L’ambassadeur turque en Algérie, Mahinur Ozdemir, lance une bonne nouvelle pour les Algériens désireux de voyager en Turquie.
Lors d’une séance de travail avec des opérateurs économiques de Constantine organisée au siège de la chambre de commerce et d’industrie « Rhumel » ; la diplomate turque a annoncé l’ouverture prochaine d’un consulat de Turquie à l’Ouest de l’Algérie.
En effet, ce nouveau consulat de Turquie sera ouvert à Oran. « Il s’ajoutera au centre de visas à Alger et permettra d’accélérer la procédure de délivrance de visas pour les Algériens », a précisé Mahinur Ozdemir.
Une école turque en Algérie, c’est pour bientôtLors de la même rencontre, l’ambassadeur de Turquie s’est exprimé également sur l’ouverture d’une école turque en Algérie. Selon la diplomate, cette dernière est toujours en phase d’étude.
« Nous attendons avec impatience l’implantation d’une école turque en Algérie, dont le projet est en phase de concertations. Des efforts sont déployés pour rentabiliser davantage les accords conclus entre les universités turques et algériennes », a-t-elle expliqué.
Par ailleurs, la diplomate a évoqué le développement de moyens pour accélérer l’octroi de visas médicaux dans les 48 heures. « La Turquie est un pays fort dans le domaine du tourisme médical », a-t-elle lancé.
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Un ressortissant nigérian a été interpellé à l'aéroport international cardinal Bernadin Gantin de Cotonou pour « faux certificat ».
Un Nigérian a été arrêté à l'aéroport de Cotonou après la présentation de ses titres de voyage. Le passeport qu'il détenait était un « faux » ainsi que la carte de séjour de Lesotho établie en son nom.
Le mis en cause s'est fait établir ces documents dans l'optique de se rendre aux Etats-Unis d'Amérique, a informé Frissons radio.
Poursuivi pour « faux certificat », le procès du ressortissant nigérian s'ouvre le 15 décembre 2021
M. M.
Face à la réticence des citoyens aux vaccins ; l’Algérie peine toujours à faire avancer la campagne de vaccination contre le coronavirus, alors que les pays occidentaux approchent de l’immunité collective. Ce lundi 25 octobre, le premier responsable du secteur de la santé est revenu sur l’avancement de cette campagne.
Lors d’un point de presse organisé à l’occasion de la Journée nationale des donneurs de sang ; le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a avancé quelques chiffres de la campagne de vaccination anti-covid en Algérie.
Selon le ministre, le nombre d’Algériens ayant reçu une et deux doses de vaccin anti-covid est estimée à près de 11 millions ; dont 6 millions ont été complètement vaccinés soit environ 14% de la population.
Par ailleurs, Pr Benbouzid a regretté le faible taux de vaccination enregistré dans les secteurs de l’enseignement supérieur (1 %) ainsi que celui de la santé (20 %).
« La 3e dose est disponible »Évoquant la question de la troisième dose de vaccin anti-covid, le ministre de la Santé a fait savoir que cette dernière était disponible en Algérie. « Toute personne désirant recevoir une 3e dose et ayant reçu sa 2e dose après une période dépassant les six mois peut se rapprocher des centres de vaccination« , a-t-il expliqué.
« L’Algérie dispose d’un stock de plus 13 millions de doses de vaccins (…) C’est l’occasion pour se faire vacciner pour éviter une 4e vague de la pandémie« , a ajouté Pr Benbouzid.
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Le Nigeria est devenu le premier pays africain à lancer sa propre monnaie digitale de banque centrale (eNaira), a fait savoir ce lundi le président du pays Muhammadu Buhari.
"Notre pays est devenu le premier en Afrique et l'un des premiers au monde à créer et à mettre en circulation une monnaie digitale pour ses citoyens", a-t-il déclaré relayé par le journal nigérian Punch.
