J. Boukraa
Pas moins de 2.600 nouveaux cas de cancer toutes localisations confondues ont été recensés par les services de la direction de la santé durant l’année passée dont sept types de cancer très dangereux, à savoir le cancer du sein et du col de l’utérus chez la femme, le cancer des poumons et de la prostate chez l’homme, le cancer de l’appareil digestif, du colon et du rectum chez les deux sexes. Les dépistages ont une très grande importance dans la prévention de certains cancers. Ils permettent un diagnostic plus précoce de la tumeur et par conséquent la mortalité, les douleurs et les traitements parfois lourds, tels que les chimiothérapies, peuvent parfois ainsi être évités ou réduits. Le plus souvent ce n’est pas la douleur qui permet de déceler un cancer : une tumeur n’est en elle-même pas douloureuse.Ainsi et dans le cadre du plan national de lutte contre le cancer, près de 58.000 dépistages du cancer du col de l’utérus ont été effectués depuis 2016 à Oran, dont 25.000 dépistages en 2018. Les 25.000 dépistages précoces ont décelé 500 cas suspects en 2018 qui ont été pris en charge. La wilaya d’Oran compte neuf unités de dépistage réparties à travers les établissements de santé de proximité d’Oran et une unité spécialisée de lecture des scanners. D’autre part et par son incidence, le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent chez la femme avec 780 nouveaux cas en 2018 à Oran. Cette incidence est faible avant 35 ans et augmente avec l’âge.
«Avant, nous considérions que cette maladie touchait seulement les femmes qui se marient tard ou qui n’ont pas beaucoup d’enfants ainsi que celles qui n’allaitent pas. En fait, ces facteurs retrouvés dans la population occidentale ne sont pas toujours les mêmes dans notre pays», précise un spécialiste qui ajoute que «l’obésité, la contraception, la puberté précoce (avant l’âge de 12 ans), la ménopause tardive, l’absence d’allaitement, la première grossesse tardive ou l’absence de grossesse ainsi que les antécédents familiaux de cancer du sein sont les vrais facteurs qui favorisent l’apparition de cette maladie».
L’augmentation du nombre des nouveaux cas du cancer du sein chez la femme prend des proportions alarmantes à Oran. Les principaux facteurs d’augmentation de la charge cancéreuse en comprennent l’exposition accrue aux facteurs de risque connus tels que le tabagisme, la sédentarité, la mauvaise alimentation, l’usage nocif de l’alcool et la pollution environnementale. Les mutations épidémiologiques et démographiques en cours font partie des autres facteurs qui contribuent à l’alourdissement du fardeau du cancer.
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J. Boukraa
Plusieurs milliers de stagiaires ont rejoint hier les centres de formation professionnelle dans la wilaya d’Oran pour la rentrée de février 2019, marquée par la création de nouvelles spécialités. Le coup d’envoi de cette session a été donné à partir du centre de formation professionnelle Aboubakr Belkaid dans la commune de Oued Tlelat. Toutes les dispositions ont été prises par la direction de la Formation professionnelle pour le bon déroulement de cette rentrée. Près de 7.000 nouveaux postes pédagogiques ont été offerts par le secteur de la formation professionnelle à Oran pour cette session.Ces postes sont réparties sur plusieurs spécialités diplômantes et qualifiantes pour permettre à toute personne désirant acquérir des compétences lui permettant de s’intégrer dans la vie professionnelle ou d’améliorer ses connaissances professionnelles. Elles sont axées sur une formation efficace et efficiente en adéquation avec la demande du marché de l’emploi par profil et par spécialité. La direction de la Formation professionnelle d’Oran a ouvert pour la session de février de nouvelles spécialités dans le domaine du développement durable et des énergies renouvelables, des technologies du numérique et de l’industrie automobile (mécatronique auto). D’autre part, près de 240 détenus bénéficieront, dès la rentrée du 24 février d’une formation professionnelle. Les futurs stagiaires, détenus dans les établissements pénitentiaires, pourront préparer, lorsqu’ils auront purgé leur peine, à travers une formation dans des métiers manuels et techniques, leur réinsertion dans la société.
Ces détenus seront formés dans les métiers de cuisine collective, coiffure, couture, électricité, maçonnerie afin qu’ils puissent se réinsérer dans la société Les statistiques fournies par l’Agence nationale de l’emploi (ANEM) font ressortir que plus de 80% des diplômés de la formation professionnelle trouvent un emploi et que plus de 60% des porteurs de projets au niveau de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) sont des diplômés de la Formation professionnelle. Afin d’améliorer les conditions de prise en charge des stagiaires et leur encadrement devant la hausse persistante de leur nombre, le secteur de la Formation et de l’enseignement professionnels de la wilaya d’Oran sera renforcé prochainement par sept nouveaux établissements de formation qui sont en cours de réalisation.
