La distribution des attestations du Baccalauréat session de juin 2021 se déroulera du lundi 04 au samedi 09 Octobre 2021.
Le Directeur de l'Office du Baccalauréat informe les nouveaux bacheliers que la distribution des attestations du Baccalauréat session de juin 2021 se fait au Lycée des jeunes filles de Natitingou (Atacora), au CEG1 Djougou (Donga), au lycée Mathieu Bouké de Parakou (Borgou), au CEG1 Kandi (Alibori), au Lycée Technique de Bohicon (Zou), au CEG2 de Dassa-Zoumè (Collines), au CEG1 Lokossa (Mono), au CEG1 Aplahoué (Couffo), au Lycée Béhanzin de Porto-Novo (Ouémé), au CEG1 Pobè (Plateau), au CEG1 Abomey-Calavi (Atlantique) et au CEG Ste Rita dans le département du Littoral.
La distribution se fera sur ces différents sites du lundi 04 au samedi 09 Octobre 2021.
Les nouveaux bacheliers sont invités à se rendre dans les lieux de distribution munis de la photocopie du relevé de note ; la carte d'identité nationale ou passeport en cours de validité ; l'original de la quittance de versement de la somme de cinq (5000 f) sur les comptes de l'Office du Baccalauréat (BOA:007391470112 Intitulé :Inscription Office du Baccalauréat, Ecobank :110948954001 Intitulé:Office du Baccalauréat ; Trésor public : 104243/94 Intitulé :Droit Inscription Office BAC).
Selon le communiqué du Directeur de l'Office du Baccalauréat, tous les anciens bacheliers qui n'avaient pas retiré ni leur attestation, ni leur diplôme, sont invités à le faire au plus tôt à l'Office du Baccalauréat tous les jours ouvrables.
M. M.
Bien que l’Algérie ne soit pas un pays touristique par excellence, les hautes autorités du pays gardent toujours un œil sur les voyageurs entrant ou sortant d’Algérie, et ce, pour des raisons purement sécuritaires et politiques.
Dans ce contexte, un nouveau dispositif de contrôle de passager a été récemment mis en place afin de renforcer les mesures de lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale. Il s’agit en effet, d’un dispositif national de traitement d’informations passagers, paru dans un décret présidentiel signé par le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et publié au journal officiel n°71 du 20 septembre 2021.
« Le dispositif, placé auprès du Premier ministre, comprend : un conseil d’orientation et de coordination ; une unité nationale d’informations passagers », lit-on dans le texte du décret. Outre le premier ministère, d’autres participeront également à la mise en œuvre du dispositif notamment le ministère de la Défense et celui de l’Intérieur.
En effet, on retrouve dans le conseil d’orientation et de coordination du dispositif un représentant du ministère de la Défense nationale ; un représentant du ministère chargé des Affaires étrangères ; un représentant du ministère chargé de la Justice ainsi que d’autres membres appartenons à divers secteurs.
Quelles données faut-il récoltés auprès des passagers entrant d’Algérie ?Quant aux informations des passagers cités dans le dispositif, il s’agit des données API (advanced passenger information) qui englobent l’ensemble des informations générales concernant le vol, l’enregistrement des passagers, ainsi que les informations contenues dans le passeport ou dans un autre document de voyage.
À cela s’ajoute, les données PNR (passenger name record) qui concernent le dossier de réservation. C’est l’autorité du directeur général de la sécurité intérieure (DGSI) qui est chargée de récolter ces informations à travers la création d’une unité opérationnelle.
Quel le rôle pour les compagnies aériennes ?Les compagnies de transports (aérienne, maritimes, chemins de fer…) ont logiquement un rôle important à assurer dans le cadre de ce dispositif puisqu’il s’agit de collecter les informations des passagers.