Muhammadu Buhari a souligné que le lancement d'eNaira donnerait de l'élan non seulement à l'économie nigériane mais aussi africaine. La nouvelle monnaie peut être utilisée pour des paiements en ligne et des investissements. eNaira n'est pas une cryptomonnaie. Toutes les opérations avec son utilisation sont contrôlées par les superviseurs financiers du Nigeria.
Source : TASS
L’international algérien, Ramy Bensebaini, star du club allemand Borussia Mönchengladbach, est revenu pour la première fois participer aux matchs de Ligue allemande après une longue absence qui a duré près de deux mois, en raison de sa blessure.
En effet, le Fennec a joué son dernier match avec le club allemand le 29 août dernier, lorsqu’il a affronté l’Union Berlin pendant quatre-vingt-dix minutes, avant que sa blessure ne l’éloigne des comptes de l’entraîneur Adi Hütter
Ce samedi 23 octobre, et à la grande satisfaction de son public, le défenseur est revenu au terrain et a joué comme principal, contre Hoffenheim pour le compte du neuvième tour de la Bundesliga.
Cela a largement réconforté le sélectionneur algérien Djamel Belmadi, qui a été privé dernièrement des services de son défenseur gauche.
Belmadi compte beaucoup sur la présence de BensebainiPour rappel, Bensebaini était présent lors des entrainements des Verts en ce début de mois, en prévision de la double confrontation face au Niger, pour le compte des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, mais il a été contraint de partir immédiatement après le premier match au stade Mustapha Tchaker de Blida, en raison de son incapacité à se remettre de la blessure.
Par ailleurs, Djamel Belmadi compte beaucoup sur le retour de son défenseur avant d’affronter le Burkina Faso au dernier tour de la phase de groupes des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, étant donné qu’il est bien conscient de l’importance présence de Bensebaini dans ce match décisif, vu que l’équipe adverse ne sera pas facile et utilisera toutes ses cartes afin de rivaliser avec les Verts pour le billet de qualification pour les barrages.
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La finance Islamique semble être un sujet qui tient beaucoup à cœur pour le ministre du Commerce et de la promotion des exportations, Kamel Rezig.
Après avoir donné un nouvel ultimatum aux spéculateurs, voilà que le ministre du Commerce, en pleine crise inflationniste qui fait flamber les prix de pratiquement tous les produits alimentaires, se penche sur la finance islamique.
Kamel Rezig veut aller très loin dans son projet de promouvoir cette finance basée principalement sur les principes de la religion islamique et sur les préceptes du coran. Pour Rezig, il y a deux sortes deux sortes de finances, « le traditionnel, dont on use aujourd’hui », a-t-il déclaré, et « il y a la finance islamique », a-t-il ajouté.
Rézig a assuré aujourd’hui, lors de l’ouverture de la journée d’information sur la banque islamique, que tous les mécanismes qui pourraient accorder à la Finance Islamique la place qu’elle méritait en Algérie sont réunis.
Alger, future capitale de la finance islamique ?Rézig a évoqué le cas de la grande Bretagne et de Dubaï, en disant qu’il s’agit de grands incubateurs de la finance islamique au niveau mondial. Le ministre a ensuite affirmé que le gouvernement ne manque pas de d’efforts pour donner une bonne impulsion à la finance islamique en Algérie.
Le ministre est allé encore plus loin, en affirmant son souhait de faire de la capitale Alger un incubateur Africain de la finance islamique. Rézig ne manque pas de rappeler que le programme du président de la République, consacre tout un volet pour la consolidation de la banque islamique en Algérie.
Pour Rézig tous les paramètres sont réunis pour réussir sur ce chemin en Algérie. Il a notamment évoqué le rôle joué par les universités, les enseignants et les étudiants, notamment l’université de Blida, ou un doctorat sur la finance islamique a vu le jour, fait savoir le ministre du Commerce.
