Le joueur international algérien, Baghdad Bounedjah, est la star du club qatari Al Sadd, avec désormais deux buts et de passes décisives cette saison.
Al Sadd a bien commencé le match avec un but de Hassan Al Haidos à la 4ème minute de jeu, titulaire, l’attaquant algérien inscrit le deuxième but de son équipe après avoir dribblé trois défenseurs, une action « ronaldesque » selon les spécialistes, et ce, à la 21ème minute du jeu lors du match comptant pour la 3ème journée de Stars League, Al Sadd a joué contre Al Rayyan.
L’équipe de Bounedjah a encore marqué deux buts par André Ayew à la 24ème minute et Akram Afif à la 53ème minute, remportant le match (4-2), elle en tête du classement avec neuf points. L’entraîneur des Verts, Djamel Belmadi, était présent dans les tribunes du stade d’Al Rayyan, il a donc pu voir ses Fennecs, Bounedjah et Brahimi à l’oeuvre.
Coéquipiers en équipe nationale, adversaires avec leur clubsLe natif d’Oran s’est démarqué lors de cette rencontre face à son coéquipier des Verts, Yacine Brahimi, qui a débuté en tant que remplaçant avant rejoindre son équipe à la 63ème minute de jeu.
Cette rencontre n’est pas la seule à opposer nos internationaux, Riyad Mahrez et Said Benrahma vont également s’affronter pour le Carabao cup le 25 octobre prochain, pour le match de Manchester City et West Ham United. Les deux excellent dans leur clubs, des rendez-vous très importants les attendent notamment avec l’équipe nationale en octobre pour les éliminatoires de le Coupe du monde 2022 au Qatar.
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Décédé hier mercredi à l’hôpital militaire d’Ain Naadja, l’ancien chef de l’État et président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah a été inhumé ce jeudi 23 septembre 2021, au cimetière d’El Alia.
L’ancien chef de l’État, décédé à l’âge de 80 ans, vient donc d’être inhumé ce jeudi après-midi après la prière d’El-Dohr au Carré des Martyrs du cimetière El-Alia (Alger).
Comme celle de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika, enterré dimanche dernier, la cérémonie d’enterrement de Bensalah a également été marquée par la présence du président de la République Abdelmadjid Tebboune.
Plusieurs autres hauts responsables de l’État, membres du gouvernement ainsi que du corps diplomatique ont été également présents aux obsèques de l’ancien chef de l’État. Pour rappel, l’ex-chef de l’État et ancien président du Conseil de la nation (CN), Abdelkader Bensalah, est décédé hier mercredi à Alger, des suites à sa maladie.
Mise en berne de l’emblème nationalSuite au décès de Bensalah, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a décidé, hier la mise en berne de l’emblème national à travers tout le territoire national pour une durée de trois jours, à compter du mercredi 22 septembre.
Rappelant également que Bensalah avait occupé le poste de chef de l’État, le 9 avril 2019, conformément aux dispositions de l’article 102 de la Constitution, et ce, après la constatation par le Conseil constitutionnel de la vacance définitive de la présidence de la République.
Sa mission de Chef de l’État a pris fin après l’élection d’Abdelmadjid Tebboune nouveau président de la République le 12 décembre 2019.
Il avait démissionné du sénat après la lettre adressée, le 4 janvier 2020, au président Tebboune l’informant de sa volonté de mettre fin à son mandat à la tête de la Chambre haute du Parlement.
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Lors du lancement d'une nouvelle campagne, Amnesty International a demandé aux autorités érythréennes la libération immédiate et sans condition de 21 journalistes et hommes politiques arrêtés au cours d'une vaste répression de la dissidence il y a 20 ans.
Le 18 septembre 2001, il y a 20 ans, les politiciens connus sous le nom de G-15 ont été arrêtés en Erythée après avoir dénoncé la « dérive dictatoriale » du président Issayas Afewerki. Le 21 et le 23 septembre de la même année des journalistes ont été aussi arrêtés. S'en est suivie la fermeture des médias indépendants. « Il est inadmissible que ces braves prisonniers d'opinion croupissent toujours en prison depuis 20 ans qu'ils ont été arrêtés pour avoir exercé leurs droits humains, sans aucun mot des autorités sur leur situation actuelle, et que l'interdiction des médias indépendants reste en place », a déclaré Deprose Muchena, directeur régional d'Amnesty International pour l'Afrique orientale et australe.
