Des algériens figureraient parmi les douze personnes arrêtés en Turquie pour appartenance à DAESH, rapporte le site d’information ALG24, citant l’agence de presse officielle turque Anadolu.
« Des ressortissants algériens figurent parmi douze personnes arrêtées en Turquie pour appartenance au groupe terroriste autoproclamé « Etat islamique » (Daech) (…) Si l’agence turque n’évoque pas de ressortissants algériens, France TV annonce, quant à elle sur son site, que des ressortissants de Syrie et d’Algérie y figurent. Ces derniers ont été tous placés en détention après des coups de filet antiterroristes dans la province de Bursa, au nord-ouest de la Turquie. » précise le média.
Par ailleurs, deux françaises recherchées par Interpol font elles aussi partie des personnes soupçonnées d’avoir des liens avec le groupe DAESH et arrêtés par les autorités turques.
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M.T. Hamiani
Pour combattre la misère et la pauvreté, pour résister à la précarisation de nos vies, pour un autre modèle de développement et un véritable partage des richesses produites par tous, avec ou sans emploi.Un revenu décent est un droit fondamental de la déclaration universelle des droits de l’Homme. Pourtant, en Algérie, des millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté. Cette inégalité barbare, qui produit régulièrement morts de misère et souffrances sans fin n’a rien d’une donnée naturelle et intangible. Comme en ont témoigné nombre d’actions, chacun veut vivre, se loger, se déplacer, se cultiver, se distraire, sans être soumis au contingentement des aumônes concédées par les services sociaux ou avoir à dépendre d’organismes caritatifs. Assistance aléatoire et charité sont non seulement insupportables mais aussi parfaitement inefficaces pour faire reculer la misère. Un revenu garanti représente donc avant tout cette exigence de pouvoir tout simplement vivre, sans subir l’indignation permanente des donneurs.
Combattre la précarisation
Le dispositif d’aide à l’insertion professionnelle et les programmes d’emplois d’attentes et de lutte contre la pauvreté, et en l’absence d’une évaluation officielle, ont montré leurs limites, ils ont été détournés de leurs objectifs pour la paix sociale. Aussi, l’administration a été inondée par les jeunes insérés sans aucune étude permettant d’assurer leur avenir professionnel. Le privé, quant à lui, n’a pas joué le jeu mais a seulement profité d’une main d’œuvre gratuite pour qu’elle se retrouve de nouveau en chômage et sans aucun savoir-faire réel.
La micro entreprise, considérée comme la solution miracle du chômage des jeunes, a été et reste un moyen de gaspillage des deniers publics, a créé des chômeurs endettés, en inversant la charge de la preuve, veut faire croire que ce sont les chômeurs et chômeuses qui seraient responsables du chômage. En Algérie, les « politiques de l’emploi » visent à radier massivement pour faire baisser les statistiques, diminuer ou supprimer ces maigres indemnités, et obliger à des emplois forcés, à des salaires de misère et à des conditions de travail de plus en plus dégradées. Le précariat se généralise dans l’ensemble du monde du travail.
Un revenu garanti pour tous, permet au contraire le choix de son emploi ou de sa formation et une autre organisation du travail. C’est non seulement la possibilité de refuser les emplois précaires, sous-payés ou dégradants, mais aussi le moyen d’endiguer la tendance à la baisse des salaires, l’emploi partiel contraint qui contourne le SMIG et les conditions de travail engendrées par le chantage à la misère : l’indemnisation de toutes les formes de chômage permet de combattre la précarisation de nos vies.
Ne payer la force du travail qu’au moment où elle produit de la valeur. C’est l’essence d’un programme humain qui vise ni plus ni moins à défaire ce que des décennies de luttes sociales avaient réussi à obtenir : une définition élargie du salaire. La continuité des droits et d’un revenu est nécessaire pour que l’emploi discontinu ne soit pas une variable d’ajustement permettant des profits les plus invraisemblables, tout en détruisant les droits (SMIG, formations, droit du travail, droit de grève, retraite, santé).
Il n’y a pas de politiques sociales sans un mouvement social qui l’impose : une mobilisation d’ampleur, de nouveaux rapports de forces doivent aujourd’hui imposer une véritable sécurité économique et sociale et un réel partage de la richesse produite collectivement, avec ou sans emploi, de nouveaux droits individuels et collectifs.
Le Pouvoir est toujours celui d’une structure sociale, aussi bien quand il le prend, le pouvoir, et à fortiori quand il l’a. La neutralité sociale du Pouvoir n’existe donc pas. Il est vrai que tous les systèmes ont combattu cette idée, faisant du pouvoir une entité absolue, détachée des contingences sociales et qu’il est, bien entendu, impossible de remettre en question. Démarche tout à fait logique car tout pouvoir installé, institutionnalisé, est conservateur, tout pouvoir est totalitaire dans sa conception qu’il a de lui-même et dans la conception qu’il a des rapports sociaux dont il est le garant. Aucun pouvoir ne peut imaginer la remise en question de la structure sociale, des rapports sociaux, dont il est le garant… ce serait se nier lui-même.
Pour un autre modèle de développement et un véritable partage des richesses produites par tous, avec ou sans emplois.
Le productivisme attaque directement nos conditions de vie. Il prétend apporter la croissance, l’emploi et la réduction des inégalités alors qu’il maintient dans la misère et la pauvreté une grande partie de la population mondiale. Il impose le marché comme seule norme et mesure de l’utilité, le chômage de masse et l’emploi à n’importe quel prix, la concurrence de tous contre tous, en renforçant les processus de domination et en détruisant la richesse des milieux humains et des pays. Un revenu décent – revenu d’existence au minimum-garanti pour tous rend aux citoyens toute leur autonomie dans leur activité. Le travail et l’économie doivent être au service des vivants et non l’inverse. Un salaire social, un revenu garanti est une part de la richesse sociale produite par tous, avec ou sans emploi. C’est un investissement socialement productif. Sans doute n’est-il pas suffisant, mais il est nécessaire pour un autre type de développement et d’organisation du travail. Il remet en cause la part de l’exploitation dans et par l’emploi salarié, en dissociant les moyens économiques de l’existence de la seule condition salariale.