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Les autorités américaines ne peuvent pas faire grand-chose pour aider les pays européens à surmonter la crise énergétique. Washington ne peut pas donner des ordres aux entreprises privées à qui elles devraient vendre leur gaz naturel liquéfié (GNL). C'est ce qu'a déclaré lundi à une conférence de presse destinée aux journalistes étrangers le conseiller américain à la sécurité énergétique mondiale Amos Hochstrein.
On lui a demandé si les États-Unis pouvaient aider l'Europe à surmonter la crise énergétique en lui livrant du GNL. "Je pense que les États-Unis livrent déjà des quantités suffisantes de GNL sur le marché. Le gouvernement américain ne donne pas d'indications à nos entreprises à qui elles doivent vendre leur produit", a répondu Amos Hochstrein.
"Je ne pense pas que le gouvernement américain puisse faire encore quelque chose. Les États-Unis sont déjà un des plus grands exportateurs du gaz sur le marché mondial, ils détiennent une part du marché très importante".
La crise dans le secteur gazier européen s'est exacerbée cet automne, quand les prix sur le marché spot ont grimpé rapidement pour dépasser 1.000 dollars pour 1.000 m3 et friser 2.000 dollars sur fond du faible taux de remplissage des réserves gazières européennes.
TASS
Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) a eu lieu du 16 au 23 octobre 2021. 13 des 30 prix officiels ont récompensé des œuvres soutenues par l'OIF.
La 27e édition du Fespaco s'est achevée le 23 octobre 2021au Burkina Faso. Le réalisateur somalien Ahmed Khadar a reçu la récompense la plus prestigieuse du Festival avec son film « La Femme du fossoyeur ».
Outre l'Etalon d'or de Yennenga, les principaux autres prix (documentaire, court-métrage de fiction et série) sont revenus à des œuvres co-financées par le Fonds Image de la Francophonie. Le film « Freda » de la réalisatrice haïtienne Gessica Géneus, a obtenu le second prix du long-métrage de fiction.
Onze autres films et séries aidés par le fonds d'aide de l'OIF ont été récompensés lors de la cérémonie officielle du Fespaco ainsi que lors de la remise des prix des séries.
Le long-métrage « La nuit des rois » de l'Ivoirien Philippe Lacôte a reçu le prix du meilleur décor. Celui du scénario est allé au film « Les anonymes » du Rwandais Mutiganda Wa Nkunda. Celui du montage est attribué au film égyptien « Souad », d'Ayten Amin. Le premier prix du documentaire est revenu à « Garderie nocturne » de Moumouni Sanou et celui du court-métrage à « Serbi (Les tissus blancs) » de Moly Kane. Le film « Tabaski » de Laurence Attali a reçu une mention et « Traverser » de Joël Akafou a obtenu le prix Paul Robeson du film documentaire.
La compétition réservée aux films burkinabè a sacré les deux documentaires « Après ta révolte, ton vote » de Kiswendsida Parfait Kaboré et « Sur les traces d'un migrant » de Delphine Yerbanga.
Dans la compétition séries, les deux premiers prix sont allés également à des œuvres soutenues par le Fonds Image de la Francophonie : « Walabok » de la Sénégalaise Fatou Kandé Senghor et « Mami Wata » de la Gabonaise Samantha Biffot. Cette dernière série, ainsi que le long-métrage burkinabè « Les trois lascars », qui a reçu, dans le cadre des prix spéciaux, le prix de la CEDEAO, ont bénéficié du soutien de l'Union européenne et de l'Organisation des Etats ACP dans le cadre du projet Clap ACP mis en œuvre par l'OIF en partenariat avec le FONSIC, fonds d'aide de Côte d'Ivoire.
A noter que 7 des 13 prix officiels remportés par les films et séries soutenus par l'OIF au FESPACO sont l'œuvre de réalisatrices.
27 films et séries soutenus par Le Fonds Image de la Francophonie étaient présentés lors de cette édition du festival panafricain, dont cinq hors compétition.
