A. Ouélaa
C’est un spectacle pour le moins désolant qui s’offre aux yeux depuis plus de deux mois près de la polyclinique de Dréan. La grosse fuite d’eau prend sa source devant l’immeuble des médecins. Les eaux se déversent, un gros gaspillage à la vue de ces eaux qui ruissellent allant courir dans tous les sens.Les habitants de l’immeuble ont voulu réparer cette fuite mais cette tâche incombe aux services de l’ADE à qui une autorisation a été délivrée pour réparer cette fuite.
En attendant, l’eau continue à chaque distribution de l’eau à se déverser sur la chaussée au grand désarroi des riverains.
The post Dréan: Une grosse fuite d’eau qui perdure appeared first on .
A. O.
Les douaniers au niveau du port de Annaba sont parvenus à déjouer, lundi dernier, une tentative d’introduction frauduleuse de tissus destinés à la transformation. En effet, il s’agissait d’une fausse déclaration en douane, dans la mesure où le container passé à la fouille a montré que les tissus en question recouvraient de la fripe. La valeur de ces tissus s’élève à 250.000 euros. Une infraction au code des douanes dans ses articles 25 et 325 passible d’une grosse amende.The post Annaba: Saisie de friperie appeared first on .
Khaled Boumediene
Plusieurs dizaines d’agents de la conservation des forêts, du parc national, de la réserve de chasse et du centre cynégétique ont observé hier un sit-in à Tlemcen. A l’appel de la fédération nationale des travailleurs des forêts, de l’environnement et de la nature (affiliée à l’UGTA), ils ont pris position de 10 à 12h devant la direction de la conservation des forêts pour «revendiquer un nouveau statut particulier», et protester contre «la fermeture des voies de dialogue avec le ministère de l’Agriculture». Selon les points figurant dans la plateforme de revendications transmise par un membre fédéral et coordinateur de la région ouest du pays, les agents forestiers demandent, entre autres, la promotion automatique après dix ans d’exercice à l’instar des autres corps constitués, la titularisation des agents vacataires, contractuels et saisonniers, ainsi que des agents de sécurité (ce problème reste posé depuis 2008), la régularisation des inspecteurs des brigades et des inspecteurs de forêts formés à l’école nationale des forêts de Batna et au centre de formation de Béni-Slimane (Médéa), la promotion des corps constitués techniques, la cession des logements de fonction aux agents, la levée du gel de recrutement dans ce secteur, ainsi que l’amélioration des conditions de travail à travers, notamment, le renforcement des effectifs et des moyens matériels et logistiques pour la protection du patrimoine forestier contre les agressions et dilapidations fréquentes et contrecarrer les nouvelles formes d’investissement anarchique que commence à connaître le secteur des forêts. «Nous sommes déterminés à aller au bout de nos revendications et à poursuivre ce mouvement de protestation jusqu’à la satisfaction totale de nos revendications légitimes. D’ailleurs, un rassemblement national est prévu le 25 décembre prochain à Alger, afin de solliciter pacifiquement les hautes instances du pays pour une solution à nos préoccupations en souffrance depuis plusieurs années et ce, à l’instar des autres corps constitués qui ont trouvé une oreille attentive à leurs problèmes. Depuis la création de notre syndicat en 2008, nous avons organisé plusieurs grèves locales et nationales, malheureusement tous les ministres de l’Agriculture qui se sont succédé n’ont pas tenu compte de nos revendications ! Aujourd’hui, nous ne reculons pas !», a déclaré M. Khwatir Noreddine, membre fédéral de la conservation des forêts de Tlemcen.The post Tlemcen: Protesta des forestiers appeared first on .
