Dramatique et choquante est la vidéo actuellement partagée sur les réseaux sociaux. Cela se passe dans la ville de Constantine. Un jeune homme, un peu trop jeune, le minaret d’une mosquée, un peu trop haut, et puis la misère sociale et la mal-vie, exagérément oppressante. Tous les ingrédients étaient présents pour commettre l’irréparable.
Aujourd’hui, le 07 février 2022, un jeune homme âgé de 21 ans seulement, s’est jeté du haut d’un minaret, d’une hauteur de 25 mètres. Mort suite à cette terrible chute, la vidéo ayant enregistré toute la scène a été largement partagée sur les réseaux sociaux.
Mort sur placeLa protection civile, dont les éléments ont été présents sur les lieux, affirme que la victime est morte directement après la chute. L’incident a eu lieu dans le quartier des frères Abbas, au cœur de la commune de Constantine, au niveau de la mosquée Abdelaziz, dont le minaret d’où a sauté le jeune homme trônait à une hauteur de 25 mètres.
La protection civile assure que l’incident a eu lieu aux environs de 13 h. Le communiqué de la protection civile ajoute que le jeune homme était âgé de 21 ans, et que son décès a été confirmé par un médecin légiste. La dépouille de la victime a été transférée vers la morgue du centre hospitalo-universitaire de Constantine.
Le communiqué de la protection civile ne mentionne pas les raisons qui ont poussé ce jeune homme à commettre un tel acte. Une enquête sera sans doute lancée dans le cadre de cette affaire afin de mettre de la lumière sur ses tenants et ses aboutissants.
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Grâce à la mondialisation, il n’existe plus de frontières dans plusieurs domaines à l’instar de l’économie. Cette grande ouverture économique a permis aux investisseurs de faire profiter les autres pays. L’investissement étranger, étant vivement souhaité par les deux parties, permet de créer des emplois et des opportunités intéressantes.
Lors du Forum des mondes méditerranéens, tenu ce lundi ce lundi 7 février, dans lequel le Président français Emmanuel Macron a participé à distance à travers un message diffusé en direct, la France a annoncé un faisceau de mesures concrètes ayant pour but de consolider les relations et renforcer les liens entre les deux rives de la Méditerranée.
En effet, Macron a créé un fonds de 100 millions d’euros incitant les entrepreneurs et les investisseurs français à investir davantage au Maghreb « nous voulons permettre à tout entrepreneur français qui le souhaite de pouvoir se lancer de l’autre côté de la Méditerranée, afin de générer de l’emploi, des investissements et des opportunités » a t-il fait savoir au cours de son allocution.
Une nouvelle instance en perspectivePar ailleurs, le chef de l’Etat français exprime son souhait de créer une académie des talents de la Méditerranée. Cette académie aura pour objectif de regrouper les artistes, les chercheurs et les entrepreneurs des pays du Maghreb dans un programme d’accompagnement.
Il a annoncé dans le même contexte une autre bonne nouvelle, un appel à projet à hauteur de trois millions d’euros pour aider les porteurs de projets de la rive sud, issus de la société civile.
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Le milieu de terrain algérien Youcef Belaili ne cesse d’être sous le feu des projecteurs et de faire la Une des médias, depuis qu’il a rejoint le Stade Brestois.
C’était en effet, une nouvelle tant attendue, notamment par les Algériens, qui espéraient voir le talentueux Fennec évoluer en Europe.
Dans le même sillage, le natif d’Oran a disputé hier, dimanche 6 février, sa toute première rencontre sous les couleurs du Stade Brestois contre le Stade Rennais. Une confrontation qui s’est soldée par la défaite des nouveaux coéquipiers de Youcef Belaili, avec un score de deux buts contre zéro.
L’analyse du Télégramme quant à la prestation de BelailiPour son premier match, le milieu de terrain algérien a été désigné avec le onze de départ de Michel Der Zakarian. Cependant, sa prestation a été jugée « timide » et « discrète » par les différents médias.
Pour le Télégramme, le vingtenaire « a livré une première mi-temps pour le moins discrète, pas aidé par la prestation de son équipe, asphyxiée par des Rennais très dominateurs ».
« Youcef Belaïli, loué pour sa technique, n’est d’ailleurs pas parvenu à se mettre en évidence. En témoigne son nombre de tentatives de dribbles : 0… Très discipliné, l’Algérien a toutefois fait preuve d’une activité intéressante, récupérant cinq ballons, un nombre conséquent vu son poste », analyse la même source.
Belaili doit encore travailler ses automatismes avec ses partenairesEn outre, le Télégramme a révélé que l’Oranais a réussi à toucher le ballon 27 fois lors des 60 minutes qu’il a jouées, avant de sortir et être remplacé par son coéquipier Irvin Cardona, ajoutant que ce dernier « doit encore évidemment travailler ses automatismes avec ses partenaires. »
Sachant que son entraîneur a été bel et bien clair quant à sa première prestation, où il a lancé en conférence de presse : « Difficile de juger Youcef sur ce match. On va essayer de le mettre dans les meilleures conditions ».
Par ailleurs, il est utile de noter que le natif d’Oran et ses coéquipiers de la sélection nationale disputeront, la fin mars de l’année en cours, une double confrontation face au Cameroun. Cette dernière entre dans le cadre des barrages pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
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Étudier au Canada est le rêve de centaines de bacheliers et d’universitaires en quête de réussite. Cependant, les démarches peuvent être un peu compliquées, notamment en ce qui concerne les spécialités paramédicales.
