La 4è édition des Journées portes ouvertes sur la réforme des factures normalisées s'ouvre ce lundi 29 novembre 2021 à Porto-Novo.
Adjacthè, Porto-Novo, la cité des Ayinonvi, accueille du 29 novembre au vendredi 03 décembre 2021 la 4è édition des Journées portes ouvertes sur la réforme des factures organisée par la Direction Générale des Impôts (DGI). Durant cinq jours, les équipes de la DGI sont installées sur la Place Toffa, ex place Jean Bayol de Porto-Novo, de 9h à 17h pour des séances de sensibilisation et d'information sur la réforme de la facture normalisée.
Des lots seront remis aux gagnants de la Tombola des factures normalisées de la ville de Porto-Novo.
Selon le Code Général des Impôts (articles 162 bis et 1084-40), les personnes physiques ou morales exerçant leurs activités au Bénin, quel que soit le régime d'imposition, ont l'obligation de délivrer des factures normalisées à leurs clients.
M. M.
La levée des subventions de l’État sur les produits de large consommation n’est pas passée sans faire de vagues au sein des syndicats. Comme à son habitude, le secteur de l’éducation fait encore une fois entendre sa voix, réclamant une revalorisation des salaires des enseignants.
Après les grèves instaurées par le Cnapeste, cette fois ci c’est au tour de l’Union nationale des personnels de l’Éducation et de la Formation (UNPEF) de lancer un appel aux autorités. Ce message intervient quelques jours seulement après l’adoption par le parlement, avec ses deux chambres, de la nouvelle loi de finances.
Pouvoir d’achat : appel à revaloriser les salairesDans une déclaration faite au média arabophone El Chourouk, Abdelouahab Al Amri Zoukar, le secrétaire national chargé de l’information et de la communication au sein du l’UNPEF, affirme que les travailleurs du secteur de l’éducation nationale guettent les augmentations des salaires que le gouvernement va opérer afin de renforcer le pouvoir d’achat qui va prendre un coup du suite à la levée des subventions.
Le même intervenant indique que la politique de l’état concernant les salaires doit être « entièrement » revue. Le syndicaliste appelle notamment à réviser la valeur du point indiciaire, mais aussi celles des primes et des compensations. Selon M. Zoukar, le point indiciaire doit être revu à la hausse de 50 %, la prime pédagogique de 15 à 60 %.
Ces augmentations visent à permettre à un enseignant novice, fraichement diplômé de l’école supérieure, à tire d’exemple, de bénéficier d’un salaire minimum de 65.000 dinars, explique le syndicaliste qui souligne qu’actuellement, le salaire de cet enseignant ne dépasse pas les 34.000 dinars.
Le même intervenant confie que le salaire des enseignants du primaire et du CEM ne dépassent pas les 34.000 dinars. Il appelle les autorités à vite mettre en place l’observatoire national du pouvoir d’achat et à revoir la loi 90/14 concernant la liberté syndicale.
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Dans la nuit du jeudi au vendredi 26 novembre 2021, les éléments de la police républicaine ont mis hors d'état de nuire à Dogoudo, une localité de la commune d'Allada, un présumé voleur de moto.
Alertés à la suite d'un vol de moto, les éléments de la police républicaine de la commune d'Allada se sont dépêchés sur les lieux. Ayant vu les hommes en uniforme, les hors-la-loi ont ouvert le feu. La réplique de la police a permis de neutraliser le présumé braqueur.
La perquisition effectuée en son domicile a permis de retrouver des objets d'origine douteuse.
Selon les informations rapportées par une radio locale, le présumé braqueur ne serait pas à son premier essai. Il aurait été à la base de plusieurs cas de braquage dans la zone de Dogoudo.
F. A. A.
La chefferie traditionnelle au Bénin vient d'être à nouveau éplorée. Après le roi de Kouandé rappelé à Dieu il y a un peu plus d'une semaine, c'est celui de Guèma dans le 3ème arrondissement de Parakou qui vient de rejoindre la demeure éternelle.
Sa majesté Sina Guemagui Soso II n'est plus. Il a tiré sa révérence ce dimanche 28 novembre 2021. Le roi défunt a régné du 27 mars 2014 au 28 novembre 2021. Sa Majesté a rendu l'âme dans sa 80è année.
