Visiblement, le nord de l’Algérie semble renouer avec les tremblements de terre. En l’espace de quelques heures, deux secousses telluriques ont été enregistrées dans deux wilayas durant la soirée d’hier et la matinée de ce dimanche.
Selon deux communiqués du Centre de Recherche en Astronomie astrophysique et Géophysique (CRAAG), les wilayas de Mila et Ain Defla ont connu deux secousses de, respectivement, 3 et 3.6 degrés sur l’échelle ouverte de Richter.
En effet, le CRAAG a recensé durant la soirée du samedi 09 octobre 2021 à 22 h 19, une secousse tellurique de magnitude 3.0 localisée à 1 km sud-ouest de Hammala dans la wilaya de Mila.
Quelques heures après, soit à 06 h 15 de ce dimanche 10 octobre 2021 à 06 h 15, une autre secousse de magnitude 3.6 localisée a été enregistrée à 1 km nord-ouest d’Ain Benian dans la wilaya de Ain Defla.
Le 3 octobre dernier à 19 h 42, une secousse de magnitude 3.4 a été localisée à 5 km sud-ouest de Beni Houssine dans la wilaya de Sétif.
Le nord du pays est sujet à une « sismicité continue »En mars dernier, le géologue et consultant, Azzedine Boudiaf, a indiqué que l’Algérie a toujours été un pays sismique avec la même intensité depuis au moins 6 millions d’années. Selon lui, tout le nord du pays est sujet à une « sismicité continue ».
Dans un entretien accordé au quotidien El Watan, le spécialiste affirme que « depuis des décennies, nous avons compris et admis que tout le nord de l’Algérie est sujet à une sismicité continue ».
Alors que plusieurs localités avaient fait objet de plusieurs secousses le mois de mars dernier, le GRAAG a alors précisé que l’activité sismique enregistrée ces derniers jours dans plusieurs villes du pays, est un phénomène normal associé au rapprochement des deux plaques tectoniques africaine et eurasienne ».
Rappelons que le 17 mars dernier, la wilaya de Bejaïa avait été secouée, par un tremblement de terre d’une secousse tellurique de magnitude 4,0 degrés sur l’échelle ouverte de Richter. Plusieurs autres répliques avaient été également enregistrées.
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Des pluies, parfois sous forme d’averses orageuses, affecteront plusieurs wilayas de l’Est du pays en ce début de semaine, indiquent les services de l’office national de météorologie.
En effet, 5 wilayas côtières de l’est du pays ont été mises sous vigilance jeune pluies, pour cette journée du dimanche 10 octobre 2021. Il s’agit, selon la carte d’alerte jaune des wilayas de Béjaia, Jijel, Skikda, Annaba et El Taref.
Pour ce qui est de la vigilance marine, Météo Algérie a mis plusieurs zones côtières en alerte jaune « vagues dangereuses ». Il s’agit des régions côtières d’El Kala, Annaba, Skikda, Jijel, Bouharoune, Ténés, Mostaganem, Arzew, Oran, Béni Saf, Ghazaouat et Marsa Ben Mhidi.
Les quantités attendues, selon la même source, peuvent atteindre les 20 à 30 mm, voire dépasser les 40 mm localement. Ces averses seront accompagnées par de fortes rafales de vents.
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Le marché des devises en Algérie s’est relativement stabilisé dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie ainsi qu’au niveau du marché parallèle pour ce dimanche 10 octobre 2021.
Pour ce début de semaine, le cours de l’euro à la Banque centrale d’Algérie s’élève à 158,81 dinars à l’achat et 158,87 dinars à la vente. Sur le marché parallèle des devises, il a atteint les 212 dinars à l’achat et 214 dinars à la vente.
Pour ce qui est de la monnaie étasunienne, le dollar s’est stabilisé à 137,29 dinars à l’achat et 137,31 dinars à la vente dans les cotations de la Banque d’Algérie. Son cours sur le marché parallèle s’est établi à 181 dinars à l’achat et 184 dinars à la vente.
Le prix du livre sterling à la Banque a atteint 186,36 dinars à l’achat et 184,44 dinars à la vente, tandis que sur le marché noir, l’unité de cette monnaie est proposée à 245 dinars à l’achat et de 247 dinars à la vente.
Le taux de change des monnaies des pays arabesConcernant les autres monnaies, le prix du riyal saoudien dans les cotations officielles est de 36,60 dinars à l’achat et de 36,61 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il s’achète à 48 dinars à et se vend à 48 dinars.