Le Québec a créé la plateforme Arrima, destinée à faciliter les demandes de résidence permanente ainsi que la transmission des dossiers. Désormais, les services de la plateforme concernent également le programme des étudiants étrangers (transmission du dossier uniquement).
Les meilleures spécialités paramédicales au Canada pour les AlgériensPour étudier le paramédical ou les sciences infirmières au Québec, plusieurs opportunités s’offrent à vous, que vous ayez le niveau 3ᵉ années secondaire, le bac, bac+1, bac +2 ou une licence. Voici les meilleures spécialités paramédicales pour les étudiants algériens au Québec :
• DEC Soins Infirmiers : c’est un diplôme semblable au BTS (Brevet de Technicien Supérieur), nécessitant un niveau CEGEP (l’équivalent de niveau terminal) ;
• DEP Soins Infirmiers : c’est l’équivalent du BEP (brevet d’études professionnelles), nécessitant le niveau 2ᵉ année secondaire ;
• Baccalauréat en sciences infirmières : il s’agit d’un diplôme semblable à une licence, accessible aux titulaires d’un diplôme en paramédical justifiant d’un niveau terminal.
Étudier le paramédical au Canada : les démarches sur ArrimaLes démarches pour accéder à une formation professionnelle ou universitaire dans les métiers de la santé ne sont pas différentes des autres spécialités.
Le processus d’inscription pour les étudiants étrangers se fait en plusieurs étapes :
1. La préparation du dossier : après avoir fait une demande de sélection temporaire en ligne, vous recevrez la liste des documents à fournir à Arrima. Il faudra ensuite scanner tous vos documents et les regrouper dans un seul fichier PDF ;
2. Réception du numéro de dossier : Un numéro vous sera communiqué après 48 heures, ce qui vous permettra de déposer vos documents via Arrima ;
3. Inscription à la plateforme : Vous devez noter que votre nom sur votre profil Arrima doit être le même que celui de votre passeport. Il en va de même pour celui que vous avez introduit lors de votre demande de sélection temporaire ;
4. Dépôt des documents dans Arrima : déposez votre dossier en suivant les instructions. Une fois cela fait, vous recevrez une confirmation.
Toutefois, il est nécessaire de ne pas oublier de sélectionner la langue française lors de votre inscription, pour augmenter votre score.
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La Coupe d’Afrique des nations (CAN) est une grande opportunité pour les joueurs, les footeux et les supporters. Le rassemblement de plusieurs nations dans une seule compétition aussi prestigieuse que la CAN est très émouvant, notamment autour d’un sport aussi apprécié et regardé.
Mais pas que, cette CAN 2022 a permis des retrouvailles familiales. C’est l’histoire d’une grande présentatrice de la Coupe d’Afrique des nations sur beIN Sports, la chaîne détentrice des droits en France, elle s’appelle Vanessa Le Moigne. La star de la télé sportive française a évoqué au quotidien régional Ouest France ses origines algériennes avec lesquelles elle a renoué grâce à la fameuse compétition journalistique.
Vanessa est née d’un père français et d’une mère algérienne. Elle s’est exprimée quant à la participation de l’équipe, écartant l’hypothèse de la malchance « Djamel Belmadi parlait beaucoup de manque de chance, de ce genre de choses. Mais quand tu regardes le bilan, ce n’est pas uniquement de la malchance » dit-elle au même journal.
Elle ajoute « il y a des joueurs qui ont disputé la Coupe Arabe et qui étaient peut-être empruntés. Mentalement, tu disputes une compétition où tu vas chercher le titre et tu recommences tout à zéro juste derrière, ce n’est pas facile. Certains joueurs n’ont pas bénéficié de préparation également ».
Retrouvailles avec un cousin grâce à la CANEn plus de la fierté qu’elle a exprimé grâce à la participation de l’EN, elle a pu vivre un moment émouvant et imprévisible lors de la Coupe d’Afrique. En effet, la grande journaliste a pu retrouvé son cousin algérien, qu’elle n’a pas vu depuis ses 18 ans, après son départ avec sa mère.
Le message de son cousin s’est démarqué parmi les messages de soutien et de courage qu’elle avait reçue de la part de tant d’Algériens. Ainsi, la CAN aura permis à cette journaliste de ressentir la fierté de ses origines et de retrouver un membre de sa famille.
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La situation sanitaire en Algérie indique que l’on est au seuil de la fin de pandémie de la covid-19. Cependant, si l’Algérie en a fini avec la 4ᵉ vague, ce n’est pas pour autant qu’elle en finit avec le coronavirus.
Le bilan des cas confirmés et des résultats annoncés par les laboratoires agréés de ce 07 février, fait état de 502 nouvelles contaminations à la Covid-19 ces dernières 24 heures. Il s’agit d’une nouvelle hausse donc, vu que le bilan d’hier a annoncé 378 cas.
8 nouveaux décès ont également été annoncés par le même communiqué du ministère de la Santé, qui ajoute également que l’Algérie a recensé pas moins de 34 nouvelles admissions aux services de réanimations et 540 nouvelles guérisons.
Ces derniers chiffres dévoilés ce lundi par le département de Benbouzid font grimper le total des cas contamination au coronavirus en Algérie à plus de 259.925 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le nombre de décès quant à lui dépasse les 6.651 cas, toujours selon les estimations officielles.
