Au moment où l’Europe fait face à la menace du variant Omicron, l’Algérie quant à elle se concentre sur le variant Delta, qui demeure la souche dominante de la covid-19. Malgré le taux de vaccination assez faible, les Algériens, après les 3 vague consécutif de la pandémie, ont quand même acquis une certaine immunité cillective naturelle.
Peut-on toutefois miser sur cette immunité naturelle pour faire face à la prochaine vague ? Selon le Professeur Kamel Djenouhat, président de la Société algérienne d’immunologie clinique, une étude a déjà été menée par ses services à l’hôpital de Rouiba afin de calculer le taux de l’immunité collective.
Répondant à une question posée par nos confrères du quotidien le Soir d’Algérie, le Pr Kamel Djenouhat a soutenu que « non, nous n’avons pas encore atteint l’immunité collective ». Pour ce spécialiste, l’Algérie est encore loin de pouvoir miser sur son immunité collective naturelle et ce « malgré le nombre de cas très élevé enregistré lors des vagues précédentes ».
Le Professeur Djenouhat ajoute que selon les résultats préliminaires d’une étude que son équipe est en train de réaliser au niveau de l’hôpital de Rouiba, « le taux de l’immunité collective est aux alentours de 65 à 68% ». Un chiffre que le spécialiste juge insuffisant vu « les nouvelles valeurs de l’immunité collective imposées par les nouveaux variants qui sont de 90 à 95% », précise le même spécialiste.
Variant Omicron, une menace sur l’Algérie ?Concernant le variant Omicron, Le Pr Djenouhat a affirmé que son émergence est certainement due au manque de vaccination. Il confie que « l’Afrique représente le continent le moins vacciné dans le monde avec un taux de couverture vaccinale qui n’excède pas les 10% ». Le spécialiste rappelle qu’avant qu’Omicron ne voit le jour, « les variants, qu’ils soient «préoccupants» ou «d’intérêts», ont émergé en Inde, en Colombie, en Équateur et au Pérou, tous ces pays avaient à l’époque un taux de couverture vaccinale très bas ».
À propos de la dangerosité du variant Omicron, le président de la Société algérienne d’immunologie clinique a affirmé que quand un variant dispose de « 50 mutations dont 32 touchent la protéine Spike et parmi lesquelles 10 concernent le domaine RBD, la partie ciblée par les anticorps protecteurs secondaires à l’infection naturelle ou au vaccin, on est en face d’une situation inquiétante. »
Comparativement au variant Delta, le spécialiste affirme que « chez les sujets ayant déjà contracté l’infection Covid-19, le taux de réinfection par le variant Omicron est trois fois supérieur à celui des variants Delta ou Alpha » avant de nuancer précisant qu’il s’agit d’un « d’un constat clinique sans preuve biologique » établi par une publication sud-africaine parue ce vendredi ».
L’Algérie, comme tous les pays du monde, ne va pas échapper à ce variant, estime le Pr Djenouhat. Le spécialiste affirme que « aucun pays ne va échapper à ce variant, pour la simple raison qu’il est déjà sorti de l’Afrique australe ».
L’article Omicron et immunité collective : la mise au point du Pr Djenouhat est apparu en premier sur .
Bonne et heureuse nouvelle pour tous les Algériens, notamment le public sportif et les amoureux du ballon rond : « le ministre du Bonheur », Djamel Belmadi, est désormais classé quatrième dans la liste des meilleurs entraineurs dans le monde.
En effet, le sélectionneur national Belmadi a été nominé dernièrement, par la Fédération Internationale de l’Histoire du Football et des Statistiques (IFFHS), pour le Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021.
Cette nomination est intervenue à la suite des grands résultats ainsi que les nombreux titres obtenus par les Fennecs, et ce, depuis que Belmadi est arrivé à la tête du staff technique de l’équipe nationale en août 2018.
Le coach a mené ses joueurs à remporter le fameux trophée de la Coupe d’Afrique des Nations 2019 en Égypte et une sacrée série de 33 matchs sans défaite.
Djamel Belmadi occupe désormais la quatrième placeSur ce, la Fédération internationale d’histoire et de statistiques du football (IFFHS), qui est une organisation d’études historiques et statistiques sur le football, créée en 1984, a classé Djamel Belmadi quatrième, avec un score de 15 points, tout comme son homologue brésilien Tite.