Le taux de change du dirham des Émirats arabes unis à la Banque d’Algérie s’élève à 37,37 dinars à l’achat et 37,38 dinars à la vente. Tandis que sur le marché parallèle, il est de 49 dinars à l’achat et de 49 dinars à la vente.
Le prix du dinar koweïtien à la Banque est de 454,62 dinars algériens à l’achat et de 455,88 dinars algériens à la vente. Sur le marché noir des devises, il s’élève à hauteur de 596 dinars à l’achat et 603 à la vente.
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En raison de ses nombreuses vertus thérapeutiques, le CBD bénéficie d’une grande popularité auprès du public. Pour satisfaire cette croissante et diversifiée demande dont fait montre ce composant du chanvre, les marques ont alors mis sur le marché une kyrielle de formes de CBD. C’est le cas des fleurs, résines et huiles. Chacun de ces types de CBD est disponible en plusieurs variétés.
Les différentes variétés d’huiles de CBD
Sur le meilleur site CBD, ces huiles se reconnaissent par leur couleur foncée et leur goût prononcé. À côté de cette qualité d’huile de CBD se trouve celle qualifiée d’isolat. C’est une variété d’huile pure.
Elle n’est en effet constituée que d’un seul composé de la plante de chanvre et il s’agit du cannabidiol. De plus, soulignons que cette variété d’huile est obtenue grâce à un procédé d’extraction au CO2.
Quelles sont les qualités de fleurs de CBD ?
Les qualités de fleurs de CBD varient selon l’espèce et le mode de culture de la plante. Sur la base du facteur de la technique de croissance, il existe trois variétés de fleurs de CBD. Il s’agit des :
Au niveau de la première catégorie de fleurs, les plantes de cannabis sont cultivées en extérieur. Elles bénéficient donc de conditions climatiques naturelles et croissent normalement. La deuxième catégorie fait référence aux fleurs de CBD dont les plants sont cultivés en intérieur.
Ces derniers requièrent un suivi humain rigoureux pour croître. Ce qui rend leur prix d’acquisition élevé. Les plantes de la troisième variété de fleurs de CBD combinent les deux modes de culture précédemment évoqués. Elles sont reconnues pour leur bon rapport qualité-prix.
Les variétés de fleurs de CBD selon l’espèce
En considérant le facteur de l’espèce, il existe deux qualités de fleurs de CBD. Il y a celles de la variété Sativa qui ne grandissent que dans les milieux tropicaux. De plus, leur vertu est principalement à but énergisant.
Il y a également les fleurs de la variété Indica qui, elles, ne possèdent que des fonctions relaxantes. De plus, elles grandissent dans les milieux montagnards.
Les qualités de résines de CBD
Au niveau des résines de CBD, il y a deux variétés de produits. Nous avons donc les résines afghanes qui sont généralement produites en Afghanistan. Elles sont obtenues suite à un processus de pressage et de chauffage des trichomes.
Il y a également les résines produites au Maroc. Pour obtenir ces dernières, il faut battre et passer au tamis des plants de chanvre séchés. Cette étape permet d’extraire les grains de pollen et les trichomes. Il faut ensuite presser ces divers composés pour obtenir la résine CBD.
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Un présumé voleur a été abattu à Houèto, une localité de la commune d'Abomey-Calavi dans la nuit de ce vendredi 08 octobre 2021 aux environs de 22 heures.
Les hors la loi, au nombre de deux, se sont mis à tirer sur le conducteur de taxi moto qui les transportait afin de la lui arracher. Alertées par les cris de la victime, les populations sont parvenues à maîtriser l'un deux, et l'ont tué. Le second par contre, a réussi à s'échapper.
F. A. A.
La réaction de Jodel Dosdou sur sa page Facebook :
"Un fâcheux événement a provoqué mon départ prématuré du stage de la sélection nationale ce vendredi.
J'assume entièrement les responsabilités liées à la « faute » commise dans une situation exceptionnelle.
J'ai dû faire face sans avoir eu le choix à une urgence familiale qui a duré deux heures d'horloge. C'était par instinct de survie.
Les rumeurs qui circulent sur la toile et qui rapportent des ébats au campement de la sélection nationale ne sont pas fondées. Je tiens à les démentir.
Je présente sincèrement mes excuses au groupe, au staff et au public qui m'ont toujours soutenu.
J'aurais aimé être sur le terrain avec mes coéquipiers et j'ai un vrai pincement au cœur de ne pas être présent.
Rien n'est plus important que la nation.
Je souhaite beaucoup de courage et bonne chance pour ce match face à la Tanzanie.