Pour lui, « les jours se sont transformés en mois, les mois en années et maintenant les années se sont transformées en décennies d'angoisse sans fin pour ces détenus, leurs familles et leurs proches ». « Nous appelons le président Isaias Afewerki à prendre des mesures significatives pour mettre fin à cette parodie de justice », a-t-il affrimé.
Les journalistes arrêtés entre le 21 et le 23 septembre 2001 sont Dawit Isaak, Seyoum Tsehaye, Dawit Habtemichael, Mattewos Habteab, Fesseaye "Joshua" Yohannes, Amanuel Asrat et Temesegn Gebreyesus, Said Abdelkader, Yosuf Muhamed Ali et Medhanie Haile. Les politiciens (tous membres du Front populaire pour la démocratie et la justice (PFDJ) au pouvoir d'Isaias ) comprennent l'ancien vice-président Mahmoud Ahmed Sheriffo et son épouse et héroïne de la guerre d'indépendance Aster Fissehatsion et les anciens ministres des Affaires étrangères Haile Woldetensae et Petros Solomon. Neuf des hommes politiques et des journalistes auraient déjà été tués en détention, une affirmation que les autorités érythréennes refusent de confirmer.
« Il y a aussi de nombreux autres politiciens, journalistes et militants qui ont été arrêtés et détenus sans inculpation avant septembre 2001 et depuis lors et ils doivent également être libérés », a ajouté Deprose Muchena.
Certains des détenus de premier plan en Érythrée comprennent l'ancien ministre des Finances Berhane Abraha, qui a été arrêté en septembre 2018 à la suite de la publication d'un livre considéré comme critique envers le président Isaias. Ciham Ali, la fille de l'ancien ministre de l'Information Ali Abdu, qui a fait défection, a été arrêtée en 2012 à l'âge de 15 ans, alors qu'elle tentait de fuir le pays.
Amnesty International a documenté des conditions de détention extrêmement mauvaises en Érythrée, s'apparentant dans certains cas à des traitements cruels, inhumains ou dégradants. Les prisons en Érythrée sont généralement surpeuplées, avec des installations d'approvisionnement en eau et d'assainissement inadéquates et une alimentation et une eau potable de mauvaise qualité.
Ce lundi, un ressortissant algérien résidant en France, accusé d’avoir « crevé des pneus de 40 véhicules », a été condamné par le tribunal de La Rochelle, a-t-on appris du site Actu.fr.
Selon la même source, l’affaire remonte à la soirée du 22 mars dernier, où un jeune Algérien, dénommé Abderrahmane et âgé de 28 ans, a procédé à la crevaison de plus de 60 pneus de 40 véhicules stationnés dans son propre quartier, et ce, dans l’espace de deux heures.
À cet effet, un témoin l’a aperçu, au moment des faits, en train de crever les pneus et a immédiatement prévenu les services sécuritaires, qui n’ont pas tardé à intervenir.
La même source précise que parmi toutes les victimes du mis en cause, uniquement trois personnes se sont constituées partie civile.
Deux mois de prison avec sursis à l’encontre du mis en causeLe vingtenaire habitant le quartier Mireuil dans la commune de La Rochelle, lui a été reproché d’avoir crevé 62 pneus de 40 voitures.
Ce lundi 20 septembre 2021, à la barre du tribunal de La Rochelle, le mis en cause et pour justifier son acte commis lors de la soirée du 22 mars 2020, a dit avoir pris de l’alcool et de l’ecstasy, en ajoutant que » le confinement l’a rendu dingue « .
À cet effet, le coupable a été condamné à deux mois de prison avec sursis, après que le ministère public a requis à son encontre trois mois de prison avec sursis. En outre, Abderrahmane doit également dédommager les trois victimes de la partie civile, ajoute la même source.
