Afin de relancer le système éducatif, il y a nécessité de libérer le système d’éducation nationale en le protégeant, notamment, des « ‘interférences où les adultes soldent leurs problèmes politique et idéologique » sur l’apprentissage de l’enfant, déclare Meziane Meriane oordinateur du CNAPEST. Lors de son intervention, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de […]
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Grâce à « The Voice France 2020 », un jeune béninois au talent immense sest révélé au monde. Son nom est Ifè Franck-Olivier GNACADJA. Passionné multicasquettes, Ifè est étudiant aux Beaux Arts de Paris. Avant l’aventure The voice, il était plutôt connu comme un créateur de mangas, pour avoir mis en ligne en 2018, une bande dessinée […]
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Des vents forts, parfois en rafales avec de fréquents soulèvements de sable, souffleront jusqu’à vendredi matin sur 2 wilayas de sud du pays, indique lundi un bulletin météorologique spécial (BMS) de l’Office national de météorologie. Les wilayas concernées sont : Adrar et Tamenraset, précise le BMS, dont la validité s’étale du lundi 22 juin 9 […]
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Avec six chefs d’accusation, dont celui d’offense au président de la République, Amira Bouraoui a été reconnue coupable et risque une peine d’un an de prison ferme. Elle est mère de deux enfants, l’un de 12 ans et l’autre de 16 ans. Un dossier considéré comme vide La condamnation a été prononcée ce dimanche. Amira […]
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42 personnes ont été déclarés positifs à la maladie du Coronavirus ces dernières heures.
Selon les chiffres officiels du gouvernement à la date du 21 juin, le nombre de cas confirmés est passé de 765 à 807.
541 personnes sont sous traitement, 253 sont déclarées guéries et 13 décès.
La deuxième édition des ''Café Discussion'' s'est tenue le jeudi 18 juin 2020 sur le campus de l'Université de Parakou.
Cette initiative de l'Observatoire de la Famille, de la Femme et de l'Enfant (OFFE) s'inscrit dans le cadre de la politique de partenariat en matière de recherche.
La deuxième édition des '' Café Discussion'', organisée par l'Observatoire de la Famille, de la Femme et de l'Enfant (OFFE) . s'est déroulée jeudi dernier sur le campus de l'Université de Parakou.
Selon le Directeur Général de l'OFFE M. Nassirou Kassoumou Hararou, le concept ''Café Discussion '' a été élaboré par l'Observatoire pour rendre plus dynamique sa dimension scientifique. En d'autres termes, il s'agit d'une plateforme qui réunit autour des résultats d'études réalisées sur les thématiques et préoccupations sociales, les chercheurs du monde universitaire, les cadres techniques de l'OFFE, les représentants déconcentrés de l'administration sociale et autres acteurs de premiers plan.
Ces sessions vont aussi permettre de sensibiliser les acteurs universitaires à accorder une place de choix aux thématiques liées à l'action sociale dans les activités de recherche qu'ils mènent au quotidien, a-t-il indiqué.
Une manière pour eux, de contribuer efficacement à la recherche de solutions durables souhaité par le Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance Véronique T. Mewanou.
A l'ouverture de la session, le Vice-Recteur de l'Université de Parakou chargé de la coopération M. Anseque Gomez a souligné l'importance que l'Université de Parakou accorde à cette rencontre scientifique. Il a rappelé les diverses actions menées par l'Université en matière de protection sociale et de lutte contre toutes les formes de violence, en particulier le harcèlement.
Au cours de cette deuxième édition des ''Café Discussion'', les participants ont mené des débats sur deux rapports d'études réalisées par l'OFFE en 2019.
Le rapport de l'étude sur les grossesses précoces en milieu scolaire et d'apprentissage et celui de l'enquête sur l'alcoolisme et l'éthylisme en milieu scolaire ont été scrutés. Des pistes de solutions ont été tracées concernant prioritairement la responsabilisation des familles dans l'éducation des enfants, l'application sans complaisance des textes existants tant par les pouvoirs publics que les collectivités locales.
Au cours de la rencontre, un accent a été mis sur le renforcement de la sensibilisation pour une meilleure connaissance des textes et un changement de comportement.
La deuxième édition des '' Café Discussion'' a réuni des cadres de l'OFFE, responsables du Rectorat de l'Université de Parakou, du Département de Sociologie, du Centre des Oeuvres Universitaires, Enseignants Chercheurs, étudiants, responsables et apprenants de l'EFMS, représentants de la Direction départementale en charge des Affaires sociales, responsables des centres intégrés de prise en charge des violences basées sur le genre et chefs des centres de promotion sociale de Parakou.
