M’SILA – Huit (8) projets d’investissement dans la wilaya de M’sila ont été annulés pour « non-respect du cahier de charges » par leurs détenteurs, apprend-on mercredi auprès des services de la wilaya.
Cette annulation a été motivée par le retard dans le lancement des travaux fixés dans le cahier à six mois, « délais largement dépassés », ont précisé les mêmes services qui ont indiqué qu’une commission de suivi et d’évaluation des projets d’investissement dans la wilaya a été installée pour contrôler le respect des dispositions prévues par les cahiers de charge par les détenteurs de projets.
Cette mesure a été prise suite à la constatation par le wali Hadj Mokdad lors de ses sorties d’inspection la réalisation de clôture autour de lots de terrain obtenus dans le cadre de la promotion de l’investissement sans engager les travaux en vue de la spéculation, selon les mêmes services.
Pas moins de 87 projets d’investissement ont été concrétisés dans la wilaya au cours des deux dernières années dans les domaines du bâtiment, des travaux publics et l’agroalimentaire ayant permis la création de plus de 1000 emplois, notamment à M’sila, Boussaâda, Sidi Aïssa et Magra, a ajouté la même source.
Les mêmes services ont fait état de 200 dossiers d’investissement déposés dans la wilaya dont plus de 100 ont été étudiés en attendant l’octroi des arrêtés de concessions dans « les plus proches délais ».
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L’affaire du meurtre d’un nouveau-né qui a secoué le quartier de Sidi Salem, à Annaba, jeudi dernier a été élucidée. L’auteur n’est autre que la mère de ce bébé, une fillette, qui a fait usage d’une pelle pour commettre son crime. En effet, il s’agit d’une femme célibataire de 17 ans, qui a avoué devant les enquêteurs. Cette mère n’a pas regretté son acte. « Je n’en voulais pas de cette chose, dès que je l’ai mise au monde, je l’ai tué avec une pelle», avoue-t-elle devant les enquêteurs de la police tous les détails de cet infanticide. Ces derniers ont eu aussi toutes les preuves confirmant « que cette femme était bien consciente et lucide au moment des faits ». Résidant au quartier Bouzaroura, dans la commune d’El Bouni, la jeune femme a été en relation secrète avec son amant, cette mère-meurtrière est tombée enceinte. Mais elle n’a pas avorté. Elle a réussi à garder cette grossesse secrète jusqu’au moment de l’accouchement. L’enquête se poursuivra certainement en vue d’arriver à d’éventuels complices qui auraient aidé cette adolescente, d’abord à cacher la grossesse et ensuite à accoucher, tuer et tenter de brouiller les pistes du meurtre.
Nadine
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ALGER- Le groupe Sonelgaz aspire à une prise en charge « effective » et « efficiente » de la sureté interne de ses établissements (SIE) tout en rationalisant des moyens mis en oeuvre à cet effet au niveau de chaque établissement, a indiqué mercredi à Alger le P-dg du groupe public, ohamed Arkab.
» L’optimisation et la rationalisation des moyens devraient se concrétiser sur le terrain par une utilisation parcimonieuse et rigoureuse des moyens techniques et humains qui sont indispensables pour la sécurisation des établissements en veillant à la juste mesure tout en ayant à l’esprit la situation financière des entreprises économiques publiques », a déclaré M. Arkab lors d’une journée d’étude régionale sur la SIE.
Cette journée a vu la présence notamment du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, des représentants de la gendarmerie nationale et du ministère de l’Energie, ainsi que des responsables de la SIE des filiales de sonelgaz (Alger, Tipaza, Boumerdes, Bouira et Tizi Ouzou).
Dans son discours présenté à l’ouverture des travaux de cette rencontre, organisée sous le thème la SIE : « Nécessité de la coordination des efforts pour une mise en £uvre rationnelle », le premier responsable de Sonelgaz a appelé à une concertation et une coordination entre tous les acteurs concernés par ce volet pour formuler des recommandations pratiques afin d’enrichir la prise en charge de la SIE conformément aux dispositions réglementaires en vigueur.
