Selon plusieurs médias, dontAsia Times, le P.-dg de Hyundai Motor Group, Chung Mong-koo,serait sur le point de lancer uneoffre d’achat sur le groupe automobileitalo-américain FiatChrysler
Automobiles, ont indiquédes sources proches de lasituation.Asia Times, qui cite des sourcesanonymes proches du dossier,précise que l’offre de Hyundaisera lancée avant la réunionannuelle des actionnaires deFiat-Chrysler en mai 2019, quimarquera aussi la fin de la carrièrede Sergio Marchionne entant que P.
-dg du groupe italoaméricain.Asia Times rajouteégalement que l’opération serapilotée par le fonds d’investissementactiviste ElliottManagement de Paul Singer, quia déjà acquis pour un milliard dedollars US d’actions Hyundai, etqui est très présent en Italie, où il détient 6% du capital de l’opérateurtéléphonique Telecom Italia(TIM), et où il a égalementfinancé l’acquisition du Milan AC vendu par Silvio Berlusconi aux Chinois.
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Enfermés dans des bases régulièrement attaquées, victimes de mines cachées, les militaires français mènent régulièrement des opérations au Mali, à grand renfort de colonnes blindées, d’avions et d’hélicoptères, mais ne parviennent pas à faire reculer la menace jihadiste.
Même si le mot «enlisement» reste tabou à Paris, la position de la France au Sahel, où se multiplient les attaques jihadistes contre son contingent et les forces internationales, n’incite pas à l’optimisme, estiment des experts. Alors que le président Emmanuel Macron rencontrait hier à Nouakchott, en marge d’un sommet de l’Union africaine (UA), ses homologues du G5 Sahel, organisation régionale regroupant la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad, les résultats de l’opération Barkhane, qui a succédé à l’opération Serval au Mali, en 2013, ne laissent pas entrevoir la possibilité d’un désengagement à court ou moyen terme, face à des groupes jihadistes qui se renforcent et étendent leur rayon d’action. «Je ne pense pas qu’il soit possible de régler le problème au Mali en moins de dix à quinze ans, si tant est que nous le puissions», avait admis fin février le général François Lecointre, chef d’état-major des armées françaises. «L’évolution de la situation au Mali n’est guère satisfaisante et nous n’en partirons pas demain, sans qu’il s’agisse pour autant d’un enlisement, avait-il ajouté. Enfermés dans des bases régulièrement attaquées, victimes de mines cachées sur leurs itinéraires (deux spahis ont été tués en février, quatre soldats ont été blessés à Gao dimanche) les militaires français mènent régulièrement des opérations au Mali, à grand renfort de colonnes blindées, d’avions et d’hélicoptères, «neutralisent des groupes armés terroristes», mais ne parviennent pas à faire reculer durablement la menace jihadiste. «Les Américains ont tenté cette approche du tout sécuritaire en Afghanistan: résultat, les talibans y sont plus forts que jamais» confie Bakary Sambe, directeur du groupe de réflexion Timbuktu Institute à Dakar. «Les Français font de même dans le nord du Mali: non seulement les jihadistes n’ont pas disparu mais ils se sont multipliés. Comble du comble, le jihadisme a contaminé le Burkina-Faso, le Niger et la Mauritanie». «Barkhane est désormais enlisée», estime-t-il. «La force G5 Sahel a été vue par certains comme une possibilité de désengagement de la France dans la région, mais je n’y crois pas. Cette force est nécessaire pour combattre le terrorisme dans la région, mais elle a du mal à devenir opérationnelle».
La «Lettre du continent», publication spécialisée sur l’Afrique, a indiqué la semaine dernière que «la force de lutte antiterroriste G5 Sahel, censée être opérationnelle depuis mars, est au point mort». Sur les plus de 400 millions d’euros promis pour financer cette force régionale, seulement 500.000 euros versés par le Rwanda ont été réceptionnés, assure la Lettre. «Le fonds fiduciaire devant gérer les contributions au G5 Sahel reste une coquille vide». «Nous ne sommes pas du tout satisfaits de la compréhension et de l’aide que nous recevons» a déclaré à ce sujet le président mauritanien Ould Abdel Aziz. «Nous pensons aussi qu’au niveau des Nations unies des portes nous sont fermées».
Le quartier général de la Force du G5 Sahel, à Sévaré (Mali) a été pris pour cible le 29 juin par un kamikaze à bord d’une voiture piégée, faisant trois morts dont deux militaires. Censée «gagner la confiance des populations», selon les termes de son secrétaire général, la force a été dénoncée par des associations de défense des droits de l’Homme pour la participation de ses soldats à des exactions ou des massacres. Ainsi, la Mission des Nations unies au Mali (Minusma) a conclu que le 19 mai des éléments du bataillon malien de la force avaient exécuté sommairement douze civils dans un marché au bétail d’un village du centre du pays, après qu’un des leurs y eut été tué. En un an la force conjointe a mené, avec l’appui direct et logistique de la France, trois opérations, dont la dernière s’est achevée début juin, sans résultat plus tangible que les précédentes.