Déconstruire les idéologies dominantes qui bornent notre pensée
La revendication d’un revenu dissocié de l’emploi rencontre des obstacles qui relèvent moins de son caractère – utopique -(ou de son caractère irréaliste du point de vue de son financement) que de la barrière que constitue l’idéologie du travail encore dominante, confortée par une certaine culture qui fait du travail (et du travail salarié) la source de toutes les richesses et donc la condition d’accès au revenu et le facteur de socialisation de l’individu.
Elle peut-être malencontreusement confondue avec une allocation nationale ou universelle misérable et conditionnelle qui poursuivrait la politique libérale de subvention aux entreprises plafonnant les salaires ou encore dédommageant les femmes de leur confinement à la maison. Un niveau suffisamment élevé d’un revenu dissocié de l’emploi répond à cette approche libérale d’un revenu minimum conditionnel de subsistance, conçu comme un solde de tout compte d’un démantèlement sauvage des protections existantes.
Dans le contexte actuel, depuis déjà plusieurs décennies, de la crise du plein emploi, de la norme de l’emploi à plein temps et à vie, la seule utopie pensable serait-elle alors celle d’un retour. au plein emploi, à vie, et à plein temps ?
En oubliant, peut-être, que la crise de cette norme, est aussi portée par le désir d’échapper à l’aliénation du travail massacrant dans les usines, le désir de savoir, d’expérimenter des formes autonomes d’association, d’être mobile, de s’épanouir dans une activité constitutive de l’humain, coopérative et inventive, au lieu d’enfermer sa vie dans un rapport salarial de subordination à l’intérieur d’une entreprise qui décide à notre place quoi et comment produire.
Quelle est la nature de l’activité humaine, qu’est-ce que la richesse, comment on la produit, comment on la partage ?
La taxation des transactions et des flux financiers, les taxes globales et la lutte contre les fraudes fiscales sont en étroite corrélation avec la revendication du droit pour tous à un revenu décent, avec ou sans emploi, pour arracher à la dictature des marchés financiers les moyens de développer des activités infiniment plus enrichissantes que ce à quoi le capitalisme global nous contraint tout en pillant les ressources de notre pays.
Le discours sur le changement ne sera alors plus du simple domaine de la spéculation intellectuelle ou des promesses électorales, il plongera ses racines dans une pratique sociale dans laquelle tout un chacun sera partie prenante.
L’emploi n’est plus l’objectif final des gouvernements ou des entreprises. Le mécanisme qui voulait que la croissance d’aujourd’hui donne les emplois de demain ne fonctionne plus. Les gouvernements comme les institutions internationales ont renoncé au plein emploi, qui servait d’objectif principal.
La recherche maximale de profits à court terme, pour flatter les marchés financiers, est aussi devenue une fin en soi. Le contrat social qui prévalait entre entreprises et leurs employés est rompu, comme le trahit la rémunération scandaleuse des grands dirigeants, alors qu’on impose modération aux salariés.
Il est grand temps d’admettre que, s’il ne peut plus y avoir d’emploi pour chaque être humain, le travail ne doit plus être considéré comme la valeur suprême de nos sociétés, et l’unique source de revenu possible. A moins de rayer 200 millions d’individus de la planète, il devient vital d’élaborer un compromis offrant une place à chacun. Croire que l’entreprise doit créer des emplois ou les conserver coûte que coûte est une erreur fondamentale, c’est oublier, ou ne pas savoir, ou ne pas vouloir savoir quelle est la finalité du système marchand : faire du profit.
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Sid Lakhdar Boumédiene*
L’annonce est stupéfiante et ne serait pas prise au sérieux si l’habitude ne nous en avait pas été donnée. Le ministre de l’économie algérien veut recenser les «fortunes» algériennes. À priori rien d’extraordinaire si on ne prête pas attention avec sérieux à une telle démarche, dangereuse, injustifiée et inefficace. Après la fiche S en France, voilà la fiche F pour l’Algérie ?Je laisserai de côté le fond de ma pensée car sur les réseaux sociaux, elle est violente, tranchée et sans embarras. Une telle manœuvre est grossière et a pour but de dissimuler une colossale imposture. Essayons donc, pour une fois, de garder une sérénité qui aboutisse à une publication devant un lectorat d’un grand quotidien.
Quel est l’intérêt d’un tel recensement ? Commençons par une remarque préliminaire de principe avant de répondre car une telle affaire doit être étudiée dans tous les recoins des problèmes qu’elle soulève.
Cette remarque consiste à poser la question de la définition de ce que serait une « fortune », le ministre ne semble pas en donner une et, surtout, à partir de quelle évaluation la qualifier ainsi ?
Rien de plus instable sur le plan sémantique car pour un travailleur salarié, un simple véhicule devient une fortune. Nous sommes là confrontés au gigantesque problème d’une notion explosive lorsqu’elle est jetée en pâture au public. Pour la sérénité sociale, j’ai déjà vu plus intelligent et plus discret. La délation, le soulagement de conscience en dénonçant « l’autre », la jalousie et tout le reste feront leur effet, dans une société où les fortunes des uns se sont crées au niveau de la frustration des autres.
Il est trop tard maintenant pour prendre cette voie, il faut s’en tenir strictement à un projet politique des démocrates, encadré par des dispositions du droit qui doivent se charger de ce sujet. Laisser le ressentiment populaire s’exprimer sans filtre ni pédagogie du droit, c’est la meilleure manière de faire sombrer la population dans le chaos sans rendre la justice avec efficacité.
Recenser les fortunes, c’est comme faire porter une étoile jaune à certains, d’ailleurs arbitrairement désignés car il faut un régime démocratique puissant et des règles de droit solides pour pouvoir ficher des individus, une information qui finit toujours par être connue par le grand public.
