La harga n’est plus juste une fausse promesse d’une vie nouvelle et d’un avenir meilleur sur laquelle de nombreuses personnes se leurrent, c’est devenu un business dangereux de trafic d’humains.
Plusieurs personnes malintentionnées créent des réseaux criminels visant à transporter les migrants clandestins pour des sommes colossales et dans des conditions périlleuses. Ces réseaux recrutent même des mineurs, c’est le cas d’un Algérien arrêté à Alicante. En effet, ce dernier est l’auteur présumé de 12 crimes d’homicide par imprudence, il fait partie d’une organisation criminelle de trafic illégal de harraga.
Selon ABC un quotidien espagnol, la police espagnole a interpellé l’un des 5 rescapés d’une embarcation qui avait à bord 17 personnes venant d’Algérie, ce derniers avaient déboursaient entre 1900 et 2500 euros selon l’enquête, pour ce trajet, à bord d’un bateau pneumatiques dans un piètre état.
Une traversée impossible à réaliserEn dépit des sommes que les passeurs ont reçues, les conditions de ce « voyage » étaient très dangereuses. En plus du bateau pneumatique surchargé et dans un état déplorable, il n’y avait aucun système GPS. Pour couronner le tout, les conditions météorologiques étaient défavorables. Ces conditions ont causé la mort de 12 personnes, qui ne sont pas toutes identifiées à l’heure actuelle. L’un des rescapés a déposé une plainte grâce à laquelle une enquête a été ouverte.
Le mineur algérien faisait partie de cette organisation criminelle dédiée au trafic de migrants clandestins, il a été arrêté étant admis dans un centre de détention pour étrangers. Ainsi, ce triste business se répand de plus en plus où les malfaiteurs prennent des sommes exorbitantes en vendant un rêve utopique aux jeunes, un business illégal rentable au détriment des vies.
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Alors que les relations diplomatiques entre l’Algérie et la France commencent à s’améliorer au vu des derniers événements et des déclarations de Lamamra, des voix s’élèvent déjà demandant des explications sur ce revirement « de dernière minute ».
Le président du Mouvement pour la société et la paix, Abderrazak Makri, a réclamé dans un poste publié sur sa page Facebook des explications des autorités, notamment autour de la question des avions militaires français transitant par les cieux de l’Algérie.
Dans sa publication accompagnée de la vidéo de réponse du ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra à des journalistes français à ce propos, Makri constate que « l’Algérie autorisera à nouveau le survol des avions militaires français vers le Sahel via l’Algérie, si ce n’est déjà fait ».
Le président du MSP a rappelé que « le président français n’a pas présenté ses excuses suite à l’atteinte à la mémoire algérienne et à la remise en cause de l’existence d’une nation algérienne avant le colonialisme français ».
Retour des relations : Makri exige des explicationsCependant, souligne encore Makri, « l’ambassadeur d’Algérie est revenu rapidement à Paris, les appels ont repris, puis les avions militaires sont revenus dans l’espace aérien algérien ».
Dans ce sens, il ajoute que « les autorités ne nous ont pas expliqué ce qui s’est passé concernant le retour des relations à la normale », et « je doute qu’elles le fassent », a-t-il encore analysé. Et même si c’était le cas, ajoute encore Makri « je doute qu’elles nous convainquent ».
Or, « nous n’avons pas besoin de nous expliquer ce que feront les avions français dans le Sahel, notamment ce qu’ils peuvent faire actuellement au Mali », a-t-il ironisé.
Pour rappel, Lamamra avait déclaré le weekend dernier que la décision de suspension de survol des avions militaires français était une « mesure technique qui n’a pas vocation à durer éternellement ».
Rappelons ici que cette décision était intervenue dans un contexte de tension entre Paris et Alger et au lendemain du « rappel immédiat pour consultation » de l’ambassadeur d’Algérie à Paris, suite aux déclarations de Macron sur l’Algérie.
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Auteur d’une Coupe d’Afrique moyenne au Cameroun, le Fennec Youcef Atal a rejoint son club français, l’OCG Nice, juste après l’élimination précoce de l’Algérie en ce tournoi continental.
En effet, les Verts ont connu une disqualification amère lors de la CAN 2021 au Cameroun, qui s’est déroulée du 9 janvier jusqu’au 6 février de l’année en cours, et ce, à la suite d’un nul face à la Sierra Leone, ainsi que deux défaites face à la Guinée équatoriale et à la Côte d’Ivoire.
Ce n’est pas tout ! Les coéquipiers de Youcef Atal ont également vu leur belle série d’invincibilité, estimée à 35 matchs sans défaite, prendre fin à la suite de la défaite face à la Guinée équatoriale (1-0).
Atal victime d’une fracture de la clavicule sans déplacementFace à cet effet, les Verts n’ont eu que de quitter le territoire camerounais et rejoindre leur club professionnel, dans l’espoir de surmonter cette déception de la CAN.
C’était d’ailleurs le cas pour le latéral droit Youcef Atal, qui a rejoint son club niçois, juste après l’élimination de la Coupe d’Afrique 2021 au Cameroun.