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Ouvert ses portes au Palais des expositions d’El-Koudia à l’entrée de la ville.
Plusieurs modèles assemblés en Algérie sont exposés et mis en vente avec des tarifs remisés,comme il est le cas pour la gamme Hyundai de Cima Motors, et des délais de livraison de 48 heures qui touchent aussi les gammes Kia et Renault.
Organisé par DS Event en partenariat avec Carex (Centre des arts et des expositions Tlemcen), la 3e édition du Salon de l’automobile de Tlemcen a ouvert ses portes au grand public, la participation de TMC / Cima Motors, avec deux marques Hyundai et Suzuki, Kia Al Djazair, Renault Algérie, et GMI (Global Motors Industries)avec sa gamme Hyundai Trucks & Bus assemblée au niveau de l’usine de Batna, ainsi que SARL Cylexx Tlemcen, spécialiste de la moto, distributeur multi-marques de l’Oranie. Le salon de Tlemcen Auto fermera ses portes aujourd’hui.
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Moscou a fait savoir que des drones non identifiés avaient été abattus près de la base aérienne russe de Hmeimim, en Syrie.
La Défense russe a déjà repoussé à plusieurs reprises des attaques de drones contre ses infrastructures en Syrie. Le ministère russe de la Défense a fait savoir, le 1er juillet, qu’un groupe de drones non identifiés avait été abattu par les unitésde défense aérienne russes près de sa basede Hmeimim en Syrie.
Aucune victime ni dommage matériel au niveau des installationsn’a été signalé.Les responsables de cette base aérienne,citées par l’agence de presse russe RiaNovosti, ont expliqué que « toutes les ciblesaériennes » avaient été détruites et que lesobjets volants avaient été détectés dès le 30juin au nord-est de l’installation militairerusse.
Ce n’est pas la première fois que la baseaérienne de Hmeimim, située au sud-est duport de Lattaquié, est prise pour cible pardes avions sans pilote cette année. En mai, le ministère russe de la Défense avaitdéclaré que ses unités avaient abattu undrone près de l’enceinte militaire.En janvier, l’armée russe avait annoncéavoir repoussé 13 attaques de drones chargés d’explosifs menées par des djihadistescontre ses infrastructures en Syrie.
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Par Lakhdar A.
L’Algérie ne cèdera pas aux pressions extérieures des institutions financières internationales qui la poussent vers le piège mortel de l’endettement auprès de pays et de banques qui l’ont mise dans les années 1980 et 1990 dans une situation d’impasse économique et sociale.C’est le sens des propos du ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, sur les ondes de la chaîne 3 dont il était, hier matin, l’invité de la rédaction. Il a réitéré une nouvelle fois, le refus de l’Algérie de recourir au financement (endettement) extérieur, sauf dans des cas exceptionnels «d’investissements forts avec des rendements appréciables». Cela fait plusieurs années que l’Algérie n’a plus recours aux crédits extérieurs et elle continuera à ne pas y recourir. Il a fait savoir que la «construction du grand port centre» d’El Hamdania, à Cherchell, dans la wilaya de Tipaza, « sera financé par un prêt de l’Etat Chinois».
Le ministre des Finances a évoqué la démarche de rationalisation des dépenses publiques car il n’était pas possible, dans la conjoncture de crise, de poursuivre avec le même rythme que ces dernières années. De ce fait, explique-t-il, il fallait un règlement assez particulier au niveau de la rationalisation des dépenses pour pouvoir prendre en charge beaucoup d’aspects socio-économiques de l’Etat algérien. Par ailleurs, interrogé sur le risque inflationniste du recours au financement non conventionnel, M. Raouya s’est voulu rassurant en affirmant que le «risque est mesuré», ajoutant que le gouvernement a «pris l’ensemble des règles de rigueur pour pouvoir maitriser ce financement non conventionnel».
Selon les prévisions, le taux d’inflation, explique le ministre des Finances, se situerait, à peu près, entre 3 et 4% en moyenne, sur toute la période allant de 2018 à 2020. «Pour l’année 2018, nous avons prévu un taux d’inflation de 5,5%, cependant, jusqu’à maintenant, le taux d’inflation tourne autour de 4%», donc, «c’est maîtrisé», a souligné M. Raouya, qui a tenu à rappeler, encore une fois, que ce financement non conventionnel «est beaucoup plus destiné à financer l’investissement», qui «devrait permettre, bien évidemment, une croissance un peu plus soutenu».
«C’est ce qui nous manque encore», a conclu le ministre des Finances qui rappelle que la croissance reste encore tirée par le secteur public. S’agissant du projet de révision de la politique des subventions, qualifié de «un grand chantier»,
M. Raouya a affirmé que «l’Etat ne changera rien aux règles actuelles de sa politique de subvention», tant qu’ «on n’aura pas, explique-t-il, réglé les questions relatives à l’identification des ménages, des montants et comment procéder.»
Une commission planche sur ce dossier, avec l’aide de la Banque mondiale, a informé le ministre. Mais, précise-t-il, rien ne sera fait tant que l’ensemble des paramètres ne seront pas mis en place, la politique de subvention ne sera pas touchée tant que ne sera pas réglée la question de l’identification des ménages, conclut le ministre.