Venons-en maintenant au fond de la question. On partirait de la mission première du ministre de l’économie pour tenter d’exprimer deux justifications à une telle initiative, je n’en vois pas d’autres. La première serait de remettre à plat la base fiscale dissimulée et permettre non seulement de lourdes amendes mais, éventuellement, une réquisition des fortunes mal acquises suivie d’une poursuite pénale.
Mais alors, nous rétorquerons au ministre qu’il est, avec ses prédécesseurs, le dépositaire des fichiers portant état des déclarations des citoyens Algériens et donc de leurs fortunes. C’est tout de même incroyable qu’il faille recenser les fortunes alors qu’elles sont portées, normalement, dans toutes les déclarations notariales et fiscales. Le ministre nous avouerait ainsi qu’il n’en est rien depuis des décennies quant à leur contrôle fiscal ?
N’importe quel Algérien se rendait bien compte de la différence entre un bus bondé du matin et une voiture particulière au prix de trois siècles d’honnête labeur de chacun des citoyens dans ce bus. Il y a très longtemps qu’ils savent que les demeures et les déplacements de certains Algériens à l’étranger sont d’un niveau financier stratosphérique. Personne ne parle d’illégalité, pour le moment, mais d’une simple constatation visuelle, attestée par une intelligence des plus basiques. Alors, vouloir mettre en place un fichier des fortunes me semble aussi délirant que si un Président d’une république bananière se levait un bon matin pour demander une enquête nationale afin de se rendre compte si la corruption existe.
Passons à la seconde justification qui pourrait expliquer la mise en place d’un fichier F, en Algérie et en ce moment. Elle consisterait à revenir sur la mission du ministre de l’économie, celle de favoriser les synergies et renforcer les efficiences des citoyens fortunés, au bénéfice de toute la société.
Un peu comme le Président Macron voulait renforcer la solidité des « premiers de cordée » pour entraîner tous les autres. Nous le savons, la théorie du ruissellement n’a jamais été prouvée, bien au contraire, rien ne ruisselle et tout s’agglomère et se surmultiplie au niveau supérieur.
Et puis, monsieur le ministre ne sait peut-être pas mais la dynamique du groupe des fortunés est déjà en place depuis très longtemps. Ils vivent et se marient entre eux, fréquentent les mêmes endroits clos de villégiature, voyagent et se distraient dans les mêmes destinations, leurs enfants fréquentant les mêmes universités et lieux de distractions à l’étranger.
À qui et à quoi servirait donc un recensement des fortunés, comme on marquerait les bêtes d’un troupeau ? Il est bien tard pour nous convaincre d’une quelconque sincérité et efficacité d’un tel dispositif. S’aventurer dans une démarche de « marquage » n’aurait pour but que de dissimuler une évidente catastrophe nationale. Ce n’est pas tout car nous savons qu’une très lourde part des grosses fortunes a émigré à l’étranger ou a été blanchie dans un réseau national à apparence légale. Il ne reste en Algérie, en proportion, que leurs couscoussières à recenser.
Au final, il existerait pourtant une seule démarche qui pourrait au moins rendre ce recensement crédible, à défaut de lui trouver un intérêt. C’est que monsieur le ministre milite pour que son gouvernement adhère à l’accord international d’échange automatique des données bancaires, signé par une centaine de pays dont j’invite le lecteur à consulter la liste.
Cette possibilité d’obtenir des données bancaires sur les avoirs des résidents nationaux à l’étranger existe depuis très longtemps mais n’avait jamais été efficace tant les blocages administratifs, politiques et judiciaires étaient puissants. Le terme « automatique », dans l’accord du texte récent, change tout car si le ministre des finances souhaitait les connaître, il le pourrait. Son recensement, par ce biais, serait bien plus facile et efficace en temps et en performances.
Pour ma part, je ne suis pas résident en Algérie mais je peux lui communiquer mes données bancaires et fiscales. Je ne crois cependant pas pouvoir décrocher le sésame de la fiche F, très au-delà de mes possibilités. Mince alors !
*Enseignant
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Khaled Boumediene
La criminalité a reculé dans la wilaya de Tlemcen durant l’année 2018 à l’exception des actes de violence commis contre des mineurs et quelques mauvais traitements des femmes. C’est le constat dressé hier par le chef de la sûreté de la wilaya, commissaire principal, Brahim Boudjelal, lors d’une brève entrevue au siège de cette institution, et ce, en présence du responsable de la cellule de la communication et des relations publiques de la sûreté de wilaya, Rachid Belabbaci. Mettant en avant l’efficacité des méthodes mises en place ces derniers temps par ses services, le premier responsable de la police de Tlemcen a tenu à préciser que «la sûreté de la wilaya de Tlemcen ne ménage aucun effort pour garantir la sécurité des personnes et des biens, et la paix publique partout et en toute circonstance.Elle intervient au service de la population en réponse aux appels Police (1548) et aux alertes d’enlèvement d’enfants (appels au numéro vert 104), lutte contre la toxicomanie et les trafics de stupéfiants, lutte contre la criminalité et les violences urbaines avec une part forte dévolue à l’investigation judiciaire, la prévention et la dissuasion de la délinquance par une présence active et visible sur la voie publique, mène des actions préventives et répressives essentielles dans la lutte contre l’insécurité routière, encadre les grands événements, tels que les manifestations sportives et mouvements revendicatifs, assure la sécurité des déplacements de personnalités, la protection des lieux sensibles et plus généralement, la mise en œuvre et le commandement des dispositifs d’ordre public, et joue un rôle majeur dans la sensibilisation et l’information générale des citoyens, des établissements scolaires et un partenariat avec les élus et autres acteurs locaux».
