Antonio Guterres tentera de sensibiliser Washington sur “les problèmes financiers graves”, qui mettent en danger ses nombreuses missions, notamment celles de maintien de la paix à travers le monde.
Le secrétaire général des Nations unies sera à Washington aujourd’hui et demain pour discuter avec les autorités américaines du financement des opérations de paix, dont le budget est déséquilibré par la baisse de la contribution des États-Unis.
De plus en plus alarmé par la trésorerie défaillante de l’ONU, Antonio Guterres s’attèle à multiplier les initiatives pour sensibiliser les États membres aux “problèmes financiers graves” auxquels est confrontée l’institution, après avoir consacré à la question une rencontre mensuelle avec le Conseil de sécurité et adressé une lettre alarmante aux 193 membres des Nations unies réunis récemment pour trouver à des solutions. Adopté chaque année en juin, le budget de l’ONU pour sa quinzaine d’opérations de paix employant plus de 100 000 Casques bleus est de 6,689 milliards de dollars. Il faut dire que la décision du président Donald Trump de réduire la contribution financière américaine à 25% représente le plus gros casse-tête pour Antonio Guterres.
De nombreux pays sont réfractaires à se substituer aux États-Unis, qui ne sont pas parvenus fin 2018 à faire entériner par l’ONU le principe d’une part américaine réduite. Selon Washington, la répartition des contributions n’est plus juste, avec des pays ne payant pas assez au vu de leurs possibilités. En ligne de mire des États-Unis figurent l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Émirats arabes unis, la Turquie, Singapour, Brunei, le Brésil, le Mexique ou l’Inde. “La capacité américaine devrait plutôt se traduire par une contribution à 29%”, rétorque un diplomate africain, en soulignant que Washington est “le premier bénéficiaire” des opérations de paix.
En plus de la réduction depuis 2017 de 28% à 25% de la contribution américaine (soit 220 millions de dollars par an en moins), Antonio Guterres fait face à de plus en plus de retards de paiement par les États membres, pouvant atteindre au total plusieurs centaines de millions. Parmi les conséquences de ces réductions dans les contributions, l’ONU qui doit rembourser les pays ayant déployé des troupes dans des opérations accuse elle aussi des retards conséquents. Jusqu’à présent, le problème n’a pas poussé les pays à proposer moins de troupes, note-t-on à l’ONU. Il n’en demeure pas moins que l’on se pose la question : mais jusqu’à quand ? Les répercussions sont particulièrement importantes pour les gros fournisseurs de Casques bleus.
En tête des pays auxquels l’ONU doit de l’argent figurent l’Éthiopie qui attend 41,6 millions de dollars, l’Inde 40,5 millions et le Pakistan 35,7 millions. Sans mission de l’ONU dans certains pays, l’engagement et le coût pour les États-Unis seraient démultipliés, note une source. Alors, quelles solutions, sachant qu’aucune sanction n’est prévue pour ceux qui ne paient pas la totalité de leur dû ou s’exécutent avec retard, et “qu’une réduction des dépenses ne peut compenser le manque à gagner” comme l’a admis lui-même Antonio Guterres ?
Merzak Tigrine
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Louiza Allia Belamri – native de Béjaïa et avocate de métier – fait partie de ces jeunes artistes algériens talentueux et prometteurs qui cherchent à travers leur art certes à véhiculer des messages, mais aussi et surtout à construire une autre Algérie, une Algérie ouverte à l’autre et qui accepte la différence. À l’issue de la projection de son moyen-métrage Unique.dz à Alger, elle nous dévoile un peu de ses ambitions qu’elle veut bien partager avec nos lecteurs.
Liberté : Vous êtes réalisatrice, mais aussi artiste peintre, comment vous est venu ce penchant artistique ?
Louiza Belamri : J’ai d’abord commencé par m’intéresser aux arts plastiques, mon oncle – qui est d’ailleurs l’un des intervenants de mon documentaire Unique.dz, en l’occurrence Me Cherbal l’avocat excentrique – m’emmenait souvent avec lui au théâtre régional de Béjaïa – qui est ma ville natale et y ai vécu jusqu’en 2012. En 1988, alors que je n’avais que 4 ans, il m’emmena à un vernissage au TRB, c’est le plus vieux souvenir que j’ai ; je me vois encore toute petite lui tenant la main entourée d’œuvres plastiques… Plus tard, j’ai aussi suivi une formation au théâtre ; à la fac, j’étais mime… Je suis une grande fan de Marcel Marceau. Étant avocate, en venant m’installer à Alger, je me suis spécialisée dans l’audiovisuel, cela m’a permis de connaître du monde, mais surtout d’apprendre sur le tas, de me faire des amis techniciens qui m’ont d’ailleurs aidée sur le plan technique pour ce documentaire.
Pourquoi avoir opté pour le genre documentaire ?