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Par Amar Khelifi.
La présomption de l’adoption à la majorité de la loi de Finances complémentaire 2018 par la Chambre haute, lors d’une session plénière, est donc chose faite depuis ce dimanche, à la grande satisfaction du ministre des Finances, qui verra dans les mesures qu’il a arrêté, enfin la possibilité d’équilibrer financièrement ses budgets, et les investissements publics, en attendant la confection de la loi de Finances 2019, dans le but de parachever les projets de développement, d’en planifier de nouveaux aux fins d’enregistrer une bien meilleure croissance économique.Cette loi de Finances complémentaire comporte un volet essentiel qui n’est autre que la suppression de l’article 6. Cet article qui porte sur l’annulation de l’exonération de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), accordée aux vendeurs de véhicules produits localement. Cette taxe est fixée à 19%. Autre originalité : «L’assemblée jouit de toute la souveraineté et des prérogatives dans la prise de mesures adéquates», a déclaré à la presse le ministre des Finances M. Raouya en marge de la séance de vote. Ainsi la loi de Finances complémentaire 2018 maintient les acquis sociaux.
Les subventions aux produits de première nécessité, la gratuité des soins et l’annulation de nouvelles taxes soulageront de toute évidence les pertes subies par les ménages, en termes de pouvoir d’achats, sans apporter toutefois un réajustement des revenus consécutifs aux mécanismes inflationnistes, de plus en plus insupportables pour les smicards, et la classe moyenne. Le commerce extérieur responsable pour une grande partie de l’hémorragie de la balance commerciale, a vu l’application d’un droit additionnel, quoique qualifié de provisoire et de sauvegarde, sur toutes les marchandises importées variant entre 30% et 200%, laquelle taxe sera perçu en sus des droits de douane.
Pour l’instant la liste des produits concernés par cette mesure, et des taux prévus pour chaque produit n’a pas été rendue publique. Les autorités déclarent que la désignation des marchandises ciblées «se fera après avis de la Commission consultative intersectorielle chargée du suivi des mesures de sauvegarde. Cette mesure vise à contribuer, à la fois, au rééquilibrage de la balance des paiements qui connaît un grave déficit, à la relance de la production nationale et à la sauvegarde de l’outil de production», précise la dépêche de l’APS, poursuivant le communiqué indique que «dans le domaine commercial, toute vente de biens ou prestation de services, effectuée entre les agents économiques exerçant les activités citées à l’article 2 de la loi de 2004 relative aux pratiques commerciales, doit faire l’objet d’une facture ou d’un document en tenant lieu, ce qui n’est pas nouveau». Ce qui est en revanche inédit est que les ventes de biens ou les prestations de services faites au consommateur, doivent faire l’objet d’un ticket de caisse, ou d’un bon justifiant la transaction. Il y a de quoi rester dubitatif quant au respect de ces mesures par nos commerçants.
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Par Lakhdar A.
Les flux migratoires que connait le continent africain sont à traiter à partir de leurs causes d’origine et cela exige de tous les pays concernés, qu’ils s’engagent collectivement dans une démarche synergique pour les prendre en charge.C’est la position de l’Algérie exprimée par Noureddine Ayadi, secrétaire général du MAE et chef de la délégation algérienne à la 33e session du Conseil exécutif des ministres des Affaires étrangères de l’Union africaine (en préparation du 32ème sommet des chefs d’Etat et de gouvernement africains, qui a commencé hier à Nouakchott et se termine aujourd’hui). L’Algérie est parmi les pays qui accueillent ces populations, vulnérables et fragiles, de migrants, poussés vers l’exil par les nombreux conflits et crises qui éclatent en Afrique.
La solution à ce fléau de la migration clandestine repose sur une stratégie faite d’actions énergiques au plan socioéconomique, mais aussi au plan politique. La solution n’est pas dans l’ouverture d’une quelconque zone de rétention dans un des pays de l’Afrique du nord, une solution du reste rejetée par l’Algérie qui appelle, en même temps, à lutter contre la migration clandestine, dans le cadre des conventions des Nations unies, dans le cadre de l’arrangement avec les pays d’origine et les pays de transit.
La question migratoire, jugée très complexe par les observateurs sérieux, exige la concertation entre les différents pays et institutions afin de prendre les mesures adéquates et lui trouver une issue durable. En attendant, l’Algérie en tant que pays d’accueil et de transit, ne ménage aucun effort, au prix d’énormes sacrifices, pour apporter tout le soutien nécessaire et prendre en charge les migrants se trouvant sur son territoire.
La preuve en est donnée par le témoignage du représentant de l’Organisation internationale de migration en Algérie (OIM), Pascal Reyntjens, qui a salué récemment les efforts et le travail déployés dans ce sens par le Croissant Rouge algérien (CRA) et plus généralement par les autorités algériennes. Les reconductions aux frontières effectuées par les autorités algériennes se font selon des arrangements avec les pays voisins concernés.
