ALGER – Une campagne d’information sur les offres de formation garanties dans diverses spécialités professionnelles par le secteur de la Formation et de l’enseignement professionnels, est organisée par le ministère au niveau de tous les établissements de la formation professionnelle à travers le territoire national, parallèlement au début des inscriptions, en prévision de la prochaine rentrée professionnelle prévue le 24 février 2019, a indiqué, lundi, un communiqué du ministère.
Les inscriptions ont débuté le 6 janvier et s’étaleront jusqu’au 16 février, alors que les journées de sélection et d’orientation sont prévues du 17 au 19 février, selon la même source.
The post Rentrée professionnelle en février: campagne d’information sur les offres de formation appeared first on .
ALGER – Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, s’est entretenu lundi à Alger avec la ministre des Relations extérieures et de la Coopération internationale de la République d’Afrique du Sud, Lindiwe Sisulu.
Mme Lindiwe Sisulu est arrivée dimanche soir à Alger pour une visite officielle de deux jours à l’invitation de M. Messahel.
Cette visite qui s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de fraternité, d’amitié et de coopération qui existent entre les deux pays, permettra aux deux ministres de procéder à une évaluation de l’état des relations bilatérales et de dégager de nouvelles perspectives de partenariat, en vue de les porter au niveau des relations politiques privilégiées qu’entretiennent l’Algérie et l’Afrique du Sud.
Dans le cadre de la coordination et de la concertation permanente entre les deux pays, les deux ministres s’entretiendront également sur de « nombreuses questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment à la veille d’importantes échéances dont la réunion ministérielle Union africaine-Union européenne, prévue à Bruxelles les 21 et 22 janvier, ainsi que le 32ème sommet de l’Union africaine, qui se tiendra les 10 et 11 février 2019 à Addis-Abeba ».
The post Messahel s’entretient avec la ministre sud-africaine des Relations extérieures appeared first on .
BOUIRA – La naissance de l’Académie algérienne de la langue amazighe (AALA) constitue un « grand acquis » et « un aboutissement pour la revendication identitaire amazighe » en Algérie, a affirmé lundi à Bouira le président de cette institution, Mohamed Djellaoui.
La création de l’Académie algérienne de la langue amazighe, sur décision du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, est « parmi les aboutissements de la revendication identitaire amazighe. Elle constitue un grand acquis pour les recherches dans les domaines linguistique et culturel amazighs », a déclaré à l’APS M. Djellaoui.
La mise en place de cette institution permettra « la prise en charge des questions liées à la culture et langue amazighes », a-t-il relevé.
Se disant « honoré » de sa nomination à la tête de l’Académie algérienne de la langue amazighe, M. Djellaoui a exprimé son engagement et sa « ferme volonté » pour œuvrer à la réalisation d’une série de projets scientifiques et atteindre les objectifs fondamentaux de l’institution, dont la promotion de la langue amazighe de façon à ce qu’elle consolide sa place sur la scène linguistique nationale et régionale.
« Je suis entièrement conscient de la complexité de la tache qui m’a été confiée, je ferai de mon mieux pour mener à bien les projets scientifiques de cette institution nationale, et atteindre ces objectifs fondamentaux », s’est-il engagé.
Concernant ses premières missions à la tête de l’Académie, Mohamed Djellaoui a évoqué l’installation d’abord des composantes administratives et scientifiques de cette institution, notamment le secrétariat administratif de l’académie et les six membres qui composent le bureau et les commissions spécialisées de la recherche.
« La priorité sera accordée au recueil du corpus national de la langue amazighe dans toutes ses variantes », a fait savoir l’ancien doyen de la Faculté des lettres et des langues à l’Université Akli Mohand Oulhadj de Bouira.
« Nous avons toute la volonté et le savoir faire scientifique nécessaires pour atteindre cet objectif », a-t-il assuré.
La loi organique relative à la création de l’Académie algérienne de la langue amazighe, adoptée en juin 2018 par les deux Chambres du Parlement, définit les missions, la composition, l’organisation et le fonctionnement de cette instance, placée auprès du président de la République et dont la création est prévue par l’article 4 de la Constitution, amendée en 2016.
L’Académie a pour mission de recueillir le corpus national de la langue amazighe dans toutes ses variétés linguistiques, d’établir une normalisation de la langue amazighe à tous les niveaux de description et d’analyse linguistiques, d’établir des listes néologiques et des lexiques spécialisés en privilégiant la convergence.
Elle a aussi pour mission d’entreprendre des travaux de recherche, participer au programme national de recherche dans son domaine de compétence, garantir la précision d’interprétation et de la traduction de notions et concepts dans les domaines spécialisés, d’élaborer et d’éditer un dictionnaire référentiel de la langue amazighe, de contribuer à la conservation du patrimoine immatériel amazigh, notamment par sa numérisation et encourager toute recherche et traduction en langue amazighe.
The post Naissance de l’Académie Amazighe: un aboutissement de la revendication identitaire appeared first on .
La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme algérienne, Ghania Eddalia, vient de limoger le directeur d’une maison de retraire de la wilaya de Batna suite à la diffusion d’une vidéo montrant les conditions déplorables dans lesquelles vivaient les résidents de cet établissement, rapporte le quotidien arabophone El Bilad sur sa version en ligne.
La vidéo, qui a été diffusé par ce dernier, et qui a été largement repris sur le net, a choqué bon nombre d’algériens qui n’arrivent pas à comprendre que l’on puisse laisser des personnes dans ces conditions.
La ministre en charge de ce dossier a demandé par ailleurs aux responsables locaux d’ouvrir une enquête et de poursuivre le responsable de l’établissement en justice, précise El Bilad.
The post Batna: Le directeur d’une maison de retraite limogé suite à la diffusion d’une vidéo concernant les conditions déplorables de son établissement appeared first on .
SKIKDA – Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane a insisté dimanche à Skikda sur « le développement des ports pour la promotion de l’économie nationale ».
