Le procès lié à l’affaire de corruption impliquant dans anciens ministres de l’ère de Bouteflika et l’homme d’affaires Ali Haddad, actuellement incarcéré dans d’autres affaires de corruption, a été de nouveau reporté. Alors que le procès était prévu en visioconférence, la connexion internet a encore fait défaut.
Jeudi dernier, le pôle financier et économique près le tribunal de Sidi M’hamed à Alger a ouvert le procès impliquant Amar Ghoul et Abdelkader Kadi en leur qualité d’anciens ministres des Travaux publics et l’homme d’affaires Ali Haddad, propriétaire du groupe ETRHB.
Il convient de noter que l’affaire concerne l’octroi du marché de réalisation d’un tronçon de 9 km d’autoroute à Aïn Defla par Amar Ghoul au groupement Altro-ETRHB sous forme de gré à gré et pour un montant de plus de 574 millions de dinars.
Selon le dossier de l’instruction, plusieurs avenants ont été apportés au marché ce qui a amené l’enveloppe à connaitre d’importantes augmentations après l’arrivée d’Abdelkader Ouali à la tête du département ministériel des Travaux publics en 2015.
Le procès reporté à cause de la mauvaise connexion internetAlors qu’Ali Haddad était censé intervenir au procès par visioconférence, depuis la prison de Tazoult à Batna, sa défense a demandé le report de l’audience à cause de la mauvaise connexion internet. Il était presque inaudible par l’assistance. Par conséquent, le tribunal a décidé de reporter le procès au 3 mars prochain.
Selon des éléments rapportés par le quotidien El Watan, la défense d’Ali Haddad a refusé que son mandatant soit jugé par visioconférence en exigeant qu’il soit présent à l’audience. « Le réseau fonctionne très mal. Regardez, le prévenu n’a ni le son ni l’image. Son droit à un procès équitable est bafoué », s’est offusqué Me Nadir Lakhdari.
Alors que le juge tentait de faire appel au prévenu à l’autre bout du fil, qui apparait dans l’écran installé dans la salle, ce dernier n’entendait rien de ce qui se passait dans la salle, selon la même source.
La défense d’Ali Haddad s’offusque et demande « un procès équitable »Après insistance, Haddad répond enfin qu’il « entendait un mot puis ça se coupe ». Un autre avocat intervient alors en lançant à l’adresse du juge qu’il s’agit « d’un procès inacceptable ». Il se demande, en effet, « Comment Ali Haddad peut-il savoir ce qui se dit à l’audience, ou répondre aux questions ? ».
Le procureur prend ainsi la parole pour rappeler que « le recours à la visioconférence est prévu par la loi ». Et à la défense de rappeler que cette même loi de 2020 « précise que ce dernier soit transmis dans de bonnes conditions ».
Après plusieurs tentatives de rétablissement du réseau internet et devant l’insistance des avocats, le juge se prononce enfin ; « Pour ce qui est du procès à distance, le tribunal estime que cela se fait dans le cadre de la loi ».
Or, il souligne que « pour des raisons financières, matérielles et sécuritaires, le transfert du prévenu ne peut se faire ». Par conséquent il rend la décision définitive du report du procès. « Le procès est donc reporté au 3 mars prochain », a-t-il lancé à l’adresse de l’assistance.
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Sur la pelouse, on ne voit pas que des buts incroyables et des talents exceptionnels, on a aussi droit à des scènes de conflit ou de colère, tout à fait compatibles avec la passion et l’ardeur des joueurs sur le terrain. Ces scènes, contre toute attente, n’arrivent pas qu’entre les adversaires, mais aussi entre les joueurs et leur entraîneur.
Ce sont des altercations assez fréquentes, notamment lors des rencontres importantes. Une des plus récentes est l’altercation de l’international algérien Riyad Mahrez et son entraîneur de Manchester City, Pep Guardiola, connu pour ces vives échanges et sa gestuelle avec les joueurs. Ces altercations engendrent toujours les polémiques surtout quand les dires ne sont pas rendus publics. Les supporters et les fans interprètent les cris et les gestes à leur guise, c’est ce qui est arrivé hier après le match entre West Ham et Newcastle.
En effet, dans le cadre de la 26e journée de la Premier League, West Ham a joué contre Newcastle au stade olympique de Londres, la rencontre s’est terminée avec un but dans les filets des deux équipes (1-1).
Un échange qui ne pouvait pas passer inaperçuA la 71e minute, David Moyes l’entraîneur de Said Benrahma et ses coéquipiers de West Ham a décidé de le remplacer. Suite à quoi, l’international algérien s’est clairement montré mécontent de la décision de son coach. »Everytime » a-t-il répété à son entraîneur faisant allusion au nombre de fois où il a été remplacé, qui est de 18 pour la même saison.
Son coach, à son tour n’a pas apprécié la vitesse à laquelle Benrahma marchait pour regagner le banc, il lui a donc lancé quelques mots en plus d’avoir agité son doigt.
Que se sont-ils dit ?Le journal britannique The Sun a rapporté ce qui a été dit durant cet échange. L’entraîneur des Hammers a demandé à Benrahma de se presser pour laisser son coéquipier rentrer et profiter du temps qui reste « je lui ai juste demandé de courir plus vite et de sortir du terrain afin de profiter du temps sur notre pelouse à notre avantage » a déclaré David Moyes.
Il a également ajouté « je veux que Said soit un un joueur d’équipe, il l’est, je veux qu’il marque des buts, qu’il crée des opportunités pour marquer et qu’il comprenne quand il faut passer, dribbler et quand il faut garder le ballon », Moyes a tout de même tenu à clarifier qu’il n’a aucun problème avec Benrahma.
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La crise sanitaire est-elle entrain de vivre ses dernières heures en Algérie. Les chiffres dessinent sans ambiguïté aucune, une sensible décrue. Après avoir recensé plus de 2.500 cas au mois de janvier dernier, l’Algérie est aujourd’hui au-dessous de la barre des 300 cas.
