Abdelkader Bensalah, l’ex-chef de l’État Algérien, est mort aujourd’hui à l’age de 79 ans. Bensalah meurt quelques jours après son prédécesseur, le président déchu Abdelaziz Bouteflika. Le destin de l’un a été intimement lié au pouvoir de l’autre. C’est avec l’intronisation de Bouteflika que Bensalah s’est durablement installé dans les rouages de l’ancien système.
Bensalah est né un 24 novembre 1941 à Fellaoucene, dans la wilaya de Tlemcen. À 18 ans, il rejoint les rangs de l’ALN. Après l’indépendance de l’Algérie, il a pu décrocher une bourse qui le mène aux bancs de l’université de Damas, en Syrie.
À son retour au pays, Bensalah devient journaliste. En 1967, il est correspondant étranger du journal « Echaab ». En 1974, il est nommé directeur général du même journal. Le parcours de Bensalah dans le monde du journalisme s’est fait au moment où Boumédiéne en avait le total contrôle.
Bensalah, au secours du régimeEn 1977, Abdelkader Bensalah est élu député du FLN de la Wilaya de Tlemcen. Ce fut le début de son parcours politique officiel. Le défunt se lance ensuite dans une carrière diplomatique. Il est notamment nommé en 1989 en tant qu’ambassadeur de l’Algérie en Arabie Saoudite, puis porte-parole du ministère des Affaires étrangères de 1993 à 1994.
Alors que le pays traversait une période sombre, suite à l’interruption du processus électoral, Bensalah a été nommé président du CNT, conseil national de transition. Une histoire semblable va se répéter en 2019, après la démission forcée de Bouteflika.
Bensalah va ensuite figurer parmi les fondateurs du RND. Il sera élu comme secrétaire général en 1997 à 1998, mais aussi de 2013 à 2015. C’est à l’occasion de la victoire de son parti dans les élections législatives de 1997, que Bensalah devient président de l’APN. Son parcours dans le parlement va se poursuivre en 2002, quand il a été nommé à la tête du Conseil de la nation.
Un proche de BouteflikaAbdelkader Bensalah figure parmi le cercle rapproché de Bouteflika. Après l’AVC de l’ancien président, Bensallah a été désigné afin d’assurer certaines de ses taches. Il a été notamment chargé de recevoir officiellement les dirigeants étrangers mais aussi d’effectuer des visites à l’international.
En 2015, Bensalah disparait des radars. Il est atteint d’un cancer du cerveau. Il se fait opérer à paris, mais peine à récupérer. Bensalah reste cependant en fonctions, alors qu’il a formulé plusieurs fois le vœu de décrocher. Il devait attendre, et son attente va le mener à devenir chef de l’État en 2019.
Alors que la rue bouillonnait en 2019, Bensalah soutenait avec ferveur le 5ᵉ mandat de Bouteflika. La rue a gagné, et Bensalah a été nommé en 9 avril 2019, chef de l’État par intérim. Une fonction qu’il allait assurer jusqu’au 19 décembre 2019. Son passage a duré 8 mois et 10 jours, alors que la constitution prévoyait un délai maximal de 90.
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Le ministre des Moudjahidine et des ayants droit Laïd Rebigua a réagi ce mercredi 22 septembre concernant la dernière démarche du président français en faveur « des harkis ayant servi la France durant la guerre d’Algérie ».
Dans une déclaration à la presse, le ministre a d’emblée estimé que « cela relève de leurs affaires (la France NDLR) ». « En ce qui nous concerne, la révolution a tranché concernant qui est le harki, qui est le traitre et qui est le moudjahid et le chahid », a-t-il déclaré.
Cette question, estime encore l’intervenant, a été tranchée déjà durant la guerre de libération. Selon lui, « ce qui nous importe le plus, c’est que les Algériens préservent leur mémoire et perpétuent leur identité, leur histoire et les mémoires de leurs héros ».