Pour le prestigieux Prix du Meilleur entraineur du monde en 2021, il est obtenu par l’italien Roberto Mancini, avec 225 points. On trouve également dans la deuxième place l’Argentin Lionel Scaloni qui a eu 30 points, et le Français Didier Deshamps dans la troisième place, juste avant Djamel Belmadi, avec une différence de 10 points, soit 25 points.
Par ailleurs, il est utile de rappeler que le sélectionneur français Didier Deschamps a décroché ledit titre de l’année dernière.
L’article Meilleur entraineur dans le monde 2021 : Belmadi dans le top 5 est apparu en premier sur .
On a tous vu et entendu parler des harragas qui prennent le large avec leurs enfants, fuyant un quotidien douloureux à travers un risque sans pareil, espérant pour eux et pour leurs enfants une vie nouvelle, différente et meilleure. A leur grande et triste surprise, ils se retrouvent dans des situations déplorables.
Ces algériens vivant « en noir » sur le territoire français, survivent tant bien que mal. A l’exemple de certains qui se retrouvent sans-logis à Toulouse. « Un toit, c’est la loi », voici la phrase que les 39 sans-abri dont 21 enfants en bas âge (dont des algériens) ont choisi de mettre à l’entrée d’un gymnase situé sur la place de la basilique Saint-Sernin, au centre-ville de Toulouse, à 500 mètres de la place du Capitole. Ces sans-abri ont y trouvé refuge à leur corps défendant, face à l’inertie des autorités et dans l’impitoyable froid du mois de décembre.
C’est là où Yamna, une algérienne de 43 ans y vit avec son conjoint et ses trois enfants ages de 7 à 17 ans, et ce, après son arrivée d’Algérie il y trois mois. Malgré la situation pour le moins qu’on puisse dire, difficile, Yamna raconte avec le sourire « depuis des semaines nous dormions dans la rue, un peu partout dans Toulouse. C’est bien Toulouse mais dehors il fait trop froid. Ici, on est mieux« .
Les associations se mobilisentPlusieurs associations se mobilisent pour trouver une solution pour ces sans-abri et soutiennent par la même occasion cette occupation, notamment vu l’omniprésence des enfants vivant dans de telles conditions. Le collectif droit au logement (DAL) a déploré « les autorités ne font rien, ces familles dorment à la rue depuis plusieurs semaines« . Selon le même collectif, 250 personnes dorment encore dehors à Toulouse.
Les harragas algériens sont plus exposés à de telles conditions, d’autant plus que leur situation irrégulière ne leur permet pas de bénéficier des aides de l’Etat.
L’article France : délaissés, des Algériens s’abritent dans un gymnase est apparu en premier sur .
Le gouvernement s’apprête à ouvrir les capitaux des banques publiques dès le début de l’année prochaine. Cette démarche intervient dans le cadre de la révision du système de gouvernance des entreprises publiques.
L’annonce a été faite hier par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane lors d’une intervention au niveau des quatre ateliers organisés dans le cadre de la Conférence nationale sur la relance industrielle.
Selon lui, l’ouverture des capitaux de banques publiques interviendra à l’entame de l’année 2022. À cet effet, il réitère la nécessité de la révision du système de gouvernance des entreprises publiques, dont la situation économique actuelle est en deçà des aspirations.
Ainsi, l’intervenant précise que ce changement dans le mode de gouvernance auprès des entreprises publiques sera opéré, à la faveur de l’octroi de davantage de prérogatives aux conseils sociaux, notamment les conseils d’administration. Cela aura pour but d’introduire une gestion efficace dans ces entreprises.
Entre autres dispositions à adopter dans le cadre du nouveau mode de gestion adopté par le Gouvernement, le PM cite « la soumission des gestionnaires à une évaluation périodique, semestrielle et annuelle pour évaluer l’efficacité du processus de gestion ».
L’importance d’améliorer les mécanismes de gestion de la bourse d’AlgerDans les détails, le premier responsable au gouvernement souligne que le capital de certaines entreprises publiques sera ouvert via la bourse. Il a également mis l’accent sur l’importance d’améliorer les mécanismes de gestion de la bourse d’Alger et lui conférer un rôle important.
