Les Champions d’Afrique en titre ont surpris l’opinion sportive mondiale par leur élimination « inattendue », du tout premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations 2021 au Cameroun.
Une situation qui a causé un certain « choc » chez les hommes de Djamel Belmadi, notamment l’arrière latéral droit des Verts, Youcef Atal, qui n’a pu accepter cette disqualification amère.
En effet, le talentueux Fennec d’Algérie a tout de suite rejoint son club français, l’OGC Nice, en prévision de la confrontation face au FC Metz, l’après-midi de ce dimanche 23 janvier.
Galtier inquiet de l’état psychologique de AtalSur ce, l’entraineur dudit club, Christophe Galtier a commenté sur le retour de son jeune latéral droit, en lançant : » il a voyagé dans la nuit. Il est rentré dans l’après-midi, je ferai un point avec lui. Physiquement, on va faire très attention. Et il y a l’aspect psychologique. Dans quel état va-t-il être après l’élimination de son équipe nationale, à laquelle il est très attaché ? »
Sachant que les Verts ont été éliminés de la compétition continentale, ce jeudi 20 janvier, tout de suite après la défaite face à la Côte d’Ivoire, dans le cadre de la dernière journée du premier tour de la CAN 2021 au Cameroun, avec un score de 3 buts contre un seul.
Ces derniers ont également connu, lors du même tournoi, la malheureuse fin de leur belle série d’invincibilité, avec 35 matchs sans défaite, réalisée lors des trois dernières années, et qui a vu sa disparition à cause de la défaite face à la Guinée équatoriale (1-0).
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Les pénuries de produits alimentaires de large consommation ont fini par faire décoller les parlementaires de leur sièges. Dorénavant, ce n’est plus le ministère du Commerce qui fait face à ce problème, mais également celui de l’intérieur.
Le département du ministre Kamel Beldjoud est entrain d’élaborer un plan de lutte contre la contrebande, notamment vers la Tunisie. Cette pratique, secret de polichinelle, est de plus en plus pointée du doigt depuis le début de la crise économique.
Selon le quotidien arabophone Echourouk, 14 walis se sont réunis, dans le cadre d’une séance de travail avec des membres de la commission d’enquête du Sénat. Cette réunion vise à établir des discussions sur une « étude récente » qui soutient que les contrebandiers activant à l’est du pays lui font perdre près de 30 % de ses ressources alimentaires.
Contrebande, une menace sur la sécurité alimentaire des Algériens ?Toujours lors de la même réunion, les sénateurs ont entendu les 14 walis des wilayas frontalières de l’est et du sud du pays. La commission d’enquête parlementaire a voulu déceler les véritables causes des différentes pénuries des produits alimentaires, et de peser l’impact de la contrebande sur le problème.
La contrebande serait, d’après les sénateurs, une véritable menace pour la sécurité alimentaire des Algériens vu qu’elle touche plus de 30 % des produits de large consommation en Algérie. La même source précise qu’il ne s’agit pas de troc, mais d’activité de contrebande.
Outre le fait d’appeler les walis à lutter contre ce problème qui menace l’économie nationale, un rapport a été également envoyé au ministre de l’Intérieur, Kamel Bldjoud. Les députés ont aussi réaffirmé leur soutien à la décision de la levée des subventions qui fera gagner, selon eux, 8 milliards de dollars au trésor public.
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Le nombre de contaminations au Coronavirus ne cesse d’augmenter. Dans le bilan d’hier, l’Algérie a enregistré 2211 nouveaux cas, soit un record quotidien depuis le début de l’épidémie. Cela va de soi pour les hospitalisations qui ne cessent de grimper.
Avec l’apparition du variant Omicron coïncidant avec la 4e vague épidémique, les chiffres augmentent de manière très inquiétante, selon les spécialistes. L’alerte a été également donnée au niveau des structures sanitaires qui commencent d’ores et déjà à connaître de la surcharge.
À titre d’exemple, l’hôpital de Blida connait déjà un état de débordement des services dédiés au Coronavirus et la prise en charge des personnes atteintes par la Covid-19. L’établissement envisage désormais l’extension de ses services afin de contenir le flux de malades.
Selon le Pr Yacine Kheloui rapporté ce dimanche par la Radio nationale, « on a pris la décision d’ouvrir le maximum de structures pour accueillir le flux de malades Covid-19 qui ne cesse d’augmenter ».
« 5 à 7 décès par jour à l’hôpital Mustapha d’Alger »Même constat au niveau des structures sanitaires à Alger. Pour le chef de service pneumologie au CHU de Beni Messous, le Dr Merzouk Ghernaouat, « cette flambée des cas est due essentiellement à la propagation du variant Omicron ».
Selon ce qu’a rapporté la chaîne trois de la Radio nationale, dans un reportage diffusé ce dimanche, « au niveau de l’hôpital Mustapha d’Alger on enregistre 5 à 7 décès par jour et de nombreux cas graves parmi les personnes non vaccinées sont traités dans les services de réanimation ».