Khaled Boumediene
Le Centre des arts et des expositions (CAREX), en partenariat avec la maison de la culture Abdelkader-Alloula de Tlemcen, organise depuis hier et jusqu’au 29 du mois en cours la troisième édition du Salon du livre. Selon le directeur du CAREX, M. Amine Boudefla, plus de 20 maisons d’édition, des libraires, des experts en technologies et des bibliothécaires participent à cette 3e édition qui se déroule à la maison de la culture Abdelkader-Alloula, sous la thématique «Djaliss-Com», un clin d’œil au livre numérique. «La particularité de cette édition est la proposition de certains ouvrages sous forme de supports numériques. Ce Salon permettra donc au lecteur d’acheter son livre sur n’importe quel support numérique via le lien de l’éditeur. Il y aura, entre autres, de nombreux débats et d’échanges entre les éditeurs et professionnels pour promouvoir les supports numériques tels que les liseuses, les téléphones, les tablettes et les ordinateurs, et pour baliser l’avenir du livre numérique, assurer la transition numérique et l’usage commercial du livre numérique qui passe par l’adoption de normes et des formats de publication standardisés libres et ouverts à tous», a déclaré hier M. Boudefla, soulignant qu’un large programme culturel est proposé en marge de ce Salon-vente. Chaque jour, une table ronde est proposée traitant de différents aspects, ainsi qu’une table ronde spéciale pour les jeunes auteurs. Par ailleurs, des ventes dédicaces sont programmées tout le long de la douzaine de jours que durera le Salon. En outre, l’enfant aura la part du lion de ce Salon du livre avec des ateliers sur l’écriture, la lecture, le dessin ainsi que des jeux éducatifs.The post Le numérique s’invite au Salon du livre appeared first on .
Khaled Boumediene
Des habitants de la localité de H’balette (située à l’entrée nord de Sebdou), ont bloqué pour la quatrième fois la RN 22 reliant Tlemcen à Béchar, Naama, Aïn Sefra et Sebdou, pour réclamer que leurs foyers soient raccordés au réseau de gaz naturel. Les protestataires ont, dès les premières heures de la matinée d’hier, entravé la circulation automobile sur cet important tronçon routier à l’aide de pneus et de divers objets de fortune, à hauteur de l’ancienne agglomération, causant ainsi des désagréments à de nombreux automobilistes. La circulation a été rouverte après le déplacement du président de l’APC de Sebdou, M. Belbachir Ahmed, qui nous a indiqué que ce problème de gaz de ville a été complètement pris en charge par son APC. «L’opération de raccordement des foyers sera entamée une fois que l’assainissement sera achevé à travers toutes les ruelles de ce groupement d’habitats situé dans une zone montagneuse.Je rassure les habitants que tous les groupements d’habitats inférieurs et supérieurs de la localité de H’balette seront raccordés au gaz naturel, car la SDC-Sonelgaz ne peut pas réaliser ses travaux sans que l’assainissement total ne soit réalisé dans cette localité connue pour son froid glacial».
The post Les habitants de H’balette bloquent la route appeared first on .
Belkecir Mohamed
Des individus s’en sont pris à un commerçant en choisissant le moment où il était seul dans son magasin. Les faits se sont déroulés, ce dimanche, quand les trois individus sont passés à l’action en s’introduisant dans son local et ont agressé la victime au couteau. Le commerçant a tenté de se défendre et a pu se dégager et sortir dans la rue en poussant des cris. C’est ce qui a fait fuir les agresseurs. Une fois la plainte déposée, les policiers ont lancé des recherches. Ils sont parvenus à neutraliser les suspects. L’un d’eux était en possession d’une arme blanche. Les mis en cause ont fait l’objet d’une procédure judiciaire avant d’être présentés devant la justice qui les a placés en détention.The post Sig: Un commerçant agressé au couteau dans son local appeared first on .
El-Houari Dilmi
L’absence de passerelles pour piétons, inexistantes sur le territoire de la commune de Tiaret, constitue une préoccupation majeure des citoyens et des parents d’élèves, notamment au niveau des carrefours et autres axes routiers dangereux. Ainsi, deux passerelles seront réalisées dans les prochains mois au niveau de deux emplacements, l’une au niveau de la nouvelle cité des 1.900 logements, sur les hauteurs de la ville, et la deuxième au niveau du douar de Chérita, dans la daïra de Dahmouni. C’est ce qu’a indiqué le directeur des travaux publics. Ces deux passerelles à la structure métallique seront réalisées pour protéger les habitants de la nouvelle cité des 1.900 logements contre les accidents de la route, tout comme les étudiants qui poursuivent leur cursus universitaire au niveau du pôle universitaire de Karman. La deuxième passerelle, vieille revendication de la population locale, sera réalisée au douar de Chérita, dans la commune de Dahmouni, considéré comme un véritable point noir en matière d’accidents de la circulation, souvent mortels. Le montant pour la réalisation de ces deux passerelles est de 4 milliards de centimes pour un délai de réalisation de 3 mois (fin mars).The post Tiaret: De l’argent pour deux passerelles pour piétons appeared first on .
