Sur initiative de la République du Bénin, la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) a finalisé ce 29 novembre 2021, une opération inédite de remboursement d'une partie de sa dette sur le marché financier sous régional, d'un montant total de deux cent dix-sept milliards huit cent cinquante millions quatre cent soixante-onze mille sept cent quatre-vingt-seize(217 850 471 796) francs CFA. Cette opération unique en son genre dans l'histoire du marché des emprunts obligataires par syndication de l'UEMOA, clôturée par le paiement effectif de tous les détenteurs des dites obligations, a démarré en juillet 2021, au lendemain de l'émission de l'eurobond dédié au financement de projets à forts impacts sur l'atteinte des Objectifs de Développement Durable des Nations-Unies (ODD), la première pour un Etat africain.
Comptant parmi les engagements pris par le Bénin dans le cadre de l'émission de « l'eurobond ODD », cette opération matérialise le remboursement anticipé de dettes contractées à des conditions de marché moins favorables et ayant servi au financement des projets éligibles aux ODD.
Ce remboursement anticipé permet notamment au Bénin de réaliser une économie sur les intérêts non courus de plus de 36 milliards de francs CFA qui sera injectée dans divers projets à impact social du Gouvernement, notamment dans les domaines de l'eau, de la santé, de l'énergie, de l'éducation, etc.
La réussite de cette opération est la preuve que les investisseurs adhèrent aux réalisations et au programme social du gouvernement du Président Patrice TALON, en lien avec son engagement de faire du quinquennat (2021-2026) un mandat « hautement social ».
En réalisant cette opération, le Bénin démontre une fois encore son attachement au respect de ses engagements pris vis-à-vis des investisseurs mais également sa ferme volonté d'accélérer l'atteinte de résultats concrets en matière d'atteinte des ODD.
Ce remboursement porte à près de mille milliards (1 000 000 000 000) francs CFA le montant total des remboursements de dettes pour 2021, preuve de la très bonne santé économique et financière de notre pays.
Le Bénin innove à la BRVM https://t.co/yNzT5vEItZ https://t.co/hpUDe8s7Ky
— Financial Afrik (@Financialafrik) November 30, 2021
La levée du confinement vient d’être de nouveau reconduite ce mardi 30 novembre 2021, mais pour seulement dix jours. Face au nouveau variant Omicron ; le gouvernement semble vouloir se laisser une marge de manœuvre au cas où les contaminations repartent à la hausse.
En effet, dans un communiqué rendu public aujourd’hui par les services du premier ministre ; le gouvernement a annoncé la reconduction de la levée du confinement / le couvre-feu pour une période de dix jours, à compter de demain mercredi 1er décembre.
« S’inscrivant toujours dans l’objectif de préserver la santé des citoyens et à les prémunir contre tout risque de propagation du Coronavirus, ces mesures visent, au regard de la situation épidémiologique, à reconduire le dispositif actuel de protection et de prévention (levée du confinement). Le dispositif actuel de protection et de prévention est reconduit pour une période de 10 jours, à compter du mercredi 1er décembre 2021 », lit-on dans le communiqué.
Vaccination anti-covid : énième appel du gouvernementDans le même communiqué, le gouvernement a déploré la réticence des Algériens face aux vaccins ; en les appelant, une nouvelle fois, à se faire vacciner à contre le covid-19 qui connait le nouveau variant Omicron, jugé « préoccupant » par l’OMS.
« Malgré la disponibilité de vaccin, la vaccination s’effectue à un faible rythme, au moment où la situation épidémiologique dans beaucoup de régions dans le monde connaissent une nouvelle vague de la pandémie, voire un inquiétant rebond aggravé par l’apparition du nouveau variant « Omicron » qui préoccupe aujourd’hui la communauté scientifique au plus haut degré », a ajouté la même source.
L’article « Levée du confinement » en Algérie : nouvelle prolongation de la mesure est apparu en premier sur .
L’humanité est en passe de vivre une révolution industrielle à l’aune des innovations toujours plus rapides et performantes et des bouleversements interdépendants et toujours aussi complexes. Les sociétés de par le monde entier bruissent aujourd’hui d’interminables discussions sur ce qui va advenir du monde actuel qui est à l’aube d’une « 4ème révolution industrielle ».
C’est d’ailleurs la thématique d’une conférence animée, hier lundi, par l’éminent chercheur algérien, Belgacem Haba à l’université de Ouargla.