Selon les chiffres présentés par M. Rachid Belabbaci, près de 5.853 affaires ont été enregistrées par la sûreté de wilaya dont 5.172 affaires élucidées (soit un taux de résolution de 88,36%) impliquant 6.753 personnes (463 étrangers) dont 1.574 mises en détention provisoire et 5.238 en liberté. Quant à la lutte contre les trafics de stupéfiants et la toxicomanie, le responsable de la cellule de la communication a fait savoir que la police de Tlemcen a enregistré 539 affaires en 2018 et procédé à la saisie de 23,6 quintaux de kif traité (23 quintaux en 2017), 14.435 comprimés psychotropes, 43 flacons de psychotropes sous forme liquide et 12 grammes de cocaïne. A ce titre, 916 personnes ont été interpellées dont 463 placées sous mandat de dépôt, 271 en liberté, 78 sous contrôle judiciaire et 104 en citation directe. S’agissant du volet de la contrebande, 44 affaires ont été enregistrées par les services de la sûreté de la wilaya, et 77 personnes interpellées dont 19 placées sous mandat de dépôt et 40 en liberté. Dans ce cadre, il a été procédé à la saisie de 63 véhicules, 19 motos, 01 camion, 1.551 kilos de dattes, 23.962 unités de boissons alcoolisées, 15.180 cartouches de cigarettes, 640 kilos de métaux non ferreux, 1.264 comprimés de médicaments, 7.200 sachets de mélasse pour tabac à chicha, 27.000 paquets de mélasse «humidifiant» pour tabac à chicha, 1.173 unités de pétards, 3,4 kilos de corail, 44 téléphones portables, un drone avec ses accessoires, 2.400.000 DA, 8.500 dollars, 51.000 euros et 220 dirhams. Sur le volet de la protection des mineurs, la même source a indiqué que la police a pris en charge 51 mineurs (33 garçons et 18 filles) dont 36 ont été remis à leurs parents, et 15 placés dans des centres psychopédagogiques. Pour les interventions au service des mineurs victimes de violence, il a été enregistré 18 viols, 31 attentats à la pudeur, 05 violences sexuelles, 69 violences volontaires, 08 mauvais traitements et 01 enlèvement.Par ailleurs, les éléments de la sûreté ont relevé 188 cas de femmes victimes de coups et blessures volontaires, 14 cas de violences sexuelles, 61 mauvais traitements et 02 harcèlements sexuels.
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Bencherki Otsmane
Pour l’année écoulée, les autorités de la wilaya de Chlef ont procédé à la distribution de 5.597 logements dont 1.446 logements sociaux. Une goutte dans un océan feront remarquer des citoyens. En effet, ce nombre est insignifiant par rapport aux milliers de demandes de logement déposées au niveau des daïras de la wilaya. Et l’écart ne cesse de se creuser au fil des ans entre l’offre qui n’arrive pas à suivre la demande. Conséquence de cette situation, tous les bénéficiaires de logements sociaux n’ont pu prendre possession de leurs clés de logement qu’après 15 ou 20 ans d’attente. Bien sûr, il y a la formule du LPA qui permet aux citoyens d’accéder au logement par auto-financement. Là également les chiffres parlent d’eux-mêmes. Au cours de l’année 2018 il y a eu seulement 790 personnes qui ont pu réellement habiter leurs nouveaux logements alors que des milliers d’autres attendent toujours. La majorité de ces demandeurs devront prendre leur mal en patience car jusqu’à ce jour aucune construction n’est lancée pour les rassurer.Les demandeurs de logement suivant la nouvelle formule du LPA lancée en grande pompe par les pouvoirs publics depuis plus d’un an et dont de nombreux citoyens se sont précipités pour déposer leurs dossiers au niveau des daïras attendent sa concrétisation réelle sur le terrain. Quant au logement promotionnel et vu le prix du logement oscillant entre un milliard et un milliard et demi de centimes, peu de gens ont été intéressés. La preuve, en 2018 il y a eu seulement 100 personnes qui ont eu le privilège d’habiter ces logements haut standing. Pour ce qui est de la formule AADL dont les pouvoirs publics tablent sur sa réussite pour satisfaire une grande partie des demandeurs de logements, il faut souligner que les programmes en cours ne sont toujours pas réceptionnés. Nous avons appris que 2.000 logements sur les 9.000 prévus seront en principe réceptionnés cette année et distribués selon toute vraisemblance le 19 mars prochain.
Par ailleurs, il est important de souligner que lors de la récente visite du ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, dans la wilaya de Chlef, ce dernier avait fait remarquer que de nombreux projets d’habitat, tous segments confondus, attendent d’être lancés depuis des années malgré les disponibilités financières et de demander aux responsables des entreprises de réalisation d’augmenter le rythme des travaux pour achever les projets AADL.
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Kamel Mohamed
La phase retour des championnats de Ligues 1 et 2, qui reprennent ce week-end, s’annonce périlleuse pour la Ligue de football professionnel. En plus des nombreux reports auxquels sera confrontée la LFP durant la phase retour, la violence risque de ternir la compétition. La qualification du CS Constantine et de la JS Saoura à la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique pose problème pour la LFP qui aura à reporter les matches de ces deux clubs. Le NA Hussein Dey, qui disputera les 8es de finale-bis de la coupe de la CAF, pourrait aussi se qualifier à la phase de poules de cette compétition.Avec trois clubs engagés en coupe d’Afrique, auxquels s’ajoutera le MC Alger qui est toujours en lice en coupe Arabe, la Ligue sera soumise à une forte pression de la part des clubs. Elle doit se montrer intransigeante en ce qui concerne le report des matches certes dans la mesure où elle ne doit pas privilégier les clubs participant aux compétitions internationales au détriment des clubs n’ayant aucun engagement international. Une mission difficile et périlleuse pour la LFP, sachant que le temps joue contre elle.
Les élections présidentielles prévues en avril prochain contraindront la Ligue à reporter deux ou trois journées de championnat durant la campagne électorale et le jour du scrutin. La finale de la coupe d’Algérie doit également se dérouler vers le 1er mai 2019, soit avant la fin du championnat. La LFP est donc appelée à respecter les délais fixés concernant la fin du championnat prévue au début du mois de mai afin de permettre à l’équipe nationale de se préparer à la phase finale de la coupe d’Afrique des nations qui se déroulera en juin prochain. Il faut relever que la phase retour du championnat est différente de la phase aller, compte tenu de l’enjeu des rencontres. Chaque point sera précieux et les clubs évolueront sous une très forte pression pour éviter la relégation pour les uns et jouer le titre ou le podium pour les autres.