Cheikh Guetbi
Une action «soupe chaude», qui vise à préparer et à servir quotidiennement des repas chauds aux nécessiteux, SDF, passagers dans la région, voire aux ouvriers qui sont loin des leurs et qui sont les plus nombreux, a été initiée par le Croissant-Rouge algérien local. Cette opération humanitaire, lancée voilà des années et qui dure pendant tout l’hiver, se démarque cette année par une nouvelle organisation au niveau du CRA. Le bureau de ce dernier, devant la diversité des activités de bienfaisance et des actions de solidarité qu’il organise régulièrement, qui mobilisent un important effectif de bénévoles, a opté pour l’implication des associations avec lesquelles il s’est divisé les tâches pour une meilleure efficacité des actions entreprises. Ainsi, les éléments du CRA, aux côtés de ceux de l’association «Sanabil El Kheir», s’occupent de la collecte des fonds auprès de donateurs alors que le service est assuré par des membres d’associations tels ceux de l’association Sporting Club (football-vétéran) ou encore par des groupes de bénévoles anonymes comme un collectif d’arbitres, d’enseignants Quant à la préparation des repas, ce sont des femmes volontaires ou les bienfaiteurs eux-mêmes qui s’en occupent comme cette bienfaitrice qui, selon le président de la commission sociale du CRA, a financé un repas complet (soupe, olives à la viande hachée et dessert) de 100 couverts qu’elle a préparés elle-même avec l’aide de ses enfants, dans la cuisine même du CRA. Cette nouvelle organisation qu’a opérée le bureau du CRA a permis, par ailleurs, plus de démarches auprès des donateurs qui se sont ainsi fait plus nombreux. C’est là des résultats qui dénotent de l’intérêt que portent le CRA, les organisations caritatives, les bienfaiteurs et les bénévoles à la frange de la société, économiquement la plus vulnérable et qu’ils ont traduit par ce grand élan de solidarité. «Nous remercions les donateurs dont la générosité nous a permis d’assurer cette soupe chaude depuis début novembre et nous couvre même les repas des 20 prochains jours. Nous souhaitons qu’il y ait d’autres âmes charitables qui contribueront afin que nous puissions assurer notre action au moins jusqu’à la fin de la saison du grand froid », dira notre interlocuteur, qui tient à préciser que le nombre de repas servis augmente progressivement et tourne actuellement entre 80 et 100.The post Maghnia: Des repas chauds pour les démunis appeared first on .
Plus d’un tiers des immigrants en Europe sont surqualifiés pour l’emploi qu’ils occupent, pour lesquels la reconnaissance de leurs qualifications est un grand défi, indique mardi un rapport de l’Unesco. Publié à l’occasion de la Journée internationale des migrants, le document d’orientation produit par l’équipe du Rapport mondial de suivi sur l’éducation de l’Unesco et intitulé « Quel gâchis : assurer la reconnaissance des qualifications et des acquis antérieurs des réfugiés et des migrants », montre que plus d’un tiers des immigrants ayant un haut niveau d’instruction sont surqualifiés pour l’emploi qu’ils occupent, contre un quart parmi le reste de la population.
The post Plus d’un tiers des immigrants en Europe sont surqualifiés appeared first on .
The post Laghouat : Le président et trois vice-présidents de l’APC d’Aflou condamnés à deux ans de prison appeared first on .
The post Oran : intervention chirurgicale de pose totale de la hanche par voie antérieure, une première sur le territoire national appeared first on .