Aujourd’hui, le 20 février 2022, le bilan délivré par le ministère de la Santé a annoncé 118 nouveaux cas de contamination à la covid-19 en Algérie ces dernières 24 heures contre 251 cas annoncés par le bilan de la journée d’hier samedi. Il s’agit donc d’une nouvelle baisse qui confirme les prévisions des spécialistes.
Outre les cas de contamination, ce bilan dévoilé ce dimanche par le département de Benbouzid indique que 10 nouveaux cas de décès ont été enregistrés en Algérie ces dernières 24 heures suite à des complications liées au virus.
Ces chiffres révélés aujourd’hui par le département de Benbouzid font monter le total des contaminations à la covid-19 en Algérie à plus de 264.054 cas depuis le début de la pandémie. Le nombre de décès quant à lui continue de monter, l’Algérie a recensé pas moins de 6.797 cas, selon les calculs officiels.
Covid-19, une maladie chronique ?Au moment où l’humanité s’apprête à tourner la page de la pandémie, voilà que des voix s’élèvent pour dire que la covid-19 est plus qu’un virus respiratoire, et qu’il y a de fortes chances qu’il soit une maladie chronique.
C’est sur le site Futura que l’on peut lire que « si la Covid-19 au début de la pandémie, apparaissait comme un virus respiratoire donnant lieu à une pathologie asymptomatique chez 80 % des patients et pouvant aboutir à des formes graves chez les patients fragiles comme les obèses, les personnes âgées, les diabétiques. Nous savons maintenant que c’est bien plus compliqué que cela ».
La même source affirme que chez certain patient atteint de la covid, et plusieurs mois après leur contamination, ils continuent de ressentir de divers symptômes parfois très invalidants.
Des risques accrusCe qui est qualifiée de covid long risque donc d’être plus long que prévu. Le comble, c’est que les symptômes de la covid longue ont été détectés chez certains patients qui n’ont fait qu’une réaction bénigne au covid-19.
Des chiffres inquiétants sont avancés par le média qui cite une publication du prestigieux British Medical Journal (BMJ). Une infection au nouveau coronavirus « exposait à un risque accru d’arrêt cardiaque (+61 %) et d’AVC (+52 %) dans l’année qui suit », fait savoir la même source.
Le virus étant relativement nouveau, reste encore méconnu par les spécialistes. Les risque que la covid-19 présentent sur le long terme ne peuvent être étudiées ni encore moins confirmées avant quelques années. Ce qui semble sûr pour le moment, c’est que les mutations du virus, comme dans toutes les pandémies, l’avait mené vers des souches plus contagieuses, mais plus faible.
Le pic a donc été rapidement atteint, mais les dégâts de ces derniers mois ont été moindres que ceux de la vague Delta qui a été particulièrement meurtrière en Algérie, mais dans plusieurs autres pays du monde. En Europe et aux États-Unis, des chiffres records de contamination ont été enregistrés lors de la vague causée par le variant Omicron.
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Combattue, prohibée et perçue comme déshonorante, la prostitution demeure quand même bien présente au sein de la société, au point ou les autorités officielles ferment parfois les yeux sur certains cas. Toutefois, il faut faire la différence entre prostitution et proxénétisme.
Dans la capitale Alger, c’est tout un réseau de prostitution qui a été démantelé par les services de sécurité. Le réseau, composé d’hommes et de femmes, activait sous couvert de centre de bien-être. Au lieu des massages, le centre de bien-être n’offrait en fait à la société que débauche et fléau.
Ce sont les éléments de la police de Dely Brahim qui ont effectué une descente dans ce lieu suspect, rapporte le journal arabophone El Khabar. Suite à cette intervention, 10 individus ont été arrêtés. On leur reproche de s’adonner à la débauche et d’avoir fait de la prostitution leurs fonds de commerce sous couvert d’un salon de massage.
Prostitution, drogue et crime organiséSelon un communiqué de la DGSN, il s’agit de 5 hommes et de 5 femmes. Les mis en cause ont été arrêtés, et suite à la perquisition et la fouille de leur local, les éléments de la police ont pu mettre la main sur divers substances qui font partie du quotidien des accusés.
Les policiers ont pu faire une saisie de 68 psychotropes, de la résine de cannabis, un billet de 2.000 dinars qui porte les trace d’une poudre blanche soupçonnée d’être de la cocaïne. La police a également trouvé 13 préservatifs ainsi que 16 pilules contraceptives.
Toujours dans le local qui porte l’enseigne d’un centre de soins, ou des services de massage et de bien-être étaient censés être présentées aux clients, les 10 mis en cause disposaient d’une somme de plus de 16 millions de centimes qui a été aussi saisie par la police judiciaire. Les mis en cause ont été, suite à leur arrestation, présentés devant le parquet compétent.
Prostitution en Algérie, un secret de polichinelleEn Algérie, la société toujours conservatrice semble encore ignorer le phénomène de la prostitution qui commence à prendre des dimensions inquiétantes qui menacent jusqu’au tissu social lui-même.
Si le phénomène en lui-même n’est pas nouveau, ce qui se passe de nos jours est d’autant plus déplorable puisque le monde de la prostitution entraine souvent dans les méandres du crime et de la drogue, dont les ravages sont plus considérables.
Combattue, et fermement prohibée sur la voie publique, la prostitution s’est vite réfugiée dans les rues sombres des grandes villes, dans les parcs abandonnés, sous les ponts, flirtant toujours avec pauvreté, nomadisme, mendicité, et crime organisé. Ce phénomène est la face sombre des villes, ou plus personne ne pense à ces laissés-pour-compte
L’autre versant de la médaille de la prostitution se trouve dans les hôtels parfois luxueux. Cette activité, semi-légale, est pratiquée au vu et au su de tous. Malgré de timides interventions des services de sécurité, comme ce fut le cas dernièrement à Béjaia, le phénomène continue à sévir au point de se demander si les gérants d’un tel business n’ont pas le bras de plus en plus long.