Au cours de son passage à l’Entreprise portuaire de Skikda (EPS) dans le cadre d’une visite de deux jours dans cette wilaya, le ministre a précisé que « le développement des ports est une des priorités du programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika », soulignant que « les ports de commerce constituent un levier de développement et contribuent de manière significative à la croissance économique ».
Attestant que le programme d’extension des ports de commerce à l’échelle nationale lancé par l’Etat est « un programme énorme et coûteux », le ministre a rappelé que onze (11) ports font l’objet d’opérations d’extension, à Oran et Annaba notamment, ainsi que la réalisation du port de Cherchel (Tipasa).
Le ministre qui a eu à écouter des explications sur l’établissement du port de Skikda et le secteur des travaux publics, a également reçu des explications sur le projet d’extension du l’EPS.
Selon l’exposé présenté, 90 nouveaux hectares s’ajouteront à l’ancien port de Skikda (actuellement 32ha), dans le cadre du projet d’extension dont l’étude est sur le point d’être achevée.
In situ, le problème du financement de ce projet a été évoqué et le ministre a instruit à l’effet de « trouver des ressources financières pour ce projet ». « Des réunions seront tenues ultérieurement pour débattre des ressources financières de ce projet », a indiqué M. Zaalane.
Aussi des explications sur le projet d’extension du port pétrolier de Skikda, dont les travaux qui seront lancés prochainement, ont été confiés à une entreprise chinoise, a été présenté au ministre.
Le projet revêt « une grande importance » du fait qu’il permettra l’augmentation de la capacité du port, à travers l’extension du quai consacré aux produits pétroliers d’une capacité de 120 000 m3, l’achèvement d’un autre quai pour l’amarrage des navires de transport, dont la charge oscille entre 50 000 à 250 000 tonnes, ainsi que la réalisation d’un quai commercial
Le port pétrolier de Skikda bénéficie depuis 2012 d’une autre importante opération de réhabilitation des postes pétroliers, réalisée par une entreprise espagnole, pour une enveloppe financière de l’ordre de 4,5 milliards de dinars, selon les données fournies.
Le ministre des Travaux publics et du Transport devra poursuivre demain da visite à Skikda en inspectant plusieurs projets relevant de son département.
The post Zaalane: nécessaire développement des ports pour promouvoir l’économie nationale appeared first on .
NIAMEY – Le président nigérien, Mahamadou Issoufou, a lancé dimanche les travaux de réhabilitation de la route bitumée Zinder-Tanout (centre-est), un tronçon de 140 km de la Route transsaharienne reliant Alger à Lagos, ont rapporté des médias locaux.
La réhabilitation de cet axe « très important pour l’économie nationale et sous régionale permettra d’accroître la sécurité routière, de réduire les temps de transport et de stimuler les échanges commerciaux sur cet axe », a affirmé le président Issoufou, ont ajouté les mêmes sources.
Les travaux, qui sont financés par le Fonds européen de développement (FED) pour un coût de plus de 30 milliards de francs CFA (52 millions de dollars), vont durer 48 mois, ont poursuivi les mêmes sources.
Cette infrastructure routière constitue pour le Niger un « trait d’union » entre le Maghreb et l’Afrique subsaharienne, lui permettant d’augmenter le flux des échanges avec les pays du Maghreb, se rapprocher de l’Europe et servir de zone de transit pour les autres pays africains.
Sur les 1.000 km de territoire nigérien qu’elle traverse, cette route dessert de grandes agglomérations, notamment les importants complexes miniers d’Arlit et d’Agadez (nord) ou encore Oualéléwa où est raffiné du pétrole nigérien et Zinder, la deuxième ville du pays.
Longue de 4.500 km, la Route transsaharienne a pour but, selon ses initiateurs, de contribuer à l’intégration sous régionale. Elle traverse 6 pays de l’Afrique, à savoir l’Algérie, la Tunisie, le Mali, le Niger, le Nigeria et le Tchad.
L’Algérie a achevé la construction de 1.600 km de ce projet alors que les travaux sur 200 autres kilomètres de liaison avec le Mali sont en cours de réalisation, a indiqué récemment à Alger le secrétaire général du Comité de liaison de la route transsaharienne (CLRT), Mohamed Ayadi.
Selon M. Ayadi, en Tunisie, cette route s’étirera sur 689 km entre Hazoua (à la frontière avec l’Algérie) et Tunis, et est aujourd’hui entièrement bitumée tandis que les travaux de renforcement de cette route sont en cours sur 65 km entre Gafsa et Nefta.
Pour ce qui est du Tchad, la route relie la capitale N’djamena à la frontière du Niger après Rig-Rig sur 570 km dont environ un tiers est revêtu, un autre tiers est en cours de travaux alors que le reste est en phase de lancement.
Concernant le Nigeria, cette route le traverse sur 1.130 km qui sont actuellement entièrement revêtus et en dédoublement sur plus de la moitié de ce linéaire, a-t-il souligné.
Au Mali, l’infrastructure s’étire sur plus de 2.000 km dont 700 km sont aujourd’hui à l’état de piste, a poursuivi M. Ayadi qui a relevé que la réalisation de ce projet dans ce pays est en proie à des difficultés financières, mais qui sont « surmontables ».
L’Algérie accorde un intérêt prioritaire à cette infrastructure en tant que facteur fondamental pour l’activité et la croissance économiques, le commerce et l’investissement, l’interconnexion et l’intégration de l’Afrique et l’amélioration des conditions de vie des populations.
Cet axe routier pourrait être élargi à la route Tindouf-Choum (Mauritanie) pour faciliter la circulation des personnes et des biens, l’intensification des échanges commerciaux et le désenclavement de cette zone frontalière.
The post Route transsaharienne: le Niger lance des travaux de réhabilitation d’un tronçon de 140 km appeared first on .