F. A. A.
Le coordonnateur résidant de l’ONU en Algérie, Alejandro Enrique Alvarez, s’est exprimé aujourd’hui au nom du Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres. Le représentant de l’Organisation Onusienne n’a pas tari d’éloge envers l’Algérie et le rôle qu’elle joue dans le maintien stabilité régionale.
En effet, Alejandro Enrique Alvarez, suite à son accréditation par le président Tebboune en tant que coordonnateur résident de l’ONU en Algérie, a assuré aujourd’hui, dans une déclaration à la presse, que le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres est « très satisfait du rôle joué par l’Algérie dans la région en tant qu’acteur pivot pour la paix et la sécurité ».
Algérie – ONU : une « coopération technique »Après avoir remis au Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, ses lettres de créance l’accréditant en sa qualité de nouvel ambassadeur coordonnateur résident du Système des Nations Unies en Algérie, Alejandro Enrique Alvarez a affirmé que « les réformes initiées par le Gouvernement algérien, ayant trait notamment à la création de nouveaux postes d’emploi, la diversification économique et le soutien de la sécurité sociale ».
Le responsable onusien a également souligné que l’Algérie et l’ONU sont notamment liées par une « coopération technique du programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD) » et par « la réalisation des objectifs du développement durable (ODD) dans plusieurs domaines, notamment économiques ».
Alvarez n’a pas manqué de déclarer qu’il a « eu l’honneur, avec les présidents des agences onusiennes travaillant avec lui, d’être reçus par le président de la République ».
Il est à noter que cette réception a été faite en la présence de ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra et du Directeur de Cabinet à la Présidence de la République, Abdelaziz Khellaf.
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Une Algérienne s’est distinguée, ce dimanche, en remportant la quatrième place au concours international de récitation du Saint Coran, à Dubaï (Emirats Arabes Unis), dans sa cinquième édition.
Sonia Belatel doit, une fois de plus, porter haut le front et s’enorgueillir de son talent qui a été récompensée. La jeune récitante originaire de Sétif, s’est classé quatrième dans la récitation du Saint Coran, selon les résultats annoncés, samedi soir, par le comité d’organisation du concours international de récitation du Saint Coran à Dubai qui a vu la participation de 50 pays.
Le concours international de récitation du Saint Coran s’est déroulé pendant une semaine durant laquelle les lauréates se sont ainsi disputées un titre et les neuf places du classement final. Le concours s’est tenu devant de prestigieux arbitres de différentes nationalités.
Parcours couronné de succèsLa nouvelle distinction de la jeune Sonia n’est qu’une notre victoire parmi tant d’autres. en effet la récitante a déjà participé à la manifestation de la Semaine nationale de récitation du Saint Coran en Algérie dans sa 19e édition. A cette époque, elle avait décroché la troisième place dans la catégorie des moins de 25 ans.
Elle avait également obtenu, au cours de la même année, la deuxième place dans la récitation du Saint Coran avec psalmodie et bonne performance au 12e Concours international hachémite (Jordanie) de récitation et de psalmodie du Saint Coran.
Il est à noter que les première places du Concours international du Saint Coran des Emirats arabes unis, qui a été lancé le 20 novembre, sont revenus respectivement à des candidats d’Egypte, des Etats unis et de Kenya.
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Grâce à leur haute performance avec la sélection nationale, plusieurs, voire tous les joueurs de l’équipe nationale évoluent dans d’autres clubs professionnels.
On a le capitaine des Verts, Riyad Mahrez, qui évolue dans le grand club anglais Manchester City, Said Benrahma à West Ham United, Baghdad Bounedjah à Al-Sadd et Ryad Boudebouz à l’AS Saint-Étienne.
Dans une interview accordée au média sportif français L’Équipe, le milieu offensif algérien a livré plusieurs déclarations quant à sa carrière ainsi que son avenir. Ce dernier n’a pas caché également son amour et sa passion pour le ballon rond, où il a déclaré : » j’aime le foot plus que tout « .
Boudebouz ne compte pas prendre sa retraite actuellementLe natif de Colmar a révélé son intention de continuer à jouer pendant des années et a également parlé de son avenir footballistique.