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Plusieurs saisies de grandes sommes en euro ont été effectuées ces derniers jours à l’aéroport d’Alger. La destination de Turquie est le point commun entre ces tentatives de transfert illicite de devises. Une autre affaire du genre vient de survenir le week-end dernier.
Les services de la police des frontières à l’aéroport Houari Boumediene à Alger sont parvenus à arrêter un commerçant qui s’apprêtait à transférer une somme de 50 000 euros dans un vol à destination de la Turquie.
Selon le PV de constatation élaboré par les services de la douane, le prévenu a dissimulé la somme de 50 000 euros dans ses bagages, et ce, sans avoir aucun document bancaire ou un document justifiant sa possession de la somme en question.
Après son arrestation, le parquet près le tribunal de Dar El Beida a présenté l’individu en question en comparution immédiate. Il est accusé de violation des lois en vigueur concernant les finances et le transfert de capitaux.
Selon des sources médiatiques, le prévenu a reconnu les faits en affirmant qu’il était sur le point de transférer cette somme pour régler des soucis financiers qu’il aurait eus en Turquie en sa qualité de commerçant.
Plusieurs autres tentatives déjouées ces derniers joursPour rappel, deux tentatives de transfert illicite de sommes en devises ont été déjouées dernièrement à l’aéroport d’Alger. Toutes ses opérations étaient prévues dans des vols à destination de Turquie.
Le 12 février dernier, les services de la police des frontières à l’aéroport international Houari Boumediene à Alger ont procédé à l’arrestation d’un ressortissant de nationalité turque, alors qu’il s’apprêtait à transférer illicitement une grosse somme en monnaie européenne.
Le ressortissant en question, qui s’apprêtait à embarquer dans un vol à destination d’Istanbul en Turquie, a tenté de transférer la somme de 165 000 euros soigneusement cachée dans ses bagages.
Quelques jours auparavant, soit le 7 février dernier et lors d’une opération de contrôle douanier d’un vol à destination d’Istanbul en Turquie, les services des douanes ont déjoué une tentative de transfert illicite de 82.000 euros au niveau de l’aéroport d’Alger. La somme a été bien dissimulée dans des boîtes de confiseries et des tubes de cosmétiques.
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Les clubs de football en Algérie ont certainement beaucoup de problèmes à résoudre, notamment la JS Kabylie. Le club glorieux a vécu plusieurs tournants décisifs dans son histoire. Entre les épisodes autour de la présidence qui oscillaient entre Mellal et Yarichène et les soucis financiers, le club n’est pas sorti de l’auberge.
Le président de la JS Kabylie, Yazid Yarichène, a démissionné de son poste un jeudi 10 février. « Aujourd’hui, je vous annonce officiellement ma démission. Certes, j’aime énormément la JS Kabylie, mais je ne peux plus travailler dans des circonstances qui me poussent à démissionner » a-t-il déclaré.
Il a également évoqué des obstacles récurrents que l’on met sur sa route, l’empêchant d’améliorer la situation du club « j’ai essayé d’améliorer les choses au sein du club, de travailler, mais je me retrouve à chaque face avec des bâtons dans les roues« . Il convient de noter qu’il est revenu sur sa décision.
Ces derniers temps, le club de la JSK est au cœur de la polémique en rapport avec les primes de participation à la Coupe de la Confédération africaine (2020-2021).
La FAF réagit et apporte des précisionsLa Fédération Algérienne de Football a publié aujourd’hui un communiqué à ce sujet « la Fédération Algérienne de Football (FAF) tient à informer l’opinion publique nationale et sportive – les supporters de la JS Kabylie en particulier – que les primes liées à la participation du club à la Coupe de la Confédération Africaine 2020-2021 ont été versées en intégralité sur le compte de la SSPA JS Kabylie en date du 17 février 2022, soit au lendemain de l’audience accordée par le Président de la FAF, M. CHARAF-EDDINE Amara, aux responsables du club« .
La FAF a ajouté concernant le virement « le virement, fait conformément aux modalités convenues et acceptées par la direction de la JS Kabylie, a été effectué en monnaie nationale au taux de change bancaire en vigueur au jour du virement déduction faite du montant totale à régler« , expliquant dans le même contexte que « la direction de la JSK a, dans une correspondance adressée à la FAF, fait part de son acceptation des procédures et confirmer la justesse et la conformité de l’opération« .
Le refus au Centre technique national de Sidi MoussaLa FAF a également tenu a préciser qu’elle « n’a été destinatrice d’aucune demande officielle de la part du club« . Expliquant « bien que le CTN de Sidi Moussa ait été fermé pendant cette période pour travaux, la Fédération s’est empressée, conformément aux recommandations, de l’aménager et de préparer toutes les conditions de confort pour recevoir la délégation de la JSK qui a fini par poursuivre son confinement dans l’un des hôtels de la capitale conformément au protocole sanitaire en vigueur. »
Le communiqué a été clôturé de la sorte « la Fédération est la maison de la JSK et de toutes les équipes algériennes et ses portes resteront ouvertes à tous« .
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Le président de la République Abdelmadjid Tebboune s’est rendu hier samedi au Qatar, pour une visite d’État. Ce dimanche, plusieurs accords et mémorandums d’entente ont été signés avec l’Émir de l’État du Qatar Cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani.
Selon un communiqué du cabinet princier, Tebboune et Cheikh Tamim ont procédé, dans le cadre de cette visite, à la signature de quatre accords et mémorandums d’entente entre les deux pays. Le premier document concerne, selon la même source, l’accord de coopération juridique et judiciaire en ce qui concerne les affaires pénales entre les gouvernements des deux pays.
Un mémorandum d’entente a également été signé sur la mise en place de consultations politiques et de coordination entre les ministères des Affaires étrangères des deux pays. Le communiqué annonce également un autre mémorandum d’entente dans les domaines du développement social et de la famille entre les deux gouvernements.
