Comment expliquer le fort intérêt de plus en plus d’acteurs économiques importants pour les cryptomonnaies ? Le lancement récent de Bank Of America dans le monde des cryptomonnaies nous a donné envie d’écrire un article pour l’expliquer. Nous allons tout d’abord nous intéresser aux causes de cet intérêt puis nous étudierons le cas de Bank of America en particulier.
Ce n’est un secret pour personne, le secteur des cryptomonnaies et de la blockchain est en pleine effervescence et a connu de fortes périodes de croissance ces dernières années. Depuis 2009, lorsque la Bitcoin a été créée, il y a eu des hauts et des bas mais globalement sa valeur n’a jamais cessé de grimper. Tout un écosystème est né autour du bitcoin et de la blockchain, on l’appelle la crypto sphère. De nombreuses cryptomonnaies sont nées, il en existe de plus en plus.
Certaines personnes sont sceptiques sur les cryptomonnaies et pensent qu’elles pourraient connaitre un déclin proche. Mais on remarque au contraire que le développement de ce secteur reste extrêmement important en 2021, voire supérieur à ce qu’il a été dans le passé. C’est un développement qui est exponentiel. En 2019, selon le site CoinMarketCap, il existait 2 400 cryptomonnaies, en 2021, le même site internet en recense 12 516.
Il s’agit donc d’un secteur qui continue de progresser très fortement et qui pourrait continuer de progresser. C’est pour cette raison qu’investir dans les cryptomonnaies peut être une décision intéressante. C’est un marché qui a jusqu’à aujourd’hui été très porteur et qui pourrait bien continuer à l’être.
Comment investir dans les cryptomonnaies ?Vous souhaitez investir dans les cryptomonnaies ? Il existe de multitudes de possibilités sur internet. Il est aujourd’hui devenu très facile pour les particuliers d’investir dans les cryptomonnaies grâce à la grande quantité d’outils et d’apps qui permettent de le faire. Pour ce qui nous concerne, nous avons tester différentes plateformes, logiciels et outils. Plusieurs ont attirés notre attention mais la plateforme qui nous à semblée la plus complète pour satisfaire tous les besoins des investisseurs particuliers est Bitcoin Up.
La première qualité de Bitcoin Era est qu’il s’agit d’une plateforme intuitive, qui convient aussi bien aux débutants qu’à des utilisateurs plus aguerris. C’est aussi une plateforme qui vous permet de commencer à investir dans les cryptomonnaies uniquement avec la somme de 250$. Il n’y a pas besoin d’investir énormément. Cette plateforme vous permet d’être mis en relation avec des courtiers de confiance qui vous accompagnerons pour investir.
Bank of America s’intéresse aux cryptomonnaiesLa deuxième banque des Etats-Unis, Bank Of America, commence à s’intéresser très sérieusement aux cryptomonnaies. Comme le signale cet article de conseilscrypto.com, la banque a décidé de mettre en place une équipe de recherche sur les cryptomonnaies. Cette stratégie montre l’importance que Bank Of America accorde aux cryptomonnaies, la banque américaine souhaite être à la pointe dans ce domaine. Bank Of America s’intéresse aux cryptomonnaies depuis déjà plusieurs années, en 2019 la banque avait déjà estimée via un communiqué que le bitcoin avait été le meilleur investissement des 10 dernières années. Mais ce que l’on comprend lorsque l’on s’intéresse à l’état d’esprit qui règne chez Bank Of America, c’est que plus le temps passe, plus le sujet des cryptomonnaies devient sérieux. Au départ, on n’accordait peu d’importance aux cryptomonnaies et petit à petit le concept à fait son chemin et est devenu plus clair dans l’esprit de tous les acteurs économiques à travers le monde et également chez Bank Of America en particulier. En 2019, après 10 années de forte croissance pour les cryptomonnaies, comme nous le soulignons, Bank Of America déclarait que le Bitcoin était le meilleur investissement des 10 dernières années. Cependant, il ne s’agissait pas d’une véritable analyse mais plutôt d’un fait difficilement contestable. Au moment de cette déclaration, les cryptomonnaies conservaient encore une image assez mitigée.
Une image liée à la volatilité, et surtout encore beaucoup de gens avaient du mal à comprendre l’intérêt de la blockchain. Beaucoup considérait les cryptomonnaies uniquement comme un marché de spéculation, sans aucun intérêt réel en termes de projet économique. Aujourd’hui c’est de moins en moins le cas. Les projets se basant sur la blockchain sont de plus en plus nombreux et concrets. Certaines blockchains comme le réseau Ethereum par exemple ou encore Cardano ou la blockchain du BNB, la cryptomonnaie de la blockchain Binance, mettent en place des projets qui permettent de développer des applications décentralisées. De plus en plus de projets voient le jour.