« Je ne pense vraiment pas en ce moment à prendre ma retraite de joueur, jusqu’à ce que je sois sûr de ne pas pouvoir courir sur le terrain », affirme le meneur de jeu de l’AS Saint-Étienne.
« Par la suite, j’essaie de passer à l’entraînement, afin de pouvoir toujours jouer pendant les séances d’entraînement », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, il est utile de rappeler que Ryad Boudebouz, 31 ans, a remporté le prix du meilleur joueur de son équipe lors de la récente confrontation face à son homologue l’Espérance sportive Troyes Aube Champagne.
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La flambée des cas de contamination à la covid-19, ainsi que l’apparition de nouveaux variants, mettent plusieurs pays en état d’alerte. Outre les spécialistes qui s’inquiètent et qui tirent les sonnettes d’alarmes, il y a aussi les états qui se démènent et qui prennent des mesures afin de limiter les dégâts liés au variant Omicron.
En Afrique du Sud, la ou le variant baptisé Omicron a été détecté en premier, la situation sanitaire est inquiétante. Mais outre le nombre des cas enregistrés, il y a aussi la tranche d’age touchée par ce variant qui commence à susciter des inquiétudes au sein des spécialistes.
En effet, des scientifiques sud-africains ont affiché leur crainte à propos de la vitesse de propagation du variant Omicron entre les jeunes individus. Ces mêmes scientifiques ont également tenu à préciser que cette nouvelle souche du coronavirus covid-19 serait « dangereuse » dans certains cas pour les patients âgés entre 20 et 30 ans, rapporte le média Russia Today.
Les contaminations au variant Omicron entre les jeunes âgés entre 20 et 30 ans seraient donc sous la loupe des spécialistes en Afrique du Sud. Certains de ces jeunes patients souffriraient de symptômes graves ayant même nécessité parfois des admissions urgentes aux services de réanimation, affirme la même source.
Omicron, un variant encore méconnu, mais très « préoccupant »La méconnaissance de ce variant peut susciter des informations et des observations souvent contradictoires. Alors que la virulence d’Omicron inquiète certains spécialistes, Angelique Coetzee, présidente de l’Association médicale sud-africaine affirme n’avoir constaté que des signes bénins.
Cela est loin, bien sûr, de vouloir dire «qu’il n’y aura pas de maladies graves», ajoute-t-elle. La même intervenante assure que «on trouve Omicron parmi des jeunes gens, ce ne sont pas les personnes plus âgées», a-t-elle confié à la BBC.
«Je ne dis pas que qu’il n’y aura pas de maladies graves» mais «pour l’instant, même les patients que nous avons vus qui n’étaient pas vaccinés ont des symptômes légers», a-t-elle expliqué.
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En France, l’islam a toujours fait couler beaucoup d’encre en étant au cœur des débats politiques. Entre « pour » et « contre » les avis divergent, et ce, tout en laissant les mosquées, lieux de cultes sacrés pour les musulmans en dehors du débats, jusqu’à ce que certaines décisions viennent changer la donne.
En effet, cette année a été particulièrement difficile pour les mosquées qui ont fermées leurs portes aux fidèles à cause de la crise sanitaire du Covid-19, mais en France, l’origine et le motif de fermeture n’a rien à avoir avec les mesures préventives. Récemment, le gouvernement français qui surveille soigneusement l’activité des mosquées, a annoncé la fermeture de la mosquée d’Allonnes au Sud-Est de la France pour une durée de six mois pour « pratique radicale de l’islam ».
Cette décision qui a touché plusieurs mosquées et associations islamiques a été annoncée et félicitée par le ministre de l’Intérieur français, Gérald Darmanin qui, a ordonné les préfets de faire monter d’un cran les contrôles et à être intransigeants avec les associations en procédant à la fermeture d’écoles et lieux de culte en cas de soupçon d’opposition à la République.
Les comptes bancaires des mosquées, cible injustifiable ?Les comptes bancaires de plusieurs mosquées ont été fermés ces derniers mois en France, et ce, sans préavis et sans explication. Raison pour laquelle le Conseil des mosquées du Rhône (CMR) dénonce une injustice flagrante.
Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a dénoncé la fermeture de comptes bancaires d’associations musulmanes gestionnaires de mosquées. Ces fermetures qui, selon la même instance, sont des décisions prises de façon autoritaire, et surtout injustifiées. Les versements en espèces seraient à l’origine de ces décisions, les différentes collectes organisées permettent aux mosquées d’assumer les dépenses de leurs fonctionnement.
Ces instances déplorent vivement cette situation qui ne fait que souligner que les mosquées et par extension, les musulmans, sont toujours dans la ligne de mire du gouvernement français.
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Les propriétaires des salles des fêtes vont enfin voir le bout du tunnel. Après une suspension d’activité qui a duré presque deux ans en raison des mesures prises dans le cadre de la prévention contre le virus (Covid-19), les salles des fêtes vont reprendre leur activité tout en respectant de nouvelles conditions.
En effet, la direction du commerce de la wilaya d’Alger ,a imposé de nouvelles conditions pour la réouverture des salles des fêtes. Dans un communiqué rendu publique ce dimanche 28 novembre, le département de Rezig souligne d’emblée la nécessité de veiller au stricte respect du protocole sanitaire durant l’exercice de cette activité.
A ce titre, la direction a appelé à l’impératif de suivre plusieurs mesures, en tête desquelles le dépôt par les responsables des salles de fête d’un engagement écrit à respecter le protocole sanitaire au niveau de la direction du commerce de la wilaya d’Alger, avant la reprise de l’activité, lequel doit être accompagné d’une copie du Registre de commerce, d’une copie de l’agrément ainsi qu’une copie de la carte nationale.
Reprise soumise à des mesures draconiennesle ministère avait annoncé dans un communiqué datant du 18 novembre dernier, que cette décision est intervenue après l’approbation des membres du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du Coronavirus, « à condition de respecter strictement le protocole sanitaire sous la responsabilité directe des responsables des salles de fêtes ».
Ces mesures, selon le communiqué rapporté par l’APS, relèvent la nécessité d’exploiter 50% de la capacité d’accueil de la salle, de nettoyer et désinfecter les salles de façon périodique avant et après toute utilisation, de désinfecter les ustensiles et les objets utilisés, et de fournir tous les moyens de prévention, notamment le savon liquide, les gels hydro-alcooliques, les bavettes … etc.
« Les responsables des salles des fêtes sont tenus également de fournir des appareils de contrôle de la température des visiteurs et de veiller au respect de la distanciation physique à l’intérieur des salles (1.5 mètres au moins) », a précisé la même source.
Ces responsables doivent, aussi, « exiger un passe sanitaire, avec l’utilisation des codes QR (Quick Response) pour l’ensemble des travailleurs et des visiteurs de ces espaces, et interdire l’accès aux enfants de moins de 16 ans ».
Par ailleurs, le ministère a fait état de « la mobilisation des brigades mixtes du secteur du commerce et des services de la Sûreté en vue de veiller au stricte respect des mesures sanitaires et préventives à travers des visites d’inspection inopinées », soulignant que « toute infraction constatée de ces mesures entrainera la fermeture immédiate et la mise à l’arrêt de l’activité ».
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La pandémie est de retour aux quatre coins du monde. Outre la flambée des cas de contamination, un nouveau variant commence à semer la panique après plusieurs semaines de stabilité. En Algérie, la situation reste largement contrôlable, quoique la quatrième vague commence à montrer ses crocs.
Aujourd’hui, le bilan quotidien communiqué par le ministère de la Santé a annoncé 172 nouveaux cas de contamination à la covid-19, contre 163 recensés pendant la journée d’hier. Le nombre des décès liés au coronavirus, indiquent les mêmes chiffres, est de 6, ce dimanche 28 novembre.
Le département de Benbouzid a également enregistré 131 nouvelles guérisons et 20admissions aux services de réanimation. Le bilan de ce dimanche enregistre donc une légére hausse par rapport à celui d’hier.
Le bilan total des contaminations à la covid-19 a atteint, suite à ce dernier communiqué du ministère de la Santé, pas moins de 210.152 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le nombre des décès quant à lui est de 6.058, toujours selon les chiffres officiels.