La LFP, qui s’est distinguée malheureusement par ses décisions hasardeuses lors de la phase aller du championnat, risque de récidiver et de tomber une nouvelle fois dans ses travers. Les tristes épisodes des décisions de report des matches à 23h00 sur un coup de téléphone ou encore pour des raisons qui demeurent à ce jour obscures, sont autant de facteurs qui font craindre le pire pour la fin du championnat. Aussi, il faut s’attendre à une forte polémique entre les clubs et la FAF et la LFP à la fin du mercato hivernal, le 15 janvier prochain. En refusant de publier la liste des clubs interdits de recrutement, la LFP pourrait se retrouver en train de gérer des faux-problèmes liés au transfert des joueurs, alors que la liste des clubs interdits de recrutement aurait due être publiée en toute transparence afin d’éviter toute polémique. A cela s’ajoute le problème profond de l’arbitrage. Les clubs se plaignent des arbitres qu’ils accusent de corrompus, au moment où les arbitres mettent la pression sur la FAF pour les protéger, mais aussi pour revoir à la hausse leurs indemnités. Il s’agit d’un problème qui est en train de couver et qui pourrait éclater à tout moment.En somme, la politique de compromission adoptée par la LFP et la FAF en ce qui concerne la gestion du championnat et le traitement divers avec les clubs et de l’arbitrage pourrait nuire à la gestion de la compétition et attiser en même temps la violence.
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El-Houari Dilmi
Un jeune âgé d’une vingtaine d’années a été retrouvé sans vie non loin de son domicile, dans la nuit de lundi à mardi, à la «cité Belazreg» sur les hauteurs nord de la ville de Tiaret, a-t-on appris de source hospitalière. Selon la même source, la victime ne portait pas de traces de violence. Sa dépouille a été déposée à la morgue de l’hôpital «Youcef Damardji» de Tiaret et une enquête a été ouverte par les services de la sûreté de wilaya.The post Tiaret: Un jeune homme retrouvé sans vie appeared first on .
Tahar Mansour
La direction de la culture de la wilaya de Blida a profité des vacances scolaires d’hiver pour programmer un nombre important d’activités culturelles au profit des enfants, leur permettant de rompre durant ces quinze jours avec la routine quotidienne et les tracas scolaires. C’est sous le thème de « Journées de divertissements pour les enfants à l’occasion des vacances d’hiver » que ce riche programme a été placé et a compris une pièce théâtrale intitulée « El Fordja » interprétée par les membres de l’association Art et Idées et une visite du musée et du jardin d’essai du Hamma. Les enfants ont eu aussi droit à une pièce théâtrale de l’association Hala oua Ibdaâ intitulée « Le journal de mon grand-père », une autre pièce sous le titre de « Récréation dans la cour de l’école » interprétée par les membres de l’association Tadj El Founoun et une promenade en compagnie de clowns à Chréa.Outre cela, le programme a compris une représentation de marionnettes, une pièce théâtrale interprétée par des enfants et une dernière présentée par l’association « El Holm » (le rêve) sous le titre la princesse de ma société. Ces représentations ont été faites dans quelques villes de la wilaya de Blida et ont été très bien accueillies par les enfants qui ont oublié, pendant quelques jours, le quotidien souvent difficile qu’ils mènent d’ordinaire.
Des parents, rencontrés çà et là, se disent très intéressés par ce genre de programmes qui permet à leurs progénitures de passer des vacances éducatives qui leur font découvrir beaucoup de choses et qui leur apprennent à vivre en société, au lieu qu’ils se retrouvent dans leurs quartiers à improviser des jeux.
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M. Zeggai
Après une trêve de près d’un mois, le championnat de Ligue 2 reprendra demain et s’étalera sur deux jours avec le déroulement de la première journée de la phase retour. C’est l’incertitude qui règne dans la mesure où l’on ne sait pas quelle sera la réaction des joueurs après un repos de plus de quatre semaines. Deux équipes entament cette reprise avec de nouveaux entraîneurs, le RCR avec Abdelkrim Latreche et l’USMB avec Mohamed Henkouche.Au vu de la situation qui prévaut au classement, ce round s’annonce important pour tout le monde compte tenu des objectifs des uns et des autres. Le leader, l’ASO Chlef, entamera la compétition avec un déplacement à Oran pour y croiser le fer avec l’ASMO. Les Chélifiens n’ont pas droit à l’erreur dans la mesure où leurs poursuivants immédiats, le MCEE et le NCM, évolueront chez eux. Quant à l’ASMO, elle est au pied du mur et doit obligatoirement éloigner le spectre de la relégation. Avec quelle équipe se présenteront demain les Asémistes ? C’est la question qui taraude l’esprit des fans oranais, sachant que plusieurs titulaires ont été libérés durant le mercato actuel. Pour sa part, le dauphin, le MCEE, jouera à domicile avec la réception du MCS, toujours sans entraîneur après le départ de Mustapha Sebaâ.
Match à priori favorable aux Eulmis, mais attention à un possible sursaut des Saïdéens, qui sont mathématiquement concernés par la descente. Une autre affiche sera au programme de ce round. C’est celle qui mettra aux prises le NCM, la révélation de la phase aller, et l’USMH, troisième potentiel relégable. Un match plein de suspense entre deux formations aux ambitions diamétralement opposées ayant connu des fortunes diverses durant la première phase du championnat. De son côté, le WAT dispose, avec la venue de la lanterne rouge, l’USMB, d’une belle opportunité pour rester dans le sillage du peloton de tête. Mais les Tlemcéniens devront tout de même rester sur leurs gardes pour éviter toute mauvaise surprise face à un team blidéen qui ne veut pas abdiquer en dépit de sa mauvaise position. Le RCK, quant à lui, accueillera l’ABS avec deux objectifs.