Il convient de noter que la dernière communication de l’Institut Pasteur d’Algérie concernant la propagation du variant Omicron remonte à la fin de la semaine dernière. En effet, l’IPA a annoncé avoir enregistré, au jeudi, un total de 400 cas du variant Omicron en Algérie, ce qui représente 57% des variants circulants.
Selon la même source, « une augmentation exponentielle de la courbe des nouvelles contaminations au variant Omicron est enregistrée. Comme attendu, ceci est dû à la particularité de la souche de ce variant, qui a une capacité extrêmement importante et rapide de propagation ».
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Éliminés lors du premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations 2021 au Cameroun, les Verts ont surpris l’opinion sportive mondiale par cette sortie inattendue.
Présent sur la liste des 28 joueurs de Djamel Belmadi convoqués à la CAN, le talentueux Adam Ounas n’a disputé aucun match avec ses coéquipiers de l’équipe nationale, déjà éliminés de la compétition.
Une absence qui n’est pas passée inaperçue, car le public sportif s’est interrogé à cet effet. « Adam a été testé positif à la Covid, il a refait le test après et le résultat était négatif, » a expliqué le coach Belmadi lors d’une conférence de presse.
Belmadi rassure sur l’état de santé de Ounas« Avec cela, il a fallu passer des radios pulmonaires et pleins d’autres examens. Les médecins ont décelé une anomalie au niveau du cœur. Cela ne veut pas dire qu’il a un problème, mais c’était lié à son test positif. La CAF a décidé qu’il n’était pas en mesure de jouer, » a-t-il rassuré.
Par ailleurs, il convient de noter que les protégés de Djamel Belmadi n’ont pas présenté leur haute performance et ont fait une entrée timide lors de la CAN au Cameroun, où ils ont fait un nul lors de leur premier match face à la Sierra Leone, avant de subir une défaite amer face à la Guinée équatoriale, qui a « stoppé » leur belle série d’invincibilité de 35 matchs sans défaite.
Ces derniers n’ont eu que le choix de vaincre leur tout dernier adversaire, la Côte d’Ivoire, afin d’espérer la qualification au prochain tour. Toutefois, Riyad Mahrez et ses coéquipiers ont été vaincus avec un lourd score de 3 buts contre un seul, causant ainsi la disqualification de l’Algérie du tournoi africain.
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Suite au rebond record des contaminations au Coronavirus et l’apparition des cas d’Omicron parmi des voyageurs venant de l’étranger, de nouvelles mesures préventives viennent d’être adoptées au niveau de l’aéroport d’Alger.
Selon le chargé du contrôle sanitaire aux frontières, rapportés ce dimanche par la Radio nationale, les voyageurs en provenance de l’étranger seront soumis à plusieurs mesures permettant de détecter des cas de contaminations.
Il s’agit, entre autres, de la mesure de la température du corps et la réalisation d’un test pour détecter le Covid-19, souligne le même intervenant. Pour ce faire, un laboratoire doté d’une équipe de 130 médecins y a été mis en place.
Ce laboratoire sera chargé d’effectuer les tests microbiologiques « PCR » pour les voyageurs. Selon le responsable du contrôle sanitaire au niveau de l’aéroport d’Alger, Mourad Deboub, deux salles ont été dégagées avec une capacité de 79 et 54 bureaux, afin de prélever des échantillons pour tester le Covid-19.
Les opérations de dépistage ne « dépassent pas les 5 minutes »Les résultats des tests sont rendus en seulement 5 minutes, ajoute le même responsable. « En cas d’enregistrement de cas positifs, le personnel médical de l’aéroport veillera à mettre en œuvre les procédures nécessaires ».
Interrogés par la Radio nationale, les passagers arrivant sur le vol Paris-Algérie ont exprimé leur satisfaction « de la bonne organisation » lorsqu’ils ont été soumis aux analyses nécessaires « qui n’ont pas duré plus de 5 minutes ».
Pour rappel, le dernier bilan rendu public en fin de journée d’hier a fait état de 2211 nouveaux cas de contamination au Covid-19, 13 décès et 988 nouvelles guérisons.
La semaine dernière, l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) a annoncé avoir enregistré, au jeudi dernier, un total de 400 cas du variant Omicron en Algérie, ce qui représente 57% des variants circulants.
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La SNTF tente de d’être en phase avec son temps et essaye de moderniser ses services de plus en plus. En proposant des trains assurant de grandes lignes, elle offre une alternative notable aux voyageurs algériens du moment que le transport routier peut poser certains inconvénients à beaucoup de citoyens et citoyennes.
C’est dans ce cadre-là que la Société Nationale du Transport Ferroviaire a décidé de réviser les horaires de deux de ses trains assurant des grandes lignes. Il s’agit des lignes reliant Alger à Oran et Alger à Batna.
