Algérie 360

Après le renouvellement partiel des membres du Conseil de la Nation et la désignation des membres au titre du tiers présidentiel la semaine dernière, la question de la reconduction de l’actuel président de l’Assemblée, revient au-devant de la scène.

Alors que son mandat de 6 ans à la tête du sénat est à mi-parcours, aucune information n’a encore fuité quant à la reconduction de Salah Goudjil au poste du président de la chambre haute du parlement. Et c’est l’âge avancé et l’état de santé du deuxième personnage de l’État.

Du côté de la loi, la Constitution stipule dans son 134e article que « le président du Conseil de la nation est élu après chaque renouvellement partiel de la composition du Conseil, il doit remplir les conditions prévues à l’article 87 de la Constitution ».

Pour l’Assemblée populaire nationale (APN), le même article stipule que son président « est élu pour la durée de la législature ». Ainsi, il convient de noter que, d’un point de vue légal, le président du Sénat est également concerné par le renouvellement partiel des membres, qui a eu lieu il y a quelques jours.

En effet, une séance plénière du Conseil de la Nation se tiendra jeudi 24 février prochain pour décider si Salah Goudjil, avec ses 91 ans qu’il avait atteint janvier dernier, sera maintenu au poste du président de l’Assemblée.

Or, selon son entourage cité ce samedi par le quotidien El Watan, Goudjil « ne lâchera pas prise et compte se présenter à sa propre succession ». Et si aucun candidat ne se présente à sa succession, il sera reconduit automatiquement.

En revanche, dans le cas où des candidats proposeront leurs candidatures pour le poste du président du Sénat, il se pourra qu’il cède sa place. Pour un sénateur cité par le même journal, « le poste de deuxième personnage de l’État est un poste politique et, de ce fait, la décision de reconduire ou non Salah Goudjil sera politique. Elle sera tranchée en haut lieu ».

Pour rappel, Goudjil avait été plébiscité le 24 janvier 2021 comme président du Conseil de la nation. Malgré son âge avancé et son état de santé, il avait alors déclaré que c’était « la volonté du président de la République ».

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Alors qu’il est en détention, purgeant des peines prononcées dans plusieurs affaires, dont celles des 701 kg de cocaïne, Kamel Chikhi, alias « El Bouchi », risque une nouvelle peine dans une nouvelle affaire. Le procès a été ouvert jeudi dernier.

Le tribunal de Bir Mourad Rais à Alger a ouvert une affaire dans laquelle sont impliqués l’entrepreneur en détention Kamel El Bouchi et l’ancien P/APC de la commune d’El Kouba. L’affaire concerne l’octroi d’autorisation de démolition en violation de la loi, ce qui a causé des dommages à une autre habitation sise à proximité.

À l’issue de l’audience tenue jeudi dernier, le procureur près la même juridiction a requis une peine de 10 ans de prison ferme à l’encontre des deux accusés, selon ce qu’a rapporté le quotidien arabophone Echorouk.

Les chefs d’inculpation portés à leur encontre sont « octroi d’indus avantages, violation des lois de l’urbanisme en détruisant le mobilier d’autrui, l’acceptation d’indus avantages et abus de fonction », selon la même source.

L’affaire a commencé lorsqu’une dame résidant à El Kouba avait porté plainte auprès des services de sécurité contre Kamel Chikhi. Elle l’a, en effet, accusé de violation des autorisations de démolition, suite à des dommages causés à son habitation. La plaignante soulève également que le maire de la même commune a été de connivence.

Après avoir bénéficié d’un local à proximité de l’habitation de la plaignante, Kamel Chikhi a entamé des travaux de démolition en causant des dommages à ladite habitation, dont les occupants ont été contraints de la quitter de peur d’un effondrement.

Pendant ce temps-là, ajoute encore la dame en question, le maire de l’époque n’a fait aucune démarche pour arrêter les travaux, pis encore, il a soutenu le prévenu, ajoute-t-elle. Lors de l’audience de jeudi, le tribunal a auditionné les accusés par circonférence.

Le principal mis en cause a nié toutes les accusations portées à son encontre en affirmant qu’il avait obtenu l’autorisation de démolition en bonne et due forme. Il a aussi nié avoir quelconque relation avec les responsables locaux de l’époque pour l’obtention du local de 6 étages.

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Le 6e sommet UE-Afrique, qui s’est tenu jeudi 17 et vendredi 18 février à Bruxelles, a été clôturé hier. À l’issue du sommet, les pays de l’Union africaine et ceux de l’Union européenne ont « adopté une déclaration sur une vision conjointe pour 2030 ».

Dans la déclaration finale du sommet, adoptée à l’unanimité, a porté essentiellement sur un « partenariat rénové » qui inclut initialement la lutte contre le Covid-19, des partenariats d’investissement et la question migratoire.

