«M’hamed Issiakhem: père de la peinture moderne algérienne», est le titre d’un documentaire sur la vie et l’oeuvre de ce peintre, réalisé par Hafida Meraksi. Cette oeuvre, soutenue par la maison de la culture Zeddour Brahim Belkacem d’Oran, est l’aboutissement d’une recherche approfondie sur M’hamed Issiakhem (1928/1985), sa vie, son itinéraire artistique et sa contribution au développement de l’art pictural national, a souligné Hafidha Meraksi, cadre de cet établissement culturel. Ce documentaire se base sur des témoignages des proches du défunt artiste et traite également de ses oeuvres artistiques qui reflètent ses souffrances, ses blessures physiques et intérieures et son fort attachement à son peuple et à sa société. Cette oeuvre audiovisuelle vise à faire découvrir aux jeunes artistes M’hamed Issiakhem, cette figure de la peinture algérienne, l’une des plus connues et des plus appréciées à l’échelle mondiale. Le documentaire a été projeté, lors de la cérémonie de clôture du Salon national des arts plastiques, organisé dernièrement à Oran en présence d’un grand nombre d’artistes de différentes générations.
The post M’HAMED ISSIAKHEM Un documentaire sur le parcours du plasticien appeared first on .
C’est demain que débutera la phase retour décisive de la Ligue 1 Mobilis. Et qui dit phase retour, veut dire gros enjeux. Et au vu de la navigation à vue des responsables de la FAF et de la Ligue de football dans le traitement des différents problèmes que pose le «professionnalisme à l’algérienne», il est très important d’avertir de tous les dangers qui guettent notre scène footballistique d’ici à la fin de la saison. Le premier danger est bien évidemment ce fléau social face auquel tous les dispositifs prônés ont échoué. Ce qui s’est passé, avant-hier, à Jijel lors du match des 1/16es de finale de la coupe d’Algérie entre le CR Village Moussa et le MC Alger, en «ouverture» de cette année 2019 en est la preuve concrète pour une vigilance extrême.
Les chiffres de la violence qui font peur
Quatorze personnes, dont six éléments de la police, ont été blessées à divers degrés suite à des jets de pierre et de projectiles de la part des pseudos-supporters du Village Moussa.
Et justement, ces chiffres doivent être ajoutés au dernier bilan de la direction générale de la Sûreté nationale (Dgsn) arrêtés au 17 novembre dernier.
Ces chiffres indiquent bien le retour «en force» de ce fléau au premier plan dans les stades de football, avec 53 cas de violence enregistrés sur le territoire national (385 personnes blessées dont 105 policiers et 66 véhicules endommagés dont 53 appartenant aux services de l’ordre).
D’où, la nécessité absolue de mettre le paquet pour combattre ce fléau en débutant par des campagnes de sensibilisations tous azimuts avec l’implication de tous et allant jusqu’à l’application stricte des règlements et surtout des lois de la République, sans aucune complaisance et surtout en sanctionnant ces fauteurs de troubles «récidivistes» avec la fermeté qu’il faudrait pour que ces sanctions servent de leçons à tous ceux qui veulent ou qui pensent utiliser la violence comme expression de mécontentement.
Attention particulière à l’arbitrage
Or, les derniers évènements de Jijel, montrent également, que l’arbitrage joue un rôle si important dans la gestion d’un match de football que celui-ci constitue justement un «corps» qu’il faut d’abord bel et bien «assurer» et «rassurer» et donc le «soutenir» pour que les arbitres «honnêtes» soient débarrassés de toute influence négative les poussant «volontairement» ou «instinctivement» aux erreurs pouvant être fatales. Là, et tout comme c’est le cas pour les clubs endettés qui sont «avertis» par la FAF, l’instance fédérale et sa tentacule la Ligue de football se doivent également d »avertir» les responsables des clubs d’avoir des comités de supporters dignes de ce nom.
La difficile mission de la programmation
D’autre part, les responsables de la programmation des matchs se doivent vraiment de «réfléchir» d’une manière pragmatique à respecter cette satanée programmation pour terminer ce cham pionnat à la date prévue.
Le temps imparti pour le déroulement de ce championnat est bien court, faut-il bien le souligner. Et là, il est utile de rappeler que la fin du championnat 2018-2019 est prévue pour le dimanche 5 mai 2019. Cette décision a été prise le 30 juillet dernier en raison du déroulement, en été, de la prochaine coupe d’Afrique des nations (CAN 2019), prévue du 7 au 30 du mois de juin.Et comme l’élection présidentielle est prévue au mois d’avril, les responsables concernés par la programmation se doivent donc de bien comprendre la «complexité» de cette mission qu’ils doivent assurer durant cette phase retour du championnat d’Algérie bien décisive. Ce ne sont là que des paramètres des plus importants, parmi tant
d’autres, qu’il faut prendre en considération pour assurer le bon déroulement des compétitions du football dans notre pays. L’appel à la sagesse, à la vigilance et au sens des responsabilités de chacun, du simple petit supporter aux responsables quels que soient leurs statuts est d’importance capitale pour éviter tout dérapage…
The post COUP D’ENVOI DE LA PHASE RETOUR DÉCISIVE, CE WEEK-END Le fair-play sera le grand enjeu appeared first on .
Mardi, des affrontements ont opposé le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham (HTS), dominé par l’ex-branche d’Al-Qaïda, à une coalition de groupes rebelles et ont eu lieu dans l’ouest de la province d’Alep.
Au moins 19 personnes, dont la plupart étaient des combattants, ont été tuées mardi dans des affrontements entre des terroristes et des groupes extrémistes rebelles dans le nord de la Syrie, a rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). Ces affrontements ont opposé le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham (HTS), dominé par l’ex-branche d’Al-Qaïda, à une coalition de groupes rebelles et ont eu lieu dans l’ouest de la province d’Alep.
Les terroristes de HTS ont accusé lundi le groupe rebelle Noureddine Zinki d’avoir tué cinq de leurs combattants et ont alors lancé une offensive contre des positions rebelles dans cette province limitrophe de celle d’Idlib. 12 combattants de HTS, cinq membres du groupe Noureddine Zinki et deux civils ont péri dans les affrontements, selon l’OSDH qui a fait mention de 35 autres personnes blessées. Le groupe Noureddine Zinki est une des principales composantes du Front national de libération (FNL), l’alliance rebelle la plus importante en Syrie, soutenue par la Turquie. HTS et d’autres groupes terroristes dominent plus de la moitié de la province voisine d’Idlib, ultime grand bastion insurgé en Syrie. Le reste de la province est essentiellement sous contrôle du FNL. Les deux formations sont à couteaux tirés depuis deux ans et s’affrontent régulièrement pour prendre le contrôle de territoires.