Les nouveaux horairesSelon un communiqué de la SNTF les horaires de départ de trains de grandes lignes assurant la liaison entre Alger et Batna sera désormais à 12 h 30 au lieu de 13 h 45, et ce, à partir de ce 23 janvier 2022.
Toujours selon le même communiqué, les horaires de départ de trains de grandes lignes assurant la liaison entre Alger et Oran seront dorénavant fixés à 10 h 35 au lieu de 10 h 00, et ce, à partir de ce lundi 24 janvier 2022.
Il est à rappeler que la SNTF est entrain d’effectuer des travaux de maintenance afin d’assurer un maximum de sécurité à ses clients. Ces travaux ont touché dernièrement la voie ferrée reliant Alger à El Afroun. Selon un communiqué de la Société, après la perturbation due et travaux, les trains retrouveront leur horaires habituels à partir d’aujourd’hui dimanche.
Par ailleurs, un communiqué du ministère des Transports avait affirmé que « en application de la décision des hautes autorités concernant la reprise progressive des moyens de transport, suite à l’amélioration de la situation sanitaire, le ministère du Transport annonce le retour des trains de nuit avec dortoirs sur les lignes habituelles ».
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Le tirage au sort des matchs barrages de la zone Afrique a enfin dévoilé l’adversaire des Fennecs. Il s’agit bel et bien du Cameroun.
Dans le cadre d’une double confrontation (aller-retour), les deux équipes se disputeront à la fin du mois de mars de l’année en cours, dans le but de décrocher le billet de la qualification à la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
À cet effet, le président de la Fédération algérienne de football, Charaf-Eddine Amara, a exprimé sa confiance totale aux éléments de l’équipe nationale à se relever et à se qualifier pour la Coupe du Monde 2022.
« L’échec de notre équipe nationale à la Coupe d’Afrique des Nations 2021 au Cameroun, ne signifie pas qu’elle est devenue faible », a-t-il affirmé, avant d’ajouter : « l’équipe nationale est toujours forte et a tout le potentiel pour assurer la qualification à la Coupe du Monde au Qatar ».
» Nous allons retourner là où nous sommes tombés afin de nous relever » AmaraDans le même sillage, le premier responsable de la FAF a révélé : « il y a des choses qui vont être corrigées dans l’équipe, et nous allons retourner là où nous sommes tombés afin de nous relever. »
Amara n’a pas manqué d’exprimer son opinion sur le tirage au sort en question : « quel que soit le tirage au sort, je savais que ce serait une grande concurrence. Tous les matchs sont difficiles ».
Par ailleurs, le même responsable a souligné : « l’histoire ne veut rien dire, le match barrage se joue sur le rectangle vert, et l’équipe algérienne a toutes les chances pour se qualifier pour la Coupe du Monde. Notre équipe est toujours forte ».
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Attendu au début de l’année en cours à Alger, la date la tenue du Sommet Arabe en Algérie n’est toujours pas tranchée définitivement. Dans un communiqué rendu public, le ministère des Affaires étrangères a apporté des précisions à ce propos.
Selon le communiqué du ministère, chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra s’est exprimé sur cette question lors d’une audience accordée à des ambassadeurs de pays arabes accrédités en Algérie. Cette intervention intervient suite aux rumeurs ayant circulé sur un éventuel report du Sommet.
« Contrairement aux contrevérités circulant sous le titre ‘’report du Sommet’’ au moment où la date de sa tenue n’a pas été fixée ni aucune décision prise la concernant », Lamamra affirme que le président de la République proposera incessibles une date.
Une date « alliant la symbolique nationale historique et la dimension arabe »« Conformément aux mesures en vigueur dans le cadre du système arabe, le président de la République compte proposer une date alliant la symbolique nationale historique et la dimension arabe, une date qui consacre les valeurs de la lutte commune et de la solidarité arabe », a précisé l’interlocuteur.
Selon lui, cette date « devrait être adoptée par le conseil des ministres arabes lors de sa session ordinaire prévue en mars prochain, avec l’initiative de l’Algérie et l’appui du secrétariat général de la Ligue arabe ».
Elle permettra, en outre, « de parachever le processus préparatoire dans la forme et dans le fond, découlant ainsi sur la réalisation des conclusions d’une politique confortant la crédibilité et l’efficacité de l’action arabe commune », a souligné le chef de la diplomatie.
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Des vents forts souffleront à partir de ce dimanche 23 janvier sur l’ensemble des régions côtières du pays, indique un bulletin des services de l’Office national de météorologie. Ces rafales provoqueront l’agitation de la mer.
Les régions placées en vigilance jaune « vent violent » et « vagues dangereuses » sont les côtes de Marsa Ben Mhidi, Ghazaouat, Béni Saf, Oran, Arzew, Mostaganem, Ténés, Bouharoun, Alger, Déllys, Azefoun, Skikda, Annaba et El Kala.