J’ai voulu faire le doc, car je suis passionnée par l’Homme, je trouve l’humain tellement beau, j’aime ces différences, propre à chacun ; j’aime discuter et échanger même avec des inconnus ; j’appelle cela les moments hors du temps, ces petites parenthèses qui peuvent marquer une vie, ou même la changer carrément. Le documentaire est pour moi la plus authentique des façons de montrer cela, comme les personnes ne jouent pas et sont elles-mêmes, on y voit toute la beauté de leur âme et de leur esprit. Vous savez, chaque personne est unique, et si on prend le temps de nous intéresser ou simplement d’échanger quelques mots avec les autres, l’on s’en rendrait tous compte. On me dit souvent que je suis une grande idéaliste, mais je pense que je suis simplement réaliste, le positif attire le positif, et c’est ce que je veux transmettre entre autres à travers ma démarche. Pour le court métrage, mon côté psychédélique prend le dessus, j’aime jouer sur la subtilité, mon art se veut suggestif mais jamais choquant, je trouve que l’on fait mieux passer certains messages ainsi, surtout dans notre société.
À quoi peut servir l’art justement ?
Pour cette question, je ne peux vous répondre sur l’art en général, mais je vais plutôt vous répondre par rapport à ma démarche : je souhaite redonner foi en nous, il faut croire en nos rêves ! L’homme est bon par nature, je souhaite que toute personne qui voit mon documentaire en sorte heureuse, que la personne qui voit l’un de mes travaux ait le sourire aux lèvres, tout en ayant compris le message. C’est peut-être un raisonnement enfantin, mais c’est le mien… Je suis une grande enfant, et je dis toujours qu’il faut rêver sa vie en couleur, car c’est le secret du bonheur, et c’est exactement le message que je veux faire passer.
Quels sont les sujets de société que vous aimez aborder dans votre art ?
Cela dépend du moment et de l’inspiration, mais je travaille beaucoup sur l’humain que j’aime sublimer et sur la femme.
Dans vos tableaux, la femme est omniprésente, pourquoi ?
Tout simplement car je suis une femme ! Et plus sérieusement, je suis une militante des égalités, j’ai d’ailleurs participé à deux résidences artistiques, l’une avec l’ONU Femme et l’autre avec une autre ONG ; quand je dis égalités je ne parle pas que du côté juridique et je suis contre le féminisme extrémiste. Vous voulez un exemple ? L’espace public, une Algérie où la femme se réapproprie cet espace comme dans les années 70 en gardant notre algérianité, voilà un de mes rêves… Et avec ce qui se passe en ce moment, j’ose espérer qu’on y reviendra…
Vous avez d’autres projets en perspective ?
Je travaille actuellement sur le montage d’un court documentaire Tiferdoud se raconte sur les gens de Tiferdoud, que j’ai filmé lors du festival Racont’arts, et je suis en pleine réflexion pour un nouveau projet documentaire…
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Qualifiés par certains de Don Quichottes des temps modernes, les lanceurs d’alertes subissent de fortes pressions politiques et surtout judiciaires de la part des États et des grandes multinationales aux pratiques douteuses.
L’Union européenne vient d’enregistrer un pas en avant dans la protection des lanceurs d’alerte en concluant un accord dans la nuit de lundi à hier, une première, ont rapporté les agences de presse. Même si l’accord est provisoire, il constitue une victoire pour les lanceurs d’alerte qui dénoncent les infractions liées à l’évasion fiscale, à l’exploitation illégale ou abusive des données personnelles, aux violations des règles de la concurrence commerciales, etc. “Nous avons obtenu un champ d’application large pour protéger ces personnes”, s’est réjouie l’eurodéputée française Virginie Rozière (Socialists and Democrats -S&D, gauche) lors d’une conférence de presse à Strasbourg.
La rapporteure du texte y a vu “une avancée majeure pour notre démocratie”. Avec ce texte, encore provisoire, doivent être mis en place des “canaux sûrs” pour que des individus puissent signaler, en interne ou publiquement, des infractions au sein d’une entreprise ou de l’administration, sans craindre des représailles. Il s’agissait de l’un des principaux points de blocage.
Certains pays, dont la France, voulaient que la révélation d’informations se fasse d’abord en interne au sein de l’organisme en cause, puis, si nécessaire, publiquement. L’ONG Transparency International a salué “un jour historique pour les lanceurs d’alerte”. Pour l’heure, les lanceurs d’alerte, qui révèlent de manière désintéressée un délit ou une menace pour l’intérêt général, sont très inégalement protégés selon les pays. Ils seront désormais préservés des procédures judiciaires, mais aussi des rétrogradations, intimidations ou suspensions de leur contrat de travail. “Ces règles contribueront ainsi à la lutte contre la fraude, la corruption, l’évasion fiscale des entreprises et les atteintes à la santé publique et à l’environnement”, a réagi Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne. Les nouvelles règles concernent notamment la fraude fiscale, le blanchiment de capitaux, les marchés publics, la sécurité des produits et du transport, la protection environnementale, celle des consommateurs, des données à caractère personnel et la santé publique, selon le Parlement européen.