Pour son retour, le Fennec a participé comme titulaire lors de la rencontre qui a opposé l’OCG Nice à Clermont, ce dimanche 6 février. Un match qui s’est soldé par la défaite des coéquipiers de Atal avec un but contre zéro.
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, le talentueux Fennec, déjà absent de longues semaines en début de saison après une blessure contre l’Olympique de Marseille (1-1), il s’est encore blessé et a été remplacé par Jordan Lotomba après une lourde chute sur son épaule, lors de la rencontre face à Clermont.
Absent pour plusieurs semaines ?Selon les rapports des médecins de son club, Atal souffre d’une fracture de la clavicule sans déplacement. À cause de cette blessure inattendue, le Vert devrait être indisponible pour plusieurs semaines.
L’Algérien pourrait donc manquer le quart de finale de Coupe de France contre Marseille, ce mercredi à partir de 21h15, mais aussi le déplacement à Lyon samedi (21h) en championnat.
C’est en fait, un coup dur pour l’entraîneur Christophe Galtier, notamment après la blessure de son latéral gauche Jordan Amavi, victime d’une entorse au genou, et absent pour plus d’un mois.
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Après la hype qui a suivi l’arrivée de Youcef Belaili à Brest, le joueur algérien a été très attendu pour son grand retour sur les terrains de la Ligue 1. Le milieu de terrain a reçu, au passage, sa première note après le match qui a vu la défaite de son équipe face à Rennes (2-0).
La presse française n’a pas été tendre avec l’international algérien au lendemain de son premier match.
En fait, le journal sportif l’Équipe n’est pas allé avec le dos de la cuillère et a crédité la prestation du natif d’Oran de 3/10, pire note du match avec deux autres de ses coéquipiers.
L’entraîneur du Stade brestois 29 Der Michel Zakarian, a, par contre, affiché son soutien à l’égard de Youcef Belaili et s’est montré compréhensif vis-à-vis du Fennec après son premier rendu « raté » lors du derby breton.
Une première apparition décevanteL’attente a été forcément très grande, surtout que l’arrivée de Youcef Belaili a fait exploser les compteurs d’abonnement sur les réseaux sociaux du club brestois. Le natif d’Oran qui a entamé le match en étant positionné sur le côté gauche, son post de prédilection en l’occurrence, n’a pas su faire parler son talent.
En deuxième période, l’entraineur a tenté un changement de post pour le nouveau numéro 24 en le positionnant dans l’axe pour mettre plus de percussion dans l’animation offensive, en vain. L’arrivée en retard de Youcef Belaili n’a pas joué en sa faveur. Les prochains matchs nous dirons plus sur cette nouvelle expérience pour le joueur.
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Le marché du travail en Algérie, fortement impacté par la crise économique et sanitaire, ne donne aucun signe de rétablissement sur le terrain. En ce qui concerne les chiffres, on peut leur faire dire ce qu’on veut.
Le regard porté au marché de l’emploi par le prisme des chiffres risque de s’avérer distordu aujourd’hui, notamment à cause de la crise sanitaire et son impact sur le marché en général et sur les postes de qualité en particulier.
C’est le directeur de l’Agence de l’Emploi à Oran qui a qualifié certains demandeurs d’emploi de « chômeurs de luxe ». Le responsable, dans une déclaration faite à nos confrères du quotidien Liberté, affirme qu’il peut « placer n’importe quel demandeur à Oran, sur le champ, dans un poste d’emploi, à condition qu’il ne soit pas trop exigeant ».
Le même intervenant assure que « des jeunes sans aucune qualification professionnelle boudent les métiers manuels réputés pénibles ». Il confie aussi que ces chômeurs « préfèrent les postes d’agent de sécurité et, si possible, dans la société 2SSP chargée de la sécurisation des zones pétrochimiques et des installations de la Sonatrach, à Bethioua et à Arzew ».
Chômage : faut-il choisir la précarité ?À entendre le directeur de l’Emploi à Oran, on peut penser que les jeunes qui refusent des postes « pénibles » ne sont pas dans leur droit le plus absolu. Ce serait oublier la réalité du terrain, et la précarité qui caractérisent ces postes non seulement pénibles, mais souvent mal payés, toujours en CDD, et sans la moindre chance de faire carrière.
Quand on propose à un jeune de travailler 6 jours sur 7, pour un salaire ne dépassant pas les 35.000 dinars, de plus dans un chantier ou le risque d’y perdre un bras ou un pied lui pend constamment au nez, il ne faut pas s’étonner qu’il refuse, et qu’il lorgne des postes plus surs, mieux payés, et même s’ils n’offrent pas de débouchées professionnelles, ils lui garantissent quand même une retraite pour ses vieux jours.
Avec la dévaluation du dinar, la cherté de la vie et la dégradation sans précédent du pouvoir d’achat, les salaires proposés par le secteur privé, qui vont souvent de 25.000 dinars à 35.000 dinars, sonnent comme une indécence face aux espérances et aux besoins des travailleurs.
Chômeurs de luxe ou protestataires silencieux ?Traiter de chômeurs de luxe des jeunes qui ne songent qu’à assurer leur avenir revient à insulter l’intelligence populaire qui a vite fait le calcul que « naviguer » sa croûte est nettement plus judicieux que de vendre son âme au « privé » pour des clopinettes.