La validité de l’alerte s’étalera, selon Météo Algérie, de six heures du matin de ce dimanche jusqu’à l’aube de demain lundi aux environs de 03 h 00.
Les services de l’ONM prévoient également le retour des perturbations météorologiques à partir de demain lundi. En outre, les régions du sud-ouest du pays (Béchar, Béni Abbès et Tindouf) devront connaitre des chutes de pluie pouvant atteindre les 40 mm localement.
Retour de la neige la semaine prochaineLa semaine prochaine devra être marquée par le retour de la neige sur les régions du nord du pays. Des chutes de neige sont, en effet, attendues sur les reliefs de l’ouest et de l’est du pays dépassant les 1000 m d’altitude, et ce, à partir de mardi prochain.
En outre, une forte perturbation est attendue pour le cours de la semaine prochaine sur l’ensemble des wilayas du nord du pays. D’importantes quantités de pluie, pouvant atteindre les 50 mm localement, sont attendues à partir de samedi prochain.
De surcroit, la plupart des reliefs du centre et de l’est dépassant les 900/1000 m connaitront de fortes chutes de neige. Les quantités de neige attendues sont estimées à 15 cm, selon les mêmes prévisions.
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Le taux de change du dinar algérien face aux principales monnaies internationales n’a pas connu de changements majeurs ce dimanche 23 janvier 2022. Sur le marché officiel et parallèle, l’euro et le dollar affichent les mêmes valeurs par rapport à hier.
Dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, un euro s’échange toujours contre 158,50 dinars à l’achat et 158,53 dinars à la vente. Pour la monnaie étasunienne, un dollar garde toujours la valeur de 139,64 dinars à l’achat et 139,65 dinars à la vente.
Le taux de change de la livre sterling dans les cotations commerciales d’ouverture du dinar algérien du 20 au 24 janvier est également resté à 190,22 dinars à l’achat et 190,32 dinars à la vente.
Quant au dollar canadien, il s’échange ce dimanche dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie contre 111,79 dinars algériens à l’achat et 111,84 dinars à la vente.
Le taux de change du dinar sur le marché parallèleSur le marché parallèle, un euro s’échange toujours dans les environs de 215 dinars à l’achat et 217 dinars à la vente. Pour le dollar américain, l’unité de cette monnaie est proposée contre 190 dinars à l’achat et 193 dinars à la vente, soit les mêmes valeurs qu’hier.
Concernant la livre sterling, les cambistes du marché noir de change proposent un pound contre 248 dinars à l’achat et 251 dinars à la vente. Quant au dollar canadien, il est cédé dans le même circuit contre 144 dinars à l’achat et 146 dinars à la vente.
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Alors que l’Algérie connaît une légère hausse démographique estimée à 0,67 % passant ainsi de 44,3 millions d’habitants au 1er juillet 2020 à 44,6 millions au janvier 2021, les naissances et les mariages enregistrent, quant à eux, une tendance baissière, selon national des statistiques (ONS) cité par l’agence officielle.
L’accroissement naturel enregistré durant l’année a atteint 756.000 personnes, soit un taux de 1,71%. Ce dernier continue sa tendance baissière enclenchée depuis 2017, « avec un rythme plus prononcé en 2020 », ajoute l’ONS expliquant cette baisse par l’augmentation « conséquente » des décès, auquel s’associe le recul des naissances.
Recul des naissancesEn effet, l’ONS indique que l’année 2020 a enregistré 992.000 naissances vivantes, 236.000 décès et 283.000 mariages soulignant, par la même, que cette année, a été marquée par un recul des naissances vivantes sous le seuil d’un million de naissances pour la première fois depuis 2014, une augmentation « significative » des décès, et par la poursuite du recul des mariages depuis six ans.
Le recul des naissances vivantes sous le seuil d’un million de naissances pour la première fois depuis 2014, « a affecté le taux brut de natalité qui est passé de 23,80 pour mille en 2019 à 22,42 pour mille en 2020 », argue l’office.
A ce rythme de croissance de l’année 2020, la population résidente totale atteindrait 45,4 millions au 1er janvier 2022, selon les prévisions de l’Office.
La répartition par sexe des habitants de l’Algérie au 1er janvier 2021, fait ressortir une légère prédominance de la population masculine qui représente 50,7 % de la population totale.
La baisse des mariages « se poursuit »Cette tendance baissière a également caractérisé le niveau de fécondité, puisque son indicateur conjoncturel est passé de 3,0 enfants par femme à 2,9 enfants par femmes durant la même période de comparaison.
Entamée depuis 2014, la baisse de l’effectif des mariages se poursuit également en 2020, mais avec un rythme plus « accéléré », souligne l’ONS.