Les États membres pourront étendre ces règles à d’autres domaines. Les domaines de la défense et la sécurité de l’État, ainsi que les informations classifiées, restent exclus des possibilités de signalement, a précisé Virginie Rozière. En avril 2018, la Commission européenne, qui a dans l’UE le pouvoir de proposer des lois, avait présenté un projet de directive visant à protéger les lanceurs d’alerte après une série de scandales, Dieselgate, LuxLeaks, Panama Papers ou encore Cambridge Analytica. Ce texte a ensuite fait l’objet de négociations avec les deux colégislateurs, le Parlement européen et le Conseil représentant les États membres. Cet accord provisoire doit désormais être voté à la fois par le Conseil et par le Parlement européen, ce qui devrait avoir lieu avant les prochaines élections de fin mai. Une fois le texte adopté, chaque État membre devra alors le transposer en droit national.
L. M./Agences
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Suite à l’annonce du président Bouteflika de renoncer à un cinquième mandat, reporter les élections présidentielles et convoquer une conférence nationale et inclusive, l’opposition ne s’emballe pas. À l’unanimité, partis politiques et personnalités de l’opposition, mettent en garde contre ce qu’ils appellent un «4ème mandat +», c’est-à-dire le maintien du mandat actuel de Bouteflika, le temps que le système trouve un successeur.
«Le régime en place, depuis un demisiècle, reste autiste aux aspirations du peuple algérien », a indiqué, hier, au « Courrier d’Algérie », Fetta Sadat, députée RCD, également membre de la commission des Affaires administratives et juridiques à l’APN. « Le peuple algérien n’a pas simplement dit non au cinquième mandat, mais il a radicalisé ses revendications à une phase tel qu’il dit maintenant “système dégage !” Donc il faut aboutir à un changement de ce système », a-t-elle ajouté. Pour l’avocate et militante des Droits de l’Homme, il s’agit « d’une manière pour le chef de l’État en place de rester toujours Président. Or, cela n’est pas prévu dans la Constitution. Mais évidemment il ne s’offusque pas du respect des lois de la République ».
Sadat a qualifié les récentes mesures prises par Bouteflika comme « une honte » et « une gifle » au peuple algérien, qui, estime-t-elle, « néanmoins est doté de la maturité politique et citoyenne adéquate pour continuer à lutter jusqu’à réalisation de ses aspirations ». Le président de la République s’est engagé, lundi soir, à convoquer une «conférence nationale et inclusive » impliquant toutes les forces politiques du pays, et qui sera en charge de gérer la transition démocratique et rédiger une nouvelle Constitution. Selon Sadat, il n’est point question de transition, mais d’une « ruse machiavélique ». Car, « ce dispositif est discrédité pour la simple raison qu’il est utilisé pour prolonger le mandat actuel de Bouteflika et non pas le fait de vouloir imposer une transition démocratique », a-t-elle jugé.
De son côté, le Parti des travailleurs (PT) a estimé le renoncement du président Bouteflika pour un cinquième mandat « dont il s’est clairement et étrangement démarqué, et le report de l’élection présidentielle, aurait été un réel facteur d’apaisement, dans le sens où cela aurait constitué une réponse positive à l’aspiration de millions d’Algériens ». Or, « la prolongation du 4e mandat traduit une volonté de travestir la volonté de l’écrasante majorité du peuple de se libérer du système », a souligné le PT dans un communiqué. Le parti s’interroge et pose des doutes : «la convocation d’une conférence nationale non élue peut-elle incarner la volonté populaire ? » Il conclura : « le même système politique totalement rejeté par la majorité continuera donc de sévir au compte de l’oligarchie prédatrice, des mafias qui ruinent le pays».
Pour sa part, le Mouvement pour la société de la paix (MSP) a considéré que « les mesures annoncées par le président de la République sont un détournement de la volonté des Algériens, dont les visées visent à faire rater une occasion historique de changement vers une Algérie qui traduit réellement la volonté populaire ». Dans un communiqué publié hier, le MSP a estimé que « les mesures de report annoncées ne sont pas conformes à l’initiative du consensus national du MSP, qu’il a proposées à la Présidence et à l’Opposition en toute transparence et netteté ». Le MSP estime que les mesures du Président « sont complètement dépourvues de consensus », dont a appelé à maintes fois le parti.
Le MSP a appelé « à privilégier le dialogue, sans exclusion aucune, que se soit dans la classe politique ou la société civile, en incluant aussi les jeunes du mouvement de mobilisation citoyenne de sorte à concrétiser une réelle volonté nationale d’aller vers une transition démocratique souple et consensuelle, selon les textes de Mazafran et l’initiative de consensus national et ce qui est demandé aussi par les foules dans les places publiques », lit-on aussi dans le communiqué du parti.