Le premier est de laver l’affront après leur cuisant revers (0-5 à Boussaâda) et, ensuite, engranger des points, ce qui lui permettra d’espérer un éventuel maintien. A Annaba, l’USMAn n’aura pas une partie de plaisir devant l’USB qui dispose de l’une des meilleures attaques du groupe. Les Bônois devront se surpasser pour récolter les trois points face à un team biskri qui se déplacera avec la ferme intention de prendre sa revanche sur une équipe qui lui avait infligé sa première défaite à domicile. De son côté, le RCR a un match difficile à négocier face à son ancien coach Bouakaz et la JSMB. Les Béjaouis, revigorés par leur qualification aux dépens de l’ASAM, comptent continuer sur leur lancée pour améliorer leur position. Les gars du Rapid sont donc avertis. Enfin, à Mostaganem, c’est l’incertitude qui plane lors des retrouvailles entre l’ESM et la JSMS. L’Espérance parviendra-t-elle à confirmer son succès du match aller ? Réponse à l’issue du match.
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M. Zeggai
Plus de 59 milliards, c’est le montant global des dettes des quinze clubs interdits de recrutement. C’est ce que nous a révélé une source digne de foi. A cet effet, la FAF vient de confirmer sa position quant aux litiges de la CRL, ce qui signifie clairement que la décision d’interdiction de recrutement des clubs endettés a été maintenue comme l’atteste le nouveau communiqué de l’instance fédérale. En effet, la FAF a informé les clubs débiteurs que « le recours au Tribunal arbitral des sports (TAS) n’est pas suspensif », ajoutant que « les clubs ayant une dette supérieure à dix millions dinars seront interdits de recrutement », jusqu’à ce qu’ils reçoivent une décision définitive du TAS. Faute de cette décision notifiée du TAS, les clubs débiteurs « devront faire baisser leurs dettes en deçà de 10.000.000 DA », sans quoi ils ne pourront pas recruter. A la veille de la reprise du championnat, ils sont une quinzaine de clubs des deux ligues confondues concernés par cette décision. Il s’agit de l’USMBA, le MCO, la JSK, le DRBT, le CSC et le CABBA (Ligue 1) ainsi que l’USMAn, l’USB, l’USMH, le MCEE, l’USMB, le MCS, le RCR, la JSMB et l’ASO (Ligue 2). Mais il n’est pas à écarter de voir certains clubs, notamment ceux dont la dette n’est pas colossale, puissent assainir leurs situations vis-à-vis de la CRL et qualifier leurs recrues.En revanche, la situation semble difficile et parsemée d’embûches pour les clubs ayant contracté des dettes à coup de milliards.
C’est le cas de l’USMBA (6 milliards 200 millions de centimes, le MCO (4 milliards 400 millions de centimes), la JSK (3 milliards 500 millions de centimes) pour ne citer que ceux-là. En ligue 2, certains clubs se trouvent face à un vrai dilemme en raison des dettes très élevées, à l’image de l’USMAn et l’USB (9 milliards 600 millions centimes chacune), l’USMH (4 milliards 600 millions centimes), le MCEE (4 milliards), l’USMB (3 milliards 700 millions centimes) et le MCS (3 milliards 100 millions centimes), alors que le RCR, l’ASO et la JSMB, leurs dus ne dépassent pas les 15 millions de DA. Cette situation risque de provoquer une grande confusion.
Car, au lieu de trouver les ressources financières, ces mêmes clubs poursuivent leur marché lors de ce mercato hivernal avec le recrutement de nouveaux joueurs, tout en sachant que leurs recrues ne seront pas qualifiées. Bizarre, n’est ce pas ?
Mais il ne faut pas s’étonner dans la mesure où les présidents de clubs ne travaillent jamais avec un projet sportif et un assainissement progressif de la situation financière. Ils ne sont là que pour contenir la colère des supporters dans le seul but de conserver leurs postes et, éventuellement, se tisser des relations avec les autorités locales. Une chose est sûre: au vu de la situation financière de ces clubs, il leur est très difficile de s’acquitter de leurs dettes, ce qui fait que l’on se dirige droit vers une situation de blocage général. Une crise qu’ils ont eux-mêmes créée, en signant des contrats de joueurs avec des salaires faramineux, alors qu’ils savaient pertinemment qu’ils ne pourront pas honorer leurs engagements. Par cette décision, la FAF veut certainement mettre fin à la gestion anarchique des clubs, d’autant plus que les dettes ont dépassé les limites et qu’il faudrait, par conséquent, réagir avant que la situation ne s’aggrave.
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Kadiri Mohamed
L’IRB Teghalimet, l’un des sérieux prétendants en championnat honneur de la wilaya de Sidi Bel-Abbès pour l’accession en Régionale 1, a remporté mardi haut la main la coupe de la wilaya de Sidi Bel-Abbès présidée par l’ex-arbitre international Zerhouni Djamel. Et c’est face au FCK Sidi Yacoub, autre postulant à l’accession, que l’IRBT a glané une précieuse victoire. Pour le moment, ces deux clubs sont en pole position au classement général après leur récent succès en championnat. Pour sa part, l’IRBT avait battu samedi passé l’IRB Dhaya, tandis que le FCK Sidi Yacoub a pris le dessus au cours du derby local face à son voisin, l’AS Sidi Lahcen. Ce mardi, c’est l’IRB Teghalimet qui s’est adjugé la coupe de wilaya de Sidi Bel-Abbès en battant par quatre à zéro le FCKSY. Le score de deux buts par période ne reflète pas fidèlement la physionomie du match, car le vainqueur de cette joute aurait pu corser l’addition au vu des occasions qu’il s’est créées. La barre transversale a sauvé le portier adverse au cours d’une partie dirigée par un trio local, à sa tête Nekkache.On relèvera que cette finale a bénéficié d’une bonne organisation, ceci en conformité avec les bonnes traditions sportives entre les clubs de la wilaya, en présence des fans des deux formations.
