L'honorable Benoît Dègla et les militants du parti FDD (Force pour la Démocratie et le Développement), au cours de leur conseil national tenu, ce jeudi 1er novembre 2018, à l'hôtel Rive des Collines ont adhéré au bloc de la Dynamique Républicaine.
La cérémonie a connu la présence de plusieurs autorités et cadres politiques notamment du directeur général du FNPEEJ, M. Paulin Akponna, celui du FAC, Gilbert Déou-Malé, du maire de Ouessè, de Glazoué, du représentant du bloc Dynamique Républicaine, Eugène Dossoumou et des élus locaux.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme du système partisan au Bénin, le parti FDD du député Benoît Dègla a officialisé son adhésion au bloc de la Dynamique Républicaine.
« L'heure n'est plus à la division mais à l'union autour des questions d'intérêt général pour le bien-être de la dixième circonscription en particulier et du Bénin en général », a affirmé le président de la FDD, Benoît Dègla.
En tant que membre fondateur de la Dynamique Républicaine, il a rassuré ses militants sur les avantages de cette adhésion du parti à ce bloc.
Le porte-parole des élus locaux, le CA d'Aklampa a réaffirmé leur soutien au parti.
Le directeur général du Fonds des Arts et de la Culture a mis l'accent sur la paix et l'union. Gilbert Déou-Malé a insisté sur l'accompagnement des actions du Chef de l'Etat, Patrice Talon pour un succès épatant au terme des élections législatives.
Le directeur général du FNPEEJ, Paulin Akponna, et le maire de la commune de Ouessè n'ont pas manqué d'exprimer leur joie pour la mobilisation des fils de la commune.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
L'institut Cerco Bénin n'a toujours pas fini son chemin de croix avec les autorités béninoises. Contraint de fermer ses portes faute d'homologation, le promoteur décide d'offrir l'hébergement à tous les étudiants désireux de poursuivre leurs études à l'étranger sur les campus Cerco.
C'est dans un message aux parents que le promoteur de l'Institut Cerco s'engage à délocaliser ses étudiants dans la sous-région. Regrettant le sort réservé à son institut, Alain Capo-Chichi confie : " Nous sommes victime à mon sens d'un règlement de compte et j'espère que le Seigneur va nous aider et que les recours que nous faisons actuellement aboutiront''. Il estime que " c'est une situation de conflits personnels qui n'ont rien à voir avec l'administration, les agréments et homologations". Dans son adresse aux parents des apprenants, il explique que la situation que vit son institut datait de peu de temps. " Il y a quelques mois, en tant que Président de l'Association des Établissements privés et expert Lmd, j'avais donné mon avis technique sur les examens nationaux en expliquant que techniquement ceci ne règlerait pas les problèmes évoqués qui ont motivé la décision de leur organisation", affirme-t-il. Cette situation a selon le promoteur de l'Institut Cerco, créé un conflit entre les autorités en charge de l'enseignement supérieur notamment la direction des écoles privés d'enseignement supérieur (Depes) et lui avec des menaces, dit-il. Alors que le dossier d'agrément fut lancé avec les pièces à fournir, " le Depes ne m'a pas adressé de lettre d'information alors que 6 mois plus tôt, tous mes collègues fondateurs avaient reçu ce guide de dépôt", regrette le promoteur de Cerco. Malgré cette situation, Alain Capo-Chichi avoue que " Ne voulant plus m'opposer à une réforme du ministère bien qu'en raison de ce que nous avons des diplômes homologués par le Cames, nous avons passé le cap d'un agrément ( Art 73 et 74 du décret 2008), j'ai décidé d'utiliser les 15 jours restants pour déposer malgré tout les 13 pièces, comptant sur la bonne foi des uns et des autres".
Bien que selon lui, toutes les pièces demandées ont été déposées, le Depes délivre une attestation défavorable pour signature non originale. Cette situation qui était une surprise pour celui-ci, ne l'a pas découragée.
" Etant absent du territoire national et en mission en Chine, j'ai signé le document avec ma signature manuscrite scannée mais il a estimé que ma signature n'était pas originale et cela constituait un motif de rejet", déplore le promoteur de Cerco.
Pour régler la situation et ne pas tomber sous le coup de la loi, Alain Capo Chichi explique la démarche menée. " J'ai fait envoyer par avion un colis DHL avec la signature manuscrite originale et nous avons pu déposer le dossier mais il n'a plus corrigé ladite attestation alors que nous avions reussi à déposer dans le délai officiel", a-t-il expliqué. Ceci n'a toujours pas favorisé les choses puisque le Depes est resté campé dans sa position. Toutes les portes tapées pour avoir gain de cause ont donc été vaines.