Hamid Mecheri
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Parmi les joueurs algériens évoluant à l’étranger et ayant déjà reçu leurs convocations en prévision du prochain stage de la sélection algérien qui débutera le 18 de ce mois, on peut notamment citer Fawzi Ghoulam. Il sera tout simplement l’attraction de ce stage au cours duquel les Verts affronteront la Gambie et la Tunisie les 22 et 26 respectivement. En effet, la dernière apparition de l’ancien stéphanois sous les couleurs des Fennecs remonte au 5 septembre 2017 contre la Zambie, et la fameuse défaite 1-0 qui avait fait mal à plusieurs joueurs.
Ce jour là, la FAF avait même émis des doutes concernant son absence un mois plus tard contre le Cameroun allant jusqu’à envoyer un médecin à Naples pour l’examiner, lui, qui se disait malade. On se souvient d’ailleurs que l’actuel napolitain avait manqué le dernier match de l’équipe nationale sous l’ère du technicien espagnol Lucas Alcaraz face au Cameroun en octobre 2017 avant de disparaître pendant 18 mois. Pendant toute cette période, le latéral gauche n’a pas eu l’occasion de travailler sous les ordres de Rabah Madjer, il a évité les turbulences qu’aura connues sous sa coupe cette EN, la faute à une blessure grave au genou.
Le retour de l’ancien stéphanois cette saison se fait d’une manière progressive, mais l’entraineur national, Djamel Belmadi, voudrait l’emmener en Egypte, et régler définitivement le problème du latéral gauche. Cependant, rien n’est encore gagné pour Ghoulam. Ses prestations à Naples depuis qu’il a renoué avec la compétition sont jusque-là mitigées. Il n’est d’ailleurs pas souvent utilisé par son entraineur italien, Carlo Ancelloti. En tout cas, le coach napolitain s’est exprimé dernièrement sur le cas de Ghoulam et a affirmé que le joueur est en train de revenir doucement mais sûrement. Raison pour laquelle il a décidé de le protéger, en le ménageant notamment dans plusieurs matchs.
En tout cas, le coach national aura, à l’occasion du prochain stage, à évaluer de près les capacités de Ghoulam de revenir à son meilleur niveau d’ici à la prochaine CAN. Mais entre temps, il aura sûrement à préparer son plan B. A ce propos, on peut dire qu’il a désormais un champ de manoeuvre bien étroit, notamment avec l’émergence de Zeffane comme arrière gauche au sein de son club français, Rennes.
H. S.
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Par Chaabane BENSACI
Ce n’est pas la première fois que des enfants sont ainsi les victimes des bombardements de la coalition puisque, quelques mois auparavant, 54 enfants ont également succombé dans un raid sur un autobus, non loin du port de Hodeïda…
Douze enfants et dix femmes ont été tués au cours des dernières quarante-huit heures, au Yémen, durant des bombardements qui ont ciblé des habitations de civils dans la province de Hajjah, au nord-ouest de la capitale Sanaa. C’est ce qu’a annoncé la mission onusienne dans un communiqué. Le bilan aurait pu s’avérer encore plus tragique puisqu’on dénombre également 14 enfants blessés, plus ou moins grièvement, dont l’âge varie de 1 à 18 ans; L’ONU précise qu’ils ont été évacués vers des centres hospitaliers de Sanaa, sans préciser si ces hôpitaux disposent effectivement des moyens nécessaires pour leur prise en charge.
Le Yémen est en effet aux prises avec une crise humanitaire dont l’organisation considère qu’elle est la pire depuis de nombreuses décennies, la population yéménite étant en grande partie menacée de famine! Ces frappes intervenues dans le district de Kouchar restent pour l’instant «indéterminées» puisque le bureau des Nations unies chargé des Affaires humanitaires n’en a pas indiqué les auteurs même si les rebelles Houthis ont accusé sans tarder, dans plusieurs de leurs médias, la coalition militaire emmenée par l’Arabie saoudite qui intervient dans cette guerre menée au Yémen en soutien aux forces progouvernementales.
Ces dernières contrôlent depuis presque une année certaines zones de la province de Hajjah alors que quelques autres sont, à l’instar de Kouchar, aux mains des rebelles. Un des responsables Houthis, Deifallah al-Chami, a diffusé un communiqué, par le biais de l’agence de presse Saba, dans lequel il désigne nommément la coalition conduite par l’Arabie saoudite comme responsable de cette attaque. Riyadh, a-t-il affirmé, a «volontairement perpétré ce massacre». Ce n’est pas la première fois que des enfants sont ainsi les victimes des bombardements de la coalition puisque, quelques mois auparavant, 54 enfants ont également succombé dans un raid sur un autobus, non loin du port de Hodeïda. Riyadh avait expliqué, au lendemain du carnage, que l’autobus abritait en même temps que ces enfants des combattants Houthis, selon ses canaux de renseignement militaire. Le porte-parole de la coalition avait, cependant, présenté des excuses sous la pression de la communauté internationale et à la demande express des Etats-Unis dont les élus démocrates avaient vivement condamné ce crime tout en réclamant au Congrès l’arrêt des fournitures de matériels de guerre à l’Arabie saoudite.