En attendant la transmission des recommandations aux structures techniques et opérationnelles du ministère des Affaires sociales, les regards sont tournés vers la troisième édition des ''Café Discussion''.
Juliette MITONHOUN
Dans le Borgou, la musique traditionnelle tient également son importance de sa diversité liée aux croyances religieuses, rituelles ou pratiques sacrificielles. Malheureusement, les instruments et rites sacrés qui font son essence sont de plus en plus menacés de disparition. C'est le signe de l'insouciance d'une société qui peine à promouvoir son propre patrimoine culturel pourtant vecteur de développement et porteur de son identité. Seules, quelques personnes qui leur sont restées nostalgiques, essaient de tenir la baraque encore debout.
Par Maurille GNASSOUNOU
Situé au Nord-Est du Bénin, le Borgou voit des pans entiers de son patrimoine musical traditionnel disparaître ou abandonner à leur triste sort. Nombreux de ses rythmes qui jadis faisaient sa fierté, ne s'exécutent plus, faute de pratiquants. Autant les instruments de musique traditionnelle sont aujourd'hui délaissés, autant leurs joueurs et ceux qui savent encore exécuter les pas de danses propres à certains rites sacrés, se font rare.
Un des rares instruments à cordes le « Kororu » qui a été récupéré
En milieu Bariba, s'inquiète le promoteur du Musée de musique de Parakou, Julien Atchadé, ce sont les générations à venir qui n'auront pas la chance, par exemple, de découvrir l'instrument à cordes traditionnel qu'est le « Morokou ». C'en serait terminé pour les sonorités unique et rare qu'il produit, si ses derniers joueurs partent sans avoir passé la main. Du coup, c'est une partie de l'histoire de ce peuple du Borgou qui s'en ira également. Le même risque est à envisagé avec le « Bourkou-Bararou » et le « Korobi », des tambours sacrés faits de peau d'antilope. Le premier est fabriqué avec du bois spécifique et le second, sous la forme d'un canari en argile. Originaires de Tchatchou et Tchaourou, ils se jouent en association, à l'occasion des cérémonies organisées par les adeptes des divinités Nin-Nin, Naa et Bio N'Kouro.
Le roi Bariba qui a vu jouer le Baratourou, ne le reverra plus avant de mourir au trône
Peu enviable parait également le sort qui guette le « Kororu », un autre instrument à cordes qui se joue pour honorer la divinité « Andemi ». Des personnes d'un certain âge s'en servent aussi pour implorer les mânes des ancêtres ou à l'occasion du décès d'un adepte de Bio N'Kouro. Accompagnant un roi ou utilisés lors de ses obsèques, le Wanrou et les trompettes Kankangi qui sont des instruments à vent fabriqués en cuivre et pouvant atteindre jusqu'à deux mètres de long, ne sont aussi pas logés à la meilleur enseigne.
Quant aux tambours sacrés qui occupent une place importante dans l'organisation de la Gaani, l'intronisation ou les obsèques du roi de Nikki, ils ont encore de beaux jours devant eux. Symboles de la puissance du trône de ce royaume, rapporte Dr Paul Akogni, ils sont jalousement conservés au palais royal dans une hutte dont l'accès est interdit à toute personne étrangère. Le bois qui a servi à leur fabrication n'a pas été changé, il y a plusieurs siècles. Seule la peau d'animal qui les recouvre est renouvelée à chaque intronisation d'un nouveau roi, l'ancienne étant déchirée au décès du précédent. Interdits de voir le fond du tambour, rapporte le Dr ,les dignitaires avertis procèdent avec la plus grande délicatesse à sa pose.
Faute de relève
Tous considérés comme sacrés, ces instruments contribuent donc à renforcer l'identité du Borgou sur le plan culturel. Quiconque les profane, est frappé de graves maladies. Mais avec le temps, ils sont pour la plupart menacés de disparition.
En effet, exposés aux termites, à l'humidité et aux intempéries, nombreux sont ces instruments qui ont commencé par se détériorer. Ne disposant pas de moyens, leurs propriétaires ou détenteurs n'arrivent pas à procéder à leur fumigation, à l'aide des produits.
Pour leur grande majorité, ces instruments sont rangés dans un coin, au niveau des domiciles. Depuis que leurs derniers utilisateurs sont décédés, personne n'a songé à prendre leur succession. Aujourd'hui, en effet, les jeunes s'intéressent de moins en moins aux sacrés. Ce que confirme le dignitaire religieux Dambaba Baguidi. Rencontré à Sirarou, dans la commune de N'Dali, il avoue ne pas être surpris par la menace qui pèse sur la musique traditionnelle et ses instruments dans le Borgou. « Au niveau des adeptes des divinités, la relève n'est plus assurée. Aujourd'hui, la plupart d'entre eux sont d'un certain âge. Malheureusement, les jeunes ne se pressent même plus pour les remplacer. Ce qui fait qu'ils partent avec leurs secrets et leurs expériences », déplore-t-il.
