EL TARF – Une bibliothèque itinérante proposant des livres pour tous les goûts et âges sillonne, depuis quelques jours, une dizaine de plages de la wilaya d’El Tarf.
Une sélection éclectique d’ouvrages et de romans en tout genre : livres scientifiques, documentaires, bandes dessinées, poésies, revues, sont à la portée des mordus de lecture qui peuvent, dans une initiative que beaucoup d’estivants qualifient d’originale, profiter de la fraîcheur de la mer tout en s’adonnant aux plaisirs de la lecture. La bibliothèque itinérante remplie d’ouvrages et de livres de la bibliothèque principale de lecture publique Louise Françoise dite Mabrouka Belkacem du chef-lieu de wilaya, s’installe dès le matin au niveau des plages de Messida, la Grande plage, Henaya, Sables d’or, Vieille Calle, les Sabées, El Bettah et D’raouch, relevant des communes de Souarekh, El Kala, Ben’M’Hidi, Berrihane et El Chatt, au grand bonheur de ces lecteurs.
Nombreux sont les estivants, qui ont confié à l’APS, qu’ils étaient « agréablement surpris » de découvrir cette nouvelle prestation culturelle que d’aucuns entendent voir se perpétuer pour habituer notamment les plus jeunes à la lecture en tout lieu et tout moment. Dans un décor des plus détendant, le bleu de la mer contrastant avec les forêts verdoyantes à perte de vue, le tout sur des tapis de sable fin doré, les estivants auront la liberté de s’adonner à des séances de lecture.
Selon le directeur local de la Culture, Adel Saïfi, la bibliothèque itinérante, lancée depuis la plage Messida à El Kala, continuera à proposer livres et bouquins aux estivants jusqu’au 17 août prochain, afin de permettre au plus grand nombre possible de goûter au plaisir de la lecture.
Parallèlement à cette biblio-estivale, une caravane d’animation et de loisirs, première du genre également, assurera aux baigneurs des plages suscitées, ambiance et détente avec la panoplie d’activités culturelles et jeux qu’elle ambitionne d’en faire une tradition. Des spectacles animés par les associations culturelles locales El Manar, Amel et Chams et la coopérative culturelle « Afkar et founoun » d’El Eulma, de la wilaya de Sétif, destinés aux enfants et adultes, des concours dans divers et des quiz ainsi que des ateliers de dessin consacré à la meilleure plage sont également au menu.
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Le douanier auteur de violence sur la fille de l'homme d'affaires Sébastien Ajavon, est placé sous mandat de dépôt à la prison civile de Cotonou. C'est la décision prise par le Procureur de la République après l'avoir écouté, ce lundi 06 août 2018, au tribunal de première instance de Cotonou. Son procès est prévu pour le mardi 14 août prochain.
Dans la nuit de vendredi à samedi 04 août 2018 à la sortie d'une boîte de nuit, le sieur appelé communément "Capi Dougbè", après avoir giflé la fille du président du patronat l'a violenté avec l'arme de service. Selon des témoins de l'incident, la fille de Sébastien Ajavon voulait manœuvrer son véhicule et se retirer quand le douanier à bord de son véhicule l'a cogné. Survint une altercation. « Monsieur, vous ne pouvez pas cogner mon véhicule et partir (…) », s'est-elle offusqué exigeant qu'un constat soit fait par la police. Ne voulant pas déférer à cette exigence, le douanier ‘'C. D'', porte la main sur elle. Celle-ci voulant répliquer, il brandit soudainement son arme.
Des témoins de la scène ont dû intervenir pour calmer la tension. Mais le douanier, en civil, a fait appel à la police qui débarque quelques minutes plus tard sur les lieux. La fille sera embarquée puis gardée jusqu'à la mi-journée de samedi avant d'être libérée.
Le douanier va répondre de son acte devant la justice. Comme quoi, nul n'est au-dessus de la loi. Et la justice est au service des citoyens et du peuple.
F. A. A.
Trois semaines de compétition Footballistique à Tanmè qui s'est soldée par une finale ayant opposé ce dimanche 04 Août 2018 dans l'arrondissement de Togba l'équipe des étoiles brillantes à celle des winners. Un challenge de 90 mn environ, qui a laissé vainqueur l'équipe des étoiles brillantes au sort des tirs au but. Casim Marcos, Thalès Houédjissin, respectivement Chef Quartier de Tanmè et parrain du tournoi ont manifesté toute leur satisfaction à l'issue de la compétition.