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Devant les membres du sénat, le premier ministre, Aimene Benabderahmane, a défendu le plan d’action de son gouvernement. Parmi les point sur lesquelles il s’est penché, figue la politique d’aide sociale. Une question qui revêt la plus grande importance au moment où la société glisse peu à peu vers un appauvrissement de ses franges les plus défavorisées.
Le premier ministre a indiqué devant les membres du Conseil de la Nation que le registre national unifié sera bientôt prêt. L’élaboration de ce registre s’inscrit dans le cadre d’une politique de l’état plus « plus ciblée », qui vise à aider les catégories les plus vulnérables.
Ciblage social : un espoir pour les plus pauvres ?Le premier ministre a notamment affirmé que son gouvernement va tout miser pour un « meilleur ciblage » des franges les plus appauvries de la société Algérienne. Benabderahmane a aussi rappelé que 1.900 milliards de Dinars sont alloués aux transferts sociaux, soit 9,4 % du PIB et 23,78 % du budget de l’État.
Le gouvernement, selon le premier ministre s’engage donc dans une politique qui consiste en une réforme du modèle d’aides sociales. Les parties les plus défavorisées et nécessiteuses de la société vont désormais bénéficier transferts monétaires.
Les familles les plus touchées par la crise inflationniste et par l’appauvrissement dû à la dévaluation de la monnaie nationale vont donc bénéficier d’un revenu supplémentaire qui vise à couvrir la hausse généralisée des prix, notamment ceux des denrées alimentaires.
Benabderahmane a rappelé que le plan d’action de son gouvernement a notamment comme axe prioritaire « le renforcement de la cohésion sociale par l’augmentation et le soutien du pouvoir d’achat des citoyens et l’amélioration de la prise en charge des catégories défavorisées ».
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Le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a de nouveau évoqué le recours à l’endettement extérieur et à la planche à billets, et ce, lors de la présentation du plan d’action du gouvernement devant les membres du Sénat.
Lors d’une séance plénière consacrée aux réponses aux questions des sénateurs sur le Plan d’action du Gouvernement, le Premier ministre a écarté le recours, « comme par le passé » à la planche à billets et à l’endettement extérieur.
« En dépit de la conjoncture économique, induite notamment par la pandémie (Covid-19), l’État n’a pas recouru à la planche à billets comme, par le passé, ni à l’endettement extérieur et n’envisage pas de le faire », a-t-il déclaré.
Pour faire face à la conjoncture économique actuelle, le premier responsable du gouvernement a énuméré plusieurs mesures entreprises par le gouvernement, pointant les lacunes de l’ancien système.
Les prévisions de Benabderrahmane« L’État s’est orienté vers la rationalisation des dépenses et la maîtrise des importations, loin du gaspillage et de la corruption qui marquaient les opérations d’importation », a souligné le Premier ministre en réponse aux questions des sénateurs.
Dans ce contexte, Aïmene Benabderrahmane a souligné que son exécutif prévoit une baisse de la valeur des importations de l’Algérie à la fin de l’année 2021 de plus de la moitié de la valeur enregistrée en 2014 pour atteindre 30,4 milliards de dollars.
Selon lui, « la facture des importations atteindra 30,4 milliards de dollars à la fin de l’année 2021, contre 64 milliards USD en 2014 ». Une baisse qui traduit « le niveau de la corruption et du gaspillage que connaissait le pays durant les précédentes années ».
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Alors que l’Algérie a été confrontée à une nouvelle vague de contamination au Covid-19, le gouvernement français a décidé, le 19 août 2021, de placer les voyageurs en provenance de ce pays sur la liste rouge.
En effet, la France avait considéré l’Algérie comme » pays dans lequel on observe une circulation active du virus avec présence de variants préoccupants « . Sur ce, de nouvelles mesures ont été entrées en vigueur pour les voyageurs en provenance de ce pays.
Ces dernières exigent aux voyageurs d’être vaccinés uniquement par les vaccins homologués par l’Agence européenne du médicament, à savoir, Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen, afin de pouvoir entrer dans le territoire français sous réserve de présenter un test PCR négatif réalisé au plus 72 h avant l’embarquement.
