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Afrique

Sept contrebandiers arrêtés à Tamanrasset, Bordj Badji Mokhtar et Aïn Guezzam

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:56

Sept contrebandiers ont été arrêtés et trois véhicules tout-terrain ont été saisis, vendredi, par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) lors d’opération distinctes menées à Tamanrasset, Bordj Badji Mokhtar et Aïn Guezzam

, indique samedi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). « Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’ANP ont arrêté, le 2 novembre 2018, lors d’opérations distinctes à Tamanrasset, Bordj Badji Mokhtar et Aïn Guezzam (6e RM) 7 contrebandiers et saisi 3 véhicules tout-terrain, 3 motocyclettes 4 groupes électrogènes, 8 détecteurs de métaux, 3 marteaux piqueurs, 1 appareil concasseur de pierres », note la même source. D’autre part, les éléments de la Gendarmerie nationale « ont appréhendé à Adrar (3e RM) et Biskra (4e RM), 2 contrebandiers et saisi 2 camions, 9 tonnes de denrées alimentaires ainsi que 190 quintaux de blé destinés à la contrebande ». Dans le même contexte, d’autres détachements de l’ANP, en coordination avec les éléments de la Gendarmerie nationale à Biskra, Tébessa et Oum el Bouaghi « ont arrêté 4 personnes en possession illégale de 4 fusils de chasse et saisi 2 véhicules et une quantité de munitions », alors que les éléments des Gardes-frontières à Tlemcen (2e RM) ont saisi 24 kilogrammes de kif traité ». Par ailleurs, des détachements de l’ANP «ont intercepté 13 immigrants clandestins de différentes nationalités à Tamanrasset et Aïn Guezzam (6e RM) ».

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FFS : Hadj Djilani plaide pour une Assemblée constituante

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:54
Écrit par Hichem Laloui

Afin de marquer la célébration du déclenchement de la Révolution, les responsables du Front des forces socialistes (FFS) se sont rendus dans la wilaya de Jijel où une rencontre populaire a eu lieu.

Dans son intervention, Mohamed Hadj Djilani, premier secrétaire national du FFS, a souligné que «le pouvoir empêche les Algériens de demander et d’exiger leurs droits». Dans sa critique du régime politique, Hadj Djilani n’a pas lésiné sur les mots pour accuser les gouvernants d’être «responsables» de la crise «de confiance» entre eux et les citoyens. «Ils n’ont qu’un seul souci, perdurer au pouvoir», a-t-il encore dit, dénonçant, au passage «la corruption, la répression, les passe-droits et les injustices». «Le pouvoir veut tout accaparer, à commencer par le Parlement, la presse, la justice, faire taire la société civile à travers les intimidations, les pressions, les procès en justice et les licenciements abusifs», a-t-il souligné. Il considère que ces pratiques renseignent sur le fait que «ce pouvoir veut exclure définitivement le peuple dans les prises de décisions» en imposant «la politique de la fuite en avant, du fait accompli, de la carotte et du bâton». Hadj Djilani a ajouté que le FFS «dénonce le non-respect des droits de l’Homme et les atteintes répétées aux libertés, notamment des militants associatifs et des journalistes». «Ces pratiques sont celles de dictateurs que notre pouvoir a adoptées derrière de faux slogans nationalistes pour tromper l’opinion», a encore déclaré le premier secrétaire du FFS, précisant que «nous sommes actuellement face à un pouvoir qui oppose la force à la force politique».

Concernant la dernière crise qui a secoué l’Assemblée nationale, Hadj Djilani a estimé qu’elle entre dans les tentatives du pouvoir «de soumettre le pouvoir législatif», et ce, après avoir «soumis le pouvoir judiciaire». «Les échecs de ce système politique hypothétique l’avenir du pays, celui de cette génération et celles à venir», a-t-il mis en garde. Expliquant que «le flou qui caractérise la vie politique nationale et le vœu du pouvoir de maintenir le statu quo en sont la preuve». Concernant les positions de son parti, l’hôte de Jijel a rappelé que le plus vieux parti de l’opposition «a choisi son camp», qui est celui «du peuple, source de toutes les légitimités». «Notre camp est celui du changement, celui des militants des droits de l’Homme, des journalistes, des syndicalistes, des militants associatifs…, qui luttent chaque jour pour un Etat de droit, pour la démocratie et la liberté.» Par ailleurs, Mohamed Hadj Djilani a plaidé pour la nécessité de mettre sur pied «une Assemblée constituante», seule à même de «résoudre la crise multidimensionnelle que traverse le pays et promouvoir un consensus national». Il a informé que Jijel n’est qu’une halte dans une série de rencontres avec les citoyens à travers plusieurs autres wilayas.

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Traitements innovants d’oncologie: Seuls 3 centres autorisés à passer des commandes

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:52

Le ministère de la Santé est en cours de désignation de services hospitaliers de référence, autorisés à prescrire ces thérapies, avait indiqué le directeur général de la PCH à Liberté.