Ainsi, les bureaux d’état civil ont enregistré 283.000 unions en 2020 contre 315.000 unions en 2019, soit une baisse de plus de 10%.
Le taux brut de nuptialité poursuit ainsi sa décroissance, passant de 7,26 pour mille à 6,41 pour mille, soit le même niveau observé au début des années 2000, relève encore l’organisme des statistiques.
En effet, « l’évolution de la population âgée de 20 à 34 ans (population ou se contracte 80% des mariages), fait ressortir une régression du volume de celle-ci d’une allure assez visible a partir de 2015, laquelle la population est passée de 10,997 millions à 10,427 millions entre 2015 et 2020 », détaille l’organisme.
Hausse considérable de mortalitéQuant à la mortalité générale, l’office note que l’année 2020 a enregistré 236.000 décès contre 198.000 décès en 2019, en augmentation de 38.000 décès. Le taux brut de mortalité est passé ainsi de 4,55 pour mille à 5,33 pour mille.
D’autre part, l’ONS indique que le volume de la mortalité infantile avait baissé à 18.700 décès en 2020 contre 21.030 cas en 2019, soit un recul de 2.330 décès. Le taux de la mortalité infantile a atteint 18,9 pour mille. Par sexe, il est de 21,0 pour mille auprès des garçons et 16,6 pour mille chez les filles.
A l’instar des pays du monde touchés par la pandémie, la hausse du niveau des décès a impacté négativement l’espérance de vie à la naissance, qui a enregistré une baisse de 1,6 années, atteignant 76,3 années, soit le même niveau de 2009.
Par sexe, l’espérance de vie à la naissance semble affecté davantage les Hommes, puisque, elle est de 74,5 ans, alors que chez les Femmes est de 78,1 ans, détaille encore l’office.
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La 4e vague du coronavirus s’installe de plus en plus en Algérie. Les chiffres de suivi de l’épidémie n’arrêtent pas d’augmenter avec notamment l’avènement du nouveau variant Omicron. Coïncidant avec la saison hivernale, ce variant est-il moins dangereux que la grippe saisonnière ?
Du point de vue du président de l’Ordre des médecins algériens, le Pr Mohamed Bekkat Berkani, parmi tous les variant du coronavirus, le variant Omicron est le moins dangereux, malgré sa vitesse de propagation phénoménale. Il serait même moins dangereux que la grippe saisonnière.
Interrogé par le quotidien Echorouk, le spécialiste affirme : « selon ce que nous avons constaté à travers les tests effectués quotidiennement sur les patients, le variant Omicron a un impact moindre même que la grippe saisonnière ». C’est ce qu’explique, selon lui, « la baisse du nombre de décès comparativement aux chiffres effrayants des contaminations ».
D’ailleurs, il explique que la situation épidémiologique confirme que la quatrième vague, et malgré sa propagation plus importante, est beaucoup plus clémente que la troisième vague. Cela est principalement dû au variant Omicron caractérisé par sa vitesse de propagation et sa dangerosité moindre.
La vigilance est toujours de misePlus loin, le Pr estime que la variant Omicron « est une bénédiction de dieu pour les pays dont le système sanitaire est faible, comme l’Algérie ». Car, si « les autres variants (Delta) se propagent à la vitesse d’Omicron, on fera face à une situation extrêmement catastrophique ».
Cependant, le spécialiste précise que son « constat sur la virulence du variant Omicron ne veux pas dire qu’il ne constitue pas un danger sur les catégories vulnérables de la population à l’image des personnes âgées, des femmes enceintes et les patients souffrant de maladies chroniques ».
En outre, il ajoute qu’il ne faut pas abandonner les mesures de prévention, d’autant plus que le variant Delta est toujours en circulation.
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La situation sanitaire se corse aujourd’hui notamment avec l’arrivée de la 4e vague. Ce samedi, l’Algérie enregistre son premier pic historique avec 2211 nouveaux cas officiellement recensés ces dernières 24 heures. Un chiffre alarmant qui implique l’application de mesures plus drastiques pour maîtriser cette situation qui s’annonce d’ores et déjà assez complexe.
Alors que la pression hospitalière monte crescendo à mesure que le nombre de contaminations au Covid-19 ne cesse d’augmenter, et les mises en garde des spécialistes quant à un nouvel épisode d’une crise hors de contrôle, le gouvernement, excepté sa décision de fermer temporairement les écoles, semble être dans le dur. Le pass vaccinal qui a été institué en décembre dernier n’a pas encore connu une application concrète.
Relâchement et vaccination « timide »Face à une propagation exponentielle du nouveau variant Omicron, la campagne de vaccination contre le Covid-19 reste timide et persiste à être boudée par la majorité des citoyens. Les mesures préventives ne sont pas prises aux sérieux malgré de nombreuses campagnes de sensibilisation.