Fin de la quatrième vagueLe ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a annoncé officiellement aujourd’hui la fin de la quatrième vague de la Covid-19 en Algérie. Malgré les chiffres de contaminations records, l’on n’a pas vu les scènes dramatiques liées au manque d’oxygène et aux hôpitaux débordés.
Le ministre a toutefois appelé à redoubler de précautions afin d’éviter une nouvelle vague. Benbouzid n’a pas omis de remercier les directeurs des hôpitaux pour les efforts fournis au cours de cette dernière vague.
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Éliminé lors du tout premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations 2021 au Cameroun, le talentueux Riyad Mahrez a surmonté sa déception et est revenu en force.
En effet, le chouchou de Manchester City a fortement marqué son retour à la compétition par un magnifique doublé inscrit dans les filets de Fulham, lors d’un match entrant dans le cadre des 16e de finale de la FA Cup.
Guardiola complimente MahrezLe premier but de l’ailier algérien était marqué par un penalty à la 53′ minute. Quant au second, il était inscrit sur une contre-attaque, quatre minutes plus tard (57′). Ce n’est pas tout ! Le Vert a également livré une passe décisive à son coéquipier, qui a saisi à son tour l’occasion pour inscrire un joli but dans la cage de l’équipe adverse. Avec cette haute performance, Mahrez n’a fait que prouver de nouveau son haut niveau.
De son côté, son entraîneur espagnol Pep Guardiola n’a pas manqué de faire l’éloge de son talentueux ailier algérien, qui ne cesse de le satisfaire durant chaque confrontation. « En tant que joueur, il a une qualité spéciale », estime le coach, avant d’ajouter : « Il a la personnalité pour prendre le ballon et faire ce qu’il a à faire ».
« Il a vraiment un talent particulier » (Guardiola)Dans le même sillage, Guardiola n’a pas hésité à complimenter son joueur algérien : « Il a vraiment un talent particulier. Il sait comment attirer ses adversaires et servir au bon moment un coéquipier démarqué ».
Au sujet des penalty, l’Espagnol a fait savoir : « Nous avions du mal la saison dernière avec les penalty. Maintenant, nous savons qu’il est une garantie dans cet exercice. Il marque chaque penalty qu’il tire, même sous pression ».
Par ailleurs, il convient également d’indiquer que Riyad Mahrez et ses coéquipiers de la sélection nationale seront au rendez-vous, la fin du mois de mars de l’année en cours, avec une double confrontation aller-retour face à l’équipe camerounaise. Ladite rencontre entre dans le cadre des barrages des qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
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Après la nouvelle dramatique des médecins algériens qui vont mettre le cap vers les hôpitaux de France, voilà que les prémices de cette catastrophe se voient sur le terrain. La wilaya d’Adrar, déjà démunie au niveau de sa structure sanitaire, se retrouve dorénavant dans le dénuement le plus total.
C’est le docteur Salim Benkheda, qui, sur sa page Facebook, a dévoilé que l’hôpital de la wilaya d’Adrar a perdu plusieurs médecins. Le docteur indique que, suite à l’examen qui fait que plusieurs médecins algériens aient déjà réservé leurs places en France, Adrar se retrouve dans le dénuement.
« Adrar a perdu plusieurs médecins qui ont réussi au dernier EVC : une cardiologue ainsi que son mari, un réanimateur et anesthésiste, et aussi un médecin endocrinologue et diabétologue et son épouse, une gynécologue, ainsi qu’un ORL et d’autres… », a écrit le docteur sur les réseaux sociaux, rapporte le quotidien arabophone El Khabar.
Adrar malade de ses médecinsDe son côté, la page Facebook baptisée « médecins » affirme qu’il ne reste dans la wilaya d’Adrar qu’une seule médecin ophtalmologue après que l’autre ait déposé sa démission. Pour être examinés, les patients doivent attendre pas moins de 5 mois. Le cabinet effectue plus de 70 visites par jour.
La même source indique que la wilaya d’Adrar demeure sous la merci des caravanes médicales d’ophtalmologues qui viennent des wilayas du nord, notamment de Telmcen. Ces caravanes débarquent à Adrar une fois par an et effectuent des visites et des opération chirurgicales à titre bénévole.
Le proche départ de plusieurs médecins algérien ayant réussi l’EVC en France a suscité une véritable secousse au ministère de la Santé. Le ministre Benbouzid a assuré que “les médecins algériens méritent une meilleure considération, une meilleure prise en charge et de meilleures conditions de travail”. Le ministre a également contesté le nombre de 1.200 médecins algérien. Il affirme que « la liste ne donne aucunement le détail du nombre de médecins algériens ».
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La saison hivernale de cette année enregistre un cruel manque en précipitations. Malgré ce retard, qui risque tout de même d’ajouter son lot de problèmes à la situation hydrique actuelle, les spécialistes estiment qu’il est un peu trop top de parler de sécheresse.
Selon la chargée de l’information à l’Office national de météorologie, Houaria Ben Rakta, le retard des précipitations dans plusieurs régions du pays pendant la saison hivernale en cours « est causé par la haute pression atmosphérique centrée sur la région méditerranéenne ».
Dans une déclaration à l’Agence officielle, elle explique que « la haute forte pression atmosphérique exercée actuellement dans la zone méditerranéenne, qui affecte également les pays du sud de la région, est devenue une barrière à l’air froid le poussant vers d’autres régions ».
