A l’occasion de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN-2019) de footbal, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, a reçu aujourd’hui le chef de l’Etat par intérim, Abdelkader Bensalah . Bensalah et al-Sissi ont exprimé leur grande satisfaction de la nature privilégiée et exceptionnelle des relations bilatérales, enracinées dans l’histoire de la lutte […]
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L’Office national des examens et des concours (ONEC) a mis à la disposition des candidats un site internet (bac.onec.dz) via lequel ils pourront accéder à leurs résultats. Les résultats du Baccalauréat sont disponibles par ➡️ ici ⬅️
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L'exception d'inconstitutionnalité soulevée par la défense de l'ex premier ministre, Lionel Zinsou dans le dossier de dépassement des fonds de campagne qui l'oppose à la justice béninoise, est en phase d'être rejetée par la Cour constitutionnelle. A la suite de l'audience publique de ce jeudi 18 juillet 2019, la Haute juridiction dans son rapport, a décidé d'une fin de non recevoir à la requête du bâtonnier Robert Dossou, avocat de Lionel Zinsou.
Le dossier N°1101/198/Rec-19 afférent à l'exception d'inconstitutionnalité soulevée par Me Robert Dossou pour refus de communication de pièces et violation de la présomption d'innocence n'a donc pas abouti. Dans son analyse, la Cour se fondant sur l'article 122 de la Constitution du 11 décembre 1990, a estimé que l'exception d'inconstitutionnalité soulevée est inopérante en ce qu'elle vise en l'espèce la sanction de la violation d'un droit de la défense qui relève plutôt de la compétence des juridictions ordinaires.
Ainsi, la demande formulée par la défense de Lionel Zinsou ne porte sur la violation d'aucune loi. Prononçant l'irrecevabilité de la demande, la Cour a ordonné la poursuite du procès devant le Tribunal de première instance de première classe de Cotonou.
F. A. A.
Le parfait règlement de compte CTS Sciences Juridiques et Politiques (SJP)
De nombreux observateurs ont été surpris de la violence des sanctions infligées contre des professeurs titulaires de l'Afrique de l'Ouest sous la férule du SG CAMES avec sur fond de complicité active et passive de nos grands ministres de l'enseignement supérieur. Les sanctions contre la professeure Dandi GNAMOU qui n'a pas fauté plus ou moins que le professeur KOKOROKO cachent mal l'acharnement sexiste : rétrogradation et trois ans d'inactivité au CAMES. Lorsqu'on se rend compte que l'auteur de la plainte n'est rien d'autre que l'ex compagnon délaissé de la professeure Dandi GNAMOU, on se demande comment le CAMES peut se transformer en un violent et injuste instrument de règlement de compte. D'emblée, du CAMES, du ministère de l'enseignement supérieur ou de l'université, qui est compétent pour apprécier la régularité d'une soutenance de thèse co-dirigée ? Les thèses ont -elles été co-dirigées effectivement et soutenues ? Dès lors que le Président de l'Université de Lomé a certifié régulières les co-directions et les soutenances, le débat devrait être clos.
En réalité, sous le couvert de faire justice, le combat du professeur Bertrand MBATCHI a tout l'air d'un règlement de compte, d'une vendetta, d'une cabale et surtout d'un plan d'élimination savamment ourdi et orchestré au cœur même du CAMES. En effet, pour comprendre les sanctions infligées en 2019 par la Commission d'Ethique et de Déontologie dont le SG CAMES est président de droit, il faut remonter aux courriers de renouvellement des membres de CTS datés du 29 janvier 2018 adressés aux ministres du CAMES par le même SG dans lesquels il écrit ceci : « Je me ferai également le devoir de porter à votre haute attention discrétionnaire, en cas de besoin, les membres qui se sont identifiés lors des précédents CTS, comme des acteurs peu recommandables pour la sérénité des travaux durant les sessions ». La cause et la raison de l'acharnement du SG CAMES se situent dans cette phrase qui annonce d'ores et déjà une liste noire des camésiens à éliminer par tous les moyens. Sur quels textes sont-ils repérés et écartés ? L'abus d'autorité et la voie de fait sont ainsi constituées, n'en déplaisent aux médiocres de service et aux journaleux incapables d'interroger les faits, lesquels sont têtus.