Ce relâchement bien visible dans tous les secteurs a incité les spécialistes à mettre l’accent sur des mesures plus strictes pour venir à bout de la 4e vague « avec moins de dégâts ». Parmi ces mesures figure le pass sanitaire qui devrait, selon les spécialistes, être généralisé dans tous les établissements et lieux de travail publics afin d’inciter les citoyens à se faire vacciner et à obtenir une immunité collective, qui reste, selon eux, le meilleur moyen de réduire le nombre de décès.
Dans ce contexte, le président du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP), le DR Lyes Merabet a appelé, ce samedi, dans une déclaration à Echourouk à suivre l’exemple des pays européens et à étendre le pass vaccinal dans les différents établissements publics. Une manière, selon lui, « d’obliger le citoyen à se faire vacciner. »
Appel à la généralisation du pass vaccinalL’intervenant déplore ainsi l’insouciance et le relâchement des citoyens quant au respect des mesures préventives surtout que le pays fait face aujourd’hui à la 4e vague. Pour lui, il est désormais important de passer au niveau supérieur et prendre des décisions plus strictes pour renforcer l’immunité collective et faire face à la propagation de l’infection.
Dr Merabat estime, dans la foulée, que l’obligation du pass vaccinal reste le meilleur moyen de généraliser la vaccination, qui demeure, selon lui « timide », et ce, en l’imposant dans toutes les institutions publiques et privées.
« Il est aujourd’hui impératif d’agir pour contrer cette propagation inquiétante. « Nous vivons un réel danger » qui menace la vie humaine d’où « la nécessité de la vaccination « générale » des citoyens pour faire face à cette crise sanitaire qui n’a que trop duré.
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Le tirage au sort des barrages en prévision du mondial 2022 a dévoilé un adversaire de taille pour l’équipe nationale. Les hommes de Belmadi devront battre le Cameroun pour rejoindre la compétition mondiale prévue du 21 novembre au 18 décembre de l’année en cours.
Or, la sélection algérienne n’a jamais pu battre le Cameroun en match officiel. Hormis une rencontre amicale disputée à Libreville au Gabon en 1995, où les verts ont pu s’imposer 4 buts à zéro face aux Lions indomptables, l’Algérie n’a jamais su percer le mystère camerounais.
Pour le compte des barrages prévus fin mars prochain, la double confrontation de la sélection nationale face au Cameroun s’annonce déjà assez rude. Le match aller devra être disputé au Cameroun avant de les recevoir en retour. Ce qui constitue un avantage de taille à l’équipe adverse.
Historique des rencontres entre les deux sélectionsLors des huit dernières rencontres à titre officiel, l’Algérie ne s’est jamais imposée face au Cameroun. En Coupe d’Afrique des Nations ou en éliminatoires de la Coupe du Monde, l’Algérie a réalisé 4 nuls et 4 défaites face à son prochain adversaire pour les barrages du mondial de 2022.
La dernière rencontre officielle entre les deux sélections remonte à 2017 dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du Monde en Russie de 2018. L’Algérie est d’abord tenue en échec dans son fief à Blida (2-0) puis à Yaoundé au Cameroun (1-1). En voici l’historique des 9 dernières rencontres toutes compétitions confondues ;
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Le monde fait face depuis quelques mois à une propagation exponentielle du Covid-19 notamment avec l’apparition du nouveau variant Omicron. Bien qu’il soit qualifié de « moins virulent » il est tout de même caractérisé par une forte contagiosité qui oblige de nouvelles mesures plus drastiques afin de pouvoir gérer une situation sanitaire déjà en crise.
L’Algérie, comme dans tous les pays touchés par le variant Omicron, est confrontée désormais à la 4e vague et enregistre chaque jour une hausse inquiétante de nombre de contaminations qui met les établissements hospitaliers dans une situation des plus embarrassantes.
L’Algérie de nouveau sur la liste rouge de l’AllemagneL’Algérie qui a été retirée, en octobre dernier, de la liste des pays à haut risque établie par les autorités allemandes concernant les voyages en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie de coronavirus Covid-19, se retrouve de nouveau au top de la liste des pays classés rouges, comme l’indique l’institut Robert Koch (RKI) dans sa dernière mises à jour.
L’Algérie figure ainsi aux côtés de 18 autres pays identifiés comme zones « à haut risque » pour voyager en Allemagne. Cette mesure restrictive entrera en vigueur à compter du dimanche 23 janvier selon l’institut.
Les autorités allemandes ont exigé, dans ce sens, plusieurs mesures restrictives aux voyageurs en provenance de ces pays classés « rouge ». Il est désormais obligatoire pour les Algériens d’enregistrer leur entrée dans le pays sur le site officiel https://www.einreiseanmeldung.de suivi d’une confirmation qui sera « contrôlée par le transporteur et, le cas échéant, également par la police fédérale dans le cadre des missions de la police des frontières ».