Près de huit ans après le début d’une guerre dévastatrice en Syrie, les groupes extrémistes opposants au régime syrien assistent impuissants au retour en force du président Bachar al-Assad, après avoir été lâchés par leurs soutiens internationaux. Après l’euphorie des «victoires» en mars 2011, dans le sillage du Printemps arabe, des milliers de civils et de déserteurs avaient rejoint les milices instrumentalisées par les pays de la région qui cherchaient à abattre le régime syrien au grand profit d’Israël. Soutenus au début de leur prétendue «révolution» par les Occidentaux, la Turquie et certains Etats arabes, notamment, rebelles et terroristes ont été abandonnés au fil des ans par leurs «parrains» qui ont vu leurs intérêts évoluer et diverger, selon les experts. Face à la machine de guerre du pouvoir, aidé de ses alliés indéfectibles russe, iranien et le Hezbollah libanais, les forces extrémistes ont été de défaite en défaite et ont subi de multiples revers, perdant depuis 2015 tous leurs fiefs. Ils sont aujourd’hui acculés dans la province d’Idlib (nord-ouest), où ils sont dominés par une alliance terroriste baptisée Hayat Tahrir al Cham, elle-même issue d’Al Nosra, branche syrienne d’Al Qaïda, ainsi que dans de minuscules zones de la province voisine d’Alep. Ebranlé par les assauts conjugués de la coalition internationale que dirigent les états-Unis et par les offensives des factions terroristes dans plusieurs villes du pays, l’état syrien a vécu une tourmente de 2011 jusqu’à l’été 2015. Mais en octobre, le régime, accusé d’attaques chimiques, de tortures et d’arrestations arbitraires, a réussi non seulement à se maintenir mais aussi à reconquérir les majeures parties du territoire grâce, surtout, à l’appui russe. Il contrôle désormais plus des deux-tiers de son territoire et semble sur la bonne voie pour briser son isolement diplomatique régional. Quant à l’opposition politique en exil, sa voix peine à se faire entendre. Plusieurs séries de négociations indirectes avec le régime sous l’égide de l’ONU n’ont jamais abouti. Au début du conflit, les pays du Golfe comme l’Arabie saoudite ont activement soutenu la rébellion, fournissant financements et armement, mais leur aide s’est tarie. Avec Donald Trump qui va retirer ses soldats de Syrie, la Russie et l’Iran et, dans une moindre mesure, la Turquie qui appuie certains groupes rebelles, ont désormais les cartes en main.
The post LES GROUPES EXTRÉMISTES ET REBELLES SONT EN PLEIN DÉSARROI A Damas, la paix revient pas à pas appeared first on .
Outre le cessez-le-feu, l’accord prévoit un échange de 15.000 prisonniers ainsi que des mesures pour faciliter l’acheminement de l’aide à Taëz (sud-ouest), ville aux mains des loyalistes et assiégée par les Houthis. Les pourparlers inter-yéménites reprennent fin janvier.
Les parties en conflit au Yémen, le mouvement armé «Ansarullah» (Houthis) et le gouvernement, continuaient mardi de s’accuser mutuellement sur la non application de l’accord, signé entre les belligérants sous les auspices de l’ONU en Suède, qui vise à entamer des discussions de paix et à mettre fin aux hostilités dans le pays. Les éléments du mouvement «Ansarullah» (Houthis) ont commencé à se retirer du port de Hodeïda, une ville clé de l’ouest du Yémen, en application d’un accord conclu avec le gouvernement début décembre, un retrait mis en doute par des officiels yéménites. Les Houthis ont commencé samedi «la première phase de redéploiement (en se retirant) du port de Hodeïda», selon un responsable du mouvement Ansarullah à l’agence de presse yéménite Saba. Mais un officiel pro-gouvernemental a fait part de la «surprise» des loyalistes. «A qui ont-ils (les houthis, ndlr) confié le port, et comment»? a-t-il demandé, ajoutant que «les Houthis ont profité de leur contrôle de Hodeïda pur placer leurs combattants dans la marine et les gardes-côtes, ce qui est une source d’inquiétude pour le gouvernement légitime». Dans un communiqué, repris par l’agence Saba, un autre officiel pro-gouvernemental a estimé qu’il s’agissait «d’une tentative transparente pour modifier le sens de l’accord» obtenu au début du mois en Suède.
L’accord parrainé par l’ONU et conclu en Suède prévoit une trêve qui est déjà entrée en vigueur le 18 décembre à Hodeïda, principal front du conflit et point d’entrée de l’essentiel des importations du pays et des aides humanitaires. La ville est contrôlée depuis 2014 par les Houthis contre lesquels les forces gouvernementales avaient mené une offensive pour tenter de reprendre le contrôle de la cité. Les forces gouvernementales sont ainsi tenues de se retirer des parties de la ville qu’ils ont conquises.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a décidé la semaine dernière d’envoyer des observateurs civils au Yémen pour notamment sécuriser le fonctionnement du port stratégique de Hodeïda et superviser l’évacuation des Houthis de cette ville. Toutefois, la trêve reste fragile: dans les faits, les combats, escarmouches et autres échanges de tirs n’ont pas réellement cessé depuis son entrée en vigueur alors que les deux parties s’accusent mutuellement de la violer. Outre le cessez-le-feu, l’accord de Suède prévoit un échange de quelque 15 000 prisonniers ainsi que des mesures pour faciliter l’acheminement de l’aide à Taëz (sud-ouest), ville aux mains des loyalistes et assiégée par les Houthis. Les pourparlers interyéménites doivent reprendre fin janvier.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a estimé samedi que les Nations Unies vont continuer à rassembler les peuples afin de construire des ponts et créer des espaces, pour des solutions en 2019. Dans son message du Nouvel An, le chef de l’ONU a fait remarquer que le monde subit une épreuve d’effort, car le changement climatique va vite, les divisions géo-politiques s’approfondissent, les inégalités progressent et des nombres records de personnes se déplacent pour rechercher la sécurité et la protection. Malgré ces défis, M. Guterres a dit qu’il y a aussi des raisons d’espérer, soulignant les progrès réalisés au niveau des négociations sur le Yémen, des tensions en Ethiopie et en Erythrée, du conflit au Soudan du Sud, et de la mise en oeuvre de l’Accord de Paris sur le climat. Dans ce contexte, le Programme alimentaire mondial (PAM) a accusé lundi les Houthis de détourner une partie de l’aide humanitaire à destination du Yémen et appelé à des mesures urgentes pour arrêter ce «comportement criminel». Faute de quoi, le PAM serait contraint de cesser sa collaboration avec les Houthis, a affirmé cette agence des Nations unies pour l’aide alimentaire d’urgence, basée à Rome. Une grande partie de l’aide destinée aux habitants de la capitale Sanaa, contrôlée par le mouvement armé, n’est jamais arrivée à destination, a précisé le PAM dans un communiqué. D’autres cas de détournement ont également été relevés dans d’autres régions du pays contrôlées par les Houthis, ajoute le PAM. De leur coté, les Houthis ont nié mardi détourner une partie de l’aide humanitaire envoyée aux civils, accusant le PAM d’acheminer «des aliments avariés» dans le pays.
