Lors d’une réunion de près de 150 membres dans la commune de Bourouba, à El-Harrach à Alger, le Comité Central du FLN a appelé à la démission de Bouteflika.
« Nous demandons l’application de l’article 102 de la constitution ainsi que la démission du président de la République » a déclaré Ahmed Boumehdi , membre du comité.
« Puisque Bouteflika n’a pas l’intention de se porter candidat, il vaut mieux pour lui de sortir par la grande porte. C’est mieux pour lui et pour le pays » a-t-il ajouté.
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Les membres du comité central du Front de libération nationale (FLN) réunis ce samedi 30 mars à Alger, ont appelé à l’élection d’un nouveau secrétaire général du parti.
Pour le comité central, le poste de secrétaire général demeure vacant. L’organisation d’un congrès extraordinaire pour l’élection d’un nouveau secrétaire général et l’installation d’un nouveau bureau politique devient donc nécessaire.
Le membre du comité, Rachid Assas, a déclaré « aucune voix ne s’élève sur celle du peuple. L’application de l’article 102 est un début de solution constitutionnelle «
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L’Union nationale des ordres des avocats demande aux procureurs de toutes les spécialisations d’ouvrir des enquêtes sur la corruption liée à l’argent public dans les plus brefs délais .
L’Unoa survient au moment où de nombreuses informations faisant état de transferts illégaux de fonds vers l’étranger sont relayées et font écho aux nombreux appels de personnalités à prendre des mesures conservatoires pour protéger l’argent public.
L’Union qui regroupent les ordres régionaux des avocats condamne » les interpellations et arrestations faites en dehors du cadre juridique, en avertissant que ces pratiques sont des crimes punis par la loi » et demande également « »la satisfaction immédiate des revendications du peuple, source de tout pouvoir selon l’article 7 de la Constitution »
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Le Dr Mouloud Lounaouci a révélé, hier, au forum de Liberté, qu’il a été approché, indirectement, par des émissaires pour probablement prendre part au prochain gouvernement.
Le Dr Lounaouci a expliqué que des gens ont pris attache avec lui, officiellement, pour débattre de la situation et le sonder, le cas échéant. Mais l’objectif, non avoué, est de lui faire la proposition.
C’est ce qu’il a, bien entendu, refusé. Il faut rappeler que Noureddine Bedoui a rencontré, selon Louisa Hanoune, plus de 500 cadres afin de former son staff. En vain.
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Sept (7) personnes ont trouvé la mort et 44 autres ont été blessées dans plusieurs accidents de la route survenus lors dernières 48 heures à travers le territoire national, indique samedi un communiqué des services de la Protection civile.
Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya d’Adrar avec une fillette décédée et 6 autres blessées suite au renversement d’un véhicule léger survenu sur la route nationale n 51 (commune et daira de Timmimoun), précise la même source.
Par ailleurs, les secours de la Protection civile sont intervenus pour prodiguer des soins de première urgence à 27 personnes incommodées par le monoxyde de carbone émanant des appareils de chauffage et chauffe-bain au niveau des wilayas de Sétif, Médéa, Tébessa, Bordj Bou Arreridj, Batna et Tiaret.
En outre, les éléments de la Protection civile de la wilaya de Tlemcen sont intervenus suite à l’explosition du gaz suivie d’un incendie au niveau du centre enfûter de Naftal, au niveau de la zone industrielle de la commune et daira de Chetouane, ajoute le communiqué, précisant que cet accident a causé notamment des brulures de 2ème degré à 5 personnes.
Les mêmes services ont également procédé à l’extinction de 5 incendies urbains à El-Tarf, Ain Témouchent, Mascara et Sidi Bel Abbès.
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Le frère cadet du chef de l’État, Saïd Bouteflika, fait peu de cas du code de la route. Jeudi, peu avant midi, c’est le téléphone collé à l’oreille qu’il a traversé au volant de sa voiture le barrage de la Gendarmerie de nationale de Sidi-Fredj (Bridja), a-t-on appris de témoins oculaires. Les gendarmes n’ont pas réagi, pourtant le téléphone au volant est formellement interdit.