De surcroit, Tebboune et l’Émir du Qatar ont signé le deuxième programme exécutif dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et technologique. Il s’agit d’un accord de coopération pédagogique et scientifique entre les gouvernements des deux pays pour les années universitaires 2022-2025.
Tebboune poursuit sa visite de deux jours au QatarLe chef de l’État a poursuivi ce dimanche sa visite de deux jours au Qatar en s’entretenant avec l’Émir Cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, Émir de l’État du Qatar. Il était accueilli, en compagnie de la délégation qui l’accompagnait au cabinet princier, par l’émir de l’État du Qatar.
Avant que le président de la République et l’émir du Qatar s’entretiennent en tête-à-tête, des entretiens bilatéraux ont été élargis aux ministres et responsables des deux pays. À l’issue de ces entretiens, Cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani a offert un déjeuner en l’honneur de Tebboune et de la délégation qui l’accompagne.
Pour rappel, le chef de l’État était arrivé hier samedi soir à Doha, pour une visite d’État de deux jours. Il a été accueilli, à l’aéroport international de Doha, par l’Émir Cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, et de hauts responsables qataris.
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Depuis le début de la pandémie, l’immigration au Canada est tombée à son plus bas niveau, notamment pour les Algériens. Cependant, le programme Entrée Express a permis à plusieurs personnes de s’installer au pays de la feuille d’érable, malgré les critères de sélection, strictes de ce dernier.
Il faut reconnaître que depuis son lancement en 2015, le tirage d’entrée express lancé par le gouvernement de Trudeau a enregistré des chiffres importants en terme d’immigration. D’ailleurs, lors du dernier événement, le nombre d’invitations envoyées était six fois plus élevé que le précédent, voir 401 000 immigrants, dont des Algériens. Toutefois, ces chiffres ne semblent pas suffire pour combler le manque de main-d’œuvre au Canada, étant donné que le pays a besoin de 1,2 million de travailleurs d’ici à 2023.
D’ailleurs, le ministre de l’immigration au Canada, Sean Fraser a déclaré ce mercredi 16 février, la reprise imminente des tirages d’entrée express concernant la catégorie de l’expérience canadienne CEC. En effet, ces déclarations ont été faites lors d’une réunion avec Goldie Hyder, le PDG du conseil canadien des affaires. Le ministre a tenu à souligner qu’aucune date n’a été prévue pour la reprise du programme, cependant, le tirage d’Entrée Express au Canada reprendra incessamment, sous peu.
Entrée Express au Canada : les nouveautés du programmeLe gouvernement de Trudeau avait lancé le programme d’entrée express pour les travailleurs voulant s’installer au Canada pour 3 catégories :
Par ailleurs, Fraser avait déclaré, à plusieurs reprises que l’arrêt des tirages CEC, PFTQ et PTMS n’était pas permanent. Selon le ministre, cela est dû au fait que les demandes ayant été suspendues à cause de la pandémie sont traitées actuellement en priorité. En effet, plus de 64 890 candidats, algériens y compris sont en attente d’une réponse à leur demande d’immigration au Canada depuis le 1ᵉʳ février 2022.
De plus, le haut responsable du ministère de l’immigration considère comme priorité de faciliter l’accès à la résidence permanente pour les étudiants et les travailleurs étrangers temporaires. Cela a pour but de combler le besoin de main d’œuvre dans les zones rurales du pays de la feuille d’érable.
Immigration au Canada : les promesses du Ministre FraserDepuis sa prise de fonction à la tête du ministère de l’immigration du Canada, Sean Fraser a denoncé certaines pratiques discriminatoires de son propre ministère envers les étudiants Africains francophones. En effet, selon lui, le ministère n’a jamais atteint les objectifs fixés pour l’accueil d’immigrants francophones, dont les Algériens, au Québec et hors Québec malgré la pénurie de main-d’œuvre que connaît le pays. Cela est dû au racisme inconscient dont font preuve certains des fonctionnaires responsables du traitement des dossiers des candidats, d’après Fraser.
Ainsi, le ministre s’est engagé à créer un système d’immigration équitable et non discriminatoire, en établissant des mesures pour lutter contre les préjugés raciaux comme :
Cela rappelle la discrimination contre les étudiants maghrébins, algériens y compris, dans les universités françaises, qui a fait couler beaucoup d’encre ces jour-ci. Cependant, et contrairement au Canada, le gouvernement français est resté muet face à ce scandale, Emmanuel Macron n’ayant pris aucune mesure à ce propos jusqu’à ce jour.
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L’Algérie figure parmi les pays menacés par un stress hydrique dont les conséquences risquent d’être dramatiques sur la population et l’économie. En plus de la géographie qui n’a pas gâté l’Afrique du Nord sur ce point-là, des pratiques, des habitudes, et une gestion malsaine ne règlent rien au problème.
Le ministère des ressources en eau et de la sécurité hydrique a souligné à maintes reprises que les fuites enregistrées le long des conduites formant le réseau national d’alimentation en eau potables sont la cause d’une perte de quantités colossales de cette denrée rare, vitale et précieuse.
C’est dans ce contexte qui menace la sécurité hydrique du pays que l’entreprise Maghreb Pipe, sise à M’Sila, a annoncé sa production de la fibre de verre (FDV), destinée en premier lieu au secteur des ressources en eau. L’entreprise a souligné que sa capacité de production est de 700.000 Km par an.
L’Industrie au secours des collectivités localesL’entreprise a déjà doté les projets de dessalement d’eau de mer de plus de 1.500 km de fibre de verre. Brahim Bali, PDG de Maghreb Pipe, a indiqué, en marge d’une journée organisée par l’entreprise jeudi et intitulée « La coopération entre le secteur industriel et les collectivités locales et le rôle de chacune d’entre elles dans la relance des zones d’ombre », que son entreprise vise à contribuer en vue d’atteindre la sécurité hydrique.
Le responsable confie que la technologie de la fibre de verre figure parmi les technologies les plus compliquées à maîtriser au monde, et que son entreprise, située dans la wilaya de M’Sila, est le seul producteur de ce matériau en Algérie et en Afrique, et ce, tout en respectant les dernières normes internationales dans le domaine.