Or, elle affirme que « cette situation devrait changer vers la fin du mois encore ». Par conséquent, elle estime qu’il est donc « trop tôt pour parler d’une phase de sécheresse ». D’ailleurs, l’intervenante précise que la situation actuelle est plutôt stable « car le nombre de jours secs durant l’hiver en cours est inférieur à ceux qui ont connu des précipitations ».
Retour des perturbations à partir du 12 févrierEn outre, Ben Rakta prévoit un changement dans la situation du temps « à partir du 12 février et les jours suivants au cours du même mois ». Dans le même sillage, elle rappelle que « ce phénomène a été constaté durant les trois dernières années (2019, 2020 et 2021) ».
Durant ces trois années, l’Algérie avait également connu « le retard des précipitations durant les mois de décembre et janvier jusqu’aux derniers 10 jours de février ». Or, « pendant les mois de février et mars, nous avons connu des perturbations météorologiques, voire des chutes de neige », a-t-elle ajouté.
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Les coûts des billets de vols entre la France et l’Algérie ont considérablement baissé durant les deux dernières semaines du mois de janvier. Cependant, cette baisse était temporaire, étant donné que les prix ont été revus à la hausse pour le mois de février.
Air Algérie, de son côté, n’affiche actuellement aucun programme de vol depuis la France vers l’Algérie. Ceci explique la forte demande qui a induit à cette augmentation. Cette hausse de demande serait également due à la stabilité de la situation sanitaire qu’ont connu les deux pays récemment.
Prix chez Air France : Paris – Alger à partir de 84 678 DZDLes prix chez Air France pour le mois de février commencent dès 84 678 DZD pour un billet aller simple, le seul vol étant programmé pour le 26 février. Pour les vols programmés le 15, le 17, le 22, le 24, le 27, et le 28 février, le coût est de 94 962 DZD.
Quant au prix maximal du billet, il peut atteindre jusqu’à 158 478 DZD pour les vols prévus pour le 19, le 20, le 23 et le 25 février. Ces prix sont largement supérieurs à ceux du mois de janvier et il est probable que la hausse soit irréversible pendant plusieurs mois.
Qu’en est-il des compagnies aériennes low cost ?Plusieurs sociétés privées ont exprimé leur intérêt concernant l’arène du transport aérien algérien. Cependant, aucune n’a fait une démarche officielle mis à part la compagnie FlyWestaf SPA. En effet, elle a été la seule à dévoiler son plan de déploiement en Algérie.
Il s’agit d’une compagnie basée au Canada et qui prévoit de lancer sa filiale low cost en avril 2022. Cela pourrait probablement inciter les compagnies concurrentes à revoir leurs tarifs à la baisse.
Il est important de rappeler que les prix des billets entre Paris et Alger ont atteint les 1 000 euros durant les mois derniers chez Air Algérie. Cela a fait réagir le député de l’immigration, qui a exprimé son indignation via sa page Facebook, en accusant Air Algérie d’agir contre les intérêts des passagers algériens.
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Alors que l’Europe fait déjà face à une crise de gaz, la crise ukrainienne pourrait aggraver la situation, d’autant qu’elle menace les livraisons russes en la matière. Se trouvant parmi les fournisseurs de l’Europe, l’Algérie pourrait-elle jouer le rôle d’alternative au gaz russe si la situation empirait ?
Actuellement, la Russie fournit plus de 40% des importations européennes de gaz. Or, l’Europe pourra compter sur d’autres sources d’approvisionnement si la crise ukrainienne empire. Étant déjà parmi les principaux fournisseurs de l’Europe, l’Algérie se retrouve face à une aubaine en or pour conquérir le marché.
Or, selon les analystes et acteurs du domaine, la capacité de production actuelle ne joue pas à la faveur de l’Algérie. Il convient tout de même de rappeler que l’Algérie est reliée au continent européen par trois gazoducs pour transporter le gaz, dont le GME qui était suspendu et deux autres qui sont toujours en service.
Le premier gazoduc relie l’Algérie à l’Italie (l’île de Sicile) via la Tunisie, d’une capacité annuelle de 30 milliards de mètres cubes et a été inaugurée en 1984. Le second, part de Béni Saf vers la ville d’Almeria au sud de l’Espagne par la Méditerranée.
Ce dernier n’est autre que le Medgaz qui a une capacité annuelle de 8 milliards de mètres cubes. Des travaux d’extension sont déjà lancés pour qu’il atteigne un volume annuel de 10,6 milliards de mètres cubes. Rappelons que le GME qui reliait l’Algérie à l’Espagne via le Maroc avait été fermé début novembre dernier.
Pourquoi l’Algérie ne pourra pas remplacer le gaz russe en Europe ?La possibilité que l’Algérie soit une alternative pour l’Europe si la Russie décide de cesser l’approvisionnement ne fait pas l’unanimité. Pour un ancien PDG de la Sonatrach, rapporté anonymement par l’Agence Andalou, l’Algérie ne pourra pas remplacer le gaz russe en Europe.
À ce propos, il estime que cela revient essentiellement à la différence de production entre ces deux pays. À ce propos, l’ancien PDG de Sonatrach, explique que l’Algérie exporte au mieux entre 20 à 30 milliards de mètres cubes vers l’Italie, et environ 12 milliards vers le Portugal et l’Espagne, et d’autres quantités vers la France, la Turquie, la Grèce et d’autres pays.
Selon lui, « les quantités de gaz que l’Algérie exporte annuellement vers l’Europe dépassent 42 milliards de mètres cubes, alors qu’un seul gazoduc russe peut largement acheminer ces quantités ».