Dans le même sillage, Benabderrahmane a indiqué que le gouvernement trouvera d’autres outils pour le financement des entreprises publiques, et ce, en vue d’alléger la charge sur le trésor public.
À ce propos, il explique que la contribution de l’État à l’assainissement des entreprises publiques en difficulté a dépassé à ce jour 2.900 milliards de DA.
L’article Banques publiques : l’ouverture des capitaux se précise est apparu en premier sur .
Incendie au marché international de Malanville dans la soirée du dimanche 05 décembre 2021. Plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés dans cet incendie.
Aux environs de 19h30, un incendie s'est déclaré au marché international de Malanville au niveau des vendeurs de colas. Les causes de l'incendie ne sont pas connues. Plusieurs boutiques ont été détruites par les flammes. Aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée. Il a fallu des heures aux sapeurs-pompiers pour maîtriser l'incendie.
A.A.A
Les Aspirants au métier d'enseignant (AME) signataires de motion de grève ne pourront plus accéder à leurs établissements respectifs. Le ministre des enseignements secondaire, technique, et de la formation professionnelle à travers une note en date du 3 décembre 2021, adressée aux directeurs départementaux de l'Atlantique, du Mono et de l'Ouémé, a ordonné leur suspension.
Selon la note signée du directeur de cabinet, Garba Ayouba, les AME signataires de la motion de grève « ont violé les dispositions de l'article 12 du contrat de travail qu'ils ont librement signé. En agissant ainsi, ils ont contribué à désorganiser volontairement la bonne marche des établissements et faire perdre aux apprenants des heures de cours ».
Des instructions ont été données à l'effet de procéder systématiquement à leur remplacement par les suppléants de la liste en attente.
Afin de revendiquer un mieux-être, les aspirants aux métiers d'enseignant ont annoncé une grève de 72 heures qui devrait démarrer ce lundi 06 décembre 2021.
F. A. A.
Le pôle économique et financier près tribunal de Sidi M’hamed a rendu ce lundi son verdict dans l’affaire des frères Benhamadi, propriétaires du Groupe Condor, poursuivis avec 40 cadres, notamment du groupe public Mobilis.
En effet, le juge du pôle spécialisé a prononcé une peine à une peine de 5 ans de prison dans deux ans fermes assortie d’une amende d’un million de dinars à l’encontre de Omar Benhamadi responsable de « Travocovia ». Ce dernier avait été poursuivi pour obtention d’indus avantages.
Son frère, Abderrahmane Benhamadi gérant de la société « Altrapco », poursuivi pour le même motif, a été condamné à 4 ans de prison, dont deux ans fermes, et à une amende d’un million de dinars. Le juge a également condamné Smail Benhamadi à deux ans de prison ferme avec la même amende.
Les entreprises Travocovia, GB Pharma et Altrapco, qui sont des filiales du Groupe Condor sont assignées à s’acquitter d’une amende de 4 millions de dinars chacune. Elles doivent également verser 10 000 DA en guise de dommage et intérêts au trésor public.
Les anciens PDG de Mobilis tous acquittésPour ce qui est des anciens cadres du groupe public Mobilis, le tribunal a prononcé l’acquittement dans toutes les charges. Il s’agit de l’ancien PDG de Mobilis Mohamed Habib et son successeur Ahmed Choudar.
L’autre ancien directeur général de Mobilis, Saad Damma et l’ex-directeur des télécommunications Mohamed Salah Daas ont été également acquittés de toutes les charges retenues contre eux.
Le tribunal de Sidi M’hamed a également prononcé l’acquittement en faveur de l’ex-ministre de la Jeunesse et des Sports Mohamed Hatab, poursuivi dans le cadre de cette même affaire en sa qualité d’ancien secrétaire général de la wilaya d’Alger.
Pour rappel, le procureur de la République avait requis une peine de cinq ans de prison assortie d’une amende d’un million de DA contre l’ancien ministre de la Jeunesse et des sports, Mohamed Hattab.
L’article Affaire groupe Condor – Mobilis : la justice tranche est apparu en premier sur .