Ils auront une capacité pédagogique globale de 2.050 postes et une capacité d’internat de 540 lits. Les projets connaissent un taux d’avancement très appréciable qui varie entre 50 et 100%, à l’exception du centre de formation et de l’enseignement professionnel de Sidi-Chahmi. Les CFPA sont répartis sur plusieurs communes de la wilaya, à l’instar de Mers El-Hadjadj, Boufatis, Sidi-Chahmi, Sidi El-Bachir et Endejma. Les deux instituts nationaux spécialisés sont implantés dans la localité de Belgaïd et à Béthioua. La réception de ces structures accroîtra la capacité d’accueil et permettra de réaliser une stratégie de rapprochement des établissements de formation et enseignement professionnels des citoyens. Le secteur dispose actuellement de quatre instituts nationaux spécialisés, un institut d’enseignement professionnel, et 19 CFPA et deux annexes. Le nombre devra atteindre 33 structures de formation après la réception des nouveaux centres.
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J. Boukraâ
Dans le cadre des opérations de volontariat pour l’amélioration du cadre de vie, l’embellissement de la ville et l’éradication des points noirs, par l’enlèvement des déchets ménagers et des déchets inertes des espaces publics et les groupements citadins, la cellule de protection de l’environnement a effectué une vaste opération de traitement des points noirs. Selon un communiqué de la wilaya, cette opération s’est soldée par la collecte de plusieurs tonnes de déchets dont 430 sacs de plastiques remplis de bouteilles, d’herbes et autres déchets et 64 tonnes de déchets inertes. L’opération qui a touché les boulevards limitrophes des 3ème et 4ème périphériques, les RN 2, 04 et 11 et l’annexe d’El Amir, Sidi El Houari et Hai Bouâmama, relevant de la commune d’Oran a permis l’éradication de 2 points noirs.L’action a été menée en application des directives du wali d’Oran et dans le cadre des campagnes de traitement hebdomadaires initiées pas le cabinet du wali, selon la même source. «Ces déchets ramassés ont été acheminés au centre d’enfouissement technique. Pour le bon déroulement de l’opération 04 camions de 18 et 2,5 T ont été mobilisés et quelque 83 agents communaux» a ajouté la même source. L’action entre dans le cadre des opérations menée par la cellule de l’environnement créée, fin 2017, suite aux instructions du wali.
Depuis, un programme de nettoiement a été établi par les services de la wilaya avec la collaboration de multiples acteurs notamment des agents et des cadres des communes, des citoyens et du mouvement associatif (association de la protection de l’environnement et àcaractère sportif). Il s’agit d’une nouvelle dynamique dans laquelle le citoyen est, désormais, un partenaire à part entière en jouant pleinement son rôle dans toute action de sauvegarde et de promotion de l’environnement.Cependant faut-il signaler que toutes sortes de déchets continuent d’être jetées dans la nature, à commencer par les matériaux de construction, le plastique, ainsi que d’autres produits toxiques. Jetés par les particuliers comme par les entreprises, ces déchets composés d’ordures ménagères et de déchets inertes continuent de porter atteinte à l’environnement. A Oran, le phénomène des déchets ménagers se pose toujours.
Cette situation n’est pas due aux manquements des services de nettoiement mais à l’incivisme de certains citoyens qui continuent de jeter leurs ordures n’importe où et à n’importe quelle heure. Les services concerné avaient, à maintes reprises, lancer un appel aux habitants pour respecter les mesures visant améliorer l’hygiène publique et faciliter la tâche aux agents de nettoiement. Les responsables de nettoyage reprochent aux citoyens de ne pas respecter les horaires de ramassage des ordures, et surtout de jeter anarchiquement leurs déchets, ce qui complique le travail des agents de nettoyage.
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K. Assia
Conformément aux directives du ministre de l’Habitat, des brigades ont été installées pour le recensement de tous les appartements non exploités et en sous-location au niveau des grandes cités qui ont connu d’importantes opérations de relogement, apprend-on de sources de l’office. Ce travail est mené en collaboration avec les services de Sonelgaz et la SEOR de même que des gérants de sites inoccupés ont été également désignés. Le but de cette opération est de démasquer tout contrevenant à la règlementation. Selon nos sources, des mises en demeure seront adressées aux bénéficiaires de logement depuis plusieurs années mais qu’ils n’ont jamais occupé ou qu’ils louent à des tierces personnes.L’OPGI a programmé la réception et la distribution de 14.800 logements toutes formules confondues au courant de cette année, de quoi répondre aux attentes de la population notamment les bénéficiaires des décisions de pré-affectation. Les commissions de daïra ont été avisées afin de procéder à l’étude des dossiers pour l’élaboration des listes des bénéficiaires et prendre également en charge les demandes de recours. Dans la localité de Boutlélis, un important quota de 700 logements publics locatifs totalisant 16 projets est en voie d’achèvement ce qui permettra de livrer le chantier dans les délais. Toujours dans le cadre de l’éradication du vieux bâti, quatre secteurs urbains dont El Amir, El Hamri, El Makkari et El Mokrani sont concernés par l’opération de relogement des détenteurs de décisions de pré-affectation.