En effet, le chercheur scientifique algérien a mis en exergue les différentes caractéristiques économiques du monde dans les prochaines années qui va, selon lui, droit vers une 4ème révolution industrielle. Le rôle des startups dans cette révolution est sans équivoque. Pour le scientifique, il est impératif, aujourd’hui, de donner une plus grande importance à ces entités qui, selon lui, ont un rôle-clé dans le développement de l’économie.
« Pensée positive », clé de voûte de la réussiteHumble, optimiste mais surtout soucieux de l’avenir des futurs cadres de l’Etat, Belgacem Haba, affirme que l’objet des ces conférence est de rester en étroite relation avec les enseignants et les étudiants pour leur inculquer « la pensée positive ». Cette dernière contribue considérablement à l’épanouissement professionnel et personnel, persiste-il.
La conférence a noté, selon la même source, la présence des étudiants de différentes disciplines, des enseignants, entrepreneurs et de jeunes startupeurs.
Un des plus grands inventeurs au mondeAvec plus de 1000 brevets d’invention et d’applications d’invention dans le monde dont 500 aux Etas-Unis, Dr Haba est reconnu comme l’un des plus grands inventeurs au monde grâce à ses contributions majeures à la communauté mondiale des technologies innovatrices.
Les dernières inventions du scientifique algérien ont porté sur le développement de semi-conducteurs 3D et les technologies d’intégration pour les appareils mobiles, l’informatique, les bases de données et les applications dans les domaines des sciences, des industries et de l’automobile.
Il est à noter que Dr Haba a fait toutes ses études en Algérie jusqu’à l’obtention de son diplôme de graduation (licence en physique) à l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene (USTHB).
L’article Depuis Ouargla, Belgacem Haba livre sa vision sur la 4e révolution industrielle est apparu en premier sur .
Le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie) Mohamed Charfi a annoncé ce mardi les résultats provisoires des élections locales du 27 novembre.
C’est lors d’une conférence de presse tenue au Centre international de conférences (CIC), Abdelatif Rahal à Alger, que le président de l’Anie, Mohamed Charfi a dévoilé officiellement, aujourd’hui, les chiffres provisoires des élections locales qui se sont déroulées le 27 novembre dernier.
Ces élections ont été marquées par le boycott de plusieurs partis politiques d’oppositions, mais aussi par une campagne électorale timide. Il s’agit du quatrième scrutin organisé depuis le mouvement populaire du 22 février 2019 après les élections présidentielles, le référendum sur la constitution, et les élections législatives.
Selon Mohammed Charfi, le taux de participation a atteint les 36.58 % dans les élections locales des APC, et 34.76 concernant les élections des APW.
Les résultats des élections locales du 27 novembre 2021Sans grande surprise, c’est le FLN, le Front de Libération Nationale, qui est le grand gagnant de ce scrutin. Selon Chorfi, l’ex-parti unique est classé premier, suivi par le RND, avant de laisser la troisième place aux listes indépendante.
Les résultats des élections locales dans les APC , comme annoncés par Mohamed Charfi, le président de l’Autorité Indépendante des élections sont comme suit :
Concernant les APW, Chorfi a annoncé que le FLN détient encore la tête du classement, suivi par les listes indépendantes puis par le RND. Les résultats sont comme suit :
L’article Elections locales 2021 : l’ANIE annonce les résultats provisoires est apparu en premier sur .
Initialement prévus la fin du mois de juin de l’année en cours, les Jeux méditerranéens ont été finalement reportés à l’été de l’année prochaine, à cause de la propagation dangereuse du virus mortel, la Covid-19.
En effet, lesdits Jeux sont programmés cette fois-ci en Algérie, où ils seront accueillis précisément à Oran. Toutefois, le Président du Comité de coordination des Jeux méditerranéens a révélé dernièrement qu’il est extrêmement inquiet, et ce, à cause du retard de l’achèvement des travaux dans la ville qui va accueillir l’évènement.
Sur ce, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderezzak Sebgag, a appelé le Comité international des Jeux méditerranéens à examiner l’état d’avancement des travaux au niveau du village olympique à Oran.
» On ne va pas donner à ce sujet plus que sa taille » (Sebgag)En marge d’une visite de travail et d’inspection sur les lieux, ce mardi 30 novembre, le premier responsable du secteur de Sport en Algérie a déclaré : » cette visite s’inscrit dans le cadre du suivi immédiat et régulier de l’avancement des travaux à Oran, et non en réponse à la déclaration du Comité international des Jeux méditerranéens « .