Les dépenses mondiales en défense ont augmenté pour la cinquième année consécutive pour atteindre un total de 1.780 milliard de dollars en 2018, dépassant ainsi de loin le record, observé en 2010, de 1.690 milliard de dollars enregistré après la guerre froide en 2010, a indiqué mardi le cabinet d’analyse financière IHS Markit dans un rapport. Il constate qu’avec 4,9 % d’augmentation cette année,
c’est la plus forte hausse depuis 2008, précisant que ce chiffre s’explique par une augmentation de 5,8 %, soit 54 milliards de dollars des dépenses de l’OTAN, principalement en raison de la hausse des dépenses de défense aux Etats-Unis. La cabinet d’analyse estime les dépenses des pays de l’OTAN dépasseront les 1.000 milliards de dollars en 2019, soulignant par ailleurs qu’en raison de la hausse des cours du pétrole de ces derniers mois, l’Arabie Saoudite a dépassé la France en termes de budget de défense en 2018 et pris la cinquième place dans le monde, avec 56 milliards de dollars en 2018 contre 53,6 pour la France, qui a elle-même accru ses dépenses militaire. Le rapport prévoit que la croissance des dépenses mondiales de défense reviendra à environ 2 % par an au cours des cinq prochaines années. « En 2018, nous avons assisté à un renversement des tendances récentes, les Etats occidentaux générant la croissance », a-t-on indiqué, estimant que pour l’avenir, l’Asie et le Moyen-Orient seront la principale source d’augmentations durables des dépenses de défense. Pour les pays membres de l’OTAN, le rapport explique qu’après une période « difficile » à la suite de la crise financière mondiale, ils ont commencé à augmenter à nouveau leurs dépenses de défense, en réponse aux menaces émergentes, prévoyant en 2019 une augmentation de 1 milliard de dollars. Neuf membres de l’OTAN atteindront le seuil de 2 % du PIB des dépenses de défense en 2019, contre quatre seulement en 2014. Ces pays sont les Etats-Unis, la Grèce, l’Estonie, la Lituanie, le Royaume-Uni, la Pologne, la France, la Lettonie et la Roumanie. Le rapport indique également que les dépenses de la défense américaine ont augmenté de 46 milliards de dollars en 2018 pour atteindre 702,5 milliards de dollars. Cette augmentation de 7 % du budget du Pentagone représente la « plus forte » augmentation des dépenses de défense des Etats-Unis depuis 2008. Pour la région du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, les dépenses totales ont atteint 180 milliards de dollars en 2018, dont l’Arabie saoudite qui a augmenté ses dépenses de défense de 7 % pour atteindre 56 milliards de dollars, faisant d’elle le cinquième plus gros investisseur en défense dans le monde. En Amérique Latine, c’est le Brésil qui domine les dépenses de défense avec une augmentation de 10,4 % en 2018, atteignant un nouveau sommet de près de 62 milliards de dollars.(APS)
The post Les budgets de défense continuent d’augmenter dans le monde pour la cinquième année consécutive appeared first on .
“Les risques chimiques, biologiques et nucléaires accidentels ou malveillants sont un danger majeur lesquels sont communément, voire unanimement considérés comme risque à danger très élevé. Aucun pays ne peut prétendre, à ce jour, avoir les pleines capacités pour lui faire face.”, a déclaré, avant-hier à Sidi Bel-Abbès, Samia Chouchane, coordinatrice du système des Nations unies en Algérie sur la criminalité et la justice (Unicri), lors de l’ouverture de l’atelier de formation de cinq jours sur la gestion des risques nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques (NRBC), organisé par le Bureau régional Afrique du Nord et Sahel de l’Initiative des centres d’excellence et financé par l’Union européenne en collaboration avec les directions générales et de wilaya de la Protection civile de Sidi Bel-Abbès. Selon Mme Radai, directrice du Bureau régional des centres d’excellence de l’Union européenne pour l’atténuation des risques NRBC, “cette session est destinée à la formation des officiers et des premiers intervenants de l’ensemble des services de sécurité et du personnel des directions de wilaya de la santé, l’agriculture, l’environnement en rapport direct avec les accidents de la route, déversements des produits chimiques, explosions dans une installation industrielle ou une utilisation illicite de matières NRBC. Elle sera animée par des experts de la Protection civile et s’articulera autour des aspects liés à la prévention et l’intervention sur les risques NRBC, notamment la première intervention lors d’un incident NRBC, les moyens à utiliser et la coordination intersectorielle. Au terme de cette formation, un exercice de simulation sera organisé à l’unité de la Protection civile de Sidi Bel-Abbès auquel prendront part l’ensemble des participants, où chacun jouera son rôle afin de relever les failles pour les améliorer dans le cadre de nos procédures”. À ce propos, la coordinatrice du système des Nations unies en Algérie (Unicri) a souligné qu’aucun pays ne peut prétendre, à ce jour, avoir les pleines capacités pour lui faire face. “La clé réside en réalité dans la préparation qui est essentielle afin de se prémunir des dégâts et des conséquences majeurs et dévastateurs sur la santé humaine, l’environnement et également les capacités nationales que ces risques-là pourraient engendrer et quand bien même ces risques-là seraient potentiels. C’est pourquoi, à travers la préparation, c’est la prévention qui est fondamentale.” Et d’enchaîner : “Les instruments juridiques universels et pertinents ont été ratifiés, notamment la résolution 15-40 de 2004 du Conseil de sécurité des Nations unies. Ils rappellent et s’inscrivent clairement dans cette stratégie éminemment préventive. Donc, sensibiliser, prévenir et préparer seraient les trois points les plus pertinents pour décrire les objectifs de cette formation. De manière structurelle, nous nous appuyons sur l’expérience et l’expertise acquises par l’Algérie et qui sont les plus avancées dans la région et dans le continent africain.”