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Le groupe ETRHB appartenant au président du Forum des chefs d’entreprise (FCE), Ali Haddad, qui était jusque-là actionnaire à hauteur de 17% dans l’entreprise Fertial (production d’engrais et de fertilisants agricoles), a revendu ses actions à Asmidal (filiale de Sonatrach). Celle-ci a usé de son droit de préemption pour reprendre, dans un premier temps les 49% de l’espagnol Villar Mir, et dans un deuxième temps, les 17% d’actions que détenait Etrhb. Asmidal devient donc l’unique actionnaire de Fertial. Il reste à savoir les raisons qui ont poussé le patron de l’Etrhb à se délester de ses parts dans une entreprise qui réalise des résultats positifs ces deux dernières années.
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Les sondes urinaires seront bientôt remboursées. L’annonce a été faite jeudi par la Caisse nationale des assurés sociaux (cnas) qui l’a révélée, jeudi, lors d’une rencontre régionale à Oran, à laquelle ont pris part les médecins prescripteurs. Le remboursement sera intégral (100%) lorsque la prescription est établie par un médecin spécialiste exerçant dans un établissement de santé public.
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En désignant Abdelkader Bensalah pour le représenter au sommet de la Ligue arabe à Tunis, Abdelaziz Bouteflika nargue l’armée qui réclame sa destitution pour cause de maladie grave et durable et commet ainsi un acte de défiance envers le peuple.
Quatre jours après la proposition du chef d’étatmajor de l’ANP, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, de mettre en œuvre l’article 102 de la Constitution comme solution à la crise politique que vit le pays, c’est toujours le statu quo.
Le chef de l’État, toujours invisible après son retour de Suisse le
10 mars dernier, après quinze jours d’hospitalisation, occupe toujours formellement la fonction de premier magistrat du pays.
La présidence de la République, désertée ces derniers temps par de nombreux cadres, a rendu public un communiqué hier par lequel elle informe qu’Abdelaziz Bouteflika a chargé le président du Conseil de la nation de le “représenter” à la réunion de la Ligue des États arabes qui se tiendra dès demain à Tunis. Une manière de rappeler qu’il est toujours là et que malgré l’interpellation du chef d’état-major de l’ANP, il continue de garder son fauteuil.
Une manière bien évidente de faire savoir que Bouteflika ne compte pas renoncer à son magistère comme suggéré par l’institution militaire. Cela pendant que le Conseil constitutionnel est resté jusque-là insensible à la proposition de Gaïd Salah.
L’institution présidée par Tayeb Belaïz n’entendrait pas épouser la démarche préconisée par le chef d’état-major de l’ANP et engager le processus de destitution (empêchement) du chef de l’État.
Des sources concordantes indiquent que Saïd Bouteflika garde une influence sur le Conseil constitutionnel.
En refusant de tenir cette séance pour constater la vacance du poste du président de la République, le président du Conseil constitutionnel confirme ainsi sa loyauté au chef de l’État.
Lors de son installation en février dernier, Tayeb Belaïz avait, en effet, déclaré, publiquement, vouloir “rester fidèle” à Abdelaziz Bouteflika. Ces déclarations qui avaient choqué l’opposition et l’opinion publique nationale viennent d’être suivies d’effet.
Malgré une interpellation directe de l’institution militaire, le Conseil constitutionnel, devenu “comité de soutien” à Abdelaziz Bouteflika comme le disait Abdelaziz Belaïd, n’a toujours pas procédé à la réunion qui doit trancher l’avenir du chef de l’État et “trouver une solution” à la crise comme le préconisait Ahmed Gaïd Salah. Par ailleurs, le clan Bouteflika voudrait, à l’évidence, aller au bout de l’actuel mandat présidentiel qui se termine théoriquement le 28 avril prochain. Autrement dit, il veut piéger davantage le pays, car au-delà de cette date, aucune institution de l’État n’aura un levier légal pour une sortie de crise.