Ensuite, Laïd Rebigua a mis l’accent sur la nécessité d’enseigner l’histoire de l’Algérie, notamment la guerre de libération, aux jeunes Algériens, et ce, en vue de ce qui se relaye notamment sur les réseaux sociaux.
Pour lui, rendre l’hommage aux martyrs de la révolution et aux moudjahidine constitue en lui-même une réponse suffisante aux démarches pouvant répondre à des stratégies ou à des plans bien définis.
« L’étude du dossier de la mémoire se poursuit »Évoquant la question de la mémoire, qui reste toujours au centre des relations entre l’Algérie et la France, le ministre des Moudjahidine affirme « qu’on ne peut pas parler de réconciliation au détriment de la mémoire collective algérienne ».
« Notre pardon concernant les événements de la guerre de libération et la mémoire nationale est une question prioritaire », estime encore le ministre, précisant que « nos relations avec n’importe quelle partie devront principalement se fonder dans le respect de l’histoire, de l’identité et de la mémoire nationale ».
En outre, il affirme que « l’étude du dossier de la mémoire se poursuit. Les commissions en charge de la question de l’archive nationale, des crânes des résistants, des essais nucléaires … continent leur travail ».
La démarche de Macron envers les harkisPour rappel, la France a décidé de rendre considération aux harkis ayant combattu aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie. Le lundi 20 septembre dernier, Macron a organisé une réception à l’Élysée consacrée à la mémoire des harkis ayant combattu aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie.
Lors de cette réception, le chef de l’État français a tenu à demander « pardon » au nom de la France aux harkis tout en annonçant la présentation, « avant la fin de l’année », d’un projet de loi de « reconnaissance et de réparation ».
« Vous portez dans votre chair le souvenir des harkis. L’honneur des harkis doit être gravé dans la mémoire nationale », a-t-il déclaré dans son allocution. Ensuite, il a appelé à « panser les plaies » qui doivent être « fermées par des paroles de vérité, gestes de mémoire et actes de justice ».
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Audience spéciale au palais de la Marina ce mercredi 22 septembre 2021. Le président Patrice Talon reçoit depuis quelques instants son prédécesseur Boni Yayi.
Les deux hommes d'Etat qui étaient en froid depuis quelques années vont enfin fumer le calumet de la paix pour décrisper la situation sociopolitique du pays.
C'est à bras ouverts que le président Patrice Talon a accueilli l'ancien Chef de l'Etat Boni Yayi. Depuis la passation de service en avril 2016, Boni Yayi n'a plus jamais mis pied au palais de la présidence.
Les députés de la 8e législature ont adopté mardi 21 septembre 2021 le projet de loi portant autorisation de ratification de la Convention concernant l'assistance administrative mutuelle en matière fiscale et celui portant autorisation de ratification, du traité portant modification des dispositions du Traité de l'Union monétaire ouest-africaine (UEMOA), du 20 janvier 2007. La séance a été présidée par le premier vice président de l'Assemblée nationale
Les travaux de la deuxième session extraordinaire de l'année 2021 se poursuivent à l'Assemblée nationale. Mardi 21 septembre, les députés ont adopté à l'unanimité le projet de loi portant autorisation de ratification, de la Convention concernant l'assistance administrative mutuelle en matière fiscale, telle qu'amendée par le Protocole de 2010 (MAC), signée à Paris, le 27 novembre 2019, entre les États membres de l'organisation de Coopération et de développement économique (OCDE). La Convention est un instrument multilatéral permet de lutter contre la fraude fiscale. Elle vise une meilleure mise en œuvre des législations fiscales internes, tout en préservant les droits fondamentaux des contribuables. La Convention prévoit toutes les formes possibles de coopération administrative entre les états en vue de l'établissement et du recouvrement de l'impôt. Elle s'étend de l'échange d'informations, y compris les échanges automatiques, au recouvrement de l'impôt à l'étranger.