De ce fait, le décret présidentiel impose aux différentes compagnies de transport ainsi qu’aux agences de voyages de transmettre à l’unité « par voie électronique », lors » de la réservation, de l’enregistrement et au moment de l’embarquement des passagers, à destination, en transit ou quittant le territoire national, les informations et les données des passagers ainsi que les données des membres de l’équipage et les détails sur leurs moyens de transport. »
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Depuis plusieurs semaines, les prix des produits à larges consommations connaissent une hausse importante. Une situation qui intervient avec la rentrée sociale sous forme de barrière pour le simple salarié algérien.
Ce samedi 25 septembre, le président Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé sur ce sujet ; lors du lancement des travaux de la rencontre du Gouvernement avec les Walis qu’a présidé au Palais des Nations au Club des Pins à Alger.
Évoquant le dossier de la flambée des prix de produits alimentaires en Algérie ; le président Tebboune a fait savoir que cette hausse était provoquée par des spéculateurs. « Certains parasites et intrus du commerce ont misé sur la spéculation pour provoquer cette augmentation de prix », a lancé le chef de l’Etat.
« Des lois dissuasives ont été mises en place pour criminaliser la spéculation alimentaire. Le ministère du Commerce est tenu de trouver une solution à ce problème », a ajouté le président Tebboune.
Ce qu’a dit Tebboune sur la crise de la farineLors de la même rencontre ; le chef de l’État a évoqué la crise de la farine ayant refait surface ces dernières semaines dans plusieurs régions du pays. « Ceux qui ont provoqué la crise de la semoule sont derrière cette pénurie de farine », a-t-il révélé.
Par ailleurs, le président Tebboune a indiqué que la nouvelle allocation de chômage entrera en vigueur ; à partir de 2022, et ce, après la révision des modalités et des conditions de cette dernière.
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Coup d’envoi de la nouvelle rencontre Gouvernement – Walis. Les travaux se sont ouverts, ce samedi 25 septembre, sous le président du président Abdelmadjid Tebboune au Palais des Nations au Club des Pins à Alger.
Placée cette année sous le thème « Relance économique, équilibre régional, justice sociale » ; la rencontre durera deux jours, à savoir samedi et dimanche. Elle verra la participation des membres du Gouvernement, des walis, des représentants des deux chambres du Parlement ainsi que des cadres centraux des différents secteurs ministériels.
Les quatre dossiers de la rencontreEn tout, quatre dossiers seront examinés lors cette rencontre. Le premier concerne l’évaluation de l’état d’application des instructions données par le président Tebboune durant les précédentes rencontres ». Rappelons lors de la rencontre de l’année dernière, le chef de l’État avait insisté sur l’application de ses directives.
Le deuxième dossier est celui de l’examen des voies et moyens de relancer une nouvelle dynamique dans le processus du développement local. Sur ce sujet, les participants à l’encontre devraient évoquer les axes liés à l’adaptation des programmes du développement local et ceux du développement régional équilibré.
L’autre dossier important de la rencontre est la gestion des crises au niveau local. Les modalités et outils de la gestion de cette dernière sera au Menu. La relance de l’investissement local sera également abordée.
Quant au quatrième et dernier dossier de la rencontre, il concerne la réforme des méthodes de gestion des services publics. Pour cette dernière ainsi que les autres dossiers ; une feuille de route pour la prochaine période sera mise en place à l’issue de la rencontre .
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Les changements climatiques ayant caractérisé ce mois de septembre se poursuivent en Algérie. Après quelques jours marqué par de fortes pluies et activités orageuses ayant engendré des inondations dans certaines wilayas comme Alger et Médéa, la chaleur est de retour pour ce wee-kend.
En effet, plusieurs wilayas de l’est du pays seront au rendez-vous ce samedi 25 septembre avec une forte chaleurs, selon un bulletin météo spécial (BMS), émis par Météo Algérie.
Les wilayas concernées sont notamment : Guelma, Mila, Constantine, El Tarf, Annaba, Skikda. La vague de chaleur devra frapper ces wilayas placées en vigilance jaune (niveau 1), en début de matinée jusqu’à 16 h de la journée de ce samedi.