Les talentueux footballeurs d’origine algérienne se trouvent partout ! Notamment dans le continent européen, où le monde du ballon rond est apprécié à sa juste valeur.
Ces derniers et grâce à leur excellente performance présentée sur le terrain, ne cessent de briller et d’être sous le feu des projecteurs, mais aussi visés par de grands clubs européens.
Après le capitaine des Verts Riyad Mahrez, vient désormais le tour du joueur franco-algérien, Rayan Aït-Nouri, d’être dans le viseur du grand club Parisien, le Paris Saint-Germain.
En effet, le jeune footballeur de 20 ans évolue actuellement au poste d’arrière gauche dans un club anglais, Wolverhampton Wanderers en l’occurrence, et est visé par le club de la capitale française, rapporte le magazine anglais The Sun.
40 millions d’euros pour bénéficier des services de Aït-Nouri ?Selon les informations de la même source, Rayan Aït-Nouri pourrait être le futur arrière latéral du Paris Saint-Germain, vu que ce dernier s’était fait prêter le Portugais Nuno Mendes avec option d’achat dans les derniers instants du mercato estival.
Ainsi, ledit magazine a mentionné que le club Parisien devrait débourser près de 40 millions d’euros, soit un montant semblable à l’option d’achat assortie au prêt de Mendes, pour en bénéficier des services du vingtenaire.
Par ailleurs, il convient de préciser que le jeune footballeur franco-algérien est arrivé chez les Wolves en provenance d’Angers contre un peu plus de 11 millions d’euros à l’été 2020. Sachant qu’il avait d’abord remplacé Lyonnais Marçal.
Rayan Aït-Nouri ne s’est pas contenté de son poste de remplaçant, où il s’est progressivement imposé comme un titulaire sous les ordres de Nuno Espirito Santo puis Bruno Lage, et ce, grâce à ses grandes compétences ainsi que sa haute performance.
L’article France : une « pépite » algérienne intéresse le PSG est apparu en premier sur .
Ne dit-on pas que le pire n’est pas de commettre une erreur, mais de ne pas la reconnaître ! C’est le cas de cet Algérien qui avait blessé, en 2017 à Levallois, six soldats français en fonçant sur eux au volant de sa voiture. Son procès débute aujourd’hui à Paris.
Aujourd’hui « en fauteuil roulant » depuis sa blessure à la colonne vertébrale lors de son arrestation, le mis en cause s’obstine à nier les faits qui lui sont reprochés. L’Algérien campe toujours sur sa position soulignant qu’il « avait été victime d’un malaise et avait perdu le contrôle de son véhicule », selon le journal français Le Figaro.
Un motif qui ne convainc point la chambre d’accusation. Aujourd’hui il est poursuivi pour «tentative d’assassinats sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste». L’acte accusation est appuyé d’autant que les faits se sont produits « en pleine vague d’attentats djihadistes en France ».
Un projet « terroriste » et un intérêt pour L’EIPour le parquet national antiterroriste (Pnat) les faits reprochés à l’accusé présentaient «non seulement un caractère intentionnel avéré» mais également «associés à la volonté de tuer, et ce dans le cadre d’un projet terroriste» du fait qu’il avait effectué des repérages sur les lieux trois jours avant l’attentat.
Bien que l’accusé n’était pas connu pour « radicalisation religieuse », mais lors d’un examen de contenus effectués sur ses deux téléphones, il s’est avéré, selon la même source, que l’Algérien avait un vif intérêt l’EI et des velléités de départ pour la Syrie.
« dénégations pas crédibles »!Prenant la fuite après les faits, toutes les dénégations avancés par cet Algérien ne sont pas crédibles, selon la partie civile.
Sans casier judiciaire au moment de son arrestation, le quadragénaire a depuis fait l’objet de « deux condamnations » pour « agressions contre des surveillants pendant sa détention », selon la même source.
Endossant aujourd’hui une lourde accusation, le mis en cause comparaitra devant la cour d’assises spécialement composée en attendant son jugement final.
L’article France: l’affaire des soldats fauchés par un Algérien refait surface est apparu en premier sur .
La France, dans sa lutte contre la Covid-19, semble être envahie par la crainte d’un nouveau variant qui remettrait à zéro tous les efforts vaccinaux entrepris depuis le début de la pandémie.