Il s’agit donc d’un « partenariat rénové », avec notamment le lancement d’une stratégie européenne d’investissements et une aide pour produire des vaccins anti-Covid-19 dans le continent africain.

« Notre vision commune (…) a pour objectif de consolider un partenariat renouvelé pour la solidarité, la sécurité, la paix, le développement économique durable », peut-on lire dans la déclaration.

Sur le volet sanitaire, les Européens se sont engagés à aider des pays africains à produire sur leur sol des vaccins à ARN messager. Il s’agit d’un programme dévoilé vendredi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). L’UE a également promis de fournir à l’été un total cumulé d’au moins 450 millions de doses de vaccins anti-Covid aux Africains.

Dans le sillage de la lutte contre l’épidémie du coronavirus, l’UE a décidé de mobiliser 425 millions d’euros pour accélérer les campagnes de vaccination en soutenant la distribution des doses et la formation des équipes médicales.

À ce propos, les dirigeants de l’UE ont rappelé leur opposition à une levée des brevets des vaccins, réclamée par leurs homologues africains. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du « transfert encadré de technologies », souligne-t-on encore.

Dans le souci « d’aider des projets voulus et portés par les Africains », les pays de l’Union européenne ont lancé une stratégie globale d’investissements dotée d’au moins 150 milliards d’euros sur sept ans.

La priorité dans le cadre de ce programme sera donnée aux infrastructures de transport, réseaux numériques et énergie. La déclaration précise à ce propos que cela se fera tout en garantissant « une gouvernance responsable, transparente, inclusive ».

Concernant la question migratoire, le sommet UA-UE a préconisé de donner la priorité « aux efforts d’améliorations effectives en matière de retour, de réadmission et de réintégration ». Ainsi, « les régimes d’asile seront renforcés en vue d’offrir un accueil et une protection adéquats aux personnes qui y ont droit ».

Or, le souci a également été de combattre le problème dans sa source ; « nous continuerons à nous attaquer aux causes profondes de la migration irrégulière et des déplacements forcés et renforcerons notre coopération pour remédier à tous les problèmes liés à la migration », lit-on encore dans le document.

Cependant, la déclaration ajoute : « Dans le respect des besoins, des compétences et des cadres juridiques nationaux, des voies de migration légale continueront à être développées entre les deux continents et à l’intérieur du continent africain ».

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Après une troisième place jugée insatisfaisante pour les Camerounais à la CAN 2022, le président de la fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o compte remanier le staff technique de sa sélection. L’entraîneur portugais António Conceição ne faisait plus l’unanimité dans la tanière des Lions Indomptables, ce qui a poussé le premier responsable du football au Cameroun à chercher un remplaçant en vue de la prochaine confrontation en match barrage de la coupe du monde 2022.

Samuel Eto’o a fait appel à un ancien de la sélection camerounaise, Rigobert Song. Un visage bien connu au Cameroun, car l’ancien défenseur central était l’un des joueurs qui ont le plus marqué l’histoire du football camerounais en remportant 2 coupes d’Afrique des nations en 2000 et en 2002.

À quelques semaines de la première manche du match barrage de la coupe du monde face à l’équipe d’Algérie, la nomination d’un nouvel entraîneur à la tête de la sélection camerounaise n’a pas été bien reçu non plus en haut lieu du sport au Cameroun. Lors d’une intervention sur une émission télévisée le 13 février 2022, le ministère des Sports et de d’Education physique camerounais, Mouelle Kombi, avait soutenu ouvertement l’ancien entraîneur António Conceição et a confirmé que ce dernier sera maintenu dans son poste sur le banc des Lions Indomptables. Cette intervention n’a pas été bien accueilli par l’instance dirigée par Samuel Eto’o.

Le présent de la FECA foot a fait rappeler à son ministre, dans un communiqué rendu public, que la nomination de l’entraîneur n’est pas de son ressort. Rigobert Song, qui occupé le poste du sélectionneur de l’équipe olympique du Cameroun jusqu’alors, vient donc succéder à l’entraîneur portugais en ayant un seul objectif : battre les verts.

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Les relations entre l’Algérie et la France retrouvent, depuis quelques semaines, leur cours habituel. Certes de manière ascendante, comme l’a affirmé Lamamra dernièrement, mais sûre, d’autant plus que les responsables des deux pays n’arrêtent pas de l’affirmer.

Lors d’une intervention sur le plateau de la chaine française TV5 Monde hier vendredi, la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Anne-Claire Legendre est revenue sur la situation des relations, mettant en avant l’importance du partenariat.

D’emblée, l’intervenante a carrément nié l’existence d’une crise entre les deux pays. Selon elle, « il n’y a aucune colère de Paris vis-à-vis d’Alger », avant d’ajouter que « les relations ne sont pas du tout tendues ».

Pour mieux étayer ses propos, elle rappelle que le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian « s’est rendu à Alger » assurant « qu’il y a une reprise des relations sur tous les fronts ».