Un comité d’experts s’est réuni à la mi-octobre  au siège du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour désigner les centres anticancéreux habilités à commander les traitements d’oncologie innovants, dont l’immunothérapie auprès de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH). Trois structures ont été retenues : le Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) d’Alger, le service oncologie d’Oran et celui de Constantine. Il y a quelques semaines déjà, des oncologues et des associations d’aide aux personnes atteintes de cancers sont montés au créneau pour dénoncer le retard mis dans l’approvisionnement des hôpitaux en ces médicaments qui avaient obtenu l’AMM (autorisation de mise sur le marché) par le ministère de tutelle en janvier 2018. Les autorités sanitaires avaient alors expliqué, par la voix du directeur général de la PCH contacté par Liberté, que “les patients traités par ces produits doivent être suivis de manière rigoureuse. Pour cette raison, le ministère de la Santé est en cours de désignation de services hospitaliers de référence, autorisés à prescrire ces thérapies. Leurs établissements peuvent alors faire une commande officielle et nous procèderons à l’importation de ces produits”. Trois services sont choisis pour remplir ce rôle. Les praticiens et les patients, qui ne dépendent pas de ces structures sanitaires, s’insurgent contre ce qu’ils considèrent comme “une démarche sélective dans la prise en charge des malades, et ce, en contradiction avec les orientations du président de la République qui, en 2012, avait insisté pour rapprocher les soins aux malades”. La mesure restrictive du département dirigé par le
Pr Mokhtar Hasbellaoui va exacerber la pression sur ces centres référence, contraints à prendre en charge les malades traités par ces produits, à l’échelle nationale. Les malades, résidant loin de ces structures, devront parcourir des centaines de kilomètres, subissant les aléas des transports et de l’hébergement et, bien entendu, les frais y afférents pour se faire soigner. L’option du département ministériel de tutelle fait apparaître nettement des inégalités dans l’accès aux soins pointus. Les oncologues, qui n’ont pas été associés à la décision, s’interrogent, par ailleurs, sur les critères d’éligibilités des patients, qui ne sont guère précisés. Le pays a-t-il les moyens d’acheter ses médicaments, coûteux, pour toutes les personnes atteintes des cancers auxquelles ils seront prescrits, sachant qu’ils sont indispensables pour le mélanome malin, le cancer du poumon, le cancer du rein, le cancer de la vessie ? Les prix élevés de ces innovations thérapeutiques (environ 2 600 euros la boîte la moins chère) sont assurément rédhibitoires pour les pouvoirs publics. Dès lors qu’elles sont dûment enregistrées dans le pays, elles doivent être accessibles à tous, estime-t-on.

Souhila H.

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La décision leur a été notifiée le 02 novembre: 55 anciens députés expulsés de la résidence Les Mimosas

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:52

Au moins 55 anciens députés font l’objet d’une expulsion de leurs logements à la cité « Les Mimosas » de Staoueli. Des logements qu’ils ont occupés depuis 1997. Ces anciens parlementaires ont reçu des ordres d’expulsion le 02 novembre dernier de la part de la direction de la résidence d’État de Club des pins. Hier, « le portail de la résidence a été fermé par un cadenas », témoigne un ancien député. Ce dernier affirme que durant leur mandat, lui et ses camarades payaient les loyers de ces logements.

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Industrie: Sonatrach va se lancer dans la sous-traitance automobile

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:48

La compagnie table sur la déshydrogénation du propane qui permet de produire du propylène, plastique utilisé par de nombreuses industries, dont l’automobile, et de fabriquer des composants de l’habitacle des véhicules.

La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, envisage de se lancer dans l’industrie de la sous-traitance automobile, apprend-on de sources sûres. Et, l’attelage peut être monté au complexe pétrochimique de déshydrogénation du propane et de production de polypropylène, en projet à Arzew. Le complexe est le fruit d’un partenariat entre la compagnie nationale et Total.
Début octobre dernier, les deux associés ont créé une société commune dénommée Sonatrach Total Entreprise Polymère (Step), détenue à 51% par Sonatrach et à 49% par Total. Elle est chargée de construire et de gérer le complexe en question. Le projet implique un investissement de l’ordre de 1,4 milliard de dollars. La capacité de production sera de 550 000 tonnes par an, que STEP va commercialiser. Sonatrach fournira annuellement, à partir des installations de gaz de pétrole liquéfié à Arzew, les 640 000 tonnes de propane nécessaires au projet. Techniquement parlant, c’est la déshydrogénation du propane qui permet de produire du propylène, plastique utilisé par de nombreuses industries dont l’automobile, et de fabriquer des composants de l’habitacle des véhicules, souligne notre source. Actuellement, l’Algérie importe 100% de ses besoins en polypropylène. La compagnie nationale des hydrocarbures a également noté dans ses tablettes la construction d’une usine de fabrication de pneumatiques.

C’est, ajoute-t-elle, tout à fait faisable et les retombées seront favorables, Sonatrach étant présente dans un réseau de distribution de produits pétroliers assez dense à travers sa filiale Naftal. Mais avec quel partenaire va-t-elle collaborer pour réaliser un tel projet ? Notre source s’est gardée d’en dire davantage. Sonatrach compte ainsi mettre en place un écosystème qui soit en mesure de tirer vers le haut la sous-traitance industrielle. Elle entend garder deux fers au feu : elle veut être activement impliquée dans le développement et la fabrication de produits en sous-traitance pour des clients opérant dans le secteur automobile, et assurer une meilleure maîtrise des frais généraux relatifs à l’industrie pétrolière et gazière grâce à la sous-traitance locale. Du reste, la compagnie nationale a établi une stratégie visant à promouvoir et à intégrer le contenu local dans ses plans de développement de manière à porter en 2030 le taux d’intégration industriel national à 55%.