A. BOUSMAHA
The post Sidi Bel Abbès : Formation sur la gestion des risques NRBC appeared first on .
Ses réactions quasi quotidiennes sont assez violentes pour ne pas l’accuser de courir derrière un but inavoué. Depuis l’été dernier, Abderrezak Makri n’a pas cessé ses tentatives de rallier la classe politique à ses thèses.
Après l’initiative de consensus national rejeté sans ménagement par les formations politiques, pouvoir et opposition réunis, il revient au début de ce dernier trimestre avec un nouveau projet réclamant rien de moins que le report du scrutin présidentiel pour en faire une période de transition. Une fois le projet lancé et explicité, Makri a tenté à plusieurs reprises de le manager et le gérer en fonction des réactions. Mais depuis quelques semaines, le chef du MSP se livre à des attaques en règles contre quiconque oserait apporter la contradiction à son initiative. Ni Amar Ghoul, qui a lui aussi l’initiative de conférence nationale de consensus, ni le RND et encore moins les partis de l’opposition n’ont été épargnés par la foudre de Makri qui s’en prend à tous contradicteurs. Après avoir accusé Amar Ghoul de vouloir dépouiller l’initiative de consensus national, sur injonction, de son contenu, il s’en est pris violemment à Soufiane Djilali et au RCD qui ont affiché leur opposition au report de la présidentielle. Et ce, après avoir déclaré publiquement qu’il s’oppose catégoriquement à Ahmed Ouyahia. Les faits sont têtus et Makri semble être dans une posture de sous-traitant d’où son obsession à imposer son choix pour le scrutin présidentiel. Deux jours après la «tendre» réponse de Ghoul aux «mal intentions» de Makri, ce dernier ne baisse pas le ton et tente encore une autre attaque contre son ex-camarade de l’ex-Hamas. Idem contre Soufiane Djilali qu’il traite de tous les noms d’oiseaux. Dans un post publié, hier, sur sa page Facebook, le chef du MSP franchi le Rubicon et passe à l’étape de la menace si son projet est rejeté. Il s’en est pris violemment
«aux hommes du pouvoir» qu’ils accusent «de corruption, d’échec, de régionalisme et de coups bas», contrairement au MSP dont les hommes sont, selon Makri, «intègres, loyaux et propres», balayant d’un revers de main les années passées au sein du même gouvernement qu’il accuse aujourd’hui de tous les maux.
A l’adresse de l’opposition, qui, au jour d’aujourd’hui ne s’est pas exprimée directement sur l’initiative du MSP, Makri l’accuse, si elle reste encore silencieuse, de complicité avec le pouvoir. Et dans le cas où elle s’opposerait à son projet, elle devient alors, non seulement complice du pouvoir, mais également responsable de la catastrophe qu’il promet au pays si son initiative est rejetée. C’est donc à l’aune de tout cet acharnement qu’il est plausible de croire que Makri ne défend pas un projet pour, comme le dit lui-même, le bien de l’Algérie, mais bel et bien pour le compte d’intérêts occultes
The post Election présidentielle d’avril 2019 : Qu’est-ce qui fait courir Makri ? appeared first on .
La zone industrielle de Bouchaker (commune de Laghouat), qui compte actuellement une surface de 220 ha, connaîtra bientôt une extension de près de 60 ha supplémentaires, selon les services de la wilaya. Ce projet, d’un coût de 3 milliards de DA, s’inscrit au titre de la mise en œuvre du plan du gouvernement portant réhabilitation des zones industrielles dans le but de promouvoir l’investissement industriel à travers les wilayas, a-t-on indiqué.
Dans le sillage des efforts de la promotion de la dynamique d’investissement et de la cadence de développement dans la wilaya de Laghouat, deux autres projets sont en perspective dont le premier consiste en la réalisation des équipements pétrochimiques et le second sur le stockage du gaz naturel. Des projets susceptibles de générer de nouveaux emplois à la satisfaction des citoyens en chômage, a-t-on ajouté.
Il s’agit également de la poursuite de la réalisation, pour un montant de 60 millions de DA, des études techniques portant création de trois nouvelles zones d’activité au niveau des communes de Gueltat Sidi Sâad, Sid Mekhlouf et Aflou, selon la même source.