Les députés ont également adopté le projet de loi portant autorisation de ratification, du traité portant modification des dispositions du Traité de l'Union monétaire ouest-africaine (UEMOA), du 20 janvier 2007, relatives à la dénomination du Conseil régional de l'épargne publique et des marchés financiers et du Protocole additionnel n°1/2017/CCEG/UEMOA modifiant et complétant le Protocole additionnel n°1 relatif aux organes de contrôle de l'UEMOA, adoptés à Abidjan respectivement le 12 juillet 2019 et le 10 avril 2017.
Dans ce Traité révisé, la dénomination Conseil régional de l'Épargne publique et des marchés financiers a été remplacée par "Autorité des marchés financiers de l'Union monétaire ouest-africaine ". Les articles 1er, 5, 9, 11,12 et 24 du Traité ont été également revus. S'agissant du Protocole additionnel, des modifications ont été faites sur les organes de contrôle de l'UEMOA afin de renforcer les attributions de la Cour des comptes.
A.A.A
Dans la cadre de la lutte contre la propagation du virus mortel, à savoir la Covid-19, certains pays, à l’instar de la France et les États-Unis d’Amérique, ont classés les pays les plus touchés par ce virus dans des listes rouges, les considérant ainsi comme destinations à risque pour leurs citoyens.
En effet, lesdites listes regroupent les pays et territoires jugés les plus à risques, où la circulation du virus est active et observée avec la présence de variants préoccupants.
Pour les États-Unis, les pays de l’Afrique du Nord, l’Algérie, le Maroc et la Tunisie entre autres, sont en proie à une forte résurgence de la pandémie de Covid-19.
Le CDC pas assez informé sur la situation sanitaire en AlgérieDans ce contexte, le centre de prévention et de lutte contre les maladies (Centers for Disease Control and Prevention, CDC) classe le Maroc et la Tunisie dans la catégorie (4), c’est-à-dire la liste des pays à haut risque, a indiqué le site officiel du CDC.
Notons que pour passer de la catégorie (3), qui est considérée comme niveau élevé, à la catégorie (4), haut risque, le pays doit enregistrer plus de 500 cas pour 100 000 habitants, et ce, au cours des 28 derniers jours, a fait savoir le site internet de CNN.
Pour les pays classés dans la catégorie (3), ces derniers doivent enregistrer entre 100 et 500 cas pour 100 000 habitants au cours des 28 derniers jours.
Quant à l’Algérie, le centre américain de prévention et de lutte contre les maladies affirme sur son site officiel ne pas avoir assez d’informations sur le développement de la situation sanitaire dans le pays.
À cet effet, et pour ne pas prendre le risque, le CDC a classé l’Algérie dans la catégorie (4) des pays à haut risque et déconseille les citoyens à voyager en direction de ce pays.
Il est également utile d’indiquer que la Maison Blanche a récemment annoncé qu’elle autoriserait, à partir du mois de novembre prochain, les étrangers entièrement vaccinés à entrer au territoire américain.
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À quelques jours du décès de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika, l’ancien président du conseil de la nation et chef de l’État Abdelkader Bensalah a rendu l’âme ce mercredi à l’hôpital militaire d’Ain Nâadja.
En effet, la présidence de la République a annoncé, ce mercredi 22 septembre dans un communiqué, le décès de l’ancien président du conseil de la nation et chef de l’État Abdelkader Bensalah.
Selon la même source, l’enterrement d’Abdelkader Bensalah aura lieu demain jeudi 23 septembre 2021 au cimetière d’El Alia à Alger, après la prière d’El-Dohr.
Mise en berne de l’emblème nationalEn outre, et suite au décès d’Abdelkader Bensalah, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a décidé la mise en berne de l’emblème national à travers tout le territoire national pour une durée de trois jours, à compter de ce mercredi 22 septembre.
Pour rappel, Bensalah a rendu l’âme tôt dans la matinée de ce mercredi des suites à sa maladie aggravée par sa contamination au coronavirus. Atteint d’un cancer, le défunt était hospitalisé à l’hôpital militaire d’Ain Nâadja à Alger.
En mars 2019, Bensallah assurait la présidence de la République par intérim, et ce, en vertu de la Constitution, qui stipulait qu’en cas de vacation du poste du président, le président du conseil de la nation doit assurer l’intérim.