Le total des financements apportés par le Fonds à ces œuvres s'élève à 797 000 €. Le Fonds d'aide de l'OIF intervient depuis plus de 30 ans au service des films et séries des pays francophones d'Afrique, du Moyen-Orient, de l'Asie du Sud-Est, des Caraïbes et du Pacifique.
L'OIF compte 88 États et gouvernements, 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.
A.A.A
L’Omnium des Championnats du monde 2021 de cyclisme sur piste ont débuté ce mercredi, au vélodrome de Roubaix, dans le nord de la France.
À cet effet, l’Algérien Yacine Chalel a terminé la compétition en occupant la 24e place. Pour la première place, elle a été remportée par le Britannique Ethan Hayter avec un score 1 000 points, devançant ainsi le Néo-Zélandais Aaron Gate qui a eu pu obtenir 900 points, et l’Italien Elia Viviani avec 800 points.
Après les résultats, Yacine Chalel exprime sa déceptionPar ailleurs, le jeune Algérien de 26 ans avait terminé à la 20e place lors de l’épreuve du scratch. Ce dernier a publié un post sur sa page Facebook officielle, où il a exprimé à son public « son désespoir » et son « profond regret » pour son résultat modeste. Il a justifié son score par une erreur de positionnement qui a nui à son résultat final en cette course.
Il convient également de préciser que les 111e Championnats du monde de cyclisme sur piste se sont déroulés du 20 au 24 octobre 2021 sur le vélodrome couvert régional Jean-Stablinski, à Roubaix, en France.
Pour rappel, lors des précédents Mondiaux, qui se sont déroulés dans la ville allemande Berlin en 2020, Yacine Chalel s’était contenté d’une 17e place au scratch, avant de poursuivre la compétition avec la 22e place dans la course aux points. Un résultat qui n’a pas suffi à se qualifier pour les derniers Jeux Olympiques de Tokyo.
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Les autorités maliennes ont déclaré lundi, persona non grata le représentant spécial de la Communaute économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) Hamidou Boli à cause des actes incompatibles avec son statut a rapporté l'AFP citant la télévision d'État du Mali.
Il a été souligné que le diplomate avait 72 heures pour quitter le pays. Le gouvernement malien ne précise pas pour quelles actions Hamida Boli est expulsé.
Depuis août 2020, le Mali a connu deux coups d'État militaires.
Après le premier, la Cédéao avait pris l'initiative de ramener le Mali à un régime civil. Suite à une série de consultations avec les autorités militaires, un compromis a été trouvé. Selon ce compromis, les élections présidentielles et législatives devaient avoir lieu au Mal, en février 2022, et toutes les institutions du pouvoir civil devaient être rétablies vers cette date. En échange, la Cédéao a abandonné sa politique de sanctions contre le Mali.
Cependant, ces derniers mois on voit des signes qui font supposer que des difficultés géopolitiques menacent de ralentir la transition au Mali.
Rédaction
Pascal Essou, Médiateur de la République du Bénin et son homologue du Burundi, l'honorable Edward Nduwimana, étaient en tête-à-tête dans la matinée de ce lundi 25 octobre 2021 au siège du Médiateur à Porto-Novo.
L'Ombudsman de la République du Burundi a effectué, en compagnie d'une délégation, une visite de travail et d'amitié, lundi 25 octobre 2021, au Médiateur de la République du Bénin, Pascal Essou.
Pour le Médiateur du Bénin, la présence de l'Ombudsman du Burundi au Bénin est l'expression de la vitalité de la coopération qui existe entre les deux pays. C'est également le signe fort que les processus de médiation entre le Bénin et le Burundi doivent « se renforcer davantage et se consolider pour asseoir un vivre-ensemble cohérent », a fait savoir Pascal Essou à son homologue du Burundi.