Les services de l’OPGI ont également prévu d’en finir avec l’ancien programme du LSP avec la distribution de 100 logements LSP au profit du corps de la sûreté nationale réparti comme suit, 50 unités LSP à El Kerma et 50 autres à Oued Tlélat. Pour ce qui est du LPA, 440 logements seront également distribués. Par ailleurs et en vue d’améliorer le rapprochement du citoyen de l’administration et surtout prendre en charge les préoccupations des Oranais, l’office a été chargé de réaliser une tranche de 500 logements LPA dans sa nouvelle version au pôle Ahmed Zabana. Le projet en cours d’étude sera lancé au courant du premier trimestre, affirme-t-on. D’autre part, un projet pilote de 150 logements de type locatif promotionnel LLP sera lancé à Bir El Djir une fois l’entreprise désignée.
En matière de réhabilitation des immeubles lancée par les services de l’OPGI, l’office a programmé la réception de neuf immeubles situés au centre-ville en plus de trois autres au niveau de la pêcherie. Par ailleurs, 6.000 dossiers ont été régularisés dans le cadre de la cession des biens de l’Etat ce qui a permis de recourir à la justice et de régler par là même plusieurs conflits.
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Khaled Boumediene
Les sources thermales de Sidi-Abdelli (daïra de Bensekrane) et Chigueur (commune de Maghnia) ont été octroyées en concession dans le cadre de la promotion du tourisme thermal, a indiqué le wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, à l’assemblée populaire de la wilaya (APW).«Afin d’exploiter ces deux sources thermales disponibles dans notre wilaya pour la concrétisation des projets touristiques et la promotion du tourisme interne, je viens juste de signer deux arrêtés de concession à des investisseurs privés après des études minutieuses de leurs dossiers par une commission intersectorielle composée des responsables du Tourisme, de la Santé et des Ressources en eau», a précisé M. Benyaiche.
Ces deux projets contribueront à la création de nombreux postes d’emploi dans la wilaya. Dans le cadre de la réalisation de ces projets, le wali a exhorté les autorités et les élus des deux communes à prendre en charge les loisirs et l’environnement par la création d’espaces de divertissement pour attirer les visiteurs.
Le chef de l’exécutif a appelé les maires à ouvrir le champ devant les entreprises économiques privées ou publiques et les encourager à investir pour créer de la richesse et de l’emploi. «Toutes les facilités administratives et fiscales doivent être accordées aux opérateurs économiques et à tous les jeunes porteurs de projets pour promouvoir l’investissement local dans la wilaya».
Dans le même contexte, M. Benyaiche a souligné devant les membres de l’APW, qu’il a été procédé à la relance des travaux d’aménagement de la zone d’activités d’Ouled Ben Damou à Maghnia qui s’étend sur 103 hectares (61 lots attribués à 43 investisseurs), pour une enveloppe financière de 1,7 milliard de dinars. Une zone industrielle de 300 hectares a été créée à El-Aricha dans la daïra de Sebdou avec un coût global de 4,5 milliards de dinars. Sept zones d’activités sont aménagées sur une superficie totale de 152,37 hectares pour 2,43 milliards de dinars (le taux d’avancement est de 80%).
Il a précisé dans ce contexte que ces mesures prises par la wilaya ont permis d’élever le nombre de lots de terrain à 895, afin de concrétiser les projets d’investissement. Près de 67 dossiers sur 219 déposés durant l’année 2018 ont été approuvés par la wilaya. Quelque 65 projets d’investissement sont en cours de réalisation et près de 87 lots de terrain (63 ha) ont été attribués. Le coût de ces investissements et projets touchant à différentes branches d’activité est de l’ordre de 42,4 milliards de dinars. Le nombre de postes d’emploi attendu est estimé à 5681 postes.L’on notera dans ce cadre la réalisation d’une usine spécialisée dans la mécanique de précision dans le domaine automobile, médical et électronique dans la commune de Béni-Boussaid (Zouia) ; une unité de production de pare-brises par la sarl Agro-pal à El-Aricha ; une unité de production d’espèces halieutiques destinées aux diabétiques et à l’exportation à Tlemcen ; l’extension de l’unité Biomil spécialisée dans le lait infantile en poudre à Tlemcen. Ces réalisations devront générer, selon nos informations, plus de 6000 emplois directs.
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El-Houari Dilmi
Datant de plusieurs années, des projets d’hôtellerie initiés par des investisseurs privés n’ont toujours pas vu le jour, malgré les nombreux avantages accordés à leurs promoteurs.En effet, région touristique par excellence, accueillant de nombreux sites historiques et archéologiques à l’exemple des grottes d’Ibn Khaldoun à Taoughazout, les monuments funéraires berbères «les djeddars» ou encore la bibliothèque Jacques Berque, la ville de Frenda, l’un des plus importants chefs-lieux de daïras de la wilaya, accuse un déficit flagrant en matière d’infrastructures hôtelières.
Et pour tenter de faire bouger les choses, le bureau local de l’académie de la société civile vient d’adresser une lettre sous le sceau de l’urgence au ministre du Tourisme pour exposer la situation faite aux deux hôtels en projet depuis de nombreuses années mais qui n’ont toujours pas vu le jour.Dans leur lettre, les membres de l’académie de la société civile de Frenda attirent l’attention sur le cas de l’ancien hôtel de la ville confié à un investisseur privé pour sa rénovation. «L’ancien hôtel a été rasé et rien n’a poussé à sa place», alertent-ils dans leur lettre au ministre du Tourisme.