Nouveau variant : l’Algérie menacée ?Quand on parle de pandémie, il y peu de chance qu’un pays soit épargné si le virus continue de circuler trop longtemps. Après la première souche, et le variant Delta, l’Algérie est loin d’être à l’abri du nouveau variant de la covid-19, baptisé Omicron.
Ce variant a été détecté en Afrique du Sud, mais il est déjà présent dans certains pays européens. Selon les spécialistes, ce nouveau variant présente un nombre extrêmement élevé de mutations et affiche un potentiel de propagation très rapide.
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Le système de rémunération des travailleurs en Algérie est plus avantageux au secteur public qu’au secteur privé, indiquent les résultats d’une étude de l’Office national des statistiques (ONS). Cela est dû à plusieurs facteurs.
Selon cette étude menée en 2019, citée ce dimanche par l’agence officielle, le secteur public affiche des salaires moyens plus élevés par rapport au secteur privé. Cette disparité s’explique par la taille importante de certaines entreprises publiques et par leurs systèmes de rémunération avantageux.
En effet, les résultats de cette étude menée auprès plus de 700 entreprises démontent que le salaire mensuel net moyen est de 58.400 dinars dans le secteur public, alors qu’il n’est que de 34.100 dinars dans le secteur privé, soit une différence de 24.300 dinars.
Les raisons de cette disparitéDans les détails, l’ONS précise que le salaire net moyen mensuel d’un cadre est de 88.600 dinars dans le secteur public, contre 73.700 dinars dans le privé. Le salaire d’un agent de maîtrise est de 64.100 dinars, contre 38.000 dinars dans le privé.
Et enfin, le salaire d’un agent d’exécution dans le public est de 40.100 dinars contre 26.900 dinars dans le privé, détaille la même source.
Selon la même source, ce niveau « relativement élevé » du salaire dans le public s’explique par l’existence, dans ce secteur, de certaines entreprises importantes en termes d’effectifs et de chiffres d’affaires avec un système de rémunération « avantageux ».
Il s’agit, à titre d’exemple, des entreprises activant dans les industries extractives (secteur des hydrocarbures et services pétroliers), les transports et communications et les activités financières.
Les secteurs les mieux payés dans les deux domaines respectifsAinsi, les résultats de cette étude montrent que dans le secteur public, les salaires nets moyens sont plus élevés dans les industries extractives (108.500 dinars), Transports et communications (59.600 dinars) et dans l’activité financière (58.400 dinars).
En revanche, ils sont relativement bas dans les secteurs de la construction (37.900 dinars) et des hôtels et restaurants (36.300 dinars). En outre, les activités les mieux rémunératrices dans le secteur privé sont le secteur financier (75.200 dinars), la santé (46.300 dinars) et le commerce et réparation (44.400 dinars).
Par ailleurs, l’étude indique que les activités les moins payées dans le secteur privé sont les industries extractives (26.800 dinars), l’immobilier et services aux entreprises (29.400 dinars) et la construction (30.800 dinars).
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Deux jours seulement nous séparent du lancement de la Coupe Arabe de la FIFA 2021 au Qatar, co-organisée par la Fédération internationale de football association (FIFA) et la Fédération du Qatar de football (QFA).
La compétition arabe se déroulera au Qatar à partir du mardi 30 novembre 2021 au 18 décembre prochain et rassemble toutes les équipes masculines arabes. À cet effet, la délégation de l’équipe nationale A’, s’est dirigée récemment vers la capitale qatarie Doha.
Cette dernière est marquée par la présence de Youcef Belaili, Raïs M’Bolhi, mais aussi Yacine Brahimi. En effet, l’attaquant algérien d’Al-Rayyan SC, Brahimi, est en tête de liste des joueurs arabes les plus chers participant à ce tournoi arabe, avec 7,20 millions d’euros.
Les joueurs arabes les plus chers de la Coupe Arabe : Bounedjah est classée 3eDans un autre chapitre, l’international algérien Yacine Brahimi a été classé parmi les meilleurs joueurs de la Qatar Stars League depuis qu’il a rejoint Al-Rayyan SC l’été 2019.
Par ailleurs, il convient d’indiquer que la star du club qatari Al-Sadd, Baghdad Bounedjah, est arrivé à la troisième place des joueurs arabes les plus chers participant au championnat, avec 6 millions d’euros.