» On ne va pas donner à ce sujet plus que sa taille. Cette visite que j’effectue est très normale. Quant au Comité international des Jeux méditerranéens, il a le droit de faire des déclarations, mais la réalité dit le contraire « , affirme le ministre, tout en ajoutant : » des membres dudit Comité nous rendront visite le mois prochain, à savoir le 10, le 11 et le 12 décembre, pour inspecter et voir le grand progrès des travaux réalisés « .
Par ailleurs, Sebgag a confirmé : » tous les projets appartiennent à l’État algérien afin de réussir les travaux. Il manque que les touches finales, ce qui n’est qu’une question de quelques semaines « .
L’article Jeux méditerranéens 2022 : Sebgag débarque à Oran est apparu en premier sur .
Face à la flambée du nombre des cas de contaminations partout dans le monde notamment en Europe, beaucoup de pays durcissent leur protocole sanitaire afin d’éviter de nouvelles vagues du Coronavirus, notamment avec l’apparition du nouveau variant « Omicron » qui selon les premières études est plus contagieux que les variants précédents.
Face à cette apparition et cette flambée des cas de contamination, la Tunisie met à jour les conditions d’entrée à son territoire. A partir du 1er décembre 2021, les voyageurs non-résidents en Tunisie et non-vaccinés sont interdits d’accès au territoire tunisien.
Les voyageurs vaccinés de plus de 18 ans doivent présenter un schéma vaccinal contre le Covid-19 complet. En outre, tous les voyageurs de plus de 6 ans se rendant en Tunisie doivent : présenter un test PCR négatif à la Covid-19 de moins de 48 heures avant le premier embarquement, portant un (QR code).
Ils doivent également remplir avant l’embarquement les informations obligatoires demandées sur le site , imprimer et signer les documents générés par l’application qui seront remis aux services sanitaires tunisiens à l’arrivée et se soumettre aux tests de dépistage aléatoires qui seront réalisés à l’arrivée. Les personnes positives devront appliquer la quarantaine obligatoire.
Le variant « Omicron » fait régner l’inquiétudeLe nouveau variant découvert en Afrique du Sud oblige plusieurs pays à fermer leurs frontières aux pays de l’Afrique australe et à durcir les conditions d’entrée dans l’objectif de se prémunir contre cette nouvelle souche du virus. Omicron, dit inquiétant et préoccupant par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas de symptômes apparents. Les seuls signes jusque-là enregistrés se limitent à une extrême fatigue, des courbatures et une toux légère.
Malheureusement, la possibilité de symptômes plus grave n’est pas à éliminer, d’autres études plus approfondies nous apporterons davantage d’informations.
L’article Voyages : la Tunisie durcit ses règles d’entrée est apparu en premier sur .
Tous les moyens sont bons d’après certaines voix pour arriver à en finir avec la pandémie de la covid-19. La vaccination des enfants reste cependant parmi les sujets sensibles qui sont loin de faire consensus au sein des spécialistes en Algérie.
En effet, et alors que pas plus de 20 % de la population algérienne est vaccinée contre le coronavirus, la vaccination des moins de 18 ans se repositionne aux devants des préoccupations des experts. Pendant que certains trouvent cette approche est « loin d’être logique », d’autres, au contraire, affirment que cela relève du « non sens » de refuser de vacciner les enfants.
Faut-il vacciner les enfants ?Selon le Dr Derrar, directeur de l’Institut Pasteur Algérie, « il n’est pas logique » de vacciner les enfants pendant cette période. Ce responsable estime que les enfants sont certes un vecteur important qui permet la propagation du virus, mais qu’ils sont très peu touchés par des symptômes graves de la maladie.
Le directeur de l’IPA a déclaré, aujourd’hui, sur les ondes de la radio nationale, que les enfants ne sont pas exposés à des formes graves de la covid-19 ni au décès. Il affirme toutefois que les enfants « jouent un grand rôle dans la transmission de l’infection et c’est pour ça qu’il faut durcir les mesures de protection ».
Le Pr Djenouhat quant à lui s’est montré plus catégorique. Dans une déclaration faite à nos confrères du Soir d’Algérie, le président de la Société algérienne d’immunologie et chef de service du laboratoire central EPH Rouiba a affirmé qu’il propose de vacciner les plus de 6 ans.