Dans la même lancée, la porte-parole du Quai d’Orsay affirme que les relations entre Alger et Paris sont solides, mettant en avant le rôle de l’Algérie dans la question malienne. « La relation est extrêmement solide. Et c’est un partenariat qui est pour nous essentiel », a-t-elle précisé.

D’ailleurs, elle estime que l’Algérie « est une partie de la solution à la crise dans le Mali et au Sahel ». Elle rappelle à ce propos que « l’Algérie a été à l’origine des accords d’Alger, qui sont un des piliers essentiels de la sécurité et de la stabilité du Mali », a-t-elle rappelé.

Pour rappel, le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra s’est exprimé dernièrement, dans un entretien accordé à RFI et France24 à Addis-Abeba sur les relations entre la France et l’Algérie. Selon lui, ces relations sont en « une phase ascendante ».

Selon lui, « Nous sommes dans une phase ascendante et nous espérons que ça ira de mieux en mieux ». Il a également affirmé que les présidents des deux pays avaient « une excellente relation personnelle ».

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Les cours des principales monnaies (l’euro et le dollar), par rapport au dinar algérien, demeurent encore stables dans les cotations officielles de la banque d’Algérie et sur le marché parallèle de change.

Ce samedi 19 février, la Banque d’Algérie a fait état, dans son tableau de change, d’un seul euro contre 159.52 dinars algériens à l’achat et 159.60 dinars à la vente. Sur le marché noir des devises, un euro s’est établi à 214 dinars à l’achat et à 217.5 dinars algériens à la vente.

Du côté de la monnaie étasunienne dans les cotations commerciales de la Banque d’Algérie, un dollar s’échange toujours contre 140.40 dinars à l’achat et 140.42 dinars à la vente. Il s’agit des mêmes niveaux enregistrés durant la journée d’hier vendredi.

Sur le marché parallèle, la monnaie étasunienne est proposée par les cambistes du square d’Alger dans les environs de 192 dinars à l’achat et 194 dinars à la vente. Il convient de noter que ces cours sont restés presque les mêmes durant ces dernières semaines.

Pour ce qui est de la livre sterling, un pound est proposé au niveau de la Banque d’Algérie contre 190.82 dinars à l’achat, et 190.86 DZD à la vente. Sur le marché parallèle de change, l’unité de cette monnaie s’échange contre 253 dinars à l’achat et 255 dinars à la vente.

Concernant la monnaie canadienne, un dollar s’échange dans les cotations commerciales officielles contre 110.49 dinars algériens à l’achat et 110.51 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il est encore proposé contre 144 dinars à l’achat t et 147 dinars à la vente.

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Plusieurs zones côtières seront au rendez-vous, ce samedi 19 février 2022, avec des vents forts devant provoquer l’agitation de la mer. Au sud du pays, des vents et des soulèvements de sable sont également attendus dans certaines régions.

Les services de l’Office national de météorologie ont mis en garde contre des vents forts sur plusieurs zones côtières. Les rafales attendues peuvent provoquer un soulèvement de la mer où les vagues peuvent atteindre les 3 mètres de hauteur.

Les régions concernées sont les côtes de Béjaia, Jijel, Skikda, Annaba et El Kala. La validité du bulletin devra s’étaler de 06 h 00 du matin jusqu’à la soirée de ce samedi aux environs de 21 h 00.

Au sud du pays, certaines régions seront également au rendez-vous avec des rafales et des vents de sable. La vitesse du vent attendu est estimée à 50 km/h. Les wilayas concernées sont Bordj Badji Mokhtar et In Guezzam.

La validité du bulletin s’étalera de la matinée de ce samedi à 09 h 00 jusqu’à la fin de l’après-midi de la même journée vers 18 h 00.

Pour ce qui est des prévisions météo attendues pour ce samedi, Météo Algérie prévoit un temps nuageux sur plusieurs wilayas avec de légères baisses des températures. Les prévisions font, en effet, état d’un ciel nuageux sur l’ensemble des wilayas côtières et de l’intérieur du pays.

Les températures maximales attendues pour ce samedi seront entre 12 et 23 degrés sur les régions côtières, entre 12 et 19 degrés sur les wilayas de l’intérieur et de 18 à 25 degrés sur les régions du sud du pays.

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La cour pénale de Tebessa a inculpé, jeudi dernier, un coiffeur accusé de viol. Les faits remontent à l’année dernière où un jeune homme âgé de 26 ans a abusé d’un petit garçon âgé de 5 ans dans son local de coiffure.

L’inculpé a écopé d’une peine d’emprisonnement ferme de 20 ans suite à ses actes. Le coiffeur investissait dans la naïveté du petit collégien en témoignant de sa sympathie pour lui par le biais de petits bonbons pour ensuite arriver à ses fins.