De plus, ce boycott du secteur privé, qui commence à avoir ses répercussions, notamment dans le BTPH, a des allures de protestation silencieuse. Selon les chiffres de l’ANEM, Agence Nationale pour l’Emploi, 46% des chômeurs ont refusé, lors du mois de novembre dernier, de travailler dans le secteur privé. Pour cause, des salaires indécemment accompagnés d’une pénibilité du travail.
Le secteur du bâtiment, ou la demande de main d’œuvre est gourmande et les salaires sont délivrés au compte-goutte, connait désormais une pénurie d’ouvriers. Toujours selon le quotidien Liberté, le BTPH connait une pénurie à Oran, mais aussi dans d’autres wilayas.
Travaillant parfois dans des conditions climatiques extrêmes, que cela soit au nord, mais aussi au sud du pays, les ouvriers bâtiments sont rarement payés plus de 35.000 dinars, ce qui leur permet à peine de subvenir à leurs dépenses en nourriture et en transport. Au lieu de dénoncer un « chômage de luxe » ne fallait-il pas s’inquiéter d’un « esclavage moderne » ?
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Le recrutement international intéresse de plus en plus de personnes qui n’ont pas peur de changer de vie, de pays et franchir ce cap. Le Canada a ouvert ses portes aux travailleurs étrangers notamment aux Maghrébins dans plusieurs domaines, et ce, afin de faire face à une forte pénurie d’effectif.
Beaucoup ont commencé les procédures et les démarches pour partir après avoir trouvé les offres qui conviennent à leur domaine et à leur profil. Cependant, les travailleurs autonomes ont hésité à tenter leur chance de peur de ne pas trouver un projet dédié pour eux.
En effet, c’est possible d’aller au Canada pour travailler et s’y installer en tant que travailleur autonome de façon permanente. L’intéressé doit avoir une expérience utile dans des activités culturelles ou sportives et avoir l’intention, la volonté et la capacité d’apporter ses contributions à la vie culturelle ou sportive au Canada.
Qui peut postuler et comment ?En plus de l’expérience utile qui rime avec au moins deux ans d’expérience dans le domaine de la culture ou du sport, d’autres critères seront pris en considération à savoir la scolarité, l’âge, les compétences linguistiques et la capacité d’adaptation. La personne intéressée devra passer un examen médical ainsi que des filtrages de sécurités. De surcroît, la personne doit prouver son capacité financière à changer de pays et à subvenir à ses besoins une fois arrivée au Canada.
Pour faire une demande (sur ce site), il faudra fournir toutes les données biométriques, préparer une trousse de demande et payer les frais exigés. Suite à cette étape, votre demande sera évaluée dans un délai de traitement de 37 mois maximum, cela dépendra de votre profil. Si votre demande sera acceptée, vous recevrez par la suite les détails nécessaire pour préparer votre arrivée au Canada.
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Il n’est désormais secret pour personne que les Fennecs ont fortement brillé lors de la précédente Coupe arabe au Qatar. Leur haute performance et leur excellent niveau de jeu sont soldés par leur couronnement du titre des Champions d’Arabe.
Un couronnement qui était largement mérité, notamment avec le haut niveau présenté par le maestro Youcef Belaili, qui était tout au long de ce tournoi arabe, sous le feu des projecteurs.
Toutefois, les choses ne sont pas bien passées lors du match des quarts de finale, qui a réuni les Fennecs algériens aux Lions de l’Atlas marocains.
La FIFA punit le MarocEn effet, les supporters marocains ont été auteurs de comportements racistes à l’encontre des Algériens, lors de ladite confrontation. Sur ce, la Commission de Discipline de la Fédération internationale de football (FIFA), a punis la Fédération royale marocaine de football par une amende estimée à 20 000 francs suisses, pour des chants racistes de ses supporters lors du match contre l’Algérie en Coupe arabe.
Ladite Commission a également puni le Maroc de jouer les matchs barrages pour la qualification à la Coupe du Monde 2022 au Qatar contre la RDC avec un nombre limité de supporters et fermer les tribunes derrière le but.
Belaili décisif lors du match contre le MarocPar ailleurs, il est utile de rappeler que la confrontation des quarts de finale de l’Algérie contre le Maroc, déroulée le 11 décembre au Qatar, s’est soldée par la victoire des Fennecs, et était fortement marquée par un Belaili décisif et de son but spectaculaire dans les filets des Lions de l’Atlas.
Pour la finale, les Verts ont affronté leurs homologues tunisiens, où ils ont réussi à inscrire deux buts dans leur cage. Le premier but a été marqué par Amir Sayoud, avant que l’attaquant Yacine Brahimi ne finisse le travail en fin de match.
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En évoquant le sujet de la réforme d’Air Algérie avec Echourouk Morning, le ministre des transports “Aissa Bekai” a annoncé l’ouverture de nouvelles voies aériennes. Il s’agit de vols entre l’Algérie et la Mauritanie ainsi que le Sénégal, dans le cadre d’une stratégie collaborative entre l’Algérie et ces deux pays respectifs.