ALGER – Depuis que le président américain Donald Trump a annoncé « le retrait des troupes américaines » présentes dans le nord-est de la Syrie avançant que le groupe terroriste Daech est en grande partie « vaincu », les différents acteurs du conflit syrien tentent de se repositionner sur l’échiquier géostratégique relatif à la crise qui frappe le pays.
Considérant cette décision comme une véritable aubaine, Ankara menace depuis plusieurs semaines de lancer une nouvelle offensive contre les Unités de protection du peuple (YPG), un groupe armé kurde considéré comme « terroriste » par Ankara mais appuyé par Washington dans la lutte contre l’organisation autoproclamée « Etat islamique (Daech/EI) ».
Ankara entend empêcher, ce qu’elle appelle « la création à ses portes d' »un embryon d’Etat kurde susceptible de raviver les velléités séparatistes kurdes en Turquie ».
Le président turc Recep Tayyip Erdogan menace, en effet, de lancer une offensive militaire dans le nord de la Syrie pour chasser « ces miliciens des Unités de protection du peuple (YPG) » que la Turquie considère comme des « terroristes ».
Toutefois les desseins de la Turquie se sont opposé encore une fois à la volonté américaine et les menaces du président Donald Trump de « dévaster » l’économie turque en cas d’attaque d’Ankara contre ces milices soutenues par Washington après le retrait annoncé par M. Trump en décembre, des 2.000 soldats américains déployés en Syrie pour combattre les terroristes de Daech/EI.
Exhortant les forces kurdes à ne pas « provoquer » Ankara, Trump a menacé de « dévaster la Turquie économiquement si elle attaque les Kurdes », avant d’appeler à la création d’une « zone de sécurité » de 30 kilomètres.
Toutefois, le directeur de la communication de la présidence turque, Fahrettin Altun, a tenu à préciser qu’Ankara « n’est pas l’ennemi des Kurdes », et que seuls les « terroristes » seraient ciblés dans une tentative de dissiper l’amalgame entre les kurdes et les éléments des YPG.
Les menaces de M. Trump interviennent alors que le secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, effectue une tournée au Moyen-Orient, destinée notamment à rassurer les alliés de Washington au sujet du retrait américain de Syrie. Les YPG sont l’un des principaux sujets de discorde entre la Turquie et les Etats-Unis, deux alliés au sein de l’Otan dont les relations se sont sensiblement dégradées depuis 2016.
L’armée syriennes premier bénéficiaire du retrait américain
Sur le plan politique la décision du retrait des troupes Américaines de Syrie n’est que la concrétisation de l’une des promesses électorales de Trump qui s’inscrit dans sa logique de « America First ».
Autrement dit, retirer les troupes américaines des zones de conflits obéit, selon bon nombre de spécialiste, à une logique « purement mercantile » dans la mesure où le retrait des troupes américaines du bourbier syrien éviterait toute protection au Moyen-Orient sans rémunération.
Dans ce contexte, il convient de souligner que l’administration américaine a dépensé environ 70 milliards de dollars pour mener sa mission militaire en Syrie pour un résultat peu reluisant si l’on considère que certains éléments de Daech sont toujours actifs en Syrie et en Irak.
La Syrie est transformée depuis des années en une arène où s’affrontent des forces locales, régionales et internationales et par conséquent le premier bénéficiaire du retrait américain est bien le gouvernement syrien soutenu par la Russie, qui semble reprendre le dessus et le contrôle de la situation pour reconquérir la totalité de son territoire menacé sérieusement durant toute la durée du conflit.
Tirant profit de la situation politique et stratégique actuelle, le gouvernement syrien serait en mesure de restaurer son totale autorité militaire et politique à travers toute la Syrie, tout en promouvant des solutions politiques plutôt que militaires dans la mesure ou la situation actuelle est en son avantage.
C’est dans cette perspective que le président Poutine a salué la décision de Trump et l’a qualifiée de « correcte », estimant que la présence des forces américaines en Syrie « n’était ni légitime ni légale », car ni le gouvernement syrien ni le Conseil de sécurité de l’ONU n’avaient demandé l’intervention militaire des Etats-Unis.
C’est pourquoi la décision américaine n’a pas fait l’unanimité dans le monde car les alliés des Etats-Unis en Syrie, tels que la France, la Grande-Bretagne et le Canada n’étaient pas enthousiastes suite à la décision du retrait des troupes américaines de Syrie, parce que le « vide stratégique » créé par ce retrait pourrait rendre ces pays en position de « vulnérabilité », a-t-on indiqué.
Dans ce contexte, les nombreuses déclarations officielles françaises ont confirmé que Paris ne quittera pas la Syrie avant l’éradication totale des terroristes de Daech dans la région. Par ailleurs, la décision de retirer les troupes américaines de Syrie coïncide avec une autre décision du président Trump de retirer 7000 soldats américains d’Afghanistan et une grande volonté des Etats-Unis de renforcer leurs bases militaires en Irak.
La guerre en Syrie qui a fait plus de 360.000 morts a éclaté en 2011 dans le sillage des événement du Printemps arabe. Elle s’est complexifiée au fil des ans avec l’implication de groupes terroriste et de puissances régionales et internationales.
The post Crise en Syrie : « retrait américain » et repositionnement des autres acteurs appeared first on .
LE CAIRE – Le Haut Commissaire aux réfugiés des Nations unies, Filippo Grandi, a plaidé lundi lors d’une visite en Egypte pour que le continent africain obtienne davantage de ressources pour l’aide aux réfugiés en 2019.
M. Grandi, arrivé dimanche au Caire pour une visite de deux jours, a rencontré lundi le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et plusieurs responsables gouvernementaux, à quelques jours de la présidence égyptienne de l’Union africaine en février.