The post AU YÉMEN, LES BELLIGÉRANTS S’ACCUSENT D’ATTEINTES À L’ACCORD DE STOCKHOLM L’ONU maintient la pression pour la paix appeared first on .
Les parties en conflit au Yémen, le mouvement armé « Ansarullah » (Houthis) et le gouvernement, continuaient mardi de s’accuser mutuellement sur la non application de l’accord, signé entre les belligérants sous les auspices de l’ONU en Suède, qui vise à entamer des discussions de paix et à mettre fin aux hostilités dans le pays.
Les éléments du mouvement « Ansarullah » (Houthis) ont commencé à se retirer du port de Hodeida, une ville clé de l’ouest du Yémen, en application d’un accord conclu avec le gouvernement début décembre, un retrait mis en doute par des officiels yéménites.
Les Houthis ont commencé samedi « la première phase de redéploiement (en se retirant) du port de Hodeida », selon un responsable du mouvement Ansarullah à l’agence de presse yéménite Saba.
Mais un officiel pro-gouvernemental a fait part de la « surprise » des loyalistes. « A qui ont-ils (les houthis, ndlr) confié le port, et comment », a-t-il demandé, ajoutant que « les Houthis ont profité de leur contrôle de Hodeida pur placer leurs combattants dans la marine et les gardes-côtes, ce qui est une source d’inquiétude pour le gouvernement légitime ».
Dans un communiqué, repris par l’agence Saba, un autre officiel pro-gouvernemental a estimé qu’il s’agissait « d’une tentative transparente pour modifier le sens de l’accord » obtenu au début du mois en Suède.
L’accord parrainé par l’ONU et conclu en Suède prévoit une trêve qui est déjà entrée en vigueur le 18 décembre à Hodeida, principal front du conflit et point d’entrée de l’essentiel des importations du pays et des aides humanitaires. La ville est contrôlée depuis 2014 par les Houthis contre lesquels les forces gouvernementales avaient mené une offensive pour tenter de reprendre le contrôle de la cité.
Les forces gouvernementales sont ainsi tenues de se retirer des parties de la ville qu’ils ont conquises. Le Conseil de sécurité de l’ONU a décidé la semaine dernière d’envoyer des observateurs civils au Yémen pour notamment sécuriser le fonctionnement du port stratégique de Hodeida et superviser l’évacuation des Houthis de cette ville.
Toutefois, la trêve reste fragile: dans les faits, les combats, escarmouches et autres échanges de tirs n’ont pas réellement cessé depuis son entrée en vigueur alors que les deux parties s’accusent mutuellement de la violer.
Outre le cessez-le-feu, l’accord de Suède prévoit un échange de quelque 15.000 prisonniers ainsi que des mesures pour faciliter l’acheminement de l’aide à Taëz (sud-ouest), ville aux mains des loyalistes et assiégée par les Houthis. Les pourparlers interyéménites doivent reprendre fin janvier.
Guterres lance un appel en faveur de l’unité
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a estimé samedi que les Nations Unies vont continuer à rassembler les peuples afin de construire des ponts et créer des espaces, pour des solutions en 2019.
Dans son message du Nouvel An, le chef de l’ONU a fait remarquer que le monde subit une épreuve d’effort, car le changement climatique va vite, les divisions géo-politiques s’approfondissent, les inégalités progressent et des nombres records de personnes se déplacent pour rechercher la sécurité et la protection.
Malgré ces défis, M. Guterres a dit qu’il y a aussi des raisons d’espérer, soulignant les progrès réalisés au niveau des négociations sur le Yémen, des tensions en Ethiopie et en Erythrée, du conflit au Soudan du Sud, et de la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le climat.
« Alors que nous nous apprêtons à commencer cette nouvelle année, prenons la résolution de faire face aux menaces, de défendre la dignité humaine et de construire – ensemble – un meilleur avenir », a ajouté le secrétaire général. « Lorsque la coopération internationale fonctionne, c’est le monde qui gagne », a-t-il dit.
Dans ce contexte, le Programme alimentaire mondial (PAM) a accusé lundi les Houthis de détourner une partie de l’aide humanitaire à destination du Yémen et appelé à des mesures urgentes pour arrêter ce « comportement criminel ».
Faute de quoi, le PAM serait contraint de cesser sa collaboration avec les Houthis, a affirmé cette agence des Nations unies pour l’aide alimentaire d’urgence, basée à Rome. Une grande partie de l’aide destinée aux habitants de la capitale Sanaa, contrôlée par le mouvement armé, n’est jamais arrivée à destination, a précisé le PAM dans un communiqué.
Plusieurs rapports ont établi qu’une partie de cette aide alimentaire était en fait mise en vente sur les étals des marchés de la capitale yéménite, après avoir été détournée par une organisation contrôlée par les Houthis et chargée par le PAM de la distribution de cette aide à Sanaa.
D’autres cas de détournement ont également été relevés dans d’autres régions du pays contrôlées par les Houthis, ajoute le PAM. De leur coté, les Houthis ont nié mardi détourner une partie de l’aide humanitaire envoyée aux civils, accusant le PAM d’acheminer « des aliments avariés » dans le pays.
Le conflit entre les houthis, et les troupes loyales au président Abd Rabbo Mansour Hadi, s’est intensifié en mars 2015 avec l’intervention de la coalition militaire sous commandement saoudien aux côtés des progouvernementaux.
La crise au Yémen a fait au moins 10.000 morts depuis 2015 et provoqué la pire crise humanitaire au monde et jusqu’à 20 millions de personnes sont « en situation d’insécurité alimentaire », selon l’ONU.
The post Accord de Suède sur le Yémen: les belligérants s’accusent mutuellement appeared first on .
MEDEA – L’ancien centre ville de Médéa, dont les premières édifications remontent à plusieurs siècles, vient d’être classé site sauvegardé du patrimoine national, a révélé jeudi le directeur local de la Culture.
Ce classement en site sauvegardé est le « couronnement » d’une longue procédure, qui a durée plus de quatre années et ayant abouti à l’intégration de l’ancien centre ville de Médéa au patrimoine national, a indiqué, à l’APS, Brahim Benabderrahmane, ajoutant qu’une étude portant élaboration d’un plan permanent de sauvegarde et de préservation du site sera lancée, dans les tous prochains jours, dans la perspective de sa mise en valeur.
Une étude préliminaire, axée sur l’historique du tissu urbain à classer, l’analyses des différents styles architecturaux qui composent ce site, ainsi que la récolte de données historiques et documentaires inhérentes à ce dernier, avait été réalisée dans le cadre de la procédure de classification, a-t-il expliqué.
