Le gouvernement a ordonné en Conseil des ministres du 11 juin 2025, la réalisation des études d'avant-projet détaillé et de l'étude d'impact environnemental et social du projet d'alimentation en eau potable des villes de Comè, Grand-Popo, Houéyogbé, Bopa, Kpomassè et leurs environs.
Pression faible, coupures fréquentes, et quartiers laissés pour compte…dans les villes de Comè, Grand-Popo, Houéyogbé et Bopa. Pire, Kpomassè ne bénéficie même pas encore du réseau de la Société Nationale des Eaux du Bénin (SONEB).
La situation préoccupe le gouvernement et sera bientôt conjuguée au passé.
En conseil des ministres, mercredi 11 juin 2025, le gouvernement a fait savoir que « pour desservir les populations de ces localités, la SONEB exploite actuellement des systèmes d'alimentation en eau potable dont les capacités sont en deçà des besoins à couvrir ».
Ces villes, précise le Conseil des ministres, « connaissent aujourd'hui un développement urbain significatif alors que leurs systèmes d'adduction d'eau potable, mis en service depuis une vingtaine d'années, n'ont connu aucune évolution ni en renforcement des équipements et infrastructures, ni en extension et densification de réseau ».
Face à cette urgence, le gouvernement passe à l'action. Des travaux de renforcement et/ou d'installation des systèmes de distribution sont prévus dans les villes concernées. C'est dans cette perspective que le Conseil a marqué son accord pour la réalisation des études d'avant-projet détaillé et de l'étude d'impact environnemental et social du projet d'alimentation en eau potable des villes de Comè, Grand-Popo, Houéyogbé, Bopa, Kpomassè et leurs environs.
Le Conseil a également marqué son accord pour la contractualisation avec une entreprise spécialisée qui conduira les travaux.
M. M.
Le gouvernement a transmis à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, le projet de loi portant adoption de la vision nationale de développement à l'horizon 2060 en République du Bénin.
« BENIN 2060 ALAFIA, un Monde de Splendeurs » a été élaborée dans une approche participative, scientifique et inclusive, après l'évaluation de la première. La vision nationale de développement postule que : « à l'horizon 2060, le Bénin est un pays de paix, de prospérité, de bonne gouvernance, de rayonnement culturel et international pour le bien-être commun ».
Selon le Conseil des ministres du 11 juin 2025, la vision vient consolider les acquis de la vision précédente, « BENIN Alafia 2025 », tout en tenant compte des nouveaux défis et enjeux du pays.
Le gouvernement explique que l'analyse du système Bénin a permis d'identifier les grandes tendances et ruptures qui influenceront l'avenir. Le scénario optimiste choisi dessine un Bénin prospère, compétitif, avec une gouvernance inclusive et un bien-être partagé dans toutes les régions.
Cette vision est structurée autour de neuf orientations et quinze objectifs stratégiques. Elle reflète les aspirations des populations, recueillies sur tout le territoire national.
« Conformément aux dispositions de la loi-cadre sur la planification du développement et sur l'évaluation des politiques publiques en République du Bénin, la vision nationale de développement est adoptée par une loi ».
Le Conseil a donc instruit les ministres chargés du Développement et de la Justice d'assurer le suivi du processus législatif à cet effet.
M. M.
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Le gouvernement a adopté ce mercredi 11 juin 2025 en Conseil des ministres, le Plan stratégique 2025-2029 du ministère du tourisme, de la culture et des arts. Ce plan postule qu'à l'horizon 2029, le Bénin est « une destination touristique de renommée mondiale soutenue par une riche diversité culturelle ».
Un nouveau Plan stratégique pour le ministère du tourisme, de la culture et des arts. Le document de référence a été adopté ce mercredi 11 juin 2025 en Conseil des ministres. Il postule qu'à l'horizon 2029, le Bénin est « une destination touristique de renommée mondiale soutenue par une riche diversité culturelle ». Pour sa réalisation, trois orientations stratégiques sont définies. Il s'agit de la dynamisation et de la règlementation de l'organisation et du fonctionnement du ministère ; du développement et la promotion d'une offre touristique diversifiée, attirant à la fois les visiteurs locaux et internationaux ; et du développement et de la promotion de la culture et des arts en tant que piliers de l'économie créative. Ces orientations selon le communiqué du Conseil des ministres, sont à leur tour, déclinées en objectifs stratégiques puis en axes opérationnels. Le tout, pour un coût total estimatif de 797.174.361.179 FCFA sur les cinq prochaines années.
Le Plan stratégique 2025-2029 du ministère du tourisme, de la culture et des arts est élaboré avec une large participation des différentes parties prenantes concernées. Il fédère les interventions du ministère au cours des cinq prochaines années et vise à faire de ces secteurs, des vecteurs de développement durable, de cohésion sociale et de rayonnement international.
F. A. A.
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Trois nominations ont été prononcées au Ministère de la Santé et au Ministère des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi en Conseil des ministres ce mercredi 11 juin 2025.