Le responsable onusien a rappelé lors d’un point presse que « 85% des 68 millions de déplacés et réfugiés » dans le monde ne vivent pas dans les pays du Nord, mais dans les pays du Sud. M. Grandi a insisté à l’occasion sur l’importance de l’année 2019 en Afrique, qui marque notamment le 50e anniversaire de la convention sur les réfugiés de l’Organisation de l’unité africaine (OUA).
« C’est une occasion de rappeler où les déplacements de populations constituent un gros problème », a-t-il dit. « Cela sera l’occasion d’attirer des ressources en Afrique », a-t-il ajouté en déplorant que « les ressources allouées à l’Afrique soient limitées ».
Cette constatation, estime-t-il, s’applique également à l’Egypte qui « bien qu’elle accueille beaucoup de réfugiés n’est pas reconnue comme pays d’accueil de réfugiés ». L’Egypte accueille près de 250.000 réfugiés enregistrés selon le HCR, dont plus de la moitié en provenance de Syrie.
Par ailleurs, M. Grandi a souligné, en outre, que l’un des objectifs du Pacte mondial sur les réfugiés approuvé en décembre par 181 pays, est de « mobiliser, pas seulement des ressources humanitaires mais également des ressources pour le développement, à plus long terme ».
Interrogé sur les manifestations qui secouent depuis près de quatre semaines le Soudan, voisin de l’Egypte, il s’est dit « inquiet » qu’elles puissent générer des « déplacements de population », tout en assurant « espérer que la situation se stabilise de façon paisible ».
Abordant la situation en Syrie, il a affirmé que 50.000 réfugiés syriens avaient regagné leur pays en 2018, soit « un petit nombre » équivalent selon lui à « 1% du nombre total de réfugiés ». Le responsable onusien a souhaité qu’avec la restauration de la stabilité en Syrie le nombre de réfugiés syriens va encore croitre.
The post Prise en charge de réfugiés : le HCR plaide pour la mobilisation des ressources en Afrique appeared first on .
ALGER – Le président de la Fédération algérienne d’athlétisme (FAA) Abdelhakim Dib, a été élu à la tête de la zone »Une » nord de la Confédération africaine d’ athlétisme (CAA) à l’issue des élections organisées, lundi, à Zéralda (Alger), a annoncé l’instance fédérale sur sa page facebook.
Dib a remporté trois voix contre deux pour le candidat tunisien Khaled Amara.
Selon la même source, l’Egyptienne Halla Ahmed Abderahim été élue membre féminin de la zone avec cinq voix.
The post Confédération africaine d’athlétisme: l’Algérien Dib élu président de la Zone »Une » nord appeared first on .
BOUMERDES – Une coupure d’alimentation en eau potable interviendra à partir de 4h00 de la journée de demain mardi, au niveau de cinq communes de la wilaya de Boumerdes, a t-on appris, lundi, auprès de l’entreprise de l’algérienne des eaux(ADE).
Cette perturbation est due au lancement de travaux pour la réparation d’une panne survenue au niveau de la conduite principale de transfert d’eau de la commune de Tidjelabine, a indiqué, à l’APS, la chargée de la communication auprès de cette entreprise, Zioui Khadidja. D’une durée de 24 heures, cette coupure d’eau touchera les communes de Boumerdes, Tidjelabine, Corso, Thenia, et Boudouaou, a-t-elle ajouté.
Précisant que la panne en question a touché la conduite principale du transfert hydrique (d’un diamètre de 2000 mlm) alimentant Boumerdes et Alger, à partir du barrage Taksebt de Tizi-Ouzou, et a été causée par une entreprise privée effectuant des travaux dans son périmètre. Il s’agit là de la 2eme panne du genre causée par la même entreprise, a-t-elle, par ailleurs, souligné.
The post Boumerdes : coupure d’eau potable demain mardi au niveau de cinq communes appeared first on .
TIZI-OUZOU – Six productions participent au concours de la meilleure pièce théâtrale lancé par le théâtre régional Kateb Yacine de Tizi-Ouzou, a-t-on appris dimanche du directeur de cet établissement culturel, Farid Mahiout.
Cette compétition, née d’une proposition du comité artistique du Théâtre Kateb Yacine, vise, a indiqué à l’APS ce responsable, à encourager la création dans le quatrième art. « Nous voulons, à travers ce concours, motiver les troupes théâtrales locales à produire davantage et insuffler ainsi une dynamique de production dans le quatrième art », a-t-il ajouté.
En 2018, pas moins de 13 générales ont été présentées sur les planches du théâtre régional de Tizi-Ouzou qui a aidé les troupes qui les ont produites avec son encadrement technique, a indiqué M. Mahiout. « Les troupes théâtrales locales sont prolifiques, nous avons donc pensé à les encourager avec ce concours qui coïncide avec la célébration du nouvel an amazigh Yennayer 2969 », a-t-il souligné.
Ce concours, selon son règlement intérieur, est destiné aux associations et coopératives théâtrales de la wilaya de Tizi-Ouzou, et concerne des pièces, pour adultes et/ou enfants, produites en 2018. Les résultats de cette compétition culturelle, dont l’évaluation des productions est soumise à un jury professionnel présidé par le metteur en scène Farid Sellami, seront proclamés mardi prochain, a indiqué le même responsable.
La pièce qui sera sélectionnée comme étant la meilleure production de l’année 2018 sera projetée au théâtre de Tizi-Ouzou et bénéficiera d’un programme de diffusion, pour cinq spectacles, qui sera pris en charge par ce même établissement culturel, a indiqué M. Mahiout, avant de rappeler qu’en 2018 le théâtre régional Kateb Yacine avait décroché quatre prix: Deux au festival national du théâtre professionnel (TNA d’Alger) où il avait participé avec la pièce « Juba II », dont le texte et la mise en scène est signée Lyes Mokrab, et qui a réussi à décrocher les prix de la meilleure musique, attribué à l’artiste Djamel Kaloun et du meilleur texte, remporté par Lyes Mokrab.