La famille du gamin s’est vite rendue compte de la gravité des faits sur son petit protégé en le voyant à chaque fois revenir à la maison avec des quantités de bonbons en poche, ce qui a été révélateur et a tiré la sonnette d’alarme. Le rapport du médecin légiste a indiqué que l’enfant faisait l’objet d’un traitement abusif à son égard, ce qui a poussé sa famille à déposer une plainte contre le coiffeur.

Lors du procès, l’accusé a nié complètement les accusations. Or, le face à face avec l’enfant a été le point culminant de la session. Les enquêteurs ont pu déceler la vérité en constatant l’incohérence des propos de l’accusé, la cour a par la suite prononcé une dure sentence qui ne s’est pas allégée malgré les demandes de la défense.

La session s’est soldée sur cette sentence qui a laissé un sentiment de satisfaction chez la famille de la victime et chez les habitants de la région.

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Rebondissement dans l’affaire des cultivateurs de la marijuana à Oran. La cour d’appel criminelle de la capitale de l’Ouest algérien vient de condamner en appel les trois accusés à une lourde peine.

Accusé d’avoir cultivé de la Marijuana (une drogue issue de la plante de cannabis), les trois accusés dans l’affaire ont été condamnés à 10 ans de prison ferme avec une amende de 100.000 dinars algériens.

L’affaire remonte à 2019. Dans ce dossier, un réseau international de trafic de drogue est impliqué. Les individus accusés sont âgés entre 38 et 51 ans.

Lors de l’arrestation des accusés, les services de sécurité avaient, rappelons le, découvert une plantation de 533 plantes de cannabis dans un verger appartenant au principal suspect non loin de la plage artificielle « les Genêts », à Oran.

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Après des évolutions tout au long de la semaine, les cours du pétrole brut ont baissé, et ce, pour la deuxième séance consécutive, ce vendredi 18 février 2022.

En effet, le cours du pétrole s’est vu baissé, et pour cause les nouvelles faisant état d’un accord sur le programme nucléaire iranien. Cette chute s’est vue néanmoins amorcée par les inquiétudes concernant les approvisionnements russes, sur fond de crise actuelle en Ukraine.

Les cours des contrats à terme du brut de référence Brent de la mer du Nord, pour une livraison en avril se sont échangés à 92,97 dollars avec donc une baisse constatée de 1,94%. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) à New York, a ,quant à lui, subi une baisse de 2,02% et est à 90,81 dollars pour livraison en mars.

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken à l’ONU, a incité jeudi la Russie à « abandonner la voie de la guerre » en évoquant avec précisions les conséquences désastreuses d’une attaque contre l’Ukraine.

Par ailleurs, le dialogue est maintenu à Vienne avec l’Iran afin d’amener Washington à lever les sanctions imposées à l’Iran, en garantissant le plein respect par Téhéran de ses engagements et donc un retour vers l’accord nucléaire de 2015.

C’est d’ailleurs, ces informations selon lesquelles les États-Unis et l’Iran seraient prêts à établir un accord dans le cadre des négociations nucléaires qui influencent les prix du pétrole et engendre ainsi sa baisse, d’après Carsten Fritsch, analyste pour Commerzbank.

Les États-Unis, quant à eux, espèrent cet accord afin d’aboutir à une baisse du coût du pétrole, sachant que le prix de l’essence s’inscrit à 3,52 dollars en moyenne le gallon (3,8 litres), un dollar de plus qu’il y a un an, selon les chiffres de l’American Automobile Association. En Californie, État où les taxes sur les carburants sont les plus chères, le prix de l’essence atteint un sommet depuis des décennies à 4,72 dollars le gallon.

Depuis une semaine, l’état de la crise en Ukraine prend de l’ampleur. En effet, alors que les Etats-Unis disent redouter une invasion « imminente » de l’Ukraine, l’Allemagne qualifie la situation de « critique ».

Les Etats-Unis affirment que l’invasion russe débutera par des bombardements aériens et donc « un assaut rapide » contre Kiev, de ce fait, ils ont décidé d’envoyer 3 000 soldats de plus en Pologne pour « rassurer les alliés de l’Otan ».
La Russie quant à elle continue de se préparer en vue d’une possible offensive et Moscou assure samedi, avoir commencé à réduire sa présence diplomatique en Ukraine.

Les échanges diplomatiques ne menant à rien, les pays occidentaux décident d’agir en prévision d’un éventuel conflit. Samedi soir, Paris déconseille aux Français de voyager en Ukraine sans pour autant appeler ses ressortissants de quitter l’Ukraine, contrairement aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, à l’Allemagne, aux Pays-Bas ou à la Belgique.
La compagnie aérienne KLM, du groupe Air France-KLM annonce de ce fait la suspension jusqu’à nouvel ordre, de ses vols vers l’Ukraine.

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Le feuilleton Bounedjah ne cesse de faire jaser en Algérie. Après une nouvelle contre-performance jeudi face au SC Qatar, l’équipe dans laquelle joue l’international algérien Djamel Benlamri, Baghdad Bounedjah est désormais la matière grasse de tous les médias.