Edward Nduwimana a remercié son hôte pour l'accueil réservé à la délégation burundaise.
L'Ombudsman de la République du Burundi est en visite au Bénin depuis le 23 octobre 2021. Au cours de son séjour, Edward Nduwimana va explorer avec Pascal Essou les pistes d'un partenariat entre les deux institutions. Des échanges de partage d'expériences sur le renforcement des mécanismes locaux de médiation et la culture du dialogue sont également au menu de la visite.
La visite de travail de la délégation burundaise au Bénin prend fin le 29 octobre prochain.
M. M.
Les éléments de la police républicaine ont procédé, dimanche 24 octobre 2021, à l'interpellation de quatre (04) présumés terroristes à Kouandé, dans le département de l'Atacora.
Des présumés terroristes dans les mailles de la police républicaine. Selon les informations rapportées par Le Potentiel, quatre présumés terroristes ont été arrêtés par les forces de sécurité de l'arrondissement de Orou Kayo, dans la commune de Kouandé. Ils seront présentés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).
A.A.A
Les chiffres des contaminations à la covid-19 en Algérie restent au-dessus de la barre symbolique des 100 cas quotidiens. Chose qui a permis à la population de souffler un peu, après un mois de juillet effrayant. Les spécialistes cependant, soutiennent que le danger d’une quatrième vague du coronavirus rode toujours.
Le bilan d’aujourd’hui, le 25 octobre 2021, affirme toutefois que l’Algérie n’a enregistré que 81 nouveaux cas de contamination à la Covid-19 ces dernières 24 heures. Une légère hausse donc par rapport au bilan d’hier, ou 72 cas ont été confirmés.
Les mêmes chiffres dévoilés aujourd’hui par le ministère de la Santé indique que le pays a également enregistré 4 nouveaux décès. Enfin, le communiqué a fait état de 69 nouvelles guérisons et de 16 nouveaux patients qui ont été admis aux soins intensifs.
Les dernières constatations du comité de suivi et de surveillance de l’évolution de la pandémie du coronavirus en Algérie font monter le nombre total des contaminés à plus de ….. L’Algérie, indique les mêmes chiffres a déploré …. décès liés au virus depuis mars 2020.
Les mises en gardes du ministre de la SantéBenbouzid s’est exprimé aujourd’hui en marge de la journée nationale du don de sang. Le ministre de la Santé a dressé un sombre tableau de la campagne de vaccination en Algérie, et appeler les citoyens à se rapprocher des centres de vaccination.
Le ministre a notamment dévoilé que le taux de vaccination chez les étudiants ne dépasse pas les 1 %, et que dans son propre secteurs, les vaccinés ne constituent pas plus de 20 % du total des employés.
Malgré cela, Benbouzid ne songe pas à rendre la vaccination obligatoire. Il estime toutefois qu’il est temps d’user du pass sanitaire comme d’un outil pour « pousser les citoyens à la vaccination ».
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L'ambassadeur de la République du Bénin près la Fédération de Russie, SEM. André Akambi Okounlola-Biaou, s'est entretenu, lundi 25 octobre 2021, avec Mikhaïl Bogdanov, Représentant spécial du Président de la Fédération de Russie pour le Moyen-Orient et les pays d'Afrique et Vice-Ministre russe des Affaires étrangères.
L'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Bénin près la Fédération de Russie a présenté ses lettres de créances ce lundi 25 octobre 2021 à Moscou.
Le renforcement des relations traditionnellement amicales entre la Russie et le Bénin, notamment l'intensification du dialogue politique et l'élargissement de la coopération mutuellement bénéfique dans les domaines commercial, économique, humanitaire, et autres sujets étaient au coeur des échanges entre Mikhaïl Bogdanov, Représentant spécial du Président de la Fédération de Russie pour le Moyen-Orient et les pays d'Afrique et Vice-Ministre russe des Affaires étrangères et l'ambassadeur de la République du Bénin près la Russie, SEM. André Akambi Okounlola-Biaou.