Le ministre a également assuré qu’aucun employé d’Air Algérie ne sera licencié lors de la restructuration de cette dernière. Selon lui, la compagnie aérienne ne connait pas un surplus d’effectif, mais plutôt une mauvaise gestion.
Quelles sont les nouvelles destinations locales ?La compagnie aérienne avait précédemment annoncé l’ouverture de plusieurs destinations vers l’intérieur concernant certaines Wilayas. Selon un communiqué d’Air Algérie, les nouveaux vols seront entre :
D’autre part, Amine Andaloussi, avait démenti la rumeur concernant de la saisie d’avions appartenant à Air Algérie à l’étranger. Le porte-parole a également ajouté que les services du transport aérien sont actuellement assurés à hauteur 52 vols par semaine, ce qui représente 15 % du total des vols avant Corona.
Air Algérie et Covid : va-t-elle s’en remettre ?Il est important de rappeler que Mr. Aissa Bekai, avait précédemment confirmé qu’Air Algérie se remettait progressivement de sa crise financière due à la pandémie de COVID-19. Par ailleurs, il a souligné la nécessité de protéger cette institution vitale, compte tenu des conjonctures actuelles entourant son activité.
Ces déclarations ont été faites lors de sa réunion avec le chef du Syndicat des pilotes techniques d’Air Algérie et des membres de son bureau national. Le responsable du secteur des transports a promis aux représentants syndicaux d’étudier toutes leurs revendications et d’y trouver des solutions en adéquation avec la restructuration progressive d’Air Algérie et l’expansion de son activité.
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La semaine dernière, une explosion suivie d’un incendie est survenue dans un entrepôt de parfums et produits cosmétiques à la cité des 583 logements de la commune d’Ain Oulmène (Sud de Sétif). Cet incident avait fait 8 morts et 14 blessés.
Ce mardi 8 février 2022, le procureur de la République près le tribunal d’Ain Oulmène est revenu avec de nouveaux détails, notamment les raisons ayant causé l’incident qui a coûté la vie à 8 personnes dont 6 enfants.
Lors d’une conférence de presse, l’intervenant a affirmé que l’explosion suivie d’un incendie a été causée par une fuite de gaz qui s’est ensuite mélangé avec des éléments conducteurs, ce qui a engendré l’augmentation de la taille de l’incendie et sa propagation au reste des bâtiments.
À ce propos, le procureur a expliqué que les entrepôts des deux immeubles contenaient des stocks de grandes quantités de matières dangereuses et extrêmement inflammables, telles que des parfums et des cosmétiques. Le second entrepôt est un atelier de fabrication de vaseline sans autorisation pour pratiquer cette activité.
3 personnes placées en détention provisoireLe même magistrat a également indiqué que les propriétaires des entrepôts ont été présentés le 7 février dernier devant le parquet du tribunal d’Ain Oulmène. Les trois prévenus sont accusés « de mise en danger de la vie d’autrui, homicide et blessure involontaire, ainsi que le délit d’incendie ».
Le procureur de la République près la même juridiction a précisé qu’après avoir entendu les trois prévenus, le juge d’instruction avait ordonné leur placement en détention provisoire, soulignant que l’instruction judiciaire est en cours.
Pour rappel, deux (2) femmes, âgées de 35 et 38 ans, et six (6) enfants âgés de 4 à 16 ans ont perdu la vie lors de l’explosion suivie de l’incendie. Il s’agit des membres de deux familles (deux frères).
14 autres personnes ont été blessées, dont six (6) femmes, trois (3) hommes et trois (3) enfants. Ces blessés souffraient de détresse respiratoire, de brûlures au premier et deuxième degrés et de fractures des membres.
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Redouté, chaleureusement accueilli, puis, parfois, volontairement contracté, le variant Omicron a quand même signé la fin du variant Delta, le plus meurtrier des souches de la Covid-19. En Algérie, la 4ᵉ vague, marquée par une large propagation du variant Omicron, a donné des espoirs quant à une sortie de la pandémie. Faut-il s’attendre vraiment à la fin de la Covid-19 ?
Selon le Pr Djidjik, professeur immunologie au CHU de Beni Messous, il est encore un peu tôt pour parler de la fin de la pandémie. Il affirme qu’il faut rester sur nos gardes et surveiller de très près les sous-variants, notamment leur impact sur la population non-vaccinée que nous représentons.
« On n’est pas à l’abri des sous-variants »«On ne sait pas encore comment vont réagir, les sous-variants au sein d’une population non vaccinée comme la nôtre», a déclaré le Pr Djidjk à nos confrères du quotidien Le Soir d’Algérie. Il explique «qu’on parle d’une décrue mais que nous ne sommes pas à l’abri d’un nouveau rebond ou d’un sous-variant qui va maintenir encore de nouveaux cas et ça peut repartir à la hausse à tout moment. Donc, il faut attendre les semaines à venir pour vérifier tout ça».
À l’instar d’Omicron, ces sous variants, ont peu de chances d’être virulents, indique le Professeur, mais appelle toutefois à bien les surveiller, notamment dans un contexte ou les vaccinés en Algérie ne dépassent pas les 15 %. «Nous savons que les sous-variants sont plus contagieux, mais peu virulents, mais nous ne sommes pas à l’abri d’un sous-variant qui peut être plus virulent», a-t-il déclaré.