Après cette finale qui a eu lieu au stade 24-Février 1956, les deux clubs vont se concentrer sur le championnat où ils sont de sérieux prétendants.
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Saïd Mouas
C’est en présence des ex-internationaux Meçabih Ali et Daoud Bouabdellah ainsi que de nombreux amis et joueurs de l’équipe de Terga que Zellagui Belaid, actuellement alité chez lui à El-Malah, a été honoré. Né en 1937, il est reconnu comme l’un des principaux membres fondateurs du club en 1971.Cet ancien footballeur de talent a évolué au début des années 60 au sein de la formation de Mascara avant de rejoindre la région de Terga en tant que directeur d’un domaine agricole. C’est à lui qu’on doit le choix du terrain qui a servi à la construction du stade du village. Aidé par le regretté maire Berrahil Sahnoun et le secrétaire général de la mairie Bouterfes Mohamed, le dynamique Zellagui Belaid, en sa qualité de premier président du WAC Terga s’investit aux côtés du chevronné entraineur Chorfi Saïd, pour mettre sur pied la première équipe qui va par la suite suivre un remarquable parcours en championnat honneur puis régional.
Le dirigeant Belaid se reconvertit alors dans l’arbitrage et, sur les conseils d’un grand chevalier du sifflet en l’occurrence Tagri Saïd élu premier président de la ligue de wilaya de football d’Aïn Temouchent en 1984, il dirige la commission des arbitres grâce à son expérience et à son niveau d’instruction.
Les habitants de Terga, localité située sur le littoral, également connue pour sa station balnéaire, ont tenu à travers l’association des anciens joueurs du Widad Athlétic Club de Terga, à lui rendre hommage pour tous les services rendus au football. Sa famille et ses enfants présents, fortement émus par ce geste, ont remercié le président de l’amicale, Djebbari Boumediènne, et tous ses anciens camarades venus s’enquérir de l’état de santé de ce sportif dévoué. Ce n’est pas la première fois que la dite association organise de telles rencontres et pour cela elle mérite des encouragements et surtout une assistance financière afin de concrétiser son riche programme d’action.
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Ali Sadji
A l’issue de cette quatrième journée disputée mardi, le NC Béjaïa est désormais seul leader de la poule Centre-Ouest, après que son ex-colocataire de la première place, le MB Béjaïa, eut subi chez lui une lourde défaite devant le GS Pétroliers. Pour sa part, le NCB s’est imposé sur ses terres devant le WA Tlemcen, ce qui lui permet donc d’occuper sans partage le fauteuil de leader devant le Machaâl et le GSP, qui rejoint sa victime du jour à la seconde place, à trois longueurs du leader mais avec un match en moins. A noter dans cette poule les premiers points enregistrés par le RC Msila, qui est allé s’imposer à El-Kseur au tie-break, laissant ainsi l’OEK local à la dernière place du tableau en compagnie du PO Chlef, exempt cette journée.La poule Centre-Est a vu pour sa part l’ES Sétif s’accaparer du fauteuil de leader après sa victoire à Sétif sur le promu, la JM Batna et ce, en l’absence du NRB Bordj Bou Arréridj, exempt. Ceci étant, on attendait plutôt le team d’El-Milia dans cette pole position, lui qui était dauphin de Bordj à un point, mais la défaite subie par l’OMK à Tadjenanet devant l’EST local au tie-break a empêché ce scénario, et c’est à la seconde place en compagnie du NRBBA que demeure l’OMK, à une longueur de Sétif, sachant que le NRBB compte un match en moins. La rencontre entre l’EF Aïn-Azel et la JSC Ouled Adouane s’est jouée hier.
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Ali Sadji
Dans le groupe A, l’ES Aïn-Touta, qui occupe la pole position depuis le début de la compétition avec autant de victoires que de rencontres disputées, ne se fera sans doute pas trop de soucis pour son déplacement à Béchar où il affronte le club local de la JSS pour le compte de cette onzième journée. Il est vrai que la différence de niveau entre les deux formations est flagrante.Rappelons que lors de la confrontation entre ces deux formations à l’occasion de la quatrième journée, Aïn-Touta l’avait emporté chez lui avec une marge confortable de neuf buts d’écart, mais cela incitera peut-être l’équipe de la Saoura à se surpasser pour tenter de prendre sa revanche et être ainsi la première à battre le leader.
C’est en tous cas ce qu’espère son dauphin, le GS Pétroliers, qui suit à trois longueurs et qui pourrait ainsi réduire l’écart, lui qui est largement favori en recevant la lanterne rouge, le C. Chelghoum Laïd. Le CRB Baraki, qui se trouve à quatre points du dauphin et à sept du leader, jouera samedi à domicile avec la réception du HBC El-Biar, une équipe à priori pas en mesure de lui poser de problèmes, alors que le CRA El-Harrouch, l’équipe en forme du moment en dépit de la défaite sur un score étriqué la précédente journée devant le GSP, devrait renouer avec le succès à l’occasion de la venue de l’ES Arzew. Le groupe B verra également son leader, l’IC Ouargla, se déplacer chez le voisin d’El-Oued, une équipe assez mal en point, ce qui devrait profiter à la formation des Oasis pour se maintenir en tête, elle qui est sous la menace de ses deux dauphins qui ne sont qu’à un seul point.
A cet égard, le grand bénéficiaire d’un éventuel faux pas du leader pourrait être le CRB Bordj Bou Arreridj lequel reçoit la lanterne rouge, le MB Tadjenanet, tandis que son colocataire de la seconde place, la JSE Skikda, se déplace à Annaba où il risque de ne pas connaître un après-midi tranquille. Enfin, le CRB Mila sera sur ses terres face au MC Saïda pour une rencontre qui s’annonce équilibrée.The post Handball – Division Excellence: Les leaders de sortie dans les deux groupes appeared first on .
ÉTAPE 1Préparation de la crème : pour une crème onctueuse, mélangez le fromage frais type « St Moret » à la crème légère. Salez et poivrez à votre goût. Réservez la crème au frais pendant 1 h minimum. Placez ensuite cette crème dans une poche à douille.