Les deux autres prix ont été remportés au Festival national du théâtre amazigh de Batna avec la pièce « Célibattantes », texte et mise en scène Abderahmane Houche, Il s’agit de la meilleure scénographie signée Habel El Boukhari et de la meilleure interprétation féminine pour Zoulikha Talbi.
The post Tizi-Ouzou: 6 productions en compétition pour le prix de la meilleure pièce théâtrale appeared first on .
PARIS – Le cinéaste Mourad Bouchouchi, décédé dimanche à l’âge de 80 ans des suites d’une longue maladie dans un hôpital parisien, a été enterré lundi au cimetière parisien de Thiais (Val-de-Marne).
Une foule nombreuse, constituée essentiellement de sa famille, ses proches, amis, artistes, représentants du Centre culturel algérien (CCA) de Paris et un membre de l’ambassade d’Algérie en France, est venue l’accompagner dans sa dernière demeure. Le défunt a été enterré dans le carré musulman du cimetière.
Mourad Bouchouchi, né à Kherrata (Béjaïa) en 1938, ancien moudjahid durant la guerre de libération en sa qualité de lieutenant de l’Armée de libération nationale (ALN), au cours de laquelle il a activé dans la zone autonome d’Alger, jusqu’à son arrestation. A l’indépendance, il a été parmi les personnes ayant contribué à la création, en 1963, du Centre national de la cinématographie algérien (CNCA).
Il avait occupé, durant les années 1960 et 1970, les fonctions de directeur de l’audiovisuel au ministère de la Culture, avant de s’installer en France, au début des années 1980, où il est considéré comme l’un des pionniers du Centre culturel algérien de Paris où il a travaillé de 19983 à 2009, avant de faire valoir ses droits à la retraite.
Au sein de cette institution algérienne, il était le responsable de toutes les activités audiovisuelles, tout en s’occupant des expositions, de la cinémathèque et de la programmation. Il était à l’origine de la création du fonds audiovisuels du CCA.
Sur le plan cinématographique, Mourad Bouchouchi est connu pour le scénario du long métrage algérien « Une si jeune paix » (1965), coécrit avec le comédien, réalisateur et écrivain Jacques Charby (1929-2006) en plus du scénario du film « Le puits » (2016) de Lotfi Bouchouchi, son neveu, écrit par Yacine Belhadj sur la base d’une de ses nouvelles.
Il a également dirigé des productions comme « Elise ou la vraie vie » (1969) du réalisateur français Michel Drach et « Z » (1969) de Costa-Gavras.
The post Le cinéaste Mourad Bouchouchi enterré à Thiais, près de Paris appeared first on .
ALGER – Plus d’un million de tonnes de déchets ménagers et une quantité de près de 200 tonnes de pain rassis ont été collectées durant l’année 2018 à Alger, ont indiqué lundi deux responsables des entreprises Netcom et Extranet.
Extranet a collecte plus de 650.000 tonnes de déchets ménagers en 2018 contre plus de 580.000 en 2017, a indiqué à l’APS son directeur général, Mechab Rachid, qui explique cette hausse par l’augmentation du nombre de foyers dans le périmètre d’intervention de l’entreprise suite aux opérations de relogement.
Quant à Netcom, Nassima Yakoubi, chargée de communication, a fait état de plus de 450.000 tonnes de déchets ménagers collectées durant la même période au niveau de 26 communes où intervient l’entreprise. Par ailleurs, 190 tonnes de pain rassis ont été récupérées par les deux entreprises durant l’année écoulée, dont plus de 105 tonnes par Extranet seule.
S’agissant des opérations de tri sélectif, recyclage et récupération, le responsable de l’entreprise Extranet a fait état de plus de 1.470 tonnes de carton, près de 53 tonnes de plastique et environ 216.000 peaux de moutons récupérés, soulignant qu’il s’agit là de matières recyclables qui constituent « une source importante » dans la réalisation du développement durable et la création d’emploi.
Mettant l’accent sur l’importance de la vulgarisation et de la sensibilisation du tri sélectif des déchets avant leur transfert au centre d’enfouissement technique (CET) de Hamici, le même responsable a précisé que Extranet, qui couvre 80% du territoire de la wilaya d’Alger, assure la collecte et l’enlèvement des déchets ménagers des deux tiers de sa population, estimée à 2.300.000 habitants.
Pour sa part, Mme Yakoubi a fait savoir que Netcom a collecté, durant 2018, plus de 450.000 tonnes de déchets ménagers dans un périmètre de 1680 km2 et effectué 110.000 opérations de nettoyage à l’eau des rues outre la mise en place de plus de 3500 nouveaux bacs, dont une partie pour le tri sélectif au niveau des sites pilotes.
Concernant les opérations de tri sélectif, l’entreprise a récupéré, durant la même année, 1900 tonnes de carton, 504 tonnes de plastique, a-t-elle ajouté.
The post 2018/Alger : près d’un million de tonnes de déchets et 200 tonnes de pain rassis appeared first on .
BATNA – Le ministre des Ressources en Eau, Hocine Necib, a présidé dimanche à Chemora (Batna) la mise en exploitation de la seconde canalisation double de transfert d’eau de la station d’Ain Kercha (Oum El Bouaghi) vers le barrage de Koudiet Lemdouar de Batna sur une distance de 28 km.
Le ministre a insisté à l’occasion sur l’importance de cette canalisation qui contribue au renforcement de l’approvisionnement en eau potable des plusieurs agglomérations de la wilaya de Batna et une partie de la wilaya de Khenchela.
Il a également relevé que la mise en service, il y a quelques mois du grand tunnel de Mila sur 4 km a constitué « le maillon manquant » du système hydrique du complexe Béni Haroun ayant permis de porter la capacité de pompage à partir du barrage de Béni Haroun de 11,5 à 23 m3/seconde.