Ce sera la porte ouverte à une transition qui sera menée en dehors du cadre constitutionnel actuel. Cela dit, en se jetant dans la bataille, Ahmed Gaïd Salah ne se doutait probablement pas qu’il pouvait ne pas être entendu par le Conseil constitutionnel.
Le vieux général, qui terminait hier une tournée dans la 4e Région militaire, a fait plusieurs fois allusion à la situation actuelle que vit le pays en évoquant, souvent, la primauté de l’intérêt national sur des intérêts personnels. La semaine qui suit sera décisive.
La décantation se fera certainement. Mais en attendant, Bouteflika s’accroche encore au pouvoir et prend en otage tout un pays qui lui demande pourtant de partir.
Ali Boukhlef
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Depuis plus de quinze jours, les aéroports qui assurent les dessertes internationales sont soumis à un contrôle accru, notamment marqué par le renforcement des barrages et des fouilles systématiques.
L’aéroport international Houari-Boumediene d’Alger illustre, à bien des égards, le nouvel état d’esprit qui prévaut dans ces enceintes aéroportuaires. En effet, les voyageurs devront d’abord passer par trois barrages de police avant d’accéder au parking. Ainsi, en plus du passage par trois scanners, les voyageurs sont soumis à des fouilles systématiques et accrues, alors qu’au niveau du poste douanier, le dispositif a également été renforcé. À l’aller, comme au retour, les passagers sont scrutés dans un climat de suspicion.
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Des pluies, parfois sous forme d’averses orageuses, affecteront plusieurs wilayas du sud du pays, indique samedi l’Office national de la météorologie dans un bulletin météorologique spécial (BMS).
Les pluies toucheront dans un premier temps les wilayas de Bechar et Adrar, et ce à partir de samedi à 12h00 au dimanche à 12h00, avec des cumuls qui atteindront ou dépasseront localement 30 mm.
Elles atteindront par la suite les wilayas d’El Bayadh, le sud de Naâma, Laghouat et Ghardaïa, à partir de samedi à 18h00 jusqu’à dimanche à 12h00, où les cumuls attendus atteindront ou dépasseront les 25 mm, précise la même source.
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Dans une vidéo publiée sur sa page Facebook, le comédien marocain Amine Radi a adressé un message de soutien au peuple algérien.
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En vue d’un partenariat entre l’Algérie et la France, Bernard Laporte, président de la Fédération Française de Rugby depuis décembre 2016, consultant pour Canal +, ancien secrétaire d’état chargé des Sports auprès du ministre de la Santé,de la Jeunesse et des Sports, ancien joueur de rugby, entraîneur de rugby à VX, et Nicholas Hourquet, responsable des relations internationales et institutions Rugby de France 2023, sont à Alger du 30 mars au 2 avril pour rencontrer les dirigeants de la Fédération Algérienne de Rugby (FAR).
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Le recours à l’empêchement ou la démission du président Bouteflika à 30 jours du terme de son mandat bute sur l’écueil des délais et des procédures. Ledit article maintient les outils juridiques et les appareils qui consacrent traditionnellement la fraude.