En revanche, si ces mêmes voyageurs ne sont pas vaccinés, ils devront justifier d’un motif impérieux, présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures avant l’embarquement et s’auto-isoler pendant dix jours à leur arrivée en France.
Le vaccin chinois Sinovac désormais reconnu par la FranceEn effet, selon un décret paru hier, mercredi 22 septembre sur le Journal officiel français, tous les vaccins validés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), à l’instar du vaccin chinois Sinovac, le Serum Institute of India et Sinopharm, sont désormais reconnus par la France.
Sur ce, les voyageurs depuis l’Algérie ayant reçu leurs doses du vaccin chinois Sinovac, vont pouvoir voyager en France, et ce, en statut de voyageurs vaccinés, et ne seront plus soumis aux mesures restrictives imposées par le gouvernement français auparavant.
Par ailleurs, les voyageurs vaccinés par ledit vaccin doivent s’acquitter d’une nouvelle obligation nécessaire, qui leur impose de recevoir une dose complémentaire de vaccin Pfizer ou Moderna, et ce, afin de disposer d’un pass sanitaire en France.
Il convient également d’indiquer que le nouveau décret précise que le pass sanitaire sera délivré aux voyageurs après sept jours de l’administration de la dose complémentaire de Pfizer ou Moderna.
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Trois journalistes ont été condamnés, mercredi 22 septembre 2021, à 6 mois de prison dont 3 fermes au tribunal de Cotonou pour « harcèlement par le biais d'une communication électronique » sur des publications contre dame Juliette Gbéti Gbaguidi, cheffe d'entreprise spécialisée dans les vêtements et accessoires pour femme ronde.
Le verdict est tombé dans l'affaire de « harcèlement par le biais d'une communication électronique » pour laquelle la PDG de Beauté Ronde poursuit trois (03) journalistes béninois.
Gilbert Dagan, Anatole Adahou et Argos Adihounda ont été condamnés à 6 mois de prison dont 3 fermes le mercredi 22 septembre 2021 par le Tribunal de première instance de première classe de Cotonou.
Les trois journalistes sont mis en cause pour des publications « incendiaires et injurieuses » diffusées sur les réseaux sociaux sur la personnalité de dame Juliette Gbéti Gbaguidi, PDG de Beauté Ronde.
Les journalistes n'ont pas été les seuls à écoper de sanction dans cette affaire. Un cadre du ministère des Affaires étrangères, présumé commanditaire des publications incriminées, a été condamné à six (06) mois mais avec sursis par le tribunal.
Un mandat d'arrêt avait été émis contre les journalistes à la suite de la plainte de la victime. Un règlement à l'amiable de l'affaire par des organisations faîtières de la presse n'a malheureusement pas abouti.
Selon les dispositions (article 10, article 11 et 550 alinéa 1er notamment) de la de la loi n°2017-20 du 20 avril 2018 portant code du numérique en République du Bénin, les publications par voie électronique sont réglementées. « Veiller à ne pas mettre en cause, sans information crédible et vérifiée, la réputation et l'honneur d'autrui. Eviter à cet effet la diffusion de contenu pouvant porter atteinte à l'honneur, à la réputation, à l'image, à la vie privée ou à caractère diffamatoire (...). Une personne qui commet une infraction de presse, notamment une diffamation, une injure publique, une apologie de crime, par le biais d'un moyen de communication électronique public, est punie des mêmes peines que celles prévues par la loi n°2015-07 du 20 mars 2015 portant code de l'information et de la communication en vigueur, quel qu'en soit le support (...). Quiconque initie ou relaie une fausse information contre une personne par le biais des réseaux sociaux ou toute forme de support électronique est puni d'une peine d'emprisonnement d'un (01) mois à six (06) mois et d'une amende de cinq cent mille (500 000) FCFA à un million (1 000 000) de FCFA, ou de l'une de ces peines seulement », disposent les articles 10, 550 alinéa 3 et 558 de la de la loi n°2017-20 du 20 avril 2018 portant code du numérique en République du Bénin.