Contrairement aux allégations de médias qui ont fait état de mauvais traitements infligés aux migrants en Algérie, ce témoignage délivré par Pascal Reyntjens, son responsable, met en lumière l’action humanitaire de notre pays notamment au niveau de ses frontières partagées avec les pays du Sahel, et son engagement très fort et permanent en faveur des populations en détresse. A ceux qui refusent de voir le travail accompli dans un contexte très difficile par les autorités algériennes, Pascal Reyntjens a délivré un message exemplaire d’honnêteté.
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Par Kharroubi Habib.
La sommation accompagnée de la menace de représailles économiques américaines faite par Donald Trump aux pays s’approvisionnant en pétrole iranien d’avoir à cesser de le faire a été accueillie par les experts comme allant provoquer un emballement irrépressible des marchés pétroliers qui propulserait le prix du baril à des hauteurs qui ne se sont jamais vues. Ils se sont d’autant convaincus que cela allait advenir que la sommation américaine a été faite dans le contexte d’un marché pétrolier déjà perturbé par la menace d’un rétrécissement de l’offre induite par les réductions à l’exportation des pétroles vénézuélien et libyen et par la décision de l’OPEP en accord avec ses partenaires hors cartel de ne pas ouvrir grandes les vannes.Depuis cependant le prix du baril a grimpé jusqu’à frôler les 80 dollars, sans que cela soit annonciateur du grand emballement annoncé. Il y a en effet que les craintes soulevées dans les milieux pétroliers par la sommation américaine ont été calmées par l’annonce faite par les autorités saoudiennes de la disponibilité de leur pays à augmenter sa production pétrolière pour éponger le déficit de l’offre qu’un tel contexte pourrait entraîner. Ryad qui ne peut que satisfaire la guerre économique totale déclarée par Donald Trump a positivement répondu à la demande qu’il lui a adressée de faire cette annonce pour rassurer les marchés pétroliers.
Les Etats-Unis veulent certes imposer une fermeture totale du robinet iranien, mais pas qu’elle s’accompagne d’une flambée des prix sur les marchés. Mission a été donc dévolue à la monarchie pétrolière arabe de faire cavalier seul et ne plus s’estimer tenue au respect des décisions de l’OPEP.
Tout en visant à asphyxier la République islamique avec l’intention que cela aura pour conséquence l’effondrement de son régime, Donald Trump est également dans celle d’en finir avec le cartel pétrolier qu’il estime poursuivre une politique contraire aux intérêts de l’Amérique en la matière. L’Arabie Saoudite qui a tout à gagner avec des prix du pétrole approchant la barre des 100 dollars et allant même au-dessus fera néanmoins ce que Donald Trump lui a demandé. Ryad subordonne en effet tous ses actes et initiatives à l’impératif que les Al Saoud se sont fixé : celui d’abattre le régime iranien et de mettre fin aux prétendues ingérences iraniennes dans le monde arabe.
La guerre économique déclarée à l’Iran par l’Amérique en collusion avec la monarchie wahhabite est préparatoire à celle militaire qu’envisage l’axe anti-iranien qu’ont formé Washington, Tel-Aviv et Ryad. Celle-ci se produira inéluctablement quand apparaîtront en Iran les signes indicateurs que la population iranienne lasse de la situation provoquée par les sanctions économiques en viendrait elle-même à vouloir un changement de régime. L’agitation contestatrice qui a secoué le fameux bazar de Téhéran il y a quelques jours a probablement conforté l’axe en question dans sa résolution d’en finir par tous les moyens avec la République islamique et à accentuer la pression internationalement pour que cet objectif soit accepté comme étant rendu « inévitable et indispensable » pour un retour à une situation moins conflictuellement imprévisible au Moyen-Orient.
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Par Madjid Berkane.
L’Algérie dépend encore des marchés extérieurs pour plusieurs produits. L’Etat recourt aux subventions pour permettre aux ménages d’acquérir certains produits alimentaires.
La sécurité alimentaire est encore un objectif à atteindre pour l’Algérie. «La situation de la sécurité alimentaire en Algérie est marquée encore par beaucoup de fragilités liées notamment à la dépendance aux marchés extérieurs et au recours aux subventions publiques», c’est ce qui est ressorti de l’étude présentée hier à Alger par des chercheurs du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread).
La directrice de la division agriculture et environnement au Cread, Amel Bouzid, qui a présenté l’étude en question, a indiqué que le taux de couverture de la production locale des besoins du marché algérien sont de 30% seulement pour les céréales, 30% pour le lait, 5% pour les huiles alimentaires et 0% pour le sucre.
«Dans les décennies futures, l’Algérie sera de plus en plus dans l’incapacité de poursuivre dans la même voie et de recourir aux mêmes solutions, car, au-delà des risques liés à la volatilité des prix sur les marchés internationaux, qui constitue une variable externe non maîtrisable, il y aura un risque aggravé lié au changement climatique qui créera davantage de difficultés au secteur agricole domestique pour garantir le maintien des taux de croissance actuels», a averti en outre Amel Bouzid.