Après le Variant Omicron, découvert en Afrique du Sud, les autorités sanitaires françaises s’inquiètent à propos d’un autre variant d’origine africaine.
En effet, le variant congolais a été détecté pour la première fois au mois d’octobre dernier en France, et depuis, il a gagné du terrain en contaminant plus de 50 patients, principalement en région Paca, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Aquitaine et en Île-de-France.
Un variant sans lettre grecqueBien que le variant congolais, sobrement baptisé B.1.640, n’ait pas eu droit à sa lettre grecque, comme ce fut le cas avec le variant Omicron, il n’en demeure pas moins inquiétant aux yeux du ministère de la Santé en France, qui affirme le surveiller de prés.
Ce variant, détecté pour la première fois fin septembre, en République démocratique du Congo, n’est pas considéré comme un « variant préoccupant ou d’intérêt » par l’OMS. En France pourtant, on dit ne pas encore connaitre son impact réel, ce qui fait de lui un variant « en cours d’évaluation ».
« On le surveille à fond », confie le virologue Français Bruno Lina à propos de ce variant détecté chez un Nantais en provenance du Congo. Ce patient a toutefois contaminé toute une famille lors d’une soirée dans le Finistère. Quelques jours plus tard, le virus est détecté chez 24 autres personnes, dont 18 élèves dans une école primaire, ce qui a causé la fermeture de plusieurs classes.
Une « souche anormale »Après ce coming-out assez spectaculaire, le variant congolais est évoqué par le ministre Français de la Santé. Olivier Véran déclare, en novembre dernier : « vous avez peut-être entendu parler d’un variant congolais. Huit cas ont été identifiés en République du Congo et on a découvert fin septembre un cluster familial chez des personnes qui en revenaient ».
Le ministre affirme toutefois qu’il « ne dit pas ça pour inquiéter, rien n’indique que ce variant soit particulièrement dangereux, mais pour souligner que notre capacité à traquer les variants est très forte ».
Le variant congolais est doté cependant « d’un profil de mutations particulier, il a été retrouvé chez des enfants et des personnes vaccinées à peu près partout », indique le professeur Bruno Lina qui affirme qu’il s’agit d’une « souche anormale » et « très particulière ».
Le même intervenant précise que plus de 50 cas ont été déjà recensé en France, ce qui fait d’après lui de ce variant un centre de préoccupation. Le professeur confie que ce variant « est en train de se répandre et circule en même temps que le Delta, poursuit-il. On est le pays qui en rapporte le plus« .
L’article Covid-19 : après Omicron, la France traque un variant congolais est apparu en premier sur .
Entre la décrue du nombre de cas de contaminations du Covid-19 et le nouveau variant « Omicron » récemment découvert, les autorités se précipitent partout dans le monde pour mettre en place les mesure préventives nécessaires afin d’éviter les vagues mortifères de cette pandémie.
L’Algérie, à titre d’exemple, tente de se protéger de ce nouveau variant et de reprendre la stabilité et la décrue qui a été enregistrée durant les mois précédents, et ce, en veillant sur l’application d’un protocole sanitaire stricte dont la tête de gondole n’est autre que la vaccination.
En effet, le ministère des Transports a annoncé le 1er décembre à travers un communiqué, la vaccination obligatoire pour les voyageurs par voie maritime ainsi que le test PCR et le test antigénique à l’arrivé, en partance ou en provenance de l’étranger vers l’Algérie à partir d’aujourd’hui, 6 décembre 2021.
Une décision « boudée » aussi bien par les voyageurs que par la classe politique, en raison de manque d’informations et de précisions et surtout, les tests imposés pour les vaccinés et les non-vaccinés à titre égal .
Une protestation parlementaireCette décision a déplu a plusieurs personnes, ainsi que la manière dont elle a été annoncée. Le député de l’émigration Abdelouahab Yagoubi a déploré une telle façon d’annoncer une information aussi importante, il décide donc d’agir avec d’autres députés suite à l’incompréhension que cette décision a suscitée.