Quant aux températures attendues, le centre national des prévisions météorologiques a émis une alerte à la canicule ou les températures peuvent atteindre jusqu’à 42 degrés.
La chaleur est de retourRappelons que le retour de la chaleur a été annoncé depuis hier vendredi 24 septembre ou les services météorologiques avaient prévu une vague de chaleur caniculaire dans les wilayas suivantes : Tizi-Ouzou, Guelma, Jijel, Bejaia, Skikda, Annaba et El Tarf.
Concernant les températures attendues, ils avaient atteint les 40 degrés dans certaines régions, raisons pour laquelle les wilayas susmentionnées ont été placées en vigilance jaune (niveau 1). Pour aujourd’hui, la vague de chaleur se poursuit selon les prévisions météorologiques. Cependant, elle concernera, contrairement à hier que les wilayas de l’est du pays, à savoir : Guelma, Mila, Constantine, El Tarf, Annaba, Skikda.
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Depuis le début du mois d’aout, l’Algérie a été violemment frappée par des incendies ravageurs et meurtriers. La Kabylie notamment la wilaya de Tizi-Ouzou a été la plus touchée sur le plan matériel et humain. D’autres régions du pays notamment celle de l’Est ont également connu une série d’incendies catastrophiques.
Malgré le fait que l’été touche à sa fin, l’Algérie ne semble pas en finir avec ces feux de forets. En effet, la protection civile a enregistré ce vendredi 24 septembre, cinq incendies au niveau de plusieurs communes de la wilaya de Skikda, a rapporté le quotidien El Khabar.
Il s’agit du massif de Collo, de la commune de Ain Charchar, de Ouled Hbaba, de El Hadaiek et de sidi Ahmed dans la commune de Skikda. Selon la protection civile, les flammes ont causé uniquement de dégâts matériels tels que la destruction des oliviers et de couverts végétaux.
Le quotidien arabophone a indiqué par ailleurs que ces incendies dont l’origine est inconnue pour le moment, ont provoqué une forte vague de chaleur, poussant les habitants de la wilaya de Skikda d’affluer sur les plages.
18 incendies déclenchés à JijelDans la même journée, la wilaya de Jijel a, à son tour été témoins de 18 feux de forets dispersés dans différents endroits de la wilaya, a indiqué le média susmentionné. Selon le communiqué de la protection civile, 7 incendies ont été maitrisés à 17 h. Cependant, aucune victime n’a été signalé jusqu’à maintenant.
En parlant de victimes d’incendies, il convient de rappeler que les brulés ayant été hospitalisés à l’hôpital de Douera sont arrivée aujourd’hui 24 septembre en Turquie pour une prise en charge médicale, suite aux promesses du président de la République.
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Le Ministre du Travail et de la Fonction Publique a appelé les candidats ou parents de candidats à ne pas tomber dans le piège de certains individus qui se prévalent être de hauts cadres du ministère et promettent la réussite aux divers concours de recrutement.
Des individus se prévalent d'être de hauts cadres du Ministère du Travail et de la Fonction Publique pour arnaquer des candidats ou parents de candidats à divers concours, en leur promettant la réussite ou d'œuvrer pour que leurs noms se retrouvent sur de prétendues listes d'admis aux concours.
L'information est parvenue à la Ministre du Travail et de la Fonction Publique, Adidjath Mathys. Dans un communiqué en date du 24 septembre 2021 et signé du directeur de cabinet, la ministre du Travail et de la Fonction Publique rappelle à ces personnes indélicates à la recherche du gain facile qu'elles « s'exposent à la rigueur des textes en vigueur ».
« (…) avec l'informatisation du système de recrutement dans la fonction publique, le processus est d'une grande transparente et qu'aucune intervention, manipulation de dossiers ou de résultats n'est possible », a rassuré le ministre.
La population est invitée à la vigilance et à dénoncer les personnes indélicates.
M. M.
Les capacités opérationnelles du Port Autonome continuent de se renforcer.
Le port Autonome de Cotonou dispose depuis le dimanche 20 septembre 2021 d'un second remorqueur baptisé le « Bio Guerra ».