Avec un total de 13,20 millions d’euros, les deux joueurs algériens ont surpassé toutes les équipes arabes du top 10, emmenés par la Tunisie, qui figure à la tête de la liste, avec trois noms, à savoir le milieu offensif d’Ettifaq FC Naïm Sliti ; le milieu de terrain de Manchester United Hannibal Mejbri et le milieu de terrain du Brøndby IF, Anis Ben Slimane, mais avec un total de 11,96 millions d’euros.
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La Fédération Atlantique des Agences de Presse Africaine (FAAPA) est préoccupée par le processus de dissolution de l'Agence Bénin Presse (ABP). Le dossier a été évoqué, vendredi 26 novembre 2021, lors des travaux du 8e Comité exécutif de la FAAPA à Dakar.
L'Agence Bénin Presse (ABP) est menacée de dissolution. Selon le président Khalil Hachimi Idrissi, le dossier du processus de dissolution de l'ABP a été étudié par le 8e Comité exécutif de la FAAPA
pour prendre un certain nombre d'initiatives en vue de plaider pour son maintien.
« Ce processus de dissolution de l'ABP est une mauvaise nouvelle », a déclaré le président de la FAAPA, vendredi dernier à Dakar. Khalil Hachimi Idrissi rappelle que l'ABP est une agence du "service public qui fonctionne selon les règles de l'art, avec un statut clair, des missions précises et demeure au service du gouvernement, de l'État et de l'opinion publique".
A l'en croire, les États africains ont besoin de leurs agences de presse et plus que jamais, d'un service public de qualité. Pour lui, rien ne remplacera le service public d'une agence de presse.
La FAAPA plaide pour le maintien de l'ABP
« Nous allons accompagner l'ABP pour qu'elle survive et continue à se développer et à faire partie du réseau d'agences de presse africaine. Nous ne pourrons jamais nous résoudre à la disparition d'une agence de presse », a affirmé Hachimi Idrissi. Il faut poursuit-il, que l'Agence Bénin Presse survive au même titre que toutes les agences de presse.
Le processus de dissolution de l'ABP intervient dans un contexte où d'autres pays donnent plus de moyens à leur agence de presse.
L'Agence Bénin presse date de 1960. C'est un acquis considérable de l'accumulation de l'expérience et elle a une présence rayonnante dans la sous-région, a relevé le président de la FAAPA.
Hachimi Idrissi prévoit d'adresser une lettre au président Patrice Talon « pour mettre en valeur les atouts d'une agence de presse et aussi plaider pour la restauration et la modernisation de cette dernière ».
A.A.A
Deux jeunes délinquants ont choisi pour leur dernière opération une cible peu commune. Alors que la majorité des voleurs s’en prennent à des citoyens sans défense, les deux protagonistes d’un vol perpétré dernièrement ont décidé de frapper au sein même du palais du gouvernement.
En effet, l’édifice gouvernemental, construit en 1934, a été le théâtre d’une opération de cambriolage cocasse. Il s’agit du vol de plusieurs tubes de cuivre utilisés dans la climatisation. Les deux mis en cause ont fini par tomber entre les mains des services de sécurité.
Flambée des cours du cuivreIl s’agit du vol de 11 tubes en cuivre utilisés dans le système de climatisation du palais du gouvernement. Les deux mis en cause ont été arrêtés par les éléments de la police de la capitale. Alors que le premier accusé se trouve actuellement en détention provisoire, l’autre a été remis en liberté en attendant la tenue du procès.
C’est le tribunal correctionnel de Sidi M’Hamed qui a annoncé aujourd’hui le report du procès des deux cambrioleurs au 2 décembre prochain. Les deux mis en cause sont poursuivis pour dégradation délibérée de bien d’autrui, mais aussi pour vol et recel d’objets volés.
Le vol du cuivre, loin d’être une particularité algérienne, prend de plus en plus d’ampleur à travers plusieurs pays du monde. Cette « ruée vers le cuivre » dont le palais du gouvernement a fait les frais, s’explique par la flambée des cours mondiaux de ce matériau.
La tonne du cuivre qui valait 800 dollars au début des années 2000 a dépassé les 10.000 dollars en 2021. Cette flambée mondiale n’a pas manqué de provoquer les appétits des petits voleurs, qui n’hésitent pas à s’en prendre à tout ce qui est propriété publique.