« Pour ma part, je propose la vaccination à partir de 6 ans », lâche le Professeur au moment où le Conseil scientifique a entamé des réflexions sur ce sujet. M. Djenouhat ajoute que « cela n’a aucun sens » de cibler les plus de 18 ans seulement.
Le même intervenant explique « qu’on ne peut imposer directement la vaccination », tout en saluant la démarche du pass sanitaire qui, affirme-t-il, « un synonyme d’obligation ». Le même intervenant a également fustigé les travailleurs du secteur de la santé qui déclarent aux malades qu’ils ne sont pas vaccinés. « C’est anti-éthique et cela s’oppose à la déontologie médicale, quand on entend un médecin déclarer à un patient qu’il n’est pas vacciné », déplore-t-il.
L’article Covid-19 en Algérie : la vaccination des enfants ne fait pas consensus est apparu en premier sur .
À la veille de la rencontre footballistique, qui réunira l’équipe nationale A’ à son homologue soudanaise, dans le cadre de la Coupe Arabe 2021 au Qatar, plusieurs noms dans le monde du ballon rond, à savoir des footballeurs et des entraineurs, ont donné leur mot.
Parmi ces derniers, figure l’ancien international algérien Rafik Saifi. L’ex-attaquant des Verts a parlé des chances des protégés de Bougherra dans la compétition arabe, qui débute aujourd’hui, mardi 30 novembre à Doha, au Qatar.
Le natif d’Alger a révélé, lors d’un entretien accordé à une chaine qatarie, que le capitaine Rais M’bolhi et ses coéquipiers seront sans doute couronnés du titre de cette Coupe Arabe.
» Je suis heureux de pouvoir affronter l’Algérie » (Hubert Velud)De son côté, l’entraîneur Français de l’équipe soudanaise, Hubert Velud, a déclaré aujourd’hui à la presse que le choc de demain contre l’Algérie sera génial. Ce dernier a même exprimé son bonheur et sa joie avant cette confrontation.
» Je suis heureux de pouvoir confronter l’Algérie demain. Nous savons aujourd’hui que l’Algérie est plus forte que le Soudan, surtout avec l’équipe de Madjid Bougherra qui est venue à Doha « .
Par ailleurs, ledit entraineur a ajouté : » ils ont des footballeurs qui jouent avec l’équipe première et n’ont pas été battus pendant 33 matchs. Nous allons donc faire tout ce que nous pouvons pour gagner « .
Il est également utile de rappeler que les protégés de Bougherra vont jouer leur premier match, en affrontant le Soudan, demain 1e décembre à 13 heures (heure algérienne), au Stade Ahmed-ben-Ali de Doha.
L’article L’Algérie en Coupe Arabe : Rafik Saifi livre ses pronostics est apparu en premier sur .
Alors que la stabilité sanitaire en Algérie touche à sa fin, de nombreuses voix s’élèvent et appellent les citoyens à aller se faire vacciner. Ces appels font écho à des craintes du variant Omicron, qui pourrait receler une résistance aux vaccins anti-covid.
Cependant, pour le moment, le nombre des contaminations au coronavirus en Algérie reste gérable. Aujourd’hui, le bilan du ministère de la Santé fait état de 187 nouveaux cas d’infection à la covid-19 ces dernières 24 heures, contre 192 enregistrées lors de la journée d’hier.
Outre le nombre des cas de contamination, les mêmes chiffres indiquent que le pays a enregistré 7 nouveaux décès causés par des complications liées au virus, 155 nouvelles guérisons et 14 nouveaux patients dont l’état de santé a nécessité leur admission aux services de réanimations.
Ces chiffres dévoilés par le département de Benbouzid font grimper le bilan total des contaminations à plus de 210.531 cas depuis le mois de mars 2020. Les décès enregistrés en Algérie depuis le début de la crise sanitaire dépassent les 6071 cas.
Le variant Omicron : aucun cas en AlgérieL’Institut Pasteur Algérie a affirmé aujourd’hui qu’aucun cas du nouveau variant de la covid-19, baptisé Omicron et détecté pour la première fois en Afrique du Sud, n’a été enregistré en Algérie. Cette affirmation ne veut cependant pas dire que l’Algérie soit à l’abri de ce variant.
Selon le directeur de l’IPA, le Dr Fawzi Derrar, il est très probable que le variant « Omicron » fasse son apparition en Algérie dans les prochains jours. Cela ne va pas manquer de compliquer la situation sanitaire indique le même intervenant.
L’article Covid-19 : le bilan de ce 30 novembre est apparu en premier sur .