Le 9 avril de la même année, l’Assemblée populaire nationale et le Conseil de la nation, réunis en session conjointe, l’ont désigné finalement chef de l’État par intérim pour une période de 90 jours, conformément à l’article 102 de la constitution.
Il est également à rappeler qu’à quelques jours de son élection en décembre 2019, le président de la République Abdelmadjid Tebboune avait décerné la médaille de l’Ordre de mérite national du rang « Sadr » au chef de l’État, Abdelkader Bensalah, lors de la cérémonie de prestation de serment.
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La politique régissant les universités Algériennes doit sans doute être revue. Il s’agit, de plus en plus, d’usines produisant de futurs chômeurs. Outre les diplômés des deux premiers cycles, les docteurs, eux aussi, enregistrent des taux de chômage qui sont pour le moins inquiétants.
Le chômage est un fléau duquel l’Algérie peine à se débarrasser. Des centaines de milliers de jeunes Algériens, formés par les universités du pays, se retrouvent une fois diplômés, livrés à une dangereuse oisiveté. Si cela est inacceptable pour les détenteurs de Masters et de licences, il l’est encore plus pour les docteurs.
Plus de 20 000 docteurs au chômageLe président du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), le Dr Abdelhafid Milat, a dévoilé, via sa page Tweeter, la gravité de la situation des docteurs en Algérie. Selon M. Bilat, le pays compte actuellement plus de 22 000 docteurs au chômage. Un chiffre qui est officiel, selon le président du CNES, ce qui veut dire que la réalité du terrain est encore plus catastrophique.
Pour Milat, la situation ne risque pas de s’améliorer avec le temps, vu que les universités Algériennes comptent aujourd’hui plus de 64 000 doctorants qui, selon le président du CNES, sont des « futurs chômeurs ». Abdelhafid Milat indique que « l’université Algérienne a besoin d’une nouvelle feuille de route ».
« Nous devons nous éloigner du pathos et des solutions populistes. Nous devons réfléchir dans l’intérêt de l’université et du pays avant tout autre chose », conclut-il. Il est à rappeler, dans le même contexte, que près de 1 500 Algériens ont pu débarquer illégalement en Espagne en seulement 72 heures.
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Audience spéciale au palais de la Marina ce mercredi 22 septembre 2021. Le président Patrice Talon reçoit depuis quelques instants son prédécesseur Boni Yayi.
Les deux hommes d'Etat qui étaient en froid depuis quelques années vont enfin fumer le calumet de la paix pour décrisper la situation sociopolitique du pays.
C'est à bras ouverts que le président Patrice Talon a accueilli l'ancien Chef de l'Etat Boni Yayi. Depuis la passation de service en avril 2016, Boni Yayi n'a plus jamais mis pied au palais de la présidence.
Les sujets à l'ordre du jour qui ne sont pas dévoilés au public vont certainement tournés autour de la situation sociopolitique du pays sans oublier la question des exilés politiques et les personnes en détention pour raisons politiques.
D. M.
L’ancien président du conseil de la nation et chef de l’État Abdelkader Bensalah est décédé de mercredi 22 septembre 2021. En guise de deuil, les autorités ont décidé la mise ne berne de l’emblème national.
Suite au décès d’Abdelkader Bensalah, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a décidé la mise en berne de l’emblème national à travers tout le territoire national pour une durée de trois jours, à compter de ce mercredi 22 septembre.
Dans u communiqué rendu public annonçant le décès de Bensalah, la Présence de la République a également indiqué que l’enterrement de l’ancien chef de l’État aura lieu demain jeudi 23 septembre 2021 au cimetière d’El Alia à Alger.
Pour rappel, l’ancien chef de l’État, Abdelkader Bensalah, ayant assuré la présidence par intérim après la chute de Bouteflika an 2019 est décédé ce mercredi 22 septembre 2021, à l’âge de 80 ans.