M. M.
Les parents d'un étudiant âgée de 22 ans brûlé vif, jeudi 21 octobre 2021, au quartier Gbira à Parakou, exigent que justice soit rendue. Le jeune homme tué n'était pas un braqueur.
Le jeune homme brûlé vif à Gbira dans le 3è arrondissement de Parakou a été innocemment tué par les populations.
Selon les parents de la victime, Eloi Dogo est étudiant en année de licence à la Faculté des sciences juridiques et politiques de l'université de Parakou. Il est originaire de Savalou et habitait Waï-Waï, une zone du quartier Banikanni dans le deuxième arrondissement de Parakou.
Le jour du drame (jeudi 21 octobre 2021), Eloi Dogo a quitté très tôt sa maison pour se rendre à l'heure dans la structure de micro finance dans laquelle il travaille. « Mais il n'aura pas eu assez de chance devant une population surexcitée qui était à la recherche de deux braqueurs qui, plus tôt, avaient attaqué un chauffeur venant de Nikki pour Parakou », indiquent les parents de la victime.
Selon la chronologie des faits, dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 octobre 2021, entre 3h30 et 4h, deux jeunes hommes ont braqué un chauffeur de taxi à l'aide d'un couteau et d'un fusil. Blessé, le chauffeur alerte les habitants mais les deux jeunes hommes s'enfuient.
Le lendemain matin, sur les lieux du forfait, une dame aurait identifié un jeune homme qui passait par là comme l'auteur de la tentative de vol. Les zemidjans et d'autres personnes se sont rués sur le jeune homme et l'exécutent sans autre forme de procès.
Selon des témoins, Eloi Dogo a fait savoir à ses bourreaux qu'il se trompaient sur sa personne. « Vous allez me tuer innocemment (…). C'est la vérité que je dis. Je n'ai pas volé (…). Je vais au boulot », s'est lamenté le jeune étudiant, jeudi 21 octobre, peu avant sa mise à mort. Malgré ses supplications, Eloi Dogo a été brûlé vif à l'aide de pneus et de l'essence.
Ses parents exigent que les personnes impliquées dans son exécution répondent leur crime devant la justice.
M. M.
Alors que la France demeure la première destination des étudiants algériens, ses établissements scolaires en Algérie séduisent tout autant et attirent même nos responsables dans ces temps de crise diplomatique.
En effet, le lycée international français Alexandre Dumas (LIAD) reçoit des milliers de demandes d’inscription chaque année. Au delà de la qualité de l’enseignement indéniablement supérieure à celle disponible en Algérie, les études dans ce lycée représente une garantie pour poursuivre ses études à l’étranger notamment en France. C’est ce qui a dû séduire la longue liste de diplomates et de hauts responsables algériens souhaitant y inscrire leurs enfants.
Selon le journal français le monde, cette liste de diplomates et hauts responsables remise à l’ambassade de France à Alger par le ministère des Affaires étrangères ne date pas d’hier, le lycée la reçoit chaque années. Or, le LIAD qui dispose de 2000 places seulement ne peut répondre favorablement à toute ces demandes, cette année par exemple 2005 élèves, dont 906 français se sont inscrits.
Une affluence malgré la crise diplomatiqueCes derniers temps les deux pays ont connu beaucoup de désaccords qui ont donné naissance à une crise diplomatique, suscitant la colère et l’indignation de plusieurs responsables algériens et français.
Cela ne semble pas avoir dissuader les responsables algériens d’inscrire leurs enfants dans un lycée français pour qu’ils puissent passer et avoir un baccalauréat français et par extension ils pourront s’inscrire facilement et sans obstacles dans des universités étrangères notamment les universités françaises. Néanmoins, le lycée français ne pouvant pas répondre favorablement à cette forte demande, les responsables algériens ne peuvent qu’être mécontents.
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