Equipé d'un moteur de type ASD plus puissant et plus résistant que d'ordinaire, le « Bio Guerra » a une capacité de 85 tonnes bollards pull de puissance de traction.
Baptisé, le BIO GUERRA, moteur de type ASD plus puissant et plus résistant que d'ordinaire avec une capacité de 85 tonnes bollards pull de puissance de traction, le Port de Cotonou dispose pour la 1ère fois d'un remorqueur aussi robuste, depuis ce dimanche 20 septembre 2021. pic.twitter.com/hJE4VRJw0s
— Port de Cotonou (@portdecotonou) September 24, 2021
L'acquisition de ce second remorqueur s'inscrit dans le cadre du projet N°1 du nouveau plan Directeur du Port Autonome de Cotonou, qui vise la construction du nouveau terminal (T5) et l'amélioration de l'accès nautique.
L'arrivée du remorqueur le « Bio Guerra » sur le quai après la réception de l' « Amazone » augure de meilleures perspectives pour « offrir une meilleure qualité de service » aux clients et partenaires du Port Autonome de Cotonou.
M. M.
L’Algérie va renforcer sa flotte de drones. L’armée de l’air Algérienne aurait déjà passé une commande à un constructeur chinois. Il s’agit de 24 appareils chasseurs de tanks WingLoong II, qui vont s’ajouter à six autres drones dont quatre d’attaque que l’Algérie possède déjà.
L’armée de l’Air veut se mettre dans l’air du temps. En effet, l’Algérie aurait passé commande pour l’acquisition de 24 drones chasseurs de tanks WingLoong II. La commande aurait été passée auprès du constructeur chinois AVIC, rapporte le média spécialisé MENADEFENSE.
Le WingLoong, un drone ayant fait ses preuvesCe drone dont l’Algérie s’apprête à recevoir 24 exemplaires avant la fin de l’année 2022, coute approximativement 5 millions dollar l’unité. Un prix cher certes, mais qui est 7 fois plus bas que celui affiché par les drones américains. Cet achat affirme encore une fois que la Chine s’impose de plus en plus comme le fournisseur de l’Armée Algérienne. L’ANP rappelons le a déjà commandé 6 corvettes chinoises.
La même source indique que Le WingLoong est un drone qui a fait ses preuves dans de nombreux pays. Il s’agit notamment d’opérations militaires qui dont le théâtre était le Yémen ou encore l’Égypte. L’appareil chasseur est de la classe intermédiaire entre le CH-4 et le MQ-9 Predator.
Le WingLoong peut transporter 150 Kg d’armement en plus que le CH-4 qui est déjà utilisé en Algérie. Les 24 drones commandés par l’Algérie peuvent également bénéficier de boules optroniques plus grandes et plus lourdes, mais aussi fusionner leur charge d’attaque avec des charges passives. En ce qui concerne la vitesse, le WinLoong surpasse largement le CH-4.
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Un chiffre hallucinant a été publié il y a quelques jours par la presse nationale concernant le nombre de docteurs chômeurs en Algérie. Il s’agit en effet de 22 000 docteurs qui se sont retrouvé sans emploi malgré huit ans d’études supérieurs.
Après avoir médiatisé ce constat alarmant, les journaux algériens notamment le quotidien arabophone Echorouk rapporte aujourd’hui, vendredi 24 septembre que certaines universités font appel ces dernières années à des enseignants qui détiennent uniquement un diplôme de licence ou de master. Ces derniers sont chargés de dispenser des cours relevant de certaines spécialités qui connaissent un manque cruel d’enseignant universitaire et d’encadrants.
De ce fait, des diplômés en licence et en masters se retrouvent entrain d’enseigner des modules à des centaines d’étudiants, censé être formés par des docteurs et des professeurs. À cet effet et à l’approche de la rentrée universitaire 2021/2022, le ministère de l’Enseignement supérieur a indiqué dans une note destinée aux directeurs des établissements de l’enseignement supérieur qu’il est strictement interdit de faire appel aux détenteurs de licences et masters uniquement.