Par la grâce de Dieu la victoire sera de notre côté.
Allez les Ecureuils !
JODEL DOSSOU"
Speak Up Africa en collaboration avec le Musée de la Femme Béninoise a organisé, samedi 09 octobre 2021, à Cotonou, un panel sur le thème « Combattre conjointement les maladies tropicales négligées et le paludisme pour favoriser l'égalité des genres ». L'activité a eu lieu dans le cadre de la journée internationale des jeunes filles (11 octobre) et de la campagne « En marche vers Kigali » (lancée en avril 2021).
Renforcer le plaidoyer et la communication sur la lutte contre les Mtn (Maladies tropicales négligées) et le paludisme au Bénin ; c'est l'objectif du panel initié par Speak Up Africa et le Musée de la Femme Béninoise. Modéré par Wuldath Mama, responsable du Musée de la Femme Béninoise, le panel a été l'occasion de relever l'importance d'une lutte intégrée contre ces maladies.
Selon Dr Wilfrid Batcho, Coordonnateur du Programme National de lutte contre les maladies transmissibles, les Maladies tropicales négligées se développent dans des régions où les taux de pauvreté sont plus élevés. Elles touchent plus de 1,5 milliard de personnes dans le monde et entraînent des milliers de décès chaque année.
Au Bénin, les MTN sont de deux groupes. Il y a les maladies nécessitant des interventions à impact rapide (Onchocercose, Schistosomoses, Géohelminthiases, Trachome) et celles nécessitant le diagnostic et la prise en charge (Ulcère de Burili, lèpre etc).
Il existe des stratégies de lutte contre ces maladies à savoir l'administration des médicaments, des interventions très peu coûteuse, le dépistage et le traitement précoce.
Ces maladies dites négligées, soutient Dr Wilfrid Batcho, affectent les personnes pauvres et l'opinion (nationale et internationale) accorde peu d'importance à ce groupe de maladies.
En ce qui concerne le paludisme, il demeure la première cause d'hospitalisation et de décès chez les enfants de moins de cinq ans. En 2019, les formations sanitaires ont enregistré 2.303.503 cas confirmés dans la population et 3 234 décès. La prévalence du paludisme varie selon le département passant d'un minimum de 17 % dans le Littoral à un maximum de 51 % en milieu rural.
Dans certains pays africains, le paludisme réduit la croissance du PIB jusqu'à environ 1,3 %.
Le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) met en œuvre ses stratégies pour éliminer le paludisme à l'horizon 2030. Le chef service des interventions communautaires et de la communication du PNLP, Anicet Adjin, cite entre autres, la distribution de moustiquaires imprégnées d'insecticide, la campagne de pulvérisation intradomiciliaire d'insecticide à effet rémanent (PID), la prise en charge des cas par les relais communautaires. Il a insisté sur l'engagement des communautés dans cette lutte.
Anicet Adjin n'a pas manqué d'opiner sur le vaccin anti-palu. « Au moment opportun, il faut que chaque éninois puisse prendre les dispositions nécessaires parce que nous attendons ce vaccin depuis des années. Qu'on ne lie pas la sortie de ce vaccin à la pandémie qui sévit dans le monde entier », a déclaré Anicet Adjin.
Rôle du secteur privé
Plusieurs défis restent à relever notamment celui du financement de l'appui à l'élimination du paludisme, d'où l'initiative « Zéro Palu ! Les entreprises s'engagent », lancée par le Groupe Ecobank en partenariat avec Speak Up Africa. Elle vient en appui à la campagne « Zéro Palu ! Je m'engage », endossée par l'Union Africaine en 2018. Selon Eunice Loisel, Directrice de la Banque Commerciale Ecobank Bénin, le but est de stimuler l'engagement du secteur privé dans la lutte contre le paludisme. Des entreprises clientes d'Ecobank s'impliquent désormais dans cette lutte. « Il faut que les entreprises participent davantage à la lutte afin de dynamiser les objectifs nationaux en mobilisant davantage de partenaires et de ressources », a-t-elle souligné.
Pour la présidente de l'Association Volontaires itinérants Actifs pour le Mieux Être des populations Via-Me, Dr Odry Agbessi, la lutte ne peut être menée sans les femmes. C'est pourquoi, Via-Me renforce la capacité des jeunes filles et femmes afin qu'elles s'engagent sur les questions liées aux MTN et au paludisme. L'Association cordonne également au plan national la campagne, « En marche vers Kigali » à travers sa propre campagne « le 229 en marche vers Kigali ». Lancée en avril 2021, la campagne « En marche vers Kigali » a pour but d'impulser un élan pour l'adoption d'une approche dans le cadre de la lutte contre les MTN et le paludisme.