Le grand public commence à comprendre davantage l’intérêt des Smart Contracts. Les Smart Contracts, ou « contrats intelligents » en français sont des contrats qui sont réalisés entre deux parties sans intervention d’un tiers de confiance. Par exemple : imaginons que vous souhaitez acheter une maison, normalement vous devez obligatoirement utiliser un notaire pour valider la transaction. C’est le notaire qui est chargé de rendre la transaction officielle et incontestable. En règle générale ce système fonctionne bien mais il repose sur l’honnêteté des acteurs économiques qui sont des êtres humains et qui ne sont donc pas fiables à 100%. De plus, vous devrez organiser un rendez-vous avec le notaire, ce qui peut prendre du temps et vous devrez payer une commission au notaire. Les Smart Contracts vous permettent de gagner du temps et de l’argent et surtout ils sont infalsifiables. Votre transaction sera vérifiée automatiquement par tous les membres de la blockchain et elle sera inscrite dans le registre de la blockchain pour toujours. Le système des Smart Contracts permettra de faire gagner énormément de temps et d’argent pour un grand nombre de transaction.
Prenons un autre exemple encore plus parlant, celui des transferts d’argent et notamment les transferts d’argent à l’international. Dans le système traditionnel, pour faire un transfert d’argent entre deux banques à l’international, vous devez payer une commission souvent assez couteuse et vous devez attendre plusieurs jours pour que votre transaction soit réalisée car elle doit être validé par le tiers de confiance qu’est la banque. Grâce aux cryptomonnaies, vous pouvez réaliser des transactions immédiates et sans coût de transaction. Comme vous en avez peut-être entendu parler, le Salvador a décidé de faire du Bitcoin sa monnaie nationale pour permettre à ses habitants de réaliser des économies sur les transferts d’argent envoyés de puis l’étranger (en grande partie les Etats-Unis). Le président salvadorien Nayib Bukele estime que l’utilisation du Bitcoin va permettre d’économiser approximativement 400 millions de dollars en frais bancaire sur les frais de transferts d’argent des Etats-Unis au Salvador, ce qui n’est pas du tout négligeable pour le pays puisque son PIB est d’environ 27 milliards de dollars américains.
Les cryptomonnaies sont de plus en plus crédiblesLes projets développés dans le monde de la blockchain et des cryptomonnaies renforcent peu à peu la crédibilité qui est accordé aux cryptomonnaies. De 2009, avec un projet complétement nouveau et mal connu, à aujourd’hui, les cryptomonnaies continuent de croitre et leur valeur contnue de croitre. Cependant, ce qui fait que des banques importantes comme Bank Of America accordent de l’intérêt aux cryptomonnaies, ce sont les projets industriels concret qu’il y a derrière et qui sont en pleine ébullition en 2021. Ce sont aussi les projets de NFT qui permettent de créer de la rareté sur Internet. Bank Of America n’est pas la seule grande banque américaine à s’intéresser aux cryptomonnaies, JPMorgan et Goldman Sachs ont également déjà fait part de leur intérêt.
Comme vous pourrez le lire en détails dans cet article de Netcost-Security, Bank Of America propose maintenant le trading de contrat à terme BTC à ses clients. La banque accorde une grande crédibilité aux cryptomonnaies et leur prédit même un fort développement dans le futur. Bank of America utilisera les Bitcoin futures de CME (Chicago Mercantile Exchange). Après ses recherches approfondies de son équipe de recherche, Bank Of America prédit un grand avenir aux NFT et à la finance décentralisée (DeFi). La banque prétend que les cryptomonnaies sont devenus trop importantes pour ne pas être prises en compte.
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L’été 2021 a vu le nombre de « harragas » algériens vertigineusement augmenté. Des familles, des couples avec enfants, mais aussi des adolescents ont emprunté des embarcations pour se rendre à l’Espagne et franchir par la suite les frontières pour arriver en France.
Face à cette situation inquiétante, l’Hexagone a décidé de se montrer désormais sévère, dur et sans pitié envers les sans-papiers, dans l’espoir de pouvoir contrôler le flux migratoire. Des mesures inédites ont été prises, à l’image de la décision relative à la réduction drastique de nombre de visas octroyer aux maghrébins.