Un objectif réalisable ? Pour l’atteindre, Sonatrach fait appel aux entreprises algériennes pour saisir les opportunités d’investissement qu’offre son plan de développement et s’impliquer fortement dans la réalisation des projets porteurs d’amélioration du niveau d’intégration industrielle nationale. Kamel Agsous, président de la coordination nationale des bourses de sous-traitance, présent à une rencontre sur le développement de la sous-traitance organisée hier par la Confédération des industriels et des producteurs algérien (Cipa) à Alger, a relevé que cet objectif sera particulièrement ambitieux. Et s’il est réalisé, cela, a-t-il poursuivi, va permettre à Sonatrach de faire des économies de l’ordre de 14 milliards de dollars. M. Agsous a cependant estimé qu’au rythme actuel de production automobile, il serait illusoire de prétendre porter le volume de fabrication à 500 000 unités à l’horizon 2021, comme projeté par les pouvoirs publics.

Youcef Salami

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Ouvrage collectif coordonné par Allas Di Tlelli: “Katia Bengana, la lycéenne qui a nargué l’islamisme

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:46

Ce livre consacré à la lycéenne assassinée à l’âge de 17 ans, le 28 février 1994, par les hordes islamistes dont elle refusait le diktat, aborde, entre autres, la portée politique, culturelle et sociologique de son combat.

Il se veut un hommage à Katia Bengana, mais pas seulement. L’ouvrage qui vient d’être consacré à cette lycéenne assassinée le 28 février 1994, par la horde des islamistes dont elle refusait le diktat se veut aussi, selon son auteur, “l’exhumation” d’une mémoire, pourtant récente, “des abysses d’une amnésie collective programmée, qui broie, l’un après l’autre, tous nos symboles”. “Katia Bengana, la lycéenne qui a nargué l’islamisme”, cet ouvrage collectif dirigé par Allas Di Tlelli, un romancier qui a été lauréat du prix Mouloud-Mammeri en 1993, explore les dimensions, à la fois politique, culturelle, intellectuelle, sociologique et civilisationnelle du combat de Katia Bengana, cette jeune adolescente qui, estime l’auteur, en acceptant de faire don de sa vie pour sa liberté alors qu’elle n’était âgée que de 17 ans, est devenue une héroïne puis symbole de résistance contre l’ordre religieux. “Cet ouvrage n’a pas pour but de stigmatiser, non plus l’ambition de cerner toute l’origine et le sens anthropologique, idéologique, historique et politique de la brutalité religieuse que sous-tend le voile arabo-musulman”, prévient l’auteur dans l’introduction de l’ouvrage.
C’est plutôt, soutient-il, une nécessité intrinsèque à la thématique principale qui est celle de l’évocation des repères et des évènements structurants de notre histoire récente et lointaine. Son ouvrage, Allas Di Tlelli l’entame avec la dernière confession faite par la jeune Katia à sa mère à la veille du lâche assassinat dont elle a été l’objet. “Plutôt mourir que porter ce hidjab. Si je suis obligée de garder une seule tenue toute ma vie, ce sera la robe kabyle, mais jamais ce voile importé d’ailleurs”, a été cette phrase qui résumait à la fois son combat et la cause de sa liquidation par les islamistes. Au fil du texte, l’auteur nous replonge, et c’est inévitable, dans l’univers de l’horreur islamiste des années 1990, puis fait revisiter au lecteur les origines historiques, religieuses et idéologiques du voile islamique, ses différentes sortes, leurs évolutions, les antagonismes qu’il a suscités entre les différentes tendances, les centres d’appui à l’apologie du voilement des femmes dans la propagande islamiste et, ainsi, son évolution jusqu’à devenir un étendard idéologique. L’auteur ne s’arrête pas au hidjab en tant que tel, mais va piocher plus profondément dans la culture qui l’entoure, et ce, en abordant les sujets toujours d’actualité de l’égalité des sexes, la place de la femme dans la société algérienne et dans les lois algériennes ainsi que les enjeux politiques et idéologiques sous-jacents.
Le reste du livre est articulé autour de témoignages, analyses et surtout une lecture transversale du combat de Katia Bengana, faite sous forme de contributions, par 56 auteurs, algériens et étrangers, venus du monde de la littérature, de la sociologie, des médias, de la culture. L’ouvrage est édité par les éditions de la Pensée.

Samir LESLOUS

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L’Éthiopie adopte le régime de visa à l’arrivée pour les Algériens

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:44

Le gouvernement éthiopien a lancé en début de week-end un programme de visa à l’arrivée pour tous les ressortissants de pays africains, dont l’Algérie, il met ainsi fin au régime de demande de visa avant l’arrivée, indique le ministère éthiopien des affaires étrangères dans un communiqué rendu public.