ÉTAPE 2Sur une planche en bois, découpez le saumon fumé en petites tranches (de la taille de vos crackers).
ÉTAPE 3Le montage : disposez le mélange avec la poche à douille sur vos crackers. « Coiffez » vos toasts avec la tranche de saumon et terminez par un brin d’aneth.
ÉTAPE 4Réservez au frais avant de servir. Complétez d’une rondelle de citron vert pour la décoration.
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ÉTAPE 1Mélangez les farines. Délayez la levure dans le lait tiédi avec le sucre et le sel.
ÉTAPE 2Versez peu à peu sur la farine, la pâte doit avoir la consistance d’une crème.
ÉTAPE 3Joignez les jaunes d’oeufs et le beurre fondu.
ÉTAPE 4Quand la pâte est bien lisse, couvrez-la d’un linge et laissez lever dans un endroit tiède pendant 2 heures.
ÉTAPE 5Ajoutez alors le verre de lait chaud, puis les blancs d’oeufs battus en neige.
ÉTAPE 6Faites cuire les blinis au dernier moment dans une petite poêle légèrement huilée (12 à 15 cm de diamètre environ).
ÉTAPE 7Coupez les tranches de saumon et le citron en rondelles.
ÉTAPE 8Disposez les dans des petites assiettes avec une tranche de saumon, une rondelle de citron et un peu de fromage frais.
ÉTAPE 9Servez tiède avec une petite salade verte.
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ÉTAPE 1Préparez les cookies :
ÉTAPE 2Laissez le beurre à température ambiante 1 heure avant.
ÉTAPE 3Préchauffez le four th.7 (210°C).
ÉTAPE 4Dans un saladier ajoutez la farine, le beurre coupé en dés, l’œuf et le sel, mélangez.
ÉTAPE 5Sur la plaque d’un four recouverte de papier sulfurisé, disposez des petits tas de pâte espacés.
ÉTAPE 6Enfournez pendant 10 min.
ÉTAPE 7Préparez la garniture :
ÉTAPE 8Lavez et zestez le citron vert.
ÉTAPE 9Mixez 2 tranches de saumon fumé.
ÉTAPE 10Dans un bol mélangez les zestes, le saumon mixé et le fromage frais.
ÉTAPE 11Disposez la préparation sur les cookies à l’aide d’une douille.
ÉTAPE 12Décorez de morceaux de saumon sur le dessus.
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Chez Kia Al Djazair, 3 modèles KIA assemblés au niveau de l’usine Gloviz/Kia de Batna sont disponibles à la commande, avec des délais de livraison qui vont de 15 jours à 4 mois.
Dans le détail, voici les modèles KIA disponibles à la commande en ce moment chez Kia Al Djazair ainsi que les délais de livraison de chaque modèle :
Picanto LX Start 1.2 ess 84ch : 1.390.000 da (livraison en 4 mois)
Picanto LX Start + 1.2 ess 84ch : 1.460.000 da (livraison en 4 mois)
Picanto LX Start+ 1.2 ess 84ch BVA : 1.560.000 da (livraison en 4 mois)
Picanto EX Motion 1.2 ess 84ch : 1.763.000 da (livraison en 15 jours)
Picanto GT-line 1.2 ess 84ch : 1.970.000 da (livraison en 15 jours)
Kia Rio:
Rio LX Start 1.4l ess 100ch : 1.790.000 da (livraison en 3 mois)
Rio LX Confort 1.4l ess 100ch : 1.899.000 da (livraison en 3 mois)
Rio LX Confort 1.4l ess 100ch BVA : 2.050.000 da (livraison en 3 mois)
Rio EX Motion 1.4l ess 100ch : 2.280.000 da (livraison en 20 jours)
Rio EX Motion 1.4l ess 100ch BVA : 2.380.000 da (livraison en 20 jours)
Kia Sportage :
Sportage City Line 2.0 CRDI 178ch 4×2 : 3.755.000 da (livraison de 45 jours à 2 mois)
Sportage City Line 2.0 CRDI 178ch 4×2 BVA : 3.880.000 da (livraison de 45 jours à 2 mois)
Sportage City Line 2.0 CRDI 178ch 4×4 BVA : 4.090.000 da (livraison de 45 jours à 2 mois)
Sportage Sensation 2.0 CRDI 178ch 4×4 BVA : 4.638.000 da (livraison de 45 jours à 2 mois)
Sportage GT-line 2.0 CRDI 178ch 4×4 BVA : 4.970.000 da (livraison de 45 jours à 2 mois)
Il est utile de rappeler que les Kia Picanto et Rio sont également disponible en version GPL, pour 70.000 da de plus que le prix de vente du modèle en essence.
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Cima Motors a decidé de prolonger sa promotion sur les Hyundai i20 CRDi et le Creta GLS, qui s’affichent au prix de 2.199.000 da et 3.288.800 da respectivement.
Aux cotés de ses deux modèles, la Hyundai i10 est également disponible dans sa version GL au prix de 1.539.000 da, la i30 dans es deux versions BVM et BVA, la i40, et le Tucson. Voici les modèles disponibles :
Hyundai Grand i10 DZ GL 1.2 ess 87ch : 1.539.000 DA
Hyundai i20 facelift 1.4 ess 100ch BVA : 2.100.000 DA
Hyundai i20 facelift 1.4 CRDI 90ch : 2.200.000 DA
Hyundai New i30 DZ 1.6 MPi 130ch : 2.579.900 DA
Hyundai New i30 DZ 1.6 MPi 130ch BVA : 2.979.900 DA
Hyundai i40 1.7 CRDI 140ch : 3.199.000 DA
Hyundai i40 1.7 CRDI 140ch BVA DCT 7 : 3.899.000 DA
Hyundai Creta DZ GLS 4×2 1.6 CRDI 128ch BVA : 3.283.800 DA
Hyundai New Tucson GL DZ 2.0 CRDI 4×2 177ch BVA : 3.899.000 DA
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