Comment alors les éliminer ? Il faut susciter ou ressusciter des dossiers contre eux. Deux exemples suffisent à illustrer la conclusion tirée. Le premier est le dossier TAMA Nazaire dont les plaintes farfelues qui ont déjà été classées pour ce qui concerne le président AHADZI, ont en 2015, oui d'ailleurs a présidé le jury du concours d'agrégation de Droit Public 2017, ont été actualisées et remises au goût du jour par le SG CAMES qui l'a même convaincu de retirer son dossier de candidature au grade maitre de conférence au titre de l'année 2019, le temps de faire le grand ménage. Le second dossier concerne le même TAMA Nazaire qui aurait porté plainte contre tous les professeurs poursuivis sauf le professeur Ibrahim SALAMI. Ce dernier n'a ni été entendu, ni poursuivi ni même informé d'une poursuite à ce titre. Il a été poursuivi pour avoir divulgué sur les réseaux sociaux les résultats du CTS auxquels il n'était pas membre mais candidat ; et pour plagiat de cours de droit administratif en 2010. Plagiat dont le cours prétendument plagié n'existe pas et n'a jamais pu être communiqué alors que le plagiat est une infraction matérielle facile à démontrer par la confrontation entre les deux documents. Passons le défaut ou le refus de communication des pièces dans chacun des dossiers malgré la demande insistante des mis en cause pour retenir que le professeur SALAMI découvre dans la notification des sanctions du CAMES qu'il est reconnu non seulement coupable de plagiat mais aussi d'appartenir à un réseau par des pratiques contraires au code d'Ethique et de Déontologie. Tout cela sans que le rôle joué par le professeur SALAMI dans le présumé réseau n'ait été démontré. C'est tout simplement magique…
A partir du moment où le SG CAMES a fixé sa liste de camésiens à éliminer, tout devient possible : les prétextes, l'habillement éthique, le mensonge et les sanctions obtenues à l'arraché devant un conseil des ministres qui n'a pas eu accès au dossier et a jugé sans entendre les personnes poursuivies. Au surplus, l'insubordination des mis en cause sur fond d'outrage au préfet de l'éthique et de la déontologie est retenue…
A partir de là, s'ouvre un boulevard de manipulation pour le SG CAMES qui a même mis en jeu son poste pour obtenir les sanctions contre les professeurs poursuivis. On comprend dès lors pourquoi le SG CAMES a lourdement insisté pour empêcher le professeur LOADA, sans aucun fondement textuel, de se présenter au renouvellement de son mandat à la présidence du CTS SJP. C'est de la même manière que, le même jour, il fait récuser sur plainte du docteur Victor Topanou, le professeur SALAMI en tant que rapporteur élu au CTS SJP de Niamey en 2017. Ces deux cas montrent que le SG CAMES est un homme qui use d'arbitraire dans la mesure où le professeur SALAMI a été récusé oralement, sans acte écrit. De fait, les professeurs LOADA et SALAMI étaient en bonne place sans le savoir encore sur la liste noire du SG CAMES. La démonstration est d'ailleurs d'une brulante actualité. Autant on défend le Professeur LOADA, pourquoi personne ne soutient le collègue Godefroy MOYEN du Congro-Brazzaville, qui a été écarté sans texte ni acte et avec la complicité du recteur Rosaire IBARA, humilié par la justice administrative pour entrave à l'organisation des soutenances de thèse... Oui voilà le CAMES à visage universitaire... Et pourtant en 2018 au CCG de Niamey, le président de l'Université de Lomé et les recteurs du Sénégal avait prévenu tout le CCG des manipulations et forfaitures du SG CAMES avec les textes CAMES, y compris ses manœuvres sordides consistant à maintenir ses acolytes à des postes de responsabilité et écarter arbitrairement d'autres.