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La Tunisie a annoncé, samedi 27 novembre, de durcir ses conditions d’entrée à son territoire et dévoile une série de mesures pour prévenir la propagation du virus notamment après l’apparition du variant Omicron.
Après le Maroc c’est au tour de la Tunisie d’imposer ses conditions d’accès à son territoire. Dans un communiqué rendu publique, hier samedi, les ministère tunisien de la santé a entrepris une batterie de mesures préventives afin d’éviter la propagation du virus.
La Tunisie n’a pas tardé à réagir « en raison de l’évolution de la situation sanitaire dans le monde liée au virus Covid-19 et la hausse alarmantes des cas positifs au virus ainsi que le nombre préoccupant de décès enregistré dans plusieurs pays sans oublier l’apparition du nouveau variant », est-il écrit dans le communiqué du ministère tunisien de la santé.
Nouveau train de mesures pour les voyageursLa Tunisie a décidé d’un nouveau train de mesures prises dans le cadre de la hausse des cas de contamination au Covid-19 et l’apparition du nouveau variant « Omicron« . Ces mesures seront effectives à partir du 01 décembre 2021.
En effet, et selon le communiqué, « Il est strictement obligatoire pour les voyageurs étrangers entrant en Tunisie, âgés de plus de 18 ans, de présenter une preuve de vaccination totale contre le virus. Tous les passagers entrants âgés de plus de 6 ans doivent présenter un test PCR de moins de 48 h ».
Pour les voyageurs tunisiens ou étrangers résidents en Tunisie qui n’ont pas été vaccinés, « ces derniers sont soumis à une période de confinement de dix jours qui sera à leurs frais dans un hôtel dédié à cet effet », écrit-on dans le communiqué.
« Une obligation de passer un second test PCR au neuvième jour de sorte à ce que les résultats soient rendus le 10e jour du confinement », précise la même source. Néanmoins, Si le passager est testé positif, il est obligatoirement transféré dans un centre d’isolement, et ce, à ses frais. pareil pour tous les passagers testés positifs à leur entrée en Tunisie », ajoute-on.
S’agissant des personnes « entrant en Tunisie pour des motifs médicaux, ces derniers doivent obtenir l’autorisation du ministère de la Santé se soumettant également à toutes les mesures précédemment annoncées », indique le communiqué.
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La décrue du nombre des cas de contaminations dans les quatre coins du monde étaient à l’origine de beaucoup de bonnes nouvelles concernant les voyages. Malheureusement, elle a cédé sa place à une importante flambée des cas inquiétante, couronnée par l’apparition d’un nouveau variant.
En effet, après une bonne stabilité et une décrue dans les cas de contaminations les autorités algériennes ont rouvert partiellement les frontières aériennes et ont autorisé la reprise de beaucoup d’activité, et ce, tout en maintenant les mesures préventives.
Dans un contexte plus stricte, la vaccination demeure le premier moyen de lutte contre la propagation du virus notamment pour les voyageurs en provenance de l’étranger, raison pour laquelle l’ENTMV exige dorénavant la vaccination des passagers.
La vaccination est désormais obligatoireL’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) met à jour ses conditions de voyage. Pour les voyageurs en provenance de l’étranger vers l’Algérie, le passager doit être vacciné, doit avoir un test PCR qui ne dépasse pas les 48 h ( à l’exception des enfants de moins de 12 ans) et doit fournir un certificat de rétablissement s’il a déjà été contaminé, un test antigénique doit être effectué à l’arrivée, et ce, pour tous les passagers à l’exception des enfants de moins de 12 ans, le test se fait à la charge du passager, il coûte entre 3500 DA et 4500 DA.
Quant aux passagers en partance de l’Algérie vers l’étranger, le passager doit être vacciné, doit avoir un test PCR qui ne dépasse pas les 48 h ( à l’exception des enfants de moins de 12 ans) et doit fournir un certificat de rétablissement s’il a déjà été contaminé. Le voyageur doit également fournir un test antigénique et un pass sanitaire (QR CODE), récupérable pour les voyageurs vers l’Espagne de ce site, et pour les voyageurs vers la France de ce site.
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