« Suite à la décision improvisée prise hier par le ministère des Transports d’imposer arbitrairement l’obligation de vaccination aux citoyens, je me suis déplacé, cet après-midi, avec une délégation de députés de l’Assemblée Populaire Nationale aujourd’hui au siège du ministère des Transports pour faire part de notre protestation contre cette décision anti-constitutionnelle, qui a été prise d’une manière absolument inacceptable » a t-il publié sur sa page Facebook.
Le député de l’émigration a ajouté « indépendamment du devoir de chacun d’inciter les citoyens à se faire vacciner, il est hors de question qu’une instruction administrative impose cette contrainte aux citoyens, comme l’a souligné le Président de la République« .
« Nous demandons l’annulation de cette mesure »Tewfiq Khedim, un député de l’émigration a également exprimé son mécontentement, rappelant que la vaccination n’est pas une mesure à imposer du jour au lendemain notamment pour les voyageurs ayant déjà réservés, et ce, sans consultation aucune des parlementaires.
Raison pour laquelle, une délégation de 6 députés dont Abdelouahab Yagoubi s’est déplacée au siège du ministère des Transports pour leur faire part de leur protestation contre cette décision « anti-constitutionnelle« . Yagoubi a souligné « le protocole efficace reste l’exigence d’un test PCR négatif à l’embarquement et d’un examen antigénique à l’arrivée pour les vaccinés et les non vaccinés« , ainsi, ils espèrent l’annulation de cette mesure.
L’article Traversées maritimes : le pass vaccinal se heurte au refus des députés est apparu en premier sur .
La première session criminelle de l'année judiciaire 2021-2022 s'est ouverte ce lundi 06 décembre 2021 à la CRIET avec le dossier du Professeur Joël Aïvo.
L'opposant Joël Aïvo s'est rendu à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme aux environs de 8 h. Ses co-accusés Ibrahim Moudjahidou, Boni Saré Issiakou sont également présents. L'audience ouverte vers 9 heures a été suspendue en raison de l'absence de l'un des accusés Alain Dotou Gnonlonfoun. Le chargé des finances du Professeur est en route pour la Criet.
Plusieurs avocats se sont mobilisés pour la défense de l'opposant Aïvo dont Me Robert Dossou, Me Nadine Sakponou, Me Elvis Didè. Le Professeur de droit constitutionnel est poursuivi pour "atteinte à la sûreté de L'État et blanchiment de capitaux". Candidat recalé à l'élection présidentielle, Joël Aïvo a été déposé à la prison civile de Cotonou le 16 avril 2021 après sa présentation devant le procureur spécial près la Criet.
A. AYOSSO
Un autre militaire a perdu la vie dans les rangs de l'armée béninoise
En renfort aux militaires dans le cadre de la riposte contre les assaillants, un policier faisant partie d'un contingent tire sur un militaire dans la nuit du samedi 04 au dimanche 05 décembre 2021 à Tanguiéta. Le militaire a été confondu à un assaillant. Le sergent Albert Koukpo est décédé quelques minutes après avoir reçu la balle par erreur. Ce décès porte à quatre (04) le nombre de soldats béninois tués en quelques jours suite à l'attaque de groupes armés contre l'armée béninoise dans la région frontalière au Burkina Faso. Deux militaires avaient été tués lors des attaques, un autre a trouvé la mort dans un accident de convoi du ministre se rendant au chevet des positions attaquées.
M. M.
Au risque de l’avènement du variant Omicron en Algérie et au vu de la situation épidémiologique actuelle, les spécialistes et responsables du secteur sanitaire multiplient les appels à la vigilance. Dans la foulée, des propositions sont également faites.
Intervenant ce lundi sur les ondes de la radio nationale, le Directeur général de l’Institut Pasteur d’Algérie Dr Fawzi Derrar a appelé à généraliser le pass sanitaire dans tous les secteurs tout comme la décision du ministère des Transports concernant le transport maritime.
Le même responsable affirme que la généralisation du pass sanitaire vaccinal est désormais une nécessité au niveau de tous les secteurs et les institutions, tout en l’accompagnant avec une campagne de sensibilisation auprès des citoyens.
Si cette proposition intervient dans le souci de faire face à tout risque de propagation du variant Omicron en Algérie, l’intervenant estime tout de même que le débat autour du variant Omicron est un peu anticipé actuellement.