Le Pr Djdjik ne perd pas de vue non plus la possibilité de la fin de la pandémie, il estime que «nous sommes en train de faire une immunité naturelle post-infection », et espère « qu’elle sera totale et permettra d’arrêter la transmission du virus. Nous voulons arriver à ça, mais on verra bien », dit-il.
La vaccination garde toute son importance, affirme le spécialiste qui déplore qu’en Algérie, avec une population non-vaccinée, on ne sait pas comment vont réagir de probables nouveaux variants.
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Le secteur des transports en Algérie nécessite beaucoup de réformes, notamment après avoir été fortement et négativement impacté par la pandémie du Covid-19, qui a aggravé les problèmes déjà existants dans ce secteur. Depuis un moment, le gouvernement tente d’y introduire des changements et du renouveau.
Invité chez nos confrères d’Echourouk, le ministre des Transports Aissa Bekkai s’est exprimé sur les réformes nécessaires pour son secteur. En effet, plusieurs points ont été évoqués dont le nombre d’employés au sein de la compagnie aérienne nationale Air Algérie. Le ministre estime que même si environ 2000 employés sont « de plus » dans la compagnie, le problème demeure la gérance, l’exploitation et la répartition du personnel.
Dans le même sillage, le département de Bekkai a suggéré d’agrandir l’atelier de maintenance d’Air Algérie situé à Dar el Beida afin d’effectuer plus d’activités et par extension « absorber » ces employés, soulignant que ces derniers ne seront pas licenciés. Il a également évoqué d’autres procédures et décisions en perspective, visant à réformer intégralement la compagnie.
Qu’en est-il des compagnies privées ?Dans un contexte compliqué d’un secteur monopolisé par les compagnies aérienne et maritime nationales, le gouvernement a décidé d’apporter du renouveau et d’ouvrir la voie aux investisseurs privés. Une bonne nouvelle qui servira notamment à instiller une concurrence obligeant toute compagnie à proposer des prix intéressants et une qualité de service irréprochable.
A ce sujet, le responsable de ce secteur a affirmé que la porte est grande ouverte aux investisseurs. Son département a accordé 15 autorisations dans le transport aérien et 11 autorisations dans le transport maritime. « La balle est dans le camp des investisseurs » a-t-il précisé, réitérant son encouragement aux opérateurs privés.
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Les plaintes portées contre l’ancienne députée Naima Salhi, qui portent essentiellement sur le discours de haine et la diffamation, viennent de connaître un important revirement. À l’issue de son audition, la prévenue est placée en liberté provisoire.
Selon des informations rapportées ce mardi par le quotidien Le Soir d’Algérie, la décision de placer la présidente du Parti de l’équité et de la proclamation a été prise il y a plus d’une semaine par une juge du tribunal de Chéraga. Une mesure décidée à l’issue de son audition dans le fond.
L’ex-députée a été auditionnée deux fois par une juge près la même juridiction. Elle a été donc inculpée et placée en liberté provisoire. Or, ses avocats ont introduit un appel qui sera examiné ce 10 février par la chambre d’accusation de Tipaza, ajoute la même source.
Retour sur les deux affaires de Naima SalhiPour rappel, Naima Salhi est poursuivie dans le cadre de deux affaires la première concerne des propos diffamatoires et dénonciation calomnieuse à l’encontre de Mourad Amiri, un cadre en informatique au ministère de l’Intérieur. Et c’est dans cette affaire qu’elle vient d’être inculpée.
Avant cela, un groupe d’avocat avait également porté plainte contre elle pour « incitation à la haine raciale » et « appel au meurtre de citoyens de la région de Kabylie ». Le dossier de cette affaire se trouve également au niveau du tribunal de Chéraga.
Le mois de novembre dernier, les avocats ayant porté plainte, à savoir le militant Salim Chaït et les avocats Abdelkader Houali et Soufiane Dekkal, avaient annoncé avoir reçu une convocation pour être entendus par le juge d’instruction.
Selon le même journal citant des sources proches du dossier, Naïma Salhi sera auditionnée dans le fond avant mercredi. Le chef d’inculpation retenu contre elle par le tribunal de Chéraga est « atteinte à l’unité nationale ».
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La grande compétition footballistique du continent, la Coupe d’Afrique des Nations 2021 au Cameroun, a enfin dévoilé le vainqueur, et ce, après presque un mois de concurrence et de rencontres enflammées, regroupant les meilleures sélections africaines.
Menée par un Sadio Mané très souvent décisif, l’équipe sénégalaise a décroché la victoire face aux Pharaons égyptiens, obtenant ainsi le titre continental, après 90 minutes de temps officiel, 30 minutes de prolongation et des tirs au but.
Les Fennecs algériens absentsÀ cet effet, et comme chaque édition de la CAN, une liste de l’équipe type de tout le tournoi est dévoilée. Pour cette 33e édition, les Fennecs algériens ont manqué à ladite équipe.
L’absence de Riyad Mahrez et ses coéquipiers dans l’équipe type de la CAN 2021 au Cameroun fait suite à leur niveau moyen et leur faible performance. Sachant également que les Champions d’Afrique en titre de l’année 2019 sont sortis du tout premier tour de ce tournoi africain, après un nul face à la Sierra Leone, et deux défaites face à la Guinée équatoriale et la Côte d’Ivoire.