Zakiath Latoundji, présidente de l'Union des Professionnels des Médias du Bénin a apprécié l'implication des médias dans la lutte contre les MTN et le paludisme. Il est important selon elle, que les acteurs du domaine collaborent davantage avec les professionnels des médias. Les médias pourront dès lors avoir des contenus et informer les communautés sur ces maladies.
Le Coordonnateur pays Bénin et Chargé de plaidoyer Speak Up Africa, Franz Okey a réitéré l'engagement de l'organisation à soutenir les efforts du ministère de la Santé aux côtés du groupe Ecobank.
A.A.A
A propos de Speak-Up Africa
Basée à Dakar, au Sénégal, Speak Up Africa est une organisation à but non lucratif de communication stratégique et de plaidoyer dédiée à catalyser le leadership africain, favoriser les changements de politiques et renforcer la sensibilisation autour du développement durable en Afrique. À travers nos programmes, ses réseaux et avec l'aide de ses partenaires, elle s'assure que les décideurs rencontrent les acteurs de terrain, que des solutions soient présentées et que chaque secteur - des citoyens et groupes de la société civile aux partenaires financiers et dirigeants
d'entreprises - contribue de manière critique au dialogue et s'efforce d'agir de manière concrète pour la santé et le développement durable sur le continent.
Le FFS ne sait plus sur quel pied danser. Après avoir annoncé en grandes pompes sa participation aux prochaines élections locales, prévues pour le 27 novembre 2021, le voilà qui livre une critique pour le moins violente envers la loi électorale qui régit la tenue du scrutin.
C’est Youcef Aouchiche, le secrétaire général du FFS qui a déclaré aujourd’hui, en marge de la conférence nationale économique et sociale organisée par son parti, que « la nouvelle loi électorale est une véritable déclaration de guerre contre les partis politiques et tout ce qui est organisé ».
Cette déclaration n’est pas anodine. Après avoir annoncé sa participation au prochain scrutin, le FFS s’est vite heurtée à la difficulté de collecter des signatures.
En effet, Aouchiche indique, lors de la même intervention, que son parti a pu « retirer les formulaires de candidature dans plusieurs wilayas, … mais qu’il avait eu du mal à recueillir les signatures et à les déposer ». Aouchiche n’a pas aussi manqué de qualifier la nouvelle loi électorale de « particulièrement injuste ».
Participation du FFS : une « décision politique »Toujours en marge de la conférence nationale économique et sociale organisée par le FFS, son secrétaire général rappelle que la participation de son parti aux prochaines élections est une « participation politique, pour des raisons et des objectifs politiques ».
Il est à rappeler que le FFS, à cause de sa décision de participer aux élections locales, fait face à une fronde au sein de sa base militante. En effet, dans les semaines qui ont suivies sa déclaration officielle de participer au prochain scrutin, des communiqués appelant au boycott, émis par ses directions régionales, se multipliaient.
Contrairement au FFS, le RCD a décidé quant à lui, au cours des travaux d’un Conseil national qui ont duré plus de six heures, de « rejeter » les élections locales. Son président, Mohcin Belabes s’est même montré particulièrement acerbe dans ses déclarations vis-à-vis des partis qui participent aux élections et qui n’arrivent pas à collecter assez de signatures.
En effet, dans un numéro de l’émission CCP du média Radio M, Mohcin Belabés, chef du RCD a déclaré que cela « est grave, …. vous savez combien de signatures il faut collecter ? Un nombre infime. Vingt signatures par candidat ».
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Alors que sa participation au prochain scrutin, programmé pour le 27 novembre prochain, a été sans surprise annoncée, le FLN fait face à des tirs croisés qui pleuvent sur lui de tous les côtés. Outre le « pourrissement » qui gangrène ses plus hautes sphères, l’ex-parti unique doit également faire gaffe à sa base militante et aux autres partis concurrents.
Le Front de Libération National qui faisait et défaisait autrefois les décideurs de l’Algérie moderne, n’est désormais que l’ombre de ce qu’il fut autrefois. Les scènes qui ont eu lieu au début du mois de septembre devant le siège central du parti à Hydra ont été annonciatrices d’une longue série de mésaventures, dont le parti de Baadji risque de ne pas sortir indemne.
Le FLN lâché par ses propres parlementairesLe FLN multiplie les scandales politiques. Après l’épisode qui a porté un coup dur à l’image du parti, survenu à Hydra, et les scandales judiciaires qui se sont ensuivis, voilà que des parlementaires du FLN annoncent qu’ils gèlent leurs appartenances au vieux parti unique.
En effet, aujourd’hui, le 09 octobre 2021, trois parlementaires du FLN de la wilaya de Mila ont publiquement annoncé qu’ils gèlent leurs appartenances au parti. Une décision qui vise à contester la persistance de la direction actuelle à la tête du FLN. Les trois députés ont indiqué que leur décision se poursuivra jusqu’à ce que la direction actuelle lâche les rennes du parti.
Il s’agit, affirme le quotidien Al Khabar, des parlementaires Bedroun Zakaria, Ben Abderahmane Ibrahim, tous les deux députés à l’APN, mais aussi de Chaoui Abdeloukil, membre du Conseil de la Nation. Les raisons qui ont poussé les trois parlementaires à prendre une telle décision sont à chercher du côté des listes électorales en vue des prochaines élections locales, indique la même source.
Élections locales : le FLN accusé par les autres partisAlors que le scrutin approche, le FLN multiplie les faux pas. Son image ne tient plus à rien dans le paysage politique. Après la chute de Bouteflika, le Parti qui a toujours été proche du pouvoir ne sait plus à quel saint se vouer. Aujourd’hui, des partis qui participent aux prochaines locales se sont plaint à l’ANIE de « dépassements » commis par le FLN dans le cadre du dépôt des dossiers de candidatures.
Le FLN n’aurait pas respecté les délais du dépôt. Ces derniers ont pris fin avant-hier jeudi, mais pas apparemment pour le FLN qui « jouit de la complicité de certaines administrations », toujours selon El khabar. En effet, l’ex-parti unique, qui n’avait pas pu déposer des dossiers de candidature dans plusieurs communes, dont celle de grandes villes, aurait profité de l’autorisation accordée par l’ANIE aux candidats libres.
Le FLN aurait été aidé dans les dépassements qu’il avait commis par certaines administrations, indique encore la même source, qui souligne que le parti souffre d’une impuissance à collecter les signatures et même à trouver des candidats.
De quoi le pourrissement du FLN est-il le nom ?Il n’est plus un secret pour personne que le FLN, à l’instar de plusieurs partis qui orbitaient autrefois autours des centres du pouvoir, ont pris un coup dur après le Hirak. Le cas FLN est cependant particulièrement flagrant. Alors qu’il faisait et défaisait autrefois des hauts responsables, l’ex-parti unique regarde impuissant aujourd’hui des opposants qui appelle à le mettre au musée.
Le FLN cependant est loin de répondre politiquement à ses détracteurs. Entre ses faux pas politiques, son récent passé trouble et taché par la corruption, le parti se dirige fermement vers les oubliettes.
Mais outre le destin du parti lui-même, qui a marqué l’histoire de l’Algérie indépendante, sa situation pousse à réfléchir sur l’avenir du multipartisme en Algérie. Le défi des élections locales a clairement montré que même au sein de l’opposition les avis divergent, et que les partis sont de plus en plus impuissants à changer quoi que ce soit dans l’opinion publique. Le paysage actuel scelle un véritable divorce entre le citoyen et la classe politique. Symptôme d’une crise politique qui est loin d’être réglée.
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La communauté algérienne à l’étranger est établit dans différents pays du monde, plus particulièrement en Europe. Tandis que certains Algériens occupent des posts de travail importants, en médecine, biologie ou en ingénierie, d’autres préfèrent constituer des bandes criminelles et de malfaiteurs.
Outre l’Hexagone, l’Espagne a enregistré aussi des activités criminelles menées par des ressortissants algériens. Comme c’était le cas récemment à Barcelone ou la police a réussi à mettre la main sur des Algériens impliqués dans une affaire de trafic de faux papiers européens.
En effet, des médias espagnols ont rapporté qu’un réseau de trafic de papiers d’identité a été démantelé grâce à une collaboration de la police espagnole avec Europol et la Garde urbaine de Barcelone. Il s’agit d’une organisation spécialisée dans le vol, la vente et la falsification de cartes d’identité et de passeports.
Des Algériens à la tête de l’organisationCe réseau de trafic, dirigé par des ressortissants algériens est installé à Ciutat Vella, à Barcelone. Il procède à des opérations de vols effectués dans les rues de la ville, et ce, avec l’aide d’un nombre important d’adolescent.
Les documents volés sont des pièces d’identités et des passeports étrangers.
Ces documents sont revendus par la suite dans différents pays, selon la demande. La perquisition de trois maisons à Barcelone a permis à la police de récupérer environ 2000 cartes d’identité et de passeports appartenant à des européens notamment espagnols et français.
L’enquête ayant abouti à démanteler ce réseau de trafic remonte au début de l’année 2021. Après plusieurs mois, la police a réussi à mettre la main sur un colis en partance vers la Grèce, dans lequel se trouvait une centaine de documents. Ainsi, trois personnes ont été arrêtées dans cette affaire, en attendant la poursuite de l’enquête en dehors des frontières espagnoles.
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L’Algérie retrouve sa stabilité sanitaire après une troisième vague particulièrement meurtrière de la covid-19. Le bilan quotidien des contaminations confirme encore une fois la décrue ce 09 octobre. Selon les chiffres d’aujourd’hui, le pays a connu d’ailleurs une nouvelle et légère baisse.
Le bilan du ministère de la Santé fait état aujourd’hui de 102 nouveaux cas de contaminations à la covid-19, contre 112 enregistrés hier. Ces dernières 24 heures, et toujours selon la même source, l’Algérie a enregistré 4 nouveaux décès, 77 nouvelles guérisons, ainsi que 13 nouvelles admissions en réanimation.
Ces derniers chiffres révélés par le ministère de la Santé indiquent que le bilan total des contaminations s’élève désormais à 204.227 cas. Le pays a déploré, depuis le début de la crise sanitaire en mars 2020, pas moins de 5852 décès liés à des dangereuses complications du virus.
Covid-19 et troubles dépressifs : un drame souvent occultéLe souvenir de la troisième vague qui a dévasté l’Algérie reste encore dans les esprits des citoyens. Mais certains plus que d’autres souffrent particulièrement des séquelles de la Covid-19. Des séquelles qui peuvent être physiques, mais également psychologiques.
La revue scientifique britannique The Lancet indique dans son dernier numéro que depuis l’arrivée de la Covid-19 en 2020, les cas de dépression et d’anxiété ont augmenté de plus d’un quart dans le monde. Les chiffres donnés par les scientifiques sont respectivement de 28 % et 26 % pour 2020 et 2021.
Si certains prennent à la légère ces symptômes d’autres pas. Alize Ferrari, la coautrice de l’étude, a notamment déclaré que « pour de nombreuses raisons, les femmes ont été davantage susceptibles d’être plus touchées par les conséquences sociales et économiques de cette pandémie ».
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Le secrétaire général adjoint du gouvernement, Wilfried L. Houngbédji était ce vendredi 08 octobre 2021 au siège du journal 24HAUBENIN. Au cours de cette visite qui s'inscrit dans le cadre de la séance hebdomadaire avec les médias en ligne au Bénin, le porte parole du gouvernement s'est prononcé sur plusieurs sujets d'actualité dont la levée de la mesure d'exportation de produits vivriers.
Selon les explications du porte-parole du gouvernement, deux raisons fondamentales expliquent la levée d'exportation des produits vivriers. Il s'agit de la disponibilité de produits, et la maîtrise des coûts. A en croire Wilfried L. Houngbédji, les prix sont revenus dans les proportions acceptables, ou à peu près à ce qu'ils étaient au moment où le gouvernement prenait la mesure d'interdiction des produits. Avant de prendre cette décision, le gouvernement rassure son porte-parole, a pris le temps d'observer les effets, et d'expliquer par la suite. A l'époque, plusieurs milliers de tonnes de produits avaient été arraisonnés, et dans ce contexte, ç'aurait été « un désastre de laisser faire », a-t-il rappelé.
Selon le secrétaire général adjoint du gouvernement, la pression sur le marché national des produits était tel que si le gouvernement ne prenait cette mesure, la tendance légitime pour gagner un peu plus de sous en vendant aux étrangers l'aurait emportée. « Cela a été fait pour que les produits restent dans le pays dans leur globalité », a-t-il soutenu.
Éviter les sorties incontrôlées, c'était l'option du gouvernement, a rappelé Wilfried L. Houngbédji avant de préciser que les produits qui devaient sortir, feraient l'objet d'un processus particulier, et obtenir l'autorisation. Et le gouvernement pendant la période d'interdiction, a veillé au respect de cette mesure.
La conséquence selon le porte-parole, est que la production nationale est restée « essentiellement » sur le territoire, et entre temps, il y a eu les récoltes qui permettent de renforcer la disponibilité de produits sur le marché.
Étant donné que les produits sont disponibles et qu'il y a moins de tension, et que les prix ont commencé à retrouver leur niveau antérieur, il était temps de procéder à la levée de la mesure d'interdiction d'exportation de produits viviers.
Dans son approche, l'État à l'époque devrait préserver les grands équilibres : permettre à la population de manger à sa faim, et ne pas empêcher ceux qui vivent de l'exportation de ne pas gagner de l'argent, a expliqué Wilfried L. Houngbédji.
F. A. A.
La décrue des cas de contaminations en Algérie, se confirme de jours en jours. Après l’allègement du confinement sanitaire et la reprise de certaines activités, les Algériens peuvent enfin respirer.
Une autre bonne nouvelle annoncée aujourd’hui 9 octobre va les réjouir encore plus. Il s’agit du retrait de l’Algérie de la liste rouge établit par la France. En effet, l’Hexagone ne considère plus l’Algérie comme zone à haut risque. C’est ce qu’a été publié ce samedi au Journal officiel de la République française.
Ainsi, l’arrêté publié par le ministre français de la Santé Olivier Véran indique que la décision entrera en vigueur à partir de lundi 11 octobre. Les deux voisins maghrébins sont également concernés par la bonne nouvelle. Suite à une amélioration de la situation sanitaire, le Maroc et la Tunisie ne figurent plus sur la liste rouge.
Que va-t-il changé pour les voyageurs ?Rappelons par ailleurs que l’Algérie a été considérée par la France comme zone à haut risque le 21 aout dernier. Une période durant laquelle le pays traversait une troisième vague de covid-19 des plus virulentes. Aujourd’hui, l’Algérie quitte la liste rouge et se retrouve sur la liste « orange » comme cela a été le cas auparavant.
Cette nouvelle décision va logiquement alléger les conditions d’entrée en France. Ce sont uniquement les voyageurs non-vaccinés qui sont concernés par ces conditions puisque le Sinovac a été reconnu.
Désormais, ils doivent présenter un motif impérieux, un test PCR de moins de 72 h (au lieu de 48 h actuellement) ou antigénique (- 48 h, inchangé) avant le départ. À cela s’ajout, l’auto-isolement de 7 jours au lieu d’une quarantaine obligatoire de 10 jours.
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Le joueur de Clermont Foot, Jodel Dossou ne fait plus partie du groupe des Écureuils du Bénin. Pour « faute grave » et « mauvaise conduite », le sélectionneur français, Michel Dussuyer a annoncé son exclusion en conférence de presse ce samedi 09 octobre 2021, veille du match retour contre la Tanzanie.
Plus de Jodel Dossou dans le groupe des Écureuils du Bénin lors des prochains matchs. Pour faute grave et mauvaise conduite, l'entraîneur l'a exclu de la sélection nationale. Cette décision selon Michel Dussuyer n'a pas été facile. « C'est pas une décision facile. On ne doit pas laisser passer certaines choses dans un groupe », a expliqué l'entraîneur.
Jeudi 07 octobre dernier, les Écureuils ont réalisé un exploit en remportant à Dar es Salam, une victoire face aux tanzaniens. Très heureux du résultat, Jodel Dossou affirma, « on commence bien avec une victoire, mais le plus dur reste à la maison ».
Avec la décision de l'entraîneur, le milieu offensif béninois n'aura plus l'occasion d'exprimer sur le rectangle vert ce dimanche, sa volonté de battre une seconde fois, les Taifa Stars.
F. A. A.
La chute du pouvoir d’achat et l’inflation auxquelles fait face le citoyen algériens alimentent l’actualité et suscite le débat. Sachant que le président a annoncé dimanche dernier la baisse de l’IRG, d’autres propositions font surface la part de syndicalistes et militants.
C’est le cas notamment de l’analyse livré par Noureddine Bouderba, militant syndicaliste, expert des questions sociales et du monde du travail, qui a accordé un entretien au quotidien « Reporters ».
Avant de proposer ses solutions relatives à l’augmentation du pouvoir d’achat, l’expert a tenu à préciser que l’Algérie est le seul pays au monde ou « l’IRG sur les salaires est supérieur à l’impôt sur les bénéfices des sociétés ». Selon Noureddine Bouderba, tout travailleur dont le revenu est deux fois supérieur au SNMG doit être exempté de l’IRG.
« Il faut exempter de l’IRG la fraction du salaire qui est inférieur à deux fois le SNMG/ Cette nuance est très importante de fraction de salaire, cela veut dire que toute fraction de salaire comprise entre deux fois le SNMG et exempte de l’IRG », poursuit-il.
« Ce n’est pas normal qu’un retraité paie plus d’impôt de l’IRG qu’un professionnel libéral »D’un autre côté, l’expert estime qu’il faut réduire le taux de l’IRG de 50% ce que paye actuellement le travailleur, et ce, pour la fraction de salaire comprise entre deux fois le SNMG et 120 000 dinars. Quant à ceux qui gagent plus de 120 000 DA, ils doivent bénéficier d’une réduction de 25%.
Idem pour la pension des retraités, car il est inadmissible qu’un retraité paye plus d’impôt de l’IRG qu’un professionnel libéral. Cependant, ces mesures ne seront efficaces que si l’inflation recule, a-t-il soutenu, tout ajoutant que la dévaluation du dinar est à l’origine de cette inflation.
Pour conclure, le syndicaliste réitère l’importance du rôle de l’État pour maintenir « la cohésion sociale », et ce, en renforçant les dépenses sociales, à savoir le maintien de la subvention des produits alimentaires de base et des produits énergétiques
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Depuis sa nomination à la tête de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra a mené un marathon diplomatique multipliant les rencontres et les consultations avec ses homologues des quatre coins du monde.
Trois mois après sa prise de fonction, Lamamra est revenu aujourd’hui, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la diplomatie, sur le rôle de l’Algérie sur la scène internationale.
Lors d’un point de presse tenu ce samedi 9 octobre, au siège du ministère des Affaires étrangères, Lamamra a mis en avant « le rôle capital et central » de la diplomatie algérienne qui, selon lui, est liée directement à la sécurité nationale.
Selon le chef de la diplomatie algérienne, le rôle de cette dernière est « capital » voire « central » dans « la stratégie de sécurité nationale ». Le ministre des Affaires étrangères explique notamment que l’activité diplomatique de l’Algérie veille, « à la préservation de l’intégrité territoriale, de l’indépendance et de la souveraineté et de l’unité nationales ». Cette tache, indique le meme intervenant, est honoré « aux côtés des services de sécurité ».
La sécurité nationale est donc selon Lamamra, Intrinsèquement liée à l’efficacité de l’appareil diplomatique. Ce dernier aurait donc pour mission principale « d’anticiper les événements et de déceler les menaces extérieures ».
Lamamra précise encore que les efforts de la diplomatie visent à défendre les intérêts de la nation, à contribuer à l’instauration de la sécurité et de la stabilité dans la région, mais aussi à renforcer les liens « avec l’Afrique et le Monde arabe et à la promotion du partenariat et de la paix dans le monde« .
Paix en Libye : quel rôle pour l’Algérie ?L’Algérie a joué un rôle pour mettre fin à la crise qui déchire la Libye depuis plus de dix ans maintenant. Toujours lors du même point de presse, Lamamra a indiqué que l’Algérie n’a jamais cessé de contribuer au processus de paix chez le voisin libyen.
Selon Lamamra, Outre le soutien au processus de dialogue national en Libye, l’Algérie a également « œuvré à la création et à l’activation du mécanisme de ses États voisins ».
l’Algérie, ajoute Lamamra reste attachée à « l’intensification de la coordination et de la coopération » dans le but d’arriver à un véritable « processus politique » en Libye. Toujours selon le chef de la diplomatie, l’Algérie souhaite que le prochain scrutin que connaitra la Libye va la tirer de sa crise.
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Le financement du déficit budgétaire demeure d’une extrême nécessité sur le plan du gouvernement. Pour ce faire, l’Algérie a opté pour « la solution interne » ; qui jusqu’à aujourd’hui semble être déjà lancée.
Ces dernières semaines, le gouvernement a lancé une « mini-reforme » des conditions d’importations. Après avoir interdit l’importation de plusieurs produits, dont alimentaires, le ministère du Commerce est revenu aujourd’hui avec une nouvelle mesure d’interdiction.
Suspension de l’importation sous la position tarifaire « Autres »Jeudi dernier, l’Association des banques et établissements financiers (ABEF) a adressé une note aux banques et établissements financiers au sujet des importations. Cette dernière concerne les opérations d’importations effectuées sous la position tarifaire ‘Autres‘.
Selon la note de l’ABEF, toute opération d’importation classée sous la position tarifaire « Autres » est dorénavant suspendue. Une décision prise dans le cadre de « l’encadrement et de la rationalisation des importations », d’après la même source.
« Il vous est demandé d’instruire vos services ; à l’effet de surseoir à la domiciliation de toute opération d’importation sous la rubrique ‘Autres’ et de veiller à la stricte application de cette mesure », a ordonné l’ABEF dans sa note destinée aux banques et aux établissements financiers.
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