Face au but, l’unique buteur face au Sénégal lors de la finale de la CAN 2019, ne semble pas avoir ses repères. C’est ce qu’a témoigné son dernier match qui s’inscrit dans une série de matchs où l’attaquant algérien passe complètement à côté de son sujet. Le but face à Umm Salal lors de la précédente journée du championnat Qatari n’a pas eu l’effet espéré par les fans de l’attaquant. C’était un but qui avait mis terme à une disette de près de 3 mois sans que le nom de l’attaquant d’Al Saad ne s’affiche sur le tableau d’affichage.

Les ratés de Bounedjah s’empilent, ses sorties du terrain à chaque fois que son entraîneur le substitut font couler de l’ancre, mais ce ne sont pas des raisons pour qu’il se trouve seul face aux canons des journalistes, c’est ce que confirme un ancien international algérien.

Invité lors d’un plateau télévisé de la chaîne algérienne El Haddaf, l’ancien joueur du Mouloudia d’Alger a refusé catégoriquement de critiquer l’attaquant algérien. Qualifié de joueur en fin de carrière, en manque de confiance et d’attaquant terminé, Ali Benchikh défend farouchement le natif d’Oran en estimant : « qu’il faut faire rappeler les choses et que la responsabilité de la dernière élimination des verts est collective et que Bounedjah n’est pas le seul qui a affiché un niveau inférieur à la moyenne »

Benchikh a signalé que le problème de l’équipe d’Algérie est dans l’animation offensive et défensive du jeu. « Si Bounedjah n’est pas bon, il faut se questionner d’abord sur l’animation du jeu par les milieux de terrain, certes, on peut subsister Bounedjah, mais si l’équipe nationale reste sans fond de jeu, le résultat sera le même », a-t-il dit.

« Il faut que l’équipe propose une prestation cohérente dans tous les secteurs du jeu, le milieu de terrain doit être plus créatif et les ailiers, Mahrez et Belaili, doivent épauler les attaquants et les milieux de terrain, Bennacer fait un travail colossal, mais il est seul », a ajouté Bencheikh.

Avant de conclure en signalant le rôle important de Bounedjah dans l’abattage offensif. « Bounedjah s’avère excellent dans la remise du ballon, il pèse sur les défenses et il se révèle précieux dans cet exercice, mais ce travail doit être accompagné par une relance sans approche de la part de nos défenseurs », a-t-il estimé.

La renommée des joueurs algériens sur le papier n’a pas permis aux hommes de Djamal Belmadi de faire porter l’équipe à la place qui lui sied et a même donné le sentiment que les verts sont orphelins en attaque. Lors de la CAN 2022, l’Algérie n’a pu sortir qu’avec un seul but sur 3 matchs. Ce but a été l’œuvre d’un milieu de terrain remplaçant à l’image de Sofiane Bendebka, c’est ce qui a fait installer le doute dans le secteur offensif des verts.

Habitués à faire exploser les défenses adverses, les attaquants algériens étaient l’ombre d’eux même au Cameroun. Les coéquipiers de Riyad Mahrez seront attendus au tournant lors de la prochaine échéance face aux Lions Indomptables, double confrontation dont la première manche se déroulera le vendredi 25 mars 2022 à 18 h sur un terrain qui a été cauchemardesque pour les Fennecs, à savoir, le Japoma Stadium à Douala. Les verts seront dans l’obligation de faire un résultat positif qui facilitera la tâche en match retour à Blida le mardi 29 mars prochain à 20 h 30.

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Le président Abdelmadjid Tebboune s’envolera demain samedi vers Doha, pour une visite d’État de deux jours au Qatar. L’annonce a été faite ce vendredi 18 février, par la présidence de la république.

« Sur une invitation de son frère Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani, Emir du pays frère Qatar ; le président de la république Abdelmadjid Tebboune entamera une visite d’État de deux jours au Qatar, à compter du 19 février 2022″, lit-on dans le communiqué de la présidence.

« La visite s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations fraternelles entre les deux peuples et de la coopération bilatérale (…) Lors de sa visite, le président prendra part au 6e sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du Forum prévu à Doha », a précisé la même source.

Le 8 février, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a reçu, à la présidence de la république, l’homme politique et dirigeant sportif qatari Nasser Al-Khelaifi avec lequel il a évoqué le dossier des Jeux méditerranéens d’Oran 2022.

« Cette visite devrait ouvrir des perspectives de la coopération bilatérale dans le domaine sportif, notamment l’ouverture d’une branche du réseau beIN Sports en Algérie qui s’apprête à organiser les jeux méditerranéens durant l’été 2022″, avait indiqué un communiqué de la presidence.

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L’allocation chômage s’apprête enfin à entrer en vigueur en Algérie. Selon le président Abdelmadjid Tebboune, les jeunes chômeurs bénéficieront de cette allocation dès le mois de mars prochain.