Julien Atchadé, promoteur du Musée de musique de Parakou, est l'un des gardiens de la citadelle
Et pourtant, la sauvegarde de tous ces patrimoines représente un enjeu énorme pour le département. Julien Atchadé, tel le gardien de la citadelle, l'a compris qu'il s'est engagé à sauver ce qui peut encore l'être.
Depuis plus de 20 ans, il parcourt les localités à les collecter. Il s'emploie à recenser l'histoire qui leur est rattachée, leurs origines, les circonstances dans lesquelles on les joue, ainsi que les interdits et les rites qui leur sont liés. C'est dans ces conditions qu'il a ouvert le Musée de musique de Parakou le 1er août 2010 qui depuis lors, fait son petit bonhomme de chemin.
Rares sont les jeunes qui comme eux continuent de s'intéresser aux instruments de musique traditionnelle à la cour royale de Parakou
Comme anecdote, il raconte que pour avoir le Baratourou, un tambour que l'on fait résonner au cours des cérémonies d'intronisation des rois Bariba dans le Borgou, qu'ils l'ont fait balader pendant près de 10 ans. Au Bénin, informe-t-il, il n'y a qu'une seule famille qui joue de cet instrument. Elle réside à Tchaourou, plus précisément dans le village de Guininrou. « C'est dans cette seule famille qu'on retrouve encore les joueurs de cet instrument », assure Julien Atchadé.
Pour entrer en sa possession, ils l'ont obligé à rencontrer un certain nombre de personnes à Parakou, Malanville et dans certaines localités du Nigeria. Selon lui, les détenteurs du Baratourou ont voulu se convaincre de sa bonne foi, tester sa capacité à résister et son honnêteté à ne pas en faire un mauvais usage. En le soumettant à cet exercice, ils ont voulu s'assurer que c'est en de bonnes mains qu'ils remettaient l'instrument.
« Celui qui s'est chargé de me le remettre, doit avoir aujourd'hui 80 ans. Il pleurait pratiquement, lorsqu'il le tenait dans ses mains. Il avait de la peine à s'en séparer. J'ai eu l'impression qu'il me confiait une lourde responsabilité », poursuit Julien Atchadé. « Plus qu'un instrument de musique, c'est une partie de sa vie ou de lui-même qu'il m'a confiée. C'était très émouvant », a-t-il laissé entendre. Ses efforts lui ont donc permis de récupérer des spécimens d'instruments de musique en voie de disparition.
L'Etat, a indiqué le promoteur culturel, ne les aide pas. Il veut plutôt leur faire payer des redevances. « A défaut d'aider le lézard à augmenter sa graisse, il vaut mieux lui laisser le peu qu'il a », plaide Julien Atchadé.
De la restauration de nos danses
Exécutées aux sons des sonorités produites par ces instruments, les danses et autres rites ne sont pas épargnés. Soucieuses de leur sauvegarde, les initiatives comme le festival « Ségan » s'inscrivent dans la même démarche que le Musée de musique de Parakou. Selon son directeur Prosper Bohoun, ce festival vise à les valoriser et à restaurer celles qui sont menacées d'extinction. L'année dernière, c'est au « Fo kpaï », une danse de l'espace Baatonu, qu'elle a offert l'opportunité de faire forte impression.
Toutefois, ce n'est pas pour autant, qu'il faudra présenter ces danses sous forme de spectacles dans des endroits profanes. Les sortir de leur cadre d'expression consiste certainement à les vider de leur sens. Il s'ensuit, qu'elles sont galvaudées, les profanes et non-initiés y greffant toutes sortes d'artifices.
Dénonçant une façon de prostituer les rites sacrés, Julien Atchadé fait constater qu'il y a une autre menace qui ne dit pas son nom. « C'est ahurissant que pour des activités que des hommes politiques organisent, des adeptes des divinités sacrées acceptent de venir se produire », s'insurge-t-il. Selon lui, il y a des rythmes que l'on ne joue pas n'importe comment, n'importe où et n'importe quand.
C'est le cas du Wuru, une danse religieuse et sacrée à l'origine. A la faveur des festivités populaires, elle a fini par se retrouver dans la rue. Naguère, explique la septuagénaire Wassirath Yaha Douarou, elle était exécutée à l'occasion des funérailles avec des rituels appropriés tels que celui de l'enterrement d'une marmite. Portant des accoutrements indiqués, ses danseurs sont investis de la mission d'aider la personne défunte à expier les péchés qu'il a commis dans sa vie, puis de recommander son âme.