L’entreprise a pour priorité le secteur des ressources en eau. Maghreb Pipe veut utiliser sa technologie dans L’approvisionnement en eau potable, l’exploitation des eaux usées et l’activation des stations d’épuration et de dessalement. L’entreprise a déjà participé à divers projets dans le cadre du programme de sécurité de l’eau.
La fibre de verre, à quoi ça sert ?La fibre de verre présente divers avantages. Outre le faible poids et la haute résistance mécanique du matériau, ce dernier offre aussi une résistance aux effluents chimiques et à la corrosion, mais affiche également une insensibilité aux UV et aux variations de températures.
La fibre de verre, et au-delà du fait qu’il soit un matériau respectant l’environnement, est aussi un matériau non poreux, parfaitement étanche, donc idéal pour les conduites hors-sol. Ce qui le rend aussi spécial, c’est sa durabilité. La FDV présente un cycle de vie qui est particulièrement long.
La Fibre de verre offre « une excellente durabilité, un faible coût de maintenance, des caractéristiques hydrauliques constantes tout au long de la vie du produit. Le matériau ne nécessite pas de revêtement, ni de protection cathodique ou toute autre forme de prévention de corrosion.
L’entreprise Maghreb Pipe indique qu’elle propose une large sélection de diamètres de tuyaux pour différentes classes de pression, pour transfert d’eau potable, mais aussi des tuyauteries en PRV et raccords proposés pour des projets d’irrigation.L’article Crise de l’eau : la fibre de verre comme alternative ? est apparu en premier sur .
Le football est souvent perçu comme un sport où la gloire et le prestige règnent, avec cette idée sur les joueurs connus qui vivent leur « best life ». Cependant, les coulisses du football abritent des choix difficiles voire cornélien que les joueurs doivent faire, notamment concernant la nationalité sportive.
Cette fois-ci, il s’agit d’un choix très difficile qu’une pépite qui répond au nom de Michael Olise doit faire. Il doit choisir non pas entre deux ou trois nationalités, mais entre quatre, c’est le cas de dire qu’il a l’embarras du choix. Olise est né en Angleterre, d’un père nigérien et d’une mère franco-algérienne, est une star de la championship anglaise. Il évolue actuellement au poste d’ailier droit ou de milieu offensif au club londonien de Crystal Palace.
On ne cesse de parler de luiLe joueur a fait couler beaucoup d’encre récemment, on essaye de l’avoir dans la sélection avant les matchs barrages Zone Afrique pour la qualification à la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Les équipes doublent d’efforts pour avoir les meilleurs joueurs dans leur camp, comme tente le faire le Nigéria.
En effet, le conseiller technique de la sélection nigériane, Austin Eguavoen et certains de ses assistants se sont dirigés vers l’Angleterre afin de s’entretenir avec certains footballeurs, pour les convaincre de joindre les Super Eagles, notamment Olise.
La fameuse rencontre avec OliseBien que des rumeurs circulent autour du choix d’Olise qui se porterait sur l’Algérie, notamment selon les dires du journaliste sportif de BBC Oluwashina Okeleji qui a expliqué que Olise voudrait porter le maillot des Verts, les autres équipes, à l’instar de la sélection nigériane tentent le tout pour le tout afin de convaincre cette pépite de les rejoindre.
La dite sélection est tellement déterminée à convaincre le joueur que la rencontre a eu lieu avec la présence du président de Fédération nigériane de footbal (NFF), Amaju Pinnick. Alors que les détails de la réunion n’ont pas été rendus publics, le Nigéria tente et insiste pour voler la pépite Olise.
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Les opérations douanières en matière de saisies et de recettes douanières ont connu une légère hausse durant l’année écoulée, selon un bilan présenté par un responsable à la Direction générale des Douanes (DGD).
Intervenant ce dimanche sur les ondes de la Radio nationale, le directeur de la législation, de l’organisation et des régimes douaniers à la Direction générale des Douanes, Adel Habsa est revenu sur le bilan des principales opérations douanières durant l’année 2021.
Selon lui, les services de la direction des douanes ont effectué durant cette année pas moins de 1200 opérations, dans lesquelles ils ont saisi plus de 500 000 euros, 400 000 comprimés psychotropes et un bon nombre de véhicules.
En outre, le montant de perception des droits douaniers a atteint, durant la même période, plus de 1036 milliards de dinars, ajoute encore le même responsable. Ce montant représente en partie les perceptions qui entre dans le cadre des revenus réguliers du trésor public, a-t-il souligné.
Dans ce sillage, l’invité de la radio note une légère hausse, dans ce cadre, par rapport à l’année 2020, où ses services ont pu percevoir 1000 milliards de dinars. « Cette augmentation a été le résultat des objectifs tracés au préalable, notamment dans le cadre de la loi des finances complémentaire 2021 ».
Secteur des douanes : ce que prévoit la loi des finances 2022À propos de la loi des finances 2022 et ce qu’elle a apporté comme plus au secteur des douanes, l’intervenant estime qu’elle contient plusieurs mesures concernant la clarification de la gestion des douanes, lui permettant d’effectuer ses tâches de manière optimale.
Le texte prévoit également, selon lui, d’autres procédures visant à régler la situation des marchandises dans les différents entrepôts et zones de transit. Cela devra donc permettre aux autorités douanières d’agir rapidement en émettant des demandes de vente avant le prononcé du jugement.
En ce qui concerne le projet de numérisation approuvé par la Direction générale, il explique que le programme vise à numériser toutes les procédures douanières pour qu’elles soient transparentes, rapides et intégrées.
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Hier, un grand rendez-vous footballistique a eu lieu, un match entre Manchester City et Tottenham. Cette grande rencontre que le stade de l’Etihad a abrité a eu une fin inattendue où les Cityzens se sont inclinés, et ce, après 16 matchs sans défaite ( 14 victoires et un nul ).