Intervenant ce vendredi 18 février à la télévision nationale, le premier responsable du secteur de l’Emploi en Algérie est revenu sur l’affaire de l’allocation chômage, en révélant quelques détails sur le dossier.

En effet, l’allocation chômage touchera, selon le ministre Youcef Cherfa, les jeunes demandeurs d’emploi âgés entre 19 et 40 ans.

Selon le ministre de l’emploi, les chômeurs toucheront cette allocation jusqu’à l’obtention d’un emploi. « L’allocation chômage sera versée à partir de mars prochain, jusqu’à ce que le bénéficiaire soit recruté par une entreprise publique ou privée », a-t-il expliqué.

Dans le même sillage, le ministre a également fait savoir que son département allait lancer une plateforme numérique la semaine prochaine soit le 25 février.

Avec cette plateforme, l’Agence Nationale de l’Emploi “ANEM” va prendre contact avec les demandeurs d’emploi inscrits, afin de déterminer les dates de dépôt des dossiers et du versement de l’allocation.

« Cette allocation concerne tous les chômeurs qu’ils soient titulaires d’un diplôme ou pas à condition qu’ils s’inscrivent au sein de l’Agence Nationale de l’Emploi », a-t-il souligné.

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Avec le nouveau bilan Covid-19 de ce vendredi 18 février 2022, le scénario de la fin de la quatrième vague de coronavirus se confirme en Algérie.

En effet, avec un bilan quotidien sous la barre des 400 cas/jour, la décrue de l’épidémie de Covid-19 est en train de s’amorcer. Selon le dernier bilan du Ministère de la Santé, l’Algérie a enregistré 316 nouvelles contaminations contre 375 cas confirmés recensés dans le bilan d’hier jeudi. Une nouvelle baisse après une semaine marquée par une stabilité.

D’un autre côté, le bilan des morts au Covid-19 fait état de 8 cas de décès, contre les 10 morts recensés dans le bilan d’hier. Quant au bilan des guérisons, il fait état de 270 nouveaux cas de patients rétablis.

Par ailleurs, la même source a fait état d’une légère baisse des admissions en soins intensifs ; un nombre qui est passé aujourd’hui à 23 patients en réanimation.

Avec le bilan d’aujourd’hui, le total des contaminations au coronavirus s’élève à 263.685 cas confirmés ; celui des morts à 6780 décès, alors que le nombre de patients guéris est passé à 176.297 cas de guérisons.

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En marge de la visite d’inspection à la wilaya d’Oran, jeudi dernier, en prévision des Jeux Méditerranéens 2022, le ministre de la Jeunesse et des sports Abderrazak Sebgag est revenu sur la rumeur qui avait fait polémique sur la scène médiatique sportive en Algérie.

Le ministre Sebgag a informé qu’il s’était entretenu avec son homologue ivoirien Paulin Claude Danho, ministre de la promotion des sports et du développement de l’économie sportive, à propos des rumeurs que la presse locale ivoirienne avait circulé et qui laissaient entendre que la Côte d’Ivoire allait organiser la coupe d’Afrique des locaux 2023 à la place de l’Algérie.

Sebgag a indiqué que le ministère ivoirien s’est excusé au nom du gouvernement de son pays auprès de l’Algérie et que ladite rumeur fût une erreur de communication en soulignant que le gouvernement de la Côte d’Ivoire a supprimé de son communiqué publié sur internet le passage dans lequel il avait fait allusion à ce tohu-bohu.

Pour rappel, la semaine dernière, et lors de la visite du secrétaire général de la Confédération Africaine du Football (CAF) Mosengo-Omba Véron en terre ivoirienne, le gouvernement local s’est attribué l’organisation de la CHAN 2023, ce qui n’a pas passé inaperçu en Algérie.

La Fédération Algérienne du Football a vite réagi à cette décision unilatérale sans fondement. Le communiqué de la FAF a indiqué que la compétition aura lieu bel et bien en Algérie et dans les dates fixées au préalable lors de l’attribution de la 7ᵉ édition de la CHAN en septembre 2018, ce qui a balayé d’un revers de main tout l’engouement autour de cet événement.

À noter que le président de la haute instance footballistique en Algérie, Charaf Eddine Amara a précisé que la compétition aura lieu entre le 08 janvier et 31 janvier 2023 et que le tournoi des U17 sera entre le 08 et 30 avril 2023.

L’Algérie qui s’apprête à accueillir les jeux méditerranéens de 2022 à Oran a en effet tout planifié pour que ces minis JO soient à la hauteur des attentes des différents facteurs sportifs. Le ministère de la Jeunesse et des sports, Abderrezak Sebgag, a annoncé que le gouvernement algérien a mis en place un plan de secours au cas d’imprévus pour pallier toutes mésaventures en mobilisant davantage d’infrastructures sportives.