Pic du variant Omicron : Derrar livre ses pronosticsA ce propos, il estime que le variant le plus important en ce moment, c’est le Delta. Dans le même sillage, le DG de l’IPA ajoute que conformément aux études et prévisions scientifiques, le pic du nouveau variant interviendra vers la fin du mois de février ou le début du mois de mars 2022.
Revenant sur la vaccination, l’invité de la Radio préconise de changer le type de vaccin pour la troisième dose afin d’atteindre une immunité optimale contre tout autre variant.
Dans le même sillage, il affirme que toutes les rumeurs circulant autour des effets indésirables des vaccins sont théoriques, d’autant qu’aucune d’entre elles n’est prouvée scientifiquement.
L’article Variant Omicron et pass sanitaire : ce que propose le DG de Pasteur est apparu en premier sur .
Le cours de la monnaie européenne a enregistré, dans les cotations de ce lundi 6 décembre, une baisse par rapport au taux de change d’hier. Sur le marché parallèle, la situation est restée presque la même.
Dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, un euro s’échange contre 156,82 dinars à l’achat et 156,88 dinars à la vente. Hier, l’unité de cette monnaie s’échange contre 157,04 dinars à l’achat et de 157,07 dinars à la vente.
Le dollar américain s’échange ce mercredi à la Banque d’Algérie contre 138,93 dinars à l’achat et 138,94 dinars à la vente. Hier, la monnaie étasunienne était à 138,81 dinars à l’achat et 138,83 dinars à la vente.
Le taux de change de la livre sterling à la Banque centrale d’Algérie affiche quant à lui 184,38 dinars à l’achat et 184,43 dinars à la vente. Dans les cotations d’hier, cette même monnaie était à 187,37 dinars à l’achat et 187,42.
Pour ce qui est du dollar canadien, il s’échange dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie contre 108,39 dinars à l’achat et 108,44 dinars à la vente. L’on note une hausse par rapport à hier ; 108,61 dinars à l’achat et 108,65 dinars à la vente.
Taux de change du dinar sur le marché parallèleAu niveau du marché parallèle de change, le cours de l’euro s’est stabilisé aux environs de 215 dinars à l’achat et à 217 dinars à la vente. Durant semaine dernière, l’unité de la monnaie européenne était à 218 dinars à l’achat et 216 dinars à la vente.
Le dollar américain enregistre, quant à lui, une nouvelle hausse. Il est cédé aujourd’hui à 191 dinars à l’achat et 195 dinars à la vente. La livre sterling s’échange ce mercredi contre 248 dinars à l’achat et 251 dinars à la vente.
Le dollar canadien sur le marché noir des devises est cédé contre 143 dinars à l’achat et 146 dinars à la vente.
L’article Taux de change du dinar : les cotations de ce lundi 6 décembre est apparu en premier sur .
Le recteur de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC), Félicien Avlessi à travers une note de service en date du 02 décembre 2021, a interdit l'accès aux campus de l'Université d'Abomey-Calavi à Habib Ahandessi. Informé de la note, l'intéressé à travers une publication sur sa page Facebook apprend qu'il ne s'agit pas d'un fait nouveau.
La décision du recteur de l'UAC selon Habib Ahandessi, surnommé le révolutionnaire n'est pas nouveau. L'ex recteur Brice Sinsin en 2017 avait pris une décision pareille. A travers la note de service N°2017/467/UAC/SG/AC/SHR du 09 février 2017, l'ancien recteur avait interdit l'accès au campus à tout étudiant exclu d'un établissement de l'UAC. Et cette décision selon Habib Ahandessi, le visait spécialement. « Les raisons avancées sont totalement incongrues », a-t-il écrit.
Habib Ahandessi a par ailleurs souligné qu'on ne peut pas lui interdire le repas "Come" de Wilinon, et la pâte de maman Rose. Des repas qu'il préfère, et pour lesquels il compte se rendre sur le campus manger.
La présence de Habib Ahandessi selon le recteur, occasionne des troubles sur le campus d'Abomey-Calavi. D'où la décision d'interdiction qui vise à « maintenir l'ordre et la sécurité des personnes et des biens ».
F. A. A.