Sept travailleurs ont été blessés suite à un incident qui s’est produit, ce mardi 30 novembre, au niveau de la raffinerie de Skikda, a annoncé dans le groupe Sonatrach dans un communiqué.
« Ce jour aux environs de 10h00 est survenu un accident au niveau de la Raffinerie de Skikda, plus précisément au niveau de l’unité reforming I », explique Sonatrach indiquant que cette unité était en arrêt pour travaux de maintenance ».
Selon le communiqué, « l’incident est survenu lors de l’ouverture d’une bride d’échangeur. Un Flash s’est alors produit et a été immédiatement maîtrisé par les agents d’intervention de la raffinerie ».
Sonatrach a fait état de sept 07 blessés parmi les travailleurs qui se trouvaient dans la raffinerie, ajoutant que parmi les blessés, 05 ont subis des brûlures dont 04 superficiellement et 01 s’en est sorti avec des brûlures plus sérieuses ainsi que 02 travailleurs traumatisés », conclut le communiqué.
énième incident !La raffinerie de Skikda est devenu à travers ses incidents répétitifs, -bien que ces derniers sont communs dans ce secteur-, une station désavantageuse pour ses travailleurs. En effet, en 2013, Un jeune opérateur, nouvellement recruté, a été carbonisé lors d’un incendie survenu au niveau de l’unité 100 de la raffinerie de Skikda.
En 2016, Une explosion a eu lieu sur le même site causant une dizaine de blessés et des dégâts matériels considérables. Un autre survenu en 2019, lorsqu’un feu s’est déclaré au niveau du pôle des hydrocarbures près des unités de la raffinerie.
Des incendies qui en disent long sur le laisser-aller des responsables mettant en péril des vies humaines. Aujourd’hui, il est plus que jamais urgent d’agir pour y mettre fin, car, il y a péril en la demeure.
L’article Skikda : un accident dans une raffinerie fait plusieurs blessés est apparu en premier sur .
La période d’examens a commencé cette semaine dans une ambiance de stress de la part des élèves et leurs parents. Un climat d’examen habituel brisé et marqué par une polémique dont l’origine est le texte d’un sujet d’examen de langue française.
Au collège « Miadi Fakhr Eddine » de la commune de Nezla à la wilaya Touggourt, un enseignant de français a décidé d’intégrer les détails du meurtre de Djamel Bensmail dans un texte d’un examen de langue française pour les élèves de troisième année moyenne. Le texte relate les circonstances de l’assassinat de Djamel Bensmail qui a secoué l’Algérie il n’y a pas longtemps, un sujet pour le moins qu’on puisse dire sensible, épineux et d’une douleur atroce.
Le texte ayant pour titre « Tizi Ouzou : lynchage à mort de Djamel Bensmail » a rappelé l’assassinat odieux de Djamel, une scène qui ne peut être relatée qu’avec des termes crus et explicites, et sur ce, les avis divergent.
Sert-il à remuer le couteau dans la plaie ?Une photo du sujet d’examen en question a été relayée sur les réseaux sociaux, suscitant une myriade de commentaires entre ceux qui pensent que cela ouvre une plaie douloureuse pour les Algériens, d’autant plus que cette affaire a pris une ampleur énorme notamment lorsque des politiques ont voulu s’en accaparer. « Une vraie calamité, c’est vraiment très grave. Je ne trouve pas les mots », a commenté une des internautes.
D’autres pensent que ce n’est nullement adéquat ni pédagogique ni conforme au programme scolaire de choisir un support pareil, les détails de son meurtre, rappelons-nous, étaient d’une cruauté sans égal.
Il n’y a pas de tabou, surtout pas à l’école !Au milieu de ce déferlement de haine critiquant le choix de l’enseignant, certains félicitent et saluent ce choix qui, selon eux, est une sorte d’hommage pour le défunt. D’un point de vue pédagogique, d’autres soutiennent également ce choix puisque c’est un fait divers qui a fait couler beaucoup d’encre et qui représente une affaire marquante dans le présent de chaque citoyen algérien.
Un autre internaute a trouvé ce choix plutôt positif « j’ai lu le texte et je n’ai pas trouvé ce qui dérange dans ce dernier. Il n’y a aucune incitation à la haine. Bien au contraire, il rapporte des faits réels qui ont indigné tout Algérien, et je trouve que c’est plutôt positif de permettre aux enfants de parler et d’extérioriser ce qu’ils ressentent et ce qu’ils pensent. C’est à l’école qu’on doit recadrer les idées de ces enfants et c’est à travers la communication que ça se passe. Les Non Dits nous ont massacrés ».