Le gouvernement éthiopien dit  de vouloir  promouvoir la libre circulation des personnes et des biens sur le Continent comme le demande l’Union africaine. A noter que l’instance africaine a exhorté tous les pays africains à émettre des visas à l’arrivée pour 2023.

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Cherif Mellal maintient sa décision de ne pas jouer mardi: La JSK se déplacera aujourd’hui à Bologhine

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:43

Mellal s’est montré, toutefois, disposé à jouer mercredi si la LFP reporte le match de 24 heures.

La réunion des présidents des clubs des Ligues 1 et  2, initiée par le président de la JSK, Cherif Mellal, pour la destitution du président de la LFP, Medouar, a été finalement annulée. Et pour cause, la majorité des présidents des clubs professionnels n’ont pas répondu à l’invitation de la JSK et de son président Cherif Mellal. En effet, à l’exception du responsable du MO Bejaia, aucun autre dirigeant n’a daigné assister à cette réunion. Un scenario attendu sachant que tous les présidents des clubs ont exprimé leur refus d’y prendre part.
Une réunion qui devait initialement avoir lieu à l’hôtel l’Hirondelle avant d’être carrément délocalisée à l’hôtel Mercure, faute d’autorisation.
Le président de la JS Kabylie, accompagné de quelques dirigeants, dont Nassim Abderrahmane, se sont donné au rendez-vous dans le hall de l’hôtel afin d’accueillir les invités. Le premier responsable kabyle faisait les cent pas attendant patiemment l’arrivée des présidents des clubs, en vain. Il a décidé par la suite, vers 17h30, de quitter les lieux tout en refusant la moindre déclaration à la presse. Toujours est-il que la direction de la JSK campe toujours sur sa position. Une source autorisée a révélé hier à Liberté que “la JSK se déplacera ce lundi au stade Omar-Hamadi en vue de disputer la rencontre face à l’USMA. Nous serons accompagnés d’un huissier de justice pour constater la présence de notre équipe”, dira notre source qui indique que “comme la LFP n’a pas daigné répondre à nos doléances, nous allons faire valoir notre droit. D’autant que nous n’avons pas reçu de notification de la part de la Ligue de football professionnel”.
De son côté, le président Mellal, qui a refusé de faire de déclaration à l’hôtel Mercure, s’est exprimé hier matin au siège du club. Toujours inflexible dans sa décision de ne pas jouer ce mardi contre l’USMA, Mellal nous dira que “la JSK ne pliera pas devant une telle injustice car, à ce jour, nous n’avons toujours pas reçu la moindre explication de la part de la LFP quant à cet énième report du match USMA-JSK et malgré toutes nos tentatives de joindre la LFP, par fax ou par téléphone, sont restées vaines, ce que nous considérons comme un grave manque de considération pour le club qui a été déjà victime de machinations depuis le début de saison et qui dit aujourd’hui halte à la programmation à la  carte  et au clientélisme”. Dans sa lancée, Mellal dira que “si le président Serrar vient de déclarer à la presse que l’USMA n’a pas demandé de report de match, alors on se demande pourquoi la LFP s’est empressée de prendre une décision hâtive, dans après-midi du 1er novembre, autrement dit un jour férié où tous les membres de la Ligue étaient présents au stade Tchaker de Blida pour assister à la supercoupe d’Algérie CSC-USMBA, ce qui suscite beaucoup d’interrogations et des zones d’ombre dans cette magouille qui ne dit pas son nom”. Le président Mellal de confirmer que la JSK exige de jouer ce lundi, ce qui relève de son droit légitime, sinon le boycott sera maintenu. “Nous avons été floués dans cette affaire et nous avons été victimes de la hogra, d’autant plus que la LFP a reprogrammé le match JSK-NAHD pour dimanche prochain, premier jour de semaine, et sans aucune explication de la part de la LFP, alors qu’il était initialement programmé pour ce vendredi. Je persiste et signe, la JSK joue ce lundi et refuse catégoriquement le report du match à mardi. Notre équipe va rallier Alger dès ce soir (ndlr : hier soir) pour s’y préparer en conséquence”, conclut le président de la JSK. Mellal s’est montré, toutefois, disposé à jouer mercredi si la LFP reporte le match de 24 heures.

Ahmed Ifticen/Mohamed Haouchine

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Affaire de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi: Quel impact sur les réformes projetées par “MBS” ?

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:41

Le royaume wahhabite est-il réformable ? La question a été débattue à Montréal lors d’une conférence organisée dans le cadre du Festival du monde arabe (FMA).

Le politologue Sami Aoun croit que l’assassinat du journaliste Khashoggi risque de compliquer les plans du prince héritier Mohamed Ben Salmane (MBS). C’est que pour le professeur de sciences po à l’université de Sherbrooke (Québec), le journaliste assassiné en Turquie, connu pour ses entrées à Washington, constituait une menace pour les ambitions de MBS, engagé dans une entreprise de séduction des réseaux américains pour asseoir son pouvoir. L’actuel souverain saoudite a bouleversé la tradition consensuelle de succession et de partage du pouvoir, en imposant contre toute attente son fils MBS comme héritier au trône, rappelle l’intervenant. Maîtrisant les rouages de l’État, le prince héritier a voulu frapper les esprits, en imposant son style de gouvernance, calqué sur l’autoritarisme absolu. C’est dans ce cadre que s’inscrit la campagne d’arrestation de dignitaires saoudiens, dont le but était le renforcement du pouvoir personnel. “Le retour récemment de Ahmed Ben Abdelaziz, frère du roi, à Riyad, pourrait se comprendre comme une volonté d’aspirer au trône. Ce qui peut aiguiser la guerre des clans”, observe Aoun.