En outre, Sebgeg a indiqué que l’Algérie est d’ores et déjà prête pour accueillir la mini CAN de 2023. Il convient de noter aussi que cette dernière sera jouée sur les terrains suivants : le 5-juillet-1962 d’Alger, le stade olympique d’Oran, le 19-mai-1956 d’Annaba et le stade du Chahid-Hamlaoui de Constantine.

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La Fédération internationale de football – FIFA – vient enfin de fixer les dates, les horaires, mais aussi les stades des matchs barrages Algérie – Cameroun.

Tant attendu par les supporters des deux nations, les derniers matchs des qualifications au mondial Qatar 2022 auront lieux dans moins de cinq semaines.

En effet, pour le match aller, les hommes de Djamel Belmadi s’envoleront vers le Cameroun. C’est au stade omnisports de Japoma, à Douala que les verts affronteront les camerounais. Le choc est prévu le vendredi 25 mars 2022 18h00 (heure algérienne).

Quant au match retour, il aura lieu en Algérie, plus précisément au stade du Chahid Mustapha Tchaker de Blida (à 50 kilomètres d’Alger). C’est le mardi 29 mars, à 20h30 que l’équipe nationale affrontera les Lions Indomptables.

S’exprimant mardi dernier la magnifique victoire de Man City contre Sporting CP (5-0) ; l’international algérien n’a pas manqué d’évoquer le sujet du choc Algérie – Cameroun prévu pour les barrages pour la qualification à la Coupe du Monde 2022

« L’objectif est de faire la différence dès le match aller au Cameroun. Essayer d’assurer quasiment la qualification. Dans tous les cas, nous allons tout faire pour passer (se qualifier au mondial) », a lancé le capitaine des verts.

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Marine Le Pen, candidate du Rassemblement National à la présidentielle, s’est positionnée quant à la problématique des langues étrangères fréquemment utilisées sur le territoire français.

En effet, suite à une visite extérieure du chantier de la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts, dans l’Aisne, celle-ci promet mardi 15 février une interdiction de « l’usage des langues étrangères » dans la publicité et la communication.

Le Pen évoque ce plan afin de « sauver » la langue française. D’après ses dires, celui-ci « visera à rétablir systématiquement l’usage exclusif et irremplaçable du français dans tous les usages qui fondent et forment notre civilisation ».

Elle mettra en place différentes mesures dont un corpus législatif préservant le français des influences externes, mais aussi la création d’une « union francophone » dans la continuité de l’actuelle organisation internationale de la francophonie.

La candidate du RN ne s’est pas arrêtée là, elle a également évoqué l’interdiction de l’écriture inclusive à l’école, à l’université et dans les administrations et les consignes très strictes qui seront communiquées aux hauts fonctionnaires qui se verront dans l’obligation de défendre l’utilisation de la langue française.

Cette annonce a été faite suite à un rapport public diffusé par l’Académie française ce mardi, où celle-ci parle d’une « envahissante anglicisation » du français dans les communications des entreprises, mais aussi des institutions mettant en avant l’impact sur la langue de Molière.

Toujours au centre de ses apparitions, l’Islam et le voile n’y ont pas échappé cette fois-ci encore. En effet, Eric Zemmour candidat à la présidentielle française de 2022 avec son parti reconquête reste fidèle à son idéologie de la « France française », et met encore le doigt sur ce qui est pour lui contraire aux valeurs de la république.

Celui-ci, affirme que la république française est en inadéquation avec les préceptes si répandus de l’islam et qu’elle ne peut accepter le port du voile puis l’appel à la prière sur le territoire français.

Convié sur le plateau de BFMTV, il répond aux questions des internautes de façon très directe quitte à déplaire comme à son habitude. D’après lui, « la France doit rester avec un paysage d’église » et les mosquées quant à elle doivent rester discrètes.

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Les relations diplomatiques entre l’Algérie et la France semblent retrouver leurs cours normaux. Un apaisement des tensions marqué, selon le président Abdelmadjid Tebboune, par des résultats « très positifs ».

Pas plus tard qu’hier, le Chef d’Etat-major de l’ANP, le Général de Corps d’Armée Saïd Chanegriha s’est entretenu avec le patron des armées françaises, Thierry Burkhard. Un entretien durant lequel les deux parties ont évoqué plusieurs dossiers, dont celui de « la menace terroriste ».

« Entretien avec mon homologue algérien le général Chengriha. Échanges sur la situation sécuritaire dans la bande sahélo-saharienne, en particulier sur la menace terroriste. Volonté commune de renforcer la coopération entre nos deux armées », a écrit le patron des armées françaises dans un tweet.

Le même jour de l’entretien Chengriha – Burkhard, l’état-major des armées françaises a annoncé, via l’Agence France Presse, la reprise du survol du territoire algérien par les avions militaires français.

Selon la même source, un avion français a pu survoler l’Algérien, et ce, après un feu vert formel donné par les autorités locales pour la première fois depuis octobre.