L’article Affaire Djamel Bensmail : un collège « remue » le couteau dans la plaie est apparu en premier sur .
Le Pape François vient de nommer un autre Béninois pour représenter le Saint-Siège dans une organisation onusienne. L'évêque Éric Soviguidi est nommé, ce mardi 30 novembre 2021, pour représenter le Vatican à l'Organisation des nations pour l'éducation la science et la culture (Unesco).
Éric Soviguidi succède ainsi à Mgr Francesco Follo qui exerçait cette fonction depuis l'an 2002. Il était en service à la Secrétairerie d'État, Section des relations avec les États quand le Pape l'a nommé à ce poste.
Éric Soviguidi est né à Abomey le 21 mars 1971. Il fut ordonné prêtre le 10 octobre 1998 pour l'archidiocèse de Cotonou. Le prélat est entré au service diplomatique du Saint-Siège le 1er juillet 2005, où il a exercé la charge de conseiller de nonciature en Haïti, au Ghana, en Tanzanie et au Guatemala.
Sa nomination intervient après celle de Mgr Dieudonné Datonou, nommé nonce apostolique au Burundi le 07 octobre dernier.
F. A. A.
Les pluies et les chutes de neige seront de retour sur le nord du pays dès jeudi prochain, selon les prévisions de l’Office national de météorologie.
Une nouvelle perturbation chargée de pluie et de neige devra arriver dès jeudi prochain sur l’ensemble des wilayas du nord du pays. Les chutes de neige toucheront les hauteurs dépassant les 700 mètres d’altitude précise encore la même source.
Durant la matinée du jeudi, les pluies commenceront sur les wilayas de l’ouest du pays pour ensuite rejoindre celles du centre. Les quantités attendues dépasseront les 50 mm localement. Ces précipitations s’accentueront plus durant la soirée de jeudi à vendredi.
Pour ce qui est de la neige, les prévisions indiquent qu’elles affecteront les hauteurs dépassant les 700/800 mètres d’altitude, et ce, à partir de l’après-midi de jeudi. Les chutes de neige s’accentueront durant la matinée de vendredi.
Les régions concernées par les neiges sont les hauteurs de Blida, Bouira, Médéa, Sidi Bellabbés, Souk Ahras, Mascara, Tiaret, Béjaia, Tizi Ouzou, Sétif, Batna et Djelfa.
Baisse sensible des températuresConcernant les températures attendues vendredi, les services météorologiques prévoient un temps très froid en raison des dernières chutes de neige. Elles seront aux environs moins 6 degrés sur les wilayas de l’intérieur, à savoir El Bayadh, Djelfa, Tiaret, Batna, Khenchela, Mila, Bouira et Blida.
Dans l’après-midi, les températures varieront de 2 à 10 degrés dans les wilayas de l’intérieur, entre 10 à 12 degrés dans les wilayas du nord et jusqu’à 22 degrés sur les wilayas du sud du pays.
L’article Météo : retour des pluies et de la neige à partir de jeudi est apparu en premier sur .
Des conseillers communaux ont empêché ce lundi 29 novembre 2021, la tenue de la session budgétaire de la commune de Kandi.
La session budgétaire de la commune de Kandi n'a pas eu lieu ce lundi. Sur 29 conseillers, seuls 13 du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (Fcbe) étaient présents. « Nous sommes 29 élus et pour commencer la séance, il fallait 15 conseillers pour que le quorum soit atteint », a déclaré le conseiller communal Fcbe Imorou Moustapha sur Kandi FM.
Le parti Fcbe est majoritaire avec 15 conseillers. Selon Imorou Moustapha, les deux autres conseillers Fcbe ont été séquestrés. A l'en croire, un conseiller aurait réussi à s'enfuir des lieux. Les conseillers communaux de la mouvance ont choisi non seulement de boycotter la session mais aussi d'empêcher leurs collègues de s'y rendre. Au lieu de boycotter la session, poursuit le conseiller, le mieux serait de se réunir pour régler les problèmes.