Par cette mesure, la France souhaite contraindre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie à délivrer des laissez-passer consulaires pour leurs ressortissants établit clandestinement en France. Par ailleurs, Paris a récemment annoncé sa volonté d’instaurer un contrôle frontalier entre les différents pays de l’espace Schengen, afin d’empêcher les émigrants clandestins de franchir les frontières.
Des mesures inédites qui reflètent la volonté de l’Europe et plus particulièrement de la France de lutter contre le phénomène de l’émigration clandestine. À l’intérieur comme à l’extérieur de l’Hexagone, des mesures draconiennes sont désormais adoptées à l’encontre des sans-papiers algériens.
Condamné pour avoir refusé de retourner en AlgérieSelon un article paru, hier 25 novembre, dans le journal régional Ouest-France, un jeune algérien a été condamné à quatre mois de prison ferme, pour avoir refusé de retourner en Algérie.
En effet, le tribunal de Caen, une ville situé au nord de la France, a jugé le mercredi 24 novembre 2021, en comparution immédiate, un jeune homme d’une vingtaine d’années pour deux infractions liées à la législation sur le séjour des étrangers sur le territoire français.
Selon le média précité, le jeune algérien avait emprunté en 2017 une embarcation pour arriver clandestinement en Espagne, avant de rejoindre l’Hexagone. Il a été condamné hier à quatre mois de prison ferme pour s’être soustrait aux obligations d’un retour à la frontière. À l’audience, le jeune algérien avait confié : « j’en ai marre de la prison monsieur le juge, je veux rentrer en Algérie… », rapporte ouest-France.
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La série d’apparition des nouveaux variants de coronavirus ne semble pas prête de s’arrêter. Après le mu, le Delta et le Alpha, aujourd’hui c’est au tour du variant Nu de marquer la pandémie du coronavirus.
Baptisé « B.1.1.529 » par les scientifiques, le variant Nu a été détecté en Afrique où il a provoqué une flambée des cas de contamination au covid-19.
Selon des scientifiques sud-africains, cette nouvelle souche présente quinze fois plus de mutations que le variant Delta qui n’en comptait que deux.
En effet, ce variant a été détecté le 22 novembre après l’analyse d’échantillons collectés entre le 12 et le 20 novembre dans la province du Gauteng ; la plus peuplée de l’Afrique du Sud.
La variant Nu est-il plus dangereux que le Delta ?Dans une déclaration à la presse du Sud-Africaine, le professeur Richard Lessells, un scientifique, a fait savoir que le variant Nu pourrait être beaucoup plus transmissible que le Delta. Selon lui, cette nouvelle couche de covid-19 pourrait même résister aux vaccins.
« Ce qui nous préoccupe, c’est que ce variant pourrait non seulement avoir une capacité de transmission accrue, mais aussi être capable de contourner certaines parties de notre système immunitaire », a-t-il expliqué.
Pour rappel, plusieurs pays européens ont fermé leurs frontières à l’Afrique du Sud ; après la détection de ce variant, mais aussi en raison de la flambée des contaminations de coronavirus.
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Le Préfet du Littoral Alain Orounla a procédé, ce jeudi 25 novembre 2021, à la remise officielle des sites des gares routières de Vodjè et d'Abattoir. La cérémonie a été précédée d'une séance de travail avec les acteurs du transport en présence des adjoints au Maire de Cotonou et du commissaire central de la ville.
Dans le but de régler les problèmes liés à la mobilité urbaine, la Mairie de Cotonou a décidé de l'aménagement des gares routières. Cette réforme qui vise à réorganiser le secteur du transport urbain à Cotonou a été expliquée aux acteurs du transport public. « Nous avons démarré avec le Préfet cette réorganisation depuis un moment. Vous savez que nous avons effectué ensemble la première étape, c'est-à-dire identifier les sites. Nous avançons maintenant sur la deuxième étape où il s'agit pour nous d'organiser le fonctionnement avec vous », a déclaré le premier adjoint au Maire de Cotonou.
Selon le préfet Alain Orounla, la décision de réorganiser la filière a été prise « non seulement pour répondre aux exigences de la loi qui a mis en place un cadre équitable mais également pour mettre de l'ordre dans la circulation ». Les deux sites identifiés, souligne-t-il, répondent à une rationalisation géographique pour des installations de gares routières.