Ainsi, il indique « qu’en toute objectivité, il n’y a actuellement aucun pays qui pourra rivaliser avec la production russe de gaz ». Or, il souligne qu’il y a « des tentatives européennes pour réduire la dépendance au gaz russe, par le biais d’autres sources telles que l’Algérie, le Qatar et les États-Unis ».
De son côté, l’expert et ancien professeur de sciences politiques et de relations internationales à l’Université d’Alger, rapporté par la même source estime que l’Algérie ne peut pas remplacer le gaz russe au motif que la production n’est pas suffisante pour couvrir les approvisionnements de ce pays.
Selon lui, les gazoducs russes approvisionnant l’Europe en gaz ont une plus grande capacité de transport à partir des sites gaziers. Ces derniers ont également une production plus importante par rapport à ce que produit l’Algérie.
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Ces dernières années, le Canada a fait face à une rude épreuve à cause de la pénurie d’effectif dans plusieurs domaines, un obstacle aggravé par la pandémie du Covid-19. Pour y remédier, le pays de la feuille d’érable a ouvert ses portes aux travailleurs étrangers des différentes spécialités, notamment les Maghrébins.
Le recrutement international étant en vogue, il intéresse de plus en plus de personnes qui souhaitent évoluer à l’étranger et se lancer dans de nouvelles aventures professionnelles. Toutes les provinces canadiennes sont concernées par ce recrutement international. Cependant, celles qui intéressent les Algériens sont généralement les provinces francophones à l’instar du Québec.
Pour entamer cette procédure d’immigration, il faut prévoir certains documents très importants ( relevées de notes, attestations de travail et Curriculum Vitae aux normes canadiennes ..etc) avant de demander et de se voir accorder le sésame, autrement dit le permis de travail.
Qu’est ce que le CAQ ?Le Certificat d’acceptation du Québec (CAQ) est exigé pour les travailleurs étrangers temporaires mais aussi pour les étudiants qui prévoient de s’établir dans la province québécoise. Un employeur basé au Québec doit absolument avoir un CAQ en plus d’une étude d’impact sur le marché du travail (EIMT), pour établir l’impact neutre ou positif du recrutement d’un travailleur étranger sur le marché local.
Pour faire la demande, voici les documents exigés : une photo format 35mm x 45mm, photocopie de la page d’identité de votre passeport (celle contenant : photo, signature, date d’expiration et numéro), si vous êtes en rédaction de thèse ou de mémoire, une lettre de votre directeur confirmant la date prévue de fin de vos études, un original récent de votre relevé de notes, votre attestation d’inscription pour la session en cours et, si disponible, pour la session suivante, si vous avez réussi moins de 12 crédits à une ou des sessions d’automne ou d’hiver (incluant les abandons avec ou sans remboursement et les échecs, lettre personnelle signée et datée expliquant chacune des sessions où cela s’est produit, si disponibles, les documents justifiant vos explications et preuves récentes de votre capacité financière
Il convient de noter que les emplois au Québec d’une durée de 30 jours ou moins ne nécessitent pas de CAQ. Ce document délivré par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI).
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C’est le président Tebboune qui a annoncé, avant de la fin de l’année écoulée, une révision du cahier de charges et une accélération dans l’annonce des concessionnaires qui seront autorisés à importer des véhicules. Le nouveau cahier de charges était attendu avant la fin du mois de janvier 2022.
Parmi les responsables qui ont affirmé que le cahier de charges sera prêt avant la fin janvier, il y avait le ministre de l’Industrie, Ahmed Zaghdar. Vu le retard constaté, le ministre, lors de son passage sur les ondes de la Radio nationale, aujourd’hui lundi 07 février 2022, a tenté d’expliquer les raisons.
Où en est le cahier de charges ?Le ministre de l’Industrie a assuré que le nouveau cahier de charges va bientôt voir le jour, et que les révisions qui lui ont été apportées vont sous peu être publiées. En outre, Zeghdar a confié que 73 concessionnaires ont déposé leur dossiers, et qu’on y compte déjà 46 recours.
Concernant le retard constaté dans le processus de la publication du nouveau cahier de charges, le ministre a pointé du doigt la situation sanitaire. Il assure que la flambée de la pandémie a eu un impact sur le rythme du traitement des dossiers. Zeghdar a également assuré que son département essaye d’accélérer le processus.
Le ministre s’est aussi penché sur les prix des voitures en Algérie. Selon lui, il s’agit d’une chose qui se constate aussi partout à travers le monde à cause de la hausse des prix des matières premières, des frais du transport et du coût des assurances. Le ministre a dévoilé que son département est en contact avec de grands constructeurs automobile d’Asie et d’Europe afin d’arriver à une véritable industrie.
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Les internationaux algériens ne cessent de briller avec leur club professionnel à l’étranger. Ces derniers présentent un haut niveau ainsi qu’une excellente performance, et ce, lors de chaque rencontre disputée.
C’est le cas d’ailleurs du capitaine des Verts et la star de Manchester City, Riyad Mahrez. Le Fennec a surpris, comme à ses habitudes, les Citizens par son incroyable niveau lors de la dernière confrontation, où il a réussi à marquer un doublé, mais aussi d’effectuer une passe décisive.
Une haute performance qui n’a fait que prouver à l’opinion sportive que le chouchou des Verts a bien réussi à se relever de la déception de la CAN 2021 au Cameroun.