La doléance de Zinsou Robert, initiateur du tournoi de foot dans l'arrondissement de Togba commune d'Abomey-Calavi et plus précisément à Tanmè Tankpè a reçu écho favorable auprès d'un jeune de la localité. Thalès Houédjissin, prônant la vision d'une jeunesse unie, a très vite sauté sur l'opportunité pour accompagner de tout son soutien les jeunes à accomplir ce rêve de l'unité dans l'action, seul gage du développement. C'est ainsi qu'au bout de trois semaines de compétition et dans une ferveur footballistique, dimanche dernier le tournoi a pris fin. Ceci sous les regards attentifs de l'autorité locale, Marcos Casim et un grand public de jeunes supporters des différentes équipes. Le Chef Quartier Marcos Casim, s'est fait le devoir de rappeler aux jeunes que c'est un moment de faire play, qui fera de tous les jeunes, gagnants de la compétition. Il ne manquera pas aussi, de louer le dinamysme et l'esprit volontariste du jeune Thalès Houédjissin parrain du tournoi, qu'il a appelé a toujours continuer de soutenir et d'accompagner les jeunes. Quantiques à ce dernier, le développement ne peut se faire sans les jeunes, les mettre ensemble pour la cause est un pari qu'il faut gagner. Il promet toujours oeuvrer aux côtés des jeunes tant qu'il sera de l'unité pour le développement. C'est bien sur ces mots de l'autorité locale et du parrain, que les deux équipes sont rentrées en possession des différents lots destinés aux gagnants. Ainsi l'équipe des étoiles brillantes partira avec le trophée, une enveloppe financière et bien d'autres lots. L'équipe des Winners se tire d'affaire avec une enveloppe financière, jet de maillots et bien d'autres lots. De part et d'autres rendez-vous est pris pour l'année prochaine.
Narcisse HESSOU
La question de l'emploi des jeunes, une préoccupation chère au gouvernement de la Rupture, à défaut d'être totalement résolu, trouve quelques panacées à travers les grands chantiers inscrits dans le Programme d'actions du gouvernement (PAG). Le lancement de ces chantiers depuis quelques mois offrent des opportunités d'emplois durables et temporaires à nombre de jeunes. Que ce soit dans le domaine des routes, des adductions d'eau potable et dans plusieurs autres domaines, des emplois sont créés. Selon les estimations, le nombre d'emplois générés dans le cadre de ces projets, va au-delà de 25 000. De quoi soulager une jeunesse désœuvrée et victime d'une gestion clanique et régionaliste du pouvoir ces dix dernières années. Cette volonté de lutter contre le chômage des jeunes s'est renforcée depuis quelques jours à travers le lancement dans certaines villes du pays, du projet d'Asphaltage. Un projet destiné à réhabiliter et étendre les voies urbaines dans 9 villes à savoir, Porto-Novo, Cotonou, Parakou, Abomey-Calavi, Natitingou, Bohicon, Abomey, Lokossa et Sèmè-Kpodji sur environs 620 km. Il est prévu également la modernisation des cités avec des équipements urbains, des mobiliers d'éclairage solaire dans toutes les rues, les avenues et des poubelles.
En d'autres termes, il s'agit de donner un visage attractif à ces villes.
Après le lancement officiel, le 24 juillet dernier, du projet d'Asphaltage par le ministre du cadre de vie et du développement durable, José Didier Tonato, c'est au tour des villes concernées de procéder à la remise des sites pour le lancement officiel de la première phase. « Nous allons améliorer le service urbain. Nous estimons qu'en le faisant, ce sont les conditions de vie des populations qui changeront », affirmait José Didier Tonato sur la télévision nationale, dans l'émission ‘'Bénin révélé''.
Pour lui, quand une ville est attractive, l'économie s'en ressent ».
Le 14 novembre 2017, le ministre d'Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané, face aux députés à l'Assemblée nationale, avait annoncé que l'an 2018 sera celui des grands travaux du PAG. On peut alors affirmer sans risque de se tromper que le lancement des chantiers cette année répond à la manière méthodique et rigoureuse de la gestion pouvoir d'Etat qui caractérise le gouvernement de la Rupture, contrairement à la navigation à vue observée sous l'ancien régime, marquée par des éléphants blancs.
F. A. A.
Sauter un repas est le meilleur moyen de grossir. Au lieu de brûler son «carburant», les aliments, l’organisme, privé de nourriture, stocke les graisses autour des hanches et des cuisses, évidemment. Mieux vaut prendre quelque chose que ne pas manger du tout.
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100 g de chocolat, 8 tranches de pain (rassis de préférence), 1/4 de litre de lait, 1 œuf entier, 75 g de sucre, une noix de beurre
Dans une casserole, faites chauffer le lait et le chocolat cassé en morceaux. Lorsque le chocolat est fondu, fouettez la préparation pour bien la mélanger. Puis versez-la sur le mélange œuf + sucre que vous aurez préalablement préparé dans un saladier et mélangez le tout. Trempez-y vos tranches de pain. Dans une poêle, faites fondre le beurre. Lorsqu’il frémit, faites dorer les tranches de pain environ 3 minutes de chaque côté. En les retournant, vous pouvez les imbiber à nouveau avec le mélange chocolaté qui vous reste dans votre saladier. Les tranches seront ainsi plus moelleuses.
