Suspendu de ses fonctions de Secrétaire permanent de la Commission nationale de lutte contre la radicalisation, l'extrémisme violent et le terrorisme pour indiscipline grave et mauvaise collaboration, le 28 juin 2019, Louis Philippe Houndégnon réclame un milliard FCFA par an à l'Etat. Et ce, pour réparation des préjudices subis.
Selon les informations rapportées par Matin Libre, l'ex Secrétaire permanent de la Commission nationale de lutte contre la radicalisation, l'extrémisme violent et le terrorisme
a fait un recours hiérarchique à l'endroit du Chef de l'Etat Patrice Talon dans lequel il évoque l'application discriminatoire d'une loi au ministère de l'intérieur et de la sécurité publique, qui lui a causé des préjudices.
Philippe Houndégnon dénonce le « maintien irrégulier en service de certains fonctionnaires de l'ex-Police nationale au-delà de l'âge de mise à la retraite avant l'entrée en vigueur de la loi n°2015-20 du 19 juin 2015 portant statut spécial des personnels des forces de sécurité publique et assimilées ».
Selon ses explications, « les avancements, les promotions aux grades supérieurs et les mises à la retraite sont régis jusqu'à la date du 04 juillet 2019 au sein de l'ex Police nationale par la loi n°93-010. Car, la première mesure d'exécution de la loi n°2015-20 serait le décret n°2016-137 du 17 mars 2016 portant statuts particuliers des corps des personnels de la Police nationale. Ce décret n'est pas connu ».
Dans son extrait de recours publié par Matin Libre, l'inspecteur général de Police notifie qu' « à la date du 05 juin 2019, la compulsion du Journal officiel a permis de découvrir que le décret n°2016-137 du 17 mars 2016 portant statuts particuliers des corps des personnels de la Police nationale n'a fait l'objet d'aucune mesure de publication ainsi que le mentionne le procès-verbal de compulsion n°0143/19-IB de l'étude de Me Armand H. Agossou, Huissier de justice près la Cour d'Appel et le Tribunal de première instance de première classe de Cotonou ».
L'ex Secrétaire permanent de la Commission nationale de lutte contre la radicalisation souligne que le décret « n°02016-764 du 08 décembre 2016 portant nomination de quarante-cinq (45) Commissaires de Police au tableau d'avancement aux grades supérieurs au titre de l'année 2016 a visé la loi n°093-010 et non la loi n°2015-20 ». Il ajoute que « les avancements et promotions aux grades supérieurs ont continué de se faire au sein de la Police nationale à la date du 1er août 2015 et bien après, selon les dispositions de la loi n°93-010 ».
A en croire Philippe Houndégnon, cette application discriminatoire de la loi préjudicie depuis 2016, à ses ambitions professionnelles et constitue pour lui une source de douleur morale.
C'est pourquoi, pour la réparation des préjudices, il réclame à l'Etat béninois « la somme d'un milliard (1.000.000.000) de FCFA par année de maintien illégal desdits fonctionnaires de l'ex-Police nationale en service et pour compter du 1er juillet 2015 à la date de leur mise à la retraite effective ; et la somme de cinq cent mille (500.000) FCFA par jour de résistance à ma requête pour compter de la date de transmission du présent courrier ».
L'inspecteur général de Police, dans son recours exhorte le Chef de l'Etat à œuvrer pour la publication, au journal officiel, du décret n°02016-137 pour la mise en vigueur de la loi n°2015-20.
A.A.A
Un reporters de la chaîne TV Ennahar a été chassé aux cris de « ya chiyatin » lors de la 22e manifestation à Alger.
The post Un Reporter de la chaîne Ennahar chassé par des manifestants à Alger ! appeared first on .
