se basent sur un seul joueur. « On ne dépend pas d’un joueur comme l’Égypte avec Salah, l’Algérie avec Mahrez, le Sénégal avec Mané. On dépend d’un collectif », estime Halilhodzic.
La déclaration rapportée hier, 4 novembre, par nos confrères du média électronique spécialisé, Fennec Football, a fait le tour de la Toile. Sachant que les coéquipiers de Mahrez conservent toujours la 30e position au classement mondial du mois d’octobre de la FIFA, Ils réalisent d’un autre côté de belles performances avec leurs clubs professionnels.
L’Algérie n’a pas que Riyad MahrezBounedjah, Slimani, Bensebaini, Benrahma ou encore Bennacer réalisent de superbes performances en Europe comme en Asie. En effet, l’attaquant algérien Baghdad Bounedjah continue de susciter l’admiration de son entraineur Xachi, ex-joueur du Fc Barcelone.
Selon ce dernier, le natif d’Oran peut rivaliser les joueurs des meilleurs clubs européens, tels que le PSG ou le FC Barcelone. Quant à son coéquipier Slimani, il a été largement applaudit hier au sein du club lyonnais, et ce, après avoir marqué deux magnifiques buts face au Sparta Prague.
Quant à Said Benrahma, il a offert un précieux but au club anglais Westham. Ainsi, le natif de Constantine, Ramy Bensebaini revient en force après une blessure qui l’avait empêché la dernière fois de rejoindre les verts. Le défenseur algérien a signé mercredi dernier un superbe doublé face au Bayern Munich.
Pour conclure, citons le jeune talentueux Smail Bennacer, qui figure parmi les quatre footballeurs nominés par l’administration de l’AC Milan pour le Prix du meilleur joueur d’octobre.
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Ce ne sont plus des accidents, mais un véritable terrorisme routier. En Algérie, on a plus de chance de mourir dans un accident de la route que du coronavirus.
Selon le dernier bilan de la délégation nationale de la sécurité routière, près de 1000 morts sont à déplorer depuis le début de cette année en cours qui ont péri dans près de 4 000 accidents recensés.
Des chiffres effarants qui témoignent de l’ampleur du drame répété et quotidien qui se déroule sur nos routes. Cet autre visage de l’incivisme a valu à l’Algérie d’être classée quatrième dans le classement établi par la Banque Mondiale qui concerne le taux de mortalité pour 100 000 habitant à cause des accidents de la route. Ces statistiques concernent toutefois l’année 2019.
Concernant l’année 2021, le journal arabophone El Khabar, affirme que l’Algérie est passée à la 3ᵉ place mondiale en ce qui concerne le nombre des accidents de la route recensés. Selon la même source, le pays enregistre chaque année de 3 000 à 4 000 décès et plus de 40 000 blessés, des chiffres qui grossissent année après année.
Qui est responsable ?Selon les chiffres de la délégation nationale de la sécurité routière, l’Algérie a enregistré ces neuf derniers mois 963 décès et 2459 blessés dans 7883 accidents de la route. Les motards sont derrière 1200 accidents, ce qui n’est que 20 %, pendant le premier trimestre de cette année, ce qui place l’Algérie 3ᵉ au niveau mondial dans ce genre d’accidents.
Toujours selon la même source, pour mettre un terme à l’hécatombe, il faudrait enraciner la culture du respect du code de la route chez les enfants. Il faudrait dispenser des cours aux élèves afin de préparer le conducteur de demain.
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L’année 2021 a été si particulière et traumatisante pour le citoyen algérien. Outre la crise économique et sanitaire, ce dernier fait face à une pénurie d’eau, très récurrente notamment dans la capitale Alger.
Afin de contrer ce problème, le ministère des Ressources en eau et de la Sécurité hydrique multiplie les efforts. Le premier responsable de ce secteur est intervenue hier, jeudi 4 novembre lors d’une plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales.
En effet, le ministre Karim Hasni a indiqué que son département à lancer plusieurs programmes d’urgence qui s’ajoutent à la liste des projets portant sur la réalisation de nouvelle station de dessalement de l’eau de mer.
Il s’agit selon l’intervenant de la réalisation de plus de 600 puits à travers 20 wilayas affectés par les multiples pénuries d’eau notamment la capitale Alger qui a vu récemment la mise en service de plusieurs stations de dessalement de l’eau de mer.
La pluviométrie est à l’origine des pénuries d’eauPour plus de précision, le ministre des Ressources en eau et de la Sécurité hydrique, Karim Hasni a expliqué que le manque de l’approvisionnement en eau potable lors de l’année 2021 est dû notamment à la pluviométrie avare qu’a connu le pays en général et les 20 wilayas en particulier.