M.Arkab a estimé dans ce sens que ces dispositions réglementaires nécessitent probablement une mise à jour et un enrichissement à la lumière de la bonne situation sécuritaire du pays, tout en y introduisant l’utilisation optimale des nouvelles technologies dans la sécurisation et la surveillance des infrastructures.
Il a insisté sur l’intérêt de telles reconcentres qui permettent à tous les acteurs institutionnels de la fonction sûreté interne des établissements ainsi qu’à ceux chargés de cette même fonction au sein des sociétés du groupe Sonelgaz d’échanger leurs avis et de discuter des difficultés pouvant survenir lors de la mise en oeuvre des dispositions légales et des mesures réglementaires régissant la SIE.
Interrogé par la presse, en marge des travaux de cette journée, sur la stratégie de son groupe concernant la SIE, M. Arkab a assuré que Sonelgaz a toujours fait de ce volet, au sein de toutes ses sociétés, une fonction organique et permanente inscrite dans l’organisation et le fonctionnement de l’établissement au même titre que les autres fonctions. ‘
« Le défi pour nous actuellement, c’est de préserver et sécuriser les infrastructures énergétiques ainsi que les biens et les personnes, en introduisant les nouvelles technologies pour perfectionner son système de sureté, en veillant toutefois à la rationalisation des dépenses « , a-t-il résumé.
Concernant le pillage des câbles et le branchement illicite qui risquent de peser sur la situation financière de l’entreprise, le P-dg de Sonelgaz a répondu que son groupe a constitué des brigades d’énergie pour contrôler les réseaux et intervenir rapidement en cas de vol ou d’infractions.
Il a toutefois affirmé que le nombre des branchements illicites a diminué avec les opérations de relogement des habitants des bidonvilles et des habitats précaires qui constituaient pour Sonelgaz « une source de fraude ».
» Actuellement, le nombre des infractions liées au branchement illicite avoisine les 4.000″, a-t-il avancé.
A une question sur une éventuelle augmentation des tarifs de l’électricité, le premier responsable de Sonelgaz a affirmé que cela ne relève pas de ses prérogatives et que seule la Commission de régulation de l’électricité (Creg) est habilitée à faire une telle proposition.
» En tant que Pdg du groupe Sonalgaz, j’ai simplement déclaré que la production et la distribution de l’électricité est onéreuse », a-t-il expliqué, estimant par ailleurs que « la solution ne réside pas uniquement dans l’augmentation des tarifs ».
« Outre la révision des tarifs, il y a lieu de réviser la gestion de l’entreprise pour rationaliser ses dépenses depuis la production jusqu’à la distribution », a-t-il souligné.
A propos des investissements du groupe en Afrique, M. Arkab a évoqué les contrats liant son groupe aux pays voisins notamment la Tunisie et le Maroc pour les approvisionner en électricité.
En outre, le groupe ambitionne d’étendre ses opérations commerciales à d’autres pays africains à des prix « étudiés ».
« Sonelgaz est parvenue à produire ses propres équipements au niveau local ce qu’il lui permet de proposer aux pays du Continent des solutions globales tels le transport de l’électricité à travers les câbles à haute tension avec des moyens algériens », s’est-il félicité, en citant entre autres l’usine de production des turbines d’énergie électrique de Batna qui devrait entrer en production en 2019.
A ce propos, il a annoncé des négociations avec des partenaires africains devraient permettre à Sonelgaz la réalisation de réseau électrique dans certains de ces pays avant 2020.
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Nombreux sont les Algériens qui optent pour le sud du pays pour passer les fêtes de fin d’année. Une destination autrefois préférée des touristes étrangers qui ne voulaient pour rien au monde rater l’occasion de passer à une nouvelle année au milieu des dunes de sable dans une ambiance festive. Et voilà maintenant que les Algériens se tournent vers le désert pour fêter le réveillon, après l’avoir longtemps « boudé » en faveur de la Tunisie. Reste à savoir si c’est un choix ou une alternative.