M. M.
Le Chef de la diplomatie Algérienne Ramtane Lamamra, a dénoncé le discours de haine, le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et les intolérances. C’est depuis New York, que Lamamra s’est exprimé. Le ministre et diplomate représente l’Algérie à la cérémonie de célébration du 20ᵉ anniversaire de la déclaration de Durban.
Lamamra a fait un discours dans lequel il affirme que « l’Algérie dénonce la montée prépondérante du populisme qui véhicule une rhétorique haineuse et un discours de rejet de l’autre ». Le Discours de Lamamra fait également allusion à « l’attitude irresponsable » de certains médias qui s’attaquent à certaines communautés et religions.
L’Algérie se positionne contre l’extrémisme violentProfitant de cette occasion, Lamamra a indiqué que l’Algérie dénonce fortement « l’attitude irresponsable de certains médias qui stigmatisent et s’attaquent à des communautés et des religions les accusant de tous les maux, attisant ainsi la haine et nourrissant l’extrémisme violent ».
Lamamra affirme que l’Algérie a su rester » fidèle aux principes et valeurs ayant inspiré sa révolution et sa politique aux niveaux national et international ». Le chef de la diplomatie a également souligné que la constitution Algérienne a consacré le principe de non-discrimination entre les citoyens.
Les lois et les dispositifs législatifs qui ont été promulgués en Algérie visent à « non-discrimination et à l’égalité entre nationaux et non-nationaux devant la loi », mais aussi à « prévenir et lutter contre la discrimination et le discours de haine, lutter contre l’apparition de nouvelles formes de discrimination à travers les réseaux sociaux », souligne encore Lamamra.
Lamamra a notamment évoqué « la création d’un Observatoire national de la prévention de la discrimination et du discours de la haine ». Une instance qui, il le rappelle, « placée président de la République, prévoit également la protection et la prise en charge des victimes ».
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A l’occasion de la 7ème journée de Ligue 1, le FC Metz reçoit le Paris Saint Germain, ce dernier s’est imposé (2-1), mais ce n’est pas le score de ce match qui a fait polémique, mais plutôt le comportement de Kylian Mbappé engendrant la colère d’Alexandre Oukidja.
Lors de la rencontre entre FC Metz et le PSG, le leader du championnat a remporté le match grâce à Achraf Hakimi, la nouvelle recrue du PSG a signé un doublé, offrant la victoire à son équipe. C’est son deuxième but justement qui a suscité une dispute et des tensions.
Pour célébrer le deuxième but de son coéquipier, Kylian Mbappé s’est approché d’Oukidja lui glissant quelques mots pour le chambrer, il lui avait déjà mal rendu le ballon et avec un air moqueur, chose qui n’a pas plus au gardien de but des Verts. L’algérien, en colère, se dirige vers Mbappé parti célébrer avec son équipe. Neymar repousse Oukidja, mettant ainsi de l’huile sur le feu, son geste le faisant tomber par terre n’a fait qu’attiser les tensions.
Après le coup de sifflet final, et la défaite du FC Metz, l’international algérien s’est à nouveau dirigé vers l’attaquant du PSG certainement pour s’expliquer, cependant, les parisiens sont intervenus pour tenter de calmer les deux.
Ce qu’en pense l’entraîneur messinBien que Kylian Mbappé soit beaucoup apprécié pour son talent et ses performances, son comportement manque d’humilité.
« Kylian Mbappé aurait intérêt à avoir un autre comportement s’il veut être aimé. Tout simplement. J’adore ce joueur, il est très très fort mais il devrait avoir un comportement un peu plus humble» a déclaré l’entraîneur messin, Frederic Antonetti, lors d’une conférence de presse après le match.
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Le ministre de la Santé s’est exprimé ce jeudi 23 septembre, sur la situation de la campagne de vaccination contre le coronavirus en Algérie, avançant le chiffre de 50% de citoyens vacciner.
Dans une allocution prononcée lors d’une réunion avec d’autres ministres afin de renforcer la campagne nationale de vaccination, le ministre de la Santé a affirmé l’Algérie a atteint « le taux de 50% des catégories concernées par la vaccination contre l’épidémie du Covid-19″.
Ainsi, le ministre précise que 50% de la catégorie concernée par la vaccination ont bénéficié de la campagne, soit un nombre de 10 millions de personnes d’un total de 20 millions.