Les directives du ministère de l’Enseignement supérieurCependant, le département de Abdelbaki Benziane a ajouté que si un manque d’enseignant-chercheur et d’encadrant a été constaté, il serait exceptionnellement permit de recourir aux diplômés en licence et master, mais à une condition. En effet, la même source réitère l’importance et l’obligation pour ces derniers d’avoir les compétences scientifiques requises ainsi qu’une expérience professionnelle conformément aux normes et critères fixés dans le décret exécutif n 01-293 du 1er octobre 2001.
Ainsi, les directeurs des établissements universitaires sont appelé à prioriser ceux qui détiennent un diplôme de magistère ou les doctorants non salariés qui sont autorisés à enseigner les étudiants de première année licence, dans le cadre des TD et TP. Enfin, Ces doctorants doivent évidemment appartenir à l’établissement universitaire en question, dans lequel ils préparent leurs thèses de doctorats, et ce, en bénéficiant d’une récompense financière selon l’article 6 du décret exécutif 10-231 du 2 octobre 2010.
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Les Algériens, dès le début de la campagne de vaccination contre la covid-19 se sont montrés particulièrement réticents. Ceci dit, les derniers chiffres avancés par le ministre de la Santé ont fait réfléchir plus d’un : les Algériens ont-ils finalement appris la leçon, suite à la dernière vague de la Covid-19 ?
Abderahmane Benbouzid, le ministre de l’Éducation, a fait savoir, il y a quelques jours, que la moitié de la population concernée par la vaccination contre la covid-19 a déjà reçu, au moins, la première dose. Plus de 10 millions d’Algériens sont donc vaccinés.
À ses débuts, la campagne vaccinale était loin de faire l’unanimité au sein de la population. Outre les problèmes de disponibilité, beaucoup de citoyens étaient victimes de désinformation. Les réseaux sociaux étaient d’ailleurs un vecteur à effet très négatif.
Ce sont ces mêmes réseaux sociaux qui ont ensuite montré, au mois de juillet dernier, les ravages dont le virus est capable. Outre les campagnes de solidarité et d’entre-aide, les réseaux ont pu également dévoiler l’efficacité des vaccins. Les statistiques montraient clairement que le taux d’hospitalisation est minime parmi les vaccinés, et que le taux de décès était presque inexistants.
Une leçon chèrement payéeLes hôpitaux débordaient de malades contaminés à la covid-19. Certains parmi eux, nécessitant une admission en services de réanimation, gisaient dans les couloirs des établissements de santé. Une situation catastrophique, qui a fait l’effet d’une véritable gifle aux corps soignant, aux autorités, mais aussi à l’ensemble des citoyens, qui vivaient dans un relâchement total vis-à-vis des mesures préventives.
Outre le manque des lits, la pénurie d’oxygène et de concentrateurs a semé la panique au sein de la population. Peu à peu, heureusement, le nombre des cas de contamination, qui a atteint le pic des 1927 cas, commençait à redescendre. Une aubaine, estimaient tous les spécialistes qui invitent encore les citoyens à profiter de la décrue pour aller se faire vacciner.
La 3ᵉ vague avait ceci de positif qu’elle a convaincu plus d’un réticent de se rapprocher des centres de vaccination. Cependant, certains se pose déjà la question concernant la 4ᵉ vague. L’Algérie, suite à la campagne de vaccination, est-elle à l’abri ?
Immunité collective : on y est ?Selon les spécialistes, on est encore loin de l’immunité collective. Les chiffres avancés par le ministre de la Santé sont positifs, cependant insuffisants pour nous mettre à l’abri d’une quatrième vague du virus. Le ministère de la Santé misait, rappelons le, sur un taux supérieur à 70 %.
Malgré une rentrée sociale et scolaire qui se déroule alors que les cas de contamination quotidiens ne dépassent pas les 200 cas, cela risque de changer en quelques jours, comme cela a été le cas pour la troisième vague.