«De nombreux touristes nationaux et étrangers viennent visiter la région de Frenda, mais faute de structures d’hébergement, ils font vite de quitter la ville», écrivent encore les membres de la société civile de Frenda dans leur missive, dont une copie a été adressée au wali et aux élus des deux chambres du parlement.
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Abbad Miloud
Une journée portant sur les principales mesures introduites par la loi de finances 2019 ainsi que ses nouvelles dispositions s’est tenue en fin de semaine à la maison de la culture de Chlef. Elle a été organisée par la chambre de commerce et d’industrie de la wilaya.La journée a vu la présence du wali et a regroupé les directeurs de l’exécutif de la wilaya, les chefs de daïras, les élus, des opérateurs économiques et d’autres invitées.
Elle a été animée par trois cadres supérieurs, de la direction générale des impôts, du ministère des Finances et de la direction des douanes algériennes.
Les caractéristiques de cette loi ont été mises en exergue, à savoir aucune augmentation d’impôts, pas de nouvelles taxes, stabilité des prix de l’électricité, du gaz, des carburants, de l’eau, du pain, du riz des aides sociales qui se manifestent par le soutien à l’habitat, aux familles, aux retraités, la santé, les démunis.
D’autres mesures prises dans le cadre des nouvelles dispositions de la loi de finances pour 2019 ont été également présentées. Parmi ces dispositions l’on cite l’encouragement à l’investissement et la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale.
Les communications ont été suivies en fin de journée d’un large débat au cours duquel les opérateurs ont formulé leurs préoccupations. Ils ont également émis des propositions visant à éliminer les contraintes rencontrées dans leurs activités quotidiennes. Les opérateurs ont salué cette initiative et ont souhaité voir se multiplier les séminaires d’explication tendant à la vulgarisation des textes.
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Belkecir Mohamed
Le développement local dans la région d’Aïn Ferrah relevant de la daïra de Oued Abtal ne semble pas évoluer assez rapidement aux yeux de la population soucieuse du respect des échéances de l’exécution des programmes avec leurs différents équipements. Les opérations inachevées commencent à poser un problème inquiétant les citoyens qui se plaignent de la lenteur des travaux alors que sur d’autres chantiers les travaux n’ont même pas commencé.A cet effet, les habitants interpellent les autorités pour dépêcher une commission afin d’enquêter sur la nature et l’évolution de toutes les opérations initiées pour améliorer les conditions de vie de la population et qui n’ont pas encore vu le jour.
S’agissant d’une commune déshéritée, il t perceptible dans cette localité qui a besoin d’être désenclavée.
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L'interdiction de marcher et la rencontre programmée ce jour avec le chef de l'Etat, Patrice Talon mettent en lambeau la cohésion au sein de l'opposition béninoise. Ces deux faits sont relatives à l'organisation des prochaines législatives pour lesquelles les dossiers de certains partis de l'opposition n'ont pas encore reçu le certificat de conformité.
Tout est confu. Le virus de la discorde a infecté l'opposition béninoise. Elle semble être divisée et ne parle plus le même langage. Les nerfs sont tendus. Aucun consensus. Chacun défend son égo. Ridicule mais vrai. Déjà samedi dernier, le préfet par intérim du Littoral conformément au respect des textes a demandé à l'opposition de sursoir à la marche programmée pour ce lundi puisque ne respectant pas les textes. En plus de cela, la rencontre pressante avec le chef de l'État aux fin de trouver un consensus. Alors que certains partis appellent au boycott, d'autres n'entendent pas s'y conformer. Dans le rang de cette opposition fragile, certains soutiennent l'initiative voulue d'ailleurs par l'opposition elle-même ou du moins certains leaders. Mais d'autres, par contre, y voient plutôt un piège que doivent éviter les forces politiques de l'opposition. Ce qui est désormais clair est que les partis n'arrivent plus à parler d'une seule voix. Ce qui d'ailleurs semble normal puisque ce qui les réunit n'est que de l'opportunisme car dans un passé récent, les amis d'aujourd'hui en opposition au gouvernement n'étaient que des ennemis à l'instar de chien et chat. Comme pour dire que tout ce qui n'a pas une base solide ne peut résister au vent. En attendant la rencontre avec le chef de l'État, il faut dire que le compte à rebours commence au sein de l'opposition béninoise. Il est clair que les soucis des partis de l'opposition vont grandissants puisqu'aucun d'eux ne sait le sort qui lui est réservé notamment pour la participation ou non aux prochaines élections législatives.
Les différentes manifestations de colère qui se font en rangs dispersés révèlent ainsi le vrai visage de cette opposition au gouvernement Talon. Comme l'a dit le Christ Jésus à travers les saintes écritures " Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister " (Matthieu 12:25).
G.A.