Demande qui est demeurée sans suite, l’administration Trump ayant néanmoins exercé une pression «amicale» sur Riyadh en vue d’une amorce de négociations, sous l’égide de l’ONU. Lesquelles négociations ont eu lieu en Suède et ont surtout porté sur la situation au port de Hodeïda, point d’entré unique de l’aide humanitaire dont a tant besoin le peuple yéménite martyr. Depuis, les discussions piétinent et butent principalement sur l’échange de 15 000 prisonniers prévu dans l’accord difficilement arraché à Stockholm mais dont la concrétisation sur le terrain reste, à ce jour, problématique. Telle est la situation dans laquelle se débat le peuple yéménite, plusieurs mois après la rencontre, qualifiée porteuse de «progrès spectaculaire» par l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU au Yémen.
Le déploiement des observateurs onusiens a buté sur les intran-sigeances des deux camps, et le premier responsable de ce contingent a même été déclaré persona non grata aussi bien par la coalition dirigée par l’Arabie saoudite que par les dirigeants Houthis. En somme, le conflit dans ce pays qui reste l’un des plus pauvres au monde et dont l’appartenance à la péninsule arabique est lourde de conséquences tragiques risque de durer encore longtemps, malgré les efforts de l’ONU et les tentatives très diplomatiques des émissaires britanniques et américains dans la région. Sur les 10 000 morts que l’intervention de la coalition emmenée par l’Arabie saoudite a causé depuis 2015, on estime à plus de 2200 celui des innocentes victimes que sont les enfants. Un nombre que contestent véhément de nombreuses ONG qui parlent d’un bilan réel cinq fois supérieur…
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Pour Maduro, les attaques contre le système électrique masquent une volonté des Etats-Unis de «désespérer» la population, afin de tenter de faire entrer de force l’aide humanitaire qu’il avait repoussée et de justifier une intervention militaire.
Le président du Venezuela Nicolas Maduro a appelé de nouveau lundi ses concitoyens à se montrer davantage vigilants et résistants contre les manoeuvres «malsaines» des Etas- Unis cherchant à maintenir la panne électrique afin d’exaspérer les populations et lancer à terme une intervention militaire. «Je lance un appel à tous les pouvoirs, sociaux et populaires à continuer dans la résistance active», a-t-il lancé dans son discours à la télévision d’Etat.
«L’intervention du chef de l’Etat vénézuélien est intervenue à quelques heures seulement de la marche à laquelle a appelé l’opposant Juan Guaïdo, hier, partout dans le pays, afin de marquer la première semaine de la coupure du courant électrique.
Le retard dans le rétablissement du courant électrique est dû, selon Guaïdo, à l’incapacité et la défaillance de l’entreprise nationale d’électricité de trouver la faille. La gigantesque panne d’électricité a causé pour l’heure de nombreux dysfonctionnements aux Vénézuéliens. En plus de la coupure des réseaux de téléphonie et d’Internet, 15 patients souffrant de maladies rénales ont perdu la vie à cause de l’absence du courant électrique indispensable pour le fonctionnement des différents appareils de traitement.
Les produits alimentaires sont aussi de plus en plus rares depuis l’avènement de cette panne. La situation au Venezuela inquiète davantage les ONG qui ne cessent pas d’appeler les deux parties à la raison. «Je lance un appel à tous les pouvoirs, sociaux, populaires», a lancé M. Maduro dans une allocution à la télévision nationale, citant notamment les «colectivos» qui désignent aussi bien les groupes de citoyens menant des oeuvres sociales que des formations agissant en qualité de milice.
Pour M. Maduro, les attaques contre le système électrique masquent une volonté des Etats-Unis de «désespérer» la population, afin de tenter de faire entrer de force l’aide humanitaire qu’il avait repoussée et de justifier une intervention militaire américaine déguisée. Le décret approuvé par l’Assemblée nationale fait justement appel à la «coopération internationale» pour sortir le pays de l’ornière. Malgré le retour progressif du courant dans plusieurs quartiers de Caracas, la situation reste chaotique pour la population: se procurer de l’eau et de la nourriture à un prix abordable est devenu une gageure. Tout se négocie désormais en dollars, et ce jusque dans les moin-dres recoins du pays.
Le gouvernement a annoncé une nouvelle journée fériée, hier, le pays qui sortait à peine des vacances de carnaval est à l’arrêt depuis vendredi matin.
La Havane a dénoncé dans un communiqué des «mensonges», après que le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a critiqué «le rôle central de Cuba et de la Russie» pour «saper les rêves démocratiques et le bien-être des Vénézuéliens», tout en annonçant le retrait de tout le personnel diplomatique américain encore présent au Venezuela. La confrontation entre MM. Guaido et Maduro dure depuis le 23 janvier. Mike Pompeo a reconnu que les Etats-Unis auraient «préféré que les choses se passent plus rapidement». «Mais j’ai pleine confiance», a-t-il ajouté. «Les choses bougent dans la direction voulue par les Vénézuéliens et vont continuer ainsi», a estimé le chef de la diplomatie américaine.