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250 g de beurre ramolli, 3 cuillères à soupe de sucre glace, 2 cuillères à soupe de maïzena, 1 cuillère à soupe de café soluble, 1 sachet de levure pâtissière, 1 pincée de sel, farine selon le mélange, des morceaux de chocolat noir
Mettre dans une jatte le beurre, le café soluble et le sucre glace, les travailler jusqu’à ce qu’ils forment un mélange crémeux, ajouter la maïzena, le sel, bien mélanger, ajouter la levure, incorporer la farine tamisée peu à peu et pétrir bien jusqu’à obtention d’une pâte molle et lisse. Mettre la pâte dans une poche à douille cannelée et coucher sur une plaque recouverte d’une feuille de papier sulfurisé des tourbillons, les décorer avec des morceaux de chocolat. Faire cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant 12 minutes. Les conserver dans une boîte bien fermée.
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Trois soldats tchèques membres de l’opération Resolute Support (RS) déployée par l’Otan en Afghanistan ont été tués hier dans un attentat-suicide perpétré par un kamikaze à pied contre leur patrouille au nord de Kaboul, non loin de la grande base militaire de Bagram.
Un soldat américain a été blessé ainsi que deux soldats afghans dans la même attaque, a précisé le commandement de la force RS dans un communiqué, sans mentionner la nationalité des trois victimes décédées.
L’armée tchèque a ultérieurement précisé que les trois hommes appartenaient à ses forces après avoir informé les familles, et précisé que le kamikaze avait frappé «aux abords de la base de Bagram», la principale base de l’Otan à une cinquantaine de km au nord de Kaboul dans la province voisine de Parwan.
Les talibans ont revendiqué sur Twitter «une explosion contre les forces de l’envahisseur américain à Charikar ce matin qui a tué et blessé huit Américains», se rapportant possiblement à cet attentat. «L’attentat s’est produit près de Charikar dans la province de Parwan» a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel américain Martin O’Donnell, officier de presse de RS, ville distante de moins de 10 km de Bagram.
«Trois membres de Resolute Support ont été tués par un kamikaze au cours d’une patrouille conjointe avec les forces afghanes dans l’est de l’Afghanistan», avait d’abord annoncé RS dans son communiqué – la capitale afghane est située dans la moité est du pays.
Le gouverneur de la province de Parwan a ajouté que l’attentat s’est produit «vers 6H00 ce matin près de la ville de Charikar».
«Un kamikaze à pied a visé un convoi des forces américaines à Charikar» a indiqué à l’AFP Wahida Shahkar, porte-parole du gouverneur provincial.
Dans un communiqué, l’armée tchèque a déclaré que «trois soldats tchèques, le sergent-chef M. M. (1982), le caporal K. B. (1990) et le caporal P.S. (1993) ont subi des blessures mortelles, à la suite d’une explosion», ajoutant que «les familles des trois soldats ont été informées». Leur mort porte à treize le nombre de soldats tchèques tués en Afghanistan.
Les responsables de l’Otan avaient expliqué «reconnaître que le membre de RS blessé est Américain», mais rappelé que «Resolute Support a pour politique de ne jamais publier la nationalité des victimes avant qu’elle ne soit rendue publique par les autorités nationales concernées».
Mi-juillet, les forces américaines avaient perdu deux hommes en une semaine, portant à quatre le nombre de militaires américains tués en Afghanistan cette année.
En 2017, onze militaires américains avaient été tués. L’opération de l’Otan qui a pris la succession de la Force internationale d’assistance à l’Afghanistan (ISAF) compte actuellement quelque 16 000 hommes dans le pays, principalement pour une mission d’assistance et de formation des forces afghanes. A eux seuls, les Américains ont déployé 13 000 hommes dont 2 000 environ sont affectés à des missions de combat au nom de la lutte contre le terrorisme.
Le commandant de RS, le général américain John Nicholson, cité dans le communiqué, rappelle que 41 nations participent à cette force.
Le contexte est particulièrement tendu en Afghanistan cet été avec une forte activité militaire, afghane et américaine, dans l’est du pays, dans la province du Nangarhar à la frontière pakistanaise et dans le nord-ouest dans la province de Faryab, proche de l’Iran, où l’armée afghane est harcelée par les talibans.
Simultanément, le groupe terroriste Daesh multiplie les attentats contre des «cibles molles» en ville, à Kaboul et Jalalabad (est) notamment, alors qu’il subit de lourds revers militaires.
Vendredi, Daesh a revendiqué un double attentat-suicide à l’heure de la prière dans une mosquée chiite de Gardez, dans l’est, qui a fait au moins 35 morts et plus de 90 blessés.