" Si notre recours n'était pas favorable et que nous sommes contraints de fermer en pleine année universitaire, nous prendrons les dispositions pour ceux d'entre vous qui souhaiteront poursuivre leurs études sur les autres campus de Cerco à l'étranger. Je m'engage à vous offrir gratuitement l'hébergement pour l'année universitaire afin de vous permettre d'achever vos études", annonce-t-il aux parents.
Alain Capo-Chichi ajoute qu'il n'y aura pas non plus de " frais de scolarité supplémentaire". Si la situation perdure, l'Institut Cerco Bénin va fermer ses portes dans les prochains jours.
G.A.
L'institut Cerco Bénin n'a toujours pas fini son chemin de croix avec les autorités béninoises. Contraint de fermer ses portes faute d'homologation, le promoteur décide d'offrir l'hébergement à tous les étudiants désireux de poursuivre leurs études à l'étranger sur les campus Cerco.
C'est dans un message aux parents que le promoteur de l'Institut Cerco s'engage à délocaliser ses étudiants dans la sous-région. Regrettant le sort réservé à son institut, Alain Capo-Chichi confie : " Nous sommes victime à mon sens d'un règlement de compte et j'espère que le Seigneur va nous aider et que les recours que nous faisons actuellement aboutiront''. Il estime que " c'est une situation de conflits personnels qui n'ont rien à voir avec l'administration, les agréments et homologations". Dans son adresse aux parents des apprenants, il explique que la situation que vit son institut datait de peu de temps. " Il y a quelques mois, en tant que Président de l'Association des Établissements privés et expert Lmd, j'avais donné mon avis technique sur les examens nationaux en expliquant que techniquement ceci ne règlerait pas les problèmes évoqués qui ont motivé la décision de leur organisation", affirme-t-il. Cette situation a selon le promoteur de l'Institut Cerco, créé un conflit entre les autorités en charge de l'enseignement supérieur notamment la direction des écoles privés d'enseignement supérieur (Depes) et lui avec des menaces, dit-il. Alors que le dossier d'agrément fut lancé avec les pièces à fournir, " le Depes ne m'a pas adressé de lettre d'information alors que 6 mois plus tôt, tous mes collègues fondateurs avaient reçu ce guide de dépôt", regrette le promoteur de Cerco. Malgré cette situation, Alain Capo-Chichi avoue que " Ne voulant plus m'opposer à une réforme du ministère bien qu'en raison de ce que nous avons des diplômes homologués par le Cames, nous avons passé le cap d'un agrément ( Art 73 et 74 du décret 2008), j'ai décidé d'utiliser les 15 jours restants pour déposer malgré tout les 13 pièces, comptant sur la bonne foi des uns et des autres".
Bien que selon lui, toutes les pièces demandées ont été déposées, le Depes délivre une attestation défavorable pour signature non originale. Cette situation qui était une surprise pour celui-ci, ne l'a pas découragée.
" Etant absent du territoire national et en mission en Chine, j'ai signé le document avec ma signature manuscrite scannée mais il a estimé que ma signature n'était pas originale et cela constituait un motif de rejet", déplore le promoteur de Cerco.
Pour régler la situation et ne pas tomber sous le coup de la loi, Alain Capo Chichi explique la démarche menée. " J'ai fait envoyer par avion un colis DHL avec la signature manuscrite originale et nous avons pu déposer le dossier mais il n'a plus corrigé ladite attestation alors que nous avions reussi à déposer dans le délai officiel", a-t-il expliqué. Ceci n'a toujours pas favorisé les choses puisque le Depes est resté campé dans sa position. Toutes les portes tapées pour avoir gain de cause ont donc été vaines.
" Si notre recours n'était pas favorable et que nous sommes contraints de fermer en pleine année universitaire, nous prendrons les dispositions pour ceux d'entre vous qui souhaiteront poursuivre leurs études sur les autres campus de Cerco à l'étranger. Je m'engage à vous offrir gratuitement l'hébergement pour l'année universitaire afin de vous permettre d'achever vos études", annonce-t-il aux parents.
Alain Capo-Chichi ajoute qu'il n'y aura pas non plus de " frais de scolarité supplémentaire". Si la situation perdure, l'Institut Cerco Bénin va fermer ses portes dans les prochains jours.
G.A.
Si vous cherchez à contrôler votre poids, ou même à maigrir, les pâtes sont vos meilleurs alliés. Et ce, pour trois raisons :
1- Elle ont une faible densité calorique.
Une portion de 50 g de pâtes crues se gonfle d’eau à la cuisson pour atteindre 150 g, soit 175 cal. Accompagnées de poisson et de légumes, les pâtes constituent une ration alimentaire à moins de 300 cal. Une astuce : faites comme les Italiens, consommez-les en entrée. Vous serez ainsi mieux rassasiée.