« La demande du feu vert d’Alger est passée par l’ambassade de France, comme à chaque fois qu’un avion militaire survole un territoire étranger (…) Les autorités algériennes nous avaient prévenus que c’était possible », a souligné l’état-major des armées françaises.

Pour rappel, Alger avait interdit, en octobre dernier, l’espace aérien algérien aux avions de l’armée française, suite au dérapage d’Emmanuel Macron sur l' »histoire de l’Algérie ».

Tweet de Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées françaises – 17 février 2022

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Les dernières prestations de Riyad Mahrez ne laissent pas la sphère sportive britannique indifférente. Après une pluie d’éloges de la part des médias du pays de sa majesté, c’est au tour de l’ex-international anglais et ancien joueur de Tottenham Hotspur Darren Ashley Bent de louer le talent du capitaine des verts en le préférant à un joueur de calibre mondial.

Sur les ondes de la radio Talksport, l’ancien joueur anglais a coupé court en déclarant : « Ça peut vous sembler une blague, mais actuellement, je préfère Riyad Mahrez à Lionel Messi ». Darren Ashley Bent ne s’est pas arrêté sur cette déclaration et en a rajouté une autre faisant allusion à la rumeur de transfert de Lionel Messi à Manchester City l’été dernier : « je pense que les fans de City préfèreront de loin Riyad Mahrez à ce Messi, Riyad fait une saison incroyable »

Ces déclarations sont devenues de plus en plus récurrentes à l’égard de l’ailier algérien suite au niveau galactique affiché avec son club. Le natif de Sarcelles a réussi à mettre tout le monde en accord par ses statistiques, son implication dans le jeu et son efficacité face au but. Riyad Mahrez est au sommet de son art et sa lancée sur le chemin des grands cracks du football ne parais être qu’à son stade préliminaire.

En effet, le Fennec a retrouvé son niveau de 2016 où il a été élu meilleur joueur de l’Angleterre et confirme les attentes de son entraineur Pep Guardiola.

Avec 7 buts et 4 passes décisives en Premier League et 6 buts en Champions League, Riyad Mahrez accumule le ratio le plus prolifique de sa carrière dans cette partie de saison et devient le joueur le plus décisif de son équipe pour le moment. Ces statistiques le font propulser sur le podium des buteurs de la compétition aux grandes oreilles lui qui a toujours brillé dans cette coupe.

En Angleterre, les médias ne cessent de clamer le niveau de l’international algérien cette saison. Mahrez, qui avait du mal à s’adapter avec le schéma de jeu du technicien catalan lors de son arrivée en provenance de Leicester City, est maintenant l’ailier titulaire et indiscutable sur les petits papiers de Pep Guardiola. Le Fennec est même comparé au septuple Ballon d’Or Lionel Messi.

Le génie argentin ne retrouve pas son niveau habituel au Paris Saint-Germain, lui qui, par la force des circonstances, a quitté le FC Barcelone, son club du cœur. Ce dernier reste sur 5 buts en Ligue Des Champions, 2 pauvres buts en Ligue 1 et s’attire, par ses statistiques méconnaissables, les foudres des médias français qui ne ratent pas l’occasion pour le tacler à chaque fois. Le monde du ballon rond peut être cruel même avec l’un de ses maitres.

Pour l’international anglais Darren Ashley Bent, c’est la réalité du moment présent qui compte le plus, Mahrez est préféré à la pulga, ce qui n’est pas pour déplaire au public du numéro 26.

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C’était prévisible. La reprise des relations diplomatiques entre l’Algérie et la France vient d’être traduit par la réouverture de l’espace aérien algérien aux avions militaires français.

Selon l’état-major des armées françaises, un avion français a pu survoler l’Algérien, et ce, après un feu vert formel donné par les autorités locales pour la première fois depuis octobre.

« La demande du feu vert d’Alger est passée par l’ambassade de France, comme à chaque fois qu’un avion militaire survole un territoire étranger (…) Les autorités algériennes nous avaient prévenus que c’était possible », a précisé la même source, dans une déclaration à l’Agence France Presse.

Il convient de rappeler que l’Algérie avait interdit, en octobre dernier, aux avions de l’armée française de survoler notre territoire, suite au dérapage d’Emmanuel Macron sur l’histoire de l’Algérie.

Lors d’une entrevue périodique mardi dernier avec les représentants de la presse nationale, le président Abdelmadjid Tebboune a évoqué la situation des relations entre Alger et Paris.

En effet, le chef de l’Etat avait affirmé qu' »il y a un dégel dans les relations avec la France » et que « les choses commencent à prendre une autre direction ».

« L’Algérie est un pays incontournable pour l’Afrique et une puissance africaine avérée », avait-il rappelé ; évoquant le « geste » de d’Emmanuel Macron qui a rendu hommage aux victimes des manifestations pour la paix en Algérie réprimées dans le sang, le 8 février 1962 à Paris.

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