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Après 37 ans au pouvoir de Robert Mugabe, le Zimbabwe rêvait d’un avenir meilleur mais avec l’élection controversée de son ex-bras droit Emmerson Mnangagwa et la répression de l’opposition, beaucoup ont l’impression d’être revenus au point de départ.
«Je veux m’enfuir», assure Christine, une responsable de magasin à Harare.
«C’est vraiment dur d’avoir ses amis, ses proches touchés par balle alors qu’ils sont simplement en train de s’occuper de leurs affaires», explique-t-elle à l’AFP.
Mercredi, l’armée et la police ont maté à Harare une manifestation de l’opposition qui dénonçait des fraudes lors des premières élections de l’ère post-Mugabe. Au moins six personnes ont été tuées, rappelant douloureusement les pratiques du temps de Mugabe.
«Les mêmes soldats qui ont fait tomber Mugabe et que nous avons acclamés sont maintenant envoyés pour tuer les gens après qu’on a voté», s’indigne Douglas Kumire, dont le frère fait partie des victimes.
Emmerson Mnangagwa – qui a succédé à Robert Mugabe à la suite d’un coup de force de l’armée – avait pourtant promis des élections justes et pacifiques pour ce double scrutin présidentiel et législatif du 30 juillet.
Il a été élu dès le premier tour avec 50,8% des suffrages, contre Nelson Chamisa (44,3%) qui a crié à la triche.
«Quand on a fait tomber Mugabe, on était heureux, on pensait qu’on aurait un avenir meilleur», explique Rhodes, un chauffeur de 42 ans.
Mais «on ne sait plus si on a un avenir ici parce qu’on a peur. En tant que père, je ne vois pas d’avenir pour mes enfants si les gens s’entretuent ainsi», ajoute cet homme originaire du Malawi, qui habite désormais à Harare.
Les gens sont «déçus et pessimistes», poursuit un homme d’affaires, Emmanuel Masvikeni, 46 ans. «On est au point mort», constate-t-il en sortant de la messe dimanche à Harare.
Christine raconte avoir vu vendredi soir des civils battus par les militaires à Chitungwiza, une ville dortoir au sud de la capitale. «Je ne sais même pas pourquoi ils frappaient ces gens. Ils n’ont rien fait de mal. On a peur de sortir», ajoute-t-elle.
Une passante ne se dit pas surprise outre mesure. «Je n’ai jamais pensé que ce genre de chose allait cesser une fois Mugabe parti. Non», lance-t-elle sous couvert de l’anonymat. Emmerson Mnangagwa, 75 ans, fut le fidèle exécuteur des basses besognes répressives de l’ancien régime, dont il fut ministre et vice-président, avant d’être limogé en novembre.
En tant que chef de la sécurité nationale sous Mugabe, il a dirigé en 1983 la répression dans les provinces dissidentes du Matabeleland (ouest) et des Midlands (centre), qui ont fait environ 20.000 morts. Il «est très dangereux. Au moins Mugabe faisait les choses de façon cachée», ajoute Christine.
«Pourquoi frapper les gens alors que vous avez gagné ?», se demande-t-elle.
«Quand il est arrivé au pouvoir, les gens savaient qu’on changeait le chauffeur du bus, mais pas le bus.»
Dans une librairie indépendante, la propriétaire Maryann s’inquiète pour l’avenir, en montrant une liasse de billets d’obligation tout neufs.
Le pays s’est doté en 2016 d’une nouvelle monnaie sous la forme de «billets d’obligation» pour tenter d’enrayer la fuite vers l’étranger du dollar américain, utilisé pour les transactions après l’abandon en 2009 de la monnaie zimbabwéenne.
Théoriquement, cette nouvelle monnaie est à parité avec le dollar, mais en réalité elle s’échange à un tiers du billet vert.
«Ils m’ont donné de nouveaux billets d’obligation aujourd’hui à la banque.
Ce n’est pas bon signe qu’ils les impriment», constate Maryann, alors que le pays se débat depuis près de deux décennies avec une crise économique qui a plongé 90% de la population au chômage.
«C’est la raison pour laquelle les jeunes ont manifesté», estime Christine.
«Ils n’ont obéi à aucun ordre, ils sont juste amers».
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Après la proclamation des résultats de l'examen du Brevet d'études du premier cycle (Bepc) session de juillet 2018, certains établissements ont eu le taux malheureux de 0% de réussite. C'est le cas des complexes scolaires ''La Puissance'', ''Jennifer Nicolas'' et du Collège d'enseignement général de ''Gbaou'' dans le département de la Donga. Des résultats qui inquiètent et amènent à s'interroger sur la qualité des enseignants et témoignent une fois encore de la volonté du chef de l'Etat à les évaluer afin d'identifier leurs besoins en matière de renforcement des capacités.
F. A. A.