Les algériens ont l’habitude de visiter les cimetières en groupes ou en familles les jours de l’Aïd mais cette année ça sera différent en raison de l’épidémie du Coronavirus qui a fait plus de 500 morts en Algérie. En effet, le secrétaire général de la Coordination nationale des imams, Djelloul Hadjimi a recommandé une visite […]
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Après 30 jours de jeûne et de privation, la communauté musulmane va célébrer dimanche 24 mai prochain, la fête de Ramadan. L'Union islamique du Bénin (UIB) au cours d'une conférence de presse ce vendredi 22 mai a rendu l'information publique.
Selon le secrétaire général de l'Uib, l'Imam Djalil Abdoul Yessouf, toute déclaration contraire à celle de l'Uib ce vendredi est nulle et de nul effet. La fin du jeûne de Ramadan indique-t-il, est pour ce samedi 23 mai avant la fête qui aura lieu dimanche.
En raison du contexte de la pandémie du Coronavirus dans lequel cette célébration va avoir lieu, le secrétaire général de l'Uib a souligné que les prières au lieu des places Idi, se feront à la maison en famille, en groupe ou de façon individuelle. Même en l'absence de Sermon, celui qui dirige la prière peut faire la prêche dans le respect des règles barrières à la Covid-19, a précisé l'Imam.
Encore appelé Aïd El Fitre. la fête de Ramadan marque la fin du jeûne de Ramadan qui dure 30 jours.
F. A. A.
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a fait savoir, jeudi dernier, qu’un plan de déconfinement a été élaboré par son département. Lors de son passage à l’émission « L’Invité de la Rédaction » de la chaîne 3, M. Benbouzid a indiqué que ce plan de déconfinement a été […]
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Le premier ministre Abdelaziz Djerad, s’est exprimé, hier, vendredi 22 mai, sur l’évolution du Coronavirus (Covid-19) en Algérie. Lors du point de presse quotidien sur l’évolution de la pandémie, M. Djerad a indiqué que la crise du Coronavirus a créé « un véritable front interne patriotique » qui a permis de remporter plusieurs défis contre […]
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Dans la plupart des communautés au Bénin, que d'épreuves attendent les femmes qui viennent de perdre leur conjoint. En milieu Baatonu, tant d'exigences entourent la pratique du veuvage à laquelle elles sont également soumises. Au nom de la tradition, tout ce passe dans un silence complice.
Peuple du nord-est du Bénin, les Baatonu restent accrochés au respect de leurs traditions. C'est le cas avec le veuvage. Malgré l'invasion de l'islam, du christianisme et des religions révélées, ils ont permis aux rituels liés à cette pratique, de ne pas perdre leur importance. L'objectif est d'amener la conjointe d'un Baatonu décédé, à vaincre sa douleur ou surmonter sa souffrance. Au détour de diverses épreuves, il s'agit de la libérer des obligations contractuelles envers lui.
Tout un cérémonial autour
Selon la tradition Baatonu, avant de subir les rites du veuvage, il faut que ce soit l'homme qui l'ait marié et doté, alors qu'elle était encore une jeune fille. Dans le cas contraire, elle ne peut être considérée comme sa veuve, quel que soit le nombre d'enfants qu'ils ont eu.
En effet, aussitôt après le décès d'un Baatonu, la femme avec laquelle il s'est marié et a créé son foyer, est entouré par les vieilles femmes de la famille. Avant de lui retirer tout ce qu'elle porte comme bijoux, elles vont l'isoler quelque part.
Installée sur une natte, elle garde ses pieds allongés jusqu'à l'enterrement. « La nuit tombée, on va la chercher pour venir rester, en compagnie des vieilles femmes ou des femmes de sa génération, dans une chambre aménagée pour la circonstance », explique le journaliste à la retraite, Jacques Bagoudou.
Le visage voilé et un pagne traditionnel ceint au niveau de la poitrine, elle est d'abord conduite sur la tombe de son défunt époux, avant de rentrer dans la chambre pour le veuvage. Elle la touche simplement et y passe quelques instants.
Pour accéder à la chambre, c'est en reculant qu'elle le fera. D'ailleurs, interdiction lui est faite, d'en sortir seule. Elle y reste assise toute la journée sur une natte. C'est pour y passer aussi ses nuits. Même pour aller se soulager, elle doit se faire accompagner par les vieilles.
A l'entrée de la chambre de son conjoint, il y a un coussin de paille sur lequel est posée une petite jarre remplie d'eau et de feuilles de karité et de néré. C'est pour permettre aux visiteurs du monde auquel appartient désormais son conjoint, d'étancher leur soif.