M. Necib a estimé que la wilaya de Batna a la chance de bénéficier de ce mégaprojet qui constitue « une des plus grandes réalisations de l’Algérie indépendante dans le programme du président de la République Abdelaziz Bouteflika », rappelant que ce projet stratégique bénéficie à 6 wilayas et 6 millions de personnes et permet d’irriguer 141.000 hectares dont 50.000 à Batna.
Il s’est dit satisfait de la situation de l’alimentation en eau potable de Batna et a prévu ‘‘davantage d’amélioration à l’avenir à la faveur des projets en cours dont la 4ème galerie de transfert des eaux du barrage de Koudiet Lemdouar vers 9 communes de la vallée d’Oued Abdi d’une population de 200.000 âmes.
Les efforts consentis, a-t-il ajouté, pour améliorer progressivement l’accès à l’eau potable par la mobilisation de moyens supplémentaires pour l’Algérienne des eaux (ADE) afin de lui permettre de parfaire son service public.
Le ministre a fait état du lancement dans « les quelques prochaines semaines » du projet d’une seconde station d’épuration des eaux usées pour la ville de Batna.
Concernant la station d’épuration des eaux usées de Barika accusant un grand retard, le ministre a affirmé que des mesures fermes ont été prises et le projet a été confié à une entreprise publique avec un délai de réalisation ne dépassant pas fin 2019.
Le ministre a clôturé sa visite dans la wilaya qui l’avait menée vers les communes de Barika, Chemora et Oued Taga a posé la première pierre du projet de renforcement de l’alimentation en eau potable de la commune d’Ain Yagout à partir du barrage de Koudiet Lemdouar.
The post Batna: la 2e canalisation de transfert d’eau d’Ain Kercha vers Koudiet Lemdouar mise en service appeared first on .
Un accord de partenariat a été signé lundi à Alger entre l’entreprise algéro-turque Abdi Ibrahim Remède Pharma (AIRP) et la société allemande de l’industrie pharmaceutique Boehringer Ingelheim pour la fabrication locale de médicaments traitant l’hypertension et le diabète.
Cet accord de 20 millions d’euros consistera à produire le médicament « Micardi.Plus » (contre l’hypertension artérielle) et « Jardians » (contre le diabète de type 2), ont indiqué ces deux partenaires lors de la cérémonie de signature.
La production de ces deux médicaments sera assurée par l’unité de production de l’entreprise algéro-turque AIRP située dans la nouvelle ville de Sidi Abdallah (Zeralda).
Selon le directeur général de Boehringer Ingelheim , Bachir Batel, la production du médicament pour le diabète de type 2 (Jardians) débutera au deuxième trimestre 2019 sera disponible sur le marché au deuxième trimestre 2023.
Quant à la phase de production du médicament contre l’hypertension artérielle (Micardi.Plus), elle débutera une fois que le transfert de technologie sera achevé d’ici avril 2021, en précisant que le premier pack de ce médicament sera disponible en Algérie au deuxième trimestre 2021.
Concernant les prix de ces deux médicaments, il a avancé qu’ils seront commercialisés « à des prix abordables ».
Pour sa part, le représentant de la société pharmaceutique AIRP, Mohamed Lamine Bousteila, a précisé que l’investissement de 20 millions d’euros pour ce projet englobe, à la fois, les équipements, le transfert de technologie et la formation.
Présent à cette cérémonie, le représentant de l’ambassade d’Allemagne en Algérie, Andreas Fiedler, a salué la conclusion de ce partenariat permettant « le transfert de la technologie innovatrice et le savoir-faire dans le domaine pharmaceutique entre l’Algérie et l’Allemagne ».
Pour les médecins spécialistes, qui ont pris part à cette cérémonie, cet accord de partenariat est à saluer dans la mesure où ces deux produits seront non seulement fabriqués localement mais permettront, de par leur qualité thérapeutique, de réduire le risque de développer des maladies cardiaques ou des accidents cardio-vasculaires.
The post Accord de partenariat algéro-allemand pour la fabrication de médicaments contre l’hypertension et le diabète appeared first on .
Un concours national pour la réalisation de 50 fresques murales a été lancé jeudi dans la commune d’Ath Mansour (40 km à l’extrême est du chef-lieu de la wilaya de Bouira) dans le cadre des festivités du nouvel an amazigh 2969. Les autorités locales ont donné le coup d’envoi de cet évènement, organisé par l’association Ikhoulaf et placé sous le slogan : «La plume au service de l’identité nationale».
Plusieurs jeunes peintres issus des wilayas de Béjaïa, Tizi-Ouzou et Bouira ainsi que de Boumerdès ont participé à ce concours, ont expliqué les organisateurs. Le lauréat sera connu le jour du nouvel an amazigh 2969, ont-ils ajouté. Plusieurs autres concours et activités culturelles ont également été organisés à la maison de la culture Ali-Zaamoum. Une cinquantaine d’exposantes venues des différents villages de Bouira ont pris ainsi part au concours de la meilleure robe kabyle, tandis qu’une vingtaine de collégiens ont participé au concours de dictée en tamazight.
Aussi, une dizaine de familles ont concouru pour le titre de «famille en or» qui consiste en la sélection de la famille qui apportera le plus de réponses à une série de questions relatives au patrimoine matériel et immatériel amazigh, selon les détails fournis par la directrice de la Maison de la culture. Une autre compétition pour le meilleur mets traditionnel amazigh a aussi été lancée dans la matinée par le wali Mustapha Limani, qui a inauguré plusieurs expositions dédiées à l’artisanat, aux habits et bijoux traditionnels, ainsi qu’à l’art culinaire amazigh.
Ces festivités ont drainé un public nombreux, notamment des familles qui ont afflué vers les lieux des expositions où règnait une ambiance de joie et de fête. «Je suis venue d’Ath Aâziz pour voir ces expositions et assister à ces festivités. Nous sommes très fiers de notre patrimoine amazigh, nous devons encourager ce genre d’activités», a déclaré El-Djouher, qui visitait les différents stands.