À cela s’ajoute, un niveau réduit des eaux des barrages qui les alimentent en eau potable. À cet effet, des programmes d’urgences visant à réaliser plus de 600 forages ont été mis en place par le département de Karim Hasni, et ce, dans l’espoir de limiter les effets du déficit hydrique
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C’est depuis la fin de la troisième vague de la covid-19 que les spécialistes s’égosillent à mettre en garde contre une quatrième. Selon le professeur Akhamouk, tous les indicateurs soulignent qu’on s’apprête à vivre une flambée à laquelle on ne s’est pas bien préparé.
Invité de Radio Sétif, le Dr Lyes Akhamouk, membre du comité scientifique chargé de suivi et de surveillance de la pandémie du coronavirus, a dressé un tableau réaliste de la situation que nous vivons actuellement et n’a pas manqué de prédire l’arrivée d’une quatrième vague qui connaitra son apogée dans les semaines qui vont suivre.
« L’arrivée de la 4e vague est presque sur »Selon ce spécialiste, « tous les indicateurs biologiques dont nous disposons assurent que les cas de contamination à la covid-19 sont en hausse ces deux dernières semaines notamment au niveau des grandes villes, ça sera le tour ensuite au reste du pays ». Ces indicateurs, explique le Dr Akhamouk, consistent en la hausse du nombre des cas positifs, des hospitalisations, et des patients nécessitant une réanimation.
Au moment où l’Europe connait une nouvelle vague, notamment l’Angleterre, qui « enregistre seule plus de 40 000 cas par jour », indique l’intervenant, qui ajoute que « l’arrivée de la quatrième vague est presque sur » en Algérie, et qu’il s’agit d’une chose « inévitable ».
Le Dr Lyes Akhamouk indique toutefois « qu’il est possible d’amoindrir sa dangerosité et d’atténuer sa force avec une réaction rapide en respectant les mesures de prévention et en continuant la vaccination ». Selon le spécialiste « actuellement, c’est le meilleur moment d’aller se faire vacciner ». Il explique que « l’immunité vaccinale prend effet 6 semaines après la vaccination » alors que « le pic de la quatrième vague est prévu, lui aussi, d’ici à 4 ou 6 semaines ».
« Il ne faut pas attendre la 4e vague pour se faire vacciner »Selon le Dr Akhamouk, la quatrième vague « pourrait s’avérer plus légère que les précédentes vagues » et ce grâce « au taux des vaccinés dont nous disposons ». Ces derniers « feront face à cette vague », a-t-il expliqué.
Le même intervenant a assuré que « nous sommes prêts concernant les stocks d’oxygène, les médicaments et les moyens nécessaires pour faire face à cette vague ». Le Dr Akhamouk a toutefois appelé les citoyens « à ne pas écouter les discours des rumeurs sur Facebook », et aller « se faire vacciner immédiatement, car c’est la seule solution ».
Concernant la nature de la quatrième vague, le Dr Akhamouk indique « qu’on a demandé aux spécialistes de nous fournir des informations sur la possibilité d’existence de nouveaux symptômes et sur la nécessité d’utiliser de nouveaux médicaments ».
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La cherté de la vie et la flambée des prix ne peuvent que refléter la crise économique que traverse le pays, ainsi que la dévaluation de la monnaie nationale.
Outre la spéculation et les répercussions de la crise sanitaire, plusieurs observateurs de la scène économique indiquent que le recul du dinar algérien est à l’origine de la dégradation du pouvoir d’achat.
Que cela soit au niveau de la Banque d’Algérie, ou au niveau du marché noir, la monnaie nationale s’affaiblit de plus en plus. Aujourd’hui, vendredi 5 novembre, un euro équivaut à 215.5 dinars algériens à l’achat et à 212.5 à la vente, au niveau du marché parallèle.
Par ailleurs les cambistes du Square Port-Saïd, dans la capitale Alger proposent un seul dollar américain contre 187.5 dinars algériens à la vente et contre pas moins de 184.5 dinars algériens à l’achat.
Quant au dollar canadien, il s’échange dans le marché noir contre 140.5 dinars algériens à la vente et 137.5 dinars algériens à l’achat. Enfin la prestigieuse livre sterling est cédé contre 242.5 dinars algériens à la vente et 240.5 dinars algériens à l’achat.
Les cotations officielles de la Banque d’AlgérieTout comme le marché parallèle, les principales devises s’échangent extrêmement cher au niveau des guichets de la banque d’Algérie.
Ce vendredi 5 novembre 2021, les cotations commerciales d’ouverture de la monnaie nationale, affichent un seul euro contre 158.9041 dinars algériens à l’achat et contre 158.9352 dinars algériens à la vente.
D’un autre côté, la monnaie étasunienne s’échange un peu moins chère. Un seul dollar est cédé au niveau de la banque d’Algérie contre 137.5436 dinars algériens à l’achat et contre 137.5586 dinars algériens à la vente.
Ainsi, les cotations officielles affichent qu’un seul dollar canadien s’échange contre 110.9849 dinars algériens à l’achat et contre 111.0060 à la vente.
Concernent la livre sterling, elle reste indétrônable. Un seul pound équivaut à 187.9268 dinars algériens à l’achat et contre 187.9473 à la vente.
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