Au ministère de la Santé
Directeur général du Centre hospitalier universitaire de Zone Abomey-Calavi/Sô-Ava : Monsieur Lambert LOKO TONOUDJI
Au ministère des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi
Directeur adjoint de cabinet : Monsieur Sotima Michel YOTTO
Secrétaire général adjoint du ministère : Madame Opportune Hermione Oungbéto NATABOU
Voici les grandes décisions prises en Conseil des ministres ce mercredi 11 juin 2025.
Une vive indignation a éclaté ce mercredi 11 juin après l’annonce de la détention de trois avocats algériens à l’aéroport du Caire, en Égypte. L’information […]
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Un appel à candidatures pour le recrutement de jeunes diplômés dans le cadre du Programme Spécial d'Insertion dans l'Emploi (PSIE) est lancé.
114 nouveaux postes sont ouverts, lundi 9 juin 2025, sur le Programme Spécial d'Insertion dans l'Emploi (PSIE).
Les jeunes professionnels sont recherchés dans divers domaines tels que l'informatique, le BTP, la comptabilité, les ressources humaines, l'agroalimentaire, le textile, l'énergie, le marketing ou la planification de projets.
M. M.
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Les agents de la Brigade de Recherche et d'Investigation (BRI) d'Atakpamé et du Ministère de l'Environnement et des Ressources Forestières (MERF), en collaboration avec EAGLE-Togo, ont arrêté le 5 juin 2025, à Talo, quartier périphérique de la ville d'Atakpamé, trois présumés trafiquants en possession d'une grosse défense d'éléphant qu'ils s'apprêtaient à vendre.
Arrêtés pour flagrant délit de détention, de circulation et de commercialisation illégale d'ivoire d'éléphant, une espèce intégralement protégée par les lois nationales et la convention CITES, les nommés A. Salam, H. Soulemane et A. Djerilou ont d'abord été placés en garde à vue avant d'être présentés au procureur près le tribunal de Grande instance d'Atakpamé, puis déférés le 10 juin 2025 à la prison civile d'Atakpamé. Ils encourent une peine de prison allant d'un à cinq ans et une amende d'un million à 50 millions de francs CFA, s'ils sont jugés.
Les présumés trafiquants, tous de nationalité Togolaise, sont impliqués dans un réseau criminel international très organisé. Ils faisaient passer en contrebande, les défenses d'éléphants à travers les frontières de la sous-région, notamment du Ghana d'où provient la gigantesque défense d'éléphant.
Pour acheminer la grosse défense d'éléphant à Atalo, les trafiquants présumés l'ont mis dans un sac à céréales, sous forme de colis. Le fournisseur, membre d'un réseau de braconniers dans la faune, a transporté l'ivoire à dos d'une moto depuis la frontière Togo- Ghana pour la région centrale du Togo aidé par ses deux complices.
A trois, ils ont selon eux, pris la route pour la ville d'Atakpamé avec l'ivoire à bord d'une voiture, jusqu'au lieu de la livraison. Le principal fournisseur faisant partie des interpellés, a avoué être l'auteur de l'abattage de l'éléphant dont il détenait la défense pour vendre à un prix de plus de trois millions de francs CFA.
Selon Soulemane H., la pointe d'ivoire appartient à Salam et qu'ils devaient la vendre à plus de trois millions de francs CFA. Salam a lui reconnu être le propriétaire que l'ivoire qu'il a convoyé de Pagala pour la transaction à Atakpame et d'ajouter que les vrais propriétaires de l'ivoire sont au Ghana.
Le trafic d'espèces en voie d'extinction, comme dans de nombreux autres pays, est un problème grave qui menace la biodiversité et les écosystèmes. En effet, le trafic illégal des espèces protégées contribue à la diminution rapide des populations de certaines espèces animales et végétales, ce qui peut entraîner leur extinction.
Ce trafic est souvent alimenté par des réseaux criminels organisés et est lié à d'autres formes de criminalité, comme le trafic de drogue, le braconnage, car la destruction des espèces protégées détruit non seulement l'équilibre de l'écosystème, mais est aussi dangereuse pour le pays qui ne peut plus bénéficier de l'économie touristique.
Au Togo, le commerce illégal d'animaux sauvages, notamment les éléphants pour leur ivoire, est particulièrement préoccupant, car les efforts pour lutter contre ce fléau ont nécessité des mesures que le gouvernement a prises pour renforcer la législation, organiser des campagnes de sensibilisation, ainsi que des collaborations internationales pour traquer et démanteler les réseaux de trafiquants, surtout que le commerce international de l'ivoire est déclaré illégal depuis 1989, mais que les populations d'éléphants d'Afrique continuent de décroître.
Le Togo a également adopté un code forestier et a intensifié ses efforts pour saisir des stocks d'ivoire en provenance d'autres pays. Le nouveau code pénal renforce la protection de la faune et de la flore à travers son article 761, qui punit de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de cinquante millions de francs CFA toute personne commercialisant illégalement une espèce animale protégée. Toutefois, le Togo demeure une plaque tournante pour le transit illicite de l'ivoire.
En conséquence, le pays a perdu plus de 80 % de ses éléphants en raison du braconnage. Des inventaires menés par le WWF et ses partenaires dans certains pays africains, dont le Togo, révèlent une diminution de plus de 70 % des populations d'éléphants en l'espace de dix ans.