Il a rendu l’âme tôt dans la matinée de ce mercredi des suites à sa maladie aggravée par sa contamination au coronavirus. Atteint d’un cancer, le défunt était hospitalisé à l’hôpital militaire d’Ain Nâadja à Alger.
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Le joueur international algérien, Djamel Benlamri, ouvre son compteur de but avec sa nouvelle équipe le Qatar SC et inscrit son premier but de la saison.
Dans son club de division 1 qatari, il évolue avec son coéquipier de l’équipe nationale Youcef Belaili. Lors du match comptant pour la 3ème journée de Stars League, le Qatar SC a perdu face à Al Shamal (1-2), le défenseur central a inscrit l’unique but de son équipe à la 80ème minute, ainsi, son but de la tête sauve l’honneur de son club.
Les prochains matchs du Qatar SC sont décisifs, l’équipe qatari devra compter sur les performances de Benlamri afin d’avoir de meilleurs résultats.
Les Verts, buteurs en EuropeC’est une bonne semaine pour nos Verts, nos internationaux nous vendent du rêve et font trembler les filets de leurs adversaires.
Dimanche, Saïd Benrahma, évoluant à West Ham, était titulaire dans le match contre Manchester United, comptant pour la 5ème journée de la Premier League. A la 30ème minute, il marque un but dans les filets de David de Gea.
Alors que le capitaine des Verts, Riyad Mharez, a joué un énorme match hier avec les Citizens, il a marqué un doublé pour son équipe qui a remporté le match (6-1) face à Wycombe Wanderers.
Rappelons que nos Fennecs sont attendus le 8 et le 12 octobre pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2022 au Qatar, vu leurs performances, l’avenir s’annonce prometteur pour notre équipe nationale.
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Un accident de la circulation a emporté le week-end dernier quatre membres d'une même famille à Tchaourou.
En provenance de Parakou pour le village Toui dans la commune de Ouèssè, un père de famille et trois de ses enfants ont été victimes d'un accident de la circulation à Tchatchou (commune de Tchaourou), dimanche 19 septembre 2021. Leur véhicule est entré en collision avec un camion de ciment. Le père de famille et ses trois enfants n'ont pas survécu au choc.
A.A.A
Le taux de change du dinar algérien a affiché dans les cotations officielles publiées par la Banque d’Algérie une nouvelle baisse face au dollar américain.
Selon le tableau des changes publié par la Banque d’Algérie, le dollar américain s’échange, pour la période du 20 au 22 septembre courant, à 136,89 dinars à l’achat et de 136,90.
Il convient de noter que la dépréciation du dinar face au dollar américain devra continuer ainsi jusqu’à atteindre mes 142,20 dinars cette année, selon ce que prévoit la loi des finances 2021.
Au niveau du marché parallèle du change, pas de changement majeur par rapport à la situation d’hier. 1 dollar s’échange ce mardi contre 180 dinars à l’achat et de 182 dinars à la vente.
Taux de change de l’euroLe cours de l’euro à la Banque d’Algérie est de 160,30 dinars à l’achat et 160,34 dinars à la vente. Le taux de change de l’unité de cette même monnaie sur le marché noir est de 210 dinars à l’achat, et 213 dinars à la vente.
Quant au prix du livre sterling sur le marché officiel, il a atteint les 187,14 dinars à l’achat et 187,21 dinars à la vente. Sur le marché noir des devises, son prix est tombé à 246 dinars à l’achat et 248 dinars à la vente.
Pour ce qui est des autres monnaies, le prix du riyal saoudien à la BA est d’environ 36,41 dinars à l’achat et 36,45 dinars à la vente. Le dirham émirati affiche 37,26 dinars à l’achat et 37,28 dinars à la vente.
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L’ancien chef de l’État, Abdelkader Bensalah, ayant assuré la présidence par intérim après la chute de Bouteflika an 2019 est décédé ce mercredi 22 septembre 2021, à l’âge de 80 ans.