Les chiffres positifs de la vaccination en Algérie ne doivent pas nous faire oublier que des réticents, il n’en reste que ça au sein de la société Algérienne. Même dans le corps soignant, certains travailleurs ne sont pas encore vaccinés, sans parler des autres secteurs sensibles, notamment celui de l’éducation.
Les vaccins sont désormais disponibles, mais le problème demeure dans les campagnes de sensibilisation. Certains spécialistes ont vivement critiqué les autorités et les médias qui se concentrent sur des événements sportifs plus que sur la santé des citoyens.
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La pandémie de covid-19 a fragilisé plusieurs secteurs notamment l’économie et la santé. D’autres ont été complètement paralysé pendant presque un an. C’est le cas notamment du secteur de transport aérien qui vient tout juste de reprendre ses activités.
Suite à la reprise des dessertes commerciales et au renforcement des vols internationaux effectués par la compagnie nationale, l’espoir du retour à la vie normale se concrétise. En effet, le centre de traitement des demandes de visas vers la France, en l’occurrence VFS Global d’Alger a repris ses activités, selon le site Djalia Dz.
Ce dernier, a publié mercredi 22 septembre sur sa page Facebook que les centres VFS Global qui se trouvent au niveau de la capitale Alger reprennent leurs activités après une fermeture qui a duré plus d’un an et demi. Cette fermeture qui a privé de nombreux algériens de déposer leurs dossiers de visa, a coïncidé avec la suspension des vols.
Ainsi, les Algériens résidents ici en Algérie peuvent désormais délivrer des demandes de visa notamment le visa Schengen afin de rejoindre l’Hexagone et retrouver leurs proches installés à l’étranger.
Le vaccin Sinovac enfin reconnu par la FranceAprès avoir placé l’Algérie sur la liste rouge, La France avait imposé une série de mesures contraignantes aux voyageurs en provenance de l’Algérie. Seuls ceux qui sont vacciné avec un des vaccins reconnu par l’Agence européenne des médicaments sont exemptés de ces mesures, ce qui n’était pas évident vu que la majorité des Algériens ont reçu le vaccin Sinovac.
Cependant, depuis deux jours l’Hexagone a décidé de reconnaitre le vaccin chinois suite à un décret paru mercredi 22 septembre sur le Journal officiel français. De ce fait, les démarches administratives nécessaires pour rejoindre la France sont désormais beaucoup moins compliqué.
Les voyageurs algériens sont confrontés à une seule condition en revanche. Il s’agit de l’administration d’une troisième dose complémentaire de Pfizer ou Moderna afin de disposer d’un pass sanitaire devenu obligatoire pour circuler en Hexagone.
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Le président de la République, Son Excellence Patrice Talon a reçu en audience mercredi 22 septembre dernier, son prédécesseur, Boni Yayi au palais de la Marina. Quelques citoyens rencontrés dans les villes de Cotonou et d'Abomey-Calavi se prononcés sur cette première audience « historique » entre les deux personnalités après plusieurs années de crise.
« En toute chose, il faut privilégier la voie du dialogue. Lorsqu'une situation se présente, il faut toujours se rendre disponible et aller écouter son adversaire », a confié Bernard Noumon, enseignant dans un complexe scolaire à Abomey-Calavi. Pour celui-ci, « si les deux présidents s'étaient rencontrés plus tôt, ils auraient évité plusieurs drames.
Evoquant les violences survenues lors des législatives de 2019, l'enseignant observe que « ceux qui sont morts sont morts pour toujours. Mais les acteurs politiques pour qui ils s'étaient affrontés sont encore là, se retrouvent et pourront désormais parler entre eux ». D'où la nécessité selon lui, « de s'ouvrir, d'aller à la rencontre de l'autre et de l'écouter ».