The post Bouira: Un concours national pour la réalisation de 50 fresques murales appeared first on .
2 pommes, 50 g de beurre, 5 cuillères à soupe d’huile végétale, 150 g de farine, 1/2 sachet de levure chimique, 150 g de sucre, 3 œufs.
Préchauffer le four à 180°C. Beurrer un moule.
Peler les pommes puis les couper en morceaux.
Faire fondre le beurre au micro-ondes dans un saladier.
Ajouter et mélanger avec le sucre, l’huile et les œufs battus. Tamiser la farine et la levure au-dessus de la préparation. Puis ajouter les pommes. Verser la pâte dans le moule beurré. Laisser cuire pendant 45 à 50 minutes, selon le four. Vérifier de temps en temps la cuisson.
The post Recette: Fondant aux pommes appeared first on .
Pour 6 personnes. Temps de préparation : 20 min
Temps de cuisson : 1 heure 30 min
Cuisses de lapin : 6 ; romarin : 3 branches; oignons : 1 ; persil plat : 3 branches ; gousses d’ail : 2 ; huile : 4 c. à soupe ; sel, poivre
Pelez les oignons et coupez-les en 2. Lavez, séchez, effeuillez et ciselez le persil. Effeuillez le romarin. Pelez et hachez l’ail. Faites chauffer l’huile dans une cocotte. Mettez-y les cuisses de lapin à dorer de tous les côtés. Ajoutez le romarin et l’ail. Salez et poivrez. Baissez le feu au minimum. Versez un verre d’eau, couvrez. Faites cuire 1 heure 30 min à petit feu en rajoutant un peu d’eau en cours de cuisson et en mélangeant régulièrement. 30 min avant la fin de la cuisson, ajoutez les oignons dans la cocotte. Quand le temps de cuisson est écoulé, retirez du feu et laissez tiédir. Puis effilochez le lapin et répartissez-le dans les assiettes. Ajoutez les oignons et arrosez de jus de cuisson. Parsemez de persil et servez.
Note : Un peu longue à préparer, je vous l’accorde, mais cette recette vaut vraiment le coup !
The post Recette: Lapin confit au romarin appeared first on .
Le relâchement des seins est inévitable. Avoir un enfant et allaiter par exemple contribue à la baisse de collagène, le tissu qui fait la connexion en dessous de la peau. Le relâchement peut aussi être dû à l’hérédité ; si votre mère avait une poitrine qui pend, vous avez une prédisposition à avoir la même chose (merci maman !)
Certains comportements quotidiens qui ont l’air anodin peuvent contribuer au relâchement de la poitrine. En voici quelques-uns :
Les régimes yo-yo
Perdre et gagner 5 kilos n’aura probablement aucun impact, mais si c’est 10 kilos et plus, c’est une autre histoire. A chaque fois que vous prenez ou vous perdez du poids, les tissus de la poitrine deviennent plus relâchés, comme de vieux leggings.
Fumer
Même vos seins ne peuvent pas échapper aux dommages de la cigarette. Peu importe la quantité de cigarettes que vous fumez, cela affaiblit votre peau en diminuant la quantité de sang qui afflue vers la surface de la peau.
Ne pas mettre d’écran solaire
Exposer votre visage aux rayons UV sans une couche protectrice d’écran solaire peut causer des rides prématurées. Le même effet est ressenti sur la poitrine dont le collagène est étiré.
Porter le mauvais soutien-gorge
Ne pas porter un soutien-gorge adapté à votre poitrine est une raison majeure de relâchement. Plus vos seins se balancent, plus la peau qui les recouvre s’étire et se relâche.
Faire du sport de façon intensive
Le sport est, sans conteste, bon pour la santé, mais selon certaines recherches, les mouvements répétitifs peuvent mener au relâchement de la peau des seins. Cela ne devrait pas vous empêcher de faire du sport, mais essayez de choisir des mouvements qui ne vont pas affecter l’élasticité de votre peau.
The post Bon à savoir: 5 habitudes quotidiennes qui causent le relâchement de la poitrine appeared first on .
La communauté syrienne fait l’objet d’une surveillance toute particulière en Algérie où les autorités ont récemment expulsé près d’une quarantaine de soldats de l’Armée syrienne libre (ASL) soupçonnés d’être animés d’intentions malsaines.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Tout commence en ce début de mois de janvier avec l’alerte lancée par le Haut Commissariat aux réfugiés. L’organisme affirme que l’Algérie vient de procéder à l’expulsion de plusieurs réfugiés arabes parmi lesquels se trouvent 120 Syriens ayant fui leur pays en guerre. Comme le reste du groupe, détaille la même source, ils ont été détenus dans le centre à Tamanrasset avant d’être reconduits aux frontières. Dans le pays, des voix s’élèvent pour dénoncer le fait.
Parmi elles, celles de Syriens réclamant l’asile à leurs compatriotes. Restées jusque-là silencieuses sur le sujet, les autorités algériennes réagissent en démentant la version avancée par le HCR et décident de mettre à la disposition de l’opinion publique des éléments d’information méconnus. Selon le responsable du dossier de l’immigration auprès du ministère de l’Intérieur, les personnes expulsées ne sont autres que des soldats de l’Armée syrienne libre (ASL) s’étant introduits de manière clandestine sur le territoire national.
Les premiers éléments de l’enquête menée ont également révélé que ces derniers obéissent à un réseau contrôlé par un général-major de cette même armée et que le but de leur déplacement vers le pays est d’y semer le trouble en tentant probablement de manipuler la communauté syrienne qui y est établie. Les déclarations font l’effet d’une bombe qu’aucune organisation humanitaire ou de défense des droits des réfugiés ne commente ou contredit jusqu’à l’heure. Bien au contraire.