Celui-ci ne manquera pas de relever le double jeu du président américain Donald Trump alternant manœuvre et manipulation. “MBS a fait tomber son pays dans une impasse, peut-être pas existentielle. Il a commis un meurtre ignoble”, souligne le conférencier. Pour sa part, l’universitaire Samir Saul a tenté d’expliciter le sens des réformes économiques que veut se donner Riyad. La chute des prix du pétrole fin 2014 a entraîné le pays dans des turbulences socioéconomiques : un déficit abyssal pour un pays qui n’est pas habitué aux déficits, un emprunt de plus de 100 milliards de dollars, un chômage endémique qui avoisine les 30% de la population active dont la moitié a moins de 30 ans, des restrictions budgétaires dans les services sociaux, etc. Ce tableau sombre laisse voir un avenir compromis dans une conjoncture charnière pour le royaume.

D’où la résolution prise dans le cadre du Plan 2030, élaboré par un think tank américain (Mackenzie), de diversifier l’économie saoudienne à coup de réformes structurelles, indique M. Saul, non sans s’interroger si une économie rentière est à ce point réformable. C’est que, estime l’universitaire, on ne peut pas réformer l’économie sans transformations sociales radicales, lesquelles vont ensuite impliquer un changement politique. Or, le système politique bâti depuis 1932 est basé sur l’idéologie wahhabite prégnante ; il n’y a pas d’institutions représentatives, ni de séparation des pouvoirs, ni de partis politiques, ni de lois codifiées. “Je crois qu’il ne peut pas y avoir de réformes économiques, sans transformations sociales et changement politique”, tranche-t-il. L’ambition géopolitique de l’Arabie Saoudite est très coûteuse. Elle est assise sur la diplomatie du chéquier, se désole Samir Saul. Riyad recourt aussi à la force, comme c’est le cas avec la “sale guerre” au Yémen. Outre son interventionnisme international sous le parapluie américain, l’Arabie Saoudite exporte pétrodollars et wahhabisme, conclut Sami Aoun, comme pour souligner l’impossible projet de MBS : réformes économiques, sans changement de système politique.

De Montréal : Yahia Arkat

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Affaire Khashoggi : des agents saoudiens envoyés pour «effacer» les preuves

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:34

Des « nettoyeurs » saoudiens, un chimiste et un expert en toxicologie, sont arrivés à Istanbul le 11 octobre, neuf jours après le meurtre de Khashoggi pour effacer les preuves du meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, dont le corps reste introuvable un mois après sa disparition, a affirmé aujourd’hui un haut responsable turc.

« Nous pensons que ces deux individus sont venus en Turquie dans le seul but d’effacer les preuves du meurtre de Jamal Khashoggi avant que la police turque ne soit autorisée à fouiller les locaux », a indiqué le responsable turc sous couvert d’anonymat.

D’autres sources ont indiqués que les deux hommes ont quitté la Turquie le 20 octobre après s’être régulièrement rendus au consulat et à la résidence du consul saoudien à Istanbul. La police turque n’a reçu l’autorisation de fouiller le consulat que le 15 octobre et la résidence deux jours plus tard.

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Yémen: Intenses combats à Hodeida

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:34

Des dizaines de rebelles houthis ont été tués depuis samedi dans des combats et des frappes aériennes à Hodeida, sur la côte ouest du Yémen, ont affirmé hier à l’AFP des sources médicales. La ville portuaire de Hodeida, qui est aux mains des rebelles houthis, est, depuis jeudi, le théâtre de violents combats et la cible de frappes aériennes menées par les forces pro-gouvernementales appuyées par la coalition dirigée par l’Arabie Saoudite. La coalition avait envoyé mardi des renforts vers la côte ouest en vue d’un nouvel assaut contre Hodeida — port stratégique sur la mer Rouge —, selon des responsables militaires yéménites. Au total, 53 combattants houthis ont été tués et des dizaines d’autres blessés depuis samedi, ont indiqué à l’AFP des sources médicales à Hodeida.
Les forces loyalistes ont elles perdu 13 hommes, ont affirmé d’autres sources médicales à Aden et Mokha, villes sous contrôle gouvernemental où les corps sans vie ont été transportés. Les combats entre les forces pro-gouvernementales et les rebelles font rage depuis jeudi dans les environs de l’université de Hodeida et se sont intensifiés samedi et dans la matinée d’hier, selon une source au sein des forces pro-gouvernementales. Les affrontements ont éclaté alors que les unités pro-gouvernementales arrivaient dans les environs de l’université, et quelques heures après que le gouvernement yéménite, basé à Aden, s’est dit prêt à reprendre les négociations de paix avec les rebelles.
Les Nations unies ont récemment appelé les belligérants à s’asseoir à la table des négociations dans un délai d’un mois, après avoir tenté sans succès en septembre d’organiser des pourparlers de paix à Genève. Des discussions de paix à Koweït avaient aussi échoué en 2016. La coalition intervient au Yémen depuis 2015, sous commandement saoudien, pour rétablir à Sanaa le gouvernement internationalement reconnu du président Abd Rabbo Mansour Hadi, réfugié à Riyad. Les Houthis sont encore maître de la capitale Sanaa et tiennent d’autres villes comme Hodeida, point d’entrée de trois quarts des importations au Yémen.