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Par Kamel BOUDJADI
L’affichage de ce programme s’inscrit en droite ligne avec le projet de Chérif Mellal qui compte faire des talents du terroir l’élément moteur de ses joueurs
Pour une nouveauté, c’en est une grande. La JSK vient de rendre public son programme de prospection de jeunes talents pour la saison 2019-2020. Un programme, par communes et par dates, a été affiché sur la page facebook du club kabyle qui vient de rajouter une touche de professionnalisme à sa gestion. Cette méthode transparente tranche catégoriquement avec la façon de faire de l’ancienne direction. L’affichage de ce programme s’inscrit en droite ligne avec le projet de Chérif Mellal qui compte faire des talents du terroir l’élément moteur de ses joueurs.
Ainsi, le communiqué pose les règles qui prévaudront lors de cette étape. Incitant les clubs locaux à être ponctuels, la direction de la JSK insiste sur le fait qu’aucun recrutement ne se fera si le talent ne passe pas dans la même période que les autres et dans le même programme. A la suite de cette première phase, une autre phase finale sera organisée, afin de permettre aux chargés des recrutements de dresser la liste des joueurs retenus pour chaque catégorie. La première zone concernée par les recrutements comprendra les communes de Boghni, Maâtkas, Draâ El Mizan, Tizi Ghennif, les Ouadhias et Ouacifs.
La prospection des talents des U15, U17 et U19 se tiendra du 21 au 25 mars. L’autre zone qui sera concernée après la première est Azazga, Bouzeguène, Tizi Rached et Azeffoun. Les prospections dans cette zone débuteront le 27 du mois de mars et se clôtureront le 1er avril. Les communes de Tizi Ouzou, Béni Douala et Draâ Ben Khedda seront prospectées durant la même période que les précédentes. Enfin, du 2 au 4 avril, ce seront les talents des communes de Tigzirt, Ouaguenoun et Makouda qui seront prospectés. Par ailleurs, du côté des Canaris, l’ambiance est déjà au match gala attendu le samedi 23 mars face au club français du Red Star. La rencontre, pour rappel, se déroulera au stade Michel Hidalgo à partir de 13h.
Les joueurs sont déjà dans le match et se disent heureux de pouvoir montrer leurs capacités devant un public européen. La rencontre amicale sera aussi l’occasion pour les Canaris de se faire connaître des clubs français. A l’évidence, le public algérien présent sur place aura l’occasion de voir la JSK évoluer devant lui. Enfin, il convient de rappeler également que les Canaris sont dans la ligne droite pour s’ouvrir le chemin des compétitions africaines, après plusieurs années d’absence. La rencontre de samedi prochain face à l’O Médéa sera décisive, car les trois points de la victoire permettront aux Canaris de garder une deuxième ou une troisième place.
Une place qui sera synonyme de retour de ce géant sur les terrains d’Afrique. Les supporters de la JSK se souviennent encore des années d’or de leur club, qui a longtemps régné sur le continent. Toutefois, face à l’engouement, Dumas fait un travail psychologique monumental pour garder le moral de ses troupes au beau fixe et surtout pour leur permettre de garder les pieds sur terre. En attendant la rencontre décisive, les Canaris poursuivent leurs préparations avec un moral au top.
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Personne n’y croyait. Et puis, sur les coups de 15h20, l’émission espagnole El Chiringuito lâchait une véritable bombe en annonçant que Zinedine Zidane avait finalement accepté de revenir au Real Madrid.
Un véritable coup de tonnerre puisque l’ensemble de la presse ibérique indiquait que l’entraîneur, qui avait bien été sollicité par Florentino Pérez, avait refusé de revenir. Une tendance qui a donc volé en éclats hier après-midi, pour le plus grand bonheur des socios merengues. Sans surprise, les médias ont donc voulu en savoir davantage sur les raisons ayant poussé Zizou à replonger. Lors de sa conférence de presse de présentation, l’intéressé a déclaré qu’il n’avait pas hésité à répondre favorablement à l’appel du président Pérez.
Une version confirmée quelques instants plus tôt par le patron de la Casa Blanca. «Quand nous t’avons proposé de revenir à la maison il y a cinq jours, tu as prouvé ta loyauté. Ton engagement avec ce club émeut les Madrilènes.» Pérez a-t-il dit la vérité? Selon L’Equipe, une source interne du club a confirmé que cet appel décisif a bel et bien été passé le lendemain de la débâcle des Merengues en Ligue des Champions face à l’Ajax Amsterdam (1-4). L’ancien numéro 5 du club Merengue aurait donc bien dit oui dès la première sollicitation présidentielle. AS ajoute de son côté que Zidane était bien la priorité de Pérez, et ce, malgré des informations laissant penser que le dirigeant madrilène avait opté pour José Mourinho. Bien entendu, si Zidane a été sensible à l’appel au secours de son président, ce dernier a tout de même dû se plier aux exigences du Français.