Romaric, un enseignant du secondaire estime pour sa part qu'à travers cette rencontre, les deux présidents ont donné la preuve « qu'au-delà de tout, il est nécessaire de se voir pour discuter ». « Kérékou et Soglo l'avaient fait », a-t-il rappelé soulignant que les générations futures doivent en tirer « de grandes leçons ». « Au-delà de tout, il faut penser à préserver la paix dans le pays », a insisté l'enseignant. Cette rencontre pour lui, va beaucoup contribuer à la décrispation de la tension politique dans le pays. Il n'a pas manqué de saluer l'ouverture d'esprit des deux chefs d'Etat.
Fier de cette audience que le président Talon a accordé à son prédécesseur, Rogatien, coiffeur à Zogbo estime que cette rencontre est une grande leçon pour la jeunesse. « Ceux qui prennent le risque de s'exposer oublient que les politiciens se rencontrent toujours. En réalité, c'est devant les cameras qu'ils sont opposants les uns pour les autres, sinon, c'est des gens qui se voient tout le temps. Avant cette rencontre de mercredi que tout le monde a vu, insiste le coiffeur, plusieurs autres rencontres avaient eu lieu, et beaucoup de choses auraient été dites entre les deux hommes. « Sinon, Talon et Yayi ensemble, tous souriants comme ça ? Avec tout ce qu'on a vu dans ce pays ? », s'est-il interrogé.
« C'est une bonne chose que les deux personnalités se rencontrent », se réjouit Daniel Sonon, conducteur de taxi-moto. Cette rencontre pour lui, est « un pas important pour la paix souhaitée dans le pays ».
Selon dame Alimatou, revendeuse à Mènontin, la crise politique que le Bénin a connue sous le régime de Talon, est une première au Bénin. « C'est sous leur régime que des citoyens sont morts », a-t-elle regretté. Alimatou a salué l'ouverture d'esprit des deux hommes. « Il y va de l'intérêt de tous », a précisé la revendeuse.
Après plusieurs années de divergences politiques entre Patrice Talon et Boni Yayi, les deux personnalités se sont retrouvées mercredi dernier autour de la table de discussion. Une première rencontre d'échanges officielles très attendue des populations, et qui devrait contribuer à la « décrispation totale » de la tension politique au Bénin.
F. A. A.
Énième escalade diplomatique entre l’Algérie et le Maroc. À l’issue d’une réunion du Haut Conseil de Sécurité, Alger a décidé, mercredi dernier, de fermer son espace aérien aux avions Marocains. Une décision jugée sévère par certains, et nécessaire par d’autres. Amar Belani, l’envoyé spécial de l’Algérie au Sahara occidental, n’a pas manqué de commenter ce dernier revirement.
Belani, dans une déclaration à l’agence Reuters, a tenu à apporter quelques détails. Il indique que la décision d’Alger est tout à fait compréhensible au vu des « provocations et des actes hostiles », dont le Maroc, et notamment ses diplomates, ont fait preuves ces derniers mois à l’égard de l’Algérie. Pour Belani, il n’y a nul doute que la décision du HCS soit une décision « souveraine » et « conforme aux conventions internationales« .
« Une décision préventive »Selon Belani, la fermeture de l’espace aérien de l’Algérie aux avions marocains est « une décision préventive » dictée par « des raisons impératives de sécurité nationale ». L’envoyé spécial d’Alger au Sahara occidental ne rate pas une occasion pour fustiger le Maroc. Il a notamment dévoilé l’existence « d’indices concordants et d’éléments probants sur la conception ainsi que sur la poursuite d’actions hostiles dirigées contre notre pays ».
Belani ne s’arrête pas en si bon chemin, il indique que de nouvelles mesures à l’encontre du Maroc pourraient être encore prises par l’Algérie. Selon le diplomate Algérien, on vit « contexte particulier où l’animosité et les desseins malveillants sont irrécusables ». C’est d’ailleurs pour cette raison que, selon lui, « l’adoption de mesures supplémentaires n’est pas à exclure ».