Les visiteurs ont annoncé la couleur dès le début de ce match dans le cadre de la 26e journée de la Premier League, ils ont attaqué fort et ont pu marquer grâce à Kulusevki (4e) et Kane qui a frappé deux fois, la première à 59e minute et la deuxième durant le temps additionnel 90e+5. Le Man City a perdu sur sa pelouse (2-3) face à Tottenham.
Durant ce match, les filets des Spurs ont tremblé deux fois, la première grâce à Ilkay Gundogan et la deuxième grâce à un penalty de l’international algérien, Riyad Mahrez.
« The magician » sur le banc explique la défaiteLa toile a été envahi par les tweets et les publications des supporters de Manchester City qui ont vivement critiqué le choix de l’entraîneur de Manchester City, Pep Guardiola. En effet, la grande star du club ne faisait pas partie du onze entrant, il n’a pu rejoindre ses coéquipiers qu’à la 68ème minute du jeu pour remplacer Raheem Sterling. Beaucoup ont expliqué cette défaite par l’absence de Mahrez qui se ressentait sur le terrain.
Les internautes se sont indignés contre cette décision, ne comprenant pas que Mahrez reste sur le banc alors qu’il ne fait que prouver qu’il est un élément indispensable pour son club, notamment avec son penalty au temps additionnel. On a pu lire dans les commentaires « je suis un fan de Chelsea et je ne comprends pas comment laisser Mahrez sur le banc pour un tel match« , « une bonne gifle pour Guardiola pour ne plus laisser Mahrez sur le banc » ou encore « Man City est éteint sans Mahrez comme titulaire« .
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La transition énergétique et le volet environmental occupent désormais une place importante au sein des agendas de tous les pays du monde. En Algérie, le président Tebboune, ainsi que le premier ministre, Aimene Benabderrahmane, ne ratent pas une occasion pour souligner l’importance de se tourner vers des énergies plus vertes.
Pour la premiére fois depuis plus de 13 ans, l’Algérie offre aux sociétés privés, algériennes soient-elles ou bien étrangéres, l’occasion de détenir plus de 49 % du capital des entreprises productrices d’énergie. Cette décision s’inscrit dans le cadre du cahier des charges du projet 1.000 MégaWatts d’énergie solaire.
La réalisation de cinq stations de production d’énegie solaire sera lancée à travers divers wilayas du territoire national. Les deux plus grandes stations, dotées d’une capacités de 300 MégaWatts chacune, seront réalisées dans les wilayas de Laghouat et de Oued Souf. Les 3 autres, dotées respectivement de 250, 100, et 50 MégaWatts, seront lancées dans les wilayas de Touggourt, Ouergla et Béchar.
Attirer les investisseurs étrangersLe cahier des charges de ce projet énergétique, indique que ce contrat PPP (Partenariat Public-Privé) s’inscrit dans le cadre d’un financement de projet sans recours. Les bailleurs de fonds ouvrent donc le droit à être rémunérés via les revenus de la société de projet, sans recours aux investisseurs en capital. Les obligations de la société du projet seront donc à distinguer de celles des investisseurs en capital. La dette quant à elle est garantie par les flux de trésorerie du projet.
Le projet sera financé par 20 % du capital des actionnaires privés, les 80 % qui restent du finacement sera fourni en forme de prêt par une institution bancaire. C’est à la société du projet et aux investisseurs privés que la tâche de financer le projet incombe donc, mais c’est aussi eux qui doivent réaliser la station, les usines ainsi que les travaux qui visent à relier les points de production avec le réseau national d’électricité.
Il est également précisé dans le cahier des charges que la société « Shams », qui découle d’un partenariat entre Sonatrach et Sonelgaz, participera aux cotés de l’investisseur qui sera sélectionné en obtenant un droit à la participation au capital de la société du projet. Shams peut aussi avoir des partenariats avec des entreprises publiques ou privées. La réalisation du projet se fera sous la forme de BOO (Build – Own – Operate), indique le texte du cahier des charges.
Vers la fin du 51/49 ?L’investisseur, étranger soit-il ou algérien, peut détenir donc une participation de 66 % dans le capital de la société du projet.
Cela signifie que la règle du 51/49 a été abandonnée, et cela constite une premiére dans le secteur de l’énergie depuis que cette procédure a été approuvée il y a plus de 13 ans. Les énergies renouvelables peuvent donc devenir une nouvelle porte d’entrée pour les investisseurs étrangers.
Selon le journal arabophone Echourouk, qui cite une source hautement placée au sein du ministère des énergies renouvelables, cette nouvelle démarche, d’abandonner la régle des 51/49, vise à encourager les entreprises et les actionnaires privés étrangers à venir investir en Algérie, afin que le pays puisse attirer de nouveaux capitaux.
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Bien avant la pandémie du Covid-19 qui a fragilisé le secteur des transports et ses compagnies, les problèmes étaient omniprésents. Organisation, conditions de voyages et prix des billets, ce sont les mêmes chansons d’un disque rayé que l’on répète depuis des années, en vain.
La crise sanitaire a donc aggravé les problèmes déjà existants, en ajoutant d’autres tels que le nombre réduits des vols ou encore les conditions d’entrée drastiques même pour les voyageurs vaccinés, tout y est pour décourager les clients et la diaspora algérienne, la principale victime de ces soucis.
Par ailleurs, la compagnie aérienne nationale Air Algérie est perçue tantôt comme une victime, tantôt comme le « méchant ». Cette dernière était au bord du gouffre, on oscille donc entre l’indignation et la peine face à cette compagnie qui doit rembourser plus de 500 000 billets d’avant la crise.
Air Algérie, victime ou coupable ?Les critiques ne cessent pas de sortir quant à elle, par rapport aux retards comme celui de 8h récemment pour un vol Paris – Oran, ou les prix exorbitants ou les billets aller simple entre la France et l’Algérie atteignent les 150 000 DA ou encore la qualité de ses services qui est souvent au cœur des polémiques. Cependant, les deux années précédentes n’ont pas été les meilleures pour la compagnie.