Ainsi, outre les demandes liées au prochain mercato estival, Zidane aurait également obtenu une réorganisation du staff. S’il a accepté de revenir, c’est parce qu’il peut enfin lancer l’opération lifting de la Casa Blanca. Un chantier initié par Solari que Zidane ne souhaitait pas débuter après sa folle épopée avec le groupe merengue d’après Marca.
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« Qu’Abdelaziz Bouteflika renonce à briguer un nouveau mandat, c’est la moindre des choses, maintenant il va falloir le lui annoncer… », réagit, non sans humour, Sami Ameziane, alias Le Comte de Bouderbala. À 40 ans, l’humoriste franco-algérien et ancien joueur de basket professionnel – il a d’ailleurs évolué en équipe nationale algérienne de 2000 à 2005 – suit de près ce qui se passe de l’autre côté de la Méditerranée.
« Il ne faut pas être naïf, Bouteflika ne gouvernait plus depuis un moment. L’Algérie est un régime militaire, c’est l’armée qui décide et le cercle familial et affairiste de la présidence. On a très rarement vu un régime militaire devenir démocratique du jour au lendemain, relève-t-il. À mon avis, les décideurs gagnent du temps pour trouver un candidat crédible, ça va être le casting d’Incroyable Talent, mais à l’envers… »
« En revanche, c’est une belle victoire pour le peuple algérien qui reprend son destin en main dans le calme, la clairvoyance, le pacifisme, et même l’humour, se réjouit-il. En Algérie, le problème n’est pas uniquement politique, il est aussi et surtout économique, un chômage de masse, un avenir bouché pour la jeunesse et un problème de non-redistribution des richesses, basées sur le pétrole et le gaz dont les principaux clients sont les Etats-Unis et la France. »« Face à la gronde algérienne, Trump s’est exprimé en soulignant que la rue donnait son avis et qu’il fallait l’entendre, rappelle l’humoriste. La France, via Jean-Yves Le Drian, a préféré respecter la fin du processus électoral… Je n’ai pas pu ne pas penser à Michèle Alliot-Marie qui proposait le savoir-faire français en termes de maintien de l’ordre lors du soulèvement de la Tunisie. »
« Seulement, en tant qu’ancien colonisateur, donner un blanc-seing au peuple algérien aurait conforté dans les cercles du pouvoir l’idée d’un complot venant de l’étranger, reconnait-il. Quoi qu’il en soit, voir les rues bondées avec des millions d’Algériens battant le pavé, donne des frissons et envie de croire à des lendemains meilleurs… Il faut espérer que l’armée revienne à sa mission première, protéger le peuple, et acceptera de mener un processus démocratique à son terme… »
« Ce qui fait mal à l’Algérie a fait, fait et fera mal à la France et inversement, car les destins de nos deux pays sont éternellement liés, souligne-t-il encore. Attendons de voir comment se gérera la vacance du pouvoir et comment s’annonce le prochain scrutin en espérant ne pas revoir des parodies d’élections avec des scores à la nord-coréenne… »
Sylvain Merle
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El-Houari Dilmi
La population de la ville de Sougueur, deuxième plus important centre urbain de la wilaya de Tiaret avec près de 200.000 âmes, lance un véritable « SOS » en raison de l’arrivée à saturation du seul cimetière de l’ex-Trezel. En effet, les citoyens de la ville n’ont plus de place pour enterrer leurs morts au point que certaines anciennes tombes sont rouvertes pour y inhumer un autre mort. Une situation qui met les autorités de la ville de Sougueur sous pression, surtout que le cimetière, arrivé à entière saturation, risque d’être fermé dans les prochaine semaines, voire avant. La colère et l’inquiétude de la population sont d’autant plus vives qu’un généreux bienfaiteur a offert à la commune un terrain de 5 hectares pour y ériger le nouveau cimetière. « Mais un problème d’aménagement d’une voie d’accès au cimetière sur une distance de moins de 700 mètres à cause d’un différend avec un riverain, retarde son ouverture », tient à souligner un habitant de la ville. La saturation des cimetières touche de nombreuses communes, à commencer par la ville de Tiaret, le plus grand centre urbain de la wilaya, qui en est déjà à son troisième cimetière, situé sur la route de Aïn Guesma en périphérie de la vile, et déjà il est presque saturé lui aussi, obligeant les autorités locales à chercher un nouveau terrain où les gens pourraient enterrer leurs morts.The post Tiaret: «On n’a plus de place pour enterrer nos morts» appeared first on .