Pour connaître la teneur de la liste noire du SG CAMES, il faut écouter le SG CAMES et surtout ses proches et ses protégés mais aussi les proches de ses protégés. Dans le forum whatsapp de la promotion SJP 2011-2012, Mme SANOU Marie-Charles Dorcasse, une protégée-proche (sa principale « assistante ») du Docteur-Professeur Abdoulaye SOMA (un des protégés du SG CAMES) publie enfin dans un article intitulé « CAMES, le grand ménage », le 29 juin 2019 à 14h47, la célèbre liste noire. On y voit les portraits des professeurs LOADA, MELEDJE, KPODAR, KOKOROKO, SALAMI et GNAMOU. Curieusement, c'est la veille et ce jour que le CAMES a envoyé notification des sanctions aux intéressés. Tout était donc planifié. D'ailleurs, des collègues béninois tels que les docteurs GBAGO et TOPANOU se sont réjoui de la destruction de ce réseau présumé. Les doctorants de Joël AIVO s'en sont réjoui publiquement… Après tout, le crime parfait a profité à leur maître dont les résultats de la titularisation ont été largement publiés dans la presse et les réseaux sociaux avant la validation par le CCG, exactement ce qui était reproché au professeur SALAMI dans les mêmes conditions deux ans plus tôt. Mais là, le SG CAMES n'a rien vu…
Plus rien ne peut arrêter le SG CAMES. Il détient les clés et toutes les clés du CAMES.
La violation des règles d'égalité dans l'évaluation des dossiers CTS SJP.
Traditionnellement les dossiers des candidats au CTS SJP sont évalués par deux rapporteurs. Deux avis positifs qualifient le candidat. Deux avis négatifs ne le qualifient pas. Un avis positif et un négatif ou réservé conduisent à une discussion et au besoin à la désignation d'un troisième rapporteur in situ et qui évalue sur place et son avis est discuté en séance.
Et pourtant, le SG et le Président du CTS SJP ont dans une manipulation assumée, changé unilatéralement les règles d‘évaluation qui enfreignent le principe d'égalité. Certains dossiers ont été envoyés à trois rapporteurs alors que d'autres à deux rapporteurs. Le choix de trois rapporteurs, qui a avantagé certains candidats et désavantagé d'autres est mû par la volonté de faire qualifier certains dont les dossiers pourraient être dans le cas critique d'un rapport positif et d'un autre négatif. Le SG CAMES, par son ventilation des dossiers par algorithme (gérée par les informaticiens du Cames sous ses ordres notamment le Prof. LISHOU) repère donc le troisième rapporteur. Dans le cas où il veut favoriser, ce troisième rapporteur est un ami du candidat comme le cas de Joël Aivo. Le Président du CTS SJP, avant vice-Président et qui a atterri en toute indignité à ce poste par le coup de force opéré contre le Prof. LOADA, a fini le travail de cette machination d'évaluation en faisant poser la règle. Deux avis positifs et un négatif, pas de discussion, les positifs l'emportent. Voilà comment certains comme M. Joël Aivo ont été qualifiés Prof. Titulaire... Il faudra que le SG explique devant la CED le moment venu... Somme toute, le bidouillage universitaire se joue au nez et à la barbe des grands membres du CCG et du conseil des ministres !
Les responsables du CAMES interpellés
Le sulfureux Bertrand MBATCHI est une tête qui doit tomber dans le système CAMES. De toute histoire du CAMES, il s'agit de la première fois que le SG CAMES se mêle de la vie interne des universités avec une modification frauduleuse et grave des textes fondateurs du CAMES et promeut ses affidés par tout moyen. Nous apprenons d'ailleurs de sources dignes de foi, que le Congo Brazzaville serait dans le collimateur desdites magouilles. En effet, parmi les candidats en lice au concours d'agrégation et au CCI, nombreux d'entre eux ne remplissent pas les conditions requises. Certains n'ont pas fait trois publications dans des revues spécialisées qui sont côté par le CAMES. Ces mêmes professeurs ont validé des thèses sans l'appui des évaluateurs, etc. Pire, pendant que le CAMES exige que, seuls les enseignants-chercheurs ayant deux ans d'expérience au minimum peuvent postuler aux grades supérieurs, le Congo fait fi desdites recommandations.
Les ministres, les instances du CAMES et les professeurs qui siègent aux différents Comités du CAMES sont interpellés sur les différentes candidatures douteuses au risque d'être traités de complaisants.
La coupe est pleine et la course de fond du SG CAMES est bien à ses débuts. On imagine bien mal les CTS, le CCG et le Conseil des ministres s'encombrer d'une personnalité aussi nocive au risque d'exploser le CAMES…
Docteur Aziz BARRY
Figurant parmi les 13 personnalités proposées par le forum civil pour le changement en vue d’engager un dialogue avec le pouvoir pour une sortie de crise politique, M. Karim Younes explique ce qui l’a poussé à répondre favorablement à cette initiative. Bien qu’« une médiation politique dans le contexte actuel est en effet hautement délicate », l’invité […]
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Le calendrier des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) qui va se jouer en 2021 est déjà connu. Sous réserve de la fin de la CAN-Egypte 2019 et du tirage au sort de la CAN 2021, prévu pour jeudi 18 juillet au Caire, la Confédération africaine de football (CAF) a rendu public le calendrier des éliminatoires.