Les nouvelles mesures pour voyager en AllemagneL’Allemagne, comme tous les pays atteints par la nouvelle souche du Covid-19 a mis à jour les mesures d’accès à son territoire. De ce fait, tous les voyageurs de plus de 6 ans doivent présenter, à compter du 23 janvier, un certificat de test négatif, un certificat de vaccination ou une preuve de guérison à l’entrée.
L’institut RKI explique que « l’obligation générale de fournir des preuves s’applique quel que soit le type de transport et indépendamment du fait qu’un séjour antérieur ait eu lieu dans une zone à haut risque ou à virus variant ».
Lors de l’entrée en République fédérale d’Allemagne, après un séjour dans une zone étrangère à haut risque ou une zone à virus variants, « une obligation spéciale d’enregistrement, de preuve et de quarantaine doit être respectée », ajoute la même source.
L’article Omicron : un pays européen classe l’Algérie sur la « liste rouge » est apparu en premier sur .
La situation épidémiologique liée au coronavirus en Algérie empire de plus en plus. Après avoir franchi le cap des 1800 cas hier vendredi, le nombre de contaminations quotidiennes vient d’enregistrer une nouvelle hausse ce samedi 22 janvier 2022.
Dans son bilan épidémique rendu public en cette fin de journée, le ministère de la Santé a fait état de 2211 nouveaux cas de contamination au Covid-19. Dans le bilan d’hier, le pays a enregistré 1855 cas.
Selon la même source, 13 décès ont été recensés durant les dernières 24 heures, affichant ainsi une baisse de deux cas de décès par rapport à hier (15).
Pour les patients rétablis de la maladie, le nouveau bilan des autorités sanitaires a fait état de 988 nouvelles guérisons contre 769 cas enregistrés durant la journée d’hier vendredi.
Le bilan total de l’épidémie du coronavirus en AlgérieAvec ces nouveaux chiffres, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 234 536, celui des décès à 6481 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 158 616. En outre, 43 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source.
Par ailleurs, le ministère de la Santé rappelle, par la même occasion, que la situation épidémiologique actuelle exige de tout citoyen vigilance et respect des règles d’hygiène et de distanciation physique, tout en insistant sur le respect du port du masque.
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Le tirage au sort des matchs barrages de la zone Afrique pour les qualifications au Mondial 2022 ont eu lieu ce samedi 22 janvier 2022 à Douala au Cameroun. L’adversaire de l’Algérie est désormais connu.
En effet, l’équipe nationale affrontera, dans le cadre des matchs barrages en prévision de la prochaine Édition de la coupe du monde, qui se tiendra au Qatar du 21 novembre au 18 décembre de l’année en cours, l’équipe du Cameroun.
À noter que les barrages se disputeront au mois de mars sous le format aller-retour. Concernant l’Algérie, le match aller se jouera au Cameroun tandis que le match retour sera disputé en Algérie, et ce, vers la fin du mois de mars 2022.
Les résultats complets du tirage au sortLes matchs barrage de la zone Afrique pour le Mondial 2022 promettent plusieurs grosses affiches. Les rencontres sont comme suit :
Égypte-Sénégal
Cameroun-Algérie
Ghana-Nigéria
RD Congo-Maroc
Mali-Tunisie
Il convient de rappeler que les hommes de Belmadi se sont qualifiés pour les barrages après avoir terminé premiers du groupe A du second tour des éliminatoires, avec 14 points, devant le Burkina Faso (12 pts), le Niger (7 pts), et Djibouti (0 point).
À rappeler également que le tirage au sort de ce samedi a été effectué parmi 10 pays ayant validé leur billet pour les barrages du Mondial. Il s’agit de l’Algérie, le Sénégal, la Tunisie, le Nigeria, le Maroc, l’Égypte, la RD Congo, le Ghana, le Cameroun et le Mali.
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Il arrive que certaines personnes, à force de voir leurs chances de réussir sous d’autres cieux s’évanouir, transforment leur vie en un véritable enfer morne et bandé d’ennuis. C’est le cas de cet Algérien, qui, assigné à résidence, n’a pas hésité à entortiller sa situation déjà compliquée.
Vivant depuis 3 ans en France, un Algérien soumis déjà à une interdiction définitive du territoire, a été arrêté, le 7 janvier dernier, alors qu’il conduisait une voiture sans permis et sans assurance. De quoi saupoudrer d’une couche d’ennui la vie de ce ressortissant maladroit.
Plusieurs charges retenues contre cet AlgérienCe 7 janvier, peu avant minuit, au volant d’une Laguna, ce ressortissant algérien brûle la priorité à une patrouille de police, rapporte le média français, L’Indépendant. Le mis en cause, conduisant à une vitesse excessive a interpellé alors les policiers qui « lui font aussitôt signe de s’arrêter ».
Cependant, au lieu d’obéir, il accélère encore traversant plusieurs quartiers avant de percuter une voiture de stationnement qu’il l’oblige de s’arrêter. Il sort ensuite de la voiture et tente de fuir à pied, mais la police le rattrape.