A. El Abci
«Le secteur de la Formation professionnelle, doit impérativement, s’appuyer sur la formation en rapport avec les secteurs d’activité classés prioritaires, à l’instar du Tourisme, de l’Agriculture et de l’Industrie pour réussir l’avènement d’une économie alternative aux hydrocarbures ».C’est ce qu’a déclaré, hier, à Constantine le ministre de la Formation professionnelle, Mohamed Mébarki, qui a effectué une visite de travail et d’inspection à son secteur, dans la wilaya, et donner le coup d’envoi de la rentrée officielle de son secteur, à partir du nouvel Institut de la formation professionnelle de Ali Mendjeli, qu’il a inauguré.
Institut spécialisé qui a été baptisé, à l’occasion, par le ministre du nom du moudjahid ‘Zitoun Abdelmadjid’.
Le ministre a, également insisté, dans son discours, sur la nécessité de développer les spécialités stratégiques pour la concrétisation de cet objectif, de même qu’il a parlé de la nécessité d’intégrer tous les inscrits dans les différentes spécialités offertes et en conformité avec les demandes du marché du travail.
Le ministre n’a pas manqué de mettre l’accent sur la disponibilité suffisante en encadrement et en équipements et matériels pédagogiques, se félicitant des efforts réalisés par son secteur, dans la wilaya de Constantine, qui avec ses 24 établissements de formation, estime-t-il, répond à l’essentiel des demandes même s’il faut persévérer dans ce domaine pour plus de création d’emplois. L’hôte de la ‘Ville des ponts’ a, ensuite, assisté à la signature de conventions avec la Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM), pour la relance et la préservation du patrimoine, ainsi qu’avec des opérateurs dans le secteur du Tourisme et du FCE et la Confédération algérienne du patronat (CAP).Avec pour objectif de mettre sur le marché du travail une main-d’œuvre formée et spécialisée, dans la wilaya. Cette cérémonie a été suivie par la distribution de décisions de financements à des porteurs de projets issus des centres de formation. Le ministre s’est rendu ensuite au CFPA du pôle urbain de Massinissa.
Pour la rentrée de cette session de février, les offres de formation sont de 4.300 postes pédagogiques, mais ce chiffre a été largement dépassé par celui des demandes et des inscriptions définitives, à savoir 4.750 stagiaires, selon la directrice du secteur de la wilaya, Rahima Zénati.
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La neige sera de retour ce soir sur les reliefs dépassant les 1000 mètres d’altitude au Centre et à l’Est du pays, indique le bulletin météo spécial.
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A. Z.
Le drame a été évité par miracle, hier matin, lorsqu’un pan du parapet d’un couloir du bâtiment n°1, de la cité Benboulaïd. s’est effondré. Cet incident, qui aurait pu avoir des conséquences irréparables, des dégâts humains plus importants, a poussé les habitants à investir la rue et bloquer la circulation routière sur le tronçon de la cité Benboulaïd (près de la mosquée). Inquiets et en colère, les habitants ont exigé la présence des autorités locales pour leur trouver une solution urgente. D’après des témoins, c’est le maire de Constantine qui s’est déplacé sur les lieux pour discuter avec les habitants, et les convaincre de libérer la voie devant les automobilistes, leur promettant une prise en charge de leurs préoccupations. Pour sa part, le président de l’Association de quartier El Hayat’, Mourad Belarbi, a rappelé, dans ce sillage, qu’un pan du couloir s’est effondré, au mois de juillet, blessant un enfant. Il a affirmé que les habitants vivent avec la peur au ventre de voir un jour des murs s’écrouler sur leurs enfants qui jouent tout le temps, au pied du bâtiment. Non sans déclarer avec ironie que lors des fêtes, les habitants évitent de danser trop fort de peur de tomber chez le voisin du dessus ! Ces habitations qui tombent en ruine méritent toute l’attention des autorités locales qui doivent soit les réhabiliter ou évacuer en urgence, leurs occupants, a encore estimé notre interlocuteur.The post Effondrement partiel à la cité Benboulaïd appeared first on .
A. Z.
Les policiers de la 5e Sûreté urbaine de Ali-Mendjeli ont arrêté récemment un individu de 28 ans pour implication dans un délit de violation de domicile, menace à l’arme blanche et prise de photos sans le consentement de la personne photographiée avec menace de les poster sur facebook. Suite à un appel téléphonique d’un habitant de l’U.V n° 18 faisant état de la violation d’un domicile par un individu qui a utilisé un engin (Clark) pour s’élever jusqu’au balcon et pénétrer dans l’appartement, les policiers se sont immédiatement rendus sur les lieux, qu’ils ont pris soin d’encercler, avant de se rendre dans l’appartement en question, où ils arrêteront le coupable en flagrant délit, indique un communiqué de la cellule des relation publiques de la Sûreté de wilaya. La femme qui se trouvait dans l’appartement signalera aux policiers, sur place, que le mis en cause avait pris des photos d’elle, tout en la menaçant de les publier sur facebook si elle refuserait d’obéir à ses ordres. Sur le champ, la fouille préventive du suspect permettra de découvrir en sa possession une arme blanche et un téléphone portable contenant des séquences vidéo de la victime. Une fois les procédures pénales achevées, le mis en cause a été présenté devant le procureur de la république territorialement compétent, indique la même source.The post Violation de domicile et menace à l’arme blanche, une arrestation appeared first on .