Ounas absent de la CAN 2021Quant à son talentueux coéquipier, Adam Ounas, ce dernier a été testé positif à la Covid-19, raison pour laquelle il n’a pas pu participer aux trois rencontres de l’équipe nationale disputées à ladite CAN, face à, respectivement, la Sierra Leone, la Guinée équatoriale et la Côte d’Ivoire.
Selon les médecins qui accompagnaient la délégation de l’équipe nationale, Ounas a également eu des complications cardiologiques. « Il a fallu passer des radios pulmonaires et pleins d’autres examens. Les médecins ont décelé une anomalie au niveau du cœur », a fait savoir le sélectionneur national Djamel Belmadi.
Cette anomalie a également empêché Ounas de participer aux matchs de son club italien, le SSC Naples. Toutefois, son entraineur a annoncé une bonne nouvelle quant à son retour.
Spalleti précise le retour de OunasS’exprimant en conférence de presse, Spalletti a évoqué les conditions physiques de son joueur, l’Algérien Adam Ounas qui s’est absenté lors de la rencontre d’hier. Le coach italien a précisé la date officielle du retour de son milieu offensif.
« Ounas s’entraîne normalement avec nous et dès la semaine prochaine il pourra rejoindre le groupe », a dévoilé Luciano Spalleti.
C’est en fait une bonne nouvelle pour le coach Djamel Belmadi, notamment avec l’approche des barrages de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Ces derniers sont prévus la fin du mois mars, contre le Cameroun.
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La pomme de terre a toujours été un indicateur fiable de la santé du pouvoir d’achat des Algériens quand ces derniers s’approchent du seuil de la pauvreté. Historiquement, la pomme de terre a sauvé a maintes fois des régions entières de la famine. En Algérie, on peine à garantir la stabilité des prix de cette denrée.
C’est le président de la fédération nationale des producteurs de la pomme de terre, Hassan Kadmani, qui a exprimé son étonnement quant à la nouvelle flambée que connaissent les prix de ce produit au niveau de certaines wilayas. Il indique que le prix de la patate ne dépasse pas les 60 dinars chez les producteurs alors qu’il a atteint les 100 dinars chez les détaillants dans certaines wilayas. Un constat réfuté par certains.
Énième flambée : à qui la faute ?Cette flambée « laisse présager une manipulation des prix et une spéculation, ce qui nécessite une enquête urgente sur la hausse injustifiée des prix de la pomme de terre sur les marchés de gros et de détail au niveau des wilayas du nord », a confié M. Hassan Kadmani au journal arabophone Echourouk.
Selon le même intervenant, les producteurs ne sont pas responsables de cette flambée. Il assure que cette hausse soudaine des prix est à mettre sur le compte des spéculateurs qui s’adonnent à des activités criminelles et qui s’interposent comme intermédiaires entre les agriculteurs et les commerçants.
Dris Laghmiri, directeur des marchés de gros de fruits et légumes des wilayas de sud, est quant à lui de tout un autre avis. Il assure que le prix d’un kilo de pomme de terre à Oued Souf, qui assure 90 % de la production nationale, a atteint les 95 dinars.
Le responsable s’interroge sur les raisons qui ont poussé les agriculteurs à aller vers cette hausse. « S’agit-il d’une baisse de production, d’une augmentation de la demande, ou est-ce les spéculateurs qui sont encore une fois introduit dans le circuit ? », s’interroge M. Laghmiri.
Mais que fait Rezig ?Issam Bedrissi, directeur de l’office au niveau de l’Union générale des commerçants et artisans a affirmé que cette nouvelle flambée des prix de la pomme de terre en Algérie n’est qu’une preuve de l’échec de la coordination entre les deux ministères du Commerce et de l’Agriculture concernant la régulation du marché et le contrôle des prix.
Le responsable rappelle qu’il n’y a que cela qui peut expliquer le retour de la flambée après seulement deux mois de stabilité. Il rappelle que la pomme de terre a atteint les 150 dinars, et que les solution apportée par les ministères n’étaient que du « bricolage ».
La flambée n’a pas touché que la pomme de terre. Le prix des légumes menace le pouvoir d’achat et la santé des Algériens. La tomate est vendue chez les détaillants à 150 dinars, la courgette à 120 dinars, les haricots verts à 400 dinars, et la salade à 120 dinars le kilo.
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Il existe des personnes aux parcours exceptionnels, qui nous affirment qu’entre possible et impossible il y a deux lettres et un état d’esprit. A travers leurs histoires de réussites, on ne peut qu’être inspiré au vu de la détermination sans faille dont ils font preuve. Ainsi nous a inspiré Karim Ounas.
Algérien, Karim Ounas est un ancien agent d’entretien, il a cru en lui et en ses capacités de changer de vie, c’est comme ça qu’il est devenu médecin anesthésiste-réanimateur. Son histoire est atypique, inspirante et émouvante, on parle ici d’un jeune qui a quitté l’école à 16 ans. Lorsqu’on quitte l’école à cet âge, on craint que l’adolescent prenne la route de la criminalité ou l’inertie, ce n’était pas le cas de Karim qui s’est lancé dans sa première expérience professionnelle au sein de l’hôpital d’Armentières à l’Hexagone.
En travaillant de façon impliquée en tant qu’agent d’entretien, ses yeux ont toujours été rivés sur les médecins, il a été fasciné par ce noble métier. Il décide donc d’évoluer et devient brancardier.
Il n’est jamais trop tardEn 1994, sa vie a pris un tournant décisif grâce au chef de service de l’hôpital psychiatrique d’Armentières, qui l’incite et instille en lui le courage de passer le cap. En 2000, il passe le concours des infirmiers et se lance dans ce nouveau métier qui le rapproche de plus en plus d’une volonté enfouie dans son cœur, devenir médecin.