Le plan permanent de sauvegarde de l’ancien centre ville de Médéa va permettre, selon ce responsable, de déterminer les futures actions à entreprendre sur le site, de façon a mieux le valoriser, d’une part, et le protéger contre toute forme d’atteinte susceptible de porter préjudice à ce patrimoine.
La direction de la Culture va opter, lors de la mise en œuvre de ce plan de sauvegarde, pour une démarche « participative » visant à associer, aussi bien le mouvement social, les notables, les chercheurs, que les élus et les différentes administrations techniques, dans l’exécution de chacune des étapes, a fait savoir le responsable.
Le but de cette démarche est de proposer les meilleures idées, coordonner le travail sur le terrain et situer le champ d’intervention de chaque partie, notamment quant à la nature des travaux à réaliser au niveau du site sauvegardé, et veiller à préserver le cachet particulier de patrimoine, a-t-il conclu.
The post L’ancien centre ville de Médéa classé site sauvegardé appeared first on .
ALGER – Le duo Mohamed Akil – Rabie Kohli du CSA Chorta d’Oran a été sacré champion d’Algérie de judo kata, spécialité Nage No Kata, lors de la finale disputée jeudi à la salle Harcha-Hacène (Alger) avec la participation de sept équipes.
Akil et Kohli avec un total de 471 points, ont devancé le duo du DSM Boudouaou composé des frères Meroune et Nacer Bouguetaya (424 pts) alors que Mohamed et Rabie Amrani du WAFA Sidi Bel Abbes ont complété le podium avec 391 points.
Cette neuvième édition du Championnat d’Algérie de judo kata a été marquée par l’annulation des épreuves féminines faute de participantes, ont indiqué les organisateurs.
Les épreuves du Championnat d’Algérie de judo seniors se poursuivent vendredi et samedi avec le déroulement des épreuves de kumité individuelles, messieurs et dames.
La journée de vendredi sera consacrée aux poids légers avec six finales au programme de la compétition. Il s’agit des catégories (-60kg, -66 kg, -73kg) chez les messieurs et (-48kg, -52kg, -57kg) chez les dames.
Les éliminatoires débuteront à partir de 9h00 du matin, alors que les finales sont prévues à partir de 16h00.
Selon le directeur technique national (DTN) de la Fédération algérienne de judo (FAJ), Salim Boutabcha, cette compétition est un rendez-vous »important » pour les judokas algériens avant d’aborder »le Grand Slam de Paris », prévu en février prochain.
»Ce Championnat inscrit dans le calendrier de l’instance fédérale reste une étape importante pour nos judokas avant le Grand Slam de Paris.
La majorité d’entre eux vont se donner à fond malgré la rude concurrence pour assurer leur billet de participation », a-t-il déclaré.
The post Judo/Championnat d’Algérie (seniors – kata) : le duo Akil-Kohli sacré appeared first on .
PARIS – Les « stylos rouges », un mouvement regroupant plus de 40.000 personnes travaillant dans l’enseignement, emboîtent le pas aux « gilets jaunes » pour des revendications socio-économiques et un besoin de considération.
Se sentant les « oubliés » de la crise sociale que travers la France depuis quelques mois, les enseignants et professeurs du primaire et du secondaire ont décidé de créer leur mouvement à travers les réseaux sociaux pour pallier à l’inaudibilité de leurs syndicats.
Lancé le 12 décembre dernier, le mouvement a recueilli à la date du 2 janvier plus de 45.000 adhérents, même s’il n’est pas encore organisé. C’est le deuxième mouvement social en France qui est né hors syndicats. A travers Facebook, le groupe reste fermé et toute demande d’intégrer le mouvement doit être validée.
Un chapelet de revendications sont portés par ce mouvement, se disant apolitique, qui ne se contente pas de rester dans le monde virtuel en projetant des actions sur le terrain dès la rentrée après les vacances d’hiver. Mais ils doivent, ont-ils annoncé, définir leur mode d’action.
Il faut rappeler qu’à travers le tag Pasdevague, il y a deux mois, les professeurs avaient dénoncé le silence du ministère de l’Education nationale face aux violences dans les écoles. Parmi leurs doléances, ils revendiquent le dégel du point d’indice des salaires correspondant aux heures de travail et moins d’élèves par classe et de contrats précaires.
« Pour l’instant, nous listons nos revendications et nous allons nous mettre d’accord sur les événements à mettre en place par département, parce que toute la France est concernée par ce mouvement », lit-on sur leur mur, indiquant qu’ils vont soutenir les lycéens et les étudiants dans leur combat contre les dernières réformes du bac et de Parcoursup. « Le temps de l’action est maintenant venu.
Après les gilets jaunes et les lycéens, les stylos rouges ont décidé de suivre le mouvement et reconquérir certains droits », ont-ils ajouté. Ils réclament du gouvernement une revalorisation de leur métier « tant mis à mal », une « vraie bienveillance » de l’Etat pour ses élèves en améliorant leurs conditions d’apprentissage, soulignant qu’il est temps que l’Etat prenne soin de ses enseignants.
Ce mouvement est venu grossir les rangs de la contestation sociale, même si, en apparence, le mouvement des « gilets jaunes » donne l’impression d’un affaiblissement après presque deux mois de mobilisation.
Il vient également à quelques jours de la « Lettre aux Français » que le président Emmanuel Macron a l’intention de la diffuser à travers la presse et les réseaux sociaux pour expliquer son initiative de lancer au courant du premier trimestre le « grand débat national ».
Sous la tension du mouvement des « gilets jaunes », le président Macron a du ajuster sa politique en matière sociale sans pour autant changer de cap dans son programme de réformes, ce qui lui a valu d’ailleurs une chute vertigineuse de sa popularité.
The post France : après les « gilets jaunes », les « stylos rouges » en colère projettent des actions appeared first on .
ALGER – Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a indiqué jeudi que des cas sporadiques de rougeole « sont encore notifiés dans certaines wilayas », insistant sur la nécessité de vacciner les enfants contre la rougeole, conformément au calendrier national de vaccination.
« Toutes les mesures pour pallier à l’apparition de ces cas sporadiques ont été prises dans le cadre du plan national de surveillance au cas par cas de la rougeole », a rassuré le ministère dans un communiqué, rappelant, toutefois, que cette maladie « peut entraîner de graves complications pouvant causer le décès chez les enfants non vaccinés et les adultes ».
Selon le ministère, la vaccination demeure « la seule protection » contre la rougeole, soulignant l’importance d’atteindre « un taux de couverture vaccinale d’au moins 95% chez les nourrissons pour éliminer la transmission ».
Pour ce faire, le ministère de la Santé insiste sur la nécessité de « vacciner les enfants contre la rougeole conformément au calendrier national de vaccination, la 1ère prise de ROR à l’âge de 11 mois et la 2ème à l’âge de 18 mois ».
The post Des cas sporadiques de rougeole encore notifiés dans certaines wilayas appeared first on .