A. A. AYOSSO
« Le renforcement du rôle économique de la femme à travers son accès sécurisé au foncier agricole au Bénin » était au cœur d'une séance de plaidoyer organisée par la Fondation Konrard-Adenauer-Stiftung (KAS) en collaboration avec Wildaf-Bénin, ce 29 novembre 2021, à Ouidah. La séance, qui a eu lieu à l'hôtel Tera Nostra a réuni autorités administratives et locales, maires, chefs d'arrondissement, rois, dignitaires religieux et traditionnels, et les femmes agricultrices et transformatrices de produits agricoles des communes de Ouidah et Kpomassè dans le département de l'Atlantique. La séance a permis de partager une vision commune pour une action concertée et dynamique sur les opportunités économiques à travers l'accès sécurisé des femmes au foncier agricole.
Cette rencontre est l'occasion de définir les stratégies et actions nécessaires pour donner plus d'accès des femmes aux opportunités économiques à partir des activités agricoles et aux autres ressources économiques. Il s'agit d'une part de faire l'état des lieux des droits fonciers et de l'entreprenariat agricole féminin au Bénin, d'analyser les nouvelles dispositions juridiques sur la sécurisation foncière et de sensibiliser les acteurs à divers niveaux sur les droits fonciers des femmes, et l'autonomisation et l'entreprenariat agricole féminin. D'autre part, c'était une opportunité pour les principaux acteurs composés d'autorités administratives et locales, de maires, de chefs d'arrondissement, de rois, de dignitaires religieux et traditionnels, et de femmes agricultrices et transformatrices venus de Ouidah, Tori-Bossito, Kpomassé et Savi dans le département de l'Atlantique de faire des recommandations appropriées en vue d'accroître l'accès des femmes aux terres agricoles et aux autres ressources économiques.
Des trois allocutions prononcées au cours de la séance à savoir celles de M. Mounirou Tchakondoh, Coordonnateur national du projet ‘'un monde sans faim'', de Mme Françoise Sossou Agbaholou, Coordonnatrice nationale de Wildaf-Bénin, de M. André Tossou, CA de Sègbohoué, le message est le même. « L'accès des femmes aux ressources productives est limité bien qu'elles représentent 52% de la population totale du secteur agricole. Responsables d'environ 50% du travail agricole dans les fermes, seulement 15% de femmes sont propriétaires d'exploitation ».
Une injustice qui, dira Mme Françoise Sossou Agbaholou, Coordonnatrice nationale de Wildaf-Bénin, nuit gravement à l'autonomisation socio-économique de la femme et plombe les efforts du pays dans la réalisation des Objectifs de développement durable d'ici à 2030.
C'est donc pour inverser la tendance que la KAS et Wildaf-Bénin ont saisi la quinzaine de la campagne contre les violences faites aux femmes qui se déroule dans le monde entier du 25 novembre au 10 décembre pour organiser cette séance de dialogue sur le renforcement du rôle économique de la femme à travers son accès sécurisé au foncier agricole au Bénin.
Le coordonnateur Mounirou Tchacondooh n'a pas manqué de rappeler à l'assistance le rôle crucial de la femme dans la lutte contre l'insécurité alimentaire et l'importance pour elle d'accéder aisément à la terre au même titre que l'homme sans protocole. « La promotion et la garantie de l'égalité entre les hommes dans l'accès au foncier rural contribue non seulement à une croissance économique soutenue pour tous mais renforce également l'efficacité des mesures pour réduire la pauvreté, améliorer la sécurité alimentaire et le bien-être des communautés à la base » a indiqué M. Tchacondoh, coordonnateur national du projet ‘'Un monde sans faim''. Ce projet est mis en œuvre depuis 2016 dans les départements de l'Atlantique, Littoral et du Zou au Bénin pour permettre aux femmes d'avoir un accès et un droit d'usage des terres.
« La question de l'accès de la femme aux ressources foncières n'est pas seulement juridique mais éminemment socio-culturelle et politique », a-t-il ajouté avant d'inviter tous les acteurs à divers niveaux à lever les barrières afin de permettre à la femme de jouir pleinement de son droit d'accès au foncier et aux autres ressources agricoles.
Dans sa communication, M. Bertrand Yèhouénou, Secrétaire exécutif de la Synergie paysanne en parlant de la situation des droits fonciers de la femmes a précisé que « les pratiques et la non fonctionnalité des instances locales de gestion foncière de même que le coût élevé de délivrance des actes de sécurisation foncière notamment l'Attestation de détention coutumière (ADC) et le Titre foncier réduisent le potentiel de la femme entrepreneure agricole à chaque maillon dans la chaîne de valeur agricole ».