2- Elles ont un effet antifringale.
On a faim lorsque l’estomac est vide ou que le taux de sucre dans le sang diminue trop. Or, les pâtes quittent lentement l’estomac et, de plus, stabilisent le taux de sucre sanguin.
3- Elles ont un effet antigraisse.
Plus on consomme de pâtes, moins on compense avec des aliments gras ou sucrés.
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Pour la crème : 1 l de lait, 8 œufs, 200 g de sucre, 150 g de chocolat
Pour le caramel : 125g de sucre, 25 ml d’eau
Porter le lait à ébullition, ajouter le chocolat et laisser fondre. Blanchir les œufs et le sucre en un mélange mousseux, versez-y le lait chaud et mélanger. Dans une casserole, faire prendre le caramel en mettant à chauffer le sucre et l’eau. Verser le caramel dans des ramequins. Verser délicatement dessus la crème. Placer le moule ou les ramequins dans un moule contenant de l’eau pour une cuisson au bain-marie. Enfourner 35 min à 180°C (surveiller la cuisson selon la taille de vos ramequins).
Laisser tiédir à température ambiante puis placer au frais quelques heures.
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Un peu plus de cent portaits d’acteurs et actrices algériens composent le nouveau livre du journaliste et critique de cinéma Abelkdrim Tazaroute, paru récemment chez les éditions Anep.
Cinéma algérien : acteurs, actrices sous les feux de la rampe réunit dans une anthologie ponctuée de photos et d’affiches de films les comédiens de l’ancienne et de la nouvelle génération. L’auteur précise dans son avant-propos qu’il s’agit de saluer le courage et la ténacité de ces artistes «dans une société qui n’a pas intégré l’idée qu’être acteur ou actrice est une profession noble de l’art». Et de souligner que les difficultés du métier sont démultipliés dans le cas d’une femme ayant choisi les planches ou les plateaux de tournage : «Si cela est dur pour l’homme, c’est autrement plus complexe pour une femme. Pour preuve, il fut un temps où au théâtre les rôles féminins étaient campés par des hommes. La première à avoir cassé le tabou est la grande et immense Keltoum, à la fois chanteuse, danseuse, comédienne et actrice. Elle a ouvert la voie royale aux autres actrices toutes aussi déterminées à s’imposer dans la sphère culturelle, aidées pour la plupart par le découvreur de talents, Mahieddine Bachtarzi.»
Abdelkrim Tazaroute rappelle que la plupart des acteurs ayant fait la gloire du cinéma algérien venait du théâtre, à l’instar de Rouiched, Sid-Ali Kouiret, Sid-Ahmed Agoumi, Keltoum, Nouria, etc. pour ce qui est de la première génération. Quant à la deuxième, elle fut formée à l’Institut des arts dramatiques de Bordj El Kiffan comme Dalila Halilou, Azzedine Medjoubi, Hichem Mesbah, Rym Takoucht.
Enfin, les talents révélés durant les années 1990-2000 continuent, selon lui, à apporter de la fraîcheur et du nouveau au 7e art algérien à l’image de Lyès Salem, Idir Benaïbouche, Souhila Maâlem, tandis que certaines actrices ont disparu des écrans après avoir campé le premier rôle dans des films telles que Samia Begga dans Une femme pour mon fils de Ali Ghanem, Ibtissem Djouadi dans Rachida de Yamina Bachir-Chouikh, Amel Abdelaziz dans Mélodie d’amour de Djamel Fezzaz, Nahad Ali dans Houria de Sid Ali Mazif, etc.
Ponctué d’affiches de films cultes, l’ouvrage recense par ordre alphabétique une centaine de biographies d’acteurs à l’instar de l’inoubliable Hadj Abderrahmane (Inspecteur Tahar) mort prématurément à l’âge de 41 ans après avoir marqué le cinéma et le théâtre algériens par son talent et sa gouaille inimitables et dont la popularité n’a pas pris une ride au fil des générations. L’auteur évoque également des acteurs moins connus du grand public comme Salem Ait-Ali Belkacem, dit Ussalas, ayant principalement joué dans des pièces et des films berbérophones (La montagne de Baya, Machahu, Arezki l’indigène, Si Muhand, l’insoumis, Fadhma n’Soumer, etc.).
Le livre se clôture sur une liste des films algériens produits depuis l’indépendance, allant de Une si jeune paix de Jacques Charby (1964) à Mémoires de scène de Rahim Laloui (2016), en passant par Le charbonnier de Mohamed Bouammari (1972), Les enfants du vent de Brahim Tsaki (1980), Bab El-Oued City de Merzak Allouache (1994), Délice Paloma de Nadir Moknèche (2007), Yemma de Djamila Sahraoui (2013), etc.
Sarah H.
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