ORAN – Le nouveau film documentaire « Yes Lukan Tour » de Melissa Yami, dédié à la notion de citoyenneté positive, a été projeté jeudi à Oran, permettant à de nombreux jeunes de s’imprégner des initiatives positives accomplies ces dernières années dans différentes wilayas du pays.
La séance s’est déroulée au siège de l’association socioculturelle locale « Santé Sidi El-Houari » (SDH) au profit, notamment, des jeunes stagiaires de l’école-chantier de cette organisation citoyenne bénévole et de cadres du mouvement associatif national.
« Il s’agit d’une projection en avant-première oranaise », a indiqué la vice-présidente de SDH, Assia Brahimi, rappelant que depuis sa sortie il y a quelques mois « Yes Lukan Tour » a été présenté en France, à Alger et à Djanet.
Le documentaire met en relief une trentaine d’initiatives individuelles, associatives ou entrepreneuriales ayant un impact positif sur l’environnement, la santé, l’éducation, le patrimoine et le social.
La jeune réalisatrice évoque ainsi plusieurs actions phares, à l’instar du K’sar de 1.050 logements construits à Ghardaïa par un groupe de citoyens qui a utilisé des matériaux locaux en s’évertuant à respecter l’architecture traditionnelle mozabite.
Cette initiative a permis aux couches basse et moyenne d’accéder à un logement à un prix estimé au tiers de la moyenne nationale dans le marché immobilier.
Parmi les autres exemples évoqués, la création d’un atelier de tissage de tapis à Timimoun qui forme et emploie des femmes de différents villages voisins.
Les tisserandes contribuent ainsi à la préservation des motifs traditionnels du Gourara avec des techniques ne portant pas atteinte à l’environnement sachant que les teintures utilisées sont d’origine végétale bio.
Les associations oranaises « SDH » et « Bel-Horizon » sont également citées dans le documentaire qui met en valeur leurs actions citoyennes respectivement dans les domaines de la formation/insertion des jeunes et la découverte du patrimoine historique local.
The post Projection à Oran du documentaire « Yes Lukan Tour » de Melissa Yami appeared first on .
ALGER – L’Inspecteur général de la Sûreté nationale, le contrôleur de police Hachichi Mohamed Tahar a mis l’accent sur l’impératif de « renforcer les rapports de la communication sécuritaire de proximité à travers des campagnes et des actions de sensibilisation servant le citoyen dans plusieurs domaines », indique jeudi un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN).
Lors d’une réunion d’orientation, tenue mercredi au non du Directeur général de la Sûreté nationale, avec les forces de Sûreté des wilayas de Relizane et de Tiaret, le contrôleur de police Hachichi a expliqué que ces rencontres visent à « accompagner les efforts consentis par les forces de police sur le terrain à travers l’ensemble du territoire national afin de promouvoir la performance policière, et ce, en concrétisation des missions constitutionnelles de la DGSN pour la protection du pays et du citoyen et dans le respect des lois de la République ».
L’Inspecteur général de la Sûreté nationale a transmis, lors de cette rencontre, « un message de remerciements et de reconnaissance » du DGSN, le colonel Mustapha El Habiri, à l’ensemble des forces de police « pour les efforts consentis dans la protection du citoyen et des biens et la lutte contre toutes les formes de criminalité et d’atteinte à l’ordre public ».
Il a appelé l’ensemble des éléments de police à « poursuivre leurs efforts au service du citoyen et du pays », donnant aux chefs des services opérationnels des instructions et des orientations pour la coordination et la consolidation des actions avec l’ensemble des partenaires sécuritaires sur le terrain afin de garantir la sécurité du citoyen et de ses biens dans le respect des principes des droits de l’Homme ».
The post La Sûreté nationale met en avant l’importance de la sensibilisation au service du citoyen appeared first on .
RAMALLAH – Pas moins de 413 violations israéliennes ciblant des journalistes palestiniens ont été constatées en 2018 dont la mort de deux confères et la blessure de 278 autres, a fait savoir jeudi, l’agence palestinienne de presse Wafa dans un rapport.
L’agence a dénoncé la poursuite des agressions israéliennes ciblant la corporation médiatique palestinienne par des tirs de balles réelles, le lancement du gaz lacrymogène, ainsi que des arrestations arbitraires de journalistes palestiniens.
Qualifiée de « politique sauvage préméditée », cette agression à l’égard des journalistes palestiniens, veut « réduire leurs activités et leurs rôles » lors de la couverture des faits par des violations continues au niveau des territoires palestiniens.
Wafa, a interpellé dans son rapport, les organisations de défense des droits de l’Homme, les fédérations et les syndicats de la presse arabes et internationale au lancement de campagnes internationales de soutien aux journalistes palestiniens afin de mettre un terme à l’escalade israélienne.
Le même document, a fait état de 278 journalistes blessés par des balles israéliennes réelles, et également du gaz lacrymogène, outre des agressions corporelles. Durant la même année, douze (12) journalistes ont été interpellés, et leurs cartes d’identités de presse leur ont été retirées.S’ajoute à cela, le cas d’attaque des bureaux de l’agence Wafa qui se trouvent dans la ville de Ramallah par des dizaines de soldats israéliens lourdement armés, suscitant une vague de condamnations le jour de la célébration des 70 ans de l’adoption de la déclaration des droits de l’Homme par l’assemblée générale de l’ONU.
Novembre dernier, l’agence Wafa avaient fait état de 24 violations israéliennes contre des journalistes dont 18 avaient été blessés.
The post Journalistes palestiniens : 413 violations israéliennes en 2018 appeared first on .
ALGER – De nouvelles structures pédagogiques viendront renforcer le secteur de l’enseignement supérieur et de la Recherche scientifique au niveau de la wilaya d’Alger, à l’occasion de la prochaine rentrée universitaire, a révélé, jeudi, le ministre du secteur,Tahar Hadjar.
S’exprimant au terme d’une visite d’inspection du pôle universitaire sis à la ville nouvelle de Sidi Abdellah, du projet de réalisation de 8.000 places pédagogiques à l’Université d’Alger 2, ainsi que du projet de réalisation de 4.000 lits à Bab Ezzouar, M. Hadjar a indiqué que son secteur, sera renforcé, à la prochaine rentrée universitaire, avec 14.000 places pédagogiques et 15.000 lits, soulignant à ce propos, que la réception de ces structures permettra d' »amorcer une rentrée universitaire confortable à Alger ».
Rappelant que ces structures sont situées au niveau du pôle universitaire de la ville nouvelle de Sidi Abdellah qui connaîtra la réception de 6.000 places pédagogiques sur un total de 20.000 places et 11.000 lits, relevant à cet égard, la possibilité d’inaugurer deux facultés sur un total des cinq (5) facultés qu’abrite ce pôle universitaire.
L’Université d’Alger 2 connaîtra, à son tour, la réception de 8.000 places pédagogiques avec la prochaine rentrée universitaire, en sus d’un bloc administratif et d’autres structures prochainement, a fait savoir le ministre.