Au début de la crise sanitaire, les avions d’Air Algérie ne voyaient plus le ciel, ces derniers décollaient rarement pour assurer des vols de rapatriement et même après la réouverture partielle des frontières aériennes, le nombre de vols demeure très loin de ceux effectués avant le coronavirus, la faillite n’était pas si loin.
« Qui veut étrangler Air Algérie ? »Le député de Paris à l’APN, Abdelouahab Yagoubi, n’a eu de cesse de dénoncer les lacunes dans le secteur des transports et du voyage. Cette fois-ci, il s’insurge dans une publication sur les principes bafoués, comme celui de la réciprocité entre la compagnie nationale et les compagnies étrangères, qui permet aux deux parties d’opérer le même nombre de vol pour la même ligne.
« Aujourd’hui, vendredi 18 février 2022 entre Alger et Paris, il y a 5 vols autorisés, attribués comme suit : un seul vol pour Air Algérie (AH1010) pour quatre vols par Air France et sa filiale Transavia (AF1555-TO4087-AF1855-AF7397). Où est passé donc le principe de « réciprocité » ? Qui veut étrangler Air Algérie ? » a-t-il écrit.
Ces questions rhétoriques ne décèlent qu’un cri de détresse. Les responsables algériens ont souvent évoqué un complot contre Air Algérie ou encore des moyens indirects de couper le lien entre la communauté algérienne à l’étranger et leur pays.
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Le taux de change des principales monnaies face au dinar algérien reste toujours stable sur le marché officiel ce dimanche 20 février 2022. Sur le marché parallèle de change, la situation affiche de légers changements par rapport à la semaine dernière.
Dans le tableau de change des principales monnaies sur le marché interbancaire des changes d’Alger, l’euro reste encore à hauteur de 159,52 dinars à l’achat et 159,60 dinars à la vente. Il s’agit des cotations commerciales d’ouverture du 17 au 21 février 2022.
Du côté de la monnaie étasunienne, le dollar américain garde également les mêmes niveaux dans le même circuit de change. Un dollar est, en effet, coté à 140,40 dinars à l’achat et 140,42 dinars à la vente.
Pour la livre sterling, un pound s’échange toujours dans les cotations officielles de ce début de semaine contre 190,82 dinars à l’achat et 190,86 dinars à la vente. Quant au dollar canadien, l’unité de cette monnaie est proposée contre 110,49 dinars à l’achat et 110,51 dinars à la vente.
La situation sur le marché parallèle de changeSur le marché noir des devises, l’euro enregistre une hausse face au dinar. La monnaie unique européenne s’échange désormais dans les environs de 217 dinars à l’achat et à 218 dinars à la vente.
En revanche, la monnaie étasunienne demeure stable au niveau de marché parallèle de change. Un dollar est cédé par les cambistes du square d’Alger contre environ 189 dinars à l’achat et 192 dinars à la vente.
Pour ce qui est de la Livre sterling, elle est proposée ce dimanche contre 259 dinars à l’achat et 257 dinars à la vente. Le dollar canadien s’échange durant cette même journée contre 151 dinars à l’achat et 148 dinars à la vente.
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Avec un ciel toujours aussi avare en matière de précipitations, les prévisions météo pour ce dimanche 20 février font état de rafales de vent sur les côtes et dans des wilayas du sud du pays. Ces dernières devront également connaitre des soulèvements de sable.
Dans une alerte météo, les services de l’Office national de météorologie ont placé plusieurs wilayas du sud du pays en vigilance jaune « vent et vent de sable ». Les wilayas concernées sont Mnéa, Ouargla, Timimoune et Béni Abbès.
La vitesse des rafales attendues peut atteindre ou dépasser les 50 km/h, et ce, à partir de l’après-midi de ce dimanche vers 15 h 00 jusqu’à l’aube de demain lundi aux environs de 03 h 00 du matin.
Dans une autre alerte concernant la météo marine, Météo Algérie a placé plusieurs zones sur l’ensemble de la bande côtière en vigilance jaune « vent et vagues dangereuses ». La vitesse du vent est estimée à 50 km/h provoquant des vagues de 3 mètres de hauteur jusqu’à l’aube de demain lundi à 03 h 00 du matin.
Les régions concernées sont les côtes de Marsa Ben Mhidi, Ghazaouet, Béni Saf, Oran, Arzew, Mostaganem, Ténés, Bouharoune, Alger, Déllys, Azefoun, Béjaia, Jijel, Skikda, Annaba et El Kala.
Les prévisions météo pour ce dimanchePour ce qui est des prévisions météo attendues pour ce début de semaine sur les autres régions du pays, Météo Algérie prévoit un temps nuageux sur plusieurs willayas avec une légère baisse des températures.
Sur les wilayas côtières et de l’intérieur, le ciel sera couvert avec des probabilités de quelques gouttes de pluie à l’est vers la fin de la journée.
Les températures maximales attendues pour cette même journée seront de 13 à 18 degrés sur les wilayas côtières, entre 12 et 20 degrés à l’intérieur du pays et de 20 à 30 degrés dans les régions du sud.
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Après une semaine de rumeurs de transfert et de négociations présumées, c’est désormais officiel, un international algérien rejoint le championnat local. Libre de tout contrat après son passage à Sheffield United, l’international algérien Adlène Guedioura rejoint le Mouloudia Club Oranais en attendant la signature officielle. Le joueur de 36 ans est bel et bien à la ville d’Oran pour signer un contrat qui le lie avec le MCO pour 18 mois.
Le Club pensionnaire de la première division du championnat algérien a misé sur l’expérience du joueur pour relancer la deuxième partie de saison qui s’annonce difficile surtout que le club vient de sortir d’une crise interne et continuer de vivre une crise financière. Le nouvel entraîneur, Abdelkader Amrani, n’a pas été satisfait de l’effectif de son nouveau club et a vite demandé des recrues de poids pour renforcer l’équipe.