Le Conseil constitutionnel n’a pas fait, pour l’instant, écho à la requête du général de corps d’armée, chef d’état-major de l’ANP et vice-ministre de la Défense nationale Gaïd Salah. La procédure portant exécution de l’article 102 de la Constitution n’est donc pas mise en œuvre. Indépendamment des raisons qui motiveront, dans les prochaines heures ou les prochains jours, la décision de l’institution présidée par Tayeb Belaïz, des personnalités politiques et des juristes affirment qu’il est trop tard de choisir l’option de la destitution du président de la République pour cause de maladie grave et durable ou sa démission, comme solution de sortie de crise. “À quoi cela sert-il d’appliquer l’article 102 à quelques jours de la fin du mandat du président ?”, s’interroge Me Mustapha Bouchachi, qui dit que la démarche est totalement dépassée par les événements dès lors que le peuple s’insurge contre le régime dans sa globalité et non pas uniquement contre le chef de l’État. Abdeslem Ali Rachedi, ancien cadre du FFS et député dans la première APN pluraliste (1997-2002), abonde dans le même sens. De son point de vue, “le cas d’empêchement est quasiment impossible si l’on suit la procédure de l’article 102”. Il série les étapes à respecter, soit auto-saisine du Conseil constitutionnel ; désignation d’un collège de médecins pour juger de l’état de santé du président de la République ; le rapport médical remis au Conseil constitutionnel ; convocation des parlementaires pour une séance plénière du Parlement en chambres réunies (normalement c’est une prérogative du chef de l’État) ; confirmation de l’intérim du président du Conseil de la nation à la magistrature suprême… “Les délais matériels pour constater la vacance temporaire sont longs. Après 45 jours, retour devant le collège médical pour déclarer définitif l’empêchement. Or il ne reste que 30 jours avant la fin du mandat”, développe notre interlocuteur. Il a précisé qu’il n’y a pas d’arguments juridiques et constitutionnels pour justifier l’intérim d’un chef de l’État puis l’état d’incapacité définitive d’un chef de l’État qui sera déjà arrivé au terme de son mandat de cinq ans depuis au moins vingt jours. “Évidemment ce sont des arguments qui ne comptent pas pour ceux qui sont coutumiers des violations des lois”, a-t-il commenté. Il reste la voie d’un renoncement volontaire d’Abdelaziz Bouteflika à terminer son quinquennat. Pour l’heure, rien n’indique qu’il a l’intention de se retirer de la plus haute fonction dans la hiérarchie de l’État de son propre chef. Admettons qu’il le fasse, le schéma tracé par l’article 102 de la Constitution dicte l’installation d’Abdelkader Bensalah à son poste pour une période de 90 jours durant lesquels une élection présidentielle sera organisée. C’est un choix aventureux, souligne Fatiha Benabbou, constitutionnaliste. “C’est bien d’être dans une dynamique juridique. Mais il est risqué d’aller à une élection présidentielle avec les mêmes instruments qui ont permis la fraude pendant plusieurs années”, estime-t-elle. Elle explique que dans le cadre de l’application de l’article 102, plusieurs dispositions constitutionnelles sont gelées. Le président du Sénat, intérimaire à la présidence de la République, n’a pas le droit de nommer un nouveau gouvernement alors que celui en place est rejeté, de réviser la Constitution par voie référendaire ou par le Parlement, ou d’amender la loi électorale. “Quand j’ai préconisé cette option, je disais qu’il fallait d’abord poser des préalables, comme changer certaines lois liberticides et les modalités de désignation des membres de la Haute instance indépendante de surveillance des élections ainsi que son rôle. On reste dans un cercle vicieux, si le scrutin est organisé avec les mêmes outils juridiques et les mêmes institutions consacrant la fraude”, avance-t-elle. Les centres du pouvoir en place ont compliqué la situation jusqu’à enliser le pays dans une impasse juridique. Aucune disposition de la loi fondamentale ne prévoit une issue favorable à la révolte populaire. “La crise aujourd’hui n’est plus constitutionnelle. Elle est politique et ses solutions ne peuvent être que de nature politique”, épilogue Me Mokrane Aït-Larbi. Ladite solution politique doit faire impérativement consensus avant le 27 avril à minuit.
Souhila Hammadi
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La proposition “surprise” du chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, de destituer le président Bouteflika pour cause de maladie grave, a fait hier la une des médias français. De larges espaces y ont été consacrés,
pour comprendre les motivations de l’intervention du patron de l’ANP.
Sous le titre “Une rupture franche entre l’armée et Abdelaziz Bouteflika”, le journal Le Monde qualifie la “suggestion” du général Gaïd Salah de recourir à la Constitution pour constater l’“empêchement” du Président, d’une “quasi-injonction”. Le même journal relèvera plus loin que “ce geste d’Ahmed Gaïd Salah marque une nouvelle étape dans la crise qui secoue l’Algérie depuis plus d’un mois”. Ce média notera pour conclure que l’armée cherche, à travers l’appel à l’application de l’article 102 de la Constitution, “à éviter la mise en place d’une transition dirigée par des personnalités indépendantes, soit l’option réclamée par une bonne partie des acteurs de la contestation”.