Pour garantir un accès sécurisé des ressources productives aux femmes, M. Bertrand Yèhouénou préconise entre autres solutions : la mise en place des instances de gestion locale en matière foncière, notamment le Comité de gestion foncière (CoGEF), les Sections villageoises de gestion foncière (SVGF), la poursuite de la réalisation du cadastre sur toute l'étendue du territoire national pour faciliter la sécurisation à moindre coût aux femmes, surtout à celles qui héritent des terres sans pouvoir les sécuriser par manque de moyens financiers. Aussi a-t-il invité les femmes à se mettre en groupements ou coopératives afin de bénéficier des opportunités agricoles notamment de l'accompagnement du Fonds national du développement agricole avec un taux de refinancement de 2%, du Microcrédit Alafia et de l'Institut national de la Femme (INF) pour résoudre les écarts qui maintiennent les femmes dans une insécurité foncière et constituent un frein à la sécurité alimentaire.
Juliette Mitonhoun
La mairie de Sakété est sans eau potable depuis quelques semaines. Et pour cause, son compteur d'eau a été coupé par la SONEB pour factures impayées.
Pour des factures impayées estimées à dix (10) millions FCFA, le compteur de fourniture d'eau potable de la mairie de Sakété, dans le département du Plateau, a été coupé. La dette de l'hôtel de ville date de 2013, selon le maire de la commune de Sakété, Nestor Idohou.
La mairie est sans eau depuis plusieurs semaines. Il est difficile aux agents de la mairie de disposer d'eau à boire encore moins pour leurs besoins dans les toilettes. Les agents sont obligés de se rendre au service « avec des sachets ou plastiques d'eau », selon des témoignages à l'Abp.
« Les dispositions sont prises pour échelonner le payement de cette dette », qui ne date pas de la mandature actuelle, selon le maire de Sakété, qui reconnait que l' « administration est une continuité ».
M. MENSAH
Pour améliorer les conditions de voyage et de déplacements des voyageurs dans le sud algérien, le ministre du tourisme prévoit, prochainement, une réunion pour présenter le projet de décret exécutif relatif à la révision des prix de l’hébergement dans les établissements hôteliers.
Il s’agit, selon la même source, d’un projet qui comprend des procédures pour le plafonnement des prix, en fonction de la classification des hôtels et des services fournis aux clients. Cela permettra, selon lui, de mettre fin à l’isolement que vit les régions du Sahara et de développer par conséquent le tourisme local.
L’article Vols vers le sud : le baisse des prix de billets se précise est apparu en premier sur .
Les stars ne font pas toujours couler beaucoup d’encre et n’occupent pas les Unes des journaux grâce à leurs oeuvres artistiques, parfois c’est parce qu’il se retrouvent dans des polémiques et des controverses, c’est le cas de Shirine Boutella.
L’actrice franco-algérienne se retrouvent souvent dans des controverses à cause des films dans lesquels elle participe à l’instar de « Papicha ». Récemment, elle faisait l’objet d’un déferlement de haine à cause de sa plus récente participation dans la première série française de Noël « Christmas Flow » . La mini série Netflix composée de trois épisodes n’a pas suscité l’indignation du public algérien concernant les performances de la protagoniste de la série « Lila » jouée justement par Shirine Boutella, c’était plutôt les scènes jugées « non-conformes à la culture arabo-musulmane » des algériens.
Des propos insultants allant jusqu’à dire que Shirine ne représente nullement le peuple et particulièrement la femme algérienne. Une vague de critique et de haine auxquelles l’actrice et l’influenceuse Boutella a dû faire face. Sa réponse? « les algériens ne sont ni exemplaires, ni sacrés. j’ai honte que mon nom soit lié à des personnes qui pensent de la sorte ».
Elle n’est pas la bienvenueInutile de rappeler que l’actrice ne fait pas l’unanimité, encore moins après sa « riposte » aux critiques qu’elle avait reçues. Le mécontentement à son égard est flagrant notamment avec son retour Algérie qui serait pour des raisons purement professionnelles, le tournage d’une nouvelle série. Des vidéos et des photos relayées sur les réseaux sociaux montrant Shirine dans les rues de Tlemcen a suscité l’incompréhension.
Ainsi, faisant comprendre à la franco-algérienne qu’elle n’est pas la bienvenue suite aux propos qu’elle a tenus qui auraient sous-entendu que l’actrice n’est pas fière de son origine algérienne.
L’article Le retour « controversé » de Shirine Boutella en Algérie est apparu en premier sur .