Selon lui, après la troisième vague du coronavirus qui a touché l’Algérie, la campagne de vaccination a connu un bond significatif, avec pas moins de 250 000 doses injectées en cette période.
« Un taux de protection acceptable pour faire face à la 4e vague »Dans le même sillage, le premier responsable du secteur sanitaire souligne la nécessité de renforcer et d’accélérer la campagne de vaccination contre le coronavirus, afin de toucher un plus grand nombre de personnes et ainsi faire face à l’épidémie.
À ce propos, il insiste sur la nécessité de la vaccination dans tous les secteurs afin d’éviter la 4e vague. Cependant, Benbouzid a fait savoir que certains pays ont fixé la barre de l’immunité à seulement 30% de la population vaccinée.
Dans ce sens, il estime que le taux qu’a atteint l’Algérie, à savoir 50 % des catégories concernées, est un taux tout à fait acceptable. Pour lui, ce taux renforce également les préparatifs de l’Algérie en vue de l’avènement d’une quatrième vague, et ce, avec un taux de protection assez acceptable.
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Dans le cadre du débat du Plan d’action du Gouvernement, le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a appelé les particuliers à investir dans le domaine des transports, à savoir, les transports aérien et maritime, jusque-là non autorisés.
En effet, et afin de répondre aux questions des membres de Conseil de la nation, le Premier ministre a déclaré : » l’investissement est désormais ouvert, notamment pour certains secteurs, jusque-là interdits, dont le secteur du transport maritime et le transport aérien. Ces derniers sont actuellement autorisés officiellement « .
L’homme politique Algérien a ajouté : » j’invite les détenteurs de capitaux à s’engager dans ce genre d’investissements, particulièrement les transports aérien et maritime « .
La voie pour les investisseurs privés est désormais ouverteDans le même chapitre, Aïmene Benabderrahmane a fait savoir que plusieurs dossiers d’investissement ont été déposés au niveau du ministère des Transports. En outre, le même responsable a appelé les investisseurs privés désirant investir dans des projets liés aux domaines des transports maritime et aérien à déposer leurs dossiers, précisant que » la voie leur étant ouverte « .
Pour rappel, à la date du 28 juillet dernier, une réunion s’est tenue entre le ministre des Transports et des opérateurs privés qui tentent depuis plusieurs années d’investir dans le secteur du transport aérien.
Ladite réunion a été particulièrement marquée par l’absence de la compagnie aérienne nationale Air Algérie, ce qui laisserait penser qu’il y a une volonté de la part du gouvernement de faire émerger des nouvelles compagnies aériennes privées en Algérie.
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Après les députés de l’APN, le premier ministre, Aimene Benabderahmane, a défendu le plan d’action de son gouvernement devant les membres du Conseil de la Nation. Le premier ministre s’est notamment penché sr la question de l’augmentation des salaires.
Alors que le pouvoir d’achat du citoyen algérien s’amenuise de plus en plus, la question de l’augmentation des salaires se pose avec d’autant plus d’insistance. Le Premier ministre, devant les sénateurs, a pourtant indiqué que son gouvernement est encore loin de pareille décision.
Une approche « participative inclusive »Le premier ministre a pourtant indiqué que la question de la révision de la grille des salaires figure parmi les priorités de son gouvernement, et quelle constitue « axe important dans son programme ». Aimene Benabderahmane a également fait savoir que cette question sera traitée dans le cadre « d’une approche participative inclusive, dans le cadre d’une large réforme du système de la fonction publique « .
Le gouvernement, selon Benabderahmane, travaille pour minutieusement réévaluer politiques des salaires. Pour ce faire, le premier ministre compte miser sur des enquêtes et des études qui vont toucher tous les secteurs d’activités, notamment ceux économiques. Une manière de procéder qui va sans doute permettre d’orienter les choix du Gouvernement, indique Benabderahmane, sans avancer la moindre date.
Plus concrètement, le premier ministre n’a pas manqué de souligner que la révision de la grille des salaires reste « soumise à une batterie de mesures, de normes et de facteurs, notamment en ce qui concerne la productivité nationale et la moyenne d’inflation ».