Ainsi, un total de 222 projets d’investissement sont en cours de réalisation dans la wilaya de Laghouat, dont 30 opérations ont été achevés et 98 autres ont atteint un taux d’avancement de plus de 50%, en plus de la récupération d’une surface de 53 ha de foncier industriel des bénéficiaires non sérieux, a-t-on rappelé.
BOUHAMAM AREZKI
The post Laghouat : Extension de la zone industrielle de Bouchaker appeared first on .
MEDEA – La sécurité au niveau des nouvelles cités est prise en charge « de façon graduelle » et la police est déterminée à accompagner les résidents de ces cités, a affirmé mardi à Médéa, le directeur de l’administration générale de la direction générale de la sureté nationale (DGSN), le contrôleur de police, Mohamed Noui Sifi.
« Le développement de nouvelles villes et cités, à travers le territoire national, a été suivi par l’émergence de certaines contraintes d’ordre sécuritaire que nous prenons en charge, au fur et à mesure », a indiqué à l’APS, le contrôleur de police, Mohamed Noui Sifi, en marge de l’inauguration de nouveaux sièges de sureté de daira à Ksar-el-Boukhari et Berrouaghia.
Le directeur de l’administration général de la DGSN a assuré que les services de police « seront là pour accompagner les citoyens et les résidents de ces nouvelles villes et cités, au même titre que les autres corps de sécurité », ajoutant que « au moment où il y a eu urgence à gérer la sécurité au niveau de ces nouvelles agglomérations urbaines, la sureté nationale s’est rapidement intégrée dans l’optique ».
A la question de la programmation de nouvelles structures de police au sein de ces nouvelles villes, le contrôleur de police, Mohamed Noui Sifi, a affirmé que celle-ci « se fera là où il faut et en étroite coordination avec les autorités locales et les services compétents de la DGSN », soulignant que les services de police veilleront à assurer leur présence dans ces nouvelles villes, au coté des autres services de sécurité ».
S’agissant de l’opération de pose de caméra de surveillance, entamée à travers le territoire national, le DAG de la DGSN a indiqué que l’opération « est en cours et elle sera menée jusqu’à son terme », tout en faisant observer que le dispositif de surveillance par caméra « ne suffit pas à endiguer, à lui seul, le phénomène de violence ou de délinquance, mais requiert, pour que cette objectif soit atteint, l’implication du citoyen ».
Le directeur général de l’administration de la DGSN avait inspecté, lors de son déplacement dans la wilaya de Médéa, deux structures choisies pour abriter les sièges du centre de contrôle et de vidéo surveillance du réseau routier local et de la compagnie d’intervention rapide (CIR), localisés au niveau du chef-lieu de wilaya.
The post La sécurité des nouvelles cités est prise en charge par la DGSN appeared first on .
ALGER – La commission des affaires économiques et financières du Conseil de la Nation a appelé dans son rapport préliminaire, présenté mardi sur le projet de loi de Règlement budgétaire 2016, à davantage de contrôle sur les dépenses publiques, notamment à travers l’amélioration de la gestion des projets publics.
Dans son rapport préliminaire présenté par le rapporteur Abdelhak Kazitani, lors d’une plénière consacrée à l’examen du projet de loi, la commission des affaires économiques et financières a souligné la nécessité « de mettre un terme à toutes les formes de gaspillage en matière de dépense publique ».
La commission a exhorté, en outre, les directeurs des entreprises publiques dans tous les secteurs, d’élaborer des rapports administratifs périodiques permettant de vérifier leur respect des règles financières en ce qui concerne la gestion du budget, d’une part, et d’évaluer l’utilisation faite des fonds publics et la gestion des projets, d’une autre part.
Dans le même contexte, la commission a préconisé l’adoption des normes internationales en matière de désignation des directeurs des entreprises structurant l’économie avec « l’impératif de changer les méthodes de travail et de gestion des entreprises et des administrations publiques, en adéquation avec les fortes perturbations au niveau international et les différents défis socio-économiques et sécuritaires ».
Outre l’importance de concrétiser la coordination pratique entre toutes les instances étatiques en charge des recettes de l’Etat, le rapport de la commission a recommandé de « mettre en place des plans adéquats pour réformer le système financier et fiscal conformément aux nouvelles orientations de l’économie nationale ».
Concernant l’élaboration du budget, la commission a préconisé la pondération dans l’inscription des autorisations de programmes pour s’assurer de l’obtention de tous les documents justificatifs prouvant l’exécution des opérations en fonction des montants autorisés et dans les délais impartis.