A l’âge de 37 ans, l’Algérien intègre une formation dans la réanimation, tout en gardant son travail au SAMU. C’est en 2021, à ses 47 ans, que l’adolescent ayant quitté l’école à ses 16 ans devient anesthésiste réanimateur au centre hospitalier de Wallonie Picarde en Belgique. Ses collègues reconnaissant son professionnalisme flagrant, plusieurs médias Belges et Français lui ont dédié des reportages et des portraits.
Ainsi, beaucoup de personnes pourront s’identifier à Karim et à son parcours exceptionnel qui va leur servir de force motrice pour reprendre leur vie en main, quelques soit les circonstances.
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Youcef Belaili, la nouvelle recrue du club français le Stade Brestois continue toujours à faire du bruit et un grand buzz médiatique, et ce, depuis l’annonce de la nouvelle, depuis environ une semaine.
En fait, le natif d’Oran a surpris son nouveau club de Brest par une forte affluence du public sportif, notamment algérien, qui a envahi les différents réseaux sociaux dudit club, à savoir Twitter, Instagram et Facebook, explosant ainsi les compteurs des likes et des interactions.
Pour la nouvelle, Youcef Belaili a participé comme titulaire, ce dimanche 6 février, avec sa nouvelle équipe, dans un match l’opposant à Rennes.
Toutefois, et à la grande déception de l’Oranais, la rencontre s’est soldée par la victoire de l’équipe adverse, avec un score de 2 buts contre zéro.
« Difficile de juger Youcef sur ce match » (Der Zakarian)Face à cet effet, l’entraîneur Michel Der Zakarian, qui a vu son équipe s’incliner face à Rennes (0-2), n’a pas manqué de s’exprimer sur la toute première participation de son milieu de terrain algérien, et ce, juste après la fin de la confrontation, où il a lancé : « Difficile de juger Youcef sur ce match. On va essayer de le mettre dans les meilleures conditions ».
Dans le même sillage, le coach brestois a également fait savoir : « Nous devons encore gagner 5 matchs. J’ai confiance en mon équipe. On a su élever notre niveau en 2M », avant d’ajouter : « On a manqué d’agressivité. On n’était pas présent dans les duels ».
Chardonnet s’exprime sur le matchPar ailleurs, le Français Brendan Chardonnet, a, quant à lui, commenté la rencontre contre l’équipe de Rennes, où il a révélé : « En 2ᵉ mi-temps, il y a eu du mieux, mais on est restés inoffensifs. On n’a pas créé grand-chose, il faut qu’on travaille ça. On est un peu timorés offensivement. On n’a pas gagné nos duels, ni derrière ni devant … »
Il convient également de rappeler que l’Algérien Youcef Belaili a rejoint le Stade Brestois, presque deux mois après la résiliation de son contrat avec son ancien club qatari, le Qatar SC, quelques jours seulement avant la finale de la Coupe arabe 2021 au Qatar.
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Lors de sa réunion tenue hier dimanche à Addis-Abeba, le Sommet de l’Union africaine a décidé de suspendre d’accorder à Israël le statut d’observateur. Commentant la décision, l’ancien diplomate Abdelaziz Rahabi explique les motivations derrière cette démarche.
Intervenant sur les ondes de la Radio nationale, Rahabi affirme d’emblée que cette décision était prévisible. Il estime que cela revient à la nature de « l’identité de l’union africaine basée sur l’émancipation », ce qui va à l’encontre de « la politique Israël ».
À ce propos, il explique que « toutes les organisations internationales ont une identité ». Et « l’identité de l’Union africaine, c’est l’émancipation des peuples et la lutte pour les indépendances ». Cependant, ajoute le même interlocuteur, « Israël vient d’être condamné pour sa politique d’apartheid dans les territoires palestiniens occupés ».
Les trois principaux objectifs de la décision selon RahabiRevenant sur la dernière décision de l’UA, l’ancien ministre ajoute qu’elle répond à trois objectifs principaux ; « clarifier les attributions du président de la Commission ; éviter un vote au sein de l’Union africaine qui pourrait signifier une rupture du consensus et faire revenir l’organisation à sa vocation première, à savoir le parachèvement des indépendances ».
Pour rappel, le Sommet des Chefs d’État et de gouvernements de l’UA, tenu hier à Addis-Abeba, a décidé la suspension de la décision prise par le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki le 22 juillet dernier, d’octroyer le statut d’observateur à l’Israël au sein de l’UA.
Le sommet prévoit également, dans le même sillage, la création d’un Comité de sept Chefs d’État africains, dont l’Algérie pour formuler une recommandation au Sommet de l’UA qui demeure saisi de la question.
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Dans un contexte marqué par une dangereuse et menaçante escalade entre l’Algérie et le Maroc, le ministre des Affaires étrangères du Royaume Chérifien, fait mine de ne pas voir que la région sombre dans l’instabilité. Alors que l’Algérie multiplie les accusations, le Maroc continue de faire la sourde oreille.
Invité de RFI, Nasser Bourita, le chef de la diplomatie marocaine, s’est penché sur l’octroi de statut d’observateur à Israël au sein de l’Union Africaine, Sur la question palestinienne, et sur le Sahara Occidental. Tous ces sujets impliquaient de parler de l’Algérie. Chose que Bourita n’aime apparemment pas faire.