Selon ce qu’a rapporté la Télévision nationale, l’ancien chef de l’État et président du Conseil de la nation (Sénat) Abdelkader Bensalah a rendu l’âme tôt dans la matinée de ce mercredi des suites à sa maladie aggravée par sa contamination au coronavirus. Atteint d’un cancer, le défunt était hospitalisé à l’hôpital militaire d’Ain Nâadja à Alger.
En mars 2019, Bensallah assurait la présidence de la République par intérim, et ce, en vertu de la Constitution, qui stipulait qu’en cas de vacation du poste du président, le président du conseil de la nation doit assurer l’intérim.
Chef de l’État par intérimLe 9 avril de la même année, l’Assemblée populaire nationale et le Conseil de la nation, réunis en session conjointe, l’ont désigné finalement chef de l’État par intérim pour une période de 90 jours, conformément à l’article 102 de la constitution.
À quelques jours de son élection en décembre 2019, le président de la République Abdelmadjid Tebboune avait décerné la médaille de l’Ordre de mérite national du rang « Sadr » au chef de l’État, Abdelkader Bensalah, lors de la cérémonie de prestation de serment.
« J’ai décidé de décerner l’ordre de mérite national du rang « Sadr« au chef de l’État, Abdelkader Bensalah compte tenu des efforts qu’il a déployés durant toute la période de sa présidence, ce qui a permis la pérennité de l’État et de ses institutions », avait déclaré Tebboune.
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Pas moins de 20 wilayas du nord et de l’intérieur du pays seront au rendez-vous avec une forte activité orageuse ce mercredi 22 septembre 2021, selon un bulletin météo spécial émis par l’Office national de météorologie.
Les wilayas concernées par ces fortes pluies sont : Alger, Sidi Bellabbés, Tipaza, Tissemssilt, Relizane, Tiaret, Tizi Ouzou, Chlef, Mostaganem, Ain Temouchent, Djelfa, Tlemcen, Ain Defla, Méréa, Saïda, Boumerdès, Bouira, Mascara, Oran et Blida.
Les pluies orageuses devront affecter ces wilayas, placées en vigilance jaune pluie orageuse, à compter de 06 h 00 du matin jusqu’à 21 h 00 de la journée de ce mercredi.
Les températures attendues pour ce mercrediPour ce qui est des températures attendues pour cette journée, Météo Algérie a fait état de 26 à 34 degrés sur les régions côtières, 25 à 35 degrés sur les régions intérieures et entre 30 et 46 degrés sur les régions sahariennes.
Plusieurs wilayas du nord du pays ont connu, durant la journée d’hier mardi, d’importantes quantités de pluies. Cela a entraîné l’inondation de plusieurs villes, quartiers et axes routiers.
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Alors que le réveillon approche ; La Tunisie se prépare déjà pour relancer son tourisme. Après avoir été frappé cet Été par une vague virulence de covid-19, la situation sanitaire du pays voisin commence à se stabiliser.
Face à une situation stable, la Tunisie a revu les conditions d’entrée aux étrangers, dont les Algériens. La compagnie aérienne Tunisair a rendu publique les nouvelles mesures qui entrent en vigueur des aujourd’hui ; mardi 21 septembre 2021.
En effet, à partir de ce mardi ; les voyageurs étrangers ainsi que les Algériens se rendant en Tunisie doivent présenter à l’embarquement un test de dépistage au coronavirus de type PCR. Ce dernier doit être négatif, contenir un code QR et de moins de 72 heures.
Ce document est exigé à tous les passagers, les enfants de moins 12 ans, ayant prévu d’embarquer vers la Tunisie ; a souligné la compagnie aérienne tunisienne.
Voyageurs vaccinés et non-vaccinésUne fois arrivés en Tunisie, les voyageurs algériens seront divisés entre les vaccinés et ceux qui ne le sont pas. En effet, les passagers qui ne sont pas totalement vaccinés seront soumis à un confinement obligatoire de 10 jours. Ce dernier sera à la charge du voyageur dans des centres spéciaux pour cela.