Dans son édition d’hier, Le Figaro évoquera le message du général Gaïd Salah demandant le départ du président Bouteflika, sous le titre “Algérie : l’armée lâche Bouteflika”. Le même commentaire est partagé par L’Humanité, qui écrit : “Le chef de l’armée lâche Bouteflika”, tout en insistant sur l’importance de l’annonce faite par Gaïd Salah quant à l’activation de la procédure de destitution du Président pour maladie grave. Le quotidien Libération réserve sa première ouverture de l’édition d’hier “aux rebondissements de la crise algérienne” au lendemain de l’annonce inattendue de l’ANP, en titrant : “Bouteflika bouté”. Le quotidien commentera que la demande du patron de l’armée algérienne de déclarer inapte le président Bouteflika s’apparente à une tentative “pour mieux reprendre la main alors que le pouvoir vacille sous la pression de la rue ?”. Le magazine en ligne Médiapart, qui a consacré un long dossier à la “révolte algérienne”, relèvera que “l’armée algérienne lâche Bouteflika et son cercle”. Ce média reviendra dans son commentaire sur le rôle-clé de “l’Armée nationale populaire algérienne qui est au centre du jeu depuis l’indépendance, dans l’exercice du pouvoir comme dans le choix du président”. Ce qui a été confirmé, notera encore Médiapart, à travers l’annonce faite par le chef d’état-major de l’armée, “l’un des hommes les plus puissants en Algérie”. Pour sa part, l’hebdomadaire Le Point, qui titre “Le général Ahmed Gaïd Salah finit par franchir le Rubicon”, notera que “la balle se trouve dans le camp d’Abdelaziz Bouteflika lui-même, s’il choisit de démissionner, ou dans celui du président du Conseil constitutionnel, à qui il revient de lancer la procédure permettant de déclarer le chef de l’État inapte à exercer ses fonctions”. Le quotidien Le Parisien relèvera, pour sa part, que l’appel à l’application de la procédure prévue par l’article 102 de la Constitution confirme que “même les militaires ne semblent plus soutenir Abdelaziz Bouteflika à la tête de l’Algérie”. Dans un article publié hier sur son site web, L’Express s’est interrogé en ces termes : “L’ère Bouteflika touche-t-elle à sa fin ?”, notamment après l’appel lancé hier par le patron du RND qui demande au président Bouteflika de démissionner, au lendemain de la “suggestion” du plus haut gradé de l’armée algérienne à son départ. “Alors que l’ex-Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a été récemment limogé, son parti, le RND, recommande la démission du président de la République (…) dans le but de faciliter la période de transition.”
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Contestation en Algérie : des manifestants soucieux de l’environnement
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L’ancien président du RCD, Said Sadi a estimé, qu’il est nécessaire de maintenir la pression afin de faire « plier le régime qui ne désespère toujours pas de venir à bout de l’insurrection citoyenne ».
M.Sadi a écrit sur sa page facebook » Il reste à maintenir ce souffle de l’espoir pour faire plier un régime qui ne désespère toujours pas de venir à bout de l’insurrection citoyenne qui lui signifie chaque semaine sa fin de mission »
Voici le texte intégral:
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L’Algérie est « principalement un pays de transit » pour les drogues illicites plutôt qu’un centre de production ou de consommation, a indiqué le département d’Etat américain dans son rapport 2018 sur le trafic de drogue et les crimes financiers dans le monde.
Selon ce rapport soumis jeudi au Congrès américain, le Maroc demeure le principal pourvoyeur de drogues vers l’Algérie où l’essentiel des quantités transitées sont acheminées par voie maritime vers l’Europe.
La résine de Cannabis provenant du Maroc » reste la drogue la plus consommée et la plus transitée » en Algérie, relève le même département, précisant que des quantités moins importantes de drogue transitant par le pays sont également acheminées clandestinement vers des destinations au Moyen-Orient.
Le rapport reconnait que les vastes frontières de l’Algérie qui s’étendent sur plus de 4.000 milles (6.437 km) rendent la mission de surveillance de ces zones peu peuplées difficile.