Ali Chabana
La 1ere session ordinaire criminelle de la cour de justice de Tébessa, pour l’année judiciaire 2019, a débuté hier dimanche et aura à traiter 46 affaires enrôlées, parmi lesquelles des affaires liées à l’enlèvement et atteintes aux mœurs, des affaires criminelles de constitution d’association de malfaiteurs, puis les affaires d’adhésion, soutien, financement et apologie de groupes terroristes. Un réseau de trafiquants de drogue constitué de 7 éléments, dont une femme et son mari, seront appelés à la barre, devant le tribunal criminel. La session aura également à juger une affaire dans laquelle sont citées 8 personnes, dont des élus et fonctionnaires et l’ex P/APC de la commune de Negrine, 160 kilomètres au sud de la wilaya de Tébessa. Ceux-ci sont impliqués dans des affaires de faux et usage de faux, dilapidation de deniers publics, conclusion de marchés non réglementaire, durant l’exercice de leurs fonctions.The post Tébessa: La session criminelle a débuté hier appeared first on .
Le pont de Porto Novo a été bloqué pendant plusieurs heures dans la matinée de ce lundi 25 février 2019, par les militants de l'Union Sociale Libérale (USL) et autres manifestants. Le refus du ministère de l'intérieur de leur délivrer le certificat de conformité à leur parti est le motif de cette manifestation.
Les militants de l'Union Sociale Libérale (USL) protestent contre la non délivrance de certificat de conformité à leur parti par le ministre Sacca Lafia. Tous mécontents, ils exigent l'établissement de ce certificat sans délai à tous les partis politiques de l'opposition. Les manifestants réclament aussi la délivrance de quitus fiscaux aux opposants. Cette manifestation a engendré un grand embouteillage obstruant le passage sur le pont de Porto-Novo et dans la ville.
La situation a été rétablie grâce à l'intervention des forces de sécurité qui ont fait usage de coups de feu et de gaz lacrymogène.
Les manifestants exigent une élection inclusive de toutes les forces politiques de la mouvance et de l'opposition dans le cadre des législatives du 28 avril 2019.
Ce mouvement fait suite à la non délivrance de certificat de conformité à certains partis de l'opposition dont les dossiers ne sont pas à jour.
Akpédjé AYOSSO
Ali Chabana
Le programme initié par la conservation des forêts de la wilaya de Tébessa a permis à 29 femmes de bénéficier de projets dans la filière apicole et ce, en 2018.Durant la même année, 663 jeunes investisseurs s’étaient vu accorder des ruches pleines et autres accessoires. Ce programme démarrera en avril prochain, par un cycle de formation, au profit des bénéficiaires, les futurs apiculteurs, formation organisée par le fournisseur, la coopérative d’apiculture de Hammamet. Au cours des dernières années, la wilaya de Tébessa a connu une hausse notable de sa production de miel, passant de 500 à 1.100 quintaux.
Quant au prix de revient encore élevé, ce qui a induit une incidence sur le prix de vente du kilo qui a grimpé, passant du simple au double (2000 DA à 4000 DA). Les conditions climatiques (sécheresse), la prise en charge médicale des colonies d’abeilles, leur transport, constituent une charge en plus devant les éleveurs-producteurs, ceux-ci demandent que l’aide de l’Etat devra aller dans ce sens-là, afin que les concernés minimisent le plus leurs pertes, et ainsi les encourager à augmenter la production.The post Un programme pour le développement de l’apiculture appeared first on .
Plus de 40.000 migrants ont été rapatriés de la Libye, depuis 2015, dans le cadre du programme « Retour volontaire » de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
« Quelque 17.500 migrants en situation irrégulière ont pu rentrer dans leurs pays en 2018 », a précisé l’OIM dans un rapport publié par les médias Libyens. Ces migrants sont originaires de 32 pays d’Afrique et d’Asie, précise le rapport, qui relève que ces chiffres n’incluent pas les migrants pris en charge par le Haut- commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).The post Libye : plus de 40.000 migrants rapatriés depuis 2015 appeared first on .
Invité sur l'émission Zone franche de ce dimanche 24 février, Clotaire Olihidé, membre fondateur du Parti républicain a donné sa lecture sur le certificat de non conformité délivré par le ministre de l'intérieur aux partis de l'opposition. Il impute cette situation à la légèreté des opposants au régime Talon.
« Le contexte actuel est standard (...) Nous sommes à la veille de l'élection et elle ne peut y être sans un minimum de remous », a déclaré Clotaire Olihidé.
Le militant du Parti républicain appuie son argumentaire sur les nouvelles dispositions des lois. « Il y a une grande nouveauté. Deux nouvelles lois et l'organisation des élections. Ces lois induisent de nouveaux comportements, de nouveaux actes pour la bonne marche des prochaines élections », indique Clotaire Olihidé. Il précise quant à la non conformité des partis de l'opposition que « Si on arrive à vivre cette situation, c'est parce que certains acteurs de l'opposition ont minimisé ce combat. Vous aurez beau mené les combats politiques mais le combat juridique vous attend. Certains ont été rattrapés par ces faits. Au lieu de prendre le temps de bien lire ces lois, ils ne l'ont pas fait et se fient au combat politique et aujourd'hui par négligence, ils sont rattrapés ».