Abbad Miloud
Sur les 8.725 ha consacrés aux cultures maraîchères, la pomme de terre occupe une superficie de 4.045 ha représentant un taux de 46,36% de la superficie globale. Elle est considérée comme une culture de base après les céréales, compte tenu des traditions de consommation.La pomme de terre fait partie des grandes cultures stratégiques qui bénéficient toujours d’un soutien. Au niveau de la wilaya de Chlef, sa production est devenue un axe prioritaire de la politique entrant dans le programme de développement agricole. La superficie réservée à cette culture qui était de 4.326 ha pour la campagne 2015/2016 est passée à 4.342 ha pour celle de 2016/2017. Une quantité de 1.311.730 quintaux a été produite durant la campagne 2015/2016.
Cette production a connu une progression comparativement aux campagnes précédentes, une quantité de 821.700 quintaux a été produite durant la campagne 2006/2007 et 1.097.400 quintaux pour celle de 2007/2008.
Cette augmentation est due à plusieurs facteurs parmi lesquels les plus importants : la mobilisation et l’utilisation rationnelle de l’eau par les moyens qui favorisent son économie, l’application correcte des itinéraires techniques et leur maîtrise par les producteurs de la pomme de terre et également le choix des variétés.
Pour les semences qui comportent quatre classes (SE, E, A et B), elles connaissent une évolution aussi bien pour la superficie qui leur est réservée que la production. Pour les quatre dernières campagnes, à savoir 2014/2015, 2015/2016, 2016/2017 et 2017/2018, la superficie qui leur a été réservée était respectivement de 1.392 ha, 1.725 ha, 2.075 ha et 2.104 ha. La production a évolué respectivement comme suit : 251.984 quintaux, 329.857 q, 435.725 q et 456.390 q. L’on fait état également des dispositifs d’encouragement pour la production de semences. Il s’agit d’une prime de stockage sous froid évaluée à 0,75 DA/kg/mois et d’une autre pour la production de semences qui varie selon la classe : SE (15 DA/kg/mois), E (12 DA/kg/mois), A (6 DA/kg/mois et B (5 DA/kg/mois). Pour la pomme de terre de consommation, la prime de stockage sous froid est de 1,80 DA/kg/mois, en plus d’autres soutiens pour les engrais et les équipements d’irrigation.
Aujourd’hui, la wilaya de Chlef couvre à 100% ses besoins en approvisionnant quelque 40 marchés locaux répartis à travers son territoire et « exporte » vers certaines wilayas avoisinantes. En matière de production de semence qui était nulle durant la campagne 1999/2000, elle a atteint 456.390 quintaux durant celle de 2017/2018. La wilaya « exporte » même vers les nouvelles aires de production de la pomme de terre à travers le territoire national notamment le Sud et les Hauts Plateaux.
L’évolution du programme à travers les statistiques citées auparavant montre une évolution qui va se poursuivre à moyen terme afin de réduire les importations de semences, ce qui entraînera un gain considérable en devises.
Le directeur des services agricoles de la wilaya invite les producteurs de la pomme de terre et ceux des semences à se rapprocher des services de la DSA pour toute information et/ou éclaircissements concernant les dispositifs d’encouragement, l’accompagnement, etc.
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Ali Ghediri a réagi via sa page facebook aux annonces de Bouteflika, notamment, le report de l’élection présidentielle.
Déclaration de Ali GhediriThe post Ali Ghediri réagit aux annonces de Bouteflika [vidéo] appeared first on .
Samsung, qui continue à déployer la version 9.0 Pie d’Android selon le calendrier indiqué antérieurement. Mais la nouvelle interface dite OneUI a pu provoqué chez certains utilisateurs une confusion quant à la disparition de l’icône qui permettait d’afficher plusieurs applications à la fois, Voici donc comment activer le multifenêtrage sur OneUI pour les appareils Samsung compatibles.
A vrai dire, la fonctionnalité multifenêtrage n’a pas disparu, mais elle a été cachée dans l’icône indiquant l’application à laquelle appartient la fenêtre, donc pour l’activer il vous suffira de suivre les étapes suivantes :
L’icône qui permet d’accéder au menu des fonctionnalités supplémentaires
Et voilà ! vous venez d’activer le multifenêtrage et profiter de la grande taille de votre écran.
Chemseddine Ananna
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La bêta publique d’Android Q pourrait être déployée aujourd’hui et devrait être accessible à davantage de smartphones que par le passé !
La bonne nouvelle c’est que la beta d’Android Q serait ouverte à un plus grand nombre de fabricants, ce qui signifie également un peu plus grand nombre de smartphones éligibles.
La liste des smartphones compatible se voudrait plus riche, en espérant que des modèles de grands constructeurs manquant à l’appel l’année dernière (Samsung et Huawei pour ne citer qu’eux) fassent partie des invités.
Les nouveautés d’Android 10.0 QSelon les rumeurs, Android Q sera livré avec une reconnaissance faciale native, des downgrades d’applications des limitations pour les applications d’arrière-plan, un mode sombre pour tout le système, une gestion des permissions révisée et même un mode bureau.
Massin.A
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