Forte présence de joueurs sénégalaisPour l’équipe type de cette 33e édition, elle est marquée par la forte présence de joueurs Sénégalais, mais aussi de joueurs Égyptiens. Elle compte également un joueur Camerounais et un joueur Marocain, ainsi que deux Burkinabés.
Elle se compose donc des Égyptiens Mohamed Salah, Mohamed Abdelmonem et Mohamed Elneny ; des Sénégalais Sadio Mané, Nampalys Mendy, Edouard Mendy et Saliou Ciss ; du Camerounais Vincent Aboubakar, du Marocain Achraf Hakimi et des Burkinabés Edmond Tapsoba et I. Touré.
Par ailleurs, il convient de mentionner que la 32e édition de la Coupe d’Afrique des Nations qui s’est tenue en Égypte en 2019, soldée par le couronnement de l’équipe nationale, avait vu la présence de quatre Fennecs dans l’équipe type, dont Rais M’bolhi, Ismael Bennacer, Adlène Guedioura et Riyad Mahrez.
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Les nouveaux changements concernant le permis de conduire semblent être dirigés principalement contre les détenteurs du permis probatoires (les bleus). Cette tranche de conducteurs, responsables de 53 % des accidents de la route, risquent gros après l’annulation de la procédure du retrait de permis.
Les sanctions pour les automobilistes contrevenants détenteurs de permis probatoires ont été significativement durcies. Elles peuvent aller jusqu’à l’annulation du permis de conduire. Les amendes mises en place ont été également revues à la hausse.
Permis de conduire : les bleus dans le rougeSelon le journal arabophone Echourouk, qui cite des sources proches du dossier, les éléments de la gendarmerie nationale ont d’ors et déjà commencé à appliquer une surveillance accrue sur les détenteurs de permis de conduire délivrés il y a moins de cinq ans.
Un PV sera délivré contre les nouveaux conducteurs en cas d’infraction. Il sera envoyé à la justice qui tranchera sur les mesures à prendre. Ces mesures peuvent aller jusqu’à l’annulation du permis de conduire, tandis que les amendent vont aller de 10.000 à 50.000 dinars algériens. Si annulation il y a, le conducteur ne pourra avoir un nouveau permis qu’après 18 mois.
Ces sanctions ne sont valables qu’en attendant le nouveau permis à points. Ce dernier, qui accorde 24 points à tous les conducteurs, n’accorde que 12 aux nouveaux permis. Si ce dernier perd six points, il sera tenu de suivre une formation afin de ne pas perdre les six autres points qui lui restent. Il est aussi à noter que les points perdus durant la période probatoire ne seront récupérés qu’après 5 ans, et ce quand le conducteur gagnera son « permis à 24 points ».
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La Caisse nationale des retraites (CNR) applique le nouveau barème relatif au calcul de l’Impôt sur le revenu global (IRG) pour les retraités dès ce mois de février. Ce nouveau barème intervient dans le cadre des dispositions de la loi des finances 2022.
Dans un communiqué rendu public hier, le ministère du Travail a annoncé que le premier versement de retraite, conformément au nouveau barème calcul de l’Impôt sur le revenu global (IRG), prévu dans la LF 2022, sera effectué durant le mois de février en cours.
Cependant, les retraités ont déjà perçu le reliquat de janvier, selon ce qu’a rapporté ce mardi la Radio nationale. Les retraités auront donc droit à des augmentations pouvant aller jusqu’à 8000 DA, conformément aux dispositions de la loi des finances 2022.
Pour ce qui est des montants des augmentations prévues après la révision de l’Impôt sur le revenu global (IRG), le responsable à la CNR, Djafar Abdeli, explique que le gain pour les retraités avec le nouveau brème de calcul de l’IRG « dépends du montant de la pension perçue ».
Des augmentations allant de 500 à 8000 DASelon lui, ces augmentations que percevront les retraités à compter de ce mois de février se situent entre « près de 500 Da et un peu plus de 8000 DA ». Cela devra également coûter un total de « 2,8 milliards de dinars par mois, à la charge du trésor public ».
Pour rappel, cette mesure intervient « en application de l’article 31 de la loi de finances 2022 dans son volet relatif au calcul de l’IRG pour les retraités dont le revenu global brut est supérieur à trente mille dinars algériens (30.000 DA) ».
Par ailleurs, la Caisse des retraites informe l’ensemble de ses affiliés de l’application du nouveau barème, et que « l’opération de versement du reliquat du mois de janvier 2022 a été effectuée dimanche 6 février 2022 » ajoute la même source.
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Le taux de change du dinar algérien face aux principales devises (euro et dollar) affiche une légère hausse dans les cotations officielles de ce mardi 8 février. Sur le marché parallèle des devises, les cours de l’euro et du dollar stagnent.
Après avoir enregistré une hausse considérable dans les cotations officielles d’hier, dépassant le seuil des 160 dinars, la monnaie unique européenne a légèrement augmenté ce mardi. Un euro s’échange aux guichets de la banque contre 160,47 dinars à l’achat et 160,51 dinars à la vente.