Olihidé explique que « Quand vous prenez la charte, elle fait obligation à tous les partis de faire une déclaration administrative ou vous déposez un certain nombre de dossier au ministère. C'est le ministère qui va étudier le dossier et s'assurer au bout de deux mois que les pièces sont à jour. Si tel est le cas, le ministre vous délivre un récépissé provisoire ». Pour lui, « Depuis la date du 17 septembre, date de promulgation de la charte, les nouveaux partis peuvent se créer conformément à la charte. Les anciens partis peuvent se mettre en conformité et ont jusqu'au 15 mars pour se conformer. Le problème est que la loi reste muette sur l'acte matériel qui sanctionne la mise en conformité. C'est ce silence qui fait que le juge constitutionnel a statué pour dire qu'il peut délivrer un certificat de conformité ». La solution est donc trouvée puisqu'il soutient que « Lorsqu'il y a une loi qui est muette sur un aspect, il y a deux issues. La première est la relecture de la loi pour corriger et le second, c'est le juge constitutionnel qui est saisi et il donne l'orientation. Si le juge ne règle pas ce problème, il y aura un problème sérieux avec la loi. C'est ce qui fait que ceux qui ont créé de nouveaux partis ont reçu leur quitus. Si les anciens ont dissous leur parti et créer un autre, il n'y aura pas de problème ».
Pour Clotaire Olihidé, « Maintenant, il faut voir si ce qui est reproché est fondé. Depuis que la loi a été votée, ils doivent savoir qu'ils vont se mettre au pas. S'ils ne l'ont pas fait alors, ils l'ont voulu. On ne doit pas s'en prendre au ministre mais plutôt à celui qui au lieu de se mettre en règle au plus tôt ne l'a pas fait ». A l'en croire, « Si vous savez qu'il y a une élection et il faut se préparer, je dois vite me préparer pour ne pas avoir de problème. C'est heureux que le juge contentieux ait trouvé une solution sinon on ira aux élections avec des partis qui ont une existence légale et d'autres qui n'ont pas une existence légale ». Mais le républicain bon teint semble dire que « Ce n'est pas souhaité que dans un pays ou il y a l'opposition, qu'on aille aux élections sans l'opposition ». Il souligne par ailleurs qu' « il fallait aussi que cela se passe sans ignorer les textes. A partir du moment où il y a un texte, il faut que tout le monde s'y conforme. Et on ne va pas tordre le cou à la loi pour des gens qui ne veulent pas se conformer ». Dans ce cas, il faut l‘aider à avoir d'autres ouverture.
« Quel que soit l'accord, cela ne serait valide tant que ça ne rentre pas en conformité avec une loi. Tous les acteurs ont fini par comprendre l'opportunité de ce quitus fiscal. Si vous devez aux impôts vous payez. Cela a ses avantages et ses inconvénients. Si vous êtes en règle, vous aurez votre quitus et si vous n'êtes pas en règle vous ne l'avez pas », explique Clotaire. Il exhorte chacun à la sérénité et invité les opposants à se conformer à la loi puisque selon lui, ils ont encore une marge de manœuvre. Celle de saisir la juridiction compétente. « Faisons en sorte que chacun joue sa partition pour qu'on trouve une solution et on s'en passe », souligne-t-il.
Le militant du Parti républicain n'a pas manqué de se prononcer sur le limogeage du préfet de Littoral et du ministre Dassigli qui pour lui participe à la volonté du chef de l'État de lutter contre la corruption.
Giscard A.
D. B.
En application des dernières instructions du wali d’Oran, relatives à la démolition des immeubles et autres espaces désaffectés pour éviter leur squat et pour récupérer les assiettes foncières, les services de la commune d’Oran ont lancé une opération de démolition de certains immeubles, au centre-ville, a-t-on appris, hier, de sources proches de l’APC d’Oran.Il s’agit, selon nos sources, des immeubles très vétustes désaffectés, depuis plusieurs années et qui ne sont pas inscrits dans le programme de réhabilitation des immeubles du centre-ville. A ce titre et selon nos sources, l’opération a été lancée à partir du quartier Miramar’ où trois anciennes bâtisses ont été démolies ainsi qu’un grand local d’une société dissoute. Une autre opération a ciblé un immeuble situé sur une des artères adjacentes du boulevard Larbi Ben mhidi.
Nos interlocuteurs indiquent que la priorité a été accordée aux immeubles qui présentent un réel danger pour les passants et pour les immeubles mitoyens. Outre le centre-ville, nos sources indiquent qu’une dizaine d’immeubles désaffectés sont programmés pour la démolition, dans les prochains jours, à Haï Derb. L’opération fait suite aux dernières instructions du wali qui a insisté sur le lancement des démolitions, en perspective de la récupération d’assiettes foncières, et pour barrer la route à d’éventuels squatters.