Après la séance de travail, les autorités se sont rendues sur les sites des gares routières de Vodjè et d'Abattoir. « Dans la pratique, il s'agit de rendre opérationnel les deux sites de regroupement, dès ce lundi 29 novembre 2021. Tout ce qui est taxi et qui arrive de Porto-Novo s'arrête à l'Abattoir et ne rentre plus dans la ville de Cotonou. Ils déchargent à l'Abattoir, ils recherchent à l'Abattoir pour la direction de Porto-Novo. Au niveau de Vodjè, tout ce qui est taxi qui arrive de Calavi, Bohicon, Lomé, etc., sont sur le site de regroupement de Vodjè », a expliqué le deuxième adjoint au Maire de Cotonou.
Akpédjé Ayosso
Bien que les industries culturelles soient quasi absentes et inexistante en Algérie, certaines productions cinématographiques réussissent à se distinguer au niveau régional et continental. C’est le cas de deux films algériens qui ont décroché deux prix lors de la 10e édition du Festival maghrébin du film, tenu durant la période allant du 19 au 23 novembre 2021.
Il s’agit en effet d’une manifestation culturelle qui se tient chaque année depuis 2010, dans la ville marocaine d’Oujda, aux frontières ouest de l’Algérie. Le Festival maghrébin du film met la lumière sur les différents œuvres cinématographiques, dans l’objectif de contribuer au développement de l’industrie du film et célébrer le 7ᵉ art à l’international.
Parmi les 18 films ayant participé, deux films algériens se sont distingué. Il s’agit de Papicha et Printemps reporté ayant respectivement décroché le Grand Prix du meilleur film dans la catégorie « longs métrages », ainsi que celui du Prix du meilleur scénario dans la catégorie « courts métrages ».
Papicha, un long métrage retraçant la souffrance des femmes à l’ère du terrorismeSorti en 2019, et réalisé par la franco-algérienne, Mounia Meddour, Papicha retrace la vie de jeunes étudiantes algériennes, ambitieuses et émancipées voulant défier la peur et les intégristes des années 1990 pour réaliser leurs objectifs. Le rôle principal a été incarné par Lyna Khoudri, une actrice franco-algérienne de 29 ans.
L’histoire du film tourne autour de la vie de « Nedjma », une jeune étudiante algérienne en littérature, qui veut mener une vie normale et sortir le soir avec ses amies, d’où le mot « papicha » signifiant en dialecte algérien, les jeunes femmes coquettes et extraverties.
Nedjma est en effet passionné de stylisme et rêve de monter un défilé de mode au sein de la résidence universitaire, malgré le contexte sécuritaires des années 1990. Ayant perdu sa sœur, journaliste et reporter tué par les terroristes, la jeune étudiantes refuse de baisser les bras face aux événements tragiques de la décennie noir.
Un film « censuré » en AlgérieRappelons ainsi, que le film de Mounia Meddour qui a représenté l’Algérie aux Oscars et obtenu le César 2020 du premier film, a été censuré à Alger et interdit de projection sans explication de la part des autorités concernées.
« Pour des raisons en interne, la projection de l’avant-première du film et la sortie nationale ont été annulées », avait annoncé le 17 septembre 2019, Redha Talmat, directeur du Centre algérien pour le développement du cinéma.
Suite de quoi, le cinéaste et coproducteur de Papicha, Belkacem Hadjadj avait qualifié l’interdiction de sortie du film dans son pays de « mesure arbitraire » qui porte « préjudice à l’image internationale de l’Algérie ».
Sachant que le film a été coproduit par l’État et soutenu par le Fdatic, une institution qui dépend du ministère de la Culture et qui fonctionne avec de l’argent public, cette interdiction avait suscité l’étonnement de plusieurs spécialistes du monde cinématographique, à l’instar des réalisateurs algériens Yanis Koussim et Sofia Djama.
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La chanteuse béninoise Angélique Kidjo est nominée dans trois catégories aux 64e Grammys Awards.
« Je suis très honorée de recevoir trois nominations aux Grammys – une pour mon album, Mother Nature, et deux autres pour des collaborations avec BurnaBoy sur ‘'Do Yourself'' et avec YoYoMA sur ‘'Blewu'' », a annoncé la chanteuse béninoise à travers une publication sur sa page Facebook, mercredi 24 novembre 2021. La vedette de la world music remercie ses fans et tous les artistes qui ont collaboré avec elle sur cet album.
Lors de la dernière édition, la diva béninoise a remporté son 4e trophée Grammy Awards dans la catégorie World Music grâce à son album « Celia ».
La 64e édition des Grammy Awards aura lieu le 31 janvier 2022 à Los Angeles aux Etats-Unis
A.A.A
Le nouveau variant sud-africain du coronavirus provoque la panique en Europe où les contaminations connaissent déjà, ces dernières semaines, une flambée sans précédente.