Sur le marché parallèle des devises, cette même monnaie demeure encore dans les mêmes niveaux que les jours précédents. Un euro s’échange toujours dans les environs de 215 dinars à l’achat et à 217 dinars à la vente.
Le dollar affiche également une légère hausse dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie. L’unité de cette monnaie s’échange désormais contre 140,40 dinars à l’achat et 140,41 dinars à la vente. Hier, elle était à 140,23 dinars à l’achat et 140,24 dinars à la vente.
Au niveau du marché noir des devises, la monnaie étasunienne demeure également stable par rapport à hier. Un dollar est proposé par les cambistes du square contre 191 dinars à l’achat et 194 dinars à la vente.
Taux de change de la livre sterling et du dollar canadienLa livre sterling dans les cotations commerciales d’ouverture du 7 au 9 février affiche une légère baisse. Un pound est cédé contre 190,11 dinars à l’achat et 190,16 dinars à la vente. Sur le marché parallèle de change, un pound est proposé dans les environs de 253 dinars à l’achat et 256 dinars à la vente.
Pour ce qui est de la monnaie canadienne, un dollar s’échange au guichet de la Banque d’Algérie contre 110,37 dinars à l’achat et 110,39 dinars à la vente. Au niveau du marché parallèle, il est cédé contre 144 dinars à l’achat et 147 dinars à la vente.
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Aucun changement majeur en météo n’est à prévoir pour ce mardi 08 février 2022. À part quelques brumes matinales et des passages nuageux sans effet, le soleil brillera encore sur l’ensemble du territoire national, selon les prévisions de Météo Algérie.
Dans les régions du nord du pays, l’Office de météorologie prévoit, pour cette matinée, des bancs de brume et de brouillard locaux avec quelques nuages bas près des côtes et dans les vallées de l’intérieur et les hauts plateaux. Pour l’après-midi, le ciel sera passagèrement nuageux sur l’est et dégagé sur les autres régions, précise-t-on encore.
Sur les régions sahariennes, le ciel sera souvent voilé à localement nuageux sur le sud-ouest du pays (les régions de Tindouf et Béchar), sur le Sahara central et le Sahara oriental. Pour les autres régions, le ciel sera généralement dégagé.
Dans sa carte de vigilance, Météo Algérie a placé certaines zones côtières de l’ouest du pays en alerte de niveau 1 et 2 « vents violents » et « vagues dangereuses ». Les côtes de Ténès, Mostaganem et Arzew sont placées en vigilance orange et Oran en vigilance jaune.
Retour des pluies : les prévisions de l’ONM pour les prochains joursSelon la chargée de communication à l’Office national de météorologie Houaria Benrekta, le retard de la saison des pluies dans certaines régions du pays en cet hiver était dû à une forte pression atmosphérique concentrée en méditerranée. Or, un changement de la situation météorologique est prévisible au cours de ce mois de février.
Dans une déclaration à l’APS, elle affirme « qu’un changement de météo est prévisible à partir du 12 février en cours et les jours du même mois qui s’en suivront ».
La même responsable a également fait le point sur les prévisions météorologiques pour les prochaines semaines, conformément aux modèles numériques à moyen terme approuvés.
En effet, « un changement des conditions météorologiques est attendu avec la baisse de la pression atmosphérique concentrée en méditerranée et l’infiltration de l’air froid dans les régions nord du pays ».
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C’est une saisie pas comme les autres que les services de la douane algérienne ont déjoué ce lundi à l’aéroport international d’Alger Houari Boumediene.
Lors d’une opération de contrôle douanier d’un vol aujourd’hui à destination d’Istanbul (Turquie), les services des douanes ont déjoué une tentative de transfert illicite de 82.000 euros au niveau de l’aéroport d’Alger.
En effet, les 82.000 euros étaient bien dissimulés dans des boîtes de confiseries et des tubes de cosmétiques, lesquels ont été découverts lors du contrôle douanier d’un vol à destination d’Istanbul.
« Dans le cadre des missions confiées à l’administration des douanes, relative notamment à la lutte contre la criminalité liée aux changes et aux mouvements de capitaux de et vers l’étranger, et en coordination avec les services de sécurité, les agents des Douanes algériennes de l’aéroport d’Alger ont saisi une somme importante en devise estimée à 82.000 euros », lit-on dans un communiqué rendu public aujourd’hui.
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Alors que les contaminations au coronavirus repartent à la baisse ; l’institut pasteur dévoile un nouveau bilan des sous-variants Omicron de Covid-19 en Algérie.
Dans un communiqué rendu public ce lundi 7 février 2022 ; l’institut pasteur d’Algérie (IPA) a fait état d’une propagation importante des contaminations aux sous-variants d’Omicron BA.1 et BA.2.
Durant les trois dernières semaines, le sous variant d’Omicron BA.1 est passé de 52% à 44%. Quant à la sous-variante, elle a connu une hausse de 48% à 56% des souches de covid-19 en Algérie.
« Le variant Omicron reste le variant prédominant actuellement dans notre pays, en représentant 95% des variants circulants, contre 5% pour le variant Delta », a souligné la même source.