Inspectant le projet de réalisation de 4.000 lits à Bab Ezzouar, le ministre a fait état du parachèvement des structures dédiées à l’hébergement, les travaux de réalisation du restaurant central devant être parachevés vers fin avril prochain.
A cette occasion, M. Hadjar a affirmé que ces projets, qui s’inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre du programme du président de la République, visaient à « garantir, aux étudiants, des conditions de scolarisation optimales », soulignant l’impératif de « parachever ces projets dans les délais impartis ».
The post Nouvelles structures pédagogiques à la prochaine rentrée universitaire appeared first on .
ALGER – Les personnes refoulées dernièrement aux frontières sud du pays « ne sont pas des migrants », a affirmé, jeudi à Alger, un responsable au ministère de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, qui qualifie d »erronés et de fallacieux » les éléments d’informations contenus dans des rapports diffusés sur ce sujet.
Des informations faisant état d’un refoulement par les autorités algériennes vers le Niger de dizaines de personnes, en majorité des Syriens, ont été publiées par des médias et des sites internet en se basant sur des informations d’organisations de droits de l’homme.
« Il y a des éléments tout à fait erronés et fallacieux et qui ne correspondent pas aux événements tels qu’ils se sont déroulés », a déclaré à l’APS, Hassan Kacimi, directeur au ministère de l’Intérieur chargé du centre opérationnel du ministère et du dossier de la migration.
« D’abord ils les ont présentés comme étant des migrants alors qu’ils ne le sont pas. Pourquoi ne sont-ils pas des migrants ? Tout simplement ce sont des membres de l’armée syrienne libre qui étaient à Alep », précise le responsable, regrettant que certaines organisations de droits de l’homme reprennent de fausses informations.
M Kacimi a réfuté aussi « les accusations selon lesquelles les autorités algériennes auraient refusé à ces personnes qu’elles demandent l’asile ».
« Ces djihadistes, quand ils sont arrivés en Turquie, si vraiment ils étaient menacés dans leur vie, pourquoi n’ont-ils pas demandé le droit d’asile en Turquie? », s’est interrogé M. Kacimi, qui a noté que ces gens-là ont bénéficié de faux passeports avant d’être transférés par avion vers le Soudan et ensuite vers la Mauritanie.
Le même responsable pose également une série d’interrogations : quel est le migrant qui peut se permettre le luxe de voyager par tant de capitales et de débourser plus de 200 millions de centimes pour arriver aux frontières sud de l’Algérie ? Qui finance l’organisation, l’encadrement et la protection de ces djihadistes ?
Il a relevé, dans ce sens, qu’à partir de la Mauritanie, « ils rentrent vers le Nord du Mali sous une protection de groupes terroristes qui les ramènent vers Ain Khalil pour les faire rentrer dans le territoire national par Timiaouine. Et il y a une deuxième route qui passe (par avion) du Soudan vers Bamako ou il y a de fortes complicités locales où on les fait remonter vers Agadez où ils sont pris charge par des groupes armés pour les faire remonter vers les frontières algériennes ».
Se posant aussi des questions sur les financements de « ces colonnes de djihadistes », sur la partie qui leur accorde une protection, M. Kacimi regrette que tous ces éléments d’informations ne soient pas évoqués dans les communiqués de ces organisations.
Autre chose, a ajouté le même responsable, « si c’étaient vraiment des migrants en détresse et qu’ils avaient besoin de la protection des autorités algériennes, pourquoi, quand ils sont arrivés aux frontières algériennes, ils ne se sont pas adressés aux autorités algériennes qu’ils ont évitées pour échapper au contrôle des autorités publiques ».
Il a souligné que ces personnes ont été interceptés « en flagrant délit de franchissement illégal des frontières algériennes et ils ont été installés dans le centre d’accueil de Tamanrasset où ont été confirmés leur origine et leur parcours ».
The post Ministère de l’intérieur: Les personnes refoulées au sud du pays « ne sont pas des migrants » appeared first on .
TUNIS (Reuters) – Deux terroristes présumés se sont suicidés jeudi en Tunisie en actionnant des ceintures d’explosifs lors d’une fusillade avec les forces de sécurité, a annoncé le ministère tunisien de l’Intérieur.
Les forces de l’ordre avaient investi leur repaire, situé à Jilma, à 250 km environ au sud de Tunis, dans le centre du pays, a ajouté le ministère.
L’un des deux hommes tués a été identifié comme étant Azzedine Alaoui, chef de la « Brigade du Djihad et de l’Unité », a déclaré le porte-parole du pôle judiciaire antiterroriste Sofiene Sliti.
Azzedine Alaoui était le cerveau d’un « complot terroriste » visant à prendre le contrôle du gouvernorat de Sidi Bouzid, dans le centre du pays, a dit Sofiene Sliti aux journalistes.
En 2014, il avait rejoint Jund al Khilafa, un autre groupe armé opérant dans les montagnes entre les villes de Sidi Bouzid et Kasserine, avant de rejoindre la Brigade du Djihad et de l’Unité, également connue sous le nom de cellule de Sidi Bouzid, a ajouté le porte-parole du pôle antiterroriste.
La plupart des membres de cette cellule ont été arrêtés par les forces de sécurité tunisiennes lors d’une opération menée le 5 décembre dernier.
Les autorités tunisiennes estiment qu’environ 3.000 Tunisiens ont rejoint ces dernières années les rangs du groupe Etat islamique (EI) ou d’autres organisations armées djihadistes en Irak, en Syrie ou en Libye, sur fond de crise sociale aiguë dans les régions centrale et méridionale de Tunisie.
Le pays a connu trois attentats majeurs en 2015, deux visant les touristes au musée du Bardo à Tunis et sur une plage de Sousse, le troisième ciblant la garde présidentielle dans la capitale. Ces trois attaques avaient été revendiquées par l’EI.
The post Tunisie: Deux terroristes se suicident lors d’une opération policière appeared first on .
BORDJ BOU ARRERIDJ – Au cours de l’année 2018, le port sec de la commune de Tixter de la wilaya de Bordj Bou Arreridj s’est placé « troisième à l’échelle nationale » dans les exportations hors hydrocarbures avec un volume de plus de 25 millions dollars et est devenu « un acquis » pour les investisseurs, relève le directeur de la Chambre du commerce et de l’industrie, CCI-Bibans, Abdelkader Hayed.
Ce port a réussi « en un temps court » à accaparer 30% du volume des opérations du marché nationale réalisant 10 millions dollars de plus que l’année passée à la faveur des facilités douanières, a relevé le même responsable.
Le nombre des containers traités dans le port a été ainsi octuplé, passant de 500 durant la première année de son exploitation en 2016 à plus de 4.000 containers en 2018, selon la même source.