L’accent a été mis, également sur la nécessaire poursuite de l’assainissement de la nomenclature d’investissements publics de tout projet infructueux, l’optimisation des mesures de recouvrement fiscal et la maîtrise du coût fiscal.
Au sujet de la modernisation du secteur financier, le rapport préconise la création d’une instance spécialisée en économie numérique pour le contrôle de la dépense publique et son recouvrement minutieux et la mise en place de mesures permettant de s’assurer de la pertinence de l’investissement et déceler à l’avance les dysfonctionnements pour l’étude et le traitement de leurs causes.
Par ailleurs, la commission a salué dans son rapport la poursuite de l’opération d’assainissement des fonds d’affectation spéciale, engagée par le gouvernement et des efforts visant à améliorer le recouvrement fiscal de manière à augmenter les recettes ordinaires.
La commission s’est félicitée du recours du gouvernement au principe de précaution en matière de baisse progressive du déficit financier pour « maintenir la croissance à un niveau stable ».
The post Règlement budgétaire 2016: le contrôle sur les dépenses publiques recommandé appeared first on .
ALGER – Plusieurs mesures ont été prises pour la promotion de la filière agricole et agroalimentaire dont l’élaboration d’une cartographie du potentiel agricole stable à l’export, a indiqué mardi à Alger un haut responsable du ministère de l’Agriculture.
Ces mesures portent notamment sur l’élaboration par ce ministère de la cartographie des produits agricoles et du potentiel stable à l’export, du calendrier des productions agricoles par région, ainsi que la promotion des produits bio et du terroir », a fait savoir le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, Chérif Omari, lors d’un panel dédié à l’exportation des produits agricoles et agro-alimentaires, organisé dans le cadre de la rencontre nationale sur la promotion des exportations.
Il s’agit également d’encourager les projets d’investissement agricole et agroalimentaire dédiés à l’export, notamment les plateformes logistiques, et d’inciter les exportateurs des produits agricoles et agroalimentaires à mieux s’organiser.
Il a aussi évoqué la refonte du Fonds spécial pour la promotion des exportations (FSPE) pour l’intégration de nouvelles rubriques éligibles au financement, dont la prise en charge des frais de transport terrestre des produits exportés notamment vers les pays limitrophes et les autres pays africains.
A ce propos, le taux de subvention sera déterminé sur la base de l’étude technique des coûts de transport, selon les recommandations du panel relatif à l’exportation des produits agricoles.
Il a également été recommandé la révision à la hausse du taux de subvention accordée pour le remboursement du transport international des produits agroalimentaires pour passer de 25% à 50%, et pour les produits agricoles pour un remboursement à hauteur de 50%.
Sur le plan institutionnel, le ministère du Commerce a engagé des conventions en novembre dernier avec les opérateurs de transport (Logistrans, Air Algérie cargo…) à l’effet d’assouplir les procédures de remboursement des frais de transport à l’international, a fait savoir M. Omari.
En outre, il a cité l’élaboration d’un manuel destiné aux exportateurs des produits agricoles, retraçant le déroulement de l’opération d’exportation de l’amont à l’aval, ainsi que les documents administratifs exigés en la matière par tous les organismes concernés par le contrôle des opérations du commerce extérieur.
Il a aussi fait part de l’élaboration d’un dispositif régissant l’octroi du statut d’Exportateur agréé aux exportateurs des produits agricoles et agroalimentaires.
Ce dispositif réglementaire est proposé sur la base des dispositions déjà prises en charge par la Direction générale des douanes dans le cadre du régime de l’opérateur économique agréé: « une plateforme du guichet unique est en projet avec la Direction générale des douanes », a-t-il avancé.
S’agissant du renforcement des capacités nationales en matière de laboratoires de certification d’accréditation et d’analyse des produits agricoles, il a indiqué qu’une feuille de route a été mise en œuvre par le ministère du Commerce à l’effet de renforcer les capacités de certification des laboratoires du CAQE et du LNE avec l’intégration d’autres laboratoires privés et publics à faire accréditer avec l’organisme national d’accréditation (Algérac).
Concernant le renforcement de l’accompagnement de la participation des opérateurs économiques aux foires et salons spécialisés à l’étranger, le représentant du ministère de l’Agriculture a indiqué qu’un Comité intersectoriel chargé de l’élaboration, de la mise en œuvre et de l’évaluation du programme officiel des manifestations économiques a été installé par le ministre du Commerce en octobre dernier.