Ces instruments produisent des sonorités unique et rare
Il y a donc à s'inquiéter pour les instruments de musique traditionnelle et les rites sacrés, leurs derniers initiés accusant aujourd'hui le poids de l'âge. Sous l'effet de la scolarisation poussée et de l'invasion du département du Borgou par les religions révélées, les jeunes hésitent à prendre la relève. Les premiers à faire frais de cette situation, ce sont les divinités. Elles finiront par se retrouver seules et abandonnées.
La Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS) a décidé de numériser le document d’affiliation qui peut, désormais, être téléchargé et extrait, par les assurés sociaux, via l’espace » el Hanaa » a indiqué, dimanche, un communiqué de la CNAS. « Dans le cadre de la simplification des procédures administratives et d’une prise en […]
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La commission spéciale dépêchée à Sétif par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a entamé dimanche son travail sur la situation épidémiologique dans cette région suite à la propagation du Covid-19, a-t-on appris de source médicale. Les représentants de la commission d’enquête, des cadres de la direction […]
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Longtemps la Côte d’Ivoire a pensé passer à coté de l’épidémie du nouveau Coronavirus, a tel point que mi mai, le Président Alassane Ouattara avait annoncé l’allègement de certaines restrictions. Mais après une longue période sans décès ou les guérisons étaient plus nombreuses que les nouvelles infections, la Côte d’Ivoire se réveille avec le retour […]
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Invité sur l'émission ‘'90 minutes pour convaincre'' de la radio nationale ce dimanche 21 juin 2020, le directeur de cabinet du ministère de la santé, Pétas Akogbéto a apporté des clarifications sur l'augmentation du nombre de cas de Coronavirus au Bénin
Selon le directeur de cabinet, plusieurs facteurs expliqueraient cette augmentation observée depuis l'allègement des mesures barrières par le gouvernement. Il a cité entre autres, la multiplication des tests de dépistages, le non-respect des mesures barrières édictées par le gouvernement et la période d'hibernation que traverse actuellement le pays. « On a constaté que la plupart des pays de la région côtière sont à forte augmentation », a fait observer Pétas Akogbéto établissant un lien entre avec la période d'hibernation que le pays traverse. A l'en croire, « le froid pourrait jouer un rôle » dans la hausse observée du nombre de cas confirmés de Covid-19. Le directeur de cabinet a par ailleurs précisé que les départements les plus touchés par la pandémie, sont le Littoral, de l'Atlantique et de l'Ouémé.
Pour ce qui concerne les sites de prise en charge et de traitement des patients, il en existe trois, a rappelé le directeur de cabinet. L'un à Cotonou, le second à Allada, et un troisième à Parakou doté d'une capacité de 250 personnes. Ces trois sites, rassure le DC, sont actuellement fonctionnels. Deux autres seront bientôt fonctionnels d'ici peu dans les villes d'Abomey-Calavi et de Natitingou, a-t-il ajouté. « A côté de ses structures de prise en charge, nous avons encore élargi nos réseaux de soins. Nous avons 89 sites de dépistage répartis sur l'ensemble du territoire national pour faciliter le dépistage. Nous avons des laboratoires qui permettent également de faire la Pcr », a expliqué Pétas Akogbéto. Exhortant les populations au respect des règles barrières, il a souligné que la pandémie de la Covid-19 « est l'affaire de tous. Ce n'est pas seulement l'affaire du gouvernement et du ministère de la santé. Chacun doit pouvoir prendre ses responsabilités », a confié le directeur de cabinet.
Selon les dernières statistiques du gouvernement, le Bénin à la date du 20 juin 2020 compte 765 cas confirmés, 499 patients sous traitement, 253 déclarés guéris, et 13 décès.
F. A. A.
Lancement officiel de l'examen du Certificat d'Aptitude Professionnelle (CAP) ce lundi 22 juin 2020 par le ministre Mahougnon Kakpo.
4875 candidats planchent pour l'examen du CAP au Lycée Technique de Bohicon. Les candidats composent dans les options telles que : Sciences et Techniques Industrielles (STI), Enseignement Familial et Social (EFS), Hôtellerie, Restauration (HR) et Sciences et Techniques des Métiers d'Art (STMA).
L'examen de fin d'année du CAP a connu un taux d'accroissement de 1,92% soit 4875 candidats inscrits contre 4783 candidats en 2019. Ils sont répartis comme suit : STI : 4241 candidats, HR : 560 candidats, EFS : 33 candidats, STMA : 41 candidats.
A.A.A