Face aux menaces du nouveau variant du covid-19 ; la France a décidé, ce vendredi 26 novembre, la fermeture de ses frontières avec sept pays africains, dont l’Afrique du Sud où la nouvelle souche inquiétante de coronavirus a été détectée.
L’annonce a été faite aujourd’hui par le ministre français de la Santé Olivier Véran lors de son déplacement à Brest, au nord-ouest de la France.
« Comme nous ne voulons pas être amenés à diagnostiquer ce variant sur le territoire national et européen, ne serait-ce tant qu’on n’en sait pas plus sur sa dangerosité, la décision a été prise d’une suspension immédiate de tous les vols en provenance de l’Afrique australe pour au moins 48 heures« , a-t-il déclaré.
En effet, il s’agit des pays de l’Afrique australe. Précisément, l’Afrique du Sud, le Botswana, la Namibie, le Zimbabwe, le Mozambique, l’Eswatini et le Lesotho.
Ce que l’on sait sur le nouveau variantBaptisé variant Nu « B.1.1.529 », cette nouvelle souche de covid-19 a été détectée, selon l’Institut national des maladies transmissibles (NICD), a été détecté le 22 novembre après l’analyse d’échantillons collectés entre le 12 et le 20 novembre dans la province du Gauteng, la plus peuplée de l’Afrique du Sud.
Selon les scientifiques sud-africains, le variant Nu présente un nombre « extrêmement élevé » avec pas moins d’une trentaine de mutations ( le Delta n’en comptait 2).
À noter que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a convoqué aujourd’hui une réunion d’urgence pour discuter de cette nouvelle souche jugée inquiétante.
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Un enseignant a battu à coups de machette sa femme qu'il soupçonne d'infidélité. Les faits se sont déroulés dans la nuit du mardi 23 au mercredi 24 novembre à Monkpa dans la commune de Dassa.
Une femme a été victime de violence conjugale à Monkpa (Dassa) en raison des soupçons d'infidélité de son mari. Une dispute de couple a éclaté dans la nuit de mercredi à jeudi vers minuit. La femme a été battue à coups de machette et jetée dehors vers 4 heures du matin. Selon Frissons radio, la victime a été conduite à l'hôpital par les voisins. Ce jeudi 25 novembre, la femme a porté plainte pour coups et blessures volontaires. La même source informe que la police a ouvert une enquête.
A.A.A
La Fondation Konrard-Adenauer-Stiftung (KAS) en partenariat avec le Centre Africa Obota (CAO) a organisé, jeudi 25 novembre 2021, au profit des rois, dignitaires religieux et traditionnels, autorités administratives et locales, maires, chefs d'arrondissement et femmes des groupements d'intérêts économiques de Zagnanado et de Ouinhi, une séance de plaidoyer pour l'accès des femmes au foncier et aux autres ressources économique en milieu rural. Les travaux se sont déroulés à l'hôtel Finangnon à Zagnanado.
‘'Discuter et débattre de l'accès des femmes au foncier et aux ressources économique en milieu rural avec tous les acteurs concernés par la question et trouver des stratégies qui puissent faire en sorte que la femme soit beaucoup plus visée sur le plan économique dans la région d'Agonlin''. C'est l'objectif visé par la Fondation Konrard-Adenauer-Stiftung et le Centre Africa Obota en organisant, ce jeudi 25 novembre 2021, une séance de plaidoyer pour l'accès des femmes au foncier et aux autres ressources économique en milieu rural à Zagnanado.
Ainsi, femmes des groupements d'intérêt économique, veuves, autorités administratives, locales, communales et coutumières des communes de Ouinhi et de Zagnanado dans le département du Zou ont sous la houlette des organisateurs débattu de la problématique de l'accès des femmes rurales au foncier et celle de leur autonomisation économique.
Dans son message à l'endroit des participants, le Coordonnateur national du projet Ewoh2 ‘'Un monde sans faim'' au Bénin, M. Mounirou Tchakondoh, a déclaré que « Grâce au projet Ewoh 2 beaucoup de femmes rurales accèdent facilement à la terre et sécurisent également leurs terres sans grande difficulté ».
Toutefois, quand bien même les femmes revendiquent la terre et obtiennent gain de cause, des défis restent à relever pour leur permettre de valoriser ces terres. « Bien que les évaluations aient montré que des avancées significatives ont été réalisées, les efforts doivent être accélérés afin de consolider les acquis », a précisé Mounirou Tchakondoh.