Ce calendrier se présente ainsi qu'il suit :
1ère Journée : 7 au 15 octobre 2019
2ème Journée : 11 au 19 novembre 2019
3ème et 4ème Journées : 31 août et 4 septembre 2020
5ème Journée : 5 au 13 Octobre 2020
6ème Journée : 9 au 17 Novembre 2020
Pour ces éliminatoires, l'entraîneur des Ecureuils du Bénin, Michel Dussuyer et ses poulains attendent de connaître leurs adversaires, pour une fois encore, fait vibrer le public sportif béninois.
F. A. A.
Le calendrier des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) qui va se jouer en 2021 est déjà connu. Sous réserve de la fin de la CAN-Egypte 2019 et du tirage au sort de la CAN 2021, prévu pour jeudi 18 juillet au Caire, la Confédération africaine de football (CAF) a rendu public le calendrier des éliminatoires.
Ce calendrier se présente ainsi qu'il suit :
1ère Journée : 7 au 15 octobre 2019
2ème Journée : 11 au 19 novembre 2019
3ème et 4ème Journées : 31 août et 4 septembre 2020
5ème Journée : 5 au 13 Octobre 2020
6ème Journée : 9 au 17 Novembre 2020
Pour ces éliminatoires, l'entraîneur des Ecureuils du Bénin, Michel Dussuyer et ses poulains attendent de connaître leurs adversaires, pour une fois encore, fait vibrer le public sportif béninois.
F. A. A.
La nouvelle Directrice des Opérations de la Banque mondiale pour le Bénin, Coralie Gevers, a effectué du 15 au 17 juillet 2019, une visite de travail dans le pays. Au cours de sa tournée, elle a eu des entretiens avec plusieurs autorités béninoises.
Coralie Gevers a entamé ses premières prises de contact par le Ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement, gouverneur de la Banque Mondiale pour le Bénin, Abdoulaye Bio Tchané. Ce qui a permis aux deux personnalités de faire une revue du cadre de partenariat Pays entre le Bénin et la Banque Mondiale (CPF 2018-2023), le portefeuille actif ainsi que les grands projets en préparation.
La visite s'est poursuivie au niveau de certains projets d'assainissement, financés par la Banque Mondiale dans les villes de Cotonou et d'Abomey-Calavi, dans la perspective de mise en œuvre du Projet d'assainissement des eaux pluviales de Cotonou, adopté par le Conseil d'Administration de la Banque le 23 mai 2019.
La nouvelle Directrice des Opérations s'est rendue au siège de l'Agence nationale de l'eau en milieu rural pour s'enquérir de l'état d'avancement du Projet d'approvisionnement en eau des petites villes et d'assainissement des eaux usées urbaines (PEPRAU) et du Programme d'accès universel à l'eau potable en milieu rural (Aqua-Vie). « Le Bénin est un partenaire important de la Banque Mondiale au regard de la qualité et du volume actuel de notre portefeuille. Nous allons continuer à travailler pour renforcer les engagements de la Banque Mondiale afin d'aider le Bénin dans l'atteinte de ses objectifs de développement », a-t-elle confié.
Coralie Gevers est Directrice des Opérations de la Banque mondiale pour le Bénin, la Côte d'Ivoire, la Guinée et le Togo, avec siège à Abidjan, depuis le 1er juillet 2019. Avant cette nomination, elle était Représentante résidente de la Banque Mondiale à Madagascar et aux Comores.
Le portefeuille actuel de la Banque Mondiale au Bénin s'élève à 1272 millions de dollars (crédits et dons) couvrant 20 opérations dont 14 projets nationaux et 6 projets régionaux auxquels s'ajoute un fonds fiduciaire 300 000 dollars. Entre autres secteur couverts par ce fonds, il y a le financement des politiques de développement, l'amélioration de la gestion des finances publiques, tourisme, le développement urbain, l'eau, l'énergie, le développement local et protection sociale, l'éducation, l'environnement, l'agriculture, l'emploi des jeunes, la santé, la nutrition, et le renforcement des capacités.