D’ores et déjà, cinq immeubles désaffectés ont été démolis, après une première opération de relogement qui a ciblé 300 familles, l’année dernière. Les immeubles qui n’ont pas encore été démolis ont été complètement emmurés et leurs escaliers détruits. D’autre part et selon nos sources, pour annihiler toute tentative de réoccupation des habitations désaffectées après le relogement, une commission composée de représentants des secteurs urbains, accompagnés d’éléments de la police sillonne l’ensemble des quartiers ayant connu des relogements.Des inspections sont effectuées, régulièrement, notamment dans les habitations qui ont été emmurées pour constater si elles ont été de nouveau squattées. Signalons que plus d’une quarantaine d’immeubles, évacués après les derniers relogements, ont été démolis, dans plusieurs quartiers de la ville, depuis le début de l’opération, en 2014. Les démolitions se poursuivent toujours et cibleront plus d’une centaine d’immeubles répartis sur plusieurs quartiers.
Contrairement aux précédentes opérations de relogement, les services de l’OPGI et des APC ont entamé la démolition des immeubles désaffectés. Dans ce contexte et suite au relogement des 400 familles de Haï Snaouber, le site en question a été, entièrement rasé et d’autres actions ont ciblé la cité DNC et Bab El Hamra. De son côté, l’OPGI d’Oran, suite au relogement des occupants des immeubles du vieux bâti, effectué le 21 juin 2014, avait démoli des immeubles évacués dans les secteurs urbains de Sidi El Houari, El Mekkari, El Amir, El Mokrani, Es-Seddikia, Sidi El Bachir et El Badr. Toutefois, les immeubles menaçant ruine, évacués de leurs occupants et non démolis, présentent, actuellement, un grand danger pour la sécurité des riverains et des passagers et risquent de s’effondrer à tout moment.
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C’est au cours des festivités officielles du double anniversaire de la création de l’Union Générale des Travailleurs Algériens et de la nationalisation des hydrocarbures (24 Février) qui ont eu lieu à la wilaya d’Adrar, où le même responsable a affirmé que «nous voulons l’homme historique, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et chacun a le droit de choisir son candidat».
Il a salué, dans ce contexte, «les efforts déployés par M. le président de la République, Abdelaziz Bouteflika», tout en citant les grands projets menés au cours des quatre mandats, ainsi que la réalisation des futurs projets qui accélèreront, selon lui, le développement économique. Sidi Saïd est revenu sur la situation sécuritaire réitérant les efforts fournis en matière de restauration de la paix, la stabilité et la réconciliation nationale. «La restauration de la paix est un trésor que tous les pays veulent trouver», a-t-il ajouté. «Si la paix règne dans notre pays, c’est grâce à cet homme», a-t-il insisté.
Le Secrétaire Général de l’UGTA a assuré, par ailleurs, que «le président de la République n’a jamais refusé de soutenir et d’aider l’Union Générale des Travailleurs Algériens». «En revanche, on ne doit pas oublier ses sacrifices, ses efforts et son soutien», a-t-il ajouté. M. Sidi Said a, à ce propos, répondu aux partis sans citer leurs noms, qui veulent, selon lui, «allumer le feu». «Vous voulez que l’Algérie revienne à l’époque où il n’y avait que du sang et des larmes ? Vous voulez que notre pays revienne au temps des maisons et des usines brulées ?», a-t-il poursuivi, tout en rappelant que la période de la décennie noire n’était pas facile à surmonter. «Non à la Fitna, non à la Fitna», a-t-il répété avec un ton agressif. Il est utile de rappeler que la nationalisation des hydrocarbures, il y a 48 ans, a permis à l`Algérie de reprendre le contrôle de ses ressources naturelles et de récupérer sa manne pétrolière, tout en ouvrant la voie aux grands chantiers de développement socio-économique du pays.
Annoncée par feu Houari Boumediene le 24 février 1971 à la Maison du Peuple à Alger, siège de l`Union générale des travailleurs algériens (UGTA), cette décision historique a mis sur les rails le processus de développement économique et social du pays. La teneur de cette décision: l`acquisition par l`Algérie, après un long processus de négociations entamé en 1967, d`au moins 51% des intérêts des sociétés concessionnaires françaises qui opéraient dans le sud du pays où activaient également d’autres grandes multinationales (BP, Esso, Shell, Mobil…). La décision de nationalisation a été suivie d`une ordonnance signée le 11 avril 1971 promulguant la loi fondamentale sur les hydrocarbures, qui définissait ainsi le cadre dans lequel devrait s`exercer, dorénavant, l’activité des sociétés étrangères en matière de recherche et d`exploration des hydrocarbures.
A la faveur de cette décision stratégique, l’Algérie est arrivée à détenir au moins 51% des intérêts des sociétés concessionnaires françaises comme CFPA, Petropar, SNPA, Coparex et autres Omnirex, Eurafrep et Frabcarep. Tous les intérêts miniers portant sur les gisements de gaz naturel ainsi que l`ensemble des intérêts détenus dans les sociétés de transport d’hydrocarbures ont également été nationalisés ce 24 février 1971. Le règlement définitif des différends résultant de cette décision est intervenu par la signature, le 30 juin 1971 entre Sonatrach et CFPA, et le 13 décembre de la même année entre Sonatrach et ELF-ERAP, d’accords sur les nouvelles conditions régissant leurs activités en Algérie.
Soumeya Lalaoui
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