Selon le coordinateur national d'EAGLE-Togo, « l'éléphant ne dérange pas l'être humain, mais c'est plutôt ce dernier qui provoque l'éléphant voire le menace en occupant son habitat naturel. Si vous présumez un quelconque dérangement d'une espèce animale protégée comme l'éléphant, vous ne pouvez que le signaler aux services compétents pour des dispositions nécessaires à prendre. Tuer cette espèce animale et avoir l'ingénieuse idée et le matériel à l'appui, d'enlever sa défense en ivoire pour la vente, confirme votre qualité de trafiquant majeur et la loi vous en sera sévèrement appliquée. »
Malgré les mesures juridiques existantes, le braconnage des éléphants continue d'augmenter et le pays demeure un point de transit majeur pour le commerce illégal d'ivoire. Pourtant, le commerce illégal des espèces sauvages menace la survie de nombreuses espèces, y compris les éléphants.
Le commerce illégal d'espèces sauvages est un crime organisé transnational majeur, qui génère des milliards de fonds criminels chaque année. Les trafiquants d'espèces sauvages exploitent les faiblesses des secteurs financiers et non financiers pour déplacer, cacher et blanchir leurs produits, ce qui permet de nouveaux crimes et porte atteinte à l'intégrité financière. Malgré ce fait, dans certains pays, le trafic de faune n'est pas reconnu comme une vraie menace, ce qui permet aux différents réseaux de trafic de prospérer.
Le braconnage et le trafic d'espèces sauvages ne sont pas seulement des crimes contre la faune, mais aussi contre l'environnement dans son ensemble. La disparition des espèces clés comme les éléphants perturbe gravement les écosystèmes. Ces animaux jouent un rôle crucial dans la dispersion des graines et le maintien de la biodiversité végétale.
Outre le braconnage, deux autres facteurs contribuent à la baisse drastique des populations d'éléphants : l'accroissement du trafic illégal d'animaux en raison de la forte demande internationale pour l'ivoire, et l'exploitation abusive des ressources naturelles nécessaires aux éléphants, due à l'agriculture industrielle et à l'occupation anarchique de leur habitat.
Il est à noter que cette arrestation fait suite au procès de quatre trafiquants d'ivoire, dont deux Togolais et deux Burkinabè, arrêtés en juin 2024. Jugés, ils ont été condamnés à une peine d'emprisonnement de trente-six mois, dont vingt-quatre avec sursis, par le Tribunal de Grande Instance de Kara, le 9 octobre 2024.
La lutte contre le braconnage des éléphants relève des compétences des autorités qui, d'une part, ont ratifié des textes nationaux et internationaux sur la protection des espèces menacées et, d'autre part, ont mis en place des services dédiés à la protection de la faune et de la flore sauvages afin de contrer efficacement le commerce international d'ivoire.
Le trafic d'espèces sauvages génère d'énormes profits illégaux pour des organisations criminelles complexes, souvent responsables de l'abattage, du transport et de la commercialisation de produits illégaux issus des espèces sauvages.
La défaite concédée par l’équipe d’Algérie face à la Suède n’a pas été du gout du sélectionneur national Vladimir Petkovic. Un sérieux test qui va […]
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Le Camp Guézo, ancien camp militaire, se transforme. Sur le site à Cadjèhoun dans le 12è arrondissement de Cotonou, il est prévu un projet résidentiel de 576 logements.
313 569 m² de superficie dédiée au programme résidentiel de Camp Guézo, l'ex camp militaire délocalisé.
Le site comprendra 576 appartements de différents standings. Ce programme vise à offrir un cadre de vie moderne et confortable.
Le projet est piloté par la Caisse des Dépôts et Consignations du Bénin (CDC Bénin), maître d'ouvrage.
L'architecte principal est le cabinet KOFFI & DIABATE.
La Société Immobilière et d'Aménagement urbain (SImAU) assure la maîtrise d'ouvrage déléguée.
Le contrôle technique est confié à Veritas.
Le coût total est estimé à 120,45 milliards FCFA. Les travaux devraient durer deux ans.
Pour l'heure, le projet est en phase d'étude, selon la SImAU.
C'est la modernisation de Cadjèhoun qui est en bonne voie avec ce projet. Ce quartier du 12è arrondissement de Cotonou abrite des infrastructures clés. On y trouve la Présidence de la République, l'aéroport international Bernardin Gantin et le Centre National Hospitalier Universitaire (CNHU-HKM).
M. M.
La Police a récupéré, lundi 9 juin 2025, deux (02) motos volées à Sèkandji dans la commune de Sèmè-Podji.
Une moto de marque Haojue type 115 et une autre de marque TVS ont été saisies à Sèkandji.
C'est à l'issue d'une opération « coup de poing » menée, lundi 9 juin 2025, par le commissariat d'arrondissement d'Agblangandan que ces engins volés ont été retrouvés.
Après vérification, les propriétaires des deux motos ont été identifiés.
Un suspect a été interpellé. Le second est toujours en fuite et fait l'objet d'une recherche active par la Police.
M. M.