Il y a un couteau traditionnel qu'elle tient dans tous ses déplacements. Selon le vieux Jacques Bagoudou, il lui permet de se défendre contre certains esprits mauvais qui accompagne son mari et qui voudront s'en prendre à elle. Dans sa main gauche, fait-il remarquer, la veuve tient en plus du couteau, une petite calebasse peinte en rouge et dans laquelle, se trouvent 3 morceaux de tiges rassemblés et dont les bouts sont attachés avec des fils blancs et noirs.
A l'arrivée des visiteurs, elle doit se mettre à pleurer et se lamenter, sans pour autant chercher à les dévisager. Ces derniers louent son courage, en lui lançant « Katoukabou ».
Des morceaux spécifiques prélevés sur l'animal abattu au cours des obsèques sont réservés pour ses repas dont la préparation est confiée à une vieille appelée Yon yankuru. Cette dernière étant appelée à diriger toute la cérémonie de veuvage, ce n'est pas la première venue qui s'occupe de ses propres repas. « En les préparant, celle sur qui le choix s'est porté ne doit pas adresser la parole ou répondre à qui que ce soit », explique Jacques Bagoudou. Le Yon yankuru a également l'obligation de ne pas manger seule. Elle partage son repas avec une autre personne de sa génération susceptible de la remplacer. Cette dernière a comme mission, d'empêcher les mouches de s'y poser. Le cérémonial va durer au moins une semaine. A partir du 8e jour, la veuve quitte le domicile conjugal pour une période de 4 mois. C'est pour rejoindre sa famille ou un de ses proches.
L'instituteur à la retraite, Idrissou Bio Abdoulaye, estime que ces 4 mois ne sont pas le fait du hasard. Selon lui, c'est le temps qu'il faudra pour qu'une éventuelle grossesse, si le défunt en était l'auteur, apparaisse au grand jour. Un avis que ne partage pas Jacques Bagoudou. « Si c'est le cas, pourquoi impose-t-on également les 4 mois à celles qui ne peuvent plus procréer », demande-t-il. Chez les Baatonu, soutient-il, le chiffre 4 est attribué aux femmes et le 3, aux hommes. « Lorsque c'est la femme qui décède, son conjoint observe 3 mois de veuvage », insistera le septuagénaire.
A la fin des 4 mois, elle se fera raser. C'est pour abandonner ensuite son pagne et son voile afin de renouer avec son habillement habituel. Quel que soit son âge, elle est alors libérée de tout engagement et peut retourner chez elle. Mais avant, elle ira remercier ceux qui l'ont assisté aux cours des obsèques.
Autant de réalités
La femme ne sera tout à fait pas soumise à ces mêmes pratiques, si l'homme a divorcé avec elle, après l'avoir épousé à son jeune âge. Si elle n'est pas éloignée des lieux, elle abandonne son nouveau foyer pour se présenter à la famille de son ex époux décédé. Mais encore faudrait-il qu'il n'y ait pas à la base du divorce, des problèmes d'indignité notoire ou de mauvaise conduite dans son ancien foyer conjugal. Si c'est le cas, elle ne sera pas autorisée à effectuer le veuvage.
Avant de rentrer dans la chambre de veuvage, il lui est demandé de jeter un œuf de poule d'une extrémité à l'autre de la tombe. Celui avec qui elle s'est entre temps remariée, ne doit pas l'en empêcher. Sous peine de compromettre sa vie, il s'abstiendra de chercher à la rencontrer au cours de la période.
Il y a aussi le cas de la femme qui n'a pas été mariée à son jeune âge. Elle était divorcée ou déjà veuve. Son veuvage, informe Jacques Bagoudou, est particulier. Elle peut porter son foulard et ne sera pas soumis aux autres rites. L'obligation ne lui est pas faite d'observer les 4 mois de veuvage.
En réalité, chez les Batonou, ce n'est qu'une seule fois dans sa vie que la femme subit les rites du veuvage. L'homme n'en est pas pour autant épargner. Il observe aussi les pratiques de veuvage qui le préparent à une nouvelle vie, sans sa compagne disparue.
Généralement, explique le sociologue Chamsdine Orou Goura, les plus concernées sont les femmes. « Nous sommes dans une société au sein de laquelle on pense que c'est la femme qui doit se soumettre. C'est elle qui est appelée à rejoindre son conjoint. On estime qu'elle n'ignore pas souvent la cause de son décès », poursuit-il.
Par ailleurs, rapporte le sociologue, il y a des hommes qui, de leur vivant, demandent à leurs conjointes de ne pas observer le veuvage à leur décès. « En dehors de la gestion de l'héritage qu'ils laissent, les dernières volontés d'un défunt ne peuvent reléguer la tradition au second plan », fait-il constater.