Pour finir, le premier ministre a indiqué que la solution radicale pour garantir un bon pouvoir d’achat pour le citoyen reste de redynamiser l’économie, soutenir sa croissance et parvenir à une mobilité économique. Cela conduit, ajoute-t-il, à l’augmentation de la richesse et à la création d’emplois, qui sont considérés comme « la base des solutions aux divers problèmes économiques et sociaux »
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Nos deux internationaux algériens, Riyad Mahrez et Saïd Benrahma, ne cessent de briller dans leurs clubs, coéquipiers en équipe nationale mais adversaires en Carabao cup, les deux s’affronteront bientôt.
Le tirage au sort du 4ème tour de la Coupe de la Ligue anglaise nous donne un grand match dans les semaines à venir, opposant Manchester City et West Ham United.
Le 25 octobre prochain, Manchester City jouera contre West Ham, Mahrez et ses coéquipiers ont pour objectif la Coupe, l’ayant déjà remporté huit fois, dont quatre titres consécutifs, ils sont plus déterminés que jamais. Les Hammers vont donc recevoir les hommes de Guardiola à domicile, au stade olympique de Londres.
Lors de la dernière finale du Carabao Cup, le capitaine des Verts était l’homme du match, il avait crée plusieurs occasions, et avait délivré de nombreuses passes importantes.
Mahrez et Benrahma, le duel de chocLes deux Fennecs au talent indéniable se sont montrés très performants récemment, tout les deux buteurs et importants sur le terrain.
Rappelons que Mahrez, a marqué sur penalty contre le RB Leipzig, il a également signé un superbe doublé dans les filets de Wycombe Wanderers, en plus de délivrer une passe décisive, il fait un excellent travail avec les Citizens. Faisant de lui clairement un élément indispensable pour l’équipe.
Quant à Benrahma, malgré sa blessure au genou,il s’est démarqué contre Manchester United, inscrivant un but à la 30ème minute, ainsi enregistrant sa troisième réalisation en Premier League.
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La situation des brûlés lors des incendies de la Kabylie, hospitalisés à l’hôpital de Douera, semble enfin connaitre un dénouement. Plusieurs d’entre eux, dont les blessures sont jugées graves, seront transférés à l’étranger.
En effet, les autorités algériennes devront transférer ce jeudi après-midi, huit brûlés lors des incendies ravageurs qu’a connus la wilaya de Tizi Ouzou, vers la Turquie (Istanbul), pour une prise en charge médicale.
Il convient également de préciser qu’au total, 62 brûlés avaient été transférés vers « Djillali Bounaama » à Douera, pour une prise en charge adéquate à leur état. Une mesure annoncée par le ministre de la Santé, en marge de la visite du Premier ministre en compagnie d’une délégation ministérielle à Tizi-Ouzou.
Pas moins d’une dizaine d’entre eux ont succombé à leurs brûlures. Huit d’entre eux, dont les blessures causées par les feux sont jugées graves, seront ainsi transférés aujourd’hui en Turquie.
Pour rappel, le président de la République s’est engagé auprès de familles de blessés, lors de sa visite à l’hôpital de Douéra, « de ne pas abandonner leurs proches », soulignant la disposition de l’État à « leur assurer le traitement, même à l’étranger ».
« Ikhlidjen » continue d’enterrer les siensAu niveau de l’hôpital de Douera, l’on parle d’une dizaine de brûlés qui ont succombé à leurs blessures. Les deux derniers décès en date remontent à la journée du mardi dernier. Plusieurs autres blessés sont en réanimation.
La décision des autorités de transférer les huit brûlés à l’étranger est intervenue suite aux multiples appels de détresse lancés par les familles des victimes. À Ikhlidjen, le village le plus touché par les flammes, les habitants se sont réunis, samedi dernier, afin de lancer un cri de détresse concernant la situation de leurs concitoyens hospitalisés à l’hôpital de Douéra.