L’Algérie, ajoute l’envoyé de Lamamra, fera toutefois « preuve d’une extrême vigilance et d’une fermeté absolue pour la protection et la sanctuarisation de son territoire national ». Ces dernières déclarations de Belani témoignent du degré de détérioration auquel les relations entre l’Algérie et le Maroc, deux pays frères et voisin, sont arrivées.
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Le président de l'Assemblée nationale, Louis G. Vlavonou, a reçu en compagnie du député Aké Natondé, le Chargé de plaidoyer et Coordonnateur pays de l'organisation internationale SpeakUpAfrica basé à Dakar. L'audience s'est tenue jeudi 23 septembre 2021.
FranZ Okey, Chargé de plaidoyer et Coordonnateur pays de l'organisation internationale SpeakUpAfrica basé à Dakar était, dans l'après-midi du jeudi 23 septembre 2021, au cabinet du président de l'Assemblée nationale.
Le président du Parlement et son collègue député Aké Natondé ont été entretenus sur un projet qui vise à faire reculer le paludisme au Bénin et en Afrique. Il s'agit du projet « Zéro palu !, les entreprises s'engagent », présenté au cours de l'audience.
M. M.
Le siège de l'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) a accueilli, lundi 20 septembre 2021, les travaux de la première journée de la réunion de la Commission de Contrôle financier de l'Organisation, aux fins d'examen du rapport financier, des comptes de clôture au titre de l'exercice 2020, du projet de Règlement intérieur de la Commission et du rapport de la société d'audit au titre de l'exercice 2020.
À l'ouverture de la réunion, Dr. Salim M. AlMalik, Directeur général de l'ICESCO, a prononcé une allocution dans laquelle il a souhaité la bienvenue aux membres de ladite Commission, en affirmant que la Direction générale de l'Organisation a opté pour la transparence et la crédibilité dans son action, et en passant en revue les mesures prises par elle en matière financière et comptable.
Il a souligné que l'ICESCO, en dépit de la conjoncture dictée par la pandémie de Covid-19
a continué la mise en œuvre de ses programmes dans les d'États membres, lancé un certain nombre d'initiatives et organisé des compétitions et forums en présence d'universitaires de haut niveau et d'éminentes personnalités internationales, de même qu'elle a signé des accords ayant contribué au développement de l'action de l'Organisation.
Le Président de la Commission a confirmé qu'elle était en contact constant avec les parties prenantes de l'ICESCO au cours de la période écoulée, eu égard à l'impossibilité de tenir des réunions en présentiel en raison de la pandémie. A l'en croire la Commission travaillera pour assurer l'exactitude et l'intégrité des données financières, dans le but de permettre à l'Organisation d'accomplir pleinement ses tâches.
Le Rapporteur de la Commission, M. Muhammad bin Abdulkarim Al-Abdulkarim, a évoqué la courte durée allouée aux travaux de la Commission, en appelant à l'automatisation des affaires financières et administratives de l'ICESCO et au développement de ses mécanismes de contrôle interne.
Les travaux de la Commission se sont poursuivis par la présentation du rapport financier de l'exercice 2020 et le suivi de la mise en œuvre des recommandations de la Commission pour l'exercice écoulée. Un ensemble de points inclus dans le rapport financier ont également été discutés et clarifiés.
Il a été également procédé à la présentation des projets et programmes mis en œuvre par l'ICESCO et des partenariats qu'elle avait signés, lesquels lui ont permis de diversifier les sources de financement et de mettre en place de programmes favorablement accueillis par les États membres. Les moyens et démarches adoptés pour recouvrer les arriérés des contributions des États membres de l'Organisation ont aussi été examinés.
La Commission a conclu les travaux de cette première journée de sa réunion par l'examen et l'adoption du projet de son Règlement intérieur, lequel vise à définir ses tâches, ses compétences et sa structuration, ainsi que par la proposition d'un certain nombre d'amendements, en convenant de reprendre mardi afin d'examiner le rapport de la société d'audit au titre de l'exercice 2020 en présence du représentant de la société, et d'élaborer le projet de rapport de la Commission sur ses travaux.
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