Des milliers d’oranais ont, pour la 22e fois de suite, battu le pavé, pour réaffirmer leur appel pour le départ définitif du système en place et l’instauration d’un État de droit démocratique et social et surtout une justice indépendante. #Hirak #Harak #Oran #Algérie pic.twitter.com/PC7RHP9xCI — Azeddine SALMI (@zsalmi) July 19, 2019 pic.twitter.com/ZzFX8CKlUd — Azeddine SALMI […]
The post 22e vendredi : Forte mobilisation à Oran ! appeared first on .
Lors de l'audience tenue ce vendredi 19 juillet au tribunal correctionnel de Cotonou, le ministère public a requis des peines lourdes contre l'ex ministre béninois Lionel Zinsou, poursuivi pour dépassement de frais de campagne et de faux et usage de faux.
12 mois d'emprisonnement avec sursis et une amende de cinquante millions (50 000 000) francs CFA, tels sont les réquisitions du ministère public dans le procès de l'ancien premier ministre béninois Lionel Zinsou. Ceci après avoir plaidé pour qu'il soit retenu dans les liens de la justice pour les chefs d'accusation de dépassement de frais de campagne et d'usage de fausse attestation.
#Bénin : les réquisitions du ministère public contre Lionel #Zinsou, délibéré au 2 août | La Nouvelle Tribune https://t.co/OuhBIKvn2A @lntribune
— La Nouvelle Tribune (@LNTribune) July 19, 2019
La défense assurée par Me Robert Dossou, a aussi fait sa plaidoirie. L'avocat de Lionel Zinsou soupçonnant une manœuvre politique dans cette affaire pense que l'objectif visé est de déclarer son client inéligible aux prochaines élections. Le délibéré est attendu pour le 2 août 2019.
A.A.A
Malgré la chaleur et l’humidité, ce 22e vendredi les Béjaouis sont sortis par dizaines de milliers au chef-lieu de wilaya de Béjaïa. cette 22e marche de la dignité est une réussite.
The post Les Béjaouis toujours au rendez vous ! appeared first on .
Le président de la République, Son Excellence Patrice Talon rencontre mardi 23 juillet, les responsables des centrales et confédérations syndicales du Bénin.
L'objectif de cette rencontre est d'échanger sur les réformes pour une amélioration de la qualité de l'enseignement dans le pays.
A travers une correspondance en date de ce mercredi 17 juillet, le ministre du travail et de la fonction publique, Adidjatou Mathys a porté l'information aux centrales et confédérations syndicales. Selon ce message, chaque organisation syndicale se fera représenter à cette rencontre par deux personnes.
De même, le Conseil sectoriel du dialogue social de chacun des trois ordres d'enseignement, devra se faire représenter également par deux personnes.
F. A. A.
Permettre aux hommes d'affaires de prendre une part active dans l'exécution du Programme d'Actions, tel est l'objectif poursuivi par le gouvernement béninois en réunissant ce mercredi 17 juillet 2019 des chefs d'entreprise à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCIB).
Lors de cette séance d'échange qui a connu la présence du ministre du cadre de vie, José Tonato et les cadres du Bureau d'Analyses et d'Investigations (BAI) de la présidence de la République, des projets immobiliers ont été présentés aux opérateurs économiques.
Les projets immobiliers concernent entre autres la construction des 20.000 logements sur le territoire national (12.960 individuels et 7.040 collectifs), la construction des Cités ministérielles à Cotonou et administratives à Abomey-Calavi. Cette dernière est composée des bureaux des cabinets des ministres et services centraux, et sera érigée sur 05 hectares. C'est la Société Immobilière et d'Aménagement Urbain (SIMAU) qui est en charge de ces projets.
Selon le directeur délégué de la SIMAU, Jérôme Courbon, le projet de construction de logements est à sa première phase et englobe la viabilisation des sites et la construction de 12 049 logements répartis comme suit : 10 849 à Ouèdo, 250 à Porto-Novo et 500 à Parakou.