S’agissants des Algériens Vaccinés, ils pourront éviter cette obligation ; mais ils pourront fait face, à l’aéroport tunisien un test antigénique réalisé de manière aléatoire sur un échantillon de voyageurs.
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Du 13 au 17 Septembre 2021, la troisième édition du Global Appreciation Week a focalisé l'attention du personnel de MTN Bénin sur la culture de la reconnaissance en entreprise. Pendant cinq (05) jours, ils ont eu l'occasion de s'apprécier et de reconnaître mutuellement les efforts des uns et des autres qui concourent à l'atteinte des objectifs de l'entreprise.
Une semaine entièrement dédiée à la gratitude et à la reconnaissance. C'est ce que les MTNers ont vécu du 13 au 17 Septembre dernier. De la direction générale jusque dans les agences de MTN Bénin, les employés ont célébré la marque, l'expérience Client, les piliers de la nouvelle proposition de valeur employés EVP, honoré les équipes et les héros du Covid-19.
Dans ce cadre, plusieurs activités sont organisées et ont connu une forte
mobilisation de toute l'entreprise. Entre autres, des messages sur la plateforme de reconnaissance MTN SHINE, partage de repas entre l'équipe dirigeante et le staff, un instant de bonheur avec l'équipe de la sécurité et celle de l'entretien des espaces de travail, distribution de gel hydro-alcoolique pour se protéger contre le Covid-19, etc…
La célébration de la troisième édition du Global Appreciation Week a été une occasion pour les employés de démontrer leur capacité à vivre et à travailler ensemble pour atteindre les ambitions de MTN Bénin, celles de contribuer à la transformation digitale au Bénin et de garantir aux populations les avantages d'un monde moderne connecté.
Tout en exprimant sa gratitude à l'ensemble du staff pour son dynamisme et son abnégation, la directrice générale de MTN Bénin, Uche OFODILE a, à l'occasion, rappelé que chaque employé a quelque chose de beau à offrir et le reconnaître est l'une des façons les plus puissantes de s'apprécier. “Chaque année apporte son lot de défis uniques, mais je crois sincèrement que tant que nous nous soutenons mutuellement, il n'y a rien que nous ne puissions accomplir. Ensemble, nous sommes meilleurs !” conclut-elle.
C'est un sentiment de joie qui a animé tous les collègues qui ont pris part activement à la célébration. Pour José QUENUM, conseiller clientèle à l'agence MTN Abattoir, “C'est un heureux évènement parce que ça nous encourage tous à nous apprécier les uns les autres. Surtout à travailler en parfaite harmonie.”
Pour son collègue Franck Adjou, Consumer Segment Manager “Ce fut une semaine magnifique. De ces semaines qu'on aimerait avoir beaucoup plus souvent. Parce que nous avons reçu beaucoup de marque d'affection de la part des collègues. Et cela est bon pour le moral”
Cette édition de la semaine de reconnaissance a été très bien accueillie, et pour l'ensemble du personnel de MTN Bénin, il faut que cela se perpétue pour le bien-être des uns et des autres.
La Rédaction
Au, Bénin, les cantines scolaires ont à nouveau ouvert leurs portes pour les enfants ce 20 septembre 2021, jour de la rentée des classes. Pour constater l'effectivité des premiers repas servis dans les écoles primaires publiques bénéficiaires du Programme national d'alimentation scolaire intégré (Pnasi), le Directeur adjoint au Programme alimentaire mondial (Pam-Bénin) Guillaume Amuli a visité les écoles primaires publiques de Tokoli (Tori Bossito), Gbétozo et Hinmadou (Kpomassè).
Quand la délégation conduite par le Directeur adjoint du Pam-Bénin Guillaume Amuli descendit à l'école primaire publique de Tokoli (Tori Bossito) lundi matin, le groupe des femmes cuisinières de la cantine scolaire avait toute son attention concentrée sur le premier repas de la rentrée.