« Cette infrastructure a traité au cours des trois premiers trimestres 2018, 318 opérations d’exportation pour près de 25 millions dollars de marchandises et produits industrialisés divers », a précisé M. Hayed assurant que ce chiffre est appelé à « croitre davantage à la fin de l’année ».
De son côté, le directeur des zones logistiques à l’Entreprise portuaire de Béjaïa dont dépend le port sec de Tixter, Farès Benyahia, a affirmé que « les efforts se poursuivent pour relever le niveau des exportations hors hydrocarbures et dynamiser le rôle du port de Tixter de sorte à répondre aux attentes des opérateurs économiques et à accompagner l’évolution du tissu industriel de la région ».
Le même responsable a assuré que les efforts seront intensifiés pour amener le port de Tixter qui dispose d’une capacité d’exportation de 29.000 containers par an « à fonctionner à plein régime » tout en lui permettant de « diversifier ses services et parachever son extension sur 30 hectares ».
Pour le président de la CCI-Bibans, Radjeh Belouhri, l’ambition des opérateurs économiques dépasse la limitation des activités du port de
Tixter aux seules opérations d’exportation et d’importation pour l’élever au rang des grandes zones logistiques au regard de position stratégique par l’intégration des activités de stockage et d’emballage.
« La réalisation de l’extension projetée transformera cet équipement en pôle régional et national d’exportation des produits agricoles à partir des wilayas voisines et même du Sud », a-t-il noté.
Le même opérateur a proposé la réalisation d’une piste d’atterrissage pour les avions de transports de marchandises et colis aériens et satisfaire l’exigence de rapidité dans le transport notamment de produits agricoles « périssables ».
Smartphones et électroménagers en tête des exportations
Les produis électroniques divers avec en tête les Smartphones et les produits électroménagers ont occupé « la première position » des exportations avec un total de près de 20 millions dollars suivis des pâtes alimentaires et produits agricoles avec plus de 500.000 dollars puis des produits plastiques, textiles et matériaux de construction, souligne-t-on.
Tous ces produits ont été dirigés vers 13 pays dont le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, le Niger, le Bénin, la Mauritanie, la Tunisie, le Maroc, la Libye, les Emirats arabes unis, la France, l’Italie, les Etats-Unis et le Canada.
Les diverses statistiques révèlent que les exportations des produits agricoles ont été toutefois « très modestes » et se sont limitées en fait à une seule opération en dépit des campagnes de sensibilisation sur les avantages et facilités mis à la disposition des exportateurs, est-il noté.
Occupant une aire de 55 hectares, le port sec de Tixter est distant de 20 km de la ville de Bordj Bu Arreridj et de 30 km de celle de Sétif. Il jouit d’une capacité de 740.000 tonnes et constitue un prolongement au port maritime de Béjaïa.
The post 25 millions de dollars d’exportations depuis le port sec de Tixter appeared first on .
« Avant la réunion de l’Opep en décembre, JP Morgan avait déclaré que si l’Organisation n’allait pas réduire de plus de 1,2 million de barils/jour, et c’est ce qu’elle a fait pour le premier semestre et non pas pour l’ensemble de l’année, nous pourrons s’acheminer vers notre scénario de prix bas qui est de 55 dollars pour 2019 « , a déclaré Scott Darling chef du département Asie pacifique chez JP Morgan, cité par CNBC.
L’Opep aura besoin de reconduire au deuxième semestre la baisse de sa production pétrolière décidée en décembre pour faire décoller les prix, commente ce responsable chargé des investissements en gaz et pétrole dans l’Asie pacifique.
Selon Scott Darling, il existe actuellement autant de facteurs susceptibles de plomber les prix, citant en cela la faiblesse de la demande et les incertitudes pesant sur des membres de l’Opep quant au respect des engagements de réduction, y compris sur l’Arabie Saoudite, le plus grand producteur de l’Organisation.
Au cours des derniers mois, l’Arabie Saoudite a augmenté sa production de plus d’un million de barils/jour. Désormais, le Royaume vise une réduction d’environ 900.000 barils qu’il compte opérer en deux mois seulement. Confronté à des difficultés économiques, Ryadh espère réaliser un gain sur l’appréciation des cours, pour combler son déficit budgétaire, selon plusieurs analystes.
Les cours ont enregistré l’année écoulée leur pire perte depuis 2015, le brent a perdu 20% de sa valeur, alors que le Light Sweet Crude, référence américaine du brut a terminé l’année en baisse de 25%. La volatilité des marchés boursiers, les facteurs géopolitiques et le ralentissement de la demande ont contribué au fort recul des prix.
Pour autant, Darling estime que les risques géopolitiques dans certains pays comme le Venezuela pourraient donner un coup de pouce aux prix en 2019. Les prix sont susceptibles d’être partiellement soutenus par les arrêts fréquents des infrastructures pétrolières vieillissantes, selon le même responsable.
The post L’Opep doit reconduire la baisse de sa production au 2e semestre pour soutenir les prix appeared first on .
ALGER – Le défunt Général-Major Abdelhamid Bouhidel, directeur central des Infrastructures militaires au Ministère de la défense nationale, a été inhumé mercredi au cimetière de Batna, en présence du Commandant de la 5ème Région Militaire, représentant du Général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, Vice-Ministre de la Défense Nationale, Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire, indique un communiqué du ministère.
Le défunt est décédé dans la soirée d’hier (mardi) à l’Hôpital central de l’Armée « Mohamed Seghir Nekkache »-Aïn Naâdja, des suites d’une longue maladie.
« En cette douloureuse circonstance, le Général de Corps d’Armée, Vice-Ministre de la Défense Nationale, Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire présente, en son nom personnel et au nom de l’ensemble des cadres et des personnels de l’Armée Nationale Populaire, officiers, sous-officiers, djounoud et personnels civils assimilés, ses sincères condoléances et sa profonde compassion à la famille du défunt, en saluant son long parcours professionnel riche en réalisations et sa grande contribution à la modernisation des infrastructures de l’Armée Nationale Populaire, en priant Allah Le Tout-Puissant et Miséricordieux d’accorder au défunt Sa Sainte Miséricorde et l’accueillir en Son Vaste Paradis », lit-on dans le même texte.
De hauts cadres de l’ANP, des autorités civiles et de nombreux citoyens étaient également présents à la cérémonie d’enterrement.
The post Enterrement du Général-Major Abdelhamid Bouhidel à Batna (MDN) appeared first on .
ANNABA – Le complexe sidérurgique Sider El Hadjar d’Annaba s’est lancé en 2018 le défi de recouvrer sa renommée en tant que symbole de la sidérurgie algérienne en s’appuyant sur des cadres locaux, dont des ingénieurs, des techniciens et des gestionnaires, animés par une forte détermination à atteindre cet objectif.