Au niveau de ce village sinistré, qui a déjà enterré 22 citoyens, les victimes n’arrêtent pas d’arriver. Les deux derniers décès signalés parmi les brûlés hospitalisés à Douera sont également de ce même village. Il s’agit de la jeune Imerzoukene Radia, qui a laissé derrière elle deux orphelins et son mari, Dahoun Rachid, âgé de 52 ans.
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Le Président de la République Patrice Talon a reçu le serment des deux remplaçants des membres démissionnaires du Conseil électoral. C'est à travers une cérémonie solennelle qui s'est tenue, mercredi 22 septembre 2021, à l'annexe de la Présidence en présence du Président de l'Assemblée nationale, du ministre de la Justice, du ministre de l'intérieur et d'autres invités.
Le Conseil électoral est désormais au complet ! Mme Laurentine Adossou Davo (remplaçante de M. Koffi Adolphe Djiman) pour le compte du Président de la République et M. François Adebayo Abiola (remplaçant de M. Boukary Adam Soulé) pour le compte de la minorité, parlementaire sont officiellement entrés en fonction. Les deux membres remplaçants des démissionnaires ont prêté serment, mercredi 22 septembre 2021, à l'annexe de la Présidence en présence du Président de la République, du Président de l'Assemblée nationale, du ministre de la Justice, du ministre de l'intérieur et d'autres invités.
Le Président de la République, Patrice Talon a pris acte du serment des deux nouveaux membres avant de les renvoyer à l'exercice de leurs fonctions. Le chef de l'Etat s'est réjoui de l'opérationnalisation de la CENA nouvelle mouture prête à continuer l'organisation d'élections qualitatives.
Avant la prestation de serment proprement dite, le Secrétaire général du Gouvernement Monsieur Edouard Ouin-Ouro a donné lecture du décret N° 2021-414 du 28 juillet 2021 portant nomination des membres du Conseil électoral au sein de la Commission électorale nationale autonome.
Le Conseil électoral est composé de cinq membres à savoir Sacca Lafia (Président), Sanni Gounou, Nicolas Luc Aurelien Assogba (qui ont prêté serment le 14 juillet dernier devant le Président de la République), Koffi Adolphe Djiman et Laurentine Adossou Davo (dont le serment a été reçu le 22 septembre 2022).
Selon la loi N° 2019-43 du 15 novembre 2019 portant code électoral en République du Bénin, le Conseil électoral a pour missions, entre autres, de veiller à la bonne organisation des scrutins et à la sincérité des votes, de superviser les opérations de vote et la centralisation des résultats, de procéder aux vérifications et contrôles nécessaires, de publier les résultats provisoires des élections législatives et de l'élection du président de la République et de les transmettre à la Cour constitutionnelle puis de proclamer les résultats définitifs de l'élection des membres des conseils communaux.
Marc MENSAH
Cinq wilayas de l’est du pays seront au rendez-vous, ce jeudi 23 septembre 2021, avec de fortes pluies orageuses, indiquent les services de Météo Algérie. Des vents violents affecteront également sept wilayas côtières.
Il s’agit, selon la carte de vigilance publiée par l’Office national de météorologie des wilayas de Guelma, Constantine, Souk Ahras, Oum El Bouaghi et Tébéssa.
Dans sa carte de vigilance pour les autres wilayas, concernant notamment le phénomène de pluies et pluies orageuses, l’ONM n’a classé aucune autre wilaya du pays en vigilance particulière.
Vents violents sur plusieurs zones côtièresMétéo Algérie a placé plusieurs zones côtières en vigilance vents violents, pouvant entrainer une agitation particulière au niveau de ma mer. Il s’agit des côtes d’Annaba, El Kala, Skikda, Jijel, Béjaia, Tizi Ouzou, Boumerdès, Alger, Bouharoune, Mostaganem, Arzew et Oran.
Les régions de l’ouest du pays connaîtront des nuages sur les régions côtières et intérieures, avec quelques chutes de pluie et le temps s’améliorera progressivement au cours de l’après-midi.
Pour ce qui est des températures attendues, la même source a fait état de 26 à 34 degrés sur les régions côtières, 26 à 35 degrés dans les régions intérieures du pays et entre 32 et 45 degrés au niveau des régions sahariennes.
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