Concernant les possibilités d’accès des ménages à l’alimentation, l’étude note que celles-ci ont été renforcées par les politiques menées en vue de favoriser l’emploi et donc les revenus pour les ménages, à travers des investissements massifs dans les grands chantiers d’extension et de modernisation des infrastructures, la promotion de l’habitat, le développement du crédit à l’investissement et le soutien des projets de développement rural dans les communes les plus pauvres et enclavées. Toutefois, des poches de pauvreté subsistent encore tant en milieu urbain qu’en zone rurale, selon l’étude, précisant qu’il y aurait 1 256 165 ménages considérés comme démunis et nécessitant une aide directe, d’après les données collectées dans 40 wilayas.
En outre, l’accès à une alimentation suffisante et saine reste insuffisant pour les titulaires de faibles revenus, vu le prix relativement cher des viandes, des fruits et légumes.
S’agissant du critère de la qualité, la ration alimentaire est déséquilibrée, car la place occupée par les blés est très importante et celle des protéines et des matières grasses encore trop basse, ce qui conduit à la hausse des maladies non transmissibles. L’étude présentée hier s’est intéressée particulièrement, a fait remarquer en outre la directrice, aux facteurs et stratégies pouvant avoir une forte influence sur la disponibilité des aliments, les possibilités d’accès à ces aliments pour l’ensemble des catégories sociales, ses formes d’utilisation ainsi que la durabilité de l’état de sécurité alimentaire.
A ce propos, l’étude souligne que la croissance effective des disponibilités en produits agricoles, par l’accroissement des rendements et l’extension des superficies cultivées, est encore insuffisante notamment pour les produits de base tels que les blés, les légumineuses et le lait, alors que ces déficits structurels constatés ont été comblés par des importations de plus en plus massives. «L’accroissement de la production agricole, même s’il reflète l’effort considérable engagé, reste toujours bien en-deçà d’une demande croissante deux fois plus rapidement durant la même période, sous le double effet de la reprise de la croissance démographique et de l’amélioration des revenus moyens des ménages, d’où le creusement de l’écart entre l’offre et la demande, imposant une hausse continue des volumes des denrées alimentaires importées», note cette étude.
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Par S. M.
Couloir vert pour les familles motorisées, les malades et les personnes âgées, brigades navigantes, assouplissement des procédures administratives de traitement des titres de passage en douane (TPD), réduction du délai de traitement des voyageurs à moins de deux minutes, bureaux d’accueil, numéro vert la direction régionale des Douanes algériennes a mis en place un dispositif de facilitation des formalités douanières pour nos ressortissants, résidant à l’étranger. La responsable de la Communication de cette direction révèle que ce dispositif « spécial saison estivale » désormais opérationnel dans les ports et aéroports de la région ouest a été élaboré sur instruction de la DG des Douanes pour accueillir nos expatriés dans les meilleures conditions. Le couloir vert permet notamment aux familles, aux personnes à capacité réduite et aux personnes âgées de bénéficier d’un traitement privilégié sans contrôle et d’accélérer leur passage aux postes frontaliers.Ces mesures de facilitation des formalités douanières visent à épargner à nos compatriotes émigrés les tracasseries bureaucratiques de traitement des voyageurs. Les titres de passage en douane (TPD) comportant, entre autres, l’identification du véhicule et ses caractéristiques techniques ainsi que les déclarations de contrôle de change sont téléchargeables sur le site «web» des Douanes et sont en outre remplis au bord des car-ferries pour réduire le temps de débarquement. Selon la même source, le temps de traitement des voyageurs ne dépasse guère, cette année, une minute quarante secondes.
La direction des Douanes a, aussi, mis en place plusieurs scanners, au port et à l’aéroport d’Oran, afin de permettre une meilleure fluidité du contrôle des passagers et des véhicules. Un numéro vert et une ligne directe de la DG des Douanes algériennes sont, également, mis à la disposition des voyageurs pour les réclamations. Il est à noter que l’établissement portuaire d’Oran accueille, à chaque saison estivale, des milliers d’émigrés qui rentrent au bled, le temps des vacances d’été.
La majorité des expatriés algériens préfèrent prendre le bateau, un moyen de transport plus économique que l’avion, pour se rendre en Algérie.
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Par A. Mallem.
120.800 est le nombre de retraités de la wilaya de Constantine affiliés actuellement à la Caisse nationale de retraite (CNR). Ce chiffre a été donné hier par M. Beddiar Badreddine, directeur de l’agence CNR de Constantine, à l’occasion des journées portes ouvertes sur la retraite qui ont débuté hier au palais de la culture Malek Haddad de Constantine pour durer 3 jours, du 2 au 4 juillet 2018. Selon le directeur de l’agence CNR de Constantine, « ce sont d’abord des journées d’information pour les retraités afin de leur faire connaître certains avantages que la CNR leur offre, en premier lieu des explications sur les revalorisations des pensions intervenues en 2018. Nous avons fait à ce sujet un exposé écrit sur la question que nos agents vont expliquer aux visiteurs pour apporter des clarifications sur les taux appliqués à ces revalorisations ». Il s’agit aussi, selon M. Beddiar, de faire part aux retraités des avancées réalisées par la CNR en matière de gestion des retraites, notamment des nouvelles technologies, plus spécialement la nouvelle application Android qui est téléchargeable gratuitement sur «Play Store ».Et dans ce cadre, notre interlocuteur a expliqué que chaque affilié disposera d’un code par lequel il pourra s’introduire dans cette application et obtenir des explications.