Ainsi, parallèlement à l’exécution des derniers projets de la première tranche du plan d’investissement et le lancement de la deuxième tranche en mars 2018 pour 46 milliards DA, le complexe a consolidé son équipe gérante par d’anciens cadres expérimentés du complexe afin d’assurer le suivi de ces projets, selon le PDG du complexe, Chamseddine Maatallah.
Pour ce faire, indique le responsable, la priorité a été accordée au renforcement de la partie technique de l’execution de ces projets, avec 326 anciens cadres notamment techniques, dont 276 ont été chargés du coaching des projets, tandis que 15 ont été intégrés aux équipes de gestion et management du complexe.
Le succès du plan d’investissement et requalification du complexe exige des compétences animées d’une forte détermination pour relever le défi, note le premier responsable du complexe, affirmant avoir placé « une grande confiance dans les cadres algériens, qui ont déjà réussi à préserver la réputation des produits du complexe sur les marchés extérieurs ».
15 laboratoires de qualité veillent à la conformité aux normes
Plus de 15 laboratoires encadrés par des techniciens et compétences locales veillent à la conformité du rond à béton du complexe aux normes de qualité lors des différentes phases de la production, assure le PDG de Sider El Hadjar d’Annaba, soulignant que les produits ferreux du complexe sont destinés vers les industries des constructions navales, l’industrie mécanique, de l’électroménagers, le bâtiment et les activités hydrocarbures.
Au terme des opérations de la deuxième tranche du plan d’investissement engagées pour 46 milliards DA, le complexe ouvrira, à horizon 2019 et 2020, plus de 1.000 nouveaux postes d’emplois au niveau de la cokerie, de la centrale électrique et autres structures logistiques et de services du complexe, qui se trouve être, assurent ses travailleurs, une véritable « entreprise citoyenne » au regard de son rôle dans la formation et la qualification de la main d’œuvre dans la région d’Annaba.
Plus de 1.200 jeunes, dont la moitié sont des apprentis du secteur de la formation professionnelle, ont bénéficié de stages dans les ateliers du complexe, qui demeure le premier espace de formation attirant les jeunes de la région.
Sider El Hadjar se dirige actuellement vers la concrétisation de l’objectif de porter sa production annuelle à 1,1 million de tonnes de produits ferreux plats et longs destinés à répondre aux besoins du marché national et à l’exportation.
Aussi, 100 projets sont retenus au titre de la deuxième tranche du plan d’investissement, dont 28 sont déjà lancés. Cette tranche mobilise 46 milliards DA dont 20 milliards DA représentent un financement complémentaire accordé au complexe pour financer des opérations structurantes, dont la reconstruction de la cokerie, la modernisation de la centrale à oxygène, la réhabilitation des deux aciéries et des laminoirs.
Les objectifs de cette seconde tranche, dont l’exécution s’étale sur quatre ans, portent notamment sur le renforcement des produits de fonte et ferreux destinés au marché national et sur l’amélioration de la qualité et de la compétitivité de ses produits outre l’autonomisation des approvisionnements du complexe en eau et électricité.
En 2018, Sider El Hadjar, qui emploie 4.600 travailleurs, a conclu des contrats d’exportation de produis ferreux vers les pays maghrébins, africains et européens, pour une valeur de 79 millions dollars et prévoit de réaliser une production annuelle excédant les 700.000 tonnes.
The post Annaba: le complexe Sider El Hadjar se fixe l’objectif de recouvrer sa renommée appeared first on .
DJELFA – Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi a mis en avant, mercredi à Djelfa, la nécessité d’assainir le foncier agricole en vue de développer et de moderniser le secteur dans cette wilaya steppique.
Le ministre a entamé sa visite de deux jours à Djelfa en se rendant à une exploitation agricole spécialisée dans l’élevage avicole dans la commune d’Ain Oussara (100 km au nord de la wilaya), où il a suivi une exposition détaillée sur l’état du secteur agricole dans la wilaya, avant de relever « nous ne pouvons pas développer et moderniser le secteur, tant que le foncier agricole n’a pas été assaini dans tous ses aspects pour le rendre au service du développement ».
« La surface exploitable dans cette wilaya qui dépasse 374 hectares, fait de Djelfa parmi les quelques wilayas disposant d’une vaste superficie à vocation agricole qui peut être exploitée aux fins de la production agricole », a ajouté le ministre, rappelant que la superficie de production dans cette wilaya ne dépassait pas les 160 hectares, une superficie orientée en grande partie vers la céréaliculture qui dépend des précipitations saisonnières.
Pour parvenir à un assainissement du foncier agricole dans la wilaya et une exploitation des surfaces non-productives, le ministre a souligné que « la responsabilité doit être assumée au niveau local, d’autant plus qu’au niveau central, nous encourageons et soutenons les autorités locales, lorsqu’il est question de la maitrise du foncier agricole ».
Et d’ajouter « nous souhaitons que les autorités locales prennent au sérieux cet important dossier, d’autant que les programmes et tous les mécanismes existent déjà et sont mis en place pour puiser dans les textes juridiques et arrêtés interministériels et que les commissions de wilaya chargées de la régularisation du foncier agricole disposent de solutions à toutes les situations qu’elles peuvent rencontrer dans l’opération de régularisation ».
« On entend par régularisation, la conversion du droit de jouissance au droit de concession. Elle concerne également les agriculteurs exploitant des terres ou ayant bénéficié du droit de concession pour la création d’exploitations agricoles », a précisé le ministre.
Saluant les résultats réalisés par la wilaya de Djelfa dans différentes filières agricoles à l’image des viandes rouges en occupant, en 2018, la première place au niveau national en termes de production, M. Bouazgui a réitéré l’intérêt accordé par son département à cette wilaya en vue d’élargir les périmètres irrigués pour atteindre 60.000 ha durant l’année en cours.
« Il s’agit là d’un défi qui contribuera au développement du secteur et fera de cette wilaya un modèle à suivre en là matière », a assuré le ministre.
A Guernini (90 km au nord de la wilaya), deuxième halte de sa visite à Djelfa, le ministre a écouté des explications détaillées sur la création de bassins laitiers et une usine pour la transformation de ce produit et ses dérivés, un projet devant assurer 153 millions de litres/an et produire, une fois cette usine achevée, près de 20.000 litres de lait de vache, d’autant qu’elle compte actuellement près de 180 têtes de bétail.
Par ailleurs, le ministre a constaté que le projet intégré pour l’élevage des vaches, sur une superficie de 2000 ha, est très faible vu les perspectives de cet investissement dans la production des aliments, du lait et de la poudre du lait, saluant dans ce sens cet investissement qui s’inscrit dans le cadre des grands axes stratégiques pour parvenir à l’autosuffisance.
Le ministre poursuit demain (jeudi) sa visite dans la wilaya de Djelfa et présidera une rencontre avec les éleveurs dans la commune de Deldoul avant de visiter d’autres projets.
The post Nécessaire assainissement du foncier agricole pour développer et moderniser le secteur appeared first on .