Bien que les forces de sécurité en Algérie se concentrent principalement sur la lutte contre le terrorisme et la sécurisation des frontières, les autorités sont de plus en plus préoccupées par d’éventuels liens entre le groupe d’Al-Qaida au Maghreb Islamique et le trafic de drogue dans la région.
Le rapport souligne que des efforts ont été déployés par le gouvernement pour lutter contre la consommation de drogue à travers la création de centres de désintoxication, dont le nombre a atteint 42 à travers le territoire national.
Le nombre de patients toxicomanes suivis par ces centres est passé de 9.897 en 2007 à 22.444 en 2017.
L’Algérie a également actualisé sa réglementation sur les contrôles de drogue pour la mettre en conformité avec les accords internationaux, y compris les traités pertinents de l’ONU et travaille également avec le réseau MedNet de coopération sur les drogues en région méditerranéenne.
Rappelant la Saisie de 27,7 tonnes de cannabis durant les huit premiers mois de l’année 2018 et celle de 701 kilos de cocaïne opérée en mai dernier au port d’Oran, le département d’Etat soutient que » l’Algérie tirerait avantage des formations continues pour renforcer les capacités de lutte contre la drogue de ses forces de sécurité « .
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Une suspension de l’alimentation en eau potable impactera, le lundi 1 avril, certaines communes d’Alger et reprendra progressivement durant la nuit du même jour au lendemain, annonce vendredi la Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger (SEAAL).
Les communes concernées par cette perturbation, qui s’étalera de 08 h 00 à 23 h 00, sont El Biar; Hydra; Ben Aknoun (Chemin Doudou Mokhtar); BirMourad Raïs (sauf quartier des Verges) et enfin Birkhadem (zone de Tixeraine), précise un communiqué de la SEAAL.
Tout en expliquant que cette perturbation est due à la mise en service d’une nouvelle station de pompage, la SEAAL indique que cette procédure nécessite des travaux de trois (03) raccordements de canalisations de refoulement, l’objectif étant de « sécuriser » l’alimentation en eau potable durant la saison estivale.
A ce titre, la Société informe ses clients de la mise en place d’un dispositif de citernage au profit des usagers prioritaires (établissements publics et hospitaliers), tout en les priant de « l’excuser » pour les désagréments induits par ces travaux et met à leur disposition, pour information, les coordonnées de son Centre d’Accueil téléphonique opérationnel (1594) , joignable en permanence, de jour et de nuit.
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L’Organisation nationale des enfants de Chouhada a salué la proposition de Gaid Salah relative à l’application de l’article 102 de la Constitution, mettant en garde contre « toute tentative d’atteinte à l’intégrité territoriale du pays, aux constantes de la nation et aux symboles de la Guerre de libération ».
Dans un communiqué remis à la presse à l’occasion de la 40e session de son Conseil national, l’ONEC a indiqué qu’elle « salue les propositions de l’ANP afin de sortir de la crise et édifier une nouvelle République sur les bases et les principes de Novembre 1954 ».
L’article 102 stipule que « lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement ».
Le même article ajoute que le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l’état d’empêchement du Président de la République, à la majorité des deux tiers (2/3) de ses membres et charge de l’intérim du Chef de l’Etat, pour une période maximale de quarante cinq (45) jours, le Président du Conseil de la Nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l’article 104 de la Constitution.
En cas de continuation de l’empêchement à l’expiration du délai de quarante cinq (45) jours, il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit, selon la procédure visée aux alinéas ci-dessus et selon les dispositions des alinéas suivants du présent article.
Mettant en garde contre « toute tentative d’atteinte à l’intégrité territoriale du pays, aux constantes de la nation et aux symboles de la Guerre de libération », l’ONEC a exprimé « sa volonté » de contribuer au règlement de la crise avec les différentes franges de la société afin d’édifier une Algérie nouvelle.
Par ailleurs, l’ONEC a salué, à nouveau, les manifestations populaires pacifiques où ont été hissés les drapeaux nationaux et les images des Chouhada de la Glorieuse Guerre de libération ».
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