Les regards se portent tout naturellement vers ces Syriens d’Algérie que le sujet n’a pas manqué d’intéresser au plus haut point, inquiétant les uns et suscitant des interrogations chez les autres. D’autres perçoivent d’un mauvais œil les déclarations de certains de leurs compatriotes établis en Algérie dénonçant cette expulsion. «Ils vont nous attirer des problèmes alors que nous en avons eu assez dans notre vie», s’écrie Abou Hamed, gérant d’un restaurant à Birkhadem. «Je viens d’Alep, tout comme trois de mes employés, ce sont les fils de mes amis. Nous sommes là depuis près de neuf ans et nous n’avons jamais eu d’ennuis avec qui que ce soit.
Au contraire, nous avons ouvert ce petit magasin qui nous permet de vivre. Les Algériens protègent leur pays, et ils ont raison de le faire, si des personnes sont suspectes, à quoi bon les laisser s’installer. Pourquoi s’amuser à défendre des personnes douteuses ?» Abou Hamed évoque des écrits et des dénonciations diffusés via des réseaux sociaux au sujet de ces récents événements.
Les personnes qui se sont exprimées ainsi évoquent la possibilité d’erreurs et condamnent cette expulsion. Selon certaines sources bien informées, les pouvoirs publics algériens considèrent d’ores et déjà le fait comme une «agitation» et un comportement contraire aux règles auxquelles doivent s’astreindre les étrangers accueillis dans le pays.
Dans ce contexte bien délicat, un contrôle particulier a été également mis en place dans les zones d’accès. Frontières terrestres et aéroports sont sous haute surveillance et ne seront désormais tolérés que les Syriens arrivant par les points de contrôle nord (aéroports) et se déclarant sans tarder aux autorités compétentes. Tout migrant ayant emprunté les voies sud, ayant transité par des voies irrégulières sera automatiquement refoulé. Sur le territoire national, et après un relâchement de plusieurs mois, les pouvoirs publics ont également pris la décision de rappeler une certaine catégorie de Syriens à leurs obligations. De nouveau, la mendicité à laquelle s’adonnaient nombre d’entre eux n’est plus tolérée.
Le phénomène, rappellent des sources, avait déjà alerté les services de sécurité. Une opération de «ramassage» de ces mendiants avait été déclenchée, mais les mis en cause ont pris la fuite et se sont dirigés vers d’autres régions nord du pays où ils ont été cette fois arrêtés et reconduits vers les centres pour réfugiés.
Le phénomène a fait grand débat il y a quelques années et les Algériens ont appris, médusés, qu’une grande partie de ces mendiants se faisant passer pour des Syriens n’étaient autres que des membres de la communauté gitane ou turkmène vivant à cheval entre la Syrie et la Turquie.
Au même moment, le coordinateur de la communauté syrienne en Algérie affirmait à la presse que les «réfugiés syriens qui préféraient la mendicité au centre d’accueil devaient avoir des intentions malsaines». Au sein de cette communauté, actuellement forte de 50 000 personnes selon les chiffres officiellement annoncés par le HCR, la situation a souvent été bien tendue. «Beaucoup, nous dit-on, ont eu peur de se déclarer par crainte de représailles. Des personnes malintentionnées ont en effet tenté à plusieurs reprises d’opérer ici.»
On n’en saura pas davantage. Dans un entretien accordé au quotidien El Watan, ce coordinateur révélait en 2012 que «les services de sécurité algériens avaient pu neutraliser certains agents du régime qui s’étaient infiltrés avec de faux passeports turcs à la poursuite d’opposants syriens».
Le scénario est aujourd’hui inversé. Des missions menées par des soldats de l’Armée syrienne libre (ASL), une organisation militaire proche des mouvements terroristes d’Al-Qaïda et de Daesh, ciblent à nouveau cette communauté.
Alors que la polémique autour des expulsions de ressortissants arabes battait son plein, le responsable du dossier de l’immigration auprès du ministère de l’Intérieur a tenu également à informer l’opinion publique que les soldats de l’ASL «ont commencé à organiser des conférences et à prendre contact avec des chaînes de télé du Moyen-Orient dès leur arrivée afin d’effectuer des pressions sur l’Algérie au nom du droit des migrants». Selon des sources bien au fait du dossier, «il est clair que ces derniers tentaient déjà de s’organiser et de se lancer dans une agitation qui ne pouvait aller qu’en s’amplifiant une fois installés, ceci avant de passer au projet de déstabilisation… Ainsi, il aurait été plus facile de réclamer la régularisation d’autres soldats qui seraient certainement arrivés dans le même objectif».
Ces réalités, la communauté syrienne ne l’ignore pas. Sur les hauteurs d’Alger, à Dély-Ibrahim, un père de famille venu de Homs fait lui aussi part de son inquiétude. «Qu’on le veuille ou non, nous restons une communauté très fragile. En nous accueillant, l’Algérie n’a pas fait de distinction entre les différentes communautés, le pays nous a accueillis en qualité de réfugiés fuyant la guerre.
Or, beaucoup de personnes venues de pays arabes se sont fait passer pour des Syriens pour bénéficier des facilités qui nous étaient accordées.
Cela nous cause du tort, tout comme ces mendiants qui emplissaient les rues de la capitale durant un long moment. La plupart d’entre nous sont des familles respectables ayant tout perdu ou laissé derrière eux, aujourd’hui nous sommes des apatrides, venir nous chercher des ennuis n’est pas une bonne chose, attirer l’attention sur nous aussi.
Nous sommes très conscients de ce qui se passe ou pourrait se passer, et chacun d’entre nous n’a d’autre préoccupation que de gagner sa vie et protéger sa famille en attendant de pouvoir un jour retourner au pays.
L’ASL, ce sont des terroristes, s’ils infiltrent notre communauté, nous serons les premiers à être en danger.»
A. C.
The post Réfugiés syriens en Algérie: Les inquiétudes d’une communauté appeared first on .