R. I./Agences

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Mauritanie-Usa : Le torchon brûle-t-il ?

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 11/05/2018 - 14:30
Mauriweb - La décision du président Donald Trump d’évincer la Mauritanie de l’Agoa est grave de conséquences. Malgré la volonté des...
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Séminaire sur le devenir des infrastructures ferroviaires en Algérie: Bientôt une ligne pour Tamanrasset

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:19

Le programme de modernisation du transport ferroviaire national est arrivé à 4 500 km, et prévoit 6 300 km pour un délai à court terme. Le budget englouti pour ces réalisations est actuellement de 30 milliards de dollars US.
Nedjma Merabet – Alger (Le Soir) – A long terme, c’est-à-dire à l’horizon 2035, il est prévu d’atteindre les 12 000 km, avec notamment une ligne qui reliera le nord à Tamanrasset.
Concernant les trains à grande vitesse promis, et qui peuvent atteindre les 350km/h, les experts expliquent qu’il s’agit d’une toute autre politique, voire même philosophie du transport ferroviaire.
Cela nécessite des études importantes, une acquisition de savoir-faire étendu et de matériel de pointe. Il y a quelques années, nos trains ne dépassaient pas les 140km/h, aujourd’hui, la vitesse moyenne varie entre 160 et 220km/h.
Par contre, il est prévu, dans de brefs délais, la mise en marche de lignes Coralia. Il s’agit de lignes à double traction, c’est-à-dire qui allient le fonctionnement électrique à celui du diesel lorsque les voies ne sont pas électrifiées.
Ledit programme s’inscrit dans le schéma national de réaménagement du territoire, légiféré depuis 2000. Il a fallu scinder l’entreprise ferroviaire, pour ne laisser à la SNTF que l’entretien courant, tandis qu’il a été créé en 2005 l’ANESRIF (Agence nationale d’études et de suivi des investissements ferroviaires), chargée de la gestion et de la mise en œuvre du programme d’investissement ferroviaire.
Le programme, qui fait intervenir 59 entreprises étrangères et une trentaine d’entreprises nationales, s’articule autour de 8 axes que sont : la rocade Nord, celle des Hauts-Plateaux, la ligne minière Est (chargée du transport de fer et de phosphates venant des minerais de l’Est du pays), la pénétrante Centre allant de Djelfa à Laghouat, la pénétrante Ouest, la boucle sud-est, la boucle sud-ouest, et la pénétrante Est qui s’étend jusqu’à la nouvelle ville de Hassi Messaoud, avec la partie Hassi Messaoud- Touggourt en cours de réalisation, en plus de 400 km en cours d’exploitation en matière de GSMR.
Une technologie nouvelle qui permettra de mettre en communication le mécanicien avec le poste de commandement centralisé, ce qui favorise des échanges plus rapides et efficaces, et de gagner en matière de sécurité et de temps de parcours. C’est la première utilisation d’une telle technologie en Afrique.
Parallèlement, il est prévu dans le programme la réhabilitation des gares pour les élever aux normes internationales : accès aux personnes à mobilité réduite, embellissement des gares, commerces pour le retour sur investissement etc.
Concernant les passages à niveau, qui sont véritablement la source de nombreux drames humains ou de pertes matérielles, il est prévu d’automatiser une partie, et de transformer l’autre en passages supérieurs.
Par ailleurs, les experts de l’ANESRIF appellent les étudiants à se pencher sur la question de l’ensablement des lignes ferroviaires, dont l’étude est en cours, par notamment des bureaux d’études principalement européens (France, Belgique, Allemagne, Espagne, Italie, Portugal), mais aussi des bureaux d’études algériens.
N. M.

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Exploitation du gaz de schiste: Guitouni réitère son caractère inévitable