Ce Comité a adopté un programme pour la période 2019-2020 pour la participation de l’Algérie aux manifestations économiques à l’étranger en donnant la priorité aux salons spécialisés, ce qui permettra une meilleur visibilité aux participants et aux organisateurs, a expliqué M. Omari.
The post Vers une cartographie du potentiel agricole à l’export appeared first on .
ALGER- La promotion des exportations hors hydrocarbures passe par une mobilisation des banques pour l’accompagnement des opérateurs économiques et une simplification des procédures administratives, ont recommandé mardi à Alger les participants à une rencontre nationale sur l’exportation.
L’encouragement des exportations exige également l’extension et le renforcement des prérogatives des entités concernées par la promotion du commerce extérieur, ainsi que la couverture par la CAGEX des risques commerciaux pour procurer davantage de confiance aux opérateurs, ont préconisé les participants à cette rencontre organisée par le ministère du Commerce.
Ils ont aussi souligné la nécessité de créer un fonds de mise à niveau des compétences à l’exportation afin de financer des programmes de formation axés sur les aptitudes nécessaires à l’exportation, appelant à une synergie entre les différentes parties prenantes de la stratégie d’exportation.
Les participants ont, par ailleurs, proposé l’encouragement des produits manufacturés, à forte valeur ajoutée, en mettant en place plus de mesures incitatives, ainsi que la création d’une plateforme d’information numérique sur l’acte d’exporter en Algérie, figurent aussi parmi les recommandations de cette rencontre nationale, présidée par le ministre du Commerce, Said Djellab.
Ils ont évoqué aussi la nécessité de cibler les marchés étrangers à forte croissance et la concrétisation des accords préférentiels avec les groupements régionaux pour augmenter la facilité d’accès aux opérateurs algériens.
Il s’agit également, selon leurs recommandations, de promouvoir la mise en place de zones franches et la multiplication des aires de stockage et dédouanement au niveau des ports et des aéroports pour une meilleure fluidité des exportations.
La promotion des exportations, nécessaire à la diversification de l’économie nationale, passe également par la création d’associations sectorielles d’exportateurs pour contribuer aux orientations du secteur et mettre en oeuvre des mécanismes de soutien aux exportateurs.
Les participants ont enfin relevé la nécessaire implication du secteur privé dans l’objectif de promouvoir l’investissement et donc de la production nationale et l’encouragement du partenariat public/privé.
A l’ouverture des travaux de la rencontre, le ministre du Commerce avait avancé dans son allocution, que la stratégie nationale en cours de finalisation, permettra de lever l’ensemble des obstacles entravant l’exportation des produits hors hydrocarbures.
Une feuille de route sera établie à cette occasion visant à tenir en compte les doléances des opérateurs et des professionnels nationaux de l’exportation.
Placée sous le thème : « La réussite des exportations pour la diversification des revenus », cette rencontre, d’une journée, vise l’établissement d’une « feuille de route » à même de parfaire la stratégie nationale de l’exportation hors du secteur des hydrocarbures, a-t-on appris auprès des organisateurs.
La rencontre tend également à faire le bilan des nombreux salons des produits algériens organisés au cours de cette année, à l’étranger dans le but d’identifier leurs points positifs et négatifs. Ce bilan sera tenu en compte dans l’enrichissement de la stratégie nationale de l’exportation,selon les mêmes responsables.
Le programme de la rencontre, qui a vu la participation de plusieurs ministres, prévoit cinq panels ayant trait respectivement à « la dynamique de promotion des exportations: expériences et témoignages », « L’accompagnement des entreprises algériennes à l’étranger », « Logistique:
les moyens disponibles et les défis d’exportation », « L’exportation des produits agricoles et alimentaires: les mesures prises pour la promotion de ce secteur » et « l’exportation des services et les défis des entreprises débutantes ».
The post La promotion des exportations passe par une mobilisation des banques appeared first on .
La sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne aura un impact positif pour les entreprises britanniques présentes en Chine, estiment majoritairement ces dernières, selon une étude publiée mardi par les Chambres de commerce britanniques en Chine. Une fois sortie de l’UE, la Grande-Bretagne prévoit de signer ses propres accords de libre-échange avec ses autres partenaires commerciaux, notamment la Chine, deuxième puissance économique mondiale. Dans ce contexte, près de 47% des entreprises sondées le mois dernier par les Chambres de commerce britanniques en Chine s’attendent à ce que le Brexit ait un impact positif sur leurs propres débouchés dans le pays, tandis que moins de 8% sont d’un avis contraire.
The post Brexit: les entreprises britanniques en Chine optimistes appeared first on .