Les agences de voyages que nous avons contactées proposent toutes des offres pour le Sud. C’est le cas de l’agence Necib tourisme qui, pour cette année, propose Timimoun, l’oasis rouge au potentiel touristique riche et varié qui continue toujours d’inspirer poètes et artistes. « Pour un séjour de cinq jours et quatre nuitées, dans un hôtel trois étoiles, c’est 48 000 DA », nous fait savoir notre interlocutrice, avant d’ajouter : « Nous affichons complet ! », une manière de nous dire qu’il fallait réserver plus tôt. Néanmoins, le prix est jugé cher par plus d’un. « Ça vaut le coup de passer les derniers jours de l’année en toute sérénité dans la perle du Gourara, nous avons fait des économies pour y être présent », répondent, ajoute-t-elle, nos clients.
Biskra, une autre destination que l’agence propose pour le réveillon 2019. « Pour 28 500 DA, vous allez passer un réveillon de rêve », nous signale-t-elle, mettant en avant le programme mis sur pied pour l’occasion, citant entre autres les visites guidées sur plusieurs sites touristiques et une soirée de fin d’année bien animée. « Le nombre de demandeurs de la destination Sud a connu une augmentation significative en comparaison avec les années précédentes », témoigne-t-elle, indiquant que l’agence propose également des voyages en Turquie. Même constat du côté de l’agence Dune voyage qui affiche complet pour Djanet, l’oasis touristique par excellence. Selon les représentants de cette agence, l’augmentation des tarifs pour les destinations à l’étranger, notamment en Turquie (137 999 DA), a fait que les Algériens se sont tournés vers le tourisme local. La Tunisie, destination phare des Algériens en été, mais également en cette fin d’année, surtout que le prix est à la portée des bourses moyennes, devient elle aussi difficile à atteindre.
La cause, explique-t-on chez Dune voyage, est que ce pays voisin a retrouvé sa clientèle étrangère, notamment européenne, au point qu’il est difficile de trouver une place dans les hôtels les plus prisés, car très convoités par ces touristes. Cependant, ce prestataire de service s’est bien préparé, proposant un voyage de sept jours et six nuitées dans la capitale du Tassili n’Ajjer pour profiter des paysages envoûtants et de l’immensité du désert qu’on ne trouve nulle part ailleurs. « Le billet d’avion, le transport en véhicule 4*4 et une pension complète pour 64 000 DA ». Malgré le tarif jugé élevé par une grande partie de la population qui ne peut se permettre des vacances à ce prix, « les places sont toutes prises ». Il en est de même pour Marrakech. La Jordanie à 174 800 DA et Dubaï à 187 999, les deux autres destinations où il est toujours possible de réserver sa place. A ce prix-là, rares sont les Algériens qui peuvent se le permettre, surtout lorsqu’il s’agit d’un déplacement de plus d’une personne. Pour sa part, El Innab tourisme et voyage s’apprête à prendre en charge ses clients. « 55 personnes ont opté pour Dubaï à 170 000 DA, et une trentaine d’autres pour Istanbul (125 000DA) ». Cette agence regrette toutefois de ne pas avoir organisé des voyages au grand Sud algérien, l’un des plus beaux déserts au monde. « Il fallait réserver quatre à cinq mois avant, chose que nous n’avons hélas pas pu faire ! », déplore son représentant, qui souligne la grande demande enregistrée pour cette destination. C’est dire que la « traversée du désert » tente plus d’un.
Un constat que s’accordent la plupart des agences consultées à établir « On est de moins en moins sollicités comparativement aux années précédentes ». La cause : l’érosion du pouvoir d’achat des Algériens. En effet, après le retour du tourisme dans l’agenda des ménages algériens, voilà qu’ils sont confrontés à une réalité, qui n’est autre que leur incapacité à s’offrir des moments de sérénité après une année de labeur. Une dépense supplémentaire, estiment-ils
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PARIS – Le mouvement de « gilets jaunes » a obligé le président Emmanuel Macron et son gouvernement à s’affairer ardemment à trouver des solutions, surtout convaincantes, face à la colère des Français, en mettant à contribution le maximum de partenaires, pour une paix sociale.