« Cette application est valable aussi bien pour les retraités inscrits actuellement à la caisse que pour les futurs retraités, a-t-il souligné, en indiquant que ces derniers qui déposent leur dossier de retraite pourront savoir quelles sont les étapes à franchir à partir de l’étape de la liquidation jusqu’à sa mise en paiement. L’application permettra aussi la géolocalisation de l’agence et de ses centres d’accueil ».
A travers ces portes ouvertes, la CNR cherche aussi à sensibiliser les retraités et les amener à opter pour le canal bancaire. Dans ce cadre, il suffit au retraité de communiquer à la caisse la banque de son choix et le numéro de son compte bancaire et la CNR lui versera sa pension dans ce compte. L’autre objectif visé par la CNR tend à sensibiliser également les retraités pour les amener à renouveler leurs documents administratifs et d’état civil afin de connaître leur situation actuelle et celle relative à leurs ressources financières. « On aimerait bien les informer sur la ligne verte 3011 qui est mise à leur disposition et qu’ils pourront joindre à partir d’un téléphone fixe. Au bout, ils trouveront un technicien de la caisse qui pourra répondre à leurs questionnements et satisfaire leurs demandes d’informations », a ajouté M. Beddiar. A côté de cette ligne, il indiquera la mise en place d’une « opération SMS » pour pouvoir entrer en contact avec les retraités dans des délais très courts et communiquer avec eux. Et cette méthode est de nature à leur éviter beaucoup de désagréments, notamment les longs déplacements et ce qui s’ensuit, etc. « Et le retraité pourra se rendre compte de tout cela au niveau des stands installés dans le hall du palais de la culture Malek Haddad durant ces trois journées », a conclu le directeur de wilaya.
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Par J. Boukraa.
L’École supérieure d’hôtellerie, tourisme et de restauration va ouvrir ses portes durant ce mois de juillet, a-t-on appris de la direction du tourisme. Cette nouvelle structure, première du genre au niveau de la région ouest du pays, érigée sur le site de l’ancienne base de vie se trouvant juste à côté de l’hôtel « Le Méridien », dédiée à la promotion du tourisme d’excellence, vient à point nommé, surtout que la wilaya d’Oran et toute la région, connait depuis quelques années un bond quantitatif et qualitatif dans les structures d’hébergement et autres structures ayant un rapport avec le tourisme. L’école offre 200 postes pédagogiques dans différentes formations de qualité, à titre d’exemple des mastères et des doctorats en tourisme et en gestion hôtelière. Les formations qui seront proposées permettront aux étudiants d’accéder au marché de l’emploi, apportant une compétitivité considérable pour démarrer une carrière avec succès.Cette structure offre aussi un espace extérieur avec des cafés, des restaurants, ouverts au public qui souhaite déguster les plats et autres entremets préparés par les étudiants de l’école. A Oran, 174 projets hôteliers et touristique sont en cours de réalisation. La wilaya verra ainsi son parc renforcé par 27.000 unités réparties sur plusieurs communes. Ce sont près de 10.000 emplois qui sont prévus d’ici les Jeux méditerranéens de 2021 dans la wilaya d’Oran, un atout et un dynamisme qui devraient avoir un impact sur la croissance de toute la région et bien au-delà.
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Par Abdellatif Toualbia.
le pauvre magistrat était assis sur le banc des accusés où on voyait pêle- mêle des voleurs à la tire, des soûlards, des gens pris le joint aux lèvres, et autres malfrats à la peau dure! Un spectacle désolant.
Que d’eau a coulé sous les ponts alors que des questions étaient posées autour des condamnations de magistrats lynchés au bon moment sous le prétexte de nettoyage par le vide de la magistrature en pleine réforme de la justice, alors que le moment était à la trêve entre la chancellerie et les magistrats que l’opinion publique vouait aux gémonies! Aucune frange de la société n’aimait les juges, les procureurs, les greffiers et même les notaires, les huissiers et ô! comble de l’ironie, même les… deux seuls jurés du tribunal criminel rétabli sur la voie de l’honneur et de la rectitude par l’exemplaire Tayeb Louh, ministre de la Justice, garde des Sceaux en qui le président de la République avait placé une confiance aveugle car le ministre savait ce que voulait dire la répression contre un magistrat. L’affaire du jour a touché un juge inculpé car il ne voulait pas dire oui à un tour de passe-passe que seuls les gens malhonnêtes trouvaient faisables! Bref!Passons et entrons directement dans le processus de liquidation d’un magistrat dont la conscience ne voulait pas qu’il se mouille!
Ahmed S. était un fougueux juge, nommé président de la défunte chambre administrative d’Alger, un poste dévolu aux seuls juges courageux, compétents, loyaux et propres! Il bossait comme quatre et les chefs de la cour d’Alger le savaient bien, très bien même.