L’Algérie a-t-elle dépassé le pic de la 4e vague ?S’exprimant vendredi dernier sur les ondes de Radio Sétif, le président du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP), Lyès Merabet, s’est exprimé sur la situation épidémiologique actuelle.
En effet, Dr Lyes Merabet a estimé que le pic des contaminations au Covid-19 a été dépassé en Algérie, mais aussi que le pays s’approche de la fin de la quatrième vague de coronavirus.
« En une semaine, nous avons assisté à une baisse importante des contaminations, avec une courbe descendante de la 4e vague de Covid-19. De ce fait, cette dernière devrait être dépassée cette semaine », a-t-il dit.
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Fin 2021, la France avait interdit la vente de fleurs et feuilles de CBD sur le territoire.
Mais, le décret annonce le 24 janvier 2022 remet les choses à leur place et la suspension de cette interdiction a pris place pour le plus grand bonheur des utilisateurs français de CBD qui peuvent à nouveau commander leurs fleurs de CBD préférées en ligne.
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La France avait déjà interdit la vente de fleurs et de feuilles de CBDEn vertu de nouvelles réglementations, le gouvernement français avait déjà plusieurs fois mis une interdiction à la vente de certains produits CBD en France, comme avec le cas KanaVape en 2019.
Toutefois, après l’interdiction de la vente de fleurs de CBD annoncée le 31 décembre 2021, les organisations de l’industrie disent avoir pris des mesures contre la nouvelle réglementation. Ainsi, les fleurs de cannabis CBD sont à nouveau légales aussi bien au niveau de leur commercialisation que leur utilisation par les consommateurs français !
La réponse des associations et groupements autour du CBD en FranceDans un communiqué récent, l’Union des Professionnels du CBD dit avoir déposé une injonction liberté pour suspendre le décret.
« Le pouvoir exécutif étend ainsi sa politique de prohibition, dont la faillite est flagrante, à un produit non stupéfiant, sans effet psychotrope ni effet nocif pour la santé ! »
Du fait de sa difficulté à éliminer le marché noir en ce qui concerne la marijuana et le cannabis récréatif, c’est comme si la France essayait d’établir un nouveau « marché noir du CBD », a déclaré le président de l’UPCBD.
Il dit que les ventes de fleurs représentent l’essentiel du chiffre d’affaires de plus de 1500 magasins spécialisés qui pourraient désormais faire face à des fermetures. Certains magasins craignent la faillite en raison de la réglementation, selon des informations locales.
Annulation de l’interdiction et satisfaction des acteurs du marchéLe décret du 31 décembre menaçait sérieusement et immédiatement les vendeurs de CBD.
Plusieurs syndicats et lobbies du chanvre ont mis en avant « l’urgence économique » devant laquelle ils se trouvent depuis la publication du décret. Certaines sociétés ont même mis en avant « un risque de faillite à très court terme » lors de l’audience.
Le Conseil d’État a évidemment entendu leurs arguments. « L’arrêté attaqué porte gravement et immédiatement atteinte à la situation de ses adhérents, en les obligeant à détruire leur inventaire de fleurs et feuilles de chanvre et en les privant de revenus représentant entre 50 et 70 % de leur chiffre d’affaires », souligne le rapport de la juge en chambre.
Il est possible de distinguer les fleurs de CBD et de THCC’était l’un des principaux arguments du gouvernement. Selon la MILDECA, « les forces de sécurité intérieure […] doivent pouvoir discriminer simplement les produits, afin de déterminer s’ils relèvent ou non de la politique pénale de lutte contre les stupéfiants ».
En bref, policiers et gendarmes doivent différencier d’un coup d’œil une fleur CBD d’une voisine THC. Cela explique l’interdiction des fleurs à fort pourcentage de cannabidiol.
Pour les commerçants de chanvre et cannabis CBD, il existe des tests rapides et bon marché pour différencier les deux. Le Conseil d’État les rejoint donc.
Le Conseil d’État conclut ainsi que : « Le moyen tiré de ce que la mesure d’interdiction générale et absolue prise est disproportionnée et tend à créer un doute sérieux quant à sa légalité ».
En bref…
Les fleurs de CBD ne sont pas plus nocives que son extrait !
C’est un autre argument mis en avant par l’exécutif : les fleurs de CBD se consomment essentiellement dans les joints, souvent avec du tabac. Et « les risques liés au parcours des fumées sont établis », selon la MILDECA.
Quoi qu’il en soit, les fleurs de CBD sont de retour sur les boutiques en ligne et vous pouvez à nouveau les trouver de façon 100 % légale !
Le Conseil d’État a suspendu le décret gouvernemental qui interdisait la commercialisation des fleurs de CBD, ont annoncé les avocats à l’origine du recours, lundi 24 janvier.
Publié fin décembre, ce texte avait mis fin à la vente de fleurs ou de feuilles. « La vente aux consommateurs de fleurs ou de feuilles crues sous toutes leurs formes, seules ou mélangées à d’autres ingrédients, leur possession par les consommateurs et leur consommation » sont interdites (selon le Journal Officiel), détaille le texte consacré à cette molécule non psychotrope du cannabis, auquel on attribue des vertus relaxantes.
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