Israël – Afrique : une autre confrontation entre le Maroc et l’AlgériePour Bourita, « l’Afrique a changé, l’Union africaine a changé ». Il dit que « 44 pays africains ont des relations avec Israël » et que « cette réalité ne plait pas à 4 pays ». Confiant, il assure que l’union africaine « n’est plus la chasse gardée d’un pays ou deux qui peuvent dire « non, on va bloquer » ».
Sur les raisons qui poussent le Maroc à défendre la décision d’octroyer à Israël le statut d’observateur, Bourita nie qu’elles ont une quelconque relation avec les accords commerciaux et de défense que le Royaume chérifien entretient avec Israël.
Bourira assure que « le Maroc est engagé au côté du peuple palestinien. Nous sommes tous pour une solution à deux États. Lorsqu’on est pour une solution à deux États, c’est qu’on doit reconnaître deux États ». Du point de vue du chef de la diplomatie chérifienne le Maroc « est clair par rapport à ses positions » et « n’instrumentalise pas les causes des autres ».
« Le Maroc souhaite également que l’évolution de sa relation avec Israël puisse permettre la réalisation des droits du peuple palestinien à avoir un État indépendant », a-t-il aussi déclaré.
L’Algérie est « dans l’excès », selon BouritaDepuis que le Maroc a normalisé ses relations avec Israël, l’Algérie monte au créneau. La diplomatie algérienne multiplie les accusations et ne tarde pas à passer à l’action. Après l’annonce de la rupture des relations diplomatiques, est tombée la décision de fermer l’espace aérien, et la suspension du gazoduc Maghreb- Europe.
Bien que ces décisions avaient eu un impact considérable sur le Maroc, et qu’elles furent suivies de maintes accusations, Bourita indique qu’il a « arrêté de suivre ce que dit l’Algérie ou la diplomatie algérienne, parce que je vois qu’il y a beaucoup de contradictions, beaucoup de choses ». Selon Bourita, l’Algérie est dans l’excès, et « lorsqu’on est dans l’excès, on n’a plus d’impact », ajoute-t-il.
À propos du risque d’une confrontation armée entre le Maroc et l’Algérie, Bourita fait mine de ne même pas y penser. Il assure que« le Maroc n’est pas dans l’escalade ». Balayant d’un revers de main les accusations de l’Algérie, Bourita déclare que « le Maroc n’insulte pas l’avenir et le Maroc pense qu’on ne change jamais la géographie ».
Bourita poursuit son discours de main tendue, oubliant la course à l’armement constatée du côté des deux pays, la mort de deux camionneurs algériens, tués par des drones, au Sahara Occidental, et les tensions aux frontières. Il déclare que « la démarche de sa majesté le roi est de ne pas aller dans l’escalade et de se concentrer sur ce qui nous unit et pas sur ce qui nous désunit ».
L’Algérie ne fera pas le premier pas« L’Algérie ne fera la guerre qu’en légitime défense. L’Algérie a trop connu les affres de la guerre coloniale pour souhaiter s’engager dans une confrontation armée avec un pays voisin », a déclaré Ramtane Lamamra il y a deux jours lors d’un entretien accordé à RFI.
Lamamra n’a pas omis toutefois de souligner que « Il faut se demander si ceux qui développent des coopérations militaires avec des puissances militaires étrangères qui n’ont rien à voir avec la région nord-africaine ne sont pas ceux qui parient sur le pire ».
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On a tous entendu parler de l’histoire du petit enfant marocain, tombé accidentellement la semaine dernière dans un puit dans le nord du Maroc et rester coincé pendant 5 jours.
Il s’agit en effet, de Rayane Oram, un enfant marocain âgé de 5 ans. Ce dernier a malheureusement perdu la vie, malgré les efforts acharnés des sauveteurs, déployés lors des 5 jours dans le but de le sauver et de l’extraire vivant.
C’est en fait une histoire tragique qui a bouleversé le pays voisin, les autres pays du Maghreb, mais aussi le monde arabe. Les Algériens particulièrement ont fait preuve d’une grande solidarité avec le peuple marocain.
Les internationaux algériens soutiennent le peuple marocainC’est le cas d’ailleurs de nos footballeurs internationaux, à l’instar de Riyad Mahrez et Ismael Bennacer, qui ont exprimé leur soutien au peuple marocain dans cette douloureuse circonstance.
Quant au sélectionneur national Djamel Belmadi, il n’a pas manqué à son tour de présenter ses condoléances aux parents Rayane Oram. Dans un communiqué rendu public par la Fédération algérienne de football, le coach a exprimé sa peine et sa douleur concernant cette histoire tragique, dont la victime n’était plus qu’un petit enfant de 5 ans.
Belmadi présente ses condoléances« Comme tous les parents, nous avons tous été bouleversés par la disparition tragique de l’enfant Rayane Oman. Notre douleur et notre peine sont grandes, mais elles n’égaleront jamais celles de ses parents et ses proches, à qui nous présentons nos condoléances les plus sincères et les plus attristées », indique ledit communiqué.
En outre, la même source a ajouté : « Qu’Allah accueille ce petit ange dans Son Vaste Paradis et puisse donner la force et l’apaisement à ses parents et à ses proches afin qu’ils parviennent à surmonter cette pénible épreuve ».
« Nos pensées vont également à tous ces enfants qui souffrent à travers le monde et qui, chaque jour, font face aux pires difficultés de la vie », a conclu le communiqué de la FAF.
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