Pourtant, le ciel lui tomba sur la tête, le corps et les quatre membres. D’abord, il était près de 14 heures lorsqu’un cri inhumain déchira l’air du 5e étage de la cour. Le silence qui prévalait jusque-là avait été troué carrément par le bruit de pas et de souliers des gens qui accouraient de toutes parts. Une greffière cependant courait en tenant sa robe visiblement arrachée violemment par on ne sut, sur le moment, qui! Le procureur général près la cour d’ Alger était monté du 3e étage s’enquérir de la situation. Un cri d’animal blessé venait d’être poussé et on ne sut pas pourquoi ni comment! Arrivés devant une porte où la femme s’était arrêtée, les employés et six policiers venaient de voir de qui il s’agissait, mais ne dirent pas un mot, le procureur général s’avançait le pas léger et le port droit comme seuls les magistrats de fer savent le faire!
La fille fut abordée par le procureur qui ne s’attendait pas à la réponse de la greffière qui marmonna entre ses grosses mâchoires inondées de larmes argentées: «C’est lui qui a voulu me violer!».
Le chef de cour resta interdit, puis s’exclama, furieux, mais décidé à connaître la vérité, toute la vérité comme cherchent à savoir les magistrats en charge d’un dossier donné.
«C’est lui, qui? Répond malheureuse!», articula le procureur général qui allait être fixé quand l’employée rétorqua: «Si Ahmed, c’est lui, le président de chambre!».
Le magistrat ordonna à l’employée de le suivre au bureau de Ahmed. S. le magistrat dénoncé par sa greffière. La nouvelle fit le tour du Palais de justice des rues Abane-Ramdane et de la Liberté. Alors là, radiotrottoir fit des siennes. L’opinion publique se saisit du «dossier» et le jugement fut donné par les partisans des ouï-dire! Ahmed. S. fut aussitôt suspendu de ses fonctions et la lourde, mais inexorable machine judiciaire se mit en branle contre un grand magistrat qui n’a même pas bénéficié de la présomption d’innocence! Le dossier prit le chemin de l’exécrable «cour» où les suspects n’ont aucune chance de s’en tirer.
Le jour du procès, le pauvre magistrat était assis sur le banc des accusés et inculpés où on voyait pêle- mêle des voleurs à la tire, des soûlards, des gens pris le joint aux lèvres, des auteurs de coups sur ascendants ou sur les épouses, des faussaires, et autres malfrats à la peau dure! Un spectacle désolant pour celui qui connaissait l’ancien magistrat massif, jovial et courtois, aujourd’hui un inculpé au visage livide.
Il faut vite préciser que la crainte d’un verdict lourd a rendu cet exemplaire juge, un malfaiteur sans honte, prêt à payer lourdement le prix d’une forfaiture (qu’il repousse) sans égal; vous vous rendez compte de ce qui s’ est passé en un laps de temps!
Il est temps de passer au procès qui a été expéditif et «méchant» car l’inculpation elle-même ne tenait pas debout, mais que voulez-vous? Le président qui a «fait» l’affaire était tenu par l’ ordonnance de renvoi, un point c’est tout! Le verdict aura été de trois ans d’emprisonnement ferme… avec ô! suprême humiliation, un mariage forcé dont nous ne saurions vous dire s’il a tenu ou pas car le condamné était père d’enfants scolarisés!
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Par M. Aziza.
Le directeur des Programmes de l’Organisation internationale de la réforme pénale, pour la zone du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA), Mohamed Chabana, a plaidé pour l’élargissement des prérogatives du Bureau des Droits de l’Homme, au sein de la DGSN, créé l’an dernier, sous l’ère de l’ex-directeur général de la police, le général Abdelghani Hamel, démis récemment de ses fonctions.Intervenant hier, lors d’une session de formation, sur la protection des droits des personnes, durant la garde à vue, au profit de la police judiciaire, tenue à l’hôtel El-Djazair’, Mohamed Chabana a salué l’initiative relative à la création d’un bureau des Droits de l’Homme au sein de la DGSN qui a été inauguré, en juillet dernier ( 2017). Il a affirmé, dans ce sens, que la création de ce bureau et l’élaboration d’un code de la déontologie policière qui consacre un chapitre au respect des Droits de l’Homme, est un grand pas pour garantir la protection des Droits de l’Homme, que ce soit dans le milieu carcéral ou ailleurs. Mais, il a préconisé l’élargissement des prérogatives de ce bureau, soit par l’installation d’annexes affiliées à ce bureau, dans chaque Sûreté, à travers le pays, ou désigner un délégué qui sera chargé de recevoir et de traiter les plaintes à travers toutes les willayas du pays. Une décentralisation qui permettra aux citoyens d’avoir un contact direct avec la police et une façon de les encourager à dénoncer toute sorte de violation des lois garantissant les Droits de l’Homme.