Autant de réalités qui, au-delà de la tradition, en ajoutent à la solennité du veuvage dans l'aire culturelle Baatonu. Ce qui n'empêche pas que dans la rue, chacun se fasse son opinion par rapport à la pratique.
Quoiqu'étant en plein 21e siècle, reconnaîtra Claude Yarou, nous ne devrons pas rejeter notre tradition. « Craignant des représailles pour leur vie, les femmes s'y soumettent. Elles sont obligées d'adopter un profil bas. Mais à leur place, je ne me laisserai pas faire », indiquera à sa suite, Anicette Orou Kouma. Selon elle, ces pratiques sont rétrogrades et constituent une nouvelle forme d'esclavage. « Doit-on torturer, sous prétexte qu'on la protège des mauvais sorts, celle avec qui le disparu a partagé une partie de sa vie ? », s'interroge cette étudiante à l'Université de Parakou. Abondant dans le même sens, Albertine Sossoumihin estime que le veuvage est un acte déshumanisant qui éprouve davantage la femme éplorée.
En réalité, chez les Baatonu, le veuvage affine le sens de la solidarité familial. Sans conséquence pour la personne qui l'observe, il lui permet de se refaire ou non, une nouvelle vie conjugale, tout en gardant les relations avec sa belle-famille. Que la communauté internationale se mobilise de plus en plus aujourd'hui, pour lutter contre toutes les formes de discriminations faites aux femmes, le risque de voir sa pratique disparaître, devient malheureusement élevé.
Le jeudi 21 mai 2020, les Seychelles ont reçu une troisième série de fournitures médicales de la Fondation Jack Ma (Alibaba), livrées sur un vol spécial d’Ethiopian Airways. Cette initiative de secours a été lancée par le Premier ministre éthiopien, le Dr Abiy Ahmed, la Fondation Jack Ma et la Fondation Alibaba. Inscrite dans le […]
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Un grand baobab de la musique béninoise vient de tomber. Le chanteur compositeur interprète Assa Cica (Michel Mahouklo KPODAN à l'état civil) a rendu l'âme ce vendredi au CNHU de Cotonou des suites d'une longue maladie. La vedette de la musique moderne d'inspiration traditionnelle est l'auteur de plusieurs chansons populaires dont Tinman sa lé, Ayato ganmènou, Yadonoumi, Dêmin, Aklunon, Sè dé wè do mi et Vi djin vè.
Assa Cica a marqué plusieurs générations depuis les années 70.
Il a démarré sa carrière avec l'orchestre Poly Rythmo de Cotonou avec la chanson Aga ma gnon nou hê dé. ‹‹ On m'a envoûté pour me faire perdre la voix››, confiait Assa Cica à des fans à qui il proposait l'achat de son CD, sur l'esplanade du stade de l'amitié de Cotonou.
Sa disparition est une grande perte pour le patrimoine nationale.
Les responsables de la prison civile d'Akpro-Missérété viennent d'être relevés de leurs fonctions. Le régisseur et le gardien chef ont été limogés suite au soulèvement enregistré récemment dans la maison d'arrêt.
Selon des sources confidentielles, les responsables du pénitencier ont été sanctionnés pour raison de complicité et de mauvaise gestion de la situation.
Les détenus ont organisé le 6 mai dernier des actes de vandalisme pour protester contre l'opération déclenchée par les autorités pour lutter contre la cybercriminalité et le trafic de stupéfiants au sein de la prison.
D. M.
Le porte-parole du comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du Coronavirus, Djamel Fourar, a indiqué, hier, que 190 nouvelles contaminations au Covid-19 et 7 décès ont été enregistrés lors des dernières 24 heures. Au total le nombre de cas confirmés s’élève à 7918, celui des décès à 582, alors que le total […]
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L’ancienne présidente de la Corée du Sud destituée en 2017, Park Geun-hye, risque jusqu’à 35 ans de prison. En effet, le parquet sud-coréen a requis, mercredi dernier, 35 ans de prison à l’encontre de l’ancienne présidente sud-coréenne. Jugée en appel pour corruption, la peine de prison requise contre l’ex-présidente de la Corée du Sud est […]
L’article 35 ans de prison requis à l’encontre de l’ex-présidente de la Corée du Sud est apparu en premier sur .
La Commission nationale de l’observation du croissant lunaire a annoncé, ce vendredi soir, que la fête de l’Aïd el-Fitr sera célébrée dimanche 24 mai en Algérie. Après consultation des données astronomiques, la commission a pris acte de l’impossibilité d’observer la nouvelle lune en cette nuit du doute. La Commission d’observation du croissant lunaire, qui a […]
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