Le retour des internationauxLa signature d’Adlène Guedioura au Mouloudia d’Oran n’est pas le premier retour d’un ex-international algérien en championnat local. Auparavant, Mourad Meghni avait signé pour le CS Constantine. Le retour des anciens Fennecs sur les terrains du pays enchante les supporteurs algériens qui admirent voir les joueurs de la sélection porter un maillot d’une équipe algérienne. Cette signature pourrait relancer Adlène Guedioura et le remettre à nouveau sur la liste des joueurs convoqués par Djamel Belmadi.
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À la veille de la célébration du troisième anniversaire du mouvement populaire Hirak, qui a été derrière le reversement de l’ancien régime, des voix s’élèvent pour faire le point la situation. Dans ce sillage, le parti de Abderrazak Makri est revenu sur la situation du pays 3 ans après.
À l’issue de la réunion de son bureau exécutif, mouvement de la société pour la paix (MSP) a soulevé plusieurs points concernant la situation qui prévaut dans le pays et sur la scène régionale. Le parti a également évoqué le mouvement populaire Hirak, à la veille de la célébration du 3e anniversaire de son déclenchement.
Le bureau du MSP a, en effet, « noté, à l’occasion du 3e anniversaire du Hirak du 22 février, que plusieurs de ses revendications légitimes en matière de changement radical et global n’ont pas encore été concrétisées ». « Nous appelons le régime politique à honorer ses promesses et de ne pas en reproduire les mêmes causes », ajoute la même source.
Le constat du MSP après 3 ans du déclenchement du HirakLa même formation politique constate également « un recul en matière de libertés et des droits de l’homme en Algérie ». Cela se traduit « par la violation des droits constitutionnels des partis et des associations, la restriction sur la liberté d’expression, la fermeture des médias publics et privés et les arrestations en raison d’opinions et de positions politiques ».
Le parti de Makri note aussi « l’échec et la panique de l’autorité actuelle dans le dossier du développement et en ce qui concerne la situation économique et le désespoir populaire, dû à la modestie de la vision politique et économique et l’effondrement du pouvoir d’achat ».
Concernant ce dernier point, le MSP précise qu’il est « dû à l’effondrement de la valeur du dinar et le taux d’inflation élevé ». Cela a par conséquent conduit « à l’augmentation scandaleuse des prix et ses effets dévastateurs sur le front social, notamment avec les répercussions de l’épidémie du Covid-19 ».
Sur le plan régional, la formation politique de Makri a appelé la diplomatie algérienne à « mobiliser ses moyens régionaux et internationaux afin de conter la vague de normalisation et d’infiltration sioniste ».
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Alors que le pic de la 4e vague du coronavirus avait été atteint en Algérie vers la fin du mois de janvier dernier, la tendance baissière se confirme de plus en plus. Les bilans quotidiens de contamination passent désormais sous la barre des 400 cas, affichant ce samedi une importante baisse.
Dans son dernier bilan rendu public en fin de journée de ce samedi 19 février 2022, le ministère de la Santé a annoncé 251 nouveaux cas de contaminations au Covid-19, tous enregistrés durant les dernières 24 heures.
Le bilan d’hier avait affiché 316 nouvelles contaminations. Pour les patients rétablis de la maladie, le nouveau bilan d’aujourd’hui a fait état de 221 nouvelles guérisons, contre les 270 enregistrées durant la journée d’hier vendredi.
Quant aux victimes de l’épidémie du coronavirus, le bilan établi sur les dernières 24 heures indique 7 nouveaux décès, tandis qu’hier, l’Algérie a déploré 8 morts suite aux complications de leurs contaminations au Covid-19.
Le bilan total depuis l’apparition du Covid-19 en AlgérieAvec ces nouvelles statistiques, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 263.936, celui des décès à 6.787, alors que le nombre des patients guéris est passé à 176.567 cas.
En outre, le ministère de la Santé précise dans son communiqué que 16 patients sont actuellement en soins intensifs.
Par ailleurs, la même source rappelle, que la situation épidémiologique actuelle exigeait de tout citoyen vigilance et respect des règles d’hygiène et de distanciation physique, tout en insistant sur le port du masque.
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La 4ᵉ vague de la Covid-19, caractérisée par l’arrivée du variant Omicron, a touché toutes les tranches d’âge de la population en Algérie. Aujourd’hui, dans une intervention sur les ondes de la radio algérienne, madame Triki Rym, spécialiste en pédiatrie, a révélé les chiffres relatifs aux cas de contamination à la Covid-19 chez les enfants.
En effet, le taux de contamination chez les enfants dans cette 4e vague s’élève à 2%. La spécialiste a indiqué que les symptômes variaient entre cutanés, digestifs et respiratoires, et que les nourrissants et les nouveau-nés sont plus vulnérables à ce variant. Dr Triki est également revenu sur les symptômes engendrés par le variant Omicron en expliquant que le virus Kawazaki figure dans cette liste.
Les conséquences liées à la contamination chez les enfantsLa spécialiste en pédiatrie a expliqué que le syndrome lympho-cutanéo-muqueux, autrement appelé la maladie de Kawazaki affecte le muscle cardiaque et cause le syndrome inflammatoire multi-systémique et ajoutant que le variant Omicron à la capacité d’endommager beaucoup de tissus du corps humain.
C’est ce que témoigne le 0,5% annoncé comme taux de mortalité chez les enfants dans un contexte d’infection liée au variant Omicron.
Dans cette même intervention, Dr Triki précise que les enfants qui souffrent des maladies chroniques, le diabète, la drépanocytose, l’immunodéficience ainsi que les nourrissons, les nouveau-nés, les adolescents de sexe masculin et les patients atteints de cancer sont plus susceptibles de développer des complications liées à une infection d’Omicron.
La spécialiste a finalement indiqué que l’utilisation inconsidérée d’antibiotiques peut générer des résistances bactériennes, ce qui aggraverait davantage l’état de santé de l’enfant et que le traitement varie en fonction du développement des symptômes.
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