Algérie 360 - Mon, 11/05/2018 - 14:19

Sans détour et toujours aussi catégorique sur l’épineuse question de l’exploitation du gaz de schiste, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, est revenu comme à la charge pour étaler au grand jour l’ambition de l’Algérie d’avancer encore plus vite qu’on pouvait le croire dans cette perspective.
Depuis quelques semaines, du gaz de schiste ça parle de partout, dans tous les sens après qu’un premier grand pas eut été franchi il y a quelques mois, lorsque le même ministre de l’Energie, à partir de la tribune que lui offrait la 8e édition de la North African Petroleum Exhibition and Conference d’Oran, faisait savoir que l’Algérie a désormais dépassé le stade de la réflexion quant à la nécessité ou non de l’exploitation du gaz de schiste pour passer désormais à sa faisabilité dans la perspective de capitaliser les ressources du sous-sol algérien classé parmi les trois plus riches au monde avec les Etats-Unis et l’Argentine en schiste. Cette fois, c’est de Naâma, samedi soir, que Mustapha Guitouni, tout en affirmant que les efforts se poursuivent pour accroître les capacités dans le domaine d’exploration et de forage de nouveaux bassins d’hydrocarbures et s’étendent au nord du pays et à la mer, il a surtout réitéré l’inévitabilité pour l’Algérie d’opter pour l’exploitation du gaz de schiste et ce, partant de son importance dans la maîtrise des prix de l’énergie sur le plan mondial, des contrats d’exportation et de la demande de consommation de cette énergie, a expliqué Mustapha Guitouni avant de faire état d’études d’exploration de nouveaux bassins ayant cours à travers plusieurs wilayas tout en précisant que «si les résultats ne sont pas concluants, aucune opération de forage ne sera initiée».
Un sujet – l’exploitation de schiste – qui était à peine effleuré jusqu’à il y a encore quelques mois pour, désormais, constituer un des thèmes de l’heure puisqu’il apparaît que sans le schiste, l’Algérie pourrait perdre sa place dans le cercle des pays majeurs producteurs d’hydrocarbures, ceci d’autant que, d’autre part, la consommation interne du gaz est en nette croissance de même que la demande, comme le soulignait le ministre samedi soir lors de sa sortie à Naâma, emboîtant le pas, ainsi, une petite semaine après au P-dg de Sonatrach, Abdelmoumene Ould Kaddour, qui expliquait à partir de Ouargla que l’Algérie était passée à la vitesse supérieure dans son objectif de passer à l’exploitation de son gaz et pétrole de schiste.
Ainsi, depuis quelques semaines, l’on s’accorde à dire ici et là que l’exploitation entrera dans sa phase active dans un délai ne devant pas dépasser les cinq ans et, d’ores et déjà, un contrat — le premier du genre — a été paraphé avec des partenaires la semaine dernière, BP et Equinor en l’occurrence, pour l’exploration et le développement du gaz de schiste dans la région d’In Salah sur la base des résultats de l’étude réalisée en 2013 par Sonatrach et BP, un acte concret qui entre dans la «stratégie 2030» mise au point par Sonatrach qui prévoit une production d’environ 20 milliards de mètres cubes de gaz non conventionnel à l’horizon 2030.
Azedine Maktour

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Le président évoque le dossier du 3éme mandat avec les chefs militaires lors d’une réunion à huis clos

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 11/05/2018 - 13:51
Adrar-Info - Une source militaire de haut rang, a confirmé que le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a tenu une réunion à huis...
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L'Alibori résolument engagés dans le ‘'Bloc Progressiste''

24 Heures au Bénin - Mon, 11/05/2018 - 13:48

Sur l'esplanade de la mairie de Kandi, ce samedi 03 novembre 2018, les militants et militantes de la première circonscription électorale du parti ‘'Alafia'' de Alassane Séïdou, ministre des infrastructures et des transports et ceux de l'Union pour la relève (Upr) du député Issa Salifou, ont donné le feu vert à leurs leaders, d'appartenir au ‘'Bloc Progressiste'' pour une victoire écrasante lors des prochaines législatives.

Selon Alassane Séïdou, c'est à l'unanimité que les militants ‘'Alafia'' et UPR, ont donné le feu vert pour leur fusion avec d'autres formations politiques en vue de la création d'un grand ensemble politique, plus fort et plus viable à travers le bloc Progressiste.
« Nous sommes du groupe des progressistes socialistes et certains des républicains donc capitalistes mais le président Patrice Talon est pour tout le monde », a déclaré le député Issa Salifou.
A son tour, le préfet de l'Alibori, Moussa Mohamadou a souligné que la présence massive des acteurs politiques de l'Alibori témoigne de leur engagement à soutenir les actions du président Talon.
Le maire Bio Sarako Tamou de Banikoara et son homologue Alidou Démonlé Moko de Kandi, représentants des maires de l'Alibori, ont réaffirmé leur engagement à soutenir du chef de l'Etat pour la réalisation de son Programme d'actions (Pag). L'augmentation du fonds de développement des communes, la construction de plusieurs kilomètres de pistes de desserte rurale, la promotion d'autres filières en dehors du coton, sont entre autres, les actions phares qui dénotent, selon eux, de la volonté du président de la République à offrir un mieux-être aux populations.
Le président de l'association des jeunes pour le développement de la commune de Kandi, Guinguèré Bachirou, a noté que le chef de l'État entreprend plusieurs réformes dans divers domaines notamment celui de l'agriculture. Ce qui force, selon lui, l'admiration des enfants des producteurs. De ce fait, il a exhorté ses pairs à soutenir le programme d'actions du gouvernement.
F. A. A.

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A mon très cher frère, le tout-nouveau Premier Ministre

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 11/05/2018 - 13:12
Brahim Bakar - Faudrait-il un coup de pied dans la fourmilière de la jeunesse et du sport? Salutations, les meilleures et félicitations...
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Une borne fontaine mise en service à Wanrarou

24 Heures au Bénin - Mon, 11/05/2018 - 12:58

Le maire de la commune de Bembèrèkè, Mifoutaou Salihou a procédé, ce dimanche 04 novembre 2018, à la mise en service d'une borne fontaine avec 03 robinets, réalisée par la Fondation Claudine Talon à Wanrarou. La cérémonie a connu la présence du chef dudit village, des autorités traditionnelles, religieuses et des populations.