G.A.
Banque mondiale : la nouvelle directrice Coralie Gevers a prévenu les États africains sur les risques des investissements à un forum à Abidjan https://t.co/Wn1zCXLpbk
— David Delair (@FinanceEconomie) July 18, 2019
Le membre du Bureau fédéral de la fédération algérienne de football (FAF) Amar Bahlou, a échoué à se faire élire comme nouveau membre du comité exécutif de la Confédération africaine (CAF) pour la zone nord, au terme des élections tenues ce jeudi au Caire. La candidature algérienne a récolté 21 voix contre 29 voix pour […]
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Le Royaume du Maroc célèbre, le 30 juillet prochain, le 20ème anniversaire de l'intronisation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Cette célébration marque deux décennies de progrès et de modernisation du pays grâce au leadership et à la vision éclairée de l'héritier du Trône du Roi Hassan II.
Au Bénin, la fête organisée, par Son Excellence Monsieur l'Ambassadeur Rachid Rguibi, sera célébrée à l'hôtel Golden Tulip le Diplomate de Cotonou. Plusieurs personnalités et autres invités sont conviés à cette célébration avec la communauté marocaine.
30 juillet 1999 - 30 juillet 2019. Cela fait exactement 20 ans que le Roi Mohammed VI a accédé au Trône de la Dynastie alaouite.
Le Maroc vit depuis l'intronisation du Roi Mohammed VI une véritable révolution sur les plans politique, économique et sociale. Grâce au leadership et à la vision éclairée de Sa Majesté, le Royaume du Maroc a su s'imposer comme un modèle et un pionnier en Afrique et parmi les pays en développement.
La fête du trône est une célébration nationale marquant l'intronisation de Mohammed VI sur le trône de ses ancêtres.
Durant la fête du trône, célébrée le 30 juillet de chaque année, le Roi Mohammed VI adresse un discours à la nation diffusé sur les chaînes télévisées et radiophoniques nationales dont il communique les projets qu'envisage le Maroc de réaliser ainsi que les différents efforts déployés pour le développement du pays.
A l'occasion de la fête du trône, Sa Majesté pratique divers activités royales, notamment : la cérémonie d'allégeance qui coiffe les fêtes, la cérémonie de prestation de serment des nouveaux officiers lauréats des grandes écoles militaires, la grâce royale d'un nombre des condamnés et la présidence des différentes réceptions spécialement organisées pour la fête du trône.
En plus, le roi reçoit des félicités et des béatitudes de la part de plusieurs présidents et rois des autres nations.
Sa Majesté Mohammed VI a été intronisé le 30 juillet 1999, suite au décès de son père le Roi Hassan II, le 23 juillet 1999.
I. F.
Conformément aux recommandations issues de la rencontre avec le chef de l'Etat Patrice Talon lundi 15 juillet 2019, les différentes formations politiques concernées par le problème de Certificat de conformité défilent depuis ce jeudi 18 juillet au cabinet du ministre de l'intérieur et de la sécurité publique.
C'est le parti Union démocratique pour un Bénin nouveau (Udbn) de Claudine Prudencio qui a ouvert le bal cette matinée aux environs de 10 heures. Au terme d'un entretien qui a duré environ 1 heure de temps avec Sacca Lafia, Gildas Aïzanon, chef de délégation est sorti avec un visage très souriant.
Il a été suivi du parti Dynamique unitaire pour le développement (Dud) représenté par Hélène Aholou Kèkè et Léon Bani Bio Biou. Comme leurs prédécesseurs, ils n'ont fait aucune déclaration à leur sortie.
Outre ces deux délégations, le ministre de l'intérieur a reçu en fin de matinée, Nourénou Atchadé, El Farouk Soumanou et Paul Hounkpè, tous leaders des Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe).
Les audiences vont se poursuivre dans l'après-midi avec les partis Union sociale libérale (Usl) et Restaurer l'espoir (Re).
La série de concertations avec le ministre de l'intérieur va s'achever vendredi 19 juillet avec le Parti communiste du Bénin (Pcb).
Cette initiative du chef de l'Etat vise à aider ces partis politiques à régler leur problème de certificat de conformité qui leur a coûté l'exclusion aux dernières législatives.
F. A. A.