A la cuisine où s'affairent une équipe de trois femmes, il n'y a aucun doute. Les enfants auront leurs premiers repas à midi. Le menu du jour se dessinait en vie réelle au fond des grosses marmites soumises au feu de bois. « Les enfants mangeront ce midi du riz arrosé à la sauce graine et du fromage de soja », confie une cuisinière occupée à frire le fromage de soja communément appelé « amon ». De l'autre côté de la cuisine, une autre équipe prépare le dessert.
Pour leur premier repas de l'année scolaire, des tranches d'ananas accompagneront le repas des apprenants.
Dans cette école de 247 élèves présents au premier jour de la rentrée, on peut lire un certain sentiment de réussite dans les yeux du directeur Martin Magbondé. Le sentiment d'avoir réussi à offrir aux écoliers leur repas au premier jour de la rentrée. Une satisfaction qui couronne la préparation faite ensemble avec la communauté de Tokoli pour que la cantine s'ouvre effectivement au premier jour des classes. « C'est un travail qui a été fait depuis la fin de l'année scolaire précédente », explique le directeur de l'école, qui témoigne de l'engagement de la communauté dans la vie de la cantine même pendant les vacances. Ce qui a permis de préparer la reprise des activités de la cantine sans flottement.
« C'est grâce au chef de village, l'association des parents d'élèves, au comité de gestion de la cantine scolaire, et au comité de gestion du jardin scolaire que nous avons pu avoir ce résultat », témoigne le responsable de l'établissement.
« Vous avez fait de la cantine, un programme communautaire », félicite Guillaume Amuli qui se dit « impressionné pour l'apport que la communauté apporte au fonctionnement des cantines scolaires » mais aussi pour « l'engagement des autorités locales pour que le programme national de l'alimentation scolaire soit un succès »
A Tokoli, les autorités locales ont exprimé leur engagement à soutenir le fonctionnement des cantines scolaires dans la commune de Tori Bossito. Selon le premier adjoint au maire, le conseil communal envisage une ligne budgétaire pour prendre en charge la souscription forfaitaire des enfants destinée aux petites dépenses de fonctionnement des cantines. Cet engagement dénote de la prise de conscience du conseil communal de son rôle pour assurer le maintien des enfants à l'école toute l'année grâce aux cantines scolaires. « La réussite du programme nécessite la contribution de tout le monde », a rappelé le Directeur adjoint du Pam aux parents d'élèves pour leur signifier qu'ils doivent rester disponibles pour l'école et la cantine scolaire tout au long de l'année.
A Kpomassè, le constat est le même. Les enfants ont repris les classes en renouant avec les repas scolaires.
A l'école primaire publique de Gbétozo, la délégation du Pam a assisté à la prise de repas.
Henriette Kindoho, la responsable des quatre femmes cuisinières de l'école a su guider son équipe pour l'effectivité du premier repas. Mieux, elle a mis l'accent sur le contexte Covid. « A la cuisine, nous lavons régulièrement nos mains et chaque cuisinière à son masque pendant les activités. Même pendant la distribution des repas, chaque cuisinière à son masque », souligne Henriette Kindoho pour rappeler les mesures d'hygiène qu'elles s'imposent dans leurs activités à la cuisine.
En tant que mère et cuisinière, elle trouve que « la cantine offre des repas nutritifs aux enfants, vu les produits frais issus du jardin scolaire qui entrent dans la préparation des menus offerts chaque jour ».
A l'Epp Tokoli, Gbétozo ou à Hinmadou, les premiers repas scolaires sont effectifs au premier jour de la rentrée et les enfants ont renoué avec leurs plats.
Cette année, le Pam assistera 3 850 écoles pour nourrir plus de 650 000 élèves. Pour ce premier jour des classes, seules les écoles affectées par des inondations n'ont pu démarrer les activités de leurs cantines. Néanmoins, « leurs rations en termes de vivres sont déjà disponibles dans des endroits où ils sont en sécurité », rassure Guillaume Amuli. Il n'a pas manqué lors de sa visite de rappeler aux parents d'inscrire davantage les filles à l'école et ne pas laisser de côté les enfants handicapés.
Juliette MITONHOUN