Bien que certaines informations relayées par la presse évoquent, parfois, des cas de dépassements et violation des lois, dans le cadre de la détention préventive et la garde à vue, la présidente Mme Ben Zerrouki Fafa Sid Lakhdar, présidente du Conseil national des Droits de l’Homme (CNDH) a affirmé pour sa part, que « que le conseil n’a reçu aucune plainte du genre jusqu’à ce jour. » Elle a, justement, lancé un appel à toute personne victime d’abus ou de dépassements, à saisir le Conseil, par courrier ou par fax, par mail ou en se déplaçant au siège du Conseil. En rappelant que lors de la garde à vue, la gendarmerie et la police judiciaire devront se soumettre à la loi et respecter les droits des personnes concernées.
En précisant que la garde à vue, qui ne doit pas dépasser 48 heures, sauf pour quelques exceptions, est sous le contrôle du procureur de la République. Et d’affirmer que la personne concernée, a le droit de contacter sa famille, son avocat, demander une expertise médicale (le concerné peut même choisir son médecin). Elle a, également, affirmé que cette procédure est obligatoire, pour les mineurs avec la possibilité de permettre aux personnes détenues de manger et de se reposer. La présidente du Conseil a réitéré son appel en affirmant que le Conseil est celui des Droits de l’Homme et pas, seulement, des Algériens. Elle a tenu à rappeler que le siège du Conseil est ouvert à toute personne qui se trouve sur le territoire algérien y compris les migrants. Et d’affirmer que le Conseil des Droits de l’Homme existe à travers ses délégations régionales qui sont au nombre de 5, où les délégués sont des membres du Conseil national.
La présidente a affirmé que le Conseil des Droits de l’Homme qu’elle dirige a conclu un partenariat, conformément à ses prérogatives avec Penal Réform International’, une organisation non gouvernementale, financée par l’ambassade du Royaume-Uni, pour justement renforcer les capacités des officiers de la police judiciaire en Algérie. Et d’affirmer que « nous avons entamé une série d’ateliers, depuis le 24 mai dernier, qui a commencé à Oran et qui se poursuit », dit-elle « des sessions de formation qui ont eu lieu, à Bejaia, Jijel . On est, aujourd’hui, à la troisième phase du partenariat», affirme-t-elle.
Liz Stokes, Première Secrétaire de l’ambassade du Royaume-Uni, à Alger, a affirmé que cette convention entre dans le cadre de la coopération continue, entre les deux pays, dans le domaine pénitentiaire et date de 2006. Le Royaume-Uni contribue, financièrement et techniquement, à la formation que ce soit du personnel de l’administration ou personnel pénitentiaire, en élargissant les sessions de formation aux policiers et aux gendarmes, pour les aider à renforcer leurs capacités, notamment en matière de respect des Droits l’Homme. La première secrétaire de l’ambassade du Royaume-Uni a exprimé sa satisfaction pour la prise en charge et le traitement humain, réservés aux femmes-enfants, dans la prison de Kolea, suite à sa visite sur les lieux.
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Par Arezki Slimani.
L’espace dégagé après la délocalisation des commerçants des Quatre Chemins, installés jadis sous les ponts de l’échangeur, sera aménagé en parking.
C’est ce qu’a indiqué hier, un communiqué de la cellule de communication de la wilaya, qui précise dans ce sens que «la wilaya de Béjaïa lance un concours d’idées pour l’aménagement des espaces verts ainsi que la réalisation d’un parking à l’entrée de la ville de Béjaïa, précisément au niveau du site de l’échangeur des Quatre Chemins».
«Le concours est ouvert à tous les professionnels intéressés: architectes, urbanistes, architectes-paysagistes, designers, éclairagistes, scénographes, artistes», ajoute-t-on dans le communiqué où il a été souligné que «le concours d’idées aspire à réenchanter ce lieu à l’attention des touristes, des Béjaouis et des riverains». «Le règlement détaillé sera disponible prochainement sur cette page et l’espace pour déposer votre projet sera déterminé aussi en même temps. Dans le même ordre d’idées, un appel a été lancé aux investisseurs privés pour se rapprocher des services de la wilaya afin de déposer leurs demandes pour un investissement touristique». Il s’agit de la réalisation d’infrastructures touristiques au niveau de la région paradisiaque de Oued Dass, qui a été récemment nettoyée et récupérée après l’opération de démolition des constructions illicites, entamée par les autorités locales». «La priorité sera donnée aux investisseurs privés la wilaya de Béjaïa», insiste-t-on dans un autre communiqué. Deux bonnes initiatives qui ont pour objectif de concrétiser une démarche de réappropriation des biens collectifs et de les soutirer des mains des prédateurs, dont l’activité n’est d’aucun apport pour la région et ne correspond nullement à la vocation touristique de Béjaïa. Cette wilaya qui fait face à de nombreuses insuffisances, tente de soigner son image de marque par des mesures salutaires, à l’instar de celles qui viennent d’êtres prises, pour peu qu’elles soient menées jusqu’au bout.
D’autres sites autrement plus importants méritent d’être reconsidérés.La wilaya de Béjaïa a tout à gagner en réaménageant dans la sérénité, de nombreux espaces, autant sur le plan urbanistique que sur celui de l’activité.
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