C'est fort de cela que la KAS multiplie ses actions de sensibilisation et plaidoyer au profit des divers acteurs dans la lutte contre la pauvreté et l'insécurité alimentaire en vue de permettre à la femme en milieu rural d'assumer pleinement son rôle d'actrice indispensable dans la quête de développement et de jouir de son droit d'accès aux facteurs de production qu'est la terre.
Le secrétaire national du centre Africa Obota M. Justin Semassoussi, s'est réjoui de la participation massive des acteurs à tous les niveaux à cette assise. « Aujourd'hui, nous avons obtenu l'adhésion de tous ces acteurs qui, hier étaient fermés à tout débat relatif à l'accès des femmes au foncier en milieu rural. C'est un plaisir aujourd'hui pour les têtes couronnées de nous recevoir dans les palais royaux pour parler du droit foncier des femmes à la terre », a-t-il déclaré. M. Semassoussi a précisé que le CAO appuie la KAS tant dans la mobilisation des acteurs que dans la sensibilisation à travers la production de téléfilms, de messages et de communications.
Le maire de Ouinhi M. Jonas Babatoundé Houessou et le premier adjoint au Maire de Zagnanado M. Athanase Degan ont, après avoir rappelé les avancées réalisées dans leurs différentes communes, salué les organisateurs pour avoir pensé aux acteurs de la région d'Agonlin dans le cadre cette activité.
« L'accès des femmes à la terre permet d'accroître la productivité et l'essor économique des ménages et surtout la réduction de la pauvreté. Nous avons compris et jouons notre participation en mettant les femmes au coeur des questions de partage de terre », a soutenu le maire de Ouinhi M. Jonas Babatoundé Houessou.
Dans le rang de la chefferie traditionnelle, l'engagement est le même. Mais il faut poursuivre la sensibilisation sur le terrain. « Auparavant la femme n'avait pas le droit d'accéder à la terre mais aujourd'hui les réformes nous ont édifiées et on comprend que la femme a même plus de pouvoir que l'homme. Cependant l'application des dispositions des nouvelles réformes est difficile sur le terrain du fait de l'ignorance, l'analphabétisme et de la méconnaissance de ces nouvelles dispositions par certains acteurs et citoyens.
Conscients de l'enjeu et saluant les efforts au niveau national, le coordonnateur national du projet Ewoh 2, Mounirou Tchacondoh entend non seulement maintenir le cap pour un accès sûr et équitable des femmes au foncier et aux ressources économique en milieu rural mais aussi les aider à relever les défis économiques. Il s'agira entre autres actions : de renforcer les capacités des femmes en leur donnant des informations sur la gestion des activités économiques, sur la recherche de financements, sur la quête de débouchés pour faire écouler les produits et sur le conditionnement pour leur permettre de mettre sur le marché des produits vendables.
La série de plaidoyer pour l'accès des femmes au foncier et aux autres ressources économique en milieu rural a démarré mercredi dernier par Bohicon pour le compte des acteurs des communes de Zogbodomey et Djidja et prend fin, ce vendredi 26 novembre 2021, à Covè avec des acteurs des communes de Covè et Za-kpota.
J. M.
L’immigration clandestine constitue ces dernières années une vraie problématique pour l’ensemble des pays européens. La crise économique et financière dues à la covid-19 ainsi que la détérioration du pouvoir d’achat dans certains pays maghrébins a donné un coup d’accélérateur à l’immigration clandestine.
L’été 2021 a été témoin de l’explosion du phénomène de la Harga que les pays membres de l’Union européenne, tentent d’endiguer à travers des politiques communes et d’accords bilatéraux. C’est effectivement le cas d’une proposition qui sera présenté dans une quinzaine de jours, autour du 8 décembre, par la Commission européenne, afin d’entamer un long processus de négociations, rapporte hier, 25 novembre, France info.
Il s’agit selon la même source d’une proposition soutenue par l’Allemagne, le Danemark, l’Autriche, les Pays-Bas, la Belgique et par la France concernant une éventuelle instauration d’un contrôle frontaliers entre les différents pays de l’espace Schengen.
Libre-circulation : un avantage pour les harragas« Il s’agit, selon nos informations, de permettre les contrôles dans des zones frontalières assez larges, soit à plusieurs kilomètres à l’intérieur des pays, et non pas seulement à la frontière, un peu sur le modèle des douanes volantes », a précisé le média français.