Ne comprenant pas la raison de ce comportement, les agents de police l’interroge et le fouille. Ils s’aperçoivent que le jeune algérien « est clandestin et conduit sans permis, ni assurance ». « Trois jours plus tard, il est déjà présenté à ses juges en comparution immédiate« , souligne la même source.
Le mis en cause explique alors qu’il avait acheté la voiture la veille pour 320 €. « En attendant son expulsion, il était assigné à résidence, chez des amis qui l’hébergent. Obligation qu’il n’a manifestement pas respectée ».
« Sa conduite est ahurissante! Il a failli renverser 3 ou 4 personnes. Il a franchi des stops, des feux rouges. Il a percuté un véhicule qui en a embouti un autre. Et il a déjà été condamné sous un allias ! », assène le procureur.
Ce dernier réclame 15 mois de prison ferme. « Il a signé l’assignation à résidence sans bénéficier d’un interprète, plaide Me Maïga. Il n’avait pas compris. Il espérait une vie meilleure qu’il n’a pas trouvée, il veut maintenant rentrer en Algérie ». Il ne pourra le faire que d’ici 15 mois. Période qu’il passera en prison », conclut la même source.
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La violence conjugale est devenue un problème de société qui est encore trop souvent « tabou ». Rattachée aux violences faites aux femmes, celle-ci s’inscrit dans un rapport de domination ou le conjoint tente de maintenir son emprise sur l’autre. Un cycle cauchemardesque qui aboutit parfois à des tragédies humaines.
Un Algérien a été arrêté, mercredi, par les services de sécurité dans la ville de Pailles à l’Ile Maurice pour avoir agressé « violemment » sa femme à l’arme blanche. Le mis en cause a été placé en détention provisoire en attente de son audition dans les jours à venir.
L’homme serait « de nature violente »Les faits remontent à mercredi passé. Une femme d’une quarantaine d’années a été retrouvée à même le sol par ses voisins, gisant dans une mare de sang, comme rapporte le média mauricien Lexpress.
La femme qui a été manifestement victime de violence conjugale, souffrait de profondes blessures au visage et à la tête. Son mari, un Algérien de 49 ans connu pour sa « nature violente », selon la même source, l’aurait « sauvagement » agressée avec un couteau de cuisine probablement suite à une dispute. La victime a été transportée dans un centre hospitalier pour des blessures jugées « graves ». Son état de santé serait critique, selon la même source.
Alertés, les services de sécurité se sont précipités sur les lieux. Sur place, un couteau et un rouleau de cuisine ont été retrouvés et seront examinés par les services concernés. Le suspect, quant à lui, n’a eu le temps de s’enfuir. Il a été arrêté peu de temps après l’agression et placé en détention provisoire. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l’agression.
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Annoncé vers la fin de l’année écoulée par le ministère du Commerce, le projet de loi portant sur le plafonnement des marges bénéficiaires est désormais sur la table du gouvernement. Il s’agit d’une mesure visant à « préserver le pouvoir d’achat du citoyen ».
Intervenant jeudi dernier, lors d’une séance plénière de l’Assemblée populaire APN, le ministre du Commerce Kamel Rezig a indiqué que le projet de loi portant sur le plafonnement des marges bénéficiaires est désormais soumis au débat au sein du gouvernement.
Le texte de loi concerne les marges bénéficiaires des produits de large consommation. Une fois adoptée par l’exécutif, cette mesure conférera aux autorités le droit d’intervenir sur le marché pour plafonner les marges bénéficiaires des produits de base, a souligné Rezig.
Vers la fin du mois de décembre dernier, le premier responsable du secteur commercial avait indiqué que son département « s’attèlera à travers ce projet de loi au plafonnement des marges bénéficiaires et pas les bénéfices ».
« Préserver le pouvoir d’achat et les intérêts des commerçants »Soulignant que cette mesure s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la spéculation illicite, le monopole et la flambée des prix, il a expliqué qu’elle visera à préserver le pouvoir d’achat du citoyen tout en prenant en considération les intérêts des commerçants.
Pour leur part, les commerçants n’affichent pas trop d’enthousiasme quant à cette mesure. Ils estiment, en effet, que les « conditions ne sont pas réunies pour la mise en place d’un tel dispositif juridique », rapporte le quotidien Liberté.
S’exprimant autour de la question de la spéculation, Kamel Rezig a affirmé devant l’Assemblée que ses services ont entamé une série de mesures et de mécanismes visant à lutter contre la spéculation et le monopole, tout en livrant un bilan d’un million d’interventions et 145 000 poursuites en justice en 2021.
Les mêmes services ont également enregistré des propositions de fermeture de 12 000 commerces et la saisie de marchandises dont la valeur est estimée à plus de 2 milliards de dinars.
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