Dans le but de soulager les peines des populations, la Fondation Claudine Talon a mis en place une borne fontaine composée de 03 robinets dans le village Wanrarou.
Rappelant que cet équipement a été réalisé dans le cadre de la construction des infrastructures dans l'école primaire publique de Wanrarou, le maire de la commune de Bembèrèkè, Mifoutaou Salihou a invité les populations de Wanrarou à en faire un bon usage.
Les autorités ainsi que les populations ont remercié le maire pour tous les efforts qu'il fournit pour le développement de la commune.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Adam dendé Affo réaffirme son appartenance à la Dynamique Républicaine

24 Heures au Bénin - Mon, 11/05/2018 - 12:55

La réforme du système partisan qui contraint les partis à opter pour la formation de grands blocs politiques a permis au Réseau Irédé de réaffirmer son choix. C'était dans la commune de Bantè devant un parterre de personnalités, autorités politico-administratives, têtes couronnées, responsables religieux, sympathisants et autres conviés à cet effet ce samedi 3 novembre 2018.
Cette messe politique a connu la présence de grands ténors de la politique de la 9ème circonscription électorale notamment Yves Gbaguidi, Henri Agassounon, l'honorable Jean Eudes Okoundé. Leur présence qui a rehaussé l'événement est un atout pour Adam Dendé Affo et ses militants dans la commune de Bantè. Ils ont salué la fusion du réseau Irédé au sein de la Dynamique Républicaine. S'adressant à la population, l'honorable Okoundé a d'abord félicité le président d'honneur du réseau et ses militants pour la qualité de la mobilisation. Il invite la population de Bantè à ne pas se laisser distraire par les intoxications. C'est le moment plus que jamais pour eux de suivre la danse pour le développement de leur commune.
Dans son adresse aux militantes et militants du réseau Irédé, le président d''honneur Adam Dendé Affo déclare : « Après différentes concertations avec les instances de prise de décisions au sein du Réseau Irédé, nous avons unanimement décidé de fondre le Réseau IRÉDÉ dans la grande famille politique dénommée Dynamique républicaine ». Il explique que le sens quotidien de son combat est en premier lieu, l'union des filles et fils des Collines surtout celle de la commune de Bantè et de Savalou. « Je mets l'accent sur Bantè parce que étant paternellement de l'arrondissement de Lougba, dans la commune de Bantè et maternellement de l'arrondissement d'Ottola, dans la commune de Savalou, où je suis né et j'y suis », précise-t-il. Adam Afficher Dende rappelle le but de son action. « Mon combat est placé sous l'égide du bonheur de nous tous car ce qui compte absolument pour moi, ce n'est pas ma propre personne mais c'est d'abord et avant tout l'avenir de la jeunesse », déclare-t-il. Ne se dérobant pas de sa vision de soutenir le chef de l'Etat et son programme d'actions, Adam Dendé Affo, martèle que « la 9e et surtout les communes de Bantè et de Savalou le soutiennent et doivent le soutenir››. Il affirme que toute son équipe est prête « pour faire le travail qu'il faut pour une large adhésion à vos idéaux, cher Président de la République ».
L'ancien directeur général de la Caa déclare haut et fort devant ses parents de Bantè son soutien indéfectible au Pag et au gouvernement et dit au Président de la République, que sa circonscription est plus que jamais engagée pour lui prouver leur fidélité. « Il convient de se joindre au chef de l'État pour l'accompagner dans son élan d'actionner les piliers qu'il faut pour une amorce du développement de notre pays puisque le Président Patrice Talon est une chance pour notre pays en ce sens qu'il offre l'opportunité à la jeunesse de se révéler et de prendre le flambeau en main », souligne-t-il. Adam Dendé Affo indique que « l'heure de la remobilisation a sonné pour les filles et fils de Bantè. Cette commune doit soutenir le Président Patrice Talon comme nous l'avions fait pour ses prédécesseurs. C'est notre Président à nous tous et nous devons le soutenir ».
Pour l'ancien directeur de la Caisse autonome d'amortissement, « Face aux problèmes récurrents d'eau, d'électricité, de manque d'infrastructures routières, dans notre circonscription, c'est seulement le Président Talon qui a la solution››.
Le coordonnateur du réseau Irédé Oscar Adognon, tout en mettant l'accent sur le soutien indéfectible du réseau au chef de l'Etat et son gouvernement, affirme que « Si aujourd'hui nous avons réussi à avoir tous ces fils de Bantè réunis ici, c'est parce qu'ils ont bon espoir que la Nation leur réserve le meilleur ».
Cette messe de Bantè a été effective grâce à toute l'équipe conduite par Adam Dendé Affo.
Giscard AMOUSSOU

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Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération reçoit l’ambassadeur des Etats Unis d’Amérique

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 11/05/2018 - 12:36
AMI - Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération reçoit l’ambassadeur des Etats Unis d’Amérique. Le ministre des Affaires...
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