En effet, les individus ayant réussi à entrer sur le territoire d’un des États-membres de l’Union européennes, bénéficient de la possibilité d’accéder à d’autres pays membres sans êtres soumis à des contrôles. Une situation très avantageuse pour les Harragas souhaitant arriver à la France via l’Italie ou l’Espagne.
Raison pour laquelle ladite proposition a été porté par les pays susmentionnés notamment l’Allemagne et la France dont l’objectif est de « de lutter contre l’immigration clandestine, d’intercepter les passeurs avant qu’ils n’arrivent notamment à Calais ». À cet effet, paris, l’eldorado des Harrags maghrébins, assurera la présidence du Conseil de l’Union européenne du 1er janvier au 30 juin 2022, conclut France info.
Rappelons en conclusion que l’Hexagone avait déjà engagé des mesures de ce genre, et ce, en réduisant le nombre de visas accordé aux pays maghrébins qui refusent de délivrer des laissés-passez consulaires à leurs ressortissants établit clandestinement en France. Une mesure que Paris vient de compléter avec une autre, à l’aide cette fois-ci des autres pays européens.
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Si la vie est devenue chère en Algérie, ce n’est surement pas à cause de la spéculation et la covid-19 uniquement. La dépréciation de la monnaie nationale y est aussi pour quelque chose. En effet, le dinar algérien poursuit sa chute et s’affaiblit face aux principales devises.
Sur le marché interbancaire des changes d’Alger, un seul euro s’échange ce vendredi 26 novembre contre 156.03 dinars algériens à l’achat et 158.11 dinars algériens à la vente. La monnaie étasunienne connait également une hausse vertigineuse.
En effet, un seul dollar est cédé contre 139.13 dinars algériens à l’achat et 139.15 dinars algériens à la vente. Le dollar canadien, est quant à lui cédé au niveau des guichets de la Banque d’Algérie contre 110.06 dinars algériens à l’achat et 110.08 dinars algériens à la vente.
Enfin, la prestigieuse monnaie britannique ne perd jamais sa valeur. Elle demeure indétrônable et excessivement chère face à la monnaie algérienne. Un seul pound s’échange sur le marché officiel contre 185.69 dinars algériens à l’achat et contre 185.73 à la vente.
Le taux de change au marché noirSur le marché informel, les principales devises s’échangent à des prix exorbitants, et ce, depuis la reprise des vols internationaux et traversées maritimes. Les cambistes du Square Port-Saïd se réjouissent actuellement de la forte demande, après des mois d’inactivité dû à la crise sanitaire.
Aujourd’hui, vendredi 26 novembre, un seul euro s’échange sur le marché noir contre 215.5 dinar algériens à la vente et contre 213.5 dinars algériens à l’achat. Par ailleurs, le dollar américain affiche un taux supérieur à 193 dinars algériens à la vente et 190 dinars algériens à l’achat.
Pour ce qui est du dollar canadien, il a également augmenté suite à l’intensification des vols vers le Canada. Un seul dollar s’échange par les cambistes du Square Port-Saïd de la capitale Alger contre pas moins de 140.5 dinars algériens à l’achat et contre 143.5 dinars algériens à la vente.
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L’automne est sur le point de nous quitter, le froid s’installe et les intempéries sont de retour. Dans une alerte météo, l’office nationale de la météorologie a mis en garde ce vendredi 26 novembre contre de fortes précipitations, attendues au niveau des régions de l’Ouest et du Sud.
Il s’agit en effet d’Oran, Naama, Biskra, Ouled Djellal, Djelfa, El Bayadh, Ain Temouchent. À cela s’ajoute, Mostaganem, Chlef, Batna, M’sila, Laghouat et Tiaret. Selon l’ONM, ces wilayas connaitront envions 40 mm de pluies, et ce, à partir de l’après-midi de ce vendredi 26 novembre jusqu’au 9 h du soir.
Des chutes de neige attendue à partir de ce week-endIl y a quelques jours, météo Algérie avait annoncé le début des chutes de neige. « Des chutes de neige sont attendues sur les hauteurs de l’ouest du pays ce soir, avant de s’étendre dans la nuit aux sommets du centre du pays, des hauts plateaux et des Aurès”, a indiqué l’Office National de Météorologie sur sa page Facebook.
En effet, les intempéries et fluctuations climatiques sont de retour après un petit moment d’accalmie qui a régné sur l’ensemble des régions algériennes. D’après la même source, les hauteurs dépassant les 900 mètres seront au rendez-vous avec des chutes de neige dont l’épaisseur variera entre 10 et 15 centimètres.