Selon le directeur, les travaux de viabilisation primaire sont en cours sur les sites. Il s'agit de « la réalisation des routes, des travaux de jonction avec les réseaux de la Société Béninoise d'Énergie Électrique (SBEE), de la Société Nationale des Eaux du Bénin (SONEB), la fibre optique et les réseaux de Bénin Télécom pour la télécommunication ».
S'agissant du deuxième projet relatif à la construction des Cités ministérielles à Cotonou et administratives à Abomey-Calavi, les différentes étapes se poursuivent sans difficulté.
Les études de faisabilité sont déjà faites et les appels d'offres seront lancés dès septembre 2019.
Akpédjé AYOSSO
A Alger, des milliers scandent des slogans hostiles au général Ahmed Gaïd Salah. « Gaïd Salah chiyat el Imarat (Gaïd Salah, laudateur des émirats arabe unis) », « Gaïd Salah on vous fait pas confiance »
The post Des milliers de manifestants scandent des slogans anti-Gaïd Salah appeared first on .
Face à un dispositif sécuritaire impressionnant, des centaines de manifestants sont au rendez-vous pour le 22e vendredi consécutif. Des centaines de policiers et des dizaines de camions de police, y compris des camions équipés de canons à eau, occupent les différentes rues et places d’Alger-Centre. Mais contrairement aux précédents vendredis, aujourd’hui aucune arrestation n’a été […]
The post 22e vendredi : Impressionnant dispositif sécuritaire déployé à Alger appeared first on .
Le patron du Groupe IVAL, Mohamed Bairi, son frère, ses deux associés, 4 cadres du ministère de l’Industrie, deux hommes d’affaires ainsi que le chargé des opérations financières de la campagne électorale du président déchu, Abdelaziz Bouteflika, ont été placé sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près le tribunal de Sidi M’hamed d’Alger. Les […]
The post L’homme d’affaires Mohamed Bairi placé sous mandat de dépôt ! appeared first on .
En ce 22e vendredi consécutif, des centaines d’Algériens sont déjà sortis dans la rue près de la Grande-Poste à Alger pour réclamer le départ de tous les symboles du système.
The post Début de la manifestation du 22e vendredi à Alger appeared first on .
Permettre aux hommes d'affaires de prendre une part active dans l'exécution du Programme d'Actions, tel est l'objectif poursuivi par le gouvernement béninois en réunissant ce mercredi 17 juillet 2019 des chefs d'entreprise à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCIB)
Lors de cette séance d'échange qui a connu la présence du ministre du cadre de vie, José Tonato et les cadres du Bureau d'Analyses et d'Investigations (BAI) de la présidence de la République, des projets immobiliers ont été présentés aux opérateurs économiques
Les projets immobiliers concernent entre autres la construction des 20.000 logements sur le territoire national (12.960 individuels et 7.040 collectifs), la construction des Cités ministérielles à Cotonou et administratives à Abomey-Calavi. Cette dernière est composée des bureaux des cabinets des ministres et services centraux, et sera érigée sur 05 hectares. C'est la Société Immobilière et d'Aménagement Urbain (SIMAU) qui est en charge de ces projets.
Selon le directeur délégué de la SIMAU, Jérôme Courbon, le projet de construction de logements est à sa première phase et englobe la viabilisation des sites et la construction de 12 049 logements répartis comme suit : 10 849 à Ouèdo, 250 à Porto-Novo et 500 à Parakou.
Selon le directeur, les travaux de viabilisation primaire sont en cours sur les sites. Il s'agit de « la réalisation des routes, des travaux de jonction avec les réseaux de la Société Béninoise d'Énergie Électrique (SBEE), de la Société Nationale des Eaux du Bénin (SONEB), la fibre optique et les réseaux de Bénin Télécom pour la télécommunication ».
S'agissant du deuxième projet relatif à la construction des Cités ministérielles à Cotonou et administratives à Abomey-Calavi, les différentes étapes se poursuivent sans difficulté.
Les études de faisabilité sont déjà faites et les appels d'offres seront lancés dès septembre 2019.
Akpédjé AYOSSO