En optant pour cette voie sociale, pas du tout prévue dans son programme, le président français, en chute de popularité depuis la crise « jaune », ne souhaite nullement, cependant, renoncer à ses réformes, même s’il donne l’impression de marquer une pause nécessaire.
Après avoir annoncé le 10 décembre dernier des mesures en faveur de l’apaisement, il met à contribution tous les partenaires susceptibles de travailler avec son gouvernement et soutenir ses décisions par des actions concrètes.
Il a réuni, tour à tour, les partis politiques, les partenaires sociaux, les banques et, pas plus tard que mardi, les représentants des trois familles d’organismes complémentaires de santé. Il s’agissait des
mutuelles, assurances, instituts de prévoyance afin de « bâtir des solutions concrètes à l’urgence économique et sociale », exprimée lors de son allocution aux Français.
Cependant, cette « urgence économique et sociale » implique un coût, plus de 10 milliards d’euros, et dont sa mise en œuvre constitue déjà un casse-tête en matière de financement.
Pour calmer une autre colère, cette fois-ci celle des policiers, le gouvernement a prévu une autre facture en décidant d’un prime de 300 euros pour les heures supplémentaires des policiers engagés dans les mobilisations des « gilets jaunes ».
Ce sont 111.000 fonctionnaires qui bénéficieront de cette prime pour un coût total d’environ 33 millions d’euros.
Pour soutenir sa démarche, le président Macron a demandé l’aide à une centaine de représentants d’entreprises françaises qui les a réunis après les banquiers, la semaine dernière. « J’ai besoin de vous », avait-il dit, soulignant que le modèle économique et social de la France est au « bout du rouleau ». Ainsi, les entreprises vont prendre leur part à hauteur de 2,5 milliards d’euros, a-t-on indiqué.
Mardi, il a demandé aux trois familles d’organismes complémentaires de santé des engagements « supplémentaires » pour que le coût de la santé « pèse moins sur le pouvoir d’achat des ménages ».
Un pouvoir d’achat déjà annoncé par l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) en « nette hausse » pour l’année 2019, avec une progression de 3 %.
Mais le débat en France tourne ces jours-ci autour du financement de cette « urgence économique et sociale » engagée par le gouvernement où il va falloir trouver de l’argent.
Un Conseil des ministres est prévu ce mercredi afin d’examiner toutes les possibilités financières pour la concrétisation de ses mesures qui va, sans doute, demander d’entériner des décisions sur la réduction des budgets de l’Etat, dont le déficit sera porté à 107,5 milliards d’euros.
Toutefois, le mouvement des « gilets jaunes » a remporté mardi une petite victoire lorsque l’Assemblée nationale française a validé, sans débat, le gel des taxes sur les carburants jusqu’en 2022, après que le Sénat l’eut voté dans le cadre du projet de budget pour 2019.
Après sa faible mobilisation constatée samedi dernier, le mouvement des « gilets jaunes » a été contraint, depuis lundi, à évacuer les ronds-points où il avait dressé ses quartiers généraux. Une pause a été marquée, semble-t-il, par le mouvement qui a répondu favorablement aux appels d’apaisement pour les fêtes de fin d’année, mais le pari reste grand pour le gouvernement dans sa quête de vouloir apporter rapidement des réponses aux Français ayant exprimé leur ras-le-bol fiscal qui détériore leur pouvoir d’achat.
Même si les gilets jaunes vont être pliés le temps des fêtes de fin d’année, les revendications restes vives et intactes, estiment de nombreux observateurs.
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« La France entend être et rester le Premier partenaire économique de l’Algérie », avait martelé un jour un ministre français des Affaires étrangères. Il y a beaucoup de lobbies français qui bloquent l’accès au marché algérien à de nombreux autres pays comme le Royaume-Uni par exemple. La France ne quittera pas l’Algérie. Elle a pris la mesure du risque lié aux nouveaux arrivants sur ce marché et s’organise en conséquence. La question est de savoir pourquoi on met en place ces partenariats. Cinquante-six ans après son indépendance, l’Algérie est encore très dépendante de la France politiquement et économiquement. Par exemple, l’Algérie était jusqu’à ce mois l’un des plus grands importateurs de blé dur au monde, principalement au bénéfice de la France, alors qu’elle pourrait être autosuffisante. Ce resserrement des rapports entre les deux pays symbolise cette concurrence biaisée entre investisseurs internationaux, alors qu’il faudrait que le marché algérien s’ouvre au reste du monde. De manière globale, l’Algérie a besoin d’acquérir de l’expertise dans de nombreux secteurs de l’économie, et de créer des emplois. L’agriculture est primordiale. Mais le pays pourrait aussi être compétitif grâce à son énergie bon marché. C’est le cas notamment, de la production d’aluminium et de la sidérurgie en général qui sont des secteurs très énergivores. Mais le développement du pays doit aussi passer par plus d’ouverture aux investissements en provenance d’autres pays étrangers. La France pourrait en outre apporter son expertise dans la construction d’hôpitaux, et mettre en place des partenariats universitaires afin de mieux former la jeunesse algérienne. Si la France perd peu à peu de son influence en Algérie mais surtout en Afrique du nord ou elle tente d’imposer son agenda, l’axe Alger-Pekin-Moscou est prêt à prendre la relève si l’on tient compte de l’activisme débordant de la Chine et de l’Algérie et à un degré moindre la Russie qui commence à reprendre du terrain perdu durant les années 90. Ainsi l’Algérie, avec l’aide de la Chine et de la Russie, est en train de supplanter la présence française à travers des projets structurants.
Charef S.
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Les éléments de la brigade territoriale de la Gendarmerie Nationale de la wilaya de Biskra ont récupéré un enfant âgé de 13 ans, kidnappé par des inconnus pour réclamer une rançon à son père.
Les faits remontent au 16 décembre dernier à 18h30, lorsque les services de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Biskra ont été contactés par un citoyen résidant dans la commune de Ain Nagua, qui se plaignait de l`enlèvement de son fils par des inconnus qui lui auraient réclamé, lors d’un appel masqué, une rançon de 250 millions de centimes pour libérer l’enfant », a indiqué mercredi un communiqué de la Gendarmerie nationale.
Suite à cette plainte, les gendarmes de la brigade territoriale ont lancé les opérations de recherche et d’investigation au niveau de la région et pu, à 19h30, retrouver l’enfant sain et sauf dans une région agricole près de la route nationale N83 dans le village d’El Harraya, commune de Ain Nagua, tandis que ses ravisseurs ont pris la fuite », a ajouté le communiqué.
Les éléments des mêmes services ont poursuivi les investigations jusqu’à l’arrestation des deux ravisseurs le 17 décembre à 14h. APS
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L’Assemblée générale de l’ONU a ratifié mercredi le Pacte mondial pour les migrations lors d’un scrutin, durant lequel 152 pays ont voté en faveur du texte, 12 Etats se sont abstenus, alors cinq ont voté contre, ont rapporté des médias locaux.
Le Pacte, premier du genre sur le question des migrations, avait déjà été adopté en juillet par l’ensemble des membres de l’ONU à l’exception notable des Etats-Unis. Le texte nécessitait une ratification à New York comme pour tout texte entériné hors du siège des Nations unies.
Après plusieurs défections, il avait été confirmé le 10 décembre lors d’un sommet à Marrakech (Maroc) par 164 pays sur les 193 membres que compte l’Organisation des Nations unies.
Non contraignant, le Pacte recense une série de principes à respecter, notamment la défense des droits humains, des enfants, la reconnaissance de la souveraineté nationale et exige la coopération, l’échange d’informations et d’expertises entre les pays signataires.
Il prône, en outre, l’intégration des migrants, l’interdiction des détentions arbitraires et n’autorise les arrestations qu’en dernier recours.
Les pays qui ont refusé d’endosser le Pacte sont les Etats-Unis, la Hongrie, la République tchèque, la Pologne et Israël.
Selon des diplomates en poste à l’ONU, Washington n’a pas cessé jusqu’à mercredi d’exercer des pressions « directes et indirectes » sur les pays pour qu’ils n’adhérent pas au Pacte.
Dénoncé par les nationalistes flamands, ce document a provoqué la rupture de la coalition gouvernementale en Belgique marquée mardi par la démission de son premier ministre, Charles Michel, qui avait approuvé le Pacte.
Au cours des derniers mois, le Pacte a déchaîné les passions, notamment dans une quinzaine de pays (Autriche, Australie, Bulgarie, Chili, Estonie, Hongrie, Italie, République tchèque, République dominicaine, Lettonie, Pologne, Slovaquie, Slovénie et Suisse) qui avaient ainsi annoncé publiquement leur retrait ou le gel de leur décision.
La Hongrie a dénoncé mercredi à l’ONU « une grave erreur » et brandi la menace de nouveaux flux massifs de migrants dans le monde, alors que les Philippines ont appelé à « la raison » estimant que les migrants sont un « apport bénéfique » pour les pays.
En début de séance, la présidente de l’Assemblée générale de l’ONU, Maria Fernanda Espinosa Garcès, a souligné que le document « n’affecte en rien la souveraineté des Etats ».
Selon les données de l’ONU, il existe environ 258 millions de personnes en mobilité et migrants dans le monde, soit 3,4% de la population mondiale. Plus de 80% des déplacements entre les pays se font de manière légale, alors que plus de 60.000 migrants clandestins sont morts depuis 2000 lors de leur périple.
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Des extincteurs accrochés sur les murs des établissements de santé publique de la ville de Sétif sont, depuis le début du mois de juillet, périmés. Sur l’image, l’extincteur accroché près du service de radiologie de la polyclinique
Benchekribou, à la cité Hachemi.
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Un juge de l’État américain du Missouri a condamné un braconnier multirécidiviste à visionner régulièrement Bambi, grand classique de Walt Disney relatant la vie d’un faon dont la mère est tuée par un chasseur.
David Berry devra obligatoirement regarder le long métrage d’animation au moins une fois par mois durant sa peine d’un an de prison, infligée à l’issue d’une enquête officiellement qualifiée comme “l’une des plus importantes menées dans l’État en matière de braconnage”. Berry et d’autres membres de sa famille sont suspectés d’avoir tué des centaines de cervidés sur une période de trois ans, ont indiqué dans un communiqué du 13 décembre les services de protection de la nature du Missouri. “Les cervidés étaient des trophées mâles tués de façon illégale, principalement la nuit, pour leur tête, le reste de la dépouille étant abandonné sur place”,
a expliqué le procureur du comté de Lawrence, Don Trotter.
Le braconnier condamné est “dans l’obligation de regarder Bambi de Walt Disney, le premier visionnage devant intervenir avant le 23 décembre 2018, puis être suivi d’au moins un autre visionnage lors de chacun des mois consécutifs de l’incarcération du prévenu”, a imposé dans sa décision le magistrat Robert George.
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La société de mobilité constituée par Daimler AG et BMW Group sera active dès le début de l’année prochaine,comme en ont convenu les deux entreprises et ce suite à l’approbation du projet par la Commission européenne.
Un premier pas de franchi puisque les partenaires poursuivent à présent leurs discussions avec l’autorité de concurrence américaine. Ceci implique que la finalisation de cette transaction, initialement prévue par les parties avant la fin de cette année, devra être reportée malgré les efforts des partenaires.
Par conséquent, les effets de valorisation et les effets sur les bénéfices ne seront réalisés par Daimler Financial Services qu’en 2019. Les prévisions de bénéfices pour 2018 s’en voient diminuées. Partant, la division s’attend à ce que l’EBIT soit sensiblement inférieur à celui de l’année précédente. Pour l’exercice comptable 2018, l’EBIT de Daimler Group reste quant à lui inchangé. Conformément aux communications précédentes, la transaction n’affecte en effet pas les flux de trésorerie des activités industrielles.
Daimler AG et BMW Group entendent réunir leur offre de mobilité en matière d’autopartage, de services de chauffeurs (ride-hailing), de stationnement, de chargement et de multimodalité. Leur joint-venture deviendra ainsi l’un des principaux fournisseurs de services de mobilité innovants. Les deux fabricants automobiles ont l’intention de façonner le futur de la mobilité pour offrir des expériences uniques à leurs clients et apporter leur soutien à leurs partenaires (villes et communes, notamment) dans la création d’une mobilité écologique en milieu urbain.
Demain, les clients auront accès d’un simple clic à un écosystème de services de mobilité complet, intelligent et pleinement intégré. Par leur association, Daimler AG et BMW Group répondent aux défis de la mobilité urbaine et aux souhaits de leur clientèle. Ces deux partenaires contribuent également, aux côtés des villes, des communes et d’autres groupes d’intérêts, à l’amélioration de la qualité de vie.
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Le gouvernement canadien a confirmé mercredi l’arrestation d’un troisième ressortissant canadien en Chine en quelques jours, près de trois semaines après l’interpellation à Vancouver d’une haute responsable du géant chinois des télécoms Huawei, qui a suscité l’ire de Pékin. « Le ministère des Affaires étrangères du Canada est au courant de la détention d’un citoyen canadien en Chine », a déclaré une porte-parole, confirmant des informations du journal National Post. Une source officielle a toutefois souligné qu' »il n’y (avait) pas de raison de croire que cette affaire soit liée aux autres cas récents de Canadiens arrêtés en Chine ».
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La Côte d’Ivoire a demandé à la France la restitution de 148 œuvres d’art africain, a annoncé mercredi le ministre de la culture ivoirien Maurice Bandaman. « Nous avons adressé une liste de 148 objets. En 2019, tout ou une partie sera restitué », a affirmé le ministre qui s’exprimait lors d’une conférence de presse, sans pour autant donner plus de détails. Bandaman a confié que le « Djidji Ayokwe », le célèbre tambour parleur Ebrié actuellement au musée du Quai Branly à Paris faisait partie des objets demandés.
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Les Emirats arabes unis ont affirmé mercredi que des « pourparlers pour la réconciliation afghane » entre des responsables américains et les talibans, tenus à Abou Dhabi, avaient débouché sur des résultats positifs et concrets, selon l’agence de presse officielle émiratie Wam. La conférence de deux jours pour la réconciliation afghane qui a réuni des représentants des talibans et des Etats-Unis, avec la participation de l’Arabie saoudite et du Pakistan, a produit des « résultats tangibles, positifs pour toutes les parties concernées », a précisé l’agence. Un nouveau cycle de négociations aura lieu à Abou Dhabi « pour finaliser le processus de réconciliation en Afghanistan », a ajouté l’agence, sans donner plus de précisions.
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Le Directeur général du groupe Cevital, Said Bénikene, a quitté mardi ses fonctions. « Monsieur Said Benikene a quitté aujourd’hui 18 décembre ses fonctions de Directeur général de CEVITAL, pour poursuivre de nouvelles missions en dehors du groupe », indique aujourd’hui, un communiqué du groupe privé algérien, sans pour autant apporter plus de clarifications sur les raisons de cette démission. Cevital précise que Radu Mavrodin, Directeur général adjoint en charge des ressources humaines Groupe assumera l’intérim des fonctions de Directeur général. Le communiqué du groupe Cevital indique que M. Benikene a « engagé un processus de transformation du groupe dont la première étape vient de s’achever ». Said Benikene a été nommé en décembre 2016 en tant que Directeur adjoint exécutif du groupe Cevital. Il a toutefois subit de nombreux revers au cours des derniers mois, après que le Groupe Cevital ait été forcé de céder son aciérie italienne, suivi des blocages des équipements de Cevital, que ce soit pour les unités de trituration de graines oléagineuses, ou pour l’unité Evcon. Aussi, si sa nomination répondait à l’exigence de refonte de la gouvernance du groupe familial, il semble, selon certaines sources, que la nouvelle gouvernance de Cevital n’ait été qu’une façade, la gestion du groupe étant sujette aux interférences familiales.
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D’après l’édition 2018 du Global Gender Gap Report qui est éditée chaque année par le World Economic Forum (WEF), l’Algérie se retrouve à la 128e position perdant ainsi une place par rapport à l’année précédente (127e).
De nombreux critères sont pris en charge, à savoir la participation économique des femmes et les opportunités qui leur sont offertes, l’accès à l’éducation, celui aux soins et l’autonomisation politique.
Concernant l’autonomisation politique, l’Algérie est à la 85e place, elle est à la 132e position en ce qui concerne la participation économique et les opportunités offertes aux femmes. Pour ce qui est des accès à l’éducation et aux soins, elle se classe à la 107 et 106e position.
Au nord de l’Afrique, l’Algérie arrive deuxième, derrière la Tunisie (117e), et avant l’Egypte (135e), la Mauritanie (136e) et le Maroc (137e).
Ainsi, les pays scandinaves sont parmi les premiers. En matière d’égalité hommes-femmes, Islande, Norvège, Suède et Finlande sont les meilleures.
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L’Ambassade de France en Algérie est heureuse d’annoncer l’inauguration des nouveaux bâtiments de l’école primaire internationale Alexandre Dumas (EPIAD), suite à la fin des travaux d’agrandissement et de restructuration.
Les nouveaux locaux de l’école primaire internationale Alexandre Dumas, ont été inaugurés le mercredi 19 décembre 2018 par M. Christophe Bouchard, directeur de l’Agence pour l’enseignement français à l’Etranger (AEFE) et M. Xavier Driencourt, Ambassadeur de France, Haut Représentant de la République française en Algérie, ainsi que des représentants du ministère des Affaires étrangères et du ministère de l’Education nationale de la République algérienne démocratique et populaire.
L’ambassade de France, le LIAD et @CfBouchard directeur de l’@aefeinfo remercient les autorités algériennes de leur #soutien dans la réalisation de ces travaux qui ont donné lieu à une belle école #inclusive et plurilinguiste ! pic.twitter.com/O7fAXiythB
— France en Algérie (@ambafrancealger) 19 décembre 2018
Le Lycée international Alexandre Dumas est né d’un accord signé en 2001 entre la France et l’Algérie. C’est un établissement d’excellence dont le cursus promeut la diversité culturelle et qui accorde une large place à l’enseignement de l’arabe. A cet égard, il illustre la volonté partagée par nos deux pays d’offrir à nos jeunesses une ouverture sur nos cultures respectives dans un esprit de partage. Après l’ouverture du lycée puis du collège à partir de 2002 sur le site de Ben Aknoun, l’Ecole Primaire Internationale Alexandre Dumas a été ouverte en 2012 sur le site de l’ancien collège Max Marchand, dans le quartier de Dely Brahim. Les travaux qui viennent d’être réalisés ont permis d’accroître la capacité d’accueil de l’établissement de 280 élèves supplémentaires. Cette école scolarise ainsi aujourd’hui près de 700 élèves, répartis en 27 classes, de la moyenne section de maternelle au CM2, ce qui en fait l’une des plus grandes écoles du réseau mondial de l’AEFE.
Visite guidée de @CfBouchard des nouveaux bâtiments de l’EPIAD, qui accueille aujourd’hui près de 700 élèves dans les meilleures conditions, pour une #scolarité réussie ! pic.twitter.com/QfKmNmyxiT
— France en Algérie (@ambafrancealger) 19 décembre 2018
Les nouveaux bâtiments comprennent une dizaine de classes, deux salles de langues, une salle polyvalente et des surfaces de préaux. Les travaux ont également permis la restructuration des espaces des maternelles, l’extension des espaces administratifs et de restauration, le réaménagement de la salle de motricité et la reconfiguration des espaces récréatifs extérieurs.
L’EPIAD améliore ainsi significativement ses infrastructures dans un souci d’offrir un environnement d’études moderne et accueillant pour ses élèves. L’Ambassade de France et le Lycée International Alexandre Dumas (LIAD) remercient les autorités algériennes de leur soutien dans la réalisation de ces travaux. L’inauguration de l’EPIAD rénovée est le signe fort de la confiance et de l’amitié qui unissent la France et l’Algérie, au bénéfice de l’éducation, du partage, et de la construction d’un avenir commun.
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