Il s’agit surtout des hauteurs d’El-Bayadh, Tiaret et Naâma. Par conséquent, le froid s’installera et les températures baisseront considérablement. Ainsi, des vents violents dépassant les 50 km/h seront attendus dans les zones côtières, notamment Annaba, Skikda, Jijel, Arzew et Bouharon. La mer, quant à elle sera très agitée avec des vagues dont la hauteur dépassera les mètres.
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La chloroquine connaît une augmentation de prix. Vendue au prix habituel de 500 FCFA la plaquette de 10 comprimés de 250mg est vendue dans les pharmacies dès ce vendredi 26 novembre 2021 au prix de 1400 FCFA.
La chloroquine connaît une augmentation de prix. Le secrétaire général du ministère de la santé, Ali Bachabi Imorou, a porté l'information à la connaissance du public, ce jeudi 25 novembre 2021, à travers un communiqué. La plaquette de 10 comprimés de 250 mg sera donc vendu au prix de 1400 FCFA.
Pour le traitement de la maladie du Coronavirus, le gouvernement avait retenu la chloroquine pour ses effets sur le virus de Covid-19.
F. A. A.
Le projet de budget 2022 du Ministère des Affaires Sociales et de la Microfinance (MASM) s'établit à treize milliards deux cent soixante-et-un millions cent trente mille (13 261 130 000) francs CFA contre 7. 622. 337.000 francs CFA en 2021, soit une hausse d'environ 74%.
Le ministre des affaires sociales et de la microfinance a présenté, jeudi 25 novembre 2021, le projet de budget de son département ministériel au titre de l'année 2022. Les actions phares à réaliser sont, entre autres, le renforcement du cadre institutionnel des Centres de Promotion Sociale pour les rendre comme des guichets uniques de protection sociale au niveau des communes ; l'opérationnalisation du Registre Social Unique qui sera désormais la base de toutes les interventions sociales au Bénin ; la poursuite de la mise en œuvre du Programme de Modernisation des Espaces Publics de Protection Sociale et de Promotion du Genre pour offrir un cadre adéquat de travail aux assistants sociaux et d'accueil aux cibles du Ministère (Construction et réhabilitation de Centre d'Accueil et de Transit des Enfants et des victimes de VBG ; Centre de Promotion Sociale, Centre d'Intégration et d'Epanouissement des Personnes Agées ; etc…), le renforcement des actions de protection des couches vulnérables à travers l'assainissement des CAPE, la prise en charge des malades mentaux errants et des personnes handicapées, l'opérationnalisation de la deuxième génération du Microcrédit Mobile Alafia.
« Au niveau du projet ARCH, nous allons poursuivre sa mise en œuvre à travers la généralisation du volet Assurance maladie dans toutes les communes du Bénin ; l'extension de ARCH-Formation qui aujourd'hui fait le bonheur de plusieurs de nos concitoyens artisans. Il faut préciser à ce niveau que tous les artisans du Bénin bénéficieront selon leurs besoins d'un crédit ARCH. Toujours pour 2022, le volet retraite de ARCH sera activé », a fait savoir Véronique Tognifodé, ministre des affaires sociales et de la microfinance, ce jeudi, à l'issue de sa séance avec la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale.
Le budget prévu pour la mise en œuvre de ces actions est estimé à treize milliards deux cent soixante-et-un millions cent trente mille 13 261 130 000) francs CFA.
M. M.
Le cabinet militaire du chef de l'Etat, Son Excellence Patrie Talon, n'est plus logé au « petit palais ». Il est désormais transféré dans les locaux de la présidence de la République.
C'est au palais de la Marina que loge désormais le cabinet militaire du chef de l'État, Patrice Talon. Le personnel dudit cabinet a donc quitté le « petit palais » situé à l'angle du carrefour de l'hôtel du port en venant de la Soneb. Ce déménagement selon les informations, a été fait en raison des travaux de démolition au petit palais qui va abriter très bientôt le siège du Vice-président de la République.
En attendant la fin des travaux, Mariam Chabi Talata et ses collaborateurs sont installés à la Grande Chancellerie, dont elle a aussi la charge.
F. A. A.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme a libéré dans la nuit du jeudi 25 novembre 2021, 20 autres détenus impliqués dans le dossier des violences préélectorales.
Libération de détenus à l'issue d'une audience à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). 20 personnes arrêtées lors des violences orchestrées lors de la période électorale d'avril 2021 ont été libérées selon Frissons Radio. C'est la troisième vague de détenus libérés dans ce dossier. La Criet avait déjà libéré 